La commune est dans le bassin de l'Orne par son sous-affluent laVère qui la traverse puis file vers le nord rejoindre leNoireau, à l'endroit il fait fonction de limite entreSaint-Denis-de-Méré (Calvados) etSaint-Pierre-du-Regard (Orne), au lieu-ditPont-Érembourg. Plusieurs affluents de la Vère parcourent le territoire communal : le sud-ouest est drainé par le Plancaïon, ou Vérette ; le ruisseau de Blanche Lande matérialise une partie de la limite sud ; le Hariel, au nord-ouest, alimente les étangs du château. En rive droite de la Vère, un ruisseau de Blanche Lande, homonyme du précédent, marque la limite sud-est. Deux autres ruisseaux plus modestes grossissent la Vère en rive droite.
Le point culminant du territoire (276 mètres) est situé à un carrefour au lieu-ditla Trigale sur la limite avecSaint-Georges-des-Groseillers. C'est sur cette même limite, mais plus à l'ouest, à l'endroit où la Vère quitte le territoire, que se situe le point le plus bas (182 mètres).
Au, Flers est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].Elle appartient à l'unité urbaine de Flers[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant cinq communes, dont elle estville-centre[Note 4],[14],[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Flers, dont elle est la commune-centre[Note 5],[15]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (72,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (32,1 %), zones urbanisées (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,6 %),terres arables (15,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Les premières mentions écrites deFlers apparaissent à la fin duXIIe siècle sous les formes deFlers en1164-1179 etFlex en1188-1221.
Il s'agit d'un type toponymique commun dans le Nord de la France :Flers (Nord I,Fles 1030,FlersXIIIe siècle),Flers (Nord II,Fles 1066,Flers 1273),Flers (Pas-de-Calais) etFlers (Somme)[19]. La localisation dans le Nord de la France incite les spécialistes à proposer l’étymon germanique (vieux bas francique)*hlar qui signifie « terrain marécageux, friche ou vaine pâture », à l'origine de l'ancien françaislarris, d'où le françaislairis. On rencontre ce terme en composé dansMeulers (Seine-Maritime) ainsi que dansBoufflers etMouflers (Somme)[20].
À partir duXe siècle, la famillede Flers est à la tête d'unebaronnie.
AuXIe siècle, une tradition veut que deux frères Foulques d'Aunou et Guillaume de Gasprée, épousent deux sœurs, demoiselles de Flers. Foulques d'Aunou reçoit endot Flers, siège de la baronnie[22].
La construction duchâteau de Flers est entreprise à partir duXIIe siècle, même si à l'origine il ne s'agit que d'un corps de logis en pierre et en bois, sur une butte fortifiée entourée d'eau.
En1356, les chroniques de laguerre de Cent Ans ne font pas mention d'un point fortifié à l'emplacement du château de Flers. Cette information laisse penser que le château ne présente pas un intérêt stratégique majeur à l'époque.
En1790, durant la période révolutionnaire Flers forme un canton appartenant, audistrict de Domfront dans le département de l'Orne[23].
Enbrumaire anII (1793), la commune voit une émeute se dérouler dans ses murs, qui met aux prises une population excédée par laconscription et la politique anti-religieuse menée par laConvention, et les administrateurs du district de Domfront chargés de transporter àCondé-sur-Noireau des caisses d'archives et de fonds[24].
La comtesse de Flers de l'époque, Jacqueline Le Goué de Richemont, femme de Pierre-François de Paule de La Motte-Ango, soutient les contre-révolutionnaireschouans. Le château de Flers devient le quartier général du comteLouis de Frotté, un des principaux meneurs de lachouannerie normande[25]. En revanche, le frère cadet du comte de Flers, le généralLouis Charles de Flers, soutient la Révolution et devient commandant de l'armée des Pyrénées orientales.
En1901, Julien Salles, maire de Flers, achète le château pour le compte de la municipalité.
La commune devient un centre textile important et voit une grève extrêmement dure se dérouler (100 jours).
La ville était connue pour la fabrication de plaques d'égouts, principalement par la fonderie Quéruel-Lorfeuvre qui a été reprise par Sonofoque. Sonofoque a cessé son activité en décembre 2002 et a fait l'objet d'une liquidation judiciaire[26].
Comme beaucoup de villes bas-normandes situées sur un cercle autour du lieu dedébarquement, Flers est l'un des objectifs desbombardements stratégiques destinés à ralentir ou bloquer l'arrivée de renforts militaires allemands les 6 et. La ville est détruite à 80 %. Ce qui reste de la ville est libéré le par la11e division blindée britannique[27]. Menée par les architectes Pierre Boulanger puis Pierre Communal, lareconstruction s'oriente résolument vers un Flers moderne sans chercher à reconstituer l'ancien, mais tout en conservant la trame urbaine en élargissant simplement les voies[28].
La mairie est en partie détruite par unincendie le.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[47],[Note 7].
En 2022, la commune comptait 14 308 habitants[Note 8], en évolution de −3,1 % par rapport à 2016 (Orne : −3,21 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 33,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (31,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 31,9 % la même année, alors qu'il est de 33,0 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 6 993 hommes pour 7 786 femmes, soit un taux de 52,68 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,31 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[50]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,3
90 ou +
3,0
8,7
75-89 ans
13,6
16,8
60-74 ans
19,8
19,6
45-59 ans
18,0
16,0
30-44 ans
15,2
18,7
15-29 ans
15,8
18,9
0-14 ans
14,7
Pyramide des âges du département de l'Orne en 2021 en pourcentage[51]
En2016, la population immigrée de Flers s'élevait à 1 332 habitants, soit 9,0 % de la population flérienne (moyenne nationale : 9,4 %)[52].
On peut compter une population d'origine maghrébine, mais surtout une importante communauté turque, une des plus importantes deNormandie. Il y aurait environ plus de 3 000 Turcs à Flers et ses alentours[53]. Ces Turcs sont arrivés au début des années 1970, et en majorité de la région dePosof à l'extrême est de laTurquie, à la suite d'une forte demande des entreprises locales en main d’œuvre. Ils vivent principalement dans les quartiers Saint-Sauveur, Saint-Michel et du Pont-Féron à Flers, et travaillent généralement dans le secteur du bâtiment[54],[55].Classés prioritaires, ces trois quartiers regroupent 4 242 habitants en 2020[56]. Une association amicale franco-turque existe depuis 1978, et possède une mosquée et un espace culturel turc dans le quartier du Pont Féron depuis 2005[53]. Un film réalisé par Ali Badri a même été créé pour conter l'histoire de ces Turcs venus s'installer en Normandie, et plus particulièrement à Flers[55]. Les autres grandes communautés turques de l'Orne se trouvent àL'Aigle,Argentan etAlençon.
Lacommunauté d'agglomération dispose d'une médiathèque, issue de l'ancienne bibliothèque de Flers fondée initialement en1874. La bibliothèque s'enrichit à l'origine grâce àJules Appert, bibliophile flérien, d'un legs de 15 000 volumes. La ville détient le record du plus grand nombre derestaurants kebab par habitants, soit 6,1 restaurants pour 10 000 habitants[58].
Au début duXXe siècle, Auguste Surville, bibliothécaire, développe le fonds normand et répertorie le chartrier du château, riche de 10 000 documents. Salle des fêtes "La petite A",Label « Patrimoine du XXe siècle »[59].
LeFootball club flérien fait évoluer ses deux équipes premières (masculine et féminine), ainsi que trois autres équipes (deux masculines et une féminine) enligue de Basse-Normandie[60]. Le club a remporté la Coupe de Basse-Normandie en.
Autre club, l'Union sportive flérienne (USF) créée en 2014, évolue dans différents championnats du district de l'Orne, avec quelques montées survenues en Régionale (R3, R2) sans réussir à se maintenir. En seulement quelques années, l'USF a créé plusieurs équipes dans différentes tranches d'âge, et aussi une équipe féminine enfants.
Le Basket club flérien (BCF) et l'Union Flers-Saint-Georges basket (UFSGB) utilisent la nouvelle halle des Sports. Le BCF accueille 130 licenciés, garçons et filles, petits et grands. C'est en nombre le deuxième club de l'Orne.
Le Tennis de table flérien, club de 80 à 90 membres, a dix équipes en compétitions : une en pré-nationale masculine, trois en Régionales masculine, cinq en Départementales masculine et une en Régionales féminine[62], ce qui en fait le deuxième club ornais et un des plus représentés de la région. Le club est doté d'une salle spécifique de 700 m2 avec gradins spectateurs[63].
