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En pratique :Quelles sources sont attendues ?Comment ajouter mes sources ?| Football à Paris | ||
LaTour Eiffel, symbole de Paris, est présente sur les logotypes duParis Atletico, duParis FC et duParis SG | ||
| Généralités | ||
|---|---|---|
| Sport | Football | |
| Pays | ||
| Villes ou région | Ville deParis et sapetite couronne | |
| Rivalité | Derby parisien | |
| Situation actuelle | ||
| Ligue 1 | Paris FC,Paris SG | |
| Ligue 2 | Red Star FC | |
| National | Paris 13 Atletico | |
| Localisation des clubs | ||
| Géolocalisation sur la carte :Paris et de lapetite couronne | ||
| modifier | ||
Lefootball àParis a débuté à la fin duXIXe siècle et a été marqué par plusieurs rivalités.
Parmi les premiers clubs français, créés au début des années 1890, nombreux sont ceux basés à Paris : leClub français, fondé par des Français, leStandard AC etThe White Rovers, créés par des Britanniques. Ces deux derniers jouent en 1894 la finale du premierchampionnat de Paris, disputé dès lors chaque année sous l'égide de l'USFSA. Les rivalités se nourrissent de ces compétitions annuelles et se développent rapidement devant le succès populaire rencontré dans la capitale.
Après laPremière Guerre mondiale, le football français s'unit et reprend son développement. Paris compte alors plusieurs des principaux clubs français, qui se disputent les honneurs du championnat de Paris et de la nouvelleCoupe de France, dont les six premières éditions sont remportées par des clubs parisiens : leRed Star et l'Olympique de Paris (basés au nord deParis et qui fusionnent en 1926), leCercle athlétique de Paris situé à l'est de la capitale, leClub français évoluant dans l'ouest de la ville, et les sections football de trois grands clubs omnisports parisiens, à savoir leCASG, leStade français et leRacing Club de France basé àColombes sous le nom deRacing Club de Paris. En 1932-1933, lors du premier championnat de France de football, quatre clubs parisiens adoptent le statut professionnel nécessaire à leur inscription : le Red Star, le CA Paris, le Racing et le Club français. Ils sont rejoints l'année suivante par l'US Suisse. L'entre-deux-guerres marque pourtant la fin de la prédominance parisienne sur le football national, et la disparition progressive de tous ces clubs, qui connaissent les uns après les autres de graves difficultés financières. LeRacing, leRed Star et leStade français sont tour à tour les seuls représentants de Paris en première division, sans cependant remporter le moindre titre.
A la fin des années 1960, leStade français descend en deuxième division, comme son voisin duRacing l'avait fait quelques années auparavant. Seul subsiste unRed Star moribond dont l'image est associée à la banlieue nord deParis. La capitale française n'a plus aucun représentant au sein de l'élite, fait rare pour une ville de l'importance deParis enEurope et dans le monde. En 1969, laFédération française, inquiète de la fragilité des clubs parisiens, lance un projet de nouveau club baptisé « Paris Football Club ». Ce projet conduit à la fondation duParis FC mais aussi duParis Saint-Germain, à la suite d'une fusion-scission avec leStade Saint-Germain. Le PSG est devenu depuis le milieu des années 1970 le seul club francilien évoluant dans l'élite, à l'exception duRacing CF sous les éphémères appellationsMatra Racing etRacing Paris 1 dans les années 1980, reléguant toute rivalité régionale dans les divisions inférieures.
Depuis la fin des années 1990, avec la construction puis l'ouverture duStade de France, la création d'un2e grand club sur Paris intra-muros et sa proche banlieue, capable de rivaliser avec le PSG, est unmarronnier dufootball français. En 2015, leParis FC et leRed Star rejoignent laLigue 2 avec plus ou moins de réussite, mais laissent augurer de nouvelles rivalités régionales surParis et sa région.
En 2025, leParis FC est promu enLigue 1 et rejoint leParis Saint-Germain 46 ans après sa dernière présence au plus haut niveau[1]. Cela faisait 35 ans qu'il n'y avait plus eu de derby parisien dans l'élite[2].

La première édition duChampionnat de France de l'USFSA d'avril-mai 1894 ne met que cinq clubs en compétition, dont leStandard Athletic Club, lesWhite Rovers, leClub français, Neuilly et Asnières. La première édition jouée sous forme de championnat à lieu en1896. Elle compte neuf clubs de Paris et sa banlieue : lesWhite Rovers, leStandard AC, leClub français, Neuilly, Asnières, l'Union sportive suisse de Paris,Paris Star, et l'UA1er arrondissement et l'United Sports Club.
Meilleure illustration de la multiplication des clubs, trois divisions sont mises en place à Paris dès1897. Cette même année, le Paris Star initie l'organisation d'une coupe nationale réservée aux clubs n'alignant pas plus de trois joueurs étrangers, laCoupe Manier. UneCoupe Dewar, ouverte à tous sans restriction, est immédiatement créée en réaction.[réf. nécessaire]

Le, quatre clubs dissidents de l'USFSA, à savoir leCercle athlétique de Paris, leRed Star Amical Club, l'Union sportive suisse de Paris etParis Star[3] fondent laLigue de Football Association. Ces clubs quittent l'USFSA car elle leur interdit de participer auTrophée de France.Jules Rimet quitte son poste de président du Red Star pour prendre la présidence de la LFA nouvellement créée[4].

