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François Rebsamen

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Pour les articles homonymes, voirRebsamen.

François Rebsamen
Illustration.
François Rebsamen en 2023.
Fonctions
Président deDijon Métropole
En fonction depuis le
(10 ans, 3 mois et 16 jours)
Élection25 mars 2001
Réélection16 juillet 2020
PrédécesseurNathalie Koenders(intérim)

(13 ans et 24 jours)
PrédécesseurMaurice Lombard
SuccesseurAlain Millot
Ministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation

(9 mois et 12 jours)
PrésidentEmmanuel Macron
Premier ministreFrançois Bayrou
GouvernementBayrou
PrédécesseurCatherine Vautrin
SuccesseurÉric Woerth
Maire de Dijon

(9 ans, 3 mois et 15 jours)
Élection10 août 2015
Réélection4 juillet 2020
PrédécesseurAlain Millot
Nathalie Koenders(intérim)
SuccesseurNathalie Koenders

(13 ans et 11 jours)
Élection25 mars 2001
Réélection10 mars 2008
PrédécesseurRobert Poujade
SuccesseurAlain Millot
Président de laFédération nationale
des élus socialistes et républicains

(5 ans, 6 mois et 3 jours)
Élection14 mars 2016
PrédécesseurPierre Cohen
SuccesseurCarole Delga
Ministre du Travail,de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social[n 1]

(1 an et 5 mois)
PrésidentFrançois Hollande
Premier ministreManuel Valls
GouvernementValls I etII
PrédécesseurMichel Sapin
SuccesseurMyriam El Khomri
Président dugroupe socialiste auSénat

(2 ans, 6 mois et 14 jours)
Élection1er octobre 2011
PrédécesseurJean-Pierre Bel
SuccesseurDidier Guillaume
Sénateur français

(5 ans, 7 mois et 1 jour)
Élection21 septembre 2008
CirconscriptionCôte-d'Or
Groupe politiqueSOC
PrédécesseurLouis Grillot
SuccesseurIsabelle Lajoux
Conseiller général de laCôte-d'Or

(10 ans, 5 mois et 29 jours)
Élection27 mars 1998
CirconscriptionCanton de Dijon-5
PrédécesseurPierre Barbier
SuccesseurLaurent Grandguillaume
Biographie
Nom de naissanceFrançois Michel Édouard Rebsamen
Date de naissance(74 ans)
Lieu de naissanceDijon (France)
NationalitéFrançaise
Parti politiqueLCR(jusqu'en 1974)
PS (1974-2022)
FP(depuis 2022)
ProfessionAdministrateur territorial
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François Rebsamen, né le àDijon (Côte-d'Or), est unhomme politiquefrançais.

Président du parti Fédération progressiste, il estmaire de Dijon et président deDijon Métropole de 2001 à 2014 et de nouveau entre2015 et2024 à la suite du décès de son remplaçantAlain Millot, ainsi quesénateur de laCôte-d'Or de 2008 à 2014 et président dugroupe socialiste auSénat de 2011 à 2014. Il reste président de Dijon Métropole après son départ de la mairie.

Proche deFrançois Hollande, dont il est le second auParti socialiste de (congrès de Brest) à (congrès de Reims), il est, une fois celui-ciéluprésident de la République,ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social dans lesgouvernements Valls I etII entre et.

Il rompt avec le PS en 2022 pour soutenir le présidentEmmanuel Macron et occupe les fonctions deministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation dans legouvernement Bayrou entre et.

Biographie

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Origines

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François Rebsamen est le fils d'Erich Gottfried Rebsamen et de Denise Agron. Son père est né àStuttgart le dans une familleprotestante[1] et mort àDijon le, employé comme interprète et chef d'atelier de à chezRenault[2] à Dijon. En 1945, Erich Rebsamen, en fuite, est inculpé d'atteinte à la sécurité intérieure de l'État. Sa photo en uniforme d'officier allemand est diffusée[3].

Eric épouse à Dijon le, Denise Agron, morte le[4], fille du professeurchirurgien Édouard Agron, éluradical-socialiste auconseil municipal de Dijon sous leFront populaire[5].

Études et débuts professionnels

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François Rebsamen est titulaire d'unemaîtrise dedroit public, d'unDESS desciences économiques et diplômé desciences politiques. Il est marié et père d'une fille[6]. Son frère Guy Rebsamen, restaurateur et propriétaire du restaurantChez Guy and family à Gevrey-Chambertin, meurt le des suites d'une longue maladie : le même jour, François Rebsamen est faitofficier de la Légion d'Honneur au Palais des Ducs de Dijon par l'ancien Premier ministreJean Castex. Sa nièce Sandrine et son neveu Yves travaillent également dans la restauration[7].

