Les premiers porteurs du nom apparaissent dès leXe siècle[2]. L'histoire familiale réalisée parMarc de Seyssel-Cressieu (1861-1922)[3],La maison de Seyssel : ses origines, sa généalogie, son histoire (1900), poursuit la tradition familiale en appuyant une origine commune entre sa famille et Gauthier d'Aix (Galterius de Aquis), mentionné en1097[4]. Il s'agit d'un témoin lors d'une donation faite par lecomte en Maurienne,Humbert II, auprieuré du Bourget et signé également par Nantelin de Charbonnières, Guy de Miribel, Geoffroy de Grammont et Aymon de La Chambre[5]. Ainsi la famille de Seyssel le considère comme le premier personnage connu de leur arbre généalogique.
Cette filiation commune apparait douteuse pour différents auteurs. L'érudit localFrançois de Mouxy de Loche (1756-1837) émet cependant des doutes quant à l'existence de lien entre les premiers d'Aix et les Seyssel, affirmant que le titre d'Aix dépendant du domaine de la couronne[6]. Les auteurs de l'Histoire des communes savoyardes soulignent également que l'« on ne sait si elle remonte à une souche commune avec la précédente »[7].
Son ancienneté a fait dire à certains auteurs qu'elle pouvait avoir été un rameau cadet desHumbertiens, à l'origine de ladynastie de Savoie[2],[8].
Le site de généalogie en ligneFoundation for Medieval Genealogy mentionne deux personnages : Pierre de Seyssel (Petrus de Seissel), témoin du comte de SavoieThomas,, et Humbert [I] de Seyssel (Umbertus de Saxel,Humbertus de Saysello), également témoin pour ce même comte en 1228, puis présent ou témoin pour le comteAmédée IV en 1233, 1243 (comme seigneur d'Aid,Humbertum de Seyssel dominum Aquarum) et 1249[9].
La filiation de la famille devient plus fournie à partir de la seconde partie duXIIIe siècle, notamment avec la mention de frères, Humbert [II] et Gautier (1252 et 1253)[9]. Le chevalier Humbert [II] de Seyssel est mentionné en 1246[2], dit seigneur d'Aix et de Bourdeau, vicomte de Novalaise[10]. Il prêtehommage, en 1263, pour le fief de Bourdeau[11]. Il est témoin dans de nombreux actes publiés entre 1236 à 1274, notamment lors de la signature du contrat de mariage du comteAmédée IV, en 1244[12]. Son frère Gautier lui est souvent associé dans certains actes[13].
Jougla de Morenas (1939) indique pour sa part que la filiation« n'est rigoureusement prouvée que depuis Humbert de Seyssel, Chr, sgr d'Aix, tr. en 1330 »[2]. Cette date de 1330 est donnée également parRégis Valette qui ajoute que les Seyssel-Cressieu ont les mêmes armes et qu'ils sont denoblesse d'extraction sur preuves de 1522 (probablement issu de la même famille)[14].
Le titre de vicomte de Novalaise indique un rang inférieur à la dynastie desHumbertiens (futuremaison de Savoie) et des grands seigneurs régionaux[8]. Ils possèdent des droits sur la région deYenne et probablement une partie sur l'Avant-Pays savoyard, du Rhône à probablement lelac d'Aiguebelette[8], située enSavoie Propre, base du futurcomté de Savoie. Originaire deSeyssel, dont ils portent le nom[15], ils semblent l'avoir échangé avecAix, ancienne cité où les rois de Bourgogne possédaient une résidence[8]. Cette implantation est estimée par les historiens entre 1070 et 1200[8]. L'historienBernard Demotz avance l'hypothèse que la famille a peut-être été apparentée aux premiersHumbertiens, au regard de leur implantation tant enSavoie Propre qu'enBugey voisin[8].
Leur puissance locale leur permet d'entrer ainsi dans l'entourage descomtes de Savoie et d'intégrer à de nombreuses reprises le Conseil comtal[8].