La premièreCoupe de France a vu 9 clubs franciliens passer le cap des seizièmes de finale. Elle a été remportée par l'Olympique sur le score de trois buts à zéro face au FC Lyon, notamment grâce à un doublé du parisienÉmile Fiévet, qui devient le premier buteur en finale de Coupe de France[5]. L'édition suivante voit un succès équivalent de la part des clubs parisiens et voit l'organisation d'une finale 100 % parisienne entre leCA Sports généraux, club fondé en 1903, et l'Olympique. Devant près de 10 000 spectateurs, le CASG s'impose par trois buts à deux après prolongation.
LaLigue parisienne de football association est fondée en 1919. Lors de la première édition, en 1920, leRed Star sort champion.

Durant cette période et cela après l'ouverture duParc des Princes le 18 juillet 1897, la plupart des stades parisiens sont construits. Dès 1900, lestade de la Porte-Dorée est utilisé par laNationale de Saint-Mandé, tout juste créée. Lestade de Charentonneau est construit pour leCA Paris et est conçus spécialement pour le football dès 1905. Le futurstade olympique de Colombes est ouvert pour sa part en 1907 et devient l'antre duRacing Club de Paris. Lestade de Paris, àSaint-Ouen utilisé par leRed Star, ouvre en 1909. Leur taille est conséquente : dès 1918, lestade Bergeyre, par exemple, peut accueillir 15 000 personnes.[réf. nécessaire]
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À l'époque de laLigue parisienne, leRed Star remporte trois titres, en 1920, 1922 et 1924. LeStade français réalise la même performance grâce à des victoires en 1925, 1926 et 1928. LeClub français remporte les deux titres de 1929 et 1930 et est égalé par leRacing Club de Paris qui remporte ceux de 1931 et 1932. L'Olympique et leCA Paris remportent tous deux un seul titre, à savoir celui de 1921 pour l'Olympique, et celui de 1927 pour les Capistes. Le championnat de 1923 n'est pas disputé.
En Coupe de France, sur les 11 titres mis en jeux, 6 sont remportés par des clubs parisiens, dont quatre par leRed Star, en 1921, 1922, 1923 et 1928.

L'année 1924 voit l'organisation desJeux olympiques d'été àParis. En football, l'équipe d'Uruguay gagne le tournoi olympique. Son milieu de terrain, José Andrade, éblouit les spectateurs parisiens par ses dribbles, ses changements de rythme et son élégance. Il est élu meilleur joueur du tournoi. Ces jeux offrent à Paris leStade olympique de Colombes, ex-stade du Matin (1907), qui est doté de 45 000 places dont 20 000 assises grâce au financement duRacing Club de France qui obtient 50 % des recettes des Jeux.

En 1932, quatre clubs parisiens participent aupremier championnat de France professionnel : leCA Paris, leRed Star, leClub français et leRacing Club de Paris. LeCA Paris gagne son premier match contre leFC Sochaux, mais malgré ces premiers succès, réalise une saison moyenne et finit cinquième sur dix clubs engagés. LeRed Star et leClub français sont eux relégués enDivision 2. Seul le Racing réalise une bonne saison, en finissant troisième du groupe A.
L'année suivante, l'US suisse obtient le statut professionnel et participe à la première édition duChampionnat D2. LeRed Star finit champion de D2, l'US Suisse déclare forfait général au bout de 19 rencontres, leRC Paris finit onzième sur quatorze clubs de D1, leCA Paris termine dernier de D1 et est relégué en D2, et leClub français termine douzième sur quatorze clubs de D2.
Le football parisien se relève néanmoins à travers la figure duRC Paris qui réalise de bonnes saisons, finissant troisième en 1934-1935, champion en 1935-1936, et à nouveau troisième en 1936-1937. Son rival en première division est alors leRed Star, qui réalise de moins belles performances en D1. Le CA Paris, quant à lui, réussit à se stabiliser en D2. EnCoupe de France, les débuts sont durs également, par exemple, en 1932, leCA Paris est éliminé en trente-deuxième de finale face aux amateurs de l'US Boulogne. En 1933-1934, aucun club ne passe le cap des huitièmes de finale.
LeRC Paris remporte cependant la finale de l'édition 1935-1936, qui a lieu dans sonstade olympique Yves-du-Manoir àColombes, le devant 39 275 spectateurs. Cette performance est réalisée grâce à un unique but, marqué à la67e minute parRoger Couard.
En1938-1939, leRC Paris remporte une deuxième finale de coupe de France. Cette dernière est jouée le à nouveau auStade olympique Yves-du-Manoir deColombes, face à l'Olympique lillois. Le RCP gagne par trois buts à un.
À la déclaration de guerre, les trois clubs professionnels parisiens évoluent ensemble en D1. LeClub français disparait en 1940.
