Pour les articles homonymes, voirSimon etErnest Simon.
Cet article est uneébauche concernant unpeintrefrançais.
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Ernest Simon, né le àParis et mort le auCaire, est unpeintrepaysagiste etorientalistefrançais.
Ernest Constant Simon naît le, dans l'ancien12e arrondissement de Paris, du mariage de Jean Marie Simon,mégissier, et de Thérèse Sophie Niquet[1].
Il entre comme apprenti dans une imprimerie lithographie puis, après une rencontre avec le peintre Roger de Beauffort, devient zouave pontifical et part enItalie. Après la chute de Rome, en 1870, il revient en France dans l'armée auxiliaire et est démobilisé en.
En 1871, âgé de23 ans, il décide de devenir peintre paysagiste et fréquente le cours d’Armand Cassagne, l’atelier d’Émile Dardoize puis l’atelier d'Alexandre Cabanel. Il peint et dessine en plein air à Paris, en Normandie et en Bretagne[2].
Le, il épouse Jeanne Louise Dardoize, fille d'Émile Dardoize, dans le6e arrondissement de Paris. Ils ont 7 enfants dontJacques Simon qui deviendra artiste peintre[1].
En 1880, il expose, auSalon des artistes français, 2 aquarelles de paysage. Il participe également aux Salons de 1881 et 1882[3].
Toujours en 1880, il achète une maison àCarolles enbaie du Mont-Saint-Michel, un de ses sites préférés. Il peint également àNice et en Italie avecCharles Toché, l'Italie où il retourne souvent et particulièrement àVenise.
À partir de 1886, il part pour l'Algérie, et ses œuvres le désignent comme orientaliste.
Au cours de ses 9 dernières années, il effectue2 grands voyages par an, et parcourt la Suède, la Hollande, la Martinique, l’Italie, l’Espagne, le Maroc, l’Algérie, la Tunisie et l’Égypte. Il passe l'hiver à Paris ou l’été à Carolles, et forme des élèves[2].
En 1894, lui et son fils Jacques sont domiciliés au n°4rue Coëtlogon dans le6e arrondissement de Paris[4].
En 1895, le galeriste Georges Petit expose 52 de ses aquarelles orientalistes.
Reparti pour l'Égypte, il meurt le auCaire.
En 1995, une exposition lui est consacrée à Paris. Les villes deGranville,Guingamp etVitré, ainsi que le Conseil régional de Martinique, conservent ses œuvres[2].
En 1894, le critique Eugène Guénin lui consacre un long article qui sera repris dans l’ouvrageLes Parisiens de Paris : Silhouettes artistiques, Paris, Pairaud,.