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Entre-deux-guerres

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Cet article concerne l'intégralité de la période, pour la deuxième moitié de la période, voirGrande dépression.

L'entre-deux-guerres est la période comprise entre la fin de laPremière Guerre mondiale, en, et le début de laSeconde Guerre mondiale, en. L'expression est utilisée dès ladéfaite de 1940[1].

Ces vingt et une années sont marquées par un bouleversement durable des rapports de force internationaux, après l'effondrement des anciens empiresallemand,autrichien,russe etottoman, l'acquisition du statut de première puissance économique mondiale par lesÉtats-Unis et la création de l'URSS (après laguerre civile russe). Elles sont également caractérisées par la cristallisation d'idéologies (communisme,nationalisme,fascisme,nazisme) en blocs géopolitiques, par la multiplication enEurope de laviolence politique, des conflits locaux et des incidents diplomatiques et par l'apogée desempires coloniaux, notammentfrançais etbritannique, particulièrement enAfrique et enAsie.

À partir de 1929, laGrande Dépression et la montée des nationalismes étatiques agressifs créent une atmosphère de tension et de peur alimentées par l'installation au pouvoir d'idéologies totalitaires.

En Europe, la brutalité humaine, sociale, politique, militaire et industrielles des deuxguerres mondiales, d'une violence inouïe, cause de millions de victimes, a donné lieu à l'idée d'uneguerre civile européenne qui aurait duré sous diverses formes du début du siècle à 1945. L'entre-deux-guerres apparaît ainsi comme une période de brève et relative accalmie.

Cette période connaît des progrès techniques et scientifiques considérables et de grands changements culturels et sociaux.

Chronologie détaillée :

1919
1920 -1921 -1922 -1923 -1924
1925 -1926 -1927 -1928 -1929
1930 -1931 -1932 -1933 -1934
1935 -1936 -1937 -1938 -1939

Désignation

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L'appellation « entre-deux-guerres », utilisée pour cette période, est unchrononyme rétrospectif à prendre avec recul, car elle ne retranscrit en rien l'esprit de l'époque[2]. En effet, les protagonistes n'avaient pas conscience de vivre une période de calme – tout relatif – avant un second conflit mondial, et ce, même si des signes politiques alarmants le laissaient présager, et que la période était loin d'être exempte de conflits régionaux.

La première moitié de la période a été appelée enFrance « lesAnnées folles » les meilleures années, essentiellement pour les ruptures dans le comportement social (nouvelles esthétiques artistiques transgressives, développement des transports individuels, modification des codes de comportement, en particulier chez les femmes des classes supérieures et moyennes). Les États-Unis parlent deRoaring Twenties et les Britanniques de « Golden Twenties ».

La seconde moitié de la période, est celle de laGrande Dépression et du basculement d'une grande partie de l'Europe dans la dictature.

Cette période constitue néanmoins un ensemble cohérent et homogène qui peut s'appréhender dans sa globalité. Sous couvert d'une critique des horreurs dutotalitarisme, l'historienEnzo Traverso voit une certaine unité dans la période 1914-1945, qu'il décrit comme un déchirement de l'Europe dans son ensemble, composée deguerres totales sans lois ni limites, de guerres civiles locales et degénocides. C'est ce qu'il appelle une « guerre civile européenne », une sorte de nouvelleguerre de Trente Ans[3].

L'après-guerre

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LeConseil des Quatre lors de laconférence de paix réunissant les vainqueurs de 1918 : le BritanniqueDavid Lloyd George, l'ItalienVittorio Orlando, le FrançaisGeorges Clemenceau et l'AméricainWoodrow Wilson.

Laguerre de 1914-1918 s'acheva par la victoire des pays démocratiques (France, Grande-Bretagne, Italie et les États-Unis) tandis que s’effondraient les grands empiresaustro-hongrois,russe etottoman[4]. Dans un premier temps, le prestige qui en rejaillit sur le système dedémocratie parlementaire conduisit les nouveaux pays à l'adopter[4].

Le règlement général du conflit mondial pose de nombreux problèmes. L'Europe, dans son ensemble très affaiblie, peine à se remettre de ses blessures. Le bilan est dramatique sur le plan humain et matériel alors qu'un nouveau rapport de force international voit le jour. Une nouvelle carte du continent émerge qui crée de nouvelles tensions. Pendant cette décennie, dans de nombreux pays européens, la thésaurisation des pièces de monnaie en or, argent et bronze conduit les chambres de commerce, des autorités locales et des commerçants à émettre unemonnaie de nécessité.