Il exerce les fonctions d'administrateur territorial mais n'a pas été élève de l'Institut national des études territoriales[8].

Après un passage à laLigue communiste révolutionnaire de 1970 à 1974, année où il rencontrePierre Joxe[9], François Rebsamen commence sa carrière professionnelle et politique comme chef de cabinet auconseil régional de Bourgogne de 1979 à 1983, aux côtés de Pierre Joxe (1979-1982) puis d'André Billardon (1982-1983). Il accompagne ensuite Pierre Joxe commechef de cabinet dans ses différentes fonctions ministérielles (de 1984 à 1986 puis de 1988 à 1991). Puis il poursuit ses fonctions de collaborateur d'élu comme directeur-adjoint du cabinet deLaurent Fabius (1992-1993)[Où ?][10], et comme conseiller technique au cabinet deJean-Jack Queyranne,ministre des relations avec le Parlement.

Carrière politique

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Élu local

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En 1989, il est élu président du groupe socialiste auconseil municipal deDijon. Il le restera jusqu'à son élection en tant que maire en 2001. En 1994, il est élu auconseil régional de Bourgogne.

François Rebsamen échoue par quatre fois à se faire élire député dans la1re circonscription de la Côte-d'Or : lors desélections législatives de 1988 ; de1993 ; de1997 où il est battu parRobert Poujade, le maire de Dijon ; et face à son successeur, le candidatUMPBernard Depierre lors deslégislatives de 2002.

En, il est éluconseiller général ducanton de Dijon-5, avec 51,5 % des suffrages exprimés face au conseiller sortantPierre Barbier (RPR). Il est réélu en, cette fois avec 62,5 % des suffrages exprimés. Le, letribunal administratif de Dijon annule soncompte de campagne « pour avoir transformé » l'éditorial dubulletin municipal en tribune politique. Le tribunal administratif intègre alors dans ce compte le coût de 6 pages du bulletin municipal ce qui provoque un dépassement du plafond des dépenses autorisées et entraîne, automatiquement et sans condamnation, une mesure d'inéligibilité d'un an[11]. Six mois après, leConseil d'État désavoue le tribunal administratif qui a pris une décision contraire à sajurisprudence, l'annule dans la foulée, considérant que le maire d'une ville a le droit de rédiger librement son éditorial dans la revue municipale de sa ville, rétablit le compte de campagne initial et valide son élection, ce qui annule la peine d'inéligibilité pour dépassement du plafond de dépenses autorisées[12].

Maire de Dijon

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François Rebsamen est élumaire de cette ville de tradition conservatrice le, avec 52,14 % des suffrages contre 47,86 % à son adversaireJean-François Bazin (RPR). Il devient ainsi le quatrième maire de la ville élu depuis 1945, succédant àRobert Poujade (maire de Dijon de 1971 à 2001), qui ne se représentait pas. Il est le premier maire classé à gauche élu à Dijon depuis 1935[réf. nécessaire].

À propos de cesélections municipales de 2001 et des succès remportés par la gauche auxélections régionales,cantonales eteuropéennes de 2004, il souligne la part du vote populaire et prône de ce fait une grande attention du PS à cet électorat[13].

C'est sur la base du constat que l'« on ne dirige ni une ville ni un pays replié sur son camp »[14][source insuffisante] que François Rebsamen se déclare « favorable » à des alliances avec leMoDem pour lesélections municipales de 2008. Il déclare alors que « les candidats présentés par leParti socialiste doivent chercher le rassemblement le plus large […] sur la base de propositions communes ».

Lepalais des ducs de Bourgogne, où siège lemaire de Dijon.

Le, il est réélu maire de Dijon dès le premier tour des élections municipales avec 56,22 % des suffrages exprimés face notamment au candidat de ladroite : François-Xavier Dugourd (36,44 %). Il lance le projet de construction d'untramway de Dijon, voté à l'unanimité par leconseil communautaire duGrand Dijon le[15] et inauguré en[16].

