Cet article est uneébauche concernant unlogiciel libre.
Cet articlene cite pas suffisamment ses sources().
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En pratique :Quelles sources sont attendues ?Comment ajouter mes sources ?Développé par | Cyril Jaquier, Arturo 'Buanzo' Busleiman |
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Première version | |
Dernière version | 1.1.0 ()[1]![]() |
Dépôt | github.com/fail2ban/fail2ban![]() |
État du projet | Actif |
Écrit en | Python![]() |
Système d'exploitation | Linux![]() |
Environnement | Type Unix |
Type | Système de prévention d'intrusion |
Licence | GPLv2+ |
Site web | Site officiel |
Fail2ban est unframework de prévention contre les intrusions, écrit enPython. Il fonctionne sur les systèmesPOSIX possédant une interface de contrôle despaquets (tel que TCP Wrapper) ou unpare-feu (tel queNetfilter).
Fail2ban est un service analysant en temps réel les journaux d'évènement de divers services (SSH, Apache, FTP, entre autres) à la recherche de comportements malveillants et permet d'exécuter une ou plusieurs actions lorsqu'un évènement malveillant est détecté.
Ces comportements malveillants sont définis par des filtres. Typiquement, un nombre élevé et répété de tentatives infructueuses de connexion provenant d'une même machine.
Lorsqu'une correspondance à un filtre est détecté, Fail2ban déclenchera les actions configurées pour ce filtre. Typiquement, "bannir" uneadresse IP pendant une periode définie (mise en quarantaine) en l'ajoutant dans une règleiptables. Ou encore l'envoi d'une notification par email, etc.. Il est possible de faire varier la durée du blocage en cas de récidive où selon le nombre de filtres qu'une connexion déclenche[2].
Il permet de ralentir lesattaques par force brute, ainsi que lesattaques par déni de service. Il ne bloque cependant pas efficacement les attaques par déni de service distribués (attaque par déni de service opéré par différentes machines en simultané).