Le 26 mai 1946, le Red Star Olympique dispute une nouvelle finale de Coupe de France, perdue 4-2 contreLille OSC (4-2) à Colombes devant 59 692 spectateurs.
En 1948, le Red Star fusionne avec le Stade français et devient le Stade français - Red Star, fusion qui s'avère malheureuse. Au bout de deux saisons médiocres, le Red Star abandonne le football professionnel. En 1952, le club réintègre le championnat de France de division 2 et retrouve son voisin d'Auteuil, leStade Français football devenu Stade Français FC.
Entre 1950 et 1953, leRC Paris frôle plusieurs fois la relégation et est finalement intégré au championnat D2 à l'issue de la saison 1952-1953.
Dans les années 1950-1960, le style offensif duRacing séduit les spectateurs duParc des Princes qui, avec 20 000 personnes de moyenne à chaque match, est de loin le stade le plus fréquenté du pays[6]. Le club ciel et blanc préférant évoluer au stade de laPorte de Saint-Cloud àAuteuil, plus proche de la capitale, plutôt qu'austade Olympique Yves-du-Manoir deColombes, un peu plus grand à l'époque, mais mal desservi par les transports en commun.
LeStade français, qui a obtenu le statut pro en 1942, le perd en 1968. LeRed Star perd son statut pro en 1960, le récupère en 1961, puis, parvenant à se sauver grâce à une fusion incongrue avec le Toulouse Football Club, le perd à nouveau en 1978. LeRC Paris, pour sa part, perd son statut pro en 1967, après avoir néanmoins réalisé de belles performances entre 1958 et 1962, finissant deux fois deuxième et deux fois troisième.
Au début des 1970, la capitale ne dispose d'aucun club en première division et lors de lasaison 1970-1971, leRed Star, basé àSaint-Ouen depuis des années, représente la banlieue et plus exactement le département de laSeine-Saint-Denis. Le Paris FC, créé en1969, essaye de devenir le nouveau grand club deParis intra-muros, mais cela échoue. Cependant, un nouveau club parisien arrive en D2, accompagné de deux autres: leParis Saint-Germain issu de la fusion en 1970 duStade Saint-Germain et duParis FC, leParis-Joinville ainsi que l’Entente Bagneaux-Nemours-Fontainebleau[7]. Sportivement, la première saison du club en D2 se termine par un titre de champion de France et une promotion en D1. À la suite de pressions de la mairie de Paris qui refuse de subventionner un « club banlieusard[8] », le club est scindé en deux en mai1972 : la section professionnelle passe sous les couleurs duParis FC et reste en D1, tandis que les amateurs duParis-Saint-Germain Football Club sont relégués enDivision 3, là où évoluait l'équipe réserve. Le mariage avec le PFC aura tenu moins de deux ans[9].

Cependant, le club amateur réalise deux montées consécutives et revient en D1 en 1974. Depuis, le parcours du club n'est entaché par aucune relégation: un record inégalé à ce jour, leParis-Saint-Germain étant le club le plus ancien de D1.
En parallèle, Paris-Joinville participe à la D2 de 1967 à 1969 puis de 1970 à 1972, et finit à la septième place de l'édition 1967-1968. Ce club atteint également les huitièmes de finale de la Coupe de France en 1967-1968. Enfin de 1970 à 1978 puis de 1981 à 1983, leRacing club de Fontainebleau, alors connu sous le nom d'Entente Bagneaux Fontainebleau Nemours, évolue en Division 2, et réalise notamment un très bon parcours en 1970-1971 où le club finit cinquième.
Au début des années 1980, l'industrielJean-Luc Lagardère et le groupeMatra reprennent la section football duRacing Club de France qui fusionne avec leParis FC, tout juste redescendu en Division 2, dans le but de redorer le blason ciel et blanc et de devenir le second grand club de football de la capitale avec le jeuneParis Saint-Germain, fondé en 1970. L'équipe professionnelle devient leMatra Racing puis leRacing Paris 1 et les amateurs repartent en Division 4 sous le nom deParis Football Club 83. Malgré les sommes investies, le club ne rencontre de succès ni sportif ni populaire auquel se rajoute de nombreux déboires financiers. Le dernier derby parisien en Division 1 s'est d'ailleurs joué entre leParis SG et leRacing CF de l'ère Matra[10], à l'avantage du PSG. En 1990, leRacing reprend le nom deRacing Club de France Football. Le club abandonne le professionnalisme et se retrouve en Division 3 avec leParis FC.
Dans les années 1990, la chaine de télévisionCanal+ investit dans leParis Saint-Germain et Michel Denisot devient vice-président[11]. Durant l'« ère Canal+ », le Paris Saint-Germain remporte unchampionnat de France (1994), cinqcoupes de France (1993,1995,1998,2004 et2006), deuxcoupes de la Ligue (1995 et1998), unecoupe d'Europe des vainqueurs de coupes (1996) et unecoupe Intertoto (2001). Pendant ce temps, leRed Star, seul club encore professionnel de la région parisienne avec lePSG, enchaîne mauvaise saison sur mauvaise saison en D2 et est relégué en National en 1999.
Au début desannées 2010, il n'y a à Paris qu'un seul club professionnel, c'est leParis Saint-Germain. Ensuite vient enNational, leParis FC, qui y végète à nouveau depuis 2006, après avoir fréquenté la troisième division pendant dix ans, de 1989-1990 à 1999-2000, et leRed Star, basé àSaint-Ouen depuis de longues années. LeRacing Club de France Football redevenu un tempsRC Paris puisRacing Club de France Football-Levallois 92 et aujourd'huiRacing Club de France football Colombes 92, évolue quant à lui enDivision d'Honneur au sein de la LigueParis Ile-de-France. Par ailleurs, on notera une performance exceptionnelle du Red-Star enCoupe de la Ligue de football, en 1999-2000. Ce dernier atteint les demi-finales, perdues, contre leFC Gueugnon, futur vainqueur de la compétition.

En 2011, leRed Star est promu en National en tant que troisième meilleur deuxième de CFA 2010-2011 et rejoint leParis FC présent dans le championnat depuis 2006. L'US Créteil-Lusitanos, club de la banlieue sud-est, qui avait passé quelques années en seconde division dans les années 2000, évolue aujourd'hui, enNational 2.
Lors de lasaison 2014-2015 de National, leRed Star et leParis FC terminent respectivement premiers et deuxièmes du classement, et montent en Ligue 2.Grâce à ces accessions, la capitale française renoue avec le professionnalisme multiple, qui avait disparu en 1992, avec l'abandon duRC Paris[note 1].
Depuis 2015, leParis FC et leRed Star effectuent l'ascenseur entre leNational et laLigue 2. Cependant ces deux clubs sont aujourd'hui les seuls à pouvoir représenter lefootball de haut niveau en région parisienne avec leParis Saint-Germain, actuellement en situation de monopole.
Lors de la saison 2024-2025, cinq clubs parisiens évoluent au haut niveau sportifs national. Trois de ces cinq clubs sont professionnels : leParis SG qui évolue en Ligue 1 ainsi que leParis FC et leRed Star qui évoluent en Ligue 2. LeFC Versailles et leParis 13 Atletico ne possèdent pas le statut professionnel et évoluent enNational.
Le, enLigue 2, leParis FC y reçoit son voisin duRed Star, remonté à ce niveau. Dans ce derby parisien, le Paris FC remporte la rencontre sur le score de (4-1) devant 17 748 spectateurs et établit un nouveau record d'affluence àCharléty[12].
| Club | Fondation | Période | Commentaire |
|---|---|---|---|
| Club français | 1892 | 1932-1934 | Premier club parisien fondé par des Français. Un des quatre premiers club parisien à passerprofessionnel en1932. Seulement 10 victoires en 42 matchs professionnels. Club disparu en 1935. |
| Racing Club de Paris | 1896 | 1932-1967, 1983-1990 | Un des quatre premiers club parisien à passerprofessionnel en1932. Le Racing Club de France créé une structure professionnelle sous le nom deRacing Club de Paris de 1932 à 1967. Redevenu amateur, le club récupère en 1983 la structure professionnelle duParis FC et retrouve le nomRC Paris de 1983 à 1987. Le club adopte ensuite les noms de Matra Racing de 1987 à 1989 puis de Racing Paris 1 de 1989 à 1990. |
| Red Star Football Club | 1897 | 1932-1948, 1952-1960, 1961-1978, 1992-2001, 2015-2017, 2018-2019, depuis 2024 | Club fondé àParis et situé depuis1909 austade Bauer àSaint-Ouen-sur-Seine en banlieue nord. Un des quatre premiers club parisien à passerprofessionnel en1932. |
| Cercle athlétique de Paris | 1906 | 1932-1963 | Un des quatre premiers club parisien à passerprofessionnel en1932. Évolue austade de Charentonneau àMaisons-Alfort au sud dubois de Vincennes. Seulement deux saisons en Division 1. Fusionne en 1964 avec le SO Charenton, situé au sud-est deParis et prend le nom de CAP-Charenton. Joue aujourd'hui austade Henri Guérin de Charenton. |
| Union sportive suisse | 1910 | 1934-1935 | Une seule saison en Division 2, déclare forfait à 5 matchs de la fin du championnat. |
| Stade français | 1900 | 1942-1968, 1981-1985 | Passeprofessionnel entre 1942 et 1968. Joue ses matchs à domicile auParc des Princes tout comme leRacing Club de Paris. |
| Paris Saint-Germain Football Club | 1970 | 1971-1972, depuis 1974 | Transfère en 1972 sa structure professionnelle auParis FC. Évolue auParc des Princes depuis 1974. |
| Paris Football Club | 1972 | 1972-1974, 1976-1983, depuis 2015 | Récupère en 1972 la structure professionnelle duParis Saint-Germain FC et absorbe leCA Montreuil situé en banlieue est. Transfère en 1983 sa structure professionnelle auRacing Club de France football. Évolue austade Déjerine à laPorte de Montreuil à l'est deParis, austade Charléty puis austade Jean Bouin depuis2025. |
De nos jours, leParis SG et leParis FC évoluent enLigue 1, suivis par leRed Star FC enLigue 2. Autrefois, notamment des années 1930 aux années 1960, plusieurs clubs parisiens évoluaient ensemble en D1 ou D2 (Racing CF Paris àColombes,Red Star àSaint-Ouen,Stade Français àAuteuil).
Encore récemment, les deux clubs évoluaient ensemble en CFA de 2007 à 2009. De 1999 à 2001, les deux clubs se sont également croisés en National (Troisième niveau footballistique français).
En des temps plus reculés, on notera quatorze saisons communes en D1 entre 1932 et 1949 dont quatre saisons de championnat de guerre. On remarquera d'autre part les saisons 1953-1954 et 1964-1965, où les deux clubs évoluent ensemble en D2.
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date | Buteur(s) pour le Red Star | Buteur(s) pour le RC Paris | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1934-1935 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 1-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1934-1935 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 2-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1935-1936 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 1-4[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1935-1936 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 4-1[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1936-1937 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 2-0[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1936-1937 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 2-4[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1937-1938 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 2-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1937-1938 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 2-1[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1940-1941 | D1 Zone occupée | Red Star-RC Paris | 3-0[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1940-1941 | D1 Zone occupée | RC Paris-Red Star | 0-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1941-1942 | D1 Zone occupée | Red Star-RC Paris | 1-1[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1941-1942 | D1 Zone occupée | RC Paris-Red Star | 3-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1945-1946 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 0-1[15] | nc | nc | nc | nc |
| 1945-1946 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 1-0[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1946-1947 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 1-3[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1946-1947 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 1-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1947-1948 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 1-3[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1947-1948 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 1-2[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1948-1949 | Division 1 | Red Star-RC Paris | 1-0[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1948-1949 | Division 1 | RC Paris-Red Star | 0-4[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1953-1954 | Division 2 | Red Star-RC Paris | 3-6[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1964-1965 | Division 2 | Red Star-RC Paris | 2-1[14] | nc | nc | nc | |
| 1964-1965 | Division 2 | RC Paris-Red Star | 1-2[14] | nc | nc | nc | |
| 1981-1982 | Division 2 | Red Star-RC Paris | 4-1[14] | nc | nc | nc | nc |
| 1983-1984 | Division 2 | RC Paris-Red Star | 1-2[14] | [16] | Bridier (26e),Aniol (77e) | Madjer (70e) | 3200[16] |
| 1983-1984 | Division 2 | Red Star-RC Paris | 1-4[14] | Kutermak (50e) | Ekéké (19e), Madjer (44e),Tihy (65e,86e) | 4000[16] | |
| 1999-2000 | nc | Red Star-RC France | 2-1[14] | Akiana | nc | nc | |
| 2008-2009 | CFA D | Red Star-RC France | 3-1[17] | Diagouraga (6e), Ongmakon (27e), Yosri (86e) | nc | 850 | |
| 2008-2009 | CFA D | RC France-Red Star | 2-0[18] | - | Daboussi (39e), Malcuit (68e) | 700 |
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date |
|---|---|---|---|---|
| 1946-1947 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 4-2[19] | nc |
| 1946-1947 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 2-2[19] | nc |
| 1947-1948 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 0-1[19] | nc |
| 1947-1948 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 1-5[19] | nc |
| 1952-1953 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 2-2[19] | nc |
| 1952-1953 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 5-0[19] | nc |
| 1959-1960 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 1-1[19] | nc |
| 1959-1960 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 3-3[19] | nc |
| 1960-1961 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 3-1[19] | nc |
| 1960-1961 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 3-3[19] | nc |
| 1961-1962 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 3-1[19] | nc |
| 1961-1962 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 2-0[19] | nc |
| 1962-1963 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 0-2[19] | nc |
| 1962-1963 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 1-2[19] | nc |
| 1963-1964 | Division 1 | RC Paris-Stade Français | 3-2[19] | nc |
| 1963-1964 | Division 1 | Stade Français-RC Paris | 2-3[19] | nc |
| 1983-1984 | Division 2 | RC Paris-Stade Français | 1-1[19] | nc |
| 1983-1984 | Division 2 | Stade Français-RC Paris | 0-4[19] | nc |
Les deux clubs ont évolué ensemble en D1 en1972-1973, en D2 entre1976 et1978, et en1982-1983, et dans les divisions amateures en D3 en1999-2000 Depuis 2011, les deux clubs se croisent à nouveau enChampionnat de France de football National.
EnDivision 2 1975-1976, leRed Star est affecté au groupe B, alors que leParis FC est affecté au groupe A. En2001-2002, alors que les deux clubs évoluent en D4, ils sont également affectés à des groupes différents.
Depuis lechampionnat de France de football National 2011-2012, les deux clubs s'affrontent régulièrement. En 2013, les deux clubs se rencontrent enCoupe de France.Actuellement, il s'agit de la rivalité sportive la plus médiatiquement valorisée, compte tenu des résultats récents des deux équipes qui ont terminé première et deuxième duchampionnat de France de football National 2014-2015 et continuent encore de s'affronter enLigue 2 en2025.
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date | Buteur(s) pour le Paris FC | Buteur(s) pour le Red Star | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1972-1973 | Division 1 | Paris FC-Red Star | 3-0 | nc | nc | nc | nc |
| 1972-1973 | Division 1 | Red Star-Paris FC | 2-3 | nc | nc | nc | nc |
| 1976-1977 | Division 2 | Paris FC-Red Star | 1-0 | nc | nc | nc | nc |
| 1976-1977 | Division 2 | Red Star-Paris FC | 2-2 | nc | nc | nc | nc |
| 1977-1978 | Division 2 | Paris FC-Red Star | 0-0 | nc | nc | nc | nc |
| 1977-1978 | Division 2 | Red Star-Paris FC | 0-1 | nc | nc | nc | nc |
| 1987-1988 | Coupe de France | Paris FC-Red Star | 2-1 | nc | Djaadaoui (2 fois) | Clément | nc |
| 1999-2000 | National | Paris FC-Red Star | 0-1 | nc | nc | nc | nc |
| 1999-2000 | National | Red Star-Paris FC | 1-0 | nc | nc | nc | nc |
| 2002-2003 | Coupe de France | Red Star-Paris FC | 1-0 | nc | Lakrout | nc | nc |
| 2011-2012 | National | Paris FC-Red Star | 0-4 | - | Touati (16e), Malfleury (58e,69e), Beziouen (74e) | 1238 | |
| 2011-2012 | National | Red Star-Paris FC | 0-0 | - | - | 1864 | |
| 2012-2013 | National | Paris FC-Red Star | 0-0 | - | - | 504 | |
| 2012-2013 | National | Red Star-Paris FC | 2-0 | - | Lafon (15e), Oudrhiri (90e) | 1329 | |
| 2013-2014 | National | Red Star-Paris FC | 0-0 | - | - | 1951 | |
| 2013-2014 | Coupe de France | Paris FC-Red Star | 2-1 | Lamamy (12e), Traoré (27e) | Lefaix (47e) | nc | |
| 2013-2014 | National | Paris FC-Red Star | 2-3 | Toko Ekambi (31e), Traoré (74e) | Allegro (50e), Lee (68e), Laborde (76e) | 1000 | |
| 2014-2015 | National | Paris FC-Red Star | 1-0 | Kinkela (72e) | - | 2500 | |
| 2014-2015 | National | Red Star-Paris FC | 1-2 | Chevalier (59e) | Makhedjouf (68e), Kante (77e) | 2977 | |
| 2015-2016 | Ligue 2 | Paris FC-Red Star | 0-1 | - | Ngamukol (86e) | 7004 | |
| 2015-2016 | Ligue 2 | Red Star-Paris FC | 2-4 | Ngamukol | 3012 | ||
| 2018-2019 | Ligue 2 | Paris FC-Red Star | 1-1 | Perraud | 8002 | ||
| 2018-2019 | Ligue 2 | Red Star-Paris FC | 0-1 | Wamangituka | - | 2540 | |
| 2024-2025 | Ligue 2 | Red Star-Paris FC | 1-3 | Camara | Doucoure | 4560 | |
| 2024-2025 | Ligue 2 | Paris FC-Red Star | 4-1 | Gory | Badji | 17748 |
C'est entre ces deux clubs que s'est jouée la place en Division 1[pas clair]. Cependant, les confrontations directes entre leParis FC et leParis SG ont été très peu nombreuses, dans la mesure où le PSG évolue en Division 1 / Ligue 1 sans interruption depuis 1974, et le PFC ayant connu cette division à trois reprises : les deux premières fois de 1972 à 1974, soit avant la montée duParis Saint-Germain, et la troisième fois en 1978-1979, où ils finirent dix-neuvième et sont relégués à nouveau pour ne plus jamais monter. Chacune des deux rencontres de 1978-1979 se sont soldées par des matches nuls.
En 2011, les deux clubs se sont croisés en seizièmes de finale de laCoupe Gambardella, où le Paris FC a éliminé le Paris SG aux tirs au but. L'ambiance dans le stade Maryse-Hilsz, garni par plus de 400 supporters habitués auParc des Princes, était électrique[20].
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date | Buteur(s) pour le Paris FC | Buteur(s) pour le Paris SG | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1978-1979 | Division 1 | Paris SG-Paris FC | 2-2[21] | nc | nc | Bianchi, Renaut | nc |
| 1978-1979 | Division 1 | Paris FC-Paris SG | 1-1[22] | nc | nc | Bianchi | nc |
| 2025-2026 | Ligue 1 (17e journée) | Paris SG-Paris FC | - | ||||
| 2025-2026 | Ligue 1 (34e journée) | Paris FC-Paris SG | - |
C'est lors de la saison1971-1972 qu'eut lieu le premier derby entre le tout jeuneParis Saint-Germain Football Club et son vieux voisinaudonien duRed Star Football Club enDivision 1. Le match se déroula austade olympique Yves du Manoir deColombes, (leParc des Princes étant en reconstruction à cette époque), devant 10 000 spectateurs et se solda par une victoire du Paris SG, 4 buts à 1. Lors de cette saison, d'ailleurs, les deux clubs parisiens jouaient l'ensemble de leurs matchs à domicile austade de Paris, plus connu sous le nom destade Bauer àSaint-Ouen.Le Paris SG et le Red Star se retrouvent enDivision 2 lors de l'exercice1973-1974. Ils réalisent une bonne saison puisque tous deux remontent enDivision 1.La saison1974-1975 est marquée par les deux dernières confrontations entre un club résidant depuis un an dans unParc des Princes tout juste rénové et son doyen, le Red Star, club de la banlieue rouge basé à Saint-Ouen depuis de longues années et sur le déclin, puisque ce dernier descendra en seconde division à la fin de cette saison.
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date | Buteur(s) pour le Paris SG | Buteur(s) pour le Red Star | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1971-1972 | Division 1 | Paris SG-Red Star | 4-1[23] | Prost (6e,78e), Bras (12e,57e) | Gonzales (20e) | 10 000 | |
| 1971-1972 | Division 1 | Red Star-Paris SG | 0-0[24] | nc | nc | nc | |
| 1973-1974 | Division 2 | Paris SG-Red Star | 3-1[24] | nc | nc | nc | |
| 1973-1974 | Division 2 | Red Star-Paris SG | 2-0[24] | nc | nc | nc | |
| 1974-1975 | Division 1 | Paris SG-Red Star | 2-0[24] | nc | nc | nc | |
| 1974-1975 | Division 1 | Red Star-Paris SG | 1-1[24] | nc | nc | nc |
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date | Buteur(s) pour le RC Paris | Buteur(s) pour le Paris SG | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 1984-1985 | Division 1 | RC Paris-Paris SG | 0-1 | - | Sušić | 35 000 | |
| 1984-1985 | Division 1 | Paris SG-RC Paris | 2-2 | Renaut | Renaut | 20 000 | |
| 1986-1987 | Division 1 | Paris SG-RC Paris | 1-2 | Francescoli | Rocheteau | 32 254 | |
| 1986-1987 | Division 1 | RC Paris-Paris SG | 0-1 | - | Fernandez | 29 096 | |
| 1987-1988 | Division 1 | Matra Racing-Parsi SG | 2-1 | Buscher | Jeannol | 23 514 | |
| 1987-1988 | Division 1 | Paris SG-Matra Racing | 1-1 | Krimau | Sandjak | 13 486 | |
| 1988-1989 | Division 1 | Matra Racing-Paris SG | 0-2 | - | Xuereb | 24 208 | |
| 1988-1989 | Division 1 | Paris SG-Matra Racing | 2-1 | Lima | Xuereb | 17 883 | |
| 1989-1990 | Division 1 | Racing Paris 1-Paris SG | 2-2 | Lima | Calderón | 25 000 | |
| 1989-1990 | Division 1 | Paris SG-Racing Paris 1 | 1-2 | Bouderbala | Calderón | 17 847 |
De nos jours, la plupart des clubs parisiens cités plus haut ont déménagé en banlieue, à l'image duRC Paris àColombes et duRed Star àSaint-Ouen. Cependant, d'autres clubs de la région parisienne ont réussi à percer, notamment le club de l'US Créteil-Lusitanos,Football Club 93 Bobigny-Bagnolet-Gagny ou encore leFootball Club de Versailles 78.
Les confrontations directes entre clubs franciliens ont notamment eu lieu enNational ou enNational 2.

La rivalité entreParis FC etUS Créteil-Lusitanos, club de banlieue, n'est pas véritablement une réelle rivalité historique. Elle est née en raison de la relégation du club cristolien enNational en2007, qui rejoint leParis FC, qui venait de réaliser une saison satisfaisante, finissant à une solide sixième place. De plus, depuis le début des confrontations en championnat, les clubs réalisent souvent des parcours proches, l'exemple le plus frappant étant celui de lasaison 2010-2011 où les deux clubs ont fini avec deux points d'écart seulement. La rivalité a pris un tournant en avril 2008 où les Béliers se sont imposés à la surprise générale sur le terrain du PFC sur le score de 4 buts à 2, mettant fin à tout espoir de remontée enLigue 2 cette saison-là pour les parisiens.
En 2009-2010, alors que l'US Créteil réalise une bonne saison et se rapproche de son objectif de retour enLigue 2, c'est lors du derby que les espoirs de remontée s'envolent pour Créteil, et que le PFC est contraint d'oublier ses envies de dépasser son rival cristolien[25].
Des incidents entre Ultras ont été à déplorer[26] et les ultras des deux clubs entonnent régulièrement des chants hostiles au club adverse, même lors des matches ne concernant qu'un seul des deux clubs. Des affrontements physiques sont d’ailleurs souvent à déplorer lors de ce derby. En revanche, les relations entre les directions des deux clubs sont cordiales, comme l'atteste le fait qu'un match amical est organisé quasiment chaque année depuis plusieurs années lors de la préparation d'avant-championnat au mois de juillet.
Depuis 2016, l'US Créteil se morfond enNational alors que leParis FC évolue enLigue 2 depuis 2017.
| Saison | Championnat | Rencontre | Rés. | Date | Buteur(s) pour Créteil | Buteur(s) pour le Paris FC | Spectateurs |
|---|---|---|---|---|---|---|---|
| 2007-2008 | National | Créteil-Paris FC | 1-2 | Vareilles (68e) | Kinkela (21e),Raddas (55e) | 500 | |
| 2007-2008 | National | Paris FC-Créteil | 2-4 | Guedioura (24e),Abwo (45e),Khenniche (64e),Maïga (82e) | J.-M. David (7e),Sarr (67e) | 1 117 | |
| 2008-2009 | National | Paris FC-Créteil | 1-1 | Mokdad (19e) | Yenga (86e) | 300 | |
| 2008-2009 | National | Créteil-Paris FC | 0-1 | - | Kébé (59e) | 700 | |
| 2009-2010 | National | Paris FC-Créteil | 2-1 | Boulebda (90 +3e) | Rodriguez (CSC) (11e),Pollet (51e) | 168 | |
| 2009-2010 | National | Créteil-Paris FC | 1-0 | Duhamel (55e) | - | 750 | |
| 2010-2011 | National | Créteil-Paris FC | 0-0 | - | - | 400 | |
| 2010-2011 | National | Paris FC-Créteil | 2-2 | Laïfa (SP) (55e), Marques (64e) | S. Vincent (38e), El-Hajaoui (78e) | 394 | |
| 2011-2012 | National | Créteil-Paris FC | 1-1 | Bahin (78e) | Ayivi (23e) | 800 | |
| 2011-2012 | National | Paris FC-Créteil | 1-0 | - | Scotté (68e) | 408 |
Le football féminin est également implanté en région parisienne et des confrontations parfois tendues peuvent avoir lieu.
L'une des premières rivalités notables en région parisienne est celle entre laVGA Saint-Maur et leFCF Juvisy. Si la rivalité se joue en termes de prestige et de palmarès, elle n'a jamais été vraiment effective sur le terrain, la VGA étant le grand club français desannées 1980 et le FCFJ celui desannées 1990. Durant lesannées 2000, la VGA a été reléguée. La remontée du club en Division 1 pour la saison 2015-2016 ouvre la voie au retour de la rivalité. Les deux clubs restent malgré tout, derrière l'Olympique lyonnais (anciennement FC Lyon) (9 titres), les équipes qui ont été sacrées championnes le plus grand nombre de fois (6 titres chacune).
Avec la remontée en D1 duPSG en 2001, c'est le club phare du football francilien masculin qui voit sa section féminine revenir au premier plan.Les premières saisons sont décevantes et la meilleure (2007-2008) est synonyme de5e place et de finale deChallenge de France (équivalent féminin de la Coupe de France). L'été 2009 marque un tournant dans la rivalité : le PSG recrute notamment quatre internationales françaises :Élise Bussaglia,Julie Soyer,Sonia Bompastor etJessica Houara et obtient le prêt deCamille Abily en provenance duLos Angeles Sol, celle-ci finissant meilleure buteuse du club. Le PSG et Juvisy se disputent alors la deuxième place (qualificative pour laLigue des Champions), derrière l'OL, et Juvisy remporte le duel à distance avec son rival parisien celui-ci se consolant avec une victoire enChallenge de France. Le 18 octobre 2009, à l'occasion de PSG-Juvisy, disputé auParc des Princes, le record de spectateurs pour un match de D1 est battu avec 5 892 personnes présentes en tribune. À cette occasion, le PSG s'impose 1-0 grâce à un but d'Abily. Lors de lasaison 2010-2011, c'est le PSG qui décroche la2e place, toujours derrière l'OL, et se qualifie pour laLigue des Champions, Juvisy ne terminant qu'à la4e place.
Localisation des principaux stades de la petite couronne deParis. |
Localisation des principaux stades actuels et ceux anciens et aujourd'hui détruits (italique) àParis et dans sa proche banlieue. |

| Derby | |
|---|---|
| Rivalités locales | |
| Rivalités nationales | |
| Classiques | |
| Football féminin | |
| Général | |||||
|---|---|---|---|---|---|
| Infrastructures | |||||
| Joueurs et staff | |||||
| Palmarès et records | |||||
| Historique | |||||
| Matchs et rivalités | |||||
| Autres sections |
| ||||
| Sections | |
|---|---|
| Installations | |
| Section football | |
Red Star Football Club | |
|---|---|
| Généralités | |
| Installations | |
| Rivalités | Paris et sa petite couronne de proche banlieue |
| Infrastructures | |
|---|---|
| Histoire et saisons | |
| Joueur et staff | Joueurs |
| Autour du club | Paris |
| Rivalités | Rivalités |
| Autres sections | Féminines |
| Sections | |
|---|---|
| Installations |
|
| Section football | |
|---|---|
| Section handball | |
| Autres sections |
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