En 2007 et 2008, il est administrateur deDexia-Crédit Local de France et démissionne quelques jours avant la faillite de cette banque qui aura nécessité un apport de 3 milliards d'euros de l'État (seule banque française ou en partie française à avoir bénéficié d'un apport en capital de l'État et non pas simplement d'un prêt ou d'une garantie). D'après l'Express, François Rebsamen aurait démissionné de son siège d'administrateur de la banque soutenue par l'argent public après queLe Canard enchaîné eut révélé le montant de ses jetons de présence, 20 000 euros en 2007[17].

Sénateur-maire

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Le, il devientsénateur de laCôte-d'Or[18], premier sous l'étiquette socialiste depuis 1948. Il démissionne alors de son poste de conseiller général du canton de Dijon-5. Au Sénat, il est membre de lacommission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la Nation. Après lesélections sénatoriales du et l'élection le suivant deJean-Pierre Bel à la présidence de laHaute Assemblée, François Rebsamen est choisi pour lui succéder à la tête dugroupe socialiste au Sénat.

En 2012, alors que le gouvernement entend faire respecter sa proposition faite lors de lacampagne présidentielle d'interdire lecumul des mandats, François Rebsamen s'y oppose arguant le statut spécifique de sénateur[19]. Legouvernement Jean-Marc Ayrault, par son porte-parole et son Premier ministre, répond qu'il n'y aura pas d'exception[20]. François Rebsamen annonce cependant que si la loi sur le non-cumul était votée, il choisirait d'être maire deDijon[21].

Au terme du second tour desélections municipales de Dijon le, la liste qu'il mène arrive en tête avec 52,84 % des suffrages exprimés face à la listeUMP d'Alain Houpert (34,02 %) et celle duFront national d'Édouard Cavin (13,13 %). Cette victoire lui vaut son troisième mandat à la mairie de la ville[22].

Ministre du Travail

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Il est nomméministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social le dans legouvernement Manuel Valls[23]. Cette désignation l'amène à renoncer au poste demaire de Dijon qu'il occupait depuis. Le, son premier adjoint sortant,Alain Millot, est élu maire de la ville[24]. En, il avance que l'échec dans lalutte contre le chômage n'est pas uniquement dû au « gouvernement »[25]. Prévoyant à de nombreuses reprises entre 2014 et 2015 un recul du chômage, il doit constater son aggravation[26],[27]. Mi-2015, il porte un projet de loi sur ledialogue social, qui contient notamment le passage de 17 à 3 cas obligatoires d'information et de consultation ducomité d'entreprise, une représentation pour les salariés des TPE et la fusion durevenu de solidarité active et de laprime pour l'emploi[28].

Retour à la mairie de Dijon

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François Rebsamen, le 2 février 2017 à la mairie de Dijon.

Le, après la mort d'Alain Millot, maire de Dijon, il annonce qu'il briguera en août sa succession, ce qui implique son départ du gouvernement[29]. Le, il est réélu maire de Dijon puis démissionne de ses fonctions ministérielles lors du conseil des ministres de rentrée le. Son passage au ministère du travail est considéré comme un échec sévère en matière de lutte contre le chômage[30], ce qui lui vaut le sobriquet de « ministre du chômage »[31],[32]. Le, il se voit proposer le poste de ministre de l'Intérieur, qu'il refuse[33], et préfère rester maire de Dijon.

Atteint d'un cancer, il annonce le, par un communiqué de presse, qu'il ne pourra pas assumer pleinement les présences officielles liées à ses fonctions de maire et de président de la métropole durant les périodes de traitement. Il confie alors la mission d'assurer ses intérims àNathalie Koenders pour la ville et àPierre Pribetich pour la métropole[34],[35],[36],[37]. Il fait son retour le à l'université d'été du PS, assurant avoir terminé ses traitements, où il prononce le discours d'accueil du séminaire de laFédération nationale des élus socialistes et républicains, qu'il préside[38].

Lesélections municipales de 2020 à Dijon se présentent dans un contexte inédit, oùEurope Écologie Les Verts fait le choix de présenter une liste indépendante de celle de la majorité, menée par Stéphanie Modde, alors adjointe chargée de l'écologie urbaine depuis 2014[39]. Dans un scrutin marqué par la crise sanitaire due à lapandémie de Covid-19 (le second tour est reporté du au), se caractérisant par une forte abstention (35,9 % de participation au premier tour puis 33,4 % au second)[40], la liste menée par François Rebsamen « Dijon c'est capitale » l'emporte lors d'une triangulaire contre les écologistes et la liste d'union de la droite. Au terme de ces élections, la composition du Conseil municipal ne change pas : 43 sièges pour la majorité, 6 élus verts et 10 sièges pour la droite[40]. François Rebsamen est réélu maire le[41].

Le, il annonce qu'il ne se représente pas aux prochaines élections municipales[42].

Le, il annonce quitter son poste de maire au et souhaite voir sa première adjointe,Nathalie Koenders, lui succéder. Il reste cependant président de la Métropole[43]. Le, il fait voter une augmentation de son indemnité de près de 25 000 € annuels pour la porter au maximum de ce qui est permis par la loi[44].

Cadre du Parti socialiste

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À un meeting de Ségolène Royal àBesançon en 2007 (à gauche de la photo).

En 1997, il est nommé secrétaire national duParti socialiste[45] aucongrès de Brest, et devient le numéro 2 du Parti socialiste derrière son amiFrançois Hollande.

Il est à ce titre directeur de la campagne des élections régionales et cantonales en, puis de la campagne duréférendum interne en décembre de cette même année sur le traité institutionnel européen et enfin de la campagne pour le oui au référendum national de 2005.

En juin, puis en, bien que chargé des élections internes au sein de la direction du parti, il demande àJack Lang etDominique Strauss-Kahn de retirer leur candidature à l'investiture socialiste, et soutient explicitementSégolène Royal. Après le dépôt des candidatures, et le renoncement de François Hollande, François Rebsamen devient officiellement un partisan deMme Royal. Il fait partie de son équipe restreinte de campagne, en tant que codirecteur de campagne, avecJean-Louis Bianco.

En amont ducongrès de Reims (75e congrès du Parti socialiste) de, il est nommé président de la commission de révision des statuts du Parti socialiste. Il est le deuxième signataire, derrière Ségolène Royal, de la consultation participative appelant les militants et les sympathisants socialistes à répondre à dix questions pour l'avenir de la France et de leur parti[46]. Il est également signataire de la motion E dont le premier signataire estGérard Collomb et le chef de file Ségolène Royal. Il défend alors un renouveau des dirigeants du parti socialiste.

Le, il est désigné à l'issue du Bureau national du Parti socialiste président de laFédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESR)[47]. En 2017, aux côtés de Marie-Guite Dufay (présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté) et de François Patriat (Sénateur de côte d'or), François Rebsamen signe une tribune lancée par des élus PS et divers gauche pour soutenir la candidature d'Emmanuel Macron. En 2018, il soutient la candidature deStéphane Le Foll pour lecongrès d'Aubervilliers du PS[48].

Il critique vivement en 2021 la direction du PS et sa stratégie « proche du néant », fustigeant à l'approche desélections régionales les alliances avec lesécologistes, qu’il considère « radicaux », et le soutien à la candidature d’Audrey Pulvar enÎle-de-France. Il se déclare en revanche favorable à un rapprochement avec le parti présidentielLREM « pour faire barrage auRN »[49].

Le 17 septembre 2021, il démissionne de la présidence de la FNESR, estimant que« le PS est un parti sectaire » et demandant un« débat » sur la candidature présidentielle d'Anne Hidalgo[50].

Bien que rallié à Emmanuel Macron depuis la dernière présidentielle, le maire de Dijon a pu voter au congrès socialiste[51].

Fédération progressiste et retour au gouvernement

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Fédération progressiste
Image illustrative de l’article François Rebsamen
Logotype officiel.
Présentation
PrésidentFrançois Rebsamen
Fondation
Scission deParti socialiste[52]
Siège15rue Lisfranc
75020Paris[53]
FondateursFrançois Rebsamen
Juliette Méadel[52]
Vice-présidentDavid Kimelfeld[54]
PositionnementCentre[55] àgauche[56],[57],[58]
IdéologieSocial-libéralisme
Progressisme
Europhilie
[réf. nécessaire]
Affiliation nationaleEnsemble(depuis 2022)
La Convention(depuis 2025)
CouleursRouge etviolet
Site webfederationprogressiste.com
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En, François Rebsamen annonce son intention de voter pourEmmanuel Macron à l'élection présidentielle[59]. Par la suite, il initie un nouveau parti, Fédération progressiste, aux côtés d'autres personnalités issues du Parti socialiste commeOlivier Klein,Juliette Méadel,Patrice Vergriete,Thierry Repentin,David Kimelfeld,Joaquim Pueyo ou encorePascal Terrasse.

Fédération progressiste rejoint la coalitionEnsemble, qui regroupe lamajorité présidentielle d'Emmanuel Macron en vue de présenter des candidatures uniques lors desélections législatives de 2022[60],[61]. Elle obtient deux députés (Christine Decodts dans leNord etBenoît Bordat enCôte-d'Or) qui siègent au sein dugroupe Renaissance.

L'un de ses membres,Olivier Klein, est nommé leministre délégué chargé de la Ville etdu Logement dans legouvernement Élisabeth Borne. Il est remplacé le parPatrice Vergriete, lui aussi proche de la Fédération progressiste.

Le 23 décembre 2024, François Rebsamen est nommé ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation au sein dugouvernement François Bayrou[62].

Il rejoint en juin 2025 « La Convention », le microparti deBernard Cazeneuve[63].

Résultats électoraux

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Élections municipales

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AnnéePartiCommunePosition1er tour2d tourSièges (CM)
Voix%IssueVoix%Issue
1989PS34,812e
1995PSDijonTête de liste26,202e37,3
2001UG17 36542,161er23 33052,14Élu
42  / 55
200827 36856,17Élu
44  / 55
2014[64]20 82544,271er24 64652,84Élu
46  / 59
2020[65]11 10138,2411 74643,51
43  / 59

Élections générales

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Élections sénatoriales

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Détail des fonctions et mandats

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Au niveau local

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  • Conseiller municipal de Dijon et président du groupe socialiste au conseil de 1989 à 2001.
  • Conseiller régional de Bourgogne de 1994 à 2001.
  • Conseiller général de Côte-d'Or de 1998 à 2008.
  • Maire de Dijon et Président du Grand Dijon puis de Dijon Métropole de 2001 à 2014 puis à nouveau depuis 2015.

Au Sénat

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  • Sénateur de la Côte d'Or de 2008 à 2014[66].
  • Président du groupe socialiste au Sénat de 2011 à 2014.

Au Gouvernement

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  • Ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social du 2 avril 2014 au 19 août 2015 (gouvernements Valls I etII).
  • Ministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation du 23 décembre 2024 au 5 octobre 2025 (gouvernement Bayrou).

Au sein du Parti socialiste

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Autres fonctions

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  • Administrateur de Dexia de 2007 à 2008.
  • Président du réseau francophone des villes amies des aînés depuis sa création en 2012[67].
  • Président de Cités Unies France, la tête de réseau, transpartisane et multi-niveau, des collectivités territoriales françaises engagées dans l’action internationale.
  • Président de la commission pour la relance durable de la construction de logements[68].

Autres engagements

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François Rebsamen est membre de lafranc-maçonnerie[69] dans la loge Solidarité et progrès du Grand Orient de France à Dijon[70] depuis 1989[71].

Décoration

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Le, François Rebsamen est nommé au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur au titre de« conseiller général de la Côte-d'Or, maire de Dijon ; 24 ans de services civils et de fonctions électives »[72], puis fait chevalier le[73]. Il est promu au grade d'officier le au titre de« maire de Dijon, président de Dijon Métropole, ancien sénateur de la Côte-d'Or, ancien ministre »[73].

Publications

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  • Dijon, portrait d'une ville contemporaine avecArmand Frémont etJean Vautrin, photographies de Philippe Maupetit, Cercle d'Art, 2007
  • De François à Ségolène, entretien avec Philippe Alexandre, Fayard, 2007
  • Football et politique, Stock, septembre 2014
  • En toutes confidences, Stock, novembre 2016(ISBN 978-2-234-07814-7)

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Il obtient le portefeuille de la Formation professionnelle le.

Références

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  1. Didier Hassoux, « François Rebsamen. Une trempe d'éléphant »Accès limité,Libération,(consulté le).
  2. « François Rebsamen : un proche de François Hollande chargé du dialogue social »Accès libre,Le Point,(consulté le).
  3. La Bourgogne républicaine,(lire en ligne),p. 1
  4. « Dijon : Denise Rebsamen est décédée », surle site du quotidienLe Bien public,(consulté le).
  5. « " Rebs " de A à Z »Accès libre,Le Point,(consulté le).
  6. « Biographie François Rebsamen », surleparisien.fr(consulté le).
  7. Vannick Berton, « Gevrey-Chambertin. Mort du restaurateur Guy Rebsamen : « Un éternel râleur, sympathique et attachant » »Accès libre,Le Bien public,(consulté le).
  8. « Biographie officielle de François Rebsamen sur le site du Sénat ».
  9. « Interview François Rebsamen »,lexpress.fr, 26 avril 2001.
  10. « François Rebsamen », surFondation Jean-Jaurès(consulté le)
  11. (TA Dijon 19 oct. 2004,Mme K. Williams, AJDA 2005,p. 45, note B.Maligner
  12. Conseil d'État 20 mai 2005, El. cant. de Dijon V., AJDA 2005,no 35,p. 1956, note B.Maligner.
  13. entretien auNouvel Observateur du 8 avril 2004
  14. entretien à l'hebdomadairele Point du.
  15. « Dijon Métropole », surdijon.fr(consulté le).
  16. « Gazette Info : la gazette du Net. », surGazette Info : la gazette du Net.(consulté le).
  17. Dexia : Rebsamen part, les autres restent,L'Express, 24 octobre 2008.
  18. Le Pointmagazine, « François Rebsamen : Biographie et articles – Le Point », surLe Point.fr(consulté le).
  19. Maud Pierron, « Non-cumul des mandats : François Rebsamen rejette l'engagement d'Hollande »,20 Minutes,‎(lire en ligneAccès libre, consulté le).
  20. AFP, « Martine Aubry rappelle à l'ordre les élus PS sur le non-cumul »,Le Monde,‎(lire en ligneAccès libre).
  21. Sophie Huet, « Non-cumul : « Je choisirai Dijon » (Rebsamen) »,Le Figaro,‎(lire en ligneAccès libre).
  22. « Côte-d'Or - municipales / Dijon : troisième mandat pour François Rebsamen », surLe Bien Public,(consulté le).
  23. S.Ld, P.Th., M.S. et C.M., « VIDEOS. Valls au sujet de son gouvernement : «Nous sommes tous Hollandais» »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le).
  24. « Alain Millot prend la mairie de Dijon »,Le Bien Public, 6 avril 2014
  25. François Rebsamen estime que le chômage est un "échec collectif", france3-regions.francetvinfo.fr, 29 octobre 2014
  26. François Rebsamen, l'oiseau de mauvais augure, marianne.net, 24 juin 2015
  27. « Chômage : l’optimisme forcené de François Rebsamen »,Le Monde,.
  28. Anne-Sophie Lechevallier,« Dialogue social - La loi qui ne fâche (presque) personne »,Paris Matchno 3444, semaine du 21 au 27 mai 2015, page 42.
  29. « Rebsamen quittera le gouvernement s'il est élu maire de Dijon »,capital.fr, 30 juillet 2015
  30. Rebsamen quitte la rue de Grenelle sur un échec face à la hausse du chômage, lesechos.fr, 10 août 2015
  31. Tristan Quinault-Maupoil, « Rebsamen quitte le gouvernement affublé du titre de « ministre du chômage » »Accès libre,Le Figaro,(consulté le).
  32. Sophie Coignard, « François Rebsamen, ministre du chômage »Accès libre,Le Point,(consulté le).
  33. Benjamin Sportouch et Philippe Peyre, « Remaniement : François Rebsamen a refusé le poste de ministre de l'Intérieur »Accès libre, surRTL,(consulté le).
  34. Lila Lefebvre, « Le maire de Dijon, François Rebsamen, annonce qu'il est atteint d'un cancer »,France Bleu,‎(lire en ligneAccès libre).
  35. B.L., « Dijon : François Rebsamen annonce qu’il a un cancer »,France 3 Bourgogne-Franche-Comté,‎(lire en ligneAccès libre).
  36. « PS. François Rebsamen annonce être atteint d’un cancer »,Le Télégramme,‎(lire en ligneAccès libre).
  37. « Le maire de Dijon François Rebsamen annonce souffrir d'un cancer »,Le Bien Public,‎(lire en ligneAccès libre).
  38. « François Rebsamen de retour après avoir soigné un cancer »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), surEurope 1(consulté le).
  39. B.L., « Municipales 2020 à Dijon : Stéphanie Modde a présenté sa liste écologique et solidaire »Accès libre, surFrance 3 Bourgogne-Franche-Comté,(consulté le).
  40. a etbMatti Faye, « Municipales 2020 à Dijon : François Rebsamen réélu »Accès libre, surFrance 3 Bourgogne-Franche-Comté,(consulté le).
  41. « Côte-d'Or - Politique locale. Dijon : sans surprise, François Rebsamen retrouve son fauteuil de maire »Accès libre, surLe Bien public,(consulté le).
  42. « Dijon. François Rebsamen : « Je ne me représenterai pas aux élections municipales » », surLe Bien public(consulté le).
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  44. DavidPerrotin, « Le ministre François Rebsamen cumule deux mandats, augmente ses indemnités et est « parfaitement à l’aise avec ça » »Accès payant, surMediapart,(consulté le).
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v ·m
Gouvernement Valls I()
Sous laprésidence deFrançois Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Laurent Fabius
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur,de la Promotion du tourisme etdes Français de l'étranger :Fleur Pellerin
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Harlem Désir
Secrétaire d'État chargée du Développement etde la Francophonie :Annick Girardin

Manuel Valls
Premier ministre
Écologie, Développement durable et Énergie
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports,de la Mer et de la Pêche :Frédéric Cuvillier
Éducation nationale,Enseignement supérieur etRecherche
Benoît Hamon
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur etde la Recherche :Geneviève Fioraso
Justice,garde des sceauxChristiane Taubira
Finances et Comptes publics
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget :Christian Eckert
Économie,Redressement productif etNumérique
Arnaud Montebourg
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat, de laConsommation et de l'Économie sociale et solidaire :Valérie Fourneyron,puisCarole Delga(1)
Secrétaire d'État chargée du Numérique :Axelle Lemaire
Affaires sociales
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée de la Famille, desPersonnes âgées et de l'Autonomie :Laurence Rossignol
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion :Ségolène Neuville
Travail,Emploi et Dialogue socialFrançois Rebsamen
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire :Kader Arif
IntérieurBernard Cazeneuve
Droits des femmes,Ville,Jeunesse et Sports
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé des Sports :Thierry Braillard
Décentralisation,Réforme de l'État
etFonction publique
puis Décentralisation etFonction publique(1)
Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale :André Vallini
Culture et CommunicationAurélie Filippetti
Agriculture, Agroalimentaire et ForêtStéphane Le Foll,porte-parole du Gouvernement
Logement etÉgalité des territoiresSylvia Pinel
Outre-merGeorge Pau-Langevin
Secrétaires d'État auprès du Premier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification(1) :Thierry Mandon
( AYRAULT II) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (VALLS II)
v ·m
Gouvernement Valls II()jusqu'au remaniement du
Sous laprésidence deFrançois Hollande
Affaires étrangères et Développement international
Laurent Fabius
Secrétaire d'État chargé des Affaires européennes :Harlem Désir
Secrétaire d'État chargée du Développement etde la Francophonie :Annick Girardin
Secrétaire d'État chargé du Commerce extérieur,de la Promotion du tourisme etdes Français de l'étranger :Thomas Thévenoud (dém) (1)puisMatthias Fekl (1)

Manuel Valls
Premier ministre
Écologie, Développement durable etÉnergie
Ségolène Royal
Secrétaire d'État chargé des Transports,de la Mer et de la Pêche :Alain Vidalies
Éducation nationale,Enseignement supérieur
etRecherche
Najat Vallaud-Belkacem
Secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur etde la Recherche :Geneviève Fioraso (dém) (3)puisThierry Mandon (4)
Justice,garde des sceauxChristiane Taubira (dém) (6)puisJean-Jacques Urvoas (6)
Finances et Comptes publics
Michel Sapin
Secrétaire d'État chargé du Budget :Christian Eckert
Défense
Jean-Yves Le Drian
Secrétaire d'État chargé des Anciens Combattants et de la Mémoire :Kader Arif (dém) (2)puisJean-Marc Todeschini (2)
Affaires sociales, Santé etDroits des femmes
Marisol Touraine
Secrétaire d'État chargée de la Famille, des Personnes âgées et de l'Autonomie puissecrétaire d'État chargée de la Famille, de l'Enfance, des Personnes âgées et de l'Autonomie (4) :Laurence Rossignol
Secrétaire d'État chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion :Ségolène Neuville
Secrétaire d'État chargée des Droits des femmes :Pascale Boistard
Travail,Emploi,Formation professionnelle
et Dialogue social
François Rebsamen (dém) (5)puisMyriam El Khomri (5)
IntérieurBernard Cazeneuve
Agriculture, Agroalimentaire et ForêtStéphane Le Foll,porte-parole du Gouvernement
Économie,Industrie etNumérique
Emmanuel Macron
Secrétaire d'État chargée du Commerce, de l'Artisanat,de la Consommation etde l'Économie sociale et solidaire :Carole Delga (dém) (4)puisMartine Pinville (4)
Secrétaire d'État chargée du Numérique :Axelle Lemaire
Logement etÉgalité des territoires etRuralitéSylvia Pinel
Décentralisation etFonction publique
Marylise Lebranchu
Secrétaire d'État chargé de la Réforme territoriale :André Vallini
Culture et CommunicationFleur Pellerin
Ville,Jeunesse et Sports
Patrick Kanner
Secrétaire d'État chargée de la Politique de la ville, puis supprimé (5) :Myriam El Khomri
Secrétaire d'État chargé des Sports :Thierry Braillard
Outre-merGeorge Pau-Langevin
Secrétaires d'État auprès duPremier ministre
Secrétaire d'État chargé des Relations avec le Parlement :Jean-Marie Le Guen
Secrétaire d'État chargé de la Réforme de l'État et de la Simplification :Thierry MandonpuisClotilde Valter(4)
  • Ordonnancement parordre de préséance
  • (dém) Démission
  • (1) Remaniement du
  • (2) Remaniement du
  • (3) Démission du
  • (4) Remaniement du
  • (5) Remaniement du
  • (6) Remaniement du
( VALLS I) Gouvernement précédent •••• Gouvernement suivant (CAZENEUVE)
v ·m
Gouvernement Bayrou()
Sous laprésidence d'Emmanuel Macron
Éducation nationale,Enseignement supérieur et Recherche
Élisabeth Borne(ministre d'État)
Ministre délégué chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche :Philippe Baptiste

François Bayrou
Premier ministre
Outre-merManuel Valls(ministre d'État)
Justice,garde des sceauxGérald Darmanin(ministre d'État)
Intérieur
Bruno Retailleau(ministre d'État)
Ministre :François-Noël Buffet
Travail,Santé, Solidarité et Familles
Catherine Vautrin
Ministre délégué chargée du Travail et de l'Emploi :Astrid Panosyan-Bouvet
Ministre délégué chargé chargé de la Santé et de l'Accès aux soins :Yannick Neuder
Ministre déléguée chargée de l'Autonomie et du Handicap :Charlotte Parmentier-Lecocq
Économie, Finances, Souveraineté industrielle et numérique
Éric Lombard
Ministre chargée et des Comptes publics :Amélie de Montchalin
Ministre délégué chargé de l'Industrie et de l'Énergie :Marc Ferracci
Ministre déléguée chargée du Commerce,de l'Artisanat,des PME etde l'Économie sociale et solidaire :Véronique Louwagie
Ministre chargée de l'Intelligence artificielle et du Numérique :Clara Chappaz
Ministre déléguée chargée du Tourisme :Nathalie Delattre
Armées
Sébastien Lecornu
Ministre déléguée chargée de la Mémoire et des Anciens Combattants :Patricia Mirallès
CultureRachida Dati
Aménagement du territoire et Décentralisation
François Rebsamen
Ministre déléguée chargée du Logement :Valérie Létard
Ministre délégué chargé des Transports :Philippe Tabarot
Ministre déléguée chargée de la Ruralité :Françoise Gatel
Ministre déléguée chargée de la Ville :Juliette Méadel
Europe et Affaires étrangères
Jean-Noël Barrot
Ministre délégué chargé de l'Europe :Benjamin Haddad
Ministre délégué chargé du Commerce extérieur etdes Français de l'étranger :Laurent Saint-Martin
Ministre délégué chargé de la Francophonie etdes Partenariats internationaux :Thani Mohamed Soilihi
Transition écologique, Biodiversité, Forêt,Mer et PêcheAgnès Pannier-Runacher
Agriculture et Souveraineté alimentaireAnnie Genevard
Action publique, Fonction publique et SimplificationLaurent Marcangeli
Sports, Jeunesse et Vie AssociativeMarie Barsacq
Ministres délégués auprès duPremier ministre
Ministre délégué chargé des Relations avec le Parlement :Patrick Mignola
Ministre déléguée chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes etde la Lutte contre les discrimitations :Aurore Bergé
Ministre déléguée, porte-parole du Gouvernement :Sophie Primas
(← BARNIER) Gouvernement précédent ••••• Gouvernement suivant ( LECORNU I)
v ·m
IIIe République
(1906-1940)
Seconde Guerre mondiale
(1940-1944)
Régime de Vichy
CNF etCFLN
GPRF etIVe République
(1944-1958)
Ve République
(depuis 1959)
t Ministre du Travail ;a Ministre des Affaires sociales ;e Ministre de l'Emploi ;s Ministre de la (des) Solidarité(s)
Articles connexes :Ministère du Travail ;Ministère des Affaires sociales
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