Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Estarvielle

42° 49′ 15″ nord, 0° 24′ 58″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Estarvielle
Estarvielle
Vue du village.
Blason de Estarvielle
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementHautes-Pyrénées
ArrondissementBagnères-de-Bigorre
IntercommunalitéCommunauté de communes Aure Louron
Maire
Mandat
Henri Armanet
2020-2026
Code postal65510
Code commune65171
Démographie
GentiléEstarviellois
Population
municipale
34 hab.(2022en stagnation par rapport à 2016)
Densité43 hab./km2
Géographie
Coordonnées42° 49′ 15″ nord, 0° 24′ 58″ est
AltitudeMin. 923 m
Max. 1 168 
m
Superficie0,8 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Neste, Aure et Louron
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Estarvielle
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Estarvielle
Géolocalisation sur la carte :Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Estarvielle
Géolocalisation sur la carte :région Occitanie
Voir sur la carte administrative de région Occitanie
Estarvielle
modifier 

Estarvielle est unecommune française située dans le sud-est dudépartement desHautes-Pyrénées, enrégionOccitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans lePays d'Aure, constitué de lavallée de la Neste (en aval deSarrancolin), de lavallée d'Aure (en amont deSarrancolin) et de lavallée du Louron.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par laNeste du Louron et par deux autres cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de troiszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Estarvielle est une commune rurale qui compte 34 habitants en 2022, après avoir connu un pic de population de 109 habitants en 1836..

Ses habitantssont appelés lesEstarviellois.

Géographie

[modifier |modifier le code]

Localisation

[modifier |modifier le code]
Carte

La commune d'Estarvielle se trouve dans ledépartement desHautes-Pyrénées, enrégionOccitanie[I 1].

Elle se situe à 53 km à vol d'oiseau deTarbes[1],préfecture du département, à 35 km de Bagnères-de-Bigorre[2],sous-préfecture, et à 32 km deCapvern[3],bureau centralisateur ducanton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour lesélections départementales[I 1].La commune fait en outre partie dubassin de vie d'Arreau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Armenteule (0,5 km),Adervielle-Pouchergues (0,9 km),Mont (1,1 km),Cazaux-Fréchet-Anéran-Camors (1,2 km),Loudervielle (1,3 km),Génos (1,6 km),Vielle-Louron (1,9 km),Avajan (2,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Estarvielle fait partie du pays de la vallée d'Aure oupays d'Aure, constitué de la vallée de laNeste (en aval deSarrancolin), de lavallée d'Aure (en amont deSarrancolin) et de lavallée du Louron (confluente àArreau)[5].

Carte de la commune d'Estarvielle et des proches communes.
Communes limitrophes d’Estarvielle[6]
Cazaux-Fréchet-Anéran-Camors
Adervielle-PoucherguesEstarvielleMont
LoudenvielleLoudervielle

Paysages et relief

[modifier |modifier le code]
  • Sélection de vues diverses
  • Entrée du village
    Entrée du village
  • Chapelle Saint-Antoine
    Chapelle Saint-Antoine
  • Vue du sud
    Vue du sud
  • Vue en hiver.
    Vue en hiver.

Hydrographie

[modifier |modifier le code]

La commune est dans lebassin versant de la Garonne, au sein dubassin hydrographiqueAdour-Garonne[7]. Elle est drainée par laNeste du Louron, L'Arrieu et le ruisseau de poudaque, constituant unréseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].

LaNeste du Louron, d'une longueur totale de 32 km, prend sa source dans la commune deLoudenvielle et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans laNeste àArreau, après avoir traversé 10 communes[9].

Climat

[modifier |modifier le code]

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat de montagne », selon la typologie desclimats de la France qui compte alors huit grands types de climats enmétropole[10]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie parMétéo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour lesprécipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

Avec lechangement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par laDirection générale de l'Énergie et du Climat[13] complétée par des études régionales[14] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, « Génos », sur la commune deGénos, mise en service en 1969[15] et qui se trouve à 2 km àvol d'oiseau[16],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de7,8 °C et la hauteur de précipitations de 1 483,6 mm pour la période 1981-2010[17].Sur la station météorologique historique la plus proche, « Tarbes-Lourdes-Pyrénées », sur la commune d'Ossun, mise en service en 1946 et à 54 km[18], la température moyenne annuelle évolue de12,2 °C pour la période 1971-2000[19], à12,6 °C pour 1981-2010[20], puis à12,9 °C pour 1991-2020[21].

