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| Naissance | |
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| Décès | |
| Nom de naissance | Emmanuelle Hung Atienza |
| Surnom | Emman Conyo Final Boss |
| Nationalité | |
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| Père |
| A travaillé pour | Mentality Manila |
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Emmanuelle Hung Atienza, née le àManille (Philippines) et morte le àLos Angeles (Californie), est unevidéaste webphilippino-taïwanaise,artiste etmilitante pour lasanté mentale, connue pour son implication sur le sujet ainsi que son expression créative.
Atienza naît le àManille, aux Philippines, de l'animateur de télévisionKim Atienza et de l'éducatrice-conservatrice Felicia Hung-Atienza[1]'[2]'[3]'[4], également présidente de laPhilippine Eagle Foundation[5]'[3]. Benjamine et seconde fille d’une fratrie de trois enfants, son frère et sa sœur se nomment respectivement Jose III et Eliana. Elle est aussi la petite-fille de Lito Atienza, qui était maire de Manille au moment de sa naissance[2]'[3]. D'origine philippine et taïwanaise, elle a grandi dans un foyer bilingue où l'anglais était principalement parlé[1].
Atienza fréquente l'école internationale chinoise de Manille pendant ses premières années et a ensuite terminé sesétudes secondaires à l'International School Manila[1]. Elle participe également à la Parsons School of Design Summer Academy àNew York, suivant un cours intensif d'art et de design en 2024.
Elle a accusé d'abus une femme anonyme qui travaillait comme nounou pour sa famille[6] : selon Atienza, cette femme était verbalement et physiquement abusive, a proféré des menaces de mort et l'a forcée à des relations intimes alors qu'elle était encore une enfant au moment des faits présumés[7].
Atienza commence à publier du contenu créatif surTikTok etInstagram, où elle gagne en importance et se fait connaître par un humour léger, ses commentaires sur les questions sociales et la culture d’actualité auprès de la jeunesse, ainsi que la franchise de son expression personnelle[2]'[3]'[6]. Sa personnalité et son esprit engageant lui valent le surnom de « Conyo Final Boss », faisant référence à son accent anglais fluide et à son ton comique jugé pertinent par son public[3].
En 2023, elle rejoint la division d'influence numérique du Sparkle GMA Artist Center, Status by Sparkle, qui la décrit comme « une influenceuse prometteuse, une amoureuse de la mode et une personnalité de lagénération Z »[8].
Elle est également active dans le mannequinat et la mode, ayant participé à des ateliers avec Farrah Models Philippines et le Coco Rocha Model Camp à New York, et fait ses débuts sur le podium à la Bench Fashion Week en 2022[3].
Au-delà du divertissement, Atienza explore l'art et la photographie, en tant que vice-présidente du club dephotographie de l'International School Manille et en maintenant une page en ligne distincte pour ses œuvres d'art[9].
Le, Atienza se donne la mort chez elle àLos Angeles, enCalifornie, à l'âge de19 ans[10] parpendaison[10]'[11]'[12]. Ses parents ont annoncé sa mort le 24 octobre.
Sa famille la décrit comme« une âme compatissante qui a apporté de la joie, du rire et de l'amour dans la vie de tous ceux qui la connaissaient », soulignant son courage et son ouverture sur la santé mentale.
En 2022, Atienza reçoit un diagnostic de trouble destress post-traumatique complexe, untrouble bipolaire et unTDAH avec des caractéristiquesborderline etparanoïaques. Dans une interview avecTatler Asia, elle attribue partiellement ses problèmes de santé mentale aux abus qu'elle a subis dans son enfance de la part de sa nounou[7].
Elle a un style de vie actif, participant à la gymnastique, au ballet, à l'escalade, à la plongée libre et à la natation pendant ses années d'école[3]. Elle exprime également son intérêt pour la psychologie, aspirant à ouvrir un jour un centre de services de conseil aux Philippines[1].
Son initiative trouve son origine dans ses propres expériences et ses années de thérapie à partir de l'âge de douze ans[9].
Elle exprime également son soutien aux causes sociales, notamment les actions de solidarité pour laPalestine et le travail bénévole local avec One Race for Filipino Services, qui aide les communautés défavorisées[9].
Sur les médias sociaux, elle utilise sa plateforme pour discuter du rétablissement de la santé mentale, du privilège et de la résilience, encourageant souvent l'empathie et la compréhension parmi ses adeptes[13].
En 2024, Atienza est devenu virale pour avoir répondu aux critiques en ligne concernant un défi des médias sociaux qui impliquait un grand projet de loi sur les restaurants. Elle a précisé que l'événement avait été parrainé et a utilisé le moment pour réfléchir à la sensibilisation de la classe, déclarant qu'elle ne refusait pas son privilège et se qualifiait souvent de « bébénépo »[1]'[2]'[4].