En 1454, à la mort du dernier membre de lafamille de La Chambre, les titres et possessions passent à son neveu Amédée (ouAymon), fils de sa sœur Marguerite de La Chambre qui a épouséJean de Seyssel,maréchal de Savoie[17],[18]. Ce dernier relève le nom deLa Chambre[17]. Leduc de Savoie,LouisIer érige en sa faveur la seigneurie de La Chambre en comté, le[17],[18], donnant naissance à la branche desSeyssel-La Chambre. Le comté devient un marquisat en 1564[17].
La branche aînée des Seyssel, seigneurs d'Aix, disparait en 1509, leurs titres et possessions passent à la branche des Seyssel La Chambre[7]. Françoise de Seyssel-La Chambre est l'héritière de son épouxGabriel de Seyssel, son fils étant décédé. Elle nomme comme héritier universel son filleul Charles de Seyssel La Chambre,« sous la condition expresse [nous dit Marc de Seyssel-Cressieu] qu'il quittera le nom et les armes de La Chambre pour reprendre le nom et les armes de Seyssel, et que ni lui, ni ses héritiers ne pourront séparer « à tout le moins les quatre baronnies d'Aix, de La Bâtie, de Châtillon et de Maillonnaz » »[19]. En effet, les descendants de cette branche hérite les titres et biens des Seyssel d'Aix à la condition de reprendre le nom de la branche aînée[20].
Au siècle suivant, à la suite de l'extinction de cette seconde branche en 1660 et surtout d'un procès, le marquisat d'Aix passe à la branche puînée détentrice du marquisat de la Serraz (1687)[7]. Elle obtient par ailleurs le marquisat de Sommariva del Bosco au cours de la même période[7].
marquis d'Aix (1575)[7], de la Chambre (1564)[17],[18], de Châtillon, de Meximieux, de La Serraz (1654), de Sommariva ;
comtes de Seyssel-La Balme (1744), de Cevins, de Dammartin, de l'Hueille, de La Chambre (1456)[17],[18], de Montfort, de Montréal, deSeyssel, du Saint-Empire, de l'Empire français ;
seigneurs d’Aiguebelette, d'Aix (1235) avec toute justice, (haute, moyenne et basse), la pêche du lac du Bourget[23], d’Albigny, d’Ambilly, d’Artemare, deBarjac(t)[Note 1], de Beauretour, de Bessinge, de Beyrin, de Blonay, deBourdeau, de Buisson, deChambuet, de Chamoux, de la Charniaz, de Château-neuf, duChâtelard, de Châtelard-en-Semine, deChâtillon, de Chemin, de Chignin, deChoisel, du Cloz ou du Clos (Yenne), de Compois, de Contrevoz, de Cressieu, dela Dragonnière, deFistillieu, de Genost, des Granges, de Jambol, de La Balme, de La Martinière, deMalet, de Marcellaz, de Meyrieux, de Montbressieu, de Munet, de Mussel, de Novalaise, du Pas, de Plantées, de Puygauthier, La Rochette, de Saint-Cassin, de la Sauce (maison forte), deTresserve, de Vacheresse, de Virieu (virieu-le-Grand) (1438-1440), de Saint-Germain-les-Paroisses, deSainte-Hélène-des-Millières, deSaint-Hippolyte-sur-Aix, deSaint-Sigismond (aujourd'hui rattaché à Aix), de Sothonod, de la Tour d’Arbignon, de la Tour de Chavornay, de la Tivolière, de la Tour-de-Lugrin, de Traize, du Villard, de Villaret (Meyrieux-Trouet), de Villeneuve et Truchères ;
Marc de Seyssel-Cressieu a comptabilisé, en 1900,19 branches ayant appartenu ou appartenant à la famille de Seyssel[31],[15], dans son ouvrageLa maison de Seyssel : ses origines, sa généalogie, son histoire d'après les documents originaux (1901), en deux tomes, à diffusion limitée[32]. L'auteur les présente dans l'ordre suivant : la branche aînée, la « Maison de Seyssel dite des barons d'Aix », la seconde est « dite des comtes et marquis de La Chambre », la troisième branche est « celle des marquis d'Aix », issue des La Chambre, qui hérite des titres et biens de la branche aînée[32]. Chaque branche présente une généalogie des différents membres, parfois accompagnée d'une courte notice sur les personnalités.