Milieux naturels et biodiversité

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Liste des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique des Hautes-Pyrénées.

L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.Une ZNIEFF detype 1[Note 5] est recensée sur la commune[22] :« laNeste du Louron et ses affluents » (145 ha), couvrant 15 communes du département[23] et deux ZNIEFF detype 2[Note 6],[22] :

Urbanisme

[modifier |modifier le code]

Typologie

[modifier |modifier le code]

Au, Estarvielle est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

[modifier |modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (81,6 %), prairies (13,3 %), forêts (5,1 %)[26].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

  • Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
  • Photo aérienne en couleurs de la commune.
    Carte orthophotogrammétrique de la commune.

Logement

[modifier |modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 31[I 5].
Parmi ces logements, 41.9  % sont des résidences principales, 51.6  % des résidences secondaires 6.5  % des logements vacants.

Voies de communication et transports

[modifier |modifier le code]

Cette commune est desservie par laroute départementaleD 618 et par laroute départementaleD 25.

Risques majeurs

[modifier |modifier le code]

Le territoire de la commune d'Estarvielle est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité moyenne)[27]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment laNeste du Louron. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre duXIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de laDREAL Occitanie[29]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[30],[27].

Estarvielle est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord lecode forestier et l’arrêté préfectoral du, qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[31]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Estarvielle.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[32].

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa faible (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 29 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[33],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].

Toponymie

[modifier |modifier le code]
Extrait de lacarte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Estarvielle à l'est de Génos

Le nom de la localité est attesté sous les formesDestarbiele en 1276;Starvilla en 1387 (pouillé duComminges);Escarville en 1413;Starbielh en 1667;Estarbielh en 1740;Estarvielle en 1755,Estarvielle en 1790 (Département 2)[35].

Il s'agit d'un type toponymique médiéval en-vielle, forme partiellement francisée de l'occitan gasconvièla « domaine rural, village », équivalent à l'ancien françaisvile de même sens (> français moderneville). Il est issu ultimement du bas latinvilla « grand domaine rural ».

Le premier élémentEstar- représente unanthroponyme comme c'est la règle dans ce type de formations toponymiques. En général, il s'agit d'un nom de personne germanique.

Albert Dauzat identifie dansEstar- l'anthroponyme germanique (wisigothique)Asthar[36], autrementAstharus cité parMarie-Thérèse Morlet[37], hypothèse reprise par la suite sans plus de précision sur l'origine de ce nom de personne germanique[38]. Ce nom germanique est attesté en Gascogne :Astarius abbé deSimorre auXe siècle.

Nom enoccitangasconEstarvièla

Remarque : le nom wisigothiqueAsthar (ou plus largement germanique), s'il est compatible phonétiquement avec cette explication, n'est pas nécessairement la seule possibilité. En effet, les formes anciennes, trop tardives, ne rendent pas compte du passage deAs- àEs-. En revanche, les formes enStar- laissent penser que c'estStar- qui a évolué enEstar-. Cette évolution correspond à un phénomène régulier d'épenthèse dans le groupe [s] + consonne dans les langues romanes de l'ouest (même chose en français, cf. par exemple : le gallo-romanSTUDIA >estudie (XIIe siècle) >estuide >étude).

Histoire

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Préhistoire

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Antiquité

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Moyen Âge

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Temps modernes

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Révolution française et Empire

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Époque contemporaine

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Monographie

[modifier |modifier le code]
Monographie de l'instituteur public de l'école d'Estarvielle, M. Borde, le 12 avril 1887[39].

I

La commune d'Estarvielle se trouve située sur le confins du département des Hautes-Pyrénées, au midi de la vallée du Louron. Au centre de ce gracieux et pittoresque paysage, on jouit de la vue du panorama de la vallée et à l'horizon se perd la chaîne des Pyrénées d'où se trouve le Mont Clarabide, remarquable suivant la tradition, par le col qui a donné passage à l'armée du roi d'Aragon, pour délivrer la fille de ce dernier mariée à un seigneur espagnol, Don Roger, demeurant à Arenvielle. Le château seigneurial a été assiégé par l'armée du roi d'Aragon à l'aide de radeaux qu'on a lancé sur un lac qui aujourd'hui forme le plateau où se déploie le territoire agricole de Genest et de Loudenvielle sous Philippe le Bel après la paix avec la maison d'Aragon.

