Elle soutient en 1992 un premier mémoire demaîtrise enlettres modernes à l'université de Dijon[2]. Ayant réussi le concours du CAPES en 1993, elle est professeure de lettres depuis 1997 au lycée Maximilien-Perret d'Alfortville[1]. En 2003, elle obtient l'agrégation[3].
En 2021, elle a soutenu à l'université Sorbonne-Nouvelle une thèse de littérature française[14] sur les réseaux de personnages à l’ère desréseaux sociaux numériques. Elle a participé à l’écriture de plusieurs fictions numériques, comme leLogbook de la Colonie[15], en collaboration avec un collectif, et le compte d’Aimée Rolland[16] surX (exTwitter) qui retrace chaque jour depuis 2020 la vie de sa grand-mère.
« Mises en abyme. La virtualité d’Internet et la fiction romanesque »,Romanesques : revue du Centre d’études du roman et du romanesque [de l’Université de Picardie-Jules Verne], Garnier Flammarion, mai 2021[17]. ISSN 2269-7586
« Agilités transmédiatiques des sociabilités littéraires à partir des plateformes critiques », in Laboratoire Dicem-IdF (ed.),La Fabrique de la participation culturelle, Plateformes numériques et enjeux démocratiques, 2020, pp. 49-55.(ISBN978-2-36851-536-5)[19]
« Hybridations du récit dans l’œuvre d’Eric Reinhardt », revue Ticontre, juin 2016[21]
« Jean-Charles Massera et le “format de l’ennemi”. Sur les formes intermédiales de Massera », Fabula, Contribution à un colloque à la Sorbonne (Paris IV) Juin 2016 sur « les pratiques contre-narratives à l’ère du storytelling : littérature, audiovisuel, performance », Publication surFabula, 2019,https://www.fabula.org/colloques/document6035.php
« Bénédicte Ombredanne, une nouvelle Emma Bovary? », in Sandra Glatigny (dir.)Flaubert dans la ville, Presses universitaires de Rouen et du Havre, 2017[22]
« Lecture analytique et vidéo projection : du diaporama-spectacle à l’interaction collaborative. » Revue R2-LMM, mars 2017[23]
« Le repas familial pavillonnaire dansLe Moral des ménages et dansCendrillon d’Éric Reinhardt», in Florence Fix (dir.)Manger et être mangé, L’alimentation et ses récits, Editions Orizons, Collection Comparaisons, 2016[24]
« Les farfelus dans les romans d’Éric Reinhardt: métamorphoses de l’auteur, de l’époque ou du roman? » in Epifanio Ajello, Vincent d' Orlando, Sylvie Loignon, Natalie Noyaret (dir.)Le personnage farfelu dans la fiction littéraire (XXe et XXIe siècles) des pays européens de langues romanes, RevueSinestesie N° 12, 2014[25]
« Le système romanesque du libéralisme dans les œuvres d’Éric Reinhardt » inCorinne Grenouillet Catherine Vuillermot-Febvet (dir.)Discours du management, du travail, de l’économie: représentation/fiction, Presses Universitaires de Strasbourg, 2015[26]
↑a etbFrance Lebreton, « Pour Françoise Cahen, professeur de français, « chaque classe est une aventure humaine » »,La Croix,(ISSN0242-6056,lire en ligne, consulté le)