Les branches secondaires — traitées dans le second tome du comte de Seyssel-Cressieu — sont, selon cette classification, les « seigneurs de Sermoyer, barons et marquis de Meximieux » ; les « barons de Ruffey, comtes de Montfort » ; les « seigneurs d'Aiguebellette et de Châtillonet » ; les « comtes de Cevins » ; les « seigneurs de Sothonod » ; les « seigneurs de la Charniaz » ; les « seigneur de Bessinge » ; les « vicomtes de Choisel » ; les « seigneurs du Châtelard, comtes de Seyssel-La Balme » ; les « barons de La Serraz, marquis d'Aix et de Sommariva » ; les « seigneurs d'Artemare » ; les « seigneur de la Tour de Chavornay » ; les « seigneurs de Champagneux » ; les « seigneurs de Cressieu-Beauretour » ; les « seigneurs de la Bathie » ; la « branche dite des premiers seigneurs d'Aiguebelette »[32].
La présentation suivante repose sur l'ouvrage de 1900 complétée, voire corrigée, par les publications plus récentes. Elle suit, par ailleurs, un ordre chronologique d'apparition.
Les Seyssel héritent du fief d'Aiguebelette du seigneur Aymar de Clermont[33]. Le titre donne naissance à la branche dite d'Aiguebelette[33], que le comte Seyssel-Cressieu nomme comme lespremiers seigneurs d'Aiguebelette[10],[34].
Le premier seigneur mentionné est Humbert de Seyssel, ditle Jeune. Il est le dernier fils du chevalier Humbert (II) de Seyssel, seigneur d'Aix et de Bourdeau, vicomte de Novalaise, de la branche aînée[10],[34].
La seigneurie passe ensuite à la branche des seigneurs d'Aix, puis aux seigneurs de Saint-Cassin et enfin aux seigneurs de Choisel[33].
La branche des Seyssel ditedes seigneurs d'Aiguebelette et de Châtillonet prend naissance avec Pierre de Seyssel, deuxième et dernier des fils du chevalier Aymard de Seyssel († ), baron banneret, seigneur d'Aix, et de sa seconde épouse d'Antoinettede Poitiers[2],[10],[37]. Il hérite notamment de La Serraz et de Saint-Cassin[10],[37]. Il épouse la fille du chevalier Pierre de Gerbais et d'Alix (ou Alise) de Seyssel, issue de la branche des premiers seigneurs d'Aiguebelette[37].
La branche des Seyssel La Chambre apparaît avec Aymon de Seyssel, fils deJean de Seyssel († ),maréchal de Savoie, fils cadet d'Antoine de Seyssel, et de Margueritede La Chambre[2]. Il est autorisé à prendre le nom et les armes des La Chambre, respectant ainsi le testament de 1454 de son oncle, Gaspard de La Chambre[2]. Dans les archives, les membres de la famille porte exclusivement le seul nom de La Chambre, sans mention du nom de Seyssel, à l'exception des membres qui héritent des Seyssel d'Aix, à partir de 1537[20].
Aymon de Seyssel est faitcomte de La Chambre en 1456[17],[18]. Le titre devientmarquis en 1564[17]. En 1629, la branche des marquis d'Aix héritent du titre[17]. La branche des Seyssel La Chambre disparait en 1660[7]. L'ensemble des titres passe à la branche puînée des Seyssel, dite de La Serraz[7].
Les Seyssel de Sermoyer sont issus de Charles de La Chambre (148x-1565) qui a reçu de son père, Louis, comte de La Chambre, la seigneurie deSermoyer (Bresse)[38]. Ils sont considérés comme la quatrième branche de Seyssel, par Marc de Seyssel-Cressieu[38].