Le calme ne revient en fin de compte qu'au milieu de la décennie. Après 1925, c'est effectivement l'avènement d'une ère nouvelle – celle de lasécurité collective – qui semble s'imposer au monde : laSociété des Nations, après quelques débuts difficiles, trouve ses marques alors que lesaccords de Locarno règlent au mieux les rapports franco-allemands.

Les années 1920 en Europe

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Carte de l'Empire austro-hongrois en 1914 avec les zones linguistiques selon le recensement de 1890, les frontières de 1914 (rouge) et celles de 1919 (bleu) tracées par laCommission Lord en application desquatorze points du président Wilson pour marquer le passage d'unordre impérial transnational à un ordre d'États-nationsparlementaires : la plupart sont encore en place au début duXXIe siècle.
Carte de l'Europe en 1923.

L'espérance de la paix

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Après le traumatisme de laPremière Guerre mondiale, fusaient en France les « plus jamais ça ! », on parlait du conflit comme de « La Der des Ders » (« dernière des dernières »)[5].

LaSociété des Nations (SDN) fut créée en 1920[n 1]. Cette organisation internationale avait pour objectifs ledésarmement, la prévention des guerres au travers du principe desécurité collective, la résolution des conflits par la négociation et l’amélioration globale de laqualité de vie. Le principal promoteur de la SDN fut leprésident des États-UnisWoodrow Wilson, mais lesÉtats-Unis n’en firent jamais partie. La SDN connut des succès notables dans lesannées 1920, mais fut totalement incapable de prévenir les agressions successives des pays de l’Axe dans lesannées 1930.

L'approche diplomatique qui avait présidé à la création de la Société représentait un changement fondamental par rapport à la pensée des siècles précédents, en prônant la négociation collective à l'encontre de la diplomatie secrète. Cependant, la Société n’a jamais eu de force armée « en propre » et, de ce fait, dépendait desgrandes puissances pour l’application de ses résolutions, que ce soit les sanctions économiques ou la mise à disposition de troupes en cas de besoin.

De nombreux mouvements pacifistes apparurent, et s'internationalisèrent.

En 1921 se tint le premier congrès de laLigue internationale pour l'éducation nouvelle. La plupart des grands noms de l'éducation nouvelle étaient présents à ce congrès :Adolphe Ferrière,Jean Piaget,Maria Montessori etAlexander Sutherland Neill qui fonda l'école de Summerhill quelques mois plus tard[6]. Marqués par les dégâts de laPremière Guerre mondiale, il s'agissait pour eux de lancer le grand projet d'une éducation internationale.Henri Wallon en dit plus tard[7] :

« Ce Congrès était le résultat du mouvement pacifiste qui avait succédé à la Première Guerre mondiale. Il avait semblé alors que pour assurer au monde un avenir de paix, rien ne pouvait être plus efficace que de développer dans les jeunes générations le respect de la personne humaine par une éducation appropriée. Ainsi pourraient s'épanouir les sentiments de solidarité et de fraternité humaines qui sont aux antipodes de la guerre et de la violence. »

Travailleurs et socialismes

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Article détaillé :Internationale communiste.

Dès 1917, lors de larévolution d'Octobre, le gouvernement bolchevique instaura lajournée de huit heures, satisfaisant une des revendications récurrentes dumouvement ouvrier[8]. Craignant la propagation du bolchevisme, les gouvernements de pays capitalistes firent de même, telle laFrance le, sur proposition dugouvernement Clemenceau qui craignait unegrève générale[9].

Une conférence internationale appelée par les bolcheviks se tint en mars1919 à Moscou et se transforma en congrès de fondation de laIIIe Internationale. Les années 1919-1923 sont remplies d'espoir. Mais toutes les insurrections armées en Europe échouent et sont réprimées : révoltespartakiste deBerlin en janvier 1919,République des conseils de Hongrie qui voit la Hongrie dirigée 133 jours parBéla Kun au printemps 1919, reflux des grèves insurrectionnelles de 1919-1920 en Italie.

Affiches depropagande allemandes et soviétiques desannées 1930 : l'« Homme nouveau », héros vaillant et musclé, se dresse contre l'ancien monde sous l'égide éclairée d'un guide tout-puissant issu du peuple qui, en 1949, inspirera àGeorge Orwell le personnage deBig Brother deson roman1984.

