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Escoussans

44° 41′ 06″ nord, 0° 15′ 55″ ouest
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Escoussans
Escoussans
La mairie.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementGironde
ArrondissementLangon
IntercommunalitéCommunauté de communes Convergence Garonne
Maire
Mandat
Catherine Bertin
2020-2026
Code postal33760
Code commune33156
Démographie
GentiléEscoussanais
Population
municipale
276 hab.(2022en évolution de −11,25 % par rapport à 2016)
Densité54 hab./km2
Géographie
Coordonnées44° 41′ 06″ nord, 0° 15′ 55″ ouest
AltitudeMin. 23 m
Max. 97 
m
Superficie5,11 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionBordeaux
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de l'Entre-Deux-Mers
LégislativesDouzième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Escoussans
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Escoussans
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Escoussans
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Escoussans
Liens
Site webmairie-escoussans.jimdo.com/
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Escoussans est unecommune duSud-Ouest de laFrance, située dans ledépartement de laGironde, enrégionNouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Localisation

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Vue aérienne du bourg d'Escoussans (photo de Jean Carrier).

Vignes, bois, vallons etruisseau composent les paysages de cette localité typique de l'Entre-deux-Mers. Escoussans se trouve sur un plateau incliné d'ouest en est, avec un faible dénivelé estimé à 73 m, ce qui crée des paysages vallonnés favorables à l'exposition des vignobles.
La côte d'altitude la plus significative est au nord-est, au lieu-dit Pasquet qui culmine à 96 m. Le point le plus bas est situé au moulin de Laubès à 23 m d'altitude, en fond de vallée.
Le bourg se trouve, quant à lui, à une altitude de 45 m
[1].

La commune est située à 36 km au sud-est deBordeaux, chef-lieu du département, à 20 km au nord deLangon, chef-lieu d'arrondissement et à 7 km au sud deTargon, ancien chef-lieu de canton[2].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontLadaux au nord-nord-est sur à peine 50 mètres,Porte-de-Benauge à l'est,Omet au sud également sur à peine 50 mètres,Laroque au sud-sud-ouest sur moins de 500 mètres,Rions au sud-ouest etSoulignac à l'ouest.

Carte
Les limites communales de Escoussans et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes d’Escoussans[3]
Ladaux
SoulignacEscoussansPorte-de-Benauge
Rions,
Laroque
Omet

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Gironde.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[4]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud sans saison sèche[5]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique[6] et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à20 jours)[7]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[8],[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 848 mm, avec12,1 jours de précipitations en janvier et6,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deSaint-Sulpice-de-Pommiers à12 km àvol d'oiseau[10], est de13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 764,8 mm[11],[12]. La température maximale relevée sur cette station est de41,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−12,1 °C, atteinte le[Note 1].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Escoussans est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[13].Elle est située hors unité urbaine[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[14]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[15],[16].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (70,5 %), forêts (17,3 %), prairies (7,1 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports

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Les principales voies de communication routière traversant le village sont :

L'accès à l'autoroute A62 (Bordeaux-Toulouse) le plus proche est l'échangeurno 2 dePodensac qui se situe à 13 km vers le sud-ouest.
L'accès
no 1 de Bazas à l'autoroute A65 (Langon-Pau) se situe à 34 km vers le sud.
L'accès le plus proche à l'
autoroute A89 (Bordeaux-Lyon) est celui de l'échangeur autoroutier avec laroute nationale 89, accèsno 9, qui se situe à 27 km vers le nord.

La gareSNCF la plus proche est celle, distante de 9,5 km par la route vers le sud-ouest, deCérons sur laligne Bordeaux-Sète duTER Nouvelle-Aquitaine. Sur la même ligne mais offrant plus d'opportunités de liaisons, lagare de Langon se situe à 20 km par la route vers le sud.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Escoussans est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations, mouvements de terrains etséisme (sismicité très faible)[18]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1999, 2009 et 2020[20],[18].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[21]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Escoussans.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 129 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 129 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et par des mouvements de terrain en 1999[18].

Toponymie

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En ce qui concerne les origines du nom de la commune, plusieurs hypothèses ont été avancées :

  • le nom d'un homme, Scottius (ou Scotius), associé au suffixe latin -anu(m), signale une fondationgallo-romaine attestée par l'archéologie ;
  • durant l'occupation des Wisigoths en Aquitaine, en 418, le nom d'un homme, Scuzzeo, suivi du suffixe germanique-ing, serait devenu Escoussans[24] ;
  • il proviendrait du patronyme des seigneurs du lieu, en l'occurrence de Bernard d'Escoussans[25], aussi appelé Bernard Seguin d'Escoussans. Cette hypothèse est peu probable, car les Escoussans se nomment en réalité les Seguin[26]. Ils ont ajouté Escoussans à leur nom de famille (ce qui donne les Seguin d'Escoussans), à la suite de leur installation comme seigneurs dans la paroisse d'Escoussans. Dans la branche des Seguin, on retrouve également un seigneur dénommé Auger Seguin de Rions (Rions vient du nom d'un village qui touche celui d'Escoussans) ;
  • dans le Sud-Ouest de la France, les noms de lieux ont parfois une base hydronymique : Escout (Escot) est un village des Pyrénées-Atlantiques situé sur un cours d'eau, l'Escou. Une escorra est un ruisseau, un fossé, une rigole ou un canal ; c'est ce terme qui est à la base des toponymes Escource (Landes) et Escoursolles, quartier de Pissos (Landes). Dans le Languedoc, escourrou est un nom topographique désignant un courant, une rigole, une conduite d'eau[27]. Escoussans se situe au bord d'un ruisseau, l'Œuille (il peut s'agir d'une simple coïncidence).

Concernant ces hypothèses, les étymologies se sont peut-être superposées au fil du temps, ce qui est fréquent en toponymie[27].

Engascon, le nom de la commune est Escossan.

Histoire

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Des traces de vie apparaissent sur la commune d'Escoussans dès leNéolithique, comme l'atteste la découverte d'une hache polie sur le site de la Pereyre.
D'autres signes de présence humaine ont été observés, notamment pendant l'époque gallo-romaine, sur les sites de Pasquet, de Liron (vestiges d'habitations) et de Balaurin (découverte en1957 d'un trésor monétaire constitué de 26 pièces d'antoniniens).
Des sondages réalisés à l'extérieur de l'église Saint-Seurin semblent témoigner d'une occupation de la commune à l'époque mérovingienne.
On estime que cetteparoisse serait apparue autour duVIe siècle, et qu'elle couvrait un territoire plus important qu'aujourd'hui.

C'est à partir duXIe siècle qu'Escoussans apparait dans des sources écrites. On retrouve le nom du lieu dans lecartulaire deLa Sauve-Majeure (entre 1095 et 1208) sous différentes formes[24] :

  • Escozan, Scozan, Eschozan, Esquozan, Escocan, Excuchan, Escossan, Scossan (occitan) ;
  • Scutatio, Scuciano (latin) ;
  • Scutian, Scotian, Scocian, Excuchano.
Blason de la famille « Seguin d'Escoussans », seigneurs d'Escoussans puis bâtisseurs et seigneurs du château de Langoiran.

AuxXIe,XIIe et XIIIe siècles, une famille de nobles, lesSeguin, possède des terres et des biens à Escoussans, qui est un de leurs fiefs[26]. Ils prennent, dès lors, le nom de « Seguin d'Escoussans », s'appropriant le nom du lieu sur lequel ils exercent leur seigneurie.À cette époque, les Seguin d'Escoussans sontmilites (équivalent dechevalier) et seigneurs vassaux à la cour des seigneurs deBenauges.
AuXIIIe siècle, ils bâtissent lechâteau de Langoiran et en deviennent seigneurs (ce qui étend encore plus leur pouvoir dans la région).
Les Seguin d'Escoussans conservent leur titre et exercent leursprérogatives banales jusqu'au rattachement de la seigneurie à lamaison d'Albret, en1345[1] (date du mariage d'Amanieu d'Albret et de Mabille Seguin d’Escoussans).

La présence à Escoussans deschevaliers de l'Ordre du Temple (ou de celle des chevaliers deSaint-Jean de Jérusalem) est une piste plausible à cette époque (XIIe et XIIIe siècles). En effet, un manoir datant duXVIe siècle et situé dans le bourg de la commune, porte le nom énigmatique de « Commanderie de Saint-Vincent » (le nom fait sans doute référence à un édifice antérieur au manoir, qui se trouvait sur le même emplacement). Sur la façade de ce manoir, on observe également deux importants symboles utilisés par les chevalierscroisés : deux croix pattées (doit-on voir ici un hommage des bâtisseurs, ou des gens qui ont restauré le manoir, aux anciens occupants du lieu ?).

À laRévolution, la paroisse Saint-Seurin d'Escoussans forme la commune d'Escoussans[28], une petite paroisse du pays deBenauge qui compte, selon les sources de 1790, environ 370 habitants. Elle est composée pour majorité de paysans, d'artisans et de quelques familles de la bourgeoisie rurale locale. On y produit du blé froment, du vin, du foin, du bois et quelques légumes, qui sont acheminés vers le port deCadillac.
LaRévolution marque une période où les paysans s'opposent auseigneur de Benauge lorsqu'ils contestent le versement, injuste à leurs yeux, desdroits seigneuriaux. Escoussans se dote par la suite d'une garde nationale et d'une municipalité (dont le premier maire fut Benoît Menguin, laboureur)[1].

Politique et administration

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
c. 1790 Benoît Menguin Laboureur
  ...  
19451965Pierre DeloubisDroiteConseiller général
19651995Henri DeloubisDroiteConseiller général
juin 19952014Jean-Michel MenguinSE 
20142015Éric Denisse Fonctionnaire de catégorie b
20152020Jean-Jacques Chatelier Employé
2020en coursCatherine Bertin Contrôleur de Gestion RH

Le, Escoussans quitte lacommunauté des communes rurales de l'Entre-Deux-Mers à destination de lacommunauté de communes de Podensac, des Coteaux de Garonne et de Lestiac-sur-Garonne, Paillet, Rions[29].

Démographie

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Les habitantssont appelés les Escoussanais[30].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].

En 2022, la commune comptait 276 habitants[Note 3], en évolution de −11,25 % par rapport à 2016 (Gironde : +6,91 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
366363350359335338321301296
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
286275300315286308297282307
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
329317347328318314284285297
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
288247243260262244267270320
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
299276-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puisInsee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments

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  • Façade ouest de l'église Saint-Seurin Saint-Roch (juillet 2016).
    Façade ouest de l'église Saint-Seurin Saint-Roch(juillet 2016).
  • Pigeonnier près de l'église Saint-Seurin Saint-Roch (décembre 2010).
    Pigeonnier près de l'église Saint-Seurin Saint-Roch(décembre 2010).
  • Croix de mission de Miaille (décembre 2010).
    Croix de mission de Miaille(décembre 2010).

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  1. ab etcÀ la découverte de l'Entre-deux-Mers : Escoussans, A.S.P.E.C.T. (Association pour la Sauvegarde du Patrimoine et de l'Environnement du Canton de Targon),.
  2. Distances les plus courtes par la route - Les distancesorthodromiques sont respectivement de 30,3 km pour Bordeaux, 14,7 km pour Langon et 5,8 km pour Targon. Données fournies parlion1906.com, consulté le 22 avril 2013.
  3. Carte IGN sousGéoportail
  4. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  5. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  6. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  8. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  9. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  10. « Orthodromie entre Escoussans et Saint-Sulpice-de-Pommiers », surfr.distance.to(consulté le).
  11. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers », sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  12. « Station Météo-France « St Sulpice De Pommiers », sur la commune de Saint-Sulpice-de-Pommiers - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  13. « La grille communale de densité », surinsee,fr,(consulté le).
  14. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bordeaux », surinsee.fr(consulté le).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », surle site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  18. ab etc« Les risques près de chez moi - commune d'Escoussans », surGéorisques(consulté le).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », surGéorisques(consulté le).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », surgironde.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque inondation.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », surgironde.gouv.fr(consulté le), chapitre Mouvements de terrain.
  22. a etb« Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Escoussans », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  24. a etbBénédicte Boyrie-Fénié,Dictionnaire toponymique des communes : Gironde, Pau, Éditions CAIRN,, 402 p.(ISBN 978-2-35068-012-5).
  25. Escoussans sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 23 septembre 2015.
  26. a etbPierre Julesde Bourrousse de Laffore et GabrielO'Gilvy,Nobiliaire de Guienne et de Gascogne : revue des familles d'ancienne chevalerie ou anoblies de ces provinces, antérieures à 1789, avec leurs généalogies et leurs armes ; Traité héraldique sous forme de dictionnaire. Tome 3, Paris, Dumoulin (Paris), 1856-1883(lire en ligne),p. 96, 97.
  27. a etb« Plan cadastral / Les lieux dits d'Escoussans », surmairie-escoussans.jimdo.com.
  28. Historique des communes,p. 19, sur GAEL (Gironde Archives en ligne) des Archives départementales de la Gironde, consulté le 2 avril 2013.
  29. https://www.gironde.gouv.fr/content/download/37509/260966/file/RAA%2033%20SPECIAL%20N%C2%B0%202017-153.pdf
  30. Nom des habitants de la commune surhabitants.fr, consulté le 2 avril 2013.
  31. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  35. L'église Saint-Roch Saint-Seurin sur le site officiel de la commune, consulté le 9 avril 2013.
  36. L'église Saint-Seurin d'Escoussans sur le site officiel du tourisme en Aquitaine, consulté le 9 avril 2013.
  37. « Eglise paroissiale Saint-Seurin, Saint-Roch », surpop.culture.gouv.fr(consulté le).
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