Charles de La Chambre s'implante en Bresse à la suite de son union avec la dernière héritière d'une branche desMareschal de Montmélian, des seigneuries deMeximieux et de Montaney (Montanay)[38] et du Crest[39]. La seigneurie de Meximieux est érigée en baronnie, par le ducCharles III de Savoie, le. Lorsque le chevalier de Mareschal meurt, vers 1530[22], les titres et possessions passent aux Seyssel. En s'implantant en Bresse, Charles de La Chambre vend ses possessions de Neyrieu, mais aussi de Sermoyer, tout en continuant à porter le nom pendant quelques années[38]. Il porte également le titre de seigneur de Montréal, ainsi que les titres debaron de Poncin et de Cerdon, sur une courte période avant de les échanger avec le ducEmmanuel-Philibert de Savoie contre la ville dePérouges en 1565[38],[40]. Toutefois, le duc revient sur cet échange deux ans plus tard[40].
Ses enfants étant mort avant lui, le marquis Charles Henri de Seyssel institue pour hériter ses cousins germains Claude et Jean de Seyssel-La Chambre, barons de Ruffey, en 1580[38]. Le marquisat de Meximieux passe à sa mère, Jeanne de Gorrevod, puis à lafamille de Bauffremont[38].
La branche des Seyssel, barons de Ruffey, comtes de Montfort est issue de Philibert de Seyssel, dit de La Chambre, second fils de Charles de Seyssel-La Chambre (148x-1565), auteur de la branche précédente des seigneurs de Sermoyer et barons de Meximieux[41].
À la mort du dernier baron de Ruffey, les biens sont partagés entre ses sœurs[41].
Les Seyssel Châtillon héritent duchâteau et de la seigneurie de Châtillon, installés sur la commune deChindrieux, à la suite du mariage de Claude de Seyssel avec Françoise de Montluel. À la mort de Maurice de Seyssel, le château, fait retour, en 1687[42], par arbitrage, à la branche ainée, en la personne de Sigismond de Seyssel, marquis de La Serraz.
La branche des Seyssel, dits marquis d'Aix[43] est issue des Seyssel-La Chambre[32]. Charles de La Chambre, fils de Jean (I) de La Chambre, devient l'héritier universel de Françoise de Seyssel-La Chambre à la condition qu'il prenne le nom et les armes de la branche aîné, et qu'il garde les quatre baronnies d'Aix, de La Bâtie, de Châtillon et de Maillonnaz[19],[43]. De fait, elle devient la nouvelle branche aînée de la famille[43].
Charles de Seyssel meurt assassiné,ab intestat, en 1570 et sans héritier légitime[43]. Son frère cadet, François, huitième et dernier fils, hérite des droits puisque la plupart de ces frères aînés ont entamé une carrière ecclésiastique[43]. En 1575, il obtient, avec le soutien du roi de France, pour lequel il est gentilhomme ordinaire de la Chambre, que la baronnie d'Aix soit érigée en marquisat par le ducEmmanuel-Philibert de Savoie[7],[43].
Le dernier marquis d'Aix meurt en 1660 sans descendant[43]. Ses titres et droits sont partagés entre ses sœurs et leurs ayants droit[43] :
François-Emmanuel de Fouchier, marquis de Lullin, héritierfidéicommissaire de Louis de Seyssel, obtient les baronnies de Montfalcon et la maison-forte et seigneurie de Longefans, ainsi que la maison de Chambéry ;
Françoise-Paule de La Chambre-Seyssel, marquise de Lullin, obtient la baronnie de Montfort, le comté de Montréal, le fief du Noyer en Bauges et d'autres terres ;
Jacquesd'Allinges, marquis de Coudrée, veuf d'Henriette de La Chambre-Seyssel, obtient la moitié du marquisat d'Aix et la baronnie de La Bâtie-Seyssel ;
Marguerite d'Apchey, fille d'Angélique de La Chambre-Seyssel, obtient l'autre moitié du marquisat d'Aix et la baronnie de Meillonnas.
La branche s'éteint en 1782 avec Charles-François de Seyssel-Choisel[44]. Ce dernier avait épousé Sébastienne-Pétronille de Seyssel du Châtelard, fille du comte de Seyssel-La Balme qui hérite de ses biens[44] (voir ci-après).
La branche des Seyssel de Bessinge, porte le titre de comte de Seyssel d'Aix, en Bavière[32]. La famille est encore présente au début duXXe siècle[32].
Les membres de la branche des Seyssel-La Balme sont faits comte de La Balme en 1744, parLouis XV, en 1744, en faveur d'Antoine-Gilbert de Seyssel-La Balme[45].