Estarvielle est bornée au nord par les terres d' Anéran-Camors, à l'Est par les terres de Fréchet-Cazaux et de Mont, au midi par celles d' Armenteule et par celles de Loudervielle et à l'Ouest par la rivière Neste qui la sépare des terres d' Adervielle.

Son étendue du Nord-Ouest au Sud-Est est de 1 450 mètres, du Nord-Est au Sud-Ouest de 1 250 mètres, du Nord au Sud 900 mètres et de l'Est à l'Ouest 1 090 mètres. La distance au chef-lieu de canton est de six kilomètres 500 mètres, au chef-lieu d'arrondissement 46 kilomètres et au chef-lieu du département 67 kilomètres.

Estarvielle est située sur la rive droite de la Neste, village placé sur un terrain à pente insensible mais les terres qui se trouvent au levant présentent beaucoup plus d'inclinaison et sont accidentés de quelques monticules, d'où l'on contemple à l'horizon, le panorama de la vallée, les pics de Rouyette, de Cascarre, de Hourgade, d'Abeille et de Clarabide où le chasseur pyrénéen exerce son adresse sur le chamois, gibier de ces hautes régions.

Parmi les mamelons précités, nous citerons le Puyo de la Hourque comme légendaire. Suivant la tradition, ce lieu était désigné à l'expiation des crimes. On rapporte qu'un homme y a été pendu. Dans le temps, au bout d'une fourche, pour avoir violé les mœurs.

Le sol de cette commune, de nature calcaire et argileuse produit d'abondants fourrages pour l'alimentation des animaux domestiques ; mais les céréales ont à souffrir des rigueurs d'un hiver trop long.

Le ruisseau de la Poudaque qui traverse le territoire dans la direction de l'Est à l'Ouest, prend sa source sur la montagne de Mont. Les eaux de ce ruisseau sont utilisées pour l'arrosage des prairies, elles en favorisent le rendement, car ce sont ses eaux bienfaisantes, elles produisent les effets du Nil que le sol égyptien.

La rivière Neste qui borne le territoire à l'aspect du couchant tout en alimentant la force motrice de plusieurs moulins, aux deux rives, offre encore l'arrosage de certaines prairies contigües au courant. Son débit moyen peut être 2170 litres par seconde tandis qu'aux fortes crues, ce débit pourra être multiplié par 8 soit 17 360 litres par seconde.

Toutes les eaux qui courent dans le territoire d'Estarvielle sont potables ; mais elles ne sauraient offrir de propriétés privilégiées, pas de sources thermales.

L'altitude 720 mètres de cette commune offre une température privilégiée, en égard aux montagnes environnantes et une salubrité satisfaisante. Le climat est doux malgré la durée d'un hiver de 4 à 5 mois comparativement aux communes environnantes.

Les vents dans cette commune ne se font pas sentir avec trop d'impétuosité. Le vent du Nord est celui qui domine, celui du Midi sèche parfois la fleur de sarrasin, mais les vents d'Ouest amènent des bourrasques fâcheuses.

II

La population de cette commune d'après le recensement de 1886 s'élève à 88 habitants partagés en 20 feux ou ménages.

L'organisation municipale se compose d'un comité de six membres dont un maire président, un adjoint au maire, chargé de la police rurale et de huit membres assesseurs, ce qui constitue le conseil municipal.

La commune est desservie, pour les cultes, par le curé du lieu, pour les finances par le receveur municipal ayant sa résidence privilégiée à Arreau et pour les postes par le bureau de poste de Bordères.

La valeur du centime le franc suivant le cadastre s'élève à 0 f 21417 et le revenu en 1887 est de 1842 f 52 centimes.

III

La commune d'Estarvielle produit des céréales pour l'alimentation de ses habitants ; mais en quantité insuffisante. Le sol arable est divisé en trois assolements principaux dont un tiers environ est consacré à la culture du blé et du seigle. Le rendement moyen peut être évalué de 14 à 17 hectolitres par hectare.

Le deuxième tiers est consacré à la culture printanière, l'orge et l'avoine dont le rendement moyen peut s'élever de 14 à 18 hectolitres par hectare. L'orge est employée à la panification et produit un aliment assez savoureux ; mais peu substantiel.

