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Fort Jesus

4° 03′ 46″ sud, 39° 40′ 47″ est
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Fort Jesus
Image illustrative de l’article Fort Jesus
Plan du fort dressé par João Teixera auXVIIe siècle
Nom localFort Jesus
Période ou styleTracé à l'italienne
TypeFort
ArchitecteGiovanni Battista Cairato
Début construction
Fin construction1596
Propriétaire initialPhilippeIer de Portugal
Destination initialePlace forte
Propriétaire actuelÉtat kényan
Destination actuelleMusée
ProtectionMonument national(1969)
Patrimoine mondial Patrimoine mondial(2011)
Coordonnées4° 03′ 46″ sud, 39° 40′ 47″ est
PaysDrapeau du KenyaKenya
Subdivision administrativeComté de Mombasa
LocalitéMombasa
Patrimoine mondial Patrimoine mondial
Nom du BienFort Jesus, Mombasa
Numéro
d’identification
1295rev
Année d’inscription
Critères(ii)(d) et (v)(d)
Géolocalisation sur la carte :Mombasa
(Voir situation sur carte : Mombasa)
Fort Jesus
Fort Jesus
Géolocalisation sur la carte :Kenya
(Voir situation sur carte : Kenya)
Fort Jesus
Fort Jesus
Site webhttp://www.museums.or.ke/content/blogcategory/48/76/
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Lefort Jesus est un fort érigé entre1593 et1596 par lesPortugais, sur l'île deMombasa, sur ordre du roi d'Espagne et dePortugalPhilippe II le Prudent[renvoi 1] afin de protéger l'entrée duport, établi sur l'île, contre les incursions incessantes desOttomans. Son nom provient du fait que laflotte portugaise naviguait sous le drapeau de l'ordre du Christ.

Son activité militaire aura duré plus de trois cents ans. Il est inscrit, par l'UNESCO, aupatrimoine mondial en tant que bien culturel depuis2011[1].

Description

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Le « passage des arches » venant de la mer

Les travaux débutèrent le pour s'achever en1596. C'est un des plus beaux exemples de l'architecture portugaise duXVIe siècle.
Construit sur une arêtecorallienne située sur le côté est de l'ile, le plan est unrectangle muni d'un cavalier[renvoi 2] servant dedonjon[renvoi 3], surplombant uneesplanade fortifiée au nord-est (côté mer), et de quatrebastions. Ces derniers ont pour nomSanto Felipe,Santo Alberto,Santo Mathias etSanto Mateus. Vu du ciel, le fort ressemble à lasilhouette d'un homme avec le cavalier tenant lieu de tête et les quatre bastions des bras et jambes. Ses dimensions maximales sont de 130 m sur 99.
L'entrée principale, située au nord-ouest, est protégée par le bastionSanto Mathias.
Sous le cavalier se trouve un passage vouté, appelé « passage des arches » (passage of the arches) aboutissant à l'esplanade et qui servit, au temps de l'
hégémonie des Ottomans, à transférer lesesclaves vers les bateaux et, à partir de1895, d'entrée pour lesprisonniers condamnés par la justice britannique.

Dans leglacis nord-ouest poussent desCycadales à feuilles palmées dont certains ont plus de 300 ans - donc aussi vieux que le fort - et dont l'ordre est apparu sur terre voici 250 Ma d'années.

Inscriptions

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Portugaises

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Écriteau traduisant, en anglais, l'inscription surmontant la porte d'entrée

Au-dessus de l'entrée principale une inscription, incomplètement lisible :

« Reinando em Portugal Phellipe de Austria o primeiro... por seu mandado (foi fundada esta?) fortaleza de nome Jesus de Mombaca aomze dabril de 1593 (sendo?) Visso Rei da India Mathias Dalboquerque (e capitão mor?) Matheus Mendes de Vasconcellos que pasou com armada e este porto (e sendo?) arquitecto mor da India Joao Bautista Cairato servindo de mestre das obras Gaspar Rodrigues. »

qui peut être complètement traduite par :

« Quand Philippe d'Autriche régnait en tant quePhilippeIer de Portugal... cette forteresse a été érigée par son commandement sous le nom de Jesus de Mombasa le 11 avril 1593. En ce temps Mathias d'Albuquerque étaitvice-roi desIndes. Lecapitaine du donataire Mathieu Mendes de Vasconcellos est arrivé avec sa flotte dans ce port accompagné du grandarchitecte des Indes Jean-Baptiste Cairato et Gaspard Rodrigues servant commemaître d'œuvre. »

Deux autres inscriptions gravées concernent les rénovations et aménagements apportés à l'édifice en1635 par le gouverneur Francisco de Seixas Cabreira et en1648 par le gouverneur Antonio da Silva de Menezes.

Sur la plateforme du bastionSanto Mateus se trouvaient desgraffitis tracés avec ducharbon de bois auXVIIe siècle par des soldats portugais et montrant des scènes de bataille ou de la vie courante. Ils ont été déplacés et sont exposés dans une salle du musée.

Britanniques

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Inscription rappelant la prise du fort par les Britanniques et surmontant une porte sculptéeswahilie

Cette inscription est visible dans la cour et concerne la prise de possession du fort par les Britanniques :

« British East Africa Protectorate
Proclaimed 1th July 1895
A.H.Hardinge ESQCB
Commissioner
 »

qui peut être traduite par :

« Le Protectorat de l'Afrique orientale britannique
a été proclamé le1er juillet 1895
A.H. Hardinge ESQCB
commissaire
[renvoi 4] »

Autres fortifications

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Localisation des défenses portugaises

Au fur et à mesure du temps, les Portugais consolidèrent la position défensive par la construction d'autres ouvrages fortifiés de plus petites tailles :

d'une dimension de 15x15m et complété par deux tours chacune distantes d'environ 120 m du fort principal. Ce complexe défendait le seul accès à l'ile au départ du continent. Cet accès était constitué d'un minceisthme de sable. Détruites entre 1900 et 1920, leurs fondations ont été retrouvées en juillet 2006 ;

fortification en forme de fer à cheval située à 100 m des ruines de la chapelle portugaise deNossa Senhora das Merces d'où son2e nom ;

appelé ainsi par sa présence sur l'actuelterrain de golf duMombasa Golf Club. Son autre nom provient du nom du bateau ottomanKaberas qui l'a bombardé ;

très petite fortification, très bien préservée, en forme de « fer à cheval » d'où son nom deHorse shoe ;

aussi appeléRound fort ouHexagonal fort dont tous les vestiges ont complètement disparu.

Histoire

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1498 à 1593

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Le,Vasco de Gama découvre l'ile deMombasa lors de son1er voyage vers lesIndes[renvoi 6].

En1505, les troupes portugaises de Francisco d'Almeida's attaquent et saccagent le village de Mombasa.

En1528, les Portugais saccagent à nouveau Mombasa pour, enfin prendre lamaitrise de la côteest africaine avant que ne débutent les incursions desKamba venus de l'intérieur puis lesraids ottomans sur la côte swahilie en1585 et1589. Ce dernierraid est, selon certaines chroniques portugaises, fortuitement conjugué avec l'arrivée, en pleinebataille, de Zimba[renvoi 7] qui suivent et pillent la côte depuisPemba en direction du nord.
Tous ces évènements leur font prendre conscience de l'importance de mieux protéger leurs possessions situées au nord de la côte swahilie.

En1591, le roi de Portugal autorise la construction d'un fort sur l'ile de Mombasa.

1593 à nos jours

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Les travaux du fort Jesus sont initiés en1593 sous la direction de l'architectemilanais Giovanni Battista Cairato puis est créé, en1594, uncomptoir qui vient s'ajouter à ceux deSofala plus au sud[2] et deMalindi plus au nord. Mombasa devient, alors, le plus importantcentre de commerce portugais de cette côte ce qui pousse le capitaine du donataire Mathieu Mendes de Vasconcellos d'en faire sa résidence, délaissant ainsi Malindi.

Les relations entre les Portugais et le sultan de Mombasa Muhammad Yusuf se dégradent rapidement après le départ de Mathieu Mendes de Vasconcelos. Le, le sultan attaque, par surprise, la garnison du fort qui est massacrée tout comme la population portugaise de Mombasa (45 hommes, 35 femmes et 70 enfants). Les Portugais envoient une expédition pour reconquérir la place mais abandonnent après deux mois d'unsiège qui aura duré du10 janvier au. Le16 mai de la même année, Muhammad Yusuf abandonne Mombasa pour devenirpirate. Le5 août suivant, une petite troupe portugaise commandée par lecapitaine Pedro Rodrigues Botelho, et venue deZanzibar, atteint Mombasa et réoccupe le fort. Cette occupation dure jusqu'endécembre1698 et permet en1635 et1648 d'effectuer d'importants travaux de rénovation et d'aménagement.

En, les troupes du sultan d'Oman, Sultan bin SaifIer, saccagent la ville mais n'osent pas s'attaquer au fort.
Le, une nouvelle expédition omanaise, ordonnée par Saif
Ier bin Sultan[renvoi 8], atteint Mombasa et entreprend lesiège du fort. Malgré une tentative de rompre leblocus, entreseptembre et, par lesfrégates portugaisesSanto António de Tanna etNossa Senhora do Vale, le siège perdure jusqu'à l'attaque décisive du alors que la garnison est réduite à un capitaine, neuf soldats et un prêtre[renvoi 9]. Le20 décembre suivant, une flotte portugaise parvient au large de Mombasa mais il est trop tard. Avec la conquête du fort, toute la côte deZanguebar tombe sous la domination des sultans d'Oman.

