Son nom provient des deux principales rivières qui le traversent, l'Eure, affluent de laSeine, et leLoir, affluent de laSarthe[Note 2]. L'Insee etLa Poste lui attribuent le code 28.
Le département d'Eure-et-Loir s’étend à l'ouest-sud-ouest de l’agglomération parisienne et comprend plusieurs plateaux : leThymerais au nord-ouest, leDrouais au nord, et laBeauce qui s’étend sur l'est, et dont fait partie leDunois au sud. Dans l’ouest du département, le relief s’élève et forme les collines duPerche, attenantes à la fois à laNormandie et auxPays de la Loire. Le Faux Perche marque la transition entre laBeauce et lePerche. Le département a par ailleurs bénéficié de la création duparc naturel régional du Perche.
Les principales rivières du département alimentent deuxbassins versants, celui de laSeine au nord avec son affluent l'Eure et ses sous-affluentsAvre et laBlaise, et celui de laLoire au sud avec son affluent leLoir et ses sous-affluentsOzanne,Conie etYerre.
Schématiquement, quatre « régions » partagent ledépartement : lePerche, au sud-ouest ; le « Faux Perche », à sa marge ; à l'est et au sud, laBeauce, avec la « Beauce chartraine » autour deChartres ; et au nord-ouest, on trouve le Drouais-Thymerais (autour deDreux et deChâteauneuf-en-Thymerais). Lerelief et la disposition descours d'eau dans le Perche et en Beauce peuvent se déduire à partir d’unecarte.
La répartition des cours d'eau est différente : il y en a plus au sud-ouest, dans le Perche, qu'en Beauce. S'il y a une petite différence de lapluviométrie, elle ne peut expliquer à elle seule cette disposition. Quoi qu'il en soit, on constate que dans le Perche l'eau ruisselle en surface, et qu'en Beauce ce n'est pas le cas. Elle s'infiltre : cela est dû à une différencegéologique au niveau des roches du sous-sol. Le sous-sol du Perche est plutôt fait desable et degrès, avec de l'argile àsilex, et le sous-sol de Beauce est, lui, plutôt constitué decalcaire[3].
Concernant la géologie du Perche, la structure actuelle serait en lien avec la formation desAlpes. Lors de cet événement, lesroches sédimentaires se sont plissées et cela a formé un bourrelet (anticlinal) dans la région du Perche. En effet, comme les roches duMassif armoricain sont « rigides » (il s'agit surtout degranite), elles se sont comportées comme un « mur » contre lequel se sont bloquées les roches sédimentaires duBassin parisien, donc du Perche. Le Perche se retrouve donc plus haut que la Beauce. D’autre part, les anciennesfailleshercyniennes (ici du Massif armoricain) ont rejoué et permis l’affaissement du sommet du bourrelet. Ainsi, actuellement, la zone centrale est de l’argile à silex, et autour on trouve du sable ou du grès. La présence d'argile, de grès ou de sable permet somme toute à l'eau de ruisseler et de se rassembler en cours d’eau. La pluviosité est relativement importante (700 mm).
Dans le calcaire de Beauce, on trouve desfossiles, notamment, desplanorbes et deslimnées (desespèces d’eau douce – qui existent toujours -) : il y avait donc un lac en Beauce, c’est lui qui a permis la formation de ce calcaire. On trouve aussi de l’argile à silex, par décalcification du calcaire (qui n’était donc pas pur). Le calcaire s’est dissous, l’argile et les morceaux de silex sont restés. Ainsi, en Beauce, le calcaire se dissout facilement et permet à l’eau de ruissellement de s’infiltrer et il n'y a pas (ou peu) de rivières. De plus, la pluviosité est relativement faible (500 mm).