Le troisième tiers est consacré à la culture du sarrasin, du lin, du chanvre, des pommes-de-terre et à celle des légumes verts. La pomme-de-terre est la culture principale dont le rendement moyen peut s'élever de 50 à 60 hectolitres par hectare. Les rendements précités sont exclusivement consacrés à l'alimentation des ménages locaux.

La moitié du sol cultivé constitue la prairie naturelle dont le rendement produit d'abondants fourrages absorbés pour l'alimentation des animaux domestiques du lieu. La commune ne possède pas de pâturages communaux.

Les habitants d'Estarvielle exercent encore le procédé de culture routinier sauf quelque amélioration pour le labourage qui se fait avec la charrue en fer nouveau système.

Pas de bois, pas de forêts, propriétés communales ?

Les animaux domestiques sont : la vache, la brebis, le cheval, l'âne, la poule, la dinde.

Pas de chasse, pas de pêche, pas de produits industriels.

La commune possède un seul moulin à farine, propriété privée.

La commune d'Estarvielle communique aux autres communes de la vallée par des chemins d'intérêt commun et par des chemins vicinaux.

Au chef-lieu d'arrondissement distant de 46 kilomètres par la route thermale n°1 qui relie Bagnères-de-Luchon à Bagnères-de-Bigorre, par la montagne, et par la route départementale et au chef-lieu du département, distant de 67 kilomètres par la route départementale. Pas de voie ferrée. La gare plus rapprochée est distante de quelques kilomètres, pas de voitures locales publiques.

Le commerce local consiste dans la vente des produits engraissés des animaux domestiques, pas de foires, pas de marchés locaux, le plus rapproché se tient à Arreau distant de 13 kilomètres.

Comme ancienne mesure locale, la commune d'Estarvielle conserve le coupeau qui correspond à 13 litres un tiers ; mais il est fait un plus grand usage des mesures nouvelles et la couperade est encore usitée pour les mesures agraires, cette mesure correspond à 182 mètres carrés.

IV

Estarvielle dont l'origine m'est inconnue doit évidemment remonter à une époque très ancienne où la féodalité a attribué, à l'époque, des titres, puisque par tradition on cite la demoiselle d'Estarvielle qui habitant des châteaux dont l'un est représenté par l'église actuelle d'Estarvielle qui conserve les murs des anciens châteaux féodaux et un autre dont les ruines ont été restaurées par la famille Fouran, aujourd'hui représentée par M. Fourette, gendre de M. Fouran et plus tard nous trouvons Adémar de Paucis, baron d'Estarvielle et de Mont qui auXIIIe siècle fit donation à la commune de Loudervielle de certains droits qu'il possédait : d'où je conclurai pour étymologie du lieu : Vielle - Villa - Séjour - Estar - Extra, (grand gala) lieu donc, où la seigneurie se réunissait pour prendre des plaisirs d'où Estarvielle lieu estival.

Il y avait, suivant la tradition, un homme à Estarvielle (Pichon) qui un jour des siècles derniers, fut invité à un banquet tout clérical. Ce Pichon possédait une instruction tout élémentaire ; mais il était doué d'un naturel privilégié.

Les prêtres qui prenaient part au banquet pour éprouver la vertu du commensal hétérogène à leur secte sociale convinrent de parler en latin, langue inconnue à ce dernier.

Le dîner fut servi dans de bonnes conditions, la conversation s'anime, seul Pichon est bouche close.

(" Nécessité pas a loi " dit le proverbe du pays) ainsi Pichon interrompt le jeu de la conversation en disant " datis vinis a Pichonis d'Estarviellis " Donnez du vin à Pichon d'Estarvielle.

La municipalité d'Estarvielle, comme la plupart des communes de la vallée, était un comité clérical. Les prêtres retenaient les actes de l'État civil et donnaient les avis administratifs aux circonstances. Depuis que l'instruction a fait des progrès, les hommes ont acquis des droits, et la commune a été administrée par un maire assisté de neuf assesseurs qui tous réunis constituent le conseil municipal.

Les habitants conservent l'idiome patois bien que le français soit assez bien compris et que la majeure partie des citoyens le parlent aux circonstances.