Cette domination persiste jusqu'à l'arrivée de laCompagnie britannique impériale d'Afrique de l'Est à la fin duXIXe siècle malgré la brève reprise du fort par les Portugais entre le et le grâce à unemutinerie de lagarnison et malgré l'occupation de la position par lessultans de Zanzibar entre1837 et1895.

LesBritanniques prennent possession du fort le et le transforment enprison jusqu'en1935. En1958, il devient parc national puismusée accessible au public en1962 géré par lesmusées nationaux du Kenya[renvoi 10].

Depuis le, leKenya est devenu indépendant et le musée est toujours géré par les musées nationaux du Kenya devenus institution publique kényane[3].
Une unité demalacologie de l'institut de recherche sur les primates (Institute of Primate Research) deNairobi est également basée dans le fort et concentre ses études sur le contrôle de la santé desmollusques à coquille prélevés aux alentours de Mombasa.

Chronologie de l'occupation

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Protection

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Fort Jesus, Mombasa *
PaysDrapeau du KenyaKenya
Subdivisioncomté de Mombasa
Numéro
d’identification
1295
Année d’inscription (35e session)
Typeculturel
Critères(ii) (v)
Superficie2,36 ha
Zone tampon31 ha
Autres protectionsMonument national (1969)
RégionAfrique **
* Descriptif officiel UNESCO
** Classification UNESCO
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Monument national

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  • Le, les fortsJesus etSanto Joseph ainsi que le passage souterrain qui les relie sont classés comme « monuments protégés » par les Britanniques[4] ;
  • le, le fort Jesus devient « monument ancien » et accessible au public[5] ;
  • le, il est déclaré « parc national »[renvoi 11] ;
  • le, le ministre des Ressources naturelles du Kenya notifie le fort et une superficie de 57acres anglo-saxonnes qui l'entoure comme « monument national »[6] ;
  • le, l'unité officielle de référence pour la mesure de la superficie classée passe de l'acre anglo-saxonne à l'hectare. On ne dit plus 57 acres mais23,06 ha[7] ;
  • le, l'épave de lafrégate portugaiseSanto António de Tanna qui git, depuis le par 17 m de fond face au fort, est à son tour classée comme « monument national »[8].

Patrimoine mondial

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L'UNESCO inscrit, en2011, le fort, les douves et la zone immédiatement avoisinante, soit2,36 ha, sur la liste dupatrimoine mondial en tant que bien culturel.

Musée

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Outre l'accès aux fortifications, le visiteur peut découvrir un musée construit entre1960 et1962 grâce à des fonds de laFondation Calouste-Gulbenkian et qui a remplacé une partie des cellules de la prison britannique.

Une partie descollections provient de lafrégateSanto António de Tanna. Ces pièces sont constituées essentiellement depoteries encéramique d'Afrique et d'Inde, deporcelaines de Chine, dejarres et divers objets ayant appartenu à l'équipage.
Une autre partie provient de différents sites defouille sur la côte kényane.
Également exposés, des équipements militaires arabes, des instruments de musique et, dans la cour, une série decanons de marine desXVIIIe etXIXe siècles. Dans le petit parc jouxtant l'entrée du fort se trouve un canon de 105 mm provenant ducroiseur léger de lamarine impériale allemandeSMS Königsberg.

En2009, le fort Jesus a accueilli 167 733 visiteurs[9], ce qui, depuis 2002 et après le musée national deNairobi, en fait le deuxième musée le plus visité au Kenya.

En2011, il a reçu la certificationISO 9001:2008.

Galerie média

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  • Le bastion Santo Mathias et l'entrée principale
    Le bastionSanto Mathias et l'entrée principale
  • L'enceinte vue de la plate-forme côté mer avec l'esplanade fortifiée à gauche
    L'enceinte vue de la plate-forme côté mer avec l'esplanade fortifiée à gauche
  • La cour intérieure avec les ruines de la chapelle à droite et le musée à gauche.
    La cour intérieure avec les ruines de la chapelle à droite et le musée à gauche
    .
  • Détail.
    Détail
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  • Autre détail.
    Autre détail
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  • Autre détail.
    Autre détail
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  • Porte sculptée.
    Porte sculptée
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  • Vue vers la vieille ville depuis le cavalier qui surplombe l'esplanade fortifiée.
    Vue vers la vieille ville depuis le cavalier qui surplombe l'esplanade fortifiée
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  • Cycadales dans les glacis du fort.
    Cycadales dans les glacis du fort
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  • Dessin du fort par W.F.W. Owen en 1833.
    Dessin du fort parW.F.W. Owen en 1833
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  • Passages dans le fort Jesus. Novembre 2020.
    Passages dans le fort Jesus. Novembre 2020.
  • Maquette de bateau exposée à fort Jesus. Novembre 2020.
    Maquette de bateau exposée à fort Jesus. Novembre 2020.

Renvois et références

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Renvois

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  1. Philippe II d'Espagne (règne de 1556 à 1598) et Philippe1er de Portugal (règne de 1580 à 1598) sont la seule et même personne.
  2. Dans une forteresse, le cavalier est le bâtiment dominant, duquel l'observation et l'artillerie peuvent œuvrer
  3. Le terme « donjon » est ici à prendre dans son sens de dernier refuge.
  4. Commissaire équivaut à un titre de gouverneur nommé par élection (gubernatorial chief British official).
  5. L'orthographe portugaise estMacupa devenueMakupa enswahili et ultérieurement en anglais.
  6. L'endroit du débarquement de Vasco de Gama à Mombasa est marqué d'une stèle commémorative (4° 03′ 40,76″ S, 39° 41′ 03,87″ E)
  7. Les zimba seraient originaires duRoyaume maravi. L'auteur Svat Soucek (voir le titre « Bibliographie ») rapporte que les récits portugais décrivent les Zimba commeanthropophages. Les traditions orales des populations locales (Kamba, Digo ouGiryama) ou les écrits swahilis ne rapportant rien de concret sur cet épisode, il doit s'agir d'un fait ponctuel.
  8. SaifIer bin Sultan (règne de 1692 à 1711) est le2e successeur de Sultan bin SaifIer (règne de 1649 à 1688).
  9. Les huit derniers défenseurs se rendent le 13 décembre 1698 à 7h du matin dès que le capitaine fut tué par les assaillants.
  10. L'appellationNational Museums of Kenya est le nouveau nom donné en 1960, au Kenya, auEast Africa and Uganda Natural History Society créé en 1910
  11. The Kenya Gazette (le journal officiel de la république du Kenya), dans ses notifications, et lesNational Museums of Kenya, sur leur site Web, écriventNational Park alors qu'une plaque commémorative apposée à l'entrée du fort et offerte par l'ambassade du sultanat d'Oman renseigne erronément la mentionNational Monument

Références

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  1. La page consacrée au fort Jesus sur le site de l'UNESCO[(fr) lire en ligne]
  2. Malyn D. D.Newitt,A history of Mozambique, Indiana University Press,, 679 p.(ISBN 0-253-34006-3,lire en ligne), Chapitre I,p. 18,The Portuguese come to Sofala(en)
  3. La page Web des musées nationaux du Kenya concernant le musée de Fort Jesus[(en) lire en ligne]
  4. The Kenya Gazette du1er mars 1929[(en) lire en ligne]
  5. The Kenya Gazette du1er mai 1935[(en) lire en ligne]
  6. The Kenya Gazette du 29 janvier 1969[(en) lire en ligne]
  7. The Kenya Gazette du 31 mai 1970[(en) lire en ligne]
  8. The Kenya Gazette du1er janvier 1977,p. 40, noticeno 117[(en) lire en ligne]
  9. Kenya National Bureau of Statistics,Statistical Abstract 2010,p. 42, table 23.

Sources et bibliographie

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Source

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  • Fortaleza de Jesus e os Portugueses em Mombaça 1593-1729 par Charles Ralph Boxer et Carlos de Azevedo
en portugais, 144 pp., 6 cartes. Centro de Estudos Historicos Ultramarino, 1960, Lisbonne, Portugal. Histoire de Mombasa sous la domination portugaise et description de fort Jesus,
traduit en anglais sous le titreFort Jesus and the Portuguese in Mombasa, 1593-1729, Hollis & Carter, 1960, Londres, Angleterre

Bibliographie

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en anglais, 88 pp. East African Literature Bureau, 1950, Nairobi, Kenya
réédition en 1970, 79 pp. ;
  • Fort Jesus: a Portuguese fortress on the East African coast par James S. Kirkman
en anglais, 327 pp., 38 cartes. Oxford University Press, 1974, Londres, Angleterre. Description détaillée du fort d'un point de vue archéologique ;
  • Fort Jesus of Mombasa par William A. Nelson
en anglais, 84 pp. Canongate Press, 1994, Édimbourg, Royaume-Uni(ISBN 0-8624-1393-1).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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