Faucon-de-Barcelonnette et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).
La commune occupe unadret dans la vallée de l’Ubaye orientée est-ouest ; le village est lui implanté dans la partie la plus large de la vallée : au total, Faucon-de-Barcelonnette, comme les communes proches de Barcelonnette etSaint-Pons occupe la situation la plus favorable de toute la vallée. De plus, le village est construit sur lecône de déjection du torrent de Faucon, ce qui le surélève légèrement et le protège des crues de l’Ubaye[4],[5].
Lors des deux dernières grandes glaciations, laglaciation de Riss et laglaciation de Würm, la vallée de l’Ubaye est occupée par le glacier. Les sommets des crêtes n’ont jamais été recouverts[6].
L’hydrographie de Faucon-de-Barcelonnette est très simple à décrire[4] :
l’Ubaye est le torrent qui draine toute la vallée ;
Faucon-de-Barcelonnette est situé en rive droite : des torrents dévalent les pentes pour se jeter dans l’Ubaye, dont les principaux sont les torrents du Bourget et de Faucon.
À 1 185 mètres d’altitude[4], Faucon est situé un peu à l'écart de laroute départementaleRD 900, à laquelle il est relié par laRD 709. Le village se trouve à seulement 3 km deBarcelonnette, la sous-préfecture et capitale de lavallée de l'Ubaye[4].
Un pont traverse l’Ubaye à Faucon-de-Barcelonnette en direction du Villard de Faucon, qui malgré son nom est situé dans la commune d’Enchastrayes[4].
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Lecanton de Barcelonnette auquel appartient Faucon-de-Barcelonnette est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur lesséismes historiques[7], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Faucon-de-Barcelonnette est également exposée à quatre autres risques naturels[8] :
La commune de Faucon-de-Barcelonnette est également exposée à un risque d’origine technologique, celui de transport de matières dangereuses par route[9]. LadépartementaleRD 900 (ancienneroute nationale 100) peut être empruntée par les transports routiers de marchandises dangereuses[10].
Leplan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) de la commune a été approuvé en 2005 pour les risques d’inondation, de mouvement de terrain et d’avalanche[9] et leDicrim n’existe pas[11].
La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle, pour des inondations et des coulées de boue en2008, et en2003 pour des mouvements de terrain[8]. La liste des tremblements de terre d’une intensité macro-sismique ressentie supérieure à V sur l’échelle MSK (dormeurs réveillés, chutes d’objets) suit (les intensités indiquées sont celles ressenties dans la commune, l’intensité peut être plus forte à l’épicentre)[12] :
le séisme du 19 mars 1935, d’une intensité ressentie à Faucon-de-Barcelonnette de VII (provoquant des dégâts) et dont l’épicentre était situé àSaint-Clément-sur-Durance[13],
La localité apparaît pour la première fois dans les textes en1147 (de Falcho), nom dérivé d’un nom propre germanique, Falco[18]. Le village est appeléFoucoun en valéian[2][réf. non conforme],[3].
En 1932, la commune prend le nom de Faucon-sur-Ubaye, puis de Faucon-de-Barcelonnette en 1943[19].
Au, Faucon-de-Barcelonnette est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[30].Elle est située hors unité urbaine[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barcelonnette, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[31]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[32],[33].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (43,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), prairies (7,1 %)[34].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
De nombreux auteurs estiment que le siège deRigomagus,civitas citée vers l'an 400 et dont l’étendue correspond à la moyenne vallée de l’Ubaye[38], se trouvait à l’emplacement du village actuel, bien que les preuves absolues fassent défaut. Parmi les nombreux éléments qui peuvent le laisser penser, figure la découverte faite place de la Mairie en 1989. Des éléments antiques ont été découverts dans le village et aux abords : vestiges de structures bâties, peut-être des thermes, corniche et chapiteau de marbre venant d’un bâtiment à vocation publique,sarcophage duIVe siècle avec l’inscription auxDiis manibus[39], monnaies, céramiques et une statuette en bronze[40]. Par la suite, une église a été construite sur cet emplacement, avec quelques tombes creusées au chevet[41].
Parmi les autres hypothèses émises attendant des confirmations, celle d’un évêché de l’Antiquité tardive installé temporairement à Faucon-de-Barcelonnette, qui est toutefois discutée, plusieurs éléments orientant les historiens vers une christianisation tardive de la vallée, au début du Moyen Âge. Une inscription funéraire chrétienne découverte auXIXe siècle est datée duVe siècle ouVIe siècle[42],[40].
Toujours place de la mairie, l’abside et les absidioles d’une chapelle ont été fouillées. Cette église est construite alors que la vallée de l’Ubaye appartenait à l’abbaye bénédictine Saint-Pierre de Novalaise[43]. Elle témoigne de l’époque où les constructeurs d’église de Provence faisaient des essais qui ont abouti à la définition de l’art roman provençal[44].