Comme chant légendaire, il ne m'a pas été possible de recueillir des écrits.

Les habitants d'Estarvielle doués de mœurs sociales vivent des fruits respectifs de leurs travaux et des fruits qu'ils récoltent de leurs propriétés. Les liens sympathiques qui les caractérisent font qu'ils livrent leurs propriétés, après l'enlèvement des récoltes, au parcours de la vaine pâture où les habitants du lieu conduisent leurs animaux domestiques. Ils se paient encore certains services mutuels. L'esprit local est bénévolement porté à ce genre de vis sociale.

Le culte catholique est professé par tous les habitants.

La principale alimentation locale consiste dans la consommation des céréales qu'on récolte ; seigle, froment ou blé en petite quantité et orge pour la panification. Il est fait un grand usage du blé noir (sarrasin qui peut être tire son nom des premiers peuples qui l'ont introduit. Le laitage, la pomme-de-terre et autres plantes potagères telles que pois, haricots, lentilles et fèves constituent l'entretien permanent des ménages locaux.

Enseignement

L'enseignement dans les temps primitifs était donné, suivant la tradition, par des bénédictins que les prêtres ont plus tard remplacé, et enfin des instituteurs ont été postérieurement chargés, par les communes, de l'instruction des enfants sur des traitements d'aujourd'hui dérisoires. Ces maîtres étaient payés par les parents des élèves, d'après un taux mensuel suivant les cours et les écoles n'étaient fréquentés que les quatre ou cinq mois de l'année jusqu'à l'époque où l'état est intervenu et a nommé des maîtres à titre.

Aujourd'hui, l'école d'Estarvielle bien que mixte ne reçoit pas de filles. Il existe un couvent où deux religieuses congréganistes professent l'enseignement gratuit pour les filles de la commune.

L'état de l'instruction dans le temps actuel est satisfaisant puisqu'il n'est pas de conscrits illettrés dans la dernière année, ni de conjoint qui n'ait apposé son nom.

La commune d'Estarvielle ne possède pas de bibliothèque scolaire, ni municipale. Pas de caisse des écoles, pas de caisse d'épargne scolaire, les revenus locaux ne sauraient favoriser ces institutions.

Le traitement du maître actuel s'élève à 1200 f.
 

Cadastre napoléonien d'Estarvielle

[modifier |modifier le code]

Leplan cadastral napoléonien d'Estarvielle est consultable sur le site desarchives départementales des Hautes-Pyrénées[40].

Politique et administration

[modifier |modifier le code]
La mairie en 2016.

Liste des maires

[modifier |modifier le code]
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
     
avant 19882001Jean-Marie Carrère  
mars 2001mars 2008Bernard Castet  
mars 2008en coursHenri Armanet  

Rattachements administratifs et électoraux

[modifier |modifier le code]

Historique administratif

[modifier |modifier le code]

Sénéchaussée deToulouse ou d'Auch,élection deRivière-Verdun,vallée du Louron,canton deBordères-Louron (1790-2014)[41].

Intercommunalité

[modifier |modifier le code]

Estarvielle appartient à lacommunauté de communes Aure Louron créée au 1er janvier 2017 et qui réunit 47 communes.

Services publics

[modifier |modifier le code]
Liste des juridictions compétentes pour la commune[42]
 

Population et société

[modifier |modifier le code]

Démographie

[modifier |modifier le code]

Évolution démographique

[modifier |modifier le code]
Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].

En 2022, la commune comptait 34 habitants[Note 7], en stagnation par rapport à 2016 (Hautes-Pyrénées : +1,59 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
7859871019210910510092
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
1039393939191888882
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
706150525249495451
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
484140393529292930
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
3734-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puisInsee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier |modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[47].

Économie

[modifier |modifier le code]

Emploi

[modifier |modifier le code]
Taux de chômage
200820132018
Commune[I 6]13,8 %0 %0 %
Département[I 7]7,7 %9,4 %9,8 %
France entière[I 8]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 28 personnes, parmi lesquelles on compte 77,8 % d'actifs (77,8 % ayant un emploi et 0 % de chômeurs) et 22,2 % d'inactifs[Note 8],[I 6]. En 2018, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 9]. Elle compte 11 emplois en 2018, contre 10 en 2013 et 8 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 22, soit unindicateur de concentration d'emploi de 51,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 64,7 %[I 10].