Lerelief est différent au sud-ouest, et au nord et nord-est : vallonné dans le sud-ouest, relativement plat au nord et au nord-est. D'une part, l'érosion (l'eau) a creusé desvallées dans le Sud-Ouest, donc des reliefs. En plus de cela, le sud-ouest du département se situe dans le Perche qui est une transition entre massif armoricain et bassin parisien. Dans le Nord et le Nord-Est, l'eau a « ramolli » la roche et a donc permis que la surface soit plate : c'est du calcaire plus ou moins argileux (en fait, le calcaire est naturellement dissous par l'eau de ruissellement qui est enrichie par dudioxyde de carbone rejeté par les êtres vivants du sol, et à la fin, cela peut former des « trous » ou des « fissures », appeléesdiaclases). Ainsi, l'eau s'infiltre relativement rapidement en profondeur (sans vraiment ruisseler) pour rejoindre lanappe phréatique retenue par les couches plus profondes et imperméables[4].
Les constructions anciennes montrent en général le contenu du sous-sol : en Beauce, les anciennes maisons sont en calcaire, dans le Perche, elles sont entorchis, enconglomérat appelé « grison » (morceaux de silex cimentés par du calcaire et de l'argile), enbrique et en grès « roussard » (il est de couleur rousse, car assez riche enfer oxydé : larouille).
Ces constructions sont aussi en lien avec l'activité agricole.
Dans le Perche, lesfermes sont allongées (maison d’habitation que l’on agrandit avec le temps, lorsque les besoins s'en font sentir ou lorsqu'il y a suffisamment d'argent…) : on les appelle « longères » ; les champs sont délimités par deshaies. Les animaux sont « parqués » par ces haies[Note 3].
En Beauce, les cours des fermes sont fermées, mais leschamps sont ouverts (openfield). Cela permet de maintenir les animaux d’élevage dans la cour.
Il y a eu une diminution du nombre deparcelles (donc une modification du paysage) en Beauce et dans le Perche à la suite duremembrement entre leXIXe siècle et1980, pour accroître la surface et permettre l’utilisation du matériel agricole.
Le département présente un contraste climatique entre sa partie ouest et sud-ouest, humide etbocagère (qui fait partie du Perche) et sa partie sud et est, beauceronne, qui fait partie des régions les moins arrosées de France, avec le Haut-Languedoc.
Relevé observé de 1971 à 2000, à la station météorologique de Chartres (28)
AuMoyen Âge, le territoire actuel du département est dominé par la ville deChartres. La ville se développe grâce à la culture des riches terres deBeauce (marché au blé) et à sa vocation religieuse due notamment à la présence de larelique du Voile de laVierge (don deCharles II le Chauve en 876). Sur l'impulsion deFulbert de Chartres, elle sera le berceau d'unerenaissance intellectuelle avec la fondation de l'École de Chartres. Au nord,Dreux, la vallée de l'Avre et le Thymerais, de même que le comté du Perche à l'ouest, constituent des postes avancés desrois de France face auxducs de Normandie. Les terres d'Eure-et-Loir, par leur intérêt stratégique, sont donc très tôt ancrées dans la mouvancecapétienne et progressivement rattachées aux anciennes provinces de l'Orléanais et de l'Île-de-France.
À laRévolution, il est dans un premier temps envisagé de créer un département beauceron. La Beauce a en effet l'avantage de n'avoir jamais été une province sous l'Ancien Régime. Sa dimension essentiellement géographique et non politique s'inscrivait donc parfaitement dans l'idéologie révolutionnaire. Ce projet est mis en échec principalement par la volonté du roi de ne pas voir dispersées en un nombre trop important de départements ses possessions franciliennes. La création du département dans sa configuration actuelle tient également aux résistances des terres du Thimerais et du Drouais à se voir agrégées à celles de l'ancienne Normandie, et à l'impossibilité de conserver au Perche son unité, en partie pour des raisons politiques (ancien comté), et surtout à cause de l'absence d'une ville suffisamment importante pour se prévaloir du rang de chef-lieu de département. Chartres, avec entre autres le généralMarceau, l'abbéSieyès ou encoreBrissot de Warville, chef de file desGirondins, donne plusieurs grands hommes à la Révolution.
AuXIXe siècle, le nord du département connaît une forte industrialisation, avec notamment l’imprimerie deFirmin Didot et les manufactures textiles desWaddington. Chartres conserve essentiellement sa vocation commerciale grâce à son important marché au blé et au commerce de la laine des nombreux élevages de moutons, dont la foire de Châteaudun est aussi un haut lieu. Le Perche qui s'est peu développé, et a connu une notable émigration vers leQuébec les siècles précédents, devient une terre denourrices réputées pour leurs qualités maternelles auprès des familles aisées de Paris. Dreux devient également une ville industrielle, en particulier après la crise duphylloxéra qui met définitivement à bas les vignes normandes. Après lecoup d'État du 2 décembre 1851 deNapoléon III, l'Eure-et-Loir fait partie des départements placés enétat de siège afin de parer à tout soulèvement massif. Moins d'une centaine d'opposants sont arrêtés[5]. Le département est durement touché par laguerre de 1870, avec labataille de Loigny et l'incendie de Châteaudun par l'armée prussienne.
Durant laSeconde Guerre mondiale, le département est marqué par son préfetJean Moulin qui y fait son premier acte de Résistance face à l'occupant. La ville de Chartres est partiellement détruite en 1944 par un bombardement quiincendie sa bibliothèque. La ville deLa Loupe est quant à elle presque totalement sinistrée. Après-guerre, l'est du département intègre progressivement l'aire urbaine de Paris, les cantons d'Anet, deMaintenon et deNogent-le-Roi, voire d'Auneau, qui sont dès lors intimement liés à ceux du département desYvelines limitrophes.
Au tournant desannées 1980, Dreux devient une ville politiquement singulière en élisant comme maire en 1977, puis députée en 1981,Françoise Gaspard, l'une des premières femmes politiques ayant assumé publiquement son homosexualité. En 1983, Dreux est le théâtre d'une alliance entre la droite locale et leFront national mené parJean-Pierre Stirbois, dont la veuveMarie-France Stirbois est élue députée en 1989.
Cette section doit êtreactualisée. Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en. Raison :Claude Térouinard (LR), président du conseil départemental depuis 2017.
D'ailleurs c'est leparti socialiste qui prendra les rênes du Conseil général d'Eure-et-Loir en1960, avec la présidence d'Émile Vivier qui durera jusqu'en1976. 1976 est l'année du retour des radicaux à la tête du Conseil général, cependant ils apparaissent sous une forme différente : leparti radical de gauche, parti issu de la scission duPRRRS en 1972.Edmond Desouches puisRobert Huwart, occuperont successivement la présidence du Conseil général sous cette étiquette, et ce jusqu'en1985.
Le département d'Eure-et-Loir fut également connu pour la forte implantation qu'eut leFront National à partir des années 1980. Lors d'une élection municipale partielle à Dreux en1983, leRPR et l'UDF s'allient avec le Front National pour faire basculer la mairie qui était à gauche depuis lesélections municipales de 1977. Cela amène à l'élection du RPRJean Hieaux qui administrera la ville en compagnie du Front National. Le Front National poursuivra sa progression avec l'élection deMarie-France Stirbois au poste de députée de ladeuxième circonscription d'Eure-et-Loir, à l'occasion d'une élection législative partielle en1989. Enfin Marie-France Stirbois obtiendra un autre mandat en devenant conseillère générale ducanton de Dreux-Ouest entre 1995 et 2001. Cette même année marque la fin de l'implantation du parti dans le département, lorsque Marie-France Stirbois quitte le département pour lesAlpes-Maritimes.
Elle compte 2 conseillers départementaux sur 30 : Xavier Roux et Marie-Pierre Lemaître-Lezin, élus du canton deLucé sous l'étiquettedivers gauche.
La gauche a longtemps détenu (1978-2002) lapremière circonscription du département dontGeorges Lemoine était le député. Ancien maire de Chartres et ministre socialiste, il est membre depuis 2008 duParti ouvrier indépendant au nom duquel il s'est présenté à l'élection législative partielle de septembre 2008 (14,51 % des suffrages) et aux élections cantonales de 2011 sur lecanton de Mainvilliers.
Depuis 2015, elle compte enfin 5 conseillers régionaux sur 12 dontHarold Huwart (PRG), vice-président, Estelle Cochard (EÉLV) et trois élus socialistes, Fabien Verdier, Michèle Bonthoux et Valentino Gambuto.
Leshabitants d'Eure-et-Loir sont lesEurélien(ne)s[36].
Au niveau national le département occupe le56e rang.
L'évolution démographique du département, bien que positive, cache des contrastes importants selon les secteurs
L'est du département, dans la zone d'influence directe deParis, bénéficie depuis quelques années, de l'arrivée importante d'une nouvelle population poussée hors de l'Île-de-France par la pression immobilière et à la recherche d'une meilleure qualité de vie. Les agglomérations deChartres et deDreux, bien desservies en transports et en infrastructures, sont au cœur des bassins de vie les mieux pourvus.
À l'ouest : lePerche et son cadre bucolique s'est revitalisé depuis la création duparc naturel régional en 1998 grâce à une population plus touristique et aisée, en quête d'une résidence secondaire
Le centre et le sud du département connaissent une évolution moins favorable. Si la région deCourville-sur-Eure, reliée à Paris et Chartres par le rail et proche de l'autorouteA11 se maintient bien, les secteurs deChâteaudun et d'Illiers-Combray, mal desservis, subissent un solde démographique nul, voire négatif.
Évolution de la population [ modifier ], suite (1)
1851
1856
1861
1866
1872
1876
1881
1886
1891
294 892
291 074
290 455
290 753
282 622
283 075
280 097
283 719
284 683
Évolution de la population [ modifier ], suite (2)
1896
1901
1906
1911
1921
1926
1931
1936
1946
280 469
275 433
273 823
272 255
251 255
255 213
254 790
252 690
258 110
Évolution de la population [ modifier ], suite (3)
1954
1962
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
261 035
277 546
302 251
335 151
362 813
396 073
407 665
421 114
430 416
Évolution de la population [ modifier ], suite (4)
2016
2021
2022
-
-
-
-
-
-
433 929
431 277
432 950
-
-
-
-
-
-
(Sources : SPLAF - population totale du département depuis sa création jusqu'en 1962[37] − puis base Insee − population sans doubles comptes de 1968 à 2006[38] puis population municipale à partir de 2006[39].)
Selon le recensement général de la population du, 6,9 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes d'Eure-et-Loir dont lesrésidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux en 2008 :
Chartres en lumières est une manifestation artistique et culturelle initiée par la ville deChartres en 2003. Chaque année, durant cet événement qui se déroule d’avril à octobre, les principaux monuments de la ville sont mis en lumière et en musique. L'élément principal de Chartres en lumières est laFête de la lumière, qui a lieu habituellement mi-septembre.
La République du Centre (groupe Centre-France, l'édition Orléans-Beauce ne couvre que les cantons d'Orgères-en-Beauce etJanville après la cessation de parution des éditions de Chartres, Dreux, Châteaudun et Nogent-le-Rotrou en mars 2011).
Le département est un acteur économique majeur dans la production decéréales et d'oléo-protéagineux en France[44]. Son économie agricole est néanmoins très fortement dépendante de laconjoncture et de l'environnement réglementaire des marchés desgrandes cultures. L'Eure-et-Loir est le premier céréalier français. Il occupe également le premier rang national pour la production decolza et depois protéagineux. Leblé tendre est de loin la production emblématique du département. Ainsi, près de 40 % des surfaces agricoles du département sont consacrées à la culture du blé tendre, qui a généré en moyenne 29 % de la production agricole marchande du département au cours des cinq dernières années.
L'agriculture du département est également promue par le Pôle AgroDynamic, une filière de valorisation des ressources agricoles du département mis en place dans différents secteurs : agroénergie,agroalimentaire, agromatériaux, agrosanté.
LaCosmetic Valley (pôle de compétitivité), qui constitue le premier pôle français de l'industrie de la beauté et du bien-être (parfums/cosmétique), avec de grands noms commeGuerlain,Paco Rabanne,Lolita Lempicka,JC Castelbajac,Jean-Paul Gaultier… LaCosmetic Valley représente2,5 milliards d'euros de chiffres d'affaires, regroupe200 entreprises, travaille en collaboration avec les universités de Tours, d'Orléans et de Paris et emploie plus de 30 000 employés. Un projet de petit aéroport sur l'ex-base aérienne 279 Châteaudun porté par l'élu local Fabien Verdier est à l'étude, qui aurait pour vocation de profiter aux entreprises du pôle[45].