Un tournantautoritaire apparaît dès1920-1921 avec l'exclusion de nombreux militants de la gauche de l'Internationale. Pour adhérer à laIIIe Internationale, les partis membres durent à partir de juillet 1920 accepter les « 21 conditions », draconiennes, qui alignent leurs structures et leurs méthodes sur le modèle bolchevik, jusque-là inconnu hors de Russie. Beaucoup de communistes, mais aussi de militants venus de l'anarcho-syndicalisme ou de la gauche républicaine radicale, ont adhéré en pensant qu'ils pourraient toujours garder une certaine autonomie. Mais Moscou entendait aligner fermement les partis sur le modèle russe.

Empires et colonies

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À la fin de laPremière Guerre mondiale, les empiresallemand etottoman se trouvent dans le camp des vaincus. Le démantèlement de l'empire colonial allemand et de l'Empire ottoman bénéficie tout particulièrement aux empires coloniauxfrançais etbritannique, qui atteignent ainsi leur apogée durant cette période.

Les mandats au Proche-Orient

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Malgré les promesses d'indépendance faites auxArabes, laconférence de San Remo, s'inscrivant dans la suite des accords secretsSykes-Picot, place laSyrie, laPalestine, leLiban, l'Irak et l'Arabie sous mandats britannique et français[10].

Par letraité de Sèvres, le territoire turc devait également être partagé en zones d'influence au profit des Alliés, ainsi que des minorités kurdes et arméniennes. Les termes de cet accord provoquent en Turquie un sursaut national autour deMustafa Kemal Atatürk qui déclenche uneguerre d'indépendance. Celle-ci aboutit à la chute de l'Empire ottoman et à la proclamation de laRépublique turque, rendant le traité de Sèvres inapplicable et qui ne fut donc jamais ratifié. Un nouveau traité plus avantageux pour la Turquie fut négocié, letraité de Lausanne, qui garantit l'intégrité du territoire de la République turque réduit aux régions nonarabophones et abandonnant le projet de zones d'influence.

Les luttes pour l'indépendance

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Marche du sel enInde.

EnIrlande, à l'instar des pays de l'Europe de l'Est nés du démantèlement des empiresaustro-hongrois etrusse, leparlement irlandais faisant valoir dudroit des peuples à disposer d'eux-mêmes adopte unedéclaration d'indépendance, le. Le refus dugouvernement britannique d'accéder aux revendications irlandaises déclencha uneguerre d'indépendance qui aboutit en juillet 1921 à la création de l'État libre d'Irlande et à laguerre civile irlandaise.

Certains États de l'Empire britannique - leCanada, l'Australie, laNouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud etTerre-Neuve - bénéficiaient déjà d'une grande indépendance vis-à-vis duRoyaume-Uni de par leur statut dedominions. Ils virent leur souveraineté totale garantie via laDéclaration Balfour de 1926 et leStatut de Westminster de 1931, qui abolissaient les derniers droits d'ingérence qu'avait conservés sur eux legouvernement britannique.

Dans l'empire des Indes, leMahatma Gandhi multipliait lesmanifestations non violentes et lesgrèves de la faim en vue d'obtenir pour celui-ci, un statut de largeautonomie politique au sein de l'Empire britannique, analogue à celui dont bénéficient les colonies à population européenne comme le Canada ou l'Australie. Face au refus dugouvernement de Londres d'accéder à ces revendications, les positions se radicalisent et certains membres duparti du Congrès (le parti auquel appartenait Gandhi), menacent de déclencher une guerre en faveur de l'indépendance. Le, Gandhi entama une « marche du sel » en vue d'arracher l'indépendance dusous-continent indien auxBritanniques.

L'Afrique coloniale

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Lescolonies des Empiresfrançais etbritannique avaient joué un rôle important pendant laPremière Guerre mondiale, fournissant auxAlliés des soldats, de la main-d’œuvre et des matières premières. 1,5 million de combattants africains avaient été mobilisés et, au total, 2,5 millions de personnes furent touchées, d'une manière ou d'une autre, par l'effort de guerre.

Les régions de l'Afrique centrale,australe etoccidentale connurent une période particulièrement difficile durant l'entre-deux-guerres ; l'écrasement de nombreuses révoltes laissa les populations désemparées ce qui favorisa l'essor de mouvements messianiques plus ou moins liés à des revendications d'indépendance[11]. PlusieursÉglises d'institution africaine furent fondées à cette époque : leKimbanguisme auCongo, l'Église harriste enCôte d'Ivoire, le mouvementAladura issu duNigeria ou l'Église chrétienne de Sion depuis l'Afrique du Sud.