Sur ces 22 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 81 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 19 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine

[modifier |modifier le code]
L'église Saint-Pierre en 2016.
La chapelle Saint-Antoine en 2021.

Lieux et monuments

[modifier |modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Héraldique

[modifier |modifier le code]
Article connexe :Armorial des communes des Hautes-Pyrénées.
BlasonBlasonnement :
De gueules à deux fers de lance d'or posés en pal et rangés en fasce.

Voir aussi

[modifier |modifier le code]
Le monument aux morts municipal.

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète.Votre aide est la bienvenue !Comment faire ?

Articles connexes

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier |modifier le code]

Notes et cartes

[modifier |modifier le code]
  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter leclimat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[12].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique d'Estarvielle » surGéoportail(consulté le 3 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », surremonterletemps.ign.fr(consulté le). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).

Références

[modifier |modifier le code]

Site de l'Insee

[modifier |modifier le code]
  1. abc etdInsee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », surle site de l'Insee,(consulté le).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville d' Estarvielle
  6. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Estarvielle »(consulté le).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées »(consulté le).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Estarvielle »(consulté le).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).

Autres sources

[modifier |modifier le code]
  1. Stephan Georg, « Distance entre Estarvielle et Tarbes », surfr.distance.to(consulté le).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Estarvielle et Bagnères-de-Bigorre », surfr.distance.to(consulté le).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Estarvielle et Capvern », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Communes les plus proches d'Estarvielle », survillorama.com(consulté le).
  5. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 281-282.
  6. Carte IGN sousGéoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. »[PDF], surdraaf.occitanie.agriculture.gouv.fr(consulté le).
  8. « Fiche communale d'Estarvielle », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie(consulté le).
  9. Sandre, « la Neste du Louron »
  10. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  11. « Le climat en France métropolitaine », surmeteofrance.fr,(consulté le).
  12. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  13. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », surecologie.gouv.fr(consulté le).
  14. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », suroccitanie.chambre-agriculture.fr,(consulté le).
  15. « Station Météo-France Génos - métadonnées », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  16. « Orthodromie entre Estarvielle et Génos », surfr.distance.to(consulté le).
  17. « Station Météo-France Génos - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  18. « Orthodromie entre Estarvielle et Ossun », surfr.distance.to(consulté le).
  19. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1971-2000 », surinfoclimat.fr(consulté le).
  20. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1981-2010 », surinfoclimat.fr(consulté le).
  21. « Station météorologique de Tarbes-Lourdes-Pyrénées - Normales pour la période 1991-2020 », surinfoclimat.fr(consulté le).
  22. a etb« Liste des ZNIEFF de la commune d'Estarvielle », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  23. « ZNIEFF « la Neste du Louron et ses affluents » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  24. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  25. « ZNIEFF la « vallée du Louron » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  27. ab etc« Les risques près de chez moi - commune d'Estarvielle », surGéorisques(consulté le).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surGéorisques(consulté le).
  29. DREAL Occitanie, « CIZI », suroccitanie.developpement-durable.gouv.fr(consulté le).
  30. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », surgouvernement.fr(consulté le), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  31. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », surhautes-pyrenees.gouv.fr(consulté le).
  32. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », surgouvernement.fr(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  34. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Estarvielle », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  35. LEJOSNE (Louis-Antoine),Dictionnaire topographique du département des Hautes-Pyrénées, révisé et annoté par R. Aymard, Uzos, 1992, p. 66.[1]
  36. Albert Dauzat etCharles Rostaing,Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud,(ISBN 2-85023-076-6).
  37. Ernest Nègre,Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, Genève, 1991, p. 960, n° 17264 (lire en ligne)[2]
  38. Michel Grosclaude etJean-François Le Nail,Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  39. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Monographie d'Estarvielle en 1887
  40. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral d'Estarvielle en 1832
  41. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  42. « Liste des juridictions compétentes pourEstarvielle », surle site duministère de la Justice(consulté le)
  43. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  44. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  45. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  46. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  47. « Annuaire : Résultats de recherche », surle site du ministère de l'Éducation nationale(consulté le).
v ·m
CC Aure Louron
46 communes
CC du Plateau de Lannemezan NBB
15 communes
v ·m
Communes
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Estarvielle&oldid=223754500 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp