| François Maulmond | ||
| Naissance | Culan (Cher) | |
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| Décès | (à 65 ans) Montargis (Loiret) | |
| Origine | ||
| Arme | Infanterie | |
| Grade | Général de brigade | |
| Années de service | 1791 –1834 | |
| Distinctions | Commandeur de la Légion d’honneur Chevalier de Saint-Louis | |
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François Maulmond, né le àCulan (Cher), mort le àMontargis (Loiret), est ungénéral français de la Révolution et de l’Empire.
Fils de chirurgien, il épouse en 1791 sa cousine, Marie-Adélaïde Dubuisson[1]. Il est atteint d’un coup de feu à la cuisse gauche[2] à l’affaire de Wintenhausen, 13 juin 1800. Franc-maçon, il est orateur de la loge "Les Enfants de Bellone" en 1805[3]. Il devient maire[3] deFerrières-en-Gatinais après son départ de l'armée.
Il entre en service le, comme sergent au1er bataillon de volontaires du Cher, il passe sous-lieutenant le, et lieutenant le suivant aubataillon de grenadiers volontaires de l'armée des Ardennes. Il fait la campagne de 1792, à l’armée des Ardennes, et celle de 1793 à l’armée de la Moselle. Il est nommé capitaine le, et le, il quitte l’armée pour cause de mauvaise santé.
Il reprend du service à l’armée du Rhin le, en tant que capitaine au1er bataillon auxiliaire du Cher, et le, il est incorporé dans le50e régiment d’infanterie. Il est fait chevalier de laLégion d’honneur le.
De 1805 à 1807, il fait les campagnes d'Autriche, dePrusse et de Pologne. Il est promu chef de bataillon le, au59e régiment d’infanterie de ligne, et il est élevé au grade d’officier de la Légion d’honneur le.
En 1808, il est affecté à l’armée d’Espagne, et il passe adjudant commandant le, à l’état-major de l’armée du Portugal. Il est nommé colonel le, au105e régiment d’infanterie de ligne, et il est fait commandeur de la Légion d’honneur le. En 1814, il participe à lacampagne de France, au sein du7e corps d’armée, et il est promugénéral de brigade le.
Lors de lapremière restauration, le roiLouis XVIII, le nommechevalier de Saint-Louis, le, et le place en non activité à compter du suivant.
Pendant lesCent-Jours, il reprend du service comme commandant du département duGard le. Placé en non activité à laseconde restauration, il est admis à la retraite le.
Il meurt le, à Montargis.