L'industrie pharmaceutique, autour de Dreux etPolepharma. Créé en 2002 sous l'impulsion du CODEL, PolePharma est un pôle de compétitivité français de production pharmaceutique qui regroupe les entreprises du secteur commeIpsen,Novo Nordisk,Laboratoires Expanscience,Leo Pharma,Ethypharm,Famar,Norgine,Nypro,Synerlab/Sophartex,Seratec... Le pôle représente 50 % de la production de médicament en France et 30 000 emplois. Le Pôle Pharma est par ailleurs l'un des créateurs de l'alliance inter régionalePharma Valley qui regroupe en son sein trois réseaux partenaires : PolePharma, Technopole CBS et le Grepic. À elle seule, l'alliance regroupe 50 % de la production de médicament en France, 60 % des effectifs des sites de production implantés en France et2,5 milliards d'euros de chiffre d'affaires.
Foucher de Chartres (ou Foulques), aumônier deBaudouin premier roi de Jérusalem. Il a écrit l'histoire de ce qui s'est passé de 1095 à 1117. Il avait suivi en Terre SainteÉtiennecomte de Chartres et de Blois ainsi que leduc de Normandie. Il les quitta pour s'attacher à Baudouin qu'il accompagna dans sa conquête de laprincipauté d'Edesse. Originaire d'une des plus anciennes familles de Chartres, il fut fait en 1123 gouverneur duroyaume de Jérusalem pendant la captivité de Baudouin qui en était roi. Il partit avecSaint-Louis et devint son chancelier en l'an 1248 pour la septième croisade. Il mourut lors de ce voyage après la prise deDamiette.
Jeanne de France (Sainte), née le à Nogent-le-Roi, morte le à Bourges, est la seconde fille de Louis XI et de Charlotte de Savoie. Fondatrice de l'ordre monastique de l'Annonciade.
Antoine Godeau, né à Dreux le et mort à Vence le, est un homme de lettres et évêque français.
François de Montmorency-Laval (Saint), né le à Montigny-sur-Avre et mort le à Québec (Canada), premier évêque de Québec.
François Lamy, né le à Montireau et mort le à Saint-Denis, moine bénédictin de la Congrégation de Saint-Maur, théologien et auteur spirituel français.
Louis-Édouard Pie ( -) né à Pontgouin, cardinal de l'Église catholique, évêque de Poitiers.
Franz Stock, (1904-1948) prêtre allemand, aumônier dans les prisons parisiennes durant la Seconde Guerre mondiale (il assiste les condamnés à mort) puis supérieur du « séminaire des barbelés » du Coudray.
Nicolas Escudé, joueur de tennis professionnel né à Chartres.
Kalifa Cissé, footballeur international né à Dreux.
Julien Escudé, footballeur international né à Chartres.
Romain Feillu, coureur cycliste professionnel est né à Châteaudun le. Il a été vice-champion du monde espoirs àSalzbourg en2006 et porteur du maillot jaune en 2008.
↑Le nom du département est quelquefois écritEure-et-Loire, ce qui est une faute d'orthographe causée par une méconnaissance de la géographie : il ne faut pas confondre leLoir,rivière affluent de laSarthe, et laLoire, le grandfleuve bien connu, qui ne passe nullement en Eure-et-Loir, mais à une cinquantaine de kilomètres au sud.
↑Certaines habitations construites un peu plus tard sont fermées, comme celles construites en Beauce et présentées ci-dessous.
↑Il est à noter que le blason, non officiel, du département d'Eure-et-Loir a été créé à partir de ceux ducomté du Perche (partie occidentale du département) et de l'Orléanais.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
Lucien Merlet,Dictionnaire topographique de la France. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir comprenant les noms de lieu anciens et modernes : rédigé sous les auspices de laSociété archéologique d'Eure-et-Loir, par M. Lucien Merlet ; publié par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la direction duComité des travaux historiques, Paris, Impr. impériale,, 254 p.(BNF30931080,lire en ligne) ;