Letaux de chômage de la ville de Flers, qui s'élevait à plus de 15 % en1999 est descendu dans les années 2000 à 8 %, mais il est remonté à 13 % en 2011 pour entamer une seconde baisse ces dernières années. Flers est le siège de laChambre de commerce et d'industrie de Flers-Argentan qui gère l'aérodrome de la ville.
L’économie de la région a été fortement marquée durant larévolution industrielle par l’industrie du textile (filature, tissage et confection) qui est aujourd’hui presque entièrement démantelée.
La dégradation du tissu industriel des filières du textile et de la métallurgie a été progressivement compensée par l’accroissement du poids du secteur tertiaire dans le paysage économique : services et commerces réunis représentent actuellement près de 60 % des emplois du département, contre 22 % pour l’industrie et 10 % pour l’agriculture. En effet, le centre-ville de Flers est dynamique, avec la quinzaine commerciale qui est organisée par les commerçants flériens durant novembre.
De nombreuses mesures d’accompagnement soutenues par le politique permettent néanmoins d’enregistrer des améliorations sensibles de ce contexte général : soutien financier de projets et assistance pour le développement du commerce à l’international, requalification de zones d’activités, projet du campus industriel de Flers, généralisation de l’accès internet à haut débit, vote de la construction de voies rapides reliant Flers àArgentan etCondé-sur-Noireau d’ici 2013. De plus, en 2015, la rocade de Flers commence à être agrandie sur sa partie nord-ouest reliant les communes deLa Lande-Patry et deSaint-Georges-des-Groseillers.
L’ensemble de ces dispositifs portent ses fruits mais ne suffisent pas à masquer les lourdes contraintes structurelles liées à la faiblesse des infrastructures routières, au poids important de la fiscalité. Ces difficultés peuvent aussi être illustrées par le fait que le maintien de laliaison ferroviaire Paris-Granville représente un enjeu économique majeur pour laChambre de commerce.
La ville de Flers possède unchâteau duXVIe etXVIIIe siècles dans lequel se trouve unmusée depeintures etsculptures anciennes etXIXe siècle, d'arts décoratifs (ensemble demobilier et d'objets d'art) et d'histoire locale (cuisine normande). Il est aussi actuellement le centre des services municipaux. Durant laRévolution, il sert de lieu de rassemblement des Chouans. Les « Bleus » l'incendient en1800, la ville le rachète en1901[71].
L'église Saint-Germain (place du Marché), est dotée d'une façade à deux tours dépourvues de flèches (le manque d'argent ne permet pas la pose des flèches prévues à 65 m de hauteur)[72]. Dessinée parPaul Hulot dans un stylenéo-gothique d'une grande sobriété inspiré de Notre-Dame de Paris, elle a été mise en chantier en1910. Elle vient en remplacement de l'église primitive rénovée auXVIIIe siècle, mais qui devient trop petite et menace ruine (elle sera détruite en 1924)[72]. Les tours de la nouvelle église n'ont été achevées qu'en1935-1937[72]. Larosace de façade est l'œuvre deJean Chaudeurge. Le, les bombes crèvent la toiture et la voûte. Parmi les paroissiens réfugiés dans la crypte qui est touchée par une bombe, il y a un mort et plusieurs blessés[72]. L'église meurtrie sera rénovée sous la conduite de l'architecte Pierre Meurice et rendue au culte en 1960[72].
L'église Saint-Jean, située sur la place Saint-Jean, construite de1858 à1865 parVictor Ruprich-Robert en style néo-roman mais surmontée d'une tour néo-gothique. Son orgue de tribune est de 1866[74],[75].
2angles, centre de création contemporaine. Inauguré en 2003, dans les anciens locaux de laTeinturerie Blouin. C'est un avant tout un lieu de résidences d'artistes, avec des ateliers et des productions d'œuvres. Cette association organise aussi sur le territoire de l'agglomération des expositions d'art contemporain, des residences de création pour des artistes plasticiens et des compagnies de danse contemporaine. Installé depuis septembre 2023 au 8 rue du Pré-Neuf sur la commune de Saint Georges des Groseillers son histoire lie cette association d'envergure nationale à la ville de Flers.
Marché couvert, inauguré en 1883 sur les plans d'Amédée Hédin. Il est construit à l'emplacement de l'ancien cimetière. Le terrain étant instable, les fondations reposent sur des pieux de sapin.
Monument aux morts, situé dans le square Delaunay, réalisé parEmmanuel Ladmiral, inauguré en 1923[92],[93].
Monument à Jules Gévelot, réalisé parAntonin Carlès en 1906, situé dans la cour de l'hôtel de ville. En 1942, sous lerégime de Vichy, le buste enbronze etLa reconnaissance, allégorie féminine devant le piédestal, sont déboulonnés, dans le cadre de lamobilisation des métaux non ferreux. Le bordereau d'expédition ne réclame que le buste. Monsieur Lajoye n'expédie donc pasla reconnaissance avec. Le buste est fondu. Monsieur Lajoye cachela reconnaissance et la rend à ville à la Libération. Un buste de remplacement réalisé en fonte par Gérard Anjou est installé en 1966.
La statue deLa joueuse de flûte, réalisée en bronze par Marion Gombaud, située sur l'esplanade François Mitterrand, devant l'entrée de la médiathèque.
La statuel'Éveil du Printemps réalisée par Désiré Barré. Placée en 1949 sur le piédestal vide de la statueLe Juif errant dans le jardin du champ de foire. Elleest retirée[Quand ?] et placée devant la grille d'honneur du château. Elleest retirée[Quand ?] et placée dans un petit square isolé du parc du château. Vandalisée, elleest retirée[Quand ?], restaurée et placée dans le patio de la médiathèque.
La statue en bronzeLe Juif errant, réalisée parVictor-Edmond Leharivel-Durocher. Elle est inaugurée en 1879 dans le jardin public du champ de foire. Le 26 février 1881 elle est retirée et placée dans le square Delaunay. Quelques riverains du square protestent contre son transfert. Elle est vandalisée en 1884. Une nuit de 1903, elle est habillée avec des vêtements. Elle est retirée du square Delaunay en 1922 pour céder la place au monument aux morts. Elle est replacée dans le jardin du champ de foire en décembre 1922. Sous le régime de Vichy, elle est déboulonnée et fondue, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Le piédestal reste vide jusqu'en 1949, quand la statuel'Éveil du Printemps réalisée par Désiré Barré y est installée.
Les armes de la commune de Flers se blasonnent ainsi : De gueules, à deux navettes d'or posées en sautoir accompagnées de trois bobines d'argent 2 et 1, au chef de France.
Juin 44. Flers dans la tourmente…, édité par l’Orne Combattante, 1994.
Stéphane Robine,Une ville industrielle dans la tourmente : Flers de 1939 à 1944, MemHOuest, 1997.
Jules Appert et Wilfrid Challemel,L'Ermitage du bois de Flers (Publicateur de l'Orne, 26 janvier 1890), Flers, impr. de A. Levesque,, 72 p.(présentation en ligne)
Jules Appert,Documents et notes pour l'histoire de l'industrie textile dans la région de Flers, 17 p.
Le patrimoine architectural et mobilier des communes sur le site officiel duministère français de la Culture (Bases Mérimée, Palissy, Palissy, Mémoire, ArchiDoc), Médiathèque de l'architecture et du patrimoine (archives photographiques) diffusion RMN, et service régional de l'inventaire général de la direction de la Culture et du Patrimoine de la Région]
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Flers comprend une ville-centre et quatre communes de banlieue.
↑Pierre Van der Gucht est le père du réalisateur de télévision Gérard Van der Gucht, responsable des sports àTF1 (1981 → 2002)[38]
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155).
↑Thomas Richardson, « Gérard Van der Gucht, de Flers : « Mon premier Roland-Garros, c’était en 1968 » »,L'Orne combattante,(lire en ligne, consulté le)« Né à Flers, Gérard Van der Gucht, 71 ans, est le fils de l’ancien maire de Flers, Pierre Van der Gucht (1973-1977). Réalisateur de télévision pendant plus de trente ans, il a notamment couvert le tournoi de Roland-Garros à de nombreuses reprises ».
↑Maureen Marie, « Politique : le maire de Flers et son adjointe rallient le mouvement de Bernard Cazeneuve : Bernard Cazeneuve, ancien premier ministre, a lancé La Convention, un nouveau mouvement politique de gauche. Parmi les adhérents : le maire de Flers (Orne) et un de ses adjointes »,L'Orne combattante,(lire en ligne, consulté le).