Au Moyen Âge, Faucon est un quartier de Barcelonnette[45] mais reste uncastrum fortifié, donc conserve une certaine importance, grâce à la résidence desarchevêques d’Embrun dans la vallée[46]. La prospérité de la communauté se manifeste dans les aménagements de l’église place de la Mairie, et dans l’installation de l’ordre de Chalais auXIVe siècle par les moines de Lavercq[47]. Les archevêques d’Embrun et les comtes de Provence se disputaient la seigneurie et les droits de justice[5], chacun possédant une cour et une prison[46]. LesGuiramnad eurent une partie de la seigneurie[48].
LaPeste noire touche durement Faucon au milieu duXIVe siècle : en témoigne l’abandon de l’église fouillée place de la mairie et du monastère chalaisien[49].
Faucon devient une commune autonome en1790[45]. Faucon conserve son appellation ;Saint-Pons devient Jolival ; LeChâtelard devient Rochersec ; Saint-Ours devient Meyronnes,Saint-Paul devient Mont ; Saint-Vincent devient Mont-Rocher[50].
Lecoup d'État du 2 décembre 1851 commis parLouis-Napoléon Bonaparte contre laDeuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Faucon-de-Barcelonnette, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, a résisté mais est relativement peu touchée[51].
Comme de nombreuses communes du département, Faucon se dote d’écoles bien avant leslois Jules Ferry : en 1863, elle compte déjà deux écoles dispensant uneinstruction primaire aux garçons[52], mais pas aux filles : la commune n’est concernée ni par laloi Falloux (1851) qui impose l’ouverture d’une école de filles dans les communes de plus de 800 habitants, ni par la premièreloi Duruy (1867) qui abaisse ce seuil à 500 habitants[53]. Une école de filles est cependant ouverte avant 1873[54]. La deuxième loi Duruy (1877) permet à la municipalité, grâce aux subventions de l’État, de construire un bâtiment neuf pour l’école du chef-lieu[55].
D'argent à une montagne au naturel à dextre, contournant une rivière du même à senestre, à l'inscription en chef FAUCON en lettres capitales de sinople[58].
En 2009, la population active s’élevait à 136 personnes, dont quatre chômeurs[59]. Ces travailleurs sont majoritairementsalariés (69 %)[60] et travaillent majoritairement hors de la commune (81 %)[60].
Fin 2010, lesecteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait huit établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et aucun emploi salarié[61].
Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de cinq en2010. Il était de sept en 2000[62], de quatre en 1988[63]. Au début du XXIe siècle, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevageovin etbovin[62]. De 1988 à 2000, lasurface agricole utile (SAU) a fortement augmenté, de108ha à352ha[63]. La SAU a légèrement diminué lors de la dernière décennie, à293ha[62].
Fin 2010, lesecteur tertiaire (commerces, services) comptait cinq établissements (avec trois emploissalariés), auxquels s’ajoutent les dix établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant treize personnes[61].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est moyennement importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[64], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[65]. Les structures d’hébergement à finalité touristique sont rares dans la commune :
des hébergements collectifs, dont un gîte d’étape[67].
Les résidences secondaires apportent un complément à la capacité d’accueil[68] : au nombre de 93, elles représentent 41 % des logements. Parmi les résidences secondaires, 14 possèdent plus d’un logement[69],[70].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[77]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[78].
L’histoire démographique de Faucon-de-Barcelonnette est marquée par une période d’« étale » où la population reste stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1846. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de baisse de la population, qui plus est un mouvement de longue durée. En 1911, la commune enregistre la perte de plus de la moitié de sa population (par rapport au maximum historique)[80]. Le mouvement de baisse s'interrompt dès lesannées 1980. Depuis, la population a plus que doublé, dépassant les trois cents habitants, soit plus de la moitié de son maximum historique.