Larévolution égyptienne de 1919 contre le colonialisme britannique enÉgypte et auSoudan aboutit à la promulgation de ladéclaration unilatérale d'indépendance de l'Égypte en 1922 ; toutefois il s'agissait là d'une indépendance formelle ; l'indépendance politique effective ne s'est réalisée que pendant les années 1950[12].

Un élan culturel

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Joséphine Baker, figure emblématique des « années folles » en France.

Ces vingt années connaissent également un formidable élan intellectuel, artistique et technique qui voit s’accélérer un véritable renouveauculturel et se développer lecinéma, laradio, l’aéronautique et l’automobile. Ces années de tensions extrêmes semblent annoncer nossociétés actuelles, marquées par la rapidité descommunications, la prégnance desidéologies et laconsommation de masse.

La culture des années folles

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Articles détaillés :Années folles etRoaring Twenties.

Dès la fin de la guerre, une recherche du plaisir et des nouveautés succéda aux inquiétudes de celle-ci[13]. L'optimisme est général et la reprise économique apparaît comme solide après les problèmes économiques de l'immédiat après-guerre.

Mais la réaction intervint dans le même temps : laprohibition fut établie le 29 janvier 1919 par le18e amendement de la Constitution des États-Unis puis entérinée par leVolstead Act du 28 octobre de la même année.

Lacrise de 1929 réveilla partiellement des tensions encore vives qui ne firent que s'exacerber.

Le crash de 1929

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Les années 1930 sont le théâtre d'unecrise économique d’une ampleur mondiale, déclenchée par lekrach de 1929 et dont la principale conséquence sera l’exacerbation de la concurrence entre les nations : les rivalités économiques ouvrent la porte à des rancunes politiques plus anciennes, souvent nées d’ailleurs du règlement à courte vue de laPremière Guerre mondiale.

La montée des nationalismes

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L'entre-deux-guerres est surtout marquée par la montée desnationalismes, tant enEurope (notamment enEurope de l'Est et enEurope du Sud) qu’enAmérique du Sud ou enAsie, ainsi que par un développement sans précédent desidéologiestotalitaires, qu’elles soient de droite (fascisme,nazisme) ou de gauche (communisme).

EnItalie,Benito Mussolini obtient les pleins pouvoirs en 1922, met en place unrégime nationaliste, autoritaire et expansionniste, et se rapproche progressivement de l'Allemagne, jusqu'à signer avec elle lePacte d'acier en 1939 et à entrer dans la guerre.

Panorama du site de l'Exposition universelle de 1937 à Paris depuis lepalais de Chaillot : le pavillon de l'Allemagne nazie surmonté d'un aigle, à gauche, fait face à celui de l'Union soviétique surmonté deL'Ouvrier et la Kolkhozienne.
Panorama du site de l'Exposition universelle de 1937 à Paris, lesfontaine de Varsovie sont visibles. Au milieu des années 1930, la photographie couleur est inventée, accessible aux amateurs et aux professionnels (Kodachrome etAgfacolor).

Staline impose sa dictature enURSS dès la fin des années 1920. Il met en place unpouvoir personnel brutal dont les conséquences meurtrières sont notamment lesgrandes famines des années 1932-1933 et lespurges de 1937. Sonpacte de non-agression avec Hitler entraîne une profonde crise des relations internationales, qui précède de quelques jours seulement l'invasion de la Pologne par leIIIe Reich et le basculement de l'Europe dans la guerre.

Hitler parvient à obtenir lespleins pouvoirs duReichstag en 1933. Il impose progressivement sadictature à l'Allemagne (Gleichschaltung). Il engage le pays dans une politique délibérément nationaliste,raciste etantisémite, et procède à unréarmement massif. Sa politique d'expansion territoriale, sous couvert depangermanisme, remet en cause les équilibres fragiles duTraité de Versailles et conduit à la guerre enEurope en 1939, guerre qui devient mondiale.

EnEspagne, lajeune République est confrontée en 1936 à uncoup d'État militaire qui fait suite à la victoire duFront populaire et qui entraîne le pays dans une féroceguerre civile. La guerre s'achève en 1939 sur la victoire des nationalistes et legénéral Franco met en place unedictature nationaliste, conservatrice et catholique.

En Asie, le Japon s'engage dès le début des années 1930 dans unepolitique expansionniste notamment enChine continentale (l'île de Taïwan est déjà japonaise depuis 1895) où le pays est déstabilisé par uneguerre civile, permettant à l'armée nippone d'occuper la Mandchourie. Le pays se dote progressivement d'un régime de quasi-dictature militaire, nationaliste et raciste. Le Japon étant confronté à l'Armée rouge dans sa mainmise sur la Chine et ses tentatives de déstabilisation de laMongolie, il s'engage dans un rapprochement avec les nazis à travers lePacte anti-Komintern, que rejoindront par la suite les autres dictatures européennes.

Des conflits d'envergure mondiale, mettant aux prises de grandes puissances, annoncent le pire (conquête de laMandchourie par leJapon en 1931,seconde guerre italo-éthiopienne en 1935,guerre civile espagnole en 1936, etc.) alors que laSociété des Nations, chargée de garantir lapaix mondiale, s’avère en fin de compte impuissante.

Notes et références

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Références

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  1. Dominique Kalifa, « L'entre-deux-guerres »,Les noms d'époque. De "Restauration" à "années de plomb", dir. Dominique Kalifa,‎,p. 257-276.
  2. Dominique Kalifa, "L'entre-deux-guerres n'aura pas lieu"",Littérature,no 193, 2019,p. 101-113.
  3. Enzo Traverso,À feu et à sang : De la guerre civile européenne 1914-1945, Stock, 2007.
  4. a etbRalph Schor,Crises et dictatures dans l'Europe de l'entre-deux-guerres , 1919-1939,Nathan,,p. 7.
  5. René Rémond, « Le pacifisme en France auXXe siècle »,Autres Temps. Les cahiers du christianisme social,vol. 1,no 1,‎,p. 7-19(lire en ligne).
  6. Robert Skidelsky,Le mouvement des écoles nouvelles anglaises
  7. Henri Wallon, dansPour l’Ère Nouvelle,no 10, 1952,
  8. Cécile Lefèvre.Note sur les notions de chômage et d'emploi dans les années 1920 et 1930 en URSS.Cahiers du monde russe : Russie, Empire russe, Union soviétique, États indépendants. 1997, volume 38,no 38-4,p. 617-627.
  9. Najib Souamaa, « La loi des huit heures : un projet d’Europe sociale ? (1918-1932) »,Travail et Emploi,no 110,‎(lire en ligne, consulté le).
  10. Henry Laurens, « Comment l'Empire ottoman fut dépecé »,Le Monde Diplomatique,‎(lire en ligne).
  11. Catherine Coquery-Vidrovitch,Petite histoire de l'Afrique,La Découverte,p. 173-174.
  12. Pierre Brocheux,Samia El Mechat, Marc Freyet al., « Chapitre 7 - De l’indépendance formelle à l’indépendance réelle 1945-1958 », dans : ,Les décolonisations au XXe siècle. La fin des empires européens et japonais, sous la direction de BROCHEUX Pierre. Paris, Armand Colin, « Collection U », 2012, p. 99-122. DOI : 10.3917/arco.broch.2012.01.0099,lire en ligne
  13. Ralph Schor,Crises et dictatures dans l'Europe de l'entre-deux-guerres, 1919-1939,Nathan,,p. 41-42.

Notes

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  1. Introduite par letraité de Versailles en 1919, lui-même élaboré au cours de laConférence de paix de Paris, pendant laquelle a été signé leCovenant ou le Pacte qui institue la Société des Nations, afin de préserver lapaix enEurope à la fin de la Première Guerre mondiale

Voir aussi

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Bibliographie

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Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • DominiqueKalifa,« L'entre-deux-guerres », dans Dominique Kalifa (dir.),Les noms d'époque : de « Restauration » à « années de plomb », Paris,Gallimard,coll. « Bibliothèque des histoires »,, 349 p.(ISBN 978-2-07-276383-0).
  • Ralph Schor,Crises et dictatures dans l'Europe de l'entre-deux-guerres, 1919-1939, Nathan,(ISBN 978-2091905440). Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Enzo Traverso,À feu et à sang : De la guerre civile européenne 1914-1945, Stock,. Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article
  • Anne Bléger et Myriam Tsikounas,La Fabrication des vedettes dans l'entre-deux-guerres. Petits arrangements avec la biographie, Rennes, PUR, 2024, 222 p.

Articles connexes

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Liens externes

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