Cette branche a pour origine l'union d'Élisabeth, fille duseigneur de Chevelu, avec Claude de Seyssel, fils de Pierre de Seyssel,seigneur d'Aiguebelette. Ils entrent en possession de laterre de La Balme par l'union, le, de François-Hyacinthe de Seyssel, fils du seigneur du Châtelard et de Demoiselle Florence Fournier, fille de Jean-Louis Fournier, seigneur du Port et de La Balme. La branche s'éteint avec Sébastienne-Pétronille de Seyssel du Châtelard, fille et héritière d'Antoine-Gilbert de Seyssel-La Balme, ainsi que des biens des Seyssel-Choisel[44]. Le comte Joseph de Cordon, son second époux, hérite des biens[44].
Jean de Seyssel est à l'origine de la branche des Seyssel de La Serraz, à la fin duXVe siècle[46]. Lechâteau est une possession de la famille depuis Humbert de Seyssel, seigneur d'Aix et de La Serraz, au milieu duXIIIe siècle[46].
Les Seyssel de La Serraz héritent, à la suite d'un procès, du marquisat d'Aix[7]. Cette branche obtient au cours du siècle le marquisat de Sommariva del Bosco[7]. En 1755, le marquis Joseph-Henri-Octave de Seyssel-Asinari vend le marquisat et le château à Jean-Baptiste Salteur[46], pour le prix de100 000 livres[47], donnant naissance à la branche des Salteur de la Serraz. La branche de la famille part s'installer en Piémont[48]. La branche du Piémont prend le nom de Seyssel Asinari.
Le, Christophe de Seyssel, seigneur du Munet, achète lechâteau et le fief de Cressieu, Billieu, Marignieu, Poirin, Chatanod, Chazey (enBugey, appartenant depuis àChazey-Bons)[49] à Jeanne de Moyra, veuve du seigneur de Montfalcon[50]. Le titre de cette acquisition a brûlé en 1794. Cet achat se trouve à l'origine de la branche des Seyssel-Cressieu.
Le noble de Seyssel de Beauretour, seigneur de Cressieu en Bugey, fait enregistrer au greffe de l'élection de Bresse, en1747, les titres de noblesse de sa famille. Celle-ci figure ainsi, depuis le, aux Assemblées de la noblesse du Bugey[51]. Ces successeurs possèdent les terres,fiefs etseigneurie de Novalaise, du Villard, de Choisel, de Malet, de Meyrieux, de La Martinière, de Traize, de La Balme, du Châtelard, de Chambuet, du Clos, de Fistillieu et de la Dragonnière.
Jean de Seyssel, gouverneur et recteur de l'Université de Turin (vers 1459), porte le titre de protonotaire apostolique, au palais épiscopal deTurin (à partir de 1473)[82].
Henri de Seyssel-Cressieu (1900-1989), président de laSociété Le Bugey (1936 – 1942), puis président honoraire. Maire deMagnieu, dans l'Ain (1930 – 1944)[87].
↑Amédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 12-13.
↑a etbAmédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 14-15.
↑Amédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 16-17.
↑ab etcAmédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 18-19.
↑a etbAmédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 20-21.
↑Amédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 22-23.
↑Amédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 24-25.
↑Amédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 26-27.
↑Amédée de Foras,Chevaliers de l'ordre du Collier de Savoie, dit de l'Annonciade, appartenant au duché de Savoie, de 1362 à 1860, Grenoble, Impr. de E. Allier,, 42 p.(lire en ligne),p. 28-29.
↑Dom RomainClair,Hautecombe, Aix-les-Bains, Société d’art et d’histoire d'Aix-les-Bains,, 320 p.(ISBN978-2-9519691-7-9),p. 98
Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier,Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath,, 558 p.(ISBN978-2-7171-0289-5).
Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno,André Palluel-Guillard,Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath,, 463 p.(ISBN978-2-7171-0310-6).
Fonds : Copie de l'inventaire des archives de la famille des de Seyssel et des Etats de la noblesse du Bugey, conservés au château de Musin à Magnieu. Cote : 200 J 342.Archives départementales de l'Ain.