Elle est placée sous le vocable de Saint-Étienne et sous le patronage de l’Assomption de la Vierge, est construite pour la première fois auXIe siècle, puis reconstruite auXVIIe siècle : sescollatéraux mêlent moellons et pierre de taille. Entre les collatéraux et lanef, les arcades sont en plein cintre. Assez exceptionnellement dans le style roman alpin, le mur nord est percé de quatre baies très étroites, qui s’apparentent à des meurtrières. Son abside est encul-de-four[81]. Le clocher est isolé au milieu du village, et est percé de baies triples, sur le même mode des baies géminées, mais avec deux colonnes. Enfin, le clocher est surmonté d’un campanile octogonal ouvert par huit baies en plein cintre ; de styleroman, elle doit être une reconstruction duXVIe siècle imitant le clocher précédent selon Raymond Collier[82]. Selon la DRAC, les 20 premiers mètres sont gallo-romains : la tour servait à faire des signaux. Elle est ensuite incorporée au couvent desbénédictins, qui la transforment en clocher en ajoutant le campanile et une flèche de charpente, en pierre depuis 1858[83]. L’église abrite un couvercle de sarcophage de pierre, taillé en forme de toit. D’époque gallo-romaine, il aurait été réutilisé pour le tombeau de saintJean de Matha. Il est classé[84]. Sur l’église, uncadran solaire savant date de1878 et porte la légende « Hac rite utendo extremam para faustam» (enlatin :En utilisant comme il convient l’heure présente, prépare-toi une fin heureuse). Il porte les coordonnées du lieu, l’écart avec l’heure de Paris, l’altitude. Surtout, ses couleurs mêlent le bleu et le violet, ce qui est rare[85].
Mosaïque dans le cœur du couventCouvent trinitaire
En 1993, la société d'étudeSabença de la Valeia avec Jean-Albert Caire, ont publié un résumé de 20 pages du point de vue local sur ce saint. Un document qui fait partie de son fonds en libre accès sur internet[86].
Cet ordre monastique très ancien émerge à la période descroisades. La vocation du fondateur pourrait avoir son origine dans la souffrance de familles amies éprouvées, côtoyées pendant sa jeunesse, confrontées à l'absence d'un parent captif. Un élément marquant de l'inspiration fondatrice originelle oriente vers l'universalité de la charismatique mission de libération de tous les captifs, sans distinction d'origine religieuse ou ethnique. Après les débuts en 1194, c'est en 1198 que le pape encourage cette équipe fraternelle. Voilà donc un ordre monastique assez singulier : des vies monastiques très évangéliques, sur les routes et au contact de populations de culture complètement différente.
Le lien avec l'Ubaye prit corps cinq siècles plus tard, seulement en 1666, à la faveur de lacanonisation du fondateur, saintJean de Matha, né là, le[87] et mort àRome le. Une implantation de l'ordre fut alors décidée, là en Ubaye. Beaucoup de bouleversements précédents s'étaient donc déroulés par là. Pour la population locale, cela fut même un peu une surprise car les liens étaient très distendus. En effet d'origine ibérique, la famille de Jean de Matha, avait été anoblie et avait reçu ce fief des mains du Comte de Provence avant même la création de la ville deBarcelonnette. Rapidement son père avait confié le domaine en fermage.
Les débuts de l'implantation trinitaire à Faucon furent entravés par des chicaneries fraternelles. En effet la famille des frèresDominicains dominait la dynamique chrétienne de la vallée et s'opposait discrètement à cette poussée trinitaire. La crainte qu'ils leur fassent de l'ombre a poussé le pape à des actions concertées de l'évêque d'Embrun et du supérieur général de l'ordre dominicain afin de permettre cette installation. Ce monastère fut occupé par des frères, de manière assez continue. L'établissement actuel est assez sobre. Il ne laisse pas imaginer au premier regard l’œuvre trinitaire internationale et mondiale.
Une controverse tenace, étayée par des recherches, porte sur l'hypothèse d'une erreur supposée de ville de naissance du fondateur qui aurait étéFaucon-du-Caire. Des arguments assez pertinents sont avancés, auxquels s'opposent aussi une nette cohérence pour l'Ubaye. En effet, la fusion entre le territoire et les comtes de Provence,Raimond-Bérenger IV de Provence, est nette. Ils ont marqué de leur culture l'Ubaye. Ils aboutissent facilement à la fondation de la ville deBarcelonnette. Exemple de l'apparition de l'hydronyme du territoireUbaye. Ces comtes de Provence ont favorisé et encouragé les implantations des autres ordres monastiques de cette époque en Provence :Hospitaliers etTempliers. Le père de Jean de Matha se serait illustré à leurs côtés, face auxSarrasins. C'est la tradition orale des frères trinitaires, ayant gardé en mémoire ce lieu de naissance, qui a fondé leur venue en Ubaye.
SaintJean de Matha, fondateur de l'ordre desTrinitaires, né à Faucon le (certains pensent qu'il est né àFaucon-du-Caire). Fondateur des Trinitaires, ordre voué au rachat des captifs[89].
GuyBarruol, « Faucon-de-Barcelonnette / Rigomagus (Alpes-de-Haute-Provence), Capitales éphémères. Des Capitales de cités perdent leur statut dans l’Antiquité tardive, Actes du colloque Tours 6-8 mars 2003 »,Revue archéologique du centre de la France, Tours, Fédération pour l'édition de la Revue archéologique du Centre de la France,no 25,,p. 419-421(lire en ligne).
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↑Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions »,in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin),Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p.(ISBN978-2-952756-43-3).p. 33.
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