| Fidèles compagnes de Jésus | |
| Institut de droit pontifical | |
|---|---|
| Approbation pontificale | parGrégoire XVI |
| Institut | congrégation religieuse |
| Type | apostolique |
| Spiritualité | ignacienne |
| Règle | basée sur lesconstitutions de la Compagnie de Jésus |
| But | enseignement |
| Structure et histoire | |
| Fondation | 1820 Amiens |
| Fondateur | Marie-Madeleine d'Houët |
| Abréviation | F.C.J. |
| Site web | Site des Fidèles compagnes de Jésus |
| Liste des ordres religieux | |
LesFidèles compagnes de Jésus (en latin :Societatis Fidelium Sociarum Jesu) sont unecongrégation religieuse féminine dedroit pontifical vouée à l'enseignement et à la prédication deretraite spirituelle.
En1805,Marie Madeleine Victoire de Bengy (1781-1858) resteveuve du vicomte d'Houët et traverse une longue période de crise spirituelle. Le, avec deux compagnes et une institutrice, elle commence à s'occuper de l'éducation de sept filles pauvres d'Amiens, œuvre à partir duquel l'institut se développe[1].
L'école est initialement soutenue par lesJésuites mais lorsque la fondatrice refuse de fusionner sa communauté à laSociété du Sacré-Cœur de Jésus, les pères cessent de soutenir l'œuvre et créent de sérieuses difficultés. À partir de1822, sous la protection de l'évêque d'Amiens,Jean-Pierre de Gallien, l'institut s'étend rapidement à d'autres régions de laFrance et, à partir de1830, également enAngleterre (la congrégation connaît son plus grand développement dans les pays anglo-saxons). À la mort de la fondatrice, la congrégation compte également des maisons enIrlande et enItalie[2]. L'institut est approuvé provisoirement le par le papeLéon XII et définitivement par le papeGrégoire XVI avec ledécret de louange du[3].
Les Fidèles compagnes de Jésus se consacrent à l'enseignement et à la gestion de centres de spiritualité.
Elles sont présentes en[4] :
Lamaison généralice se trouve àBroadstairs dans leKent.
En 2017, la congrégation comptait 213 sœurs dans 47 maisons[5].