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Elne

42° 35′ 59″ nord, 2° 58′ 16″ est
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Elne
Elne
Blason de Elne
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionOccitanie
DépartementPyrénées-Orientales
ArrondissementCéret[1]
IntercommunalitéCommunauté de communes des Albères, de la Côte Vermeille et de l'Illibéris
Maire
Mandat
Nicolas Garcia
2020-2026
Code postal66200
Code commune66065
Démographie
GentiléIllibériens, Illibériennes
Population
municipale
9 479 hab.(2022en évolution de +7,96 % par rapport à 2016)
Densité445 hab./km2
Population
agglomération
20 500 hab.
Géographie
Coordonnées42° 35′ 59″ nord, 2° 58′ 16″ est
AltitudeMin. 0 m
Max. 65 
m
Superficie21,29 km2
TypeCentre urbain intermédiaire
Unité urbaineSaint-Cyprien
(ville-centre)
Aire d'attractionPerpignan
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesLa Plaine d'Illibéris
(bureau centralisateur)
LégislativesQuatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Elne
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Géolocalisation sur la carte :Pyrénées-Orientales
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Elne
Liens
Site webhttps://ville-elne.fr/fr/
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ElneÉcouter (Elna encatalan) est unecommune française située dans l'est dudépartement desPyrénées-Orientales, en régionOccitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans leRoussillon, uneancienne province duroyaume de France, qui a existé de1659 jusqu'en1790 et qui recouvrait les troisvigueries du Roussillon, duConflent et deCerdagne.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par leTech, l'Agouille de la Mer. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deuxsites Natura 2000 (l'« embouchure du Tech et Grau de la Massane » et « le Tech »), deux espaces protégés (laréserve naturelle nationale du Mas Larrieu et le « Mas Larrieu ») et quatrezones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Elne est une commune urbaine et littorale qui compte 9 479 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Saint-Cyprien et fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitantssont appelés les Illibériens ou Illibériennes.

Géographie

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Carte
Les limites communales de Elne et celles de ses communes adjacentes.

Localisation

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Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Elne se trouve dans ledépartement desPyrénées-Orientales, enrégionOccitanie[I 1].

Elle se situe à 13 km à vol d'oiseau dePerpignan[2],préfecture du département, et à 22 km de Céret[3],sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] :Latour-Bas-Elne (2,7 km),Corneilla-del-Vercol (3,1 km),Montescot (3,2 km),Palau-del-Vidre (3,2 km),Saint-Cyprien (3,5 km),Ortaffa (4,4 km),Théza (4,5 km),Alénya (4,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Elne fait partie de l'ancienne province duroyaume de France, leRoussillon, qui a existé de1659 jusqu'à la création du département desPyrénées-Orientales en1790[5] et qui recouvrait les troisvigueries du Roussillon, duConflent et deCerdagne[6].

Communes limitrophes d’Elne[7]
Corneilla-del-Vercol,
Montescot
AlényaLatour-Bas-Elne,
Saint-Cyprien
BagesElne[7]Mer Méditerranée
OrtaffaPalau-del-VidreArgelès-sur-Mer

Géologie et relief

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La ville en elle-même est construite sur et autour d'une petite colline (haute de 65 mètres, siège de lacathédrale).

Cette colline est aujourd'hui au nord duTech, elle fait partie d'une ligne de collines sur laquelle est aussi le vieux village deSaint-Cyprien. Dans l'Antiquité, un bras duTech (lieu-dit « Tec Vell ») contournait ces collines par le Nord. Il y avait encore un pont au Moyen Âge comme l'atteste le lieu « Notre Dame du Pont » qui était situé près de là où, aujourd'hui, il y a le pont du chemin de fer sur la route de Bages.

Elne est entourée de paysages champêtres, de vignes et de cultures maraîchères. Ces cultures sont dans une plaine d'alluvions drainés dont on a prouvé qu'en certains endroits, 2 ou 3 m d'épaisseur datent de moins de 2000 ans.

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].

Hydrographie

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Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Occitanie etClimat des Pyrénées-Orientales.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat méditerranéen franc, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[9]. En 2020, le climat prédominant est classé Csa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud et sec[10]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat méditerranéen[11] et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents >5 m/s) et peu de brouillards[12]. Elle est en outre dans lazone H3 au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[13],[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de15 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 625 mm, avec4,9 jours de précipitations en janvier et2,9 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deCanet-en-Roussillon à12 km àvol d'oiseau[15], est de15,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 658,3 mm[16],[17]. La température maximale relevée sur cette station est de40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−8 °C, atteinte le[Note 2].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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Laprotection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver desespaces naturels remarquables et leurbiodiversité associée[18],[19].Dans ce cadre, la commune fait partie[20].

Deux espaces protégés sont présents sur la commune :

Réseau Natura 2000

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Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Leréseau Natura 2000 est unréseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir desdirectiveshabitats etoiseaux, constitué dezones spéciales de conservation (ZSC) et dezones de protection spéciale (ZPS)[Note 3].Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[26] :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.Deux ZNIEFF detype 1[Note 4] sont recensées sur la commune[29] :le « cours du Tech de Palau-del-Vidre à son embouchure » (106 ha), couvrant 3 communes du département[30] et le « Mas Larrieu » (178 ha), couvrant 2 communes du département[31]et deux ZNIEFF detype 2[Note 5],[29] :

  • Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Elne.
  • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
  • Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
    Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Elne est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2].Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Cyprien[Note 6], une agglomération intra-départementale regroupant quatorze communes, dont elle estville-centre[Note 7],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 4],[I 5].

La commune, bordée par lamer Méditerranée, est également une commune littorale au sens de la loi du, diteloi littoral[34]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique dulittoral, tel le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si leplan local d’urbanisme le prévoit[35].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (62,3 %), cultures permanentes (22,6 %), zones urbanisées (9,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), forêts (0,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,3 %), eaux maritimes (0,1 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies routières

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Voies ferroviaires

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La commune dispose d'unegare SNCF :

Transports

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De nombreuses lignes du réseau régionalliO desservent la commune : la540 reliant lagare dePerpignan àCerbère ; la543 reliantSaint-Cyprien àArgelès-sur-Mer ; la544 reliant Saint-Cyprien àMillas ; la574 reliant la gare de Perpignan àLatour-Bas-Elne ; la576 reliant Elne àThéza.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Elne est vulnérable à différents aléas naturels :inondations, climatiques (grand froid oucanicule), mouvements de terrains etséisme (sismicité modérée). Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses[37],[38].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau desbassins duTech et duRéart. La commune fait partie duterritoire à risques importants d'inondation (TRI) de Perpignan-Saint-Cyprien, regroupant43 communes dubassin de vie de l'agglomération perpignanaise, un des31 TRI qui ont été arrêtés le sur lebassin Rhône-Méditerranée. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue detemps de retour de10 ans à30 ans), moyen (temps de retour de100 ans à300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[39]. Du fait de son exposition marine, la commune est soumise également à un risque d'érosion moyen et desubmersion marine, due à l'action conjuguée de la montée des eaux par surélévation du plan d’eau lors destempêtes attaquant la côte et de l’action dynamique de lahoule les personnes[40].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit liés auretrait-gonflement des argiles, soit des effondrements liés à descavités souterraines, soit de l'érosion littorale[41]. Une cartographie nationale de l'aléaretrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[42]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[43].

Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de surfaces submersibles valantplan de prévention des risques[44].

  • Carte des zones inondables.
    Carte des zones inondables.
  • Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des argiles.

Risques technologiques

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Le risque detransport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[45].

Toponymie

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Trois noms ayant des origines différentes sont attribués à Elne :Pyrène éventuellement, Illiberis (aux temps desIbères) etCastrum Helenae devenu Elne progressivement. Elle doit son nom actuel au souvenir de l'impératriceHélène, mère deConstantinIer[46].

Pyrène

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Cette hypothèse de Pyrène comme plus ancien nom connu d'Elne est encore affichée dans le musée archéologique d'Elne.Elle est considérée par beaucoup d'auteurs comme périmée.[Qui ?]

Quatre textes antiques sont à l'origine de l'idée que « Pyrène » était peut-être le nom qui avait précédé les deux autres :

Sur ces bases,certains auteurs[Qui ?] du milieu duXXe siècle ont fait l'hypothèse que le nom de Pyrène avait précédé celui d'Illiberis.Mais certains autres auteurs[Qui ?] ne les suivirent pas ; car Avienus mentionne, immédiatement après la riche cité, les échanges par mer avecMassilia. Ils ont préféré lui faire correspondre un port, non-identifié à ce jour.

Collioure est une autre localisation possible de cePyrène. Mais l’existence même d'une cité nommée Pyrène est contestée[48].

Illiberis

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Ce nom est attesté à partir duIIe siècle av. J.-C. ; il est cité parTite-Live, qui indique qu'Hannibal Barca y a établi son campement en 218av. J.-C.Illiberis semble alors un importantoppidum. On a évoqué plus haut les deux autres citations antiques principales.

L'orthographe change selon les auteurs : leI initial peut aussi être unE, et la finale-is peut-être una. Cette incertitude orthographique a permis de rapprocher ce nom d'autres noms latins de cités, très distantes les unes des autres. Il y a les anciens noms d'Auch, Elne,Grenade,Ilumberri (Espagne),Lumbers ; pour certains unm s'ajoute devant leb.

Le nomIlliberis lui-même pourrait signifier en ibéro-basque « ville nouvelle » de « iri » et « berri »[49]. Cetteinterprétation faite[Où ?] par deslinguistes réputés[Qui ?] depuis la2e moitié duXIXe siècle a eudes défenseurs[Qui ?] pendant tout leXXe siècle. L'existence d'au moins 3 cités très distantes nommées « Illiberis » en latin était l'un de leurs arguments.

Une autre étude suppose que le nom pouvait signifier en langue celtique « colline allongée au milieu des limons »[50].Ceci correspond parfaitement à la géologie des lieux dans l'Antiquité selon des études reprises dans l'Atlas de Catalogne du Nord du professeur J. Becat. De plus il se trouve qu'Auch, Grenade, Ilumberri, Lumbers sont aussi des sites à collines en longueur avec des limons à leur pied. Les archéologues ont aussi prouvé qu'à la fin de l'âge du fer (VIIIe – IIe siècle av. J.-C., le site d'Illiberis constitue l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne[51]. Enfin la syllabelim oulum de trois des noms cités les rapproche du nom de nombreux sites deGaule où il y a des limons.

Castrum Helenae

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Entre 328 et 350,Illiberis changea de nom pour devenirCastrum Helenae. Un changement de nom de cité en vue est en général un acte politique :Illiberis est probablement renommé en l’honneur de la mère de l’empereurConstantinIer (mort en337), l'impératriceHélène. Ce lien n'a jamais été attesté par un document d'origine. C'est une hypothèse qui apparaît dans des ouvrages duHaut Moyen Âge. Il y a comme arguments pour cette hypothèse :

  • la présence hypothétique à Elne d'Anastasia, une demi-sœur de l'empereur Constantin Ier peut y avoir aidé[52].
  • sans mention du nom de la ville entre la mort d'Hélène (328) et la première mention en350, il n'est pas possible de dire quel empereur a pris une telle décision ; serait-ce Constantin Ier qui a voulu honorer sa mère, qu'il a très bien honorée par ailleurs, ou serait-ce l'un de ses trois fils qui voulut faire cela vis-à-vis de sa grand-mère ?
  • une autre cause serait religieuse : la relation faite par les chrétiens entre cette Hélène et l'Invention de laVraie Croix à Jérusalem, trouve son origine dans les années327-328 quand Hélène était honorée comme une sorte d'impératrice-mère ; cette relation a participé à la sanctification d'Hélène plus tard. Hélène est devenue la source symbolique de l'évolution des empereurs vers la foi chrétienne. Elle est donc très honorée à l'époque des empereurs de la famille de Constantin Ier.

Catalan

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Le nom catalan d'Elne estElna[53].

Histoire

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La cité antique Illiberis

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Des traces d'habitation remontent à la fin de l'âge du bronze. Des habitats antiques ont été identifiés par les archéologues[54].

Cependant au moment du passage d'Hannibal en -218, on ne sait pas si la ville est peuplée d'Ibères, ou des descendants desSardones cités par « Avienus », qui étaient un des peuples celtiques. On sait seulement qu'Hannibal doit aller àRuscino pour négocier avec les chefs gaulois son passage vers le Nord afin d'aller d'abord jusqu'au Rhône. Mais cela ne préjuge en rien d'une hiérarchie entre cités. Il était normal de négocier de proche en proche près des limites des territoires où on rentrait avec une armée (80 000 hommes, 20 000 chevaux, 37 éléphants) qui traversait sans combattre. D'ailleurs le fait qu'il ait installé le campement de son armée à côté d'Illiberis fait supposer que probablement il avait déjà négocié ce campement avec une autorité d'Illiberis, avant de descendre des Pyrénées.

On peut aussi penser que, vu la taille de son armée, il a dû l'installer le long du Tech en amont d'Illiberis et/ou le long de laMassane. Une partie des territoires actuel d'Ortaffa, deBrouilla, dePalau-del-Vidre, deSaint-André, et d'Argelès-sur-Mer peut avoir été concernée, là où il n'y avait pas de marécages. Il y avait là la place de campement au bord des rivières pour l'eau nécessaire aux hommes et aux animaux, et de ce fait il y avait aussi des populations agricoles pouvant fournir de la nourriture, ainsi la présence de gibier dans les 3 grandes vallées desAlbères toutes proches, et bien desservies probablement en prolongation de l'axe Salses-Ruscino-Illiberis.

Après la conquête romaine,Illiberis devient un important centre romain de laGaule narbonnaise, dont on peut trouver de nombreux vestiges à la suite de fouilles archéologiques, une des deux principales villes du Roussillon avecRuscino (aujourd'hui lieu-ditChâteau-Roussillon). La prospérité de la ville dure jusqu’auIVe siècle, sous le règne de l'empereurConstantinIer ; sa famille y possède probablement une propriété[52].

D'ailleurs c'est àCastrum Helenae qu'alla se réfugier un fils deConstantin Ier, l'empereur romainConstant Ier, alors qu'il tentait de fuir vers l'Hispanie. Rattrapé par les assassins envoyés par l'usurpateurMagnence, ancien capitaine de sa propre garde impériale, il y est tué en350[55]. Le rapporteur de cet événement dit qu'il fut sorti de force du temple chrétien où il s'était réfugié.

L'existence d'un temple chrétien en350 et le changement antérieur du nom de la ville pour un nom célébrant une femme, canonisée plus tard par l’Église catholique romaine peuvent être analysés comme deux indices importants d'une propagation duchristianisme, au moins dans la cité d'Elne, dès la première moitié duIVe siècle. Il pourrait y avoir un lien entre le martyre d'Eulalie de Barcelone en 304 et la dédicace de la cathédrale qui pourrait venir de l'église paléo-chrétienne, que la cathédrale ait été construite sur l'église ou non.

Un évêché médiéval

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Après la chute de l'Empire romain en476, lesWisigoths, maîtres de la région depuis les environs de414, érigent la ville en siège épiscopal qui n'est attesté qu'en571. Elne dut à ce privilège de siège épiscopal de pouvoir hériter du nom de « cité » - qui s'appliquait primitivement aux divisions administratives des provinces romaines - alors quePerpignan, sa rivale plus fortunée, ne fut jamais que « la ville ». La ville s'appelle alorsHelenae. Le seigneur de la ville est l’évêque. AuXIe siècle, on édifia l’actuellecathédrale Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie d'Elne (les saintes patronnes de la ville) en remplacement d'une église plus ancienne. Entre leXIIe et leXIIIe siècle, leschanoines firent construire lecloître, tandis que la ville renforçait ses murailles en 1150[56], devenant ainsi une importanteplace forte. De nombreux vestiges de murailles subsistent encore de nos jours.

L'évêché d'Elne a été le lieu d'une série de conciles, réunis dans la plaine deToulouges, dits conciles de paix, car ils prenaient place dans le mouvement de laPaix de Dieu. Ces conciles sont également appelés conciles d'Elne /Toulouges ou tout simplementconciles deToulouges. Le premier de ces conciles a été réuni par l'archevêque de NarbonneGuifred de Cerdagne en1027 et c'est le premier à évoquer le concept deTrêve de Dieu, qui complète celui dePaix de Dieu. Des conciles se sont par la suite tenus dans la plaine de Toulouges en décembre 1041 et en 1065[57].

Plaque commémorative du massacre de 1285

Ville duroyaume d'Aragon, Elne subit au cours de son histoire de nombreux assauts. Le, lors de lacroisade d'Aragon, la ville tomba lors d'un siège mené parPhilippe III le Hardi, roi de France, qui força les portes de lacathédrale et massacra les habitants.Elle fut également assiégée auXIVe siècle parPierre III d'Aragon[Information douteuse].

Après l'annexion du Roussillon parLouis XI, Elne se souleva contre les Français et fut à nouveau assiégée et prise en[58], et son capitaineBernard d'Oms décapité. Cependant, comme le reste du Roussillon, la ville fut restituée à l'Aragon en1493.

L'importance grandissante de la ville voisine dePerpignan, à partir duXIIIe siècle, commença à faire de l'ombre à Elne. Les évêques se mirent à résider plus souvent à Perpignan qu'à Elne, et en1602 le transfert de résidence fut officialisé par le papeClément VIII, bien qu'à l'heure actuelle encore, l'évêque résidant à Perpignan se nommeévêque d'Elne et de Perpignan.

Elne moderne et contemporaine

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Après letraité des Pyrénées de1659 qui fixait la frontière auxPyrénées, les murailles de la ville furent détruites, ce qui ne fit qu’accentuer son déclin. Il reste à l'heure actuelle quelques pans des murailles médiévales, ainsi que trois portes qui étaient par le passé des entrées de la ville. Elne deviendra par la suite un modeste bourg à prédominance agricole (vigne, fruits et légumes) et gardera néanmoins des traces de sa gloire passée au travers de vestiges tant romains que médiévaux.

AuXXe siècle, comme de nombreuses villes de la région (Collioure notamment), Elne fut un centre artistique important.Aristide Maillol y séjourna : sonPomone sert de mémorial de laSeconde Guerre mondiale.Étienne Terrus y avait un atelier où, avecHenri Matisse etAndré Derain, il lança le mouvement dufauvisme.

En1939, en raison de laguerre civile espagnole, fut fondée laMaternité suisse d'Elne dans le château d'En Bardou, initialement pour accueillir des jeunes mères espagnoles fuyant lefranquisme. Fondée par l'infirmière de laCroix-Rouge suisseÉlisabeth Eidenbenz, elle resta en activité pendant laSeconde Guerre mondiale, accueillant également des mères juives et tziganes. Plus de 600 enfants y sont nés avant d'être cachés, jusqu'à la fermeture du site par laGestapo en1944. La maternité est maintenant un musée et des livres (Les Enfants d’Elisabeth deHélène Legrais, et en catalanLa maternitat d’Elna d’Assumpta Montella) et bientôt un film (Las Madres de Elna deManuel Huerga) relatent ces faits.

Lerégime de Vichy applique sa politique rapidement, y compris dans le domaine du symbolique. C’est ainsi que, s’appuyant sur des dispositions remontant aux derniers mois de laTroisième République[59], il impose la débaptisation de rues dont le nom ne concorde pas avec ses valeurs, notamment celles évoquant l’Angleterre (anglophobie), les Juifs (antisémitisme), lecommunisme etc. La rueVoltaire est ainsi débaptisée[60] alors que les valeurs du régime sont honorées à travers les nouveaux noms d’Oran (allusion à la grandeur de la France coloniale et peut-être paranglophobie en rappelant l’attaque de Mers el-Kébir)[61], deWeygand, encore un soutien du régime en 1941[62], et àFrédéric-Mistral dont les valeurs traditionnelles sont partagées par le régime[63].

À proximité de Perpignan et des plages de la Côte Vermeille, Elne est aujourd'hui un centre touristique relativement important : tous les ans, plus de 70 000 visiteurs viennent découvrir la vieille ville (cathédrale, cloître, musée Terrus) et la maternité suisse. Même si l'activité agricole est moins présente sur la commune, elle dispose d'une zone d'activités, d'un marché animé et des services publics de base (trésorerie, gare SNCF, collège, gendarmerie...). Ces dernières années, à la suite de l'aménagement d'un contournement bien au-delà de la route nationale qui la traversait auparavant, la ville a commencé à s'étendre de manière notable vers le nord, selon un plan d'urbanisation comprenant des lotissements résidentiