Pour les articles homonymes, voirRebsamen.
| François Rebsamen | |
François Rebsamen en 2023. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Président deDijon Métropole | |
| En fonction depuis le (10 ans, 3 mois et 16 jours) | |
| Élection | 25 mars 2001 |
| Réélection | 16 juillet 2020 |
| Prédécesseur | Nathalie Koenders(intérim) |
| – (13 ans et 24 jours) | |
| Prédécesseur | Maurice Lombard |
| Successeur | Alain Millot |
| Ministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation | |
| – (9 mois et 12 jours) | |
| Président | Emmanuel Macron |
| Premier ministre | François Bayrou |
| Gouvernement | Bayrou |
| Prédécesseur | Catherine Vautrin |
| Successeur | Éric Woerth |
| Maire de Dijon | |
| – (9 ans, 3 mois et 15 jours) | |
| Élection | 10 août 2015 |
| Réélection | 4 juillet 2020 |
| Prédécesseur | Alain Millot Nathalie Koenders(intérim) |
| Successeur | Nathalie Koenders |
| – (13 ans et 11 jours) | |
| Élection | 25 mars 2001 |
| Réélection | 10 mars 2008 |
| Prédécesseur | Robert Poujade |
| Successeur | Alain Millot |
| Président de laFédération nationale des élus socialistes et républicains | |
| – (5 ans, 6 mois et 3 jours) | |
| Élection | 14 mars 2016 |
| Prédécesseur | Pierre Cohen |
| Successeur | Carole Delga |
| Ministre du Travail,de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social[n 1] | |
| – (1 an et 5 mois) | |
| Président | François Hollande |
| Premier ministre | Manuel Valls |
| Gouvernement | Valls I etII |
| Prédécesseur | Michel Sapin |
| Successeur | Myriam El Khomri |
| Président dugroupe socialiste auSénat | |
| – (2 ans, 6 mois et 14 jours) | |
| Élection | 1er octobre 2011 |
| Prédécesseur | Jean-Pierre Bel |
| Successeur | Didier Guillaume |
| Sénateur français | |
| – (5 ans, 7 mois et 1 jour) | |
| Élection | 21 septembre 2008 |
| Circonscription | Côte-d'Or |
| Groupe politique | SOC |
| Prédécesseur | Louis Grillot |
| Successeur | Isabelle Lajoux |
| Conseiller général de laCôte-d'Or | |
| – (10 ans, 5 mois et 29 jours) | |
| Élection | 27 mars 1998 |
| Circonscription | Canton de Dijon-5 |
| Prédécesseur | Pierre Barbier |
| Successeur | Laurent Grandguillaume |
| Biographie | |
| Nom de naissance | François Michel Édouard Rebsamen |
| Date de naissance | (74 ans) |
| Lieu de naissance | Dijon (France) |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | LCR(jusqu'en 1974) PS (1974-2022) FP(depuis 2022) |
| Profession | Administrateur territorial |
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François Rebsamen, né le àDijon (Côte-d'Or), est unhomme politiquefrançais.
Président du parti Fédération progressiste, il estmaire de Dijon et président deDijon Métropole de 2001 à 2014 et de nouveau entre2015 et2024 à la suite du décès de son remplaçantAlain Millot, ainsi quesénateur de laCôte-d'Or de 2008 à 2014 et président dugroupe socialiste auSénat de 2011 à 2014. Il reste président de Dijon Métropole après son départ de la mairie.
Proche deFrançois Hollande, dont il est le second auParti socialiste de (congrès de Brest) à (congrès de Reims), il est, une fois celui-ciéluprésident de la République,ministre du Travail, de l'Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social dans lesgouvernements Valls I etII entre et.
Il rompt avec le PS en 2022 pour soutenir le présidentEmmanuel Macron et occupe les fonctions deministre de l'Aménagement du territoire et de la Décentralisation dans legouvernement Bayrou entre et.
François Rebsamen est le fils d'Erich Gottfried Rebsamen et de Denise Agron. Son père est né àStuttgart le dans une familleprotestante[1] et mort àDijon le, employé comme interprète et chef d'atelier de à chezRenault[2] à Dijon. En 1945, Erich Rebsamen, en fuite, est inculpé d'atteinte à la sécurité intérieure de l'État. Sa photo en uniforme d'officier allemand est diffusée[3].
Eric épouse à Dijon le, Denise Agron, morte le[4], fille du professeurchirurgien Édouard Agron, éluradical-socialiste auconseil municipal de Dijon sous leFront populaire[5].
François Rebsamen est titulaire d'unemaîtrise dedroit public, d'unDESS desciences économiques et diplômé desciences politiques. Il est marié et père d'une fille[6]. Son frère Guy Rebsamen, restaurateur et propriétaire du restaurantChez Guy and family à Gevrey-Chambertin, meurt le des suites d'une longue maladie : le même jour, François Rebsamen est faitofficier de la Légion d'Honneur au Palais des Ducs de Dijon par l'ancien Premier ministreJean Castex. Sa nièce Sandrine et son neveu Yves travaillent également dans la restauration[7].
Il exerce les fonctions d'administrateur territorial mais n'a pas été élève de l'Institut national des études territoriales[8].
Après un passage à laLigue communiste révolutionnaire de 1970 à 1974, année où il rencontrePierre Joxe[9], François Rebsamen commence sa carrière professionnelle et politique comme chef de cabinet auconseil régional de Bourgogne de 1979 à 1983, aux côtés de Pierre Joxe (1979-1982) puis d'André Billardon (1982-1983). Il accompagne ensuite Pierre Joxe commechef de cabinet dans ses différentes fonctions ministérielles (de 1984 à 1986 puis de 1988 à 1991). Puis il poursuit ses fonctions de collaborateur d'élu comme directeur-adjoint du cabinet deLaurent Fabius (1992-1993)[Où ?][10], et comme conseiller technique au cabinet deJean-Jack Queyranne,ministre des relations avec le Parlement.
En 1989, il est élu président du groupe socialiste auconseil municipal deDijon. Il le restera jusqu'à son élection en tant que maire en 2001. En 1994, il est élu auconseil régional de Bourgogne.
François Rebsamen échoue par quatre fois à se faire élire député dans la1re circonscription de la Côte-d'Or : lors desélections législatives de 1988 ; de1993 ; de1997 où il est battu parRobert Poujade, le maire de Dijon ; et face à son successeur, le candidatUMPBernard Depierre lors deslégislatives de 2002.
En, il est éluconseiller général ducanton de Dijon-5, avec 51,5 % des suffrages exprimés face au conseiller sortantPierre Barbier (RPR). Il est réélu en, cette fois avec 62,5 % des suffrages exprimés. Le, letribunal administratif de Dijon annule soncompte de campagne « pour avoir transformé » l'éditorial dubulletin municipal en tribune politique. Le tribunal administratif intègre alors dans ce compte le coût de 6 pages du bulletin municipal ce qui provoque un dépassement du plafond des dépenses autorisées et entraîne, automatiquement et sans condamnation, une mesure d'inéligibilité d'un an[11]. Six mois après, leConseil d'État désavoue le tribunal administratif qui a pris une décision contraire à sajurisprudence, l'annule dans la foulée, considérant que le maire d'une ville a le droit de rédiger librement son éditorial dans la revue municipale de sa ville, rétablit le compte de campagne initial et valide son élection, ce qui annule la peine d'inéligibilité pour dépassement du plafond de dépenses autorisées[12].
François Rebsamen est élumaire de cette ville de tradition conservatrice le, avec 52,14 % des suffrages contre 47,86 % à son adversaireJean-François Bazin (RPR). Il devient ainsi le quatrième maire de la ville élu depuis 1945, succédant àRobert Poujade (maire de Dijon de 1971 à 2001), qui ne se représentait pas. Il est le premier maire classé à gauche élu à Dijon depuis 1935[réf. nécessaire].
À propos de cesélections municipales de 2001 et des succès remportés par la gauche auxélections régionales,cantonales eteuropéennes de 2004, il souligne la part du vote populaire et prône de ce fait une grande attention du PS à cet électorat[13].
C'est sur la base du constat que l'« on ne dirige ni une ville ni un pays replié sur son camp »[14][source insuffisante] que François Rebsamen se déclare « favorable » à des alliances avec leMoDem pour lesélections municipales de 2008. Il déclare alors que « les candidats présentés par leParti socialiste doivent chercher le rassemblement le plus large […] sur la base de propositions communes ».

Le, il est réélu maire de Dijon dès le premier tour des élections municipales avec 56,22 % des suffrages exprimés face notamment au candidat de ladroite : François-Xavier Dugourd (36,44 %). Il lance le projet de construction d'untramway de Dijon, voté à l'unanimité par leconseil communautaire duGrand Dijon le[15] et inauguré en[16].
En 2007 et 2008, il est administrateur deDexia-Crédit Local de France et démissionne quelques jours avant la faillite de cette banque qui aura nécessité un apport de 3 milliards d'euros de l'État (seule banque française ou en partie française à avoir bénéficié d'un apport en capital de l'État et non pas simplement d'un prêt ou d'une garantie). D'après l'Express, François Rebsamen aurait démissionné de son siège d'administrateur de la banque soutenue par l'argent public après queLe Canard enchaîné eut révélé le montant de ses jetons de présence, 20 000 euros en 2007[17].
Le, il devientsénateur de laCôte-d'Or[18], premier sous l'étiquette socialiste depuis 1948. Il démissionne alors de son poste de conseiller général du canton de Dijon-5. Au Sénat, il est membre de lacommission des finances, du contrôle budgétaire et des comptes économiques de la Nation. Après lesélections sénatoriales du et l'élection le suivant deJean-Pierre Bel à la présidence de laHaute Assemblée, François Rebsamen est choisi pour lui succéder à la tête dugroupe socialiste au Sénat.
En 2012, alors que le gouvernement entend faire respecter sa proposition faite lors de lacampagne présidentielle d'interdire lecumul des mandats, François Rebsamen s'y oppose arguant le statut spécifique de sénateur[19]. Legouvernement Jean-Marc Ayrault, par son porte-parole et son Premier ministre, répond qu'il n'y aura pas d'exception[20]. François Rebsamen annonce cependant que si la loi sur le non-cumul était votée, il choisirait d'être maire deDijon[21].
Au terme du second tour desélections municipales de Dijon le, la liste qu'il mène arrive en tête avec 52,84 % des suffrages exprimés face à la listeUMP d'Alain Houpert (34,02 %) et celle duFront national d'Édouard Cavin (13,13 %). Cette victoire lui vaut son troisième mandat à la mairie de la ville[22].
Il est nomméministre du Travail, de l'Emploi et du Dialogue social le dans legouvernement Manuel Valls[23]. Cette désignation l'amène à renoncer au poste demaire de Dijon qu'il occupait depuis. Le, son premier adjoint sortant,Alain Millot, est élu maire de la ville[24]. En, il avance que l'échec dans lalutte contre le chômage n'est pas uniquement dû au « gouvernement »[25]. Prévoyant à de nombreuses reprises entre 2014 et 2015 un recul du chômage, il doit constater son aggravation[26],[27]. Mi-2015, il porte un projet de loi sur ledialogue social, qui contient notamment le passage de 17 à 3 cas obligatoires d'information et de consultation ducomité d'entreprise, une représentation pour les salariés des TPE et la fusion durevenu de solidarité active et de laprime pour l'emploi[28].

Le, après la mort d'Alain Millot, maire de Dijon, il annonce qu'il briguera en août sa succession, ce qui implique son départ du gouvernement[29]. Le, il est réélu maire de Dijon puis démissionne de ses fonctions ministérielles lors du conseil des ministres de rentrée le. Son passage au ministère du travail est considéré comme un échec sévère en matière de lutte contre le chômage[30], ce qui lui vaut le sobriquet de « ministre du chômage »[31],[32]. Le, il se voit proposer le poste de ministre de l'Intérieur, qu'il refuse[33], et préfère rester maire de Dijon.
Atteint d'un cancer, il annonce le, par un communiqué de presse, qu'il ne pourra pas assumer pleinement les présences officielles liées à ses fonctions de maire et de président de la métropole durant les périodes de traitement. Il confie alors la mission d'assurer ses intérims àNathalie Koenders pour la ville et àPierre Pribetich pour la métropole[34],[35],[36],[37]. Il fait son retour le à l'université d'été du PS, assurant avoir terminé ses traitements, où il prononce le discours d'accueil du séminaire de laFédération nationale des élus socialistes et républicains, qu'il préside[38].
Lesélections municipales de 2020 à Dijon se présentent dans un contexte inédit, oùEurope Écologie Les Verts fait le choix de présenter une liste indépendante de celle de la majorité, menée par Stéphanie Modde, alors adjointe chargée de l'écologie urbaine depuis 2014[39]. Dans un scrutin marqué par la crise sanitaire due à lapandémie de Covid-19 (le second tour est reporté du au), se caractérisant par une forte abstention (35,9 % de participation au premier tour puis 33,4 % au second)[40], la liste menée par François Rebsamen « Dijon c'est capitale » l'emporte lors d'une triangulaire contre les écologistes et la liste d'union de la droite. Au terme de ces élections, la composition du Conseil municipal ne change pas : 43 sièges pour la majorité, 6 élus verts et 10 sièges pour la droite[40]. François Rebsamen est réélu maire le[41].
Le, il annonce qu'il ne se représente pas aux prochaines élections municipales[42].
Le, il annonce quitter son poste de maire au et souhaite voir sa première adjointe,Nathalie Koenders, lui succéder. Il reste cependant président de la Métropole[43]. Le, il fait voter une augmentation de son indemnité de près de 25 000 € annuels pour la porter au maximum de ce qui est permis par la loi[44].

En 1997, il est nommé secrétaire national duParti socialiste[45] aucongrès de Brest, et devient le numéro 2 du Parti socialiste derrière son amiFrançois Hollande.
Il est à ce titre directeur de la campagne des élections régionales et cantonales en, puis de la campagne duréférendum interne en décembre de cette même année sur le traité institutionnel européen et enfin de la campagne pour le oui au référendum national de 2005.
En juin, puis en, bien que chargé des élections internes au sein de la direction du parti, il demande àJack Lang etDominique Strauss-Kahn de retirer leur candidature à l'investiture socialiste, et soutient explicitementSégolène Royal. Après le dépôt des candidatures, et le renoncement de François Hollande, François Rebsamen devient officiellement un partisan deMme Royal. Il fait partie de son équipe restreinte de campagne, en tant que codirecteur de campagne, avecJean-Louis Bianco.
En amont ducongrès de Reims (75e congrès du Parti socialiste) de, il est nommé président de la commission de révision des statuts du Parti socialiste. Il est le deuxième signataire, derrière Ségolène Royal, de la consultation participative appelant les militants et les sympathisants socialistes à répondre à dix questions pour l'avenir de la France et de leur parti[46]. Il est également signataire de la motion E dont le premier signataire estGérard Collomb et le chef de file Ségolène Royal. Il défend alors un renouveau des dirigeants du parti socialiste.
Le, il est désigné à l'issue du Bureau national du Parti socialiste président de laFédération nationale des élus socialistes et républicains (FNESR)[47]. En 2017, aux côtés de Marie-Guite Dufay (présidente de la Région Bourgogne-Franche-Comté) et de François Patriat (Sénateur de côte d'or), François Rebsamen signe une tribune lancée par des élus PS et divers gauche pour soutenir la candidature d'Emmanuel Macron. En 2018, il soutient la candidature deStéphane Le Foll pour lecongrès d'Aubervilliers du PS[48].
Il critique vivement en 2021 la direction du PS et sa stratégie « proche du néant », fustigeant à l'approche desélections régionales les alliances avec lesécologistes, qu’il considère « radicaux », et le soutien à la candidature d’Audrey Pulvar enÎle-de-France. Il se déclare en revanche favorable à un rapprochement avec le parti présidentielLREM « pour faire barrage auRN »[49].
Le 17 septembre 2021, il démissionne de la présidence de la FNESR, estimant que« le PS est un parti sectaire » et demandant un« débat » sur la candidature présidentielle d'Anne Hidalgo[50].
Bien que rallié à Emmanuel Macron depuis la dernière présidentielle, le maire de Dijon a pu voter au congrès socialiste[51].
| Fédération progressiste | |
Logotype officiel. | |
| Présentation | |
|---|---|
| Président | François Rebsamen |
| Fondation | |
| Scission de | Parti socialiste[52] |
| Siège | 15rue Lisfranc 75020Paris[53] |
| Fondateurs | François Rebsamen Juliette Méadel[52] |
| Vice-président | David Kimelfeld[54] |
| Positionnement | Centre[55] àgauche[56],[57],[58] |
| Idéologie | Social-libéralisme Progressisme Europhilie[réf. nécessaire] |
| Affiliation nationale | Ensemble(depuis 2022) La Convention(depuis 2025) |
| Couleurs | Rouge etviolet |
| Site web | federationprogressiste.com |
| modifier | |
En, François Rebsamen annonce son intention de voter pourEmmanuel Macron à l'élection présidentielle[59]. Par la suite, il initie un nouveau parti, Fédération progressiste, aux côtés d'autres personnalités issues du Parti socialiste commeOlivier Klein,Juliette Méadel,Patrice Vergriete,Thierry Repentin,David Kimelfeld,Joaquim Pueyo ou encorePascal Terrasse.
Fédération progressiste rejoint la coalitionEnsemble, qui regroupe lamajorité présidentielle d'Emmanuel Macron en vue de présenter des candidatures uniques lors desélections législatives de 2022[60],[61]. Elle obtient deux députés (Christine Decodts dans leNord etBenoît Bordat enCôte-d'Or) qui siègent au sein dugroupe Renaissance.
L'un de ses membres,Olivier Klein, est nommé leministre délégué chargé de la Ville etdu Logement dans legouvernement Élisabeth Borne. Il est remplacé le parPatrice Vergriete, lui aussi proche de la Fédération progressiste.
Le 23 décembre 2024, François Rebsamen est nommé ministre de l’Aménagement du territoire et de la Décentralisation au sein dugouvernement François Bayrou[62].
Il rejoint en juin 2025 « La Convention », le microparti deBernard Cazeneuve[63].
| Année | Parti | Commune | Position | 1er tour | 2d tour | Sièges (CM) | |||||
|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
| Voix | % | Issue | Voix | % | Issue | ||||||
| 1989 | PS | 34,81 | 2e | ||||||||
| 1995 | PS | Dijon | Tête de liste | 26,20 | 2e | 37,3 | |||||
| 2001 | UG | 17 365 | 42,16 | 1er | 23 330 | 52,14 | Élu | 42 / 55 | |||
| 2008 | 27 368 | 56,17 | Élu | 44 / 55 | |||||||
| 2014[64] | 20 825 | 44,27 | 1er | 24 646 | 52,84 | Élu | 46 / 59 | ||||
| 2020[65] | 11 101 | 38,24 | 11 746 | 43,51 | 43 / 59 | ||||||
François Rebsamen est membre de lafranc-maçonnerie[69] dans la loge Solidarité et progrès du Grand Orient de France à Dijon[70] depuis 1989[71].
Le, François Rebsamen est nommé au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur au titre de« conseiller général de la Côte-d'Or, maire de Dijon ; 24 ans de services civils et de fonctions électives »[72], puis fait chevalier le[73]. Il est promu au grade d'officier le au titre de« maire de Dijon, président de Dijon Métropole, ancien sénateur de la Côte-d'Or, ancien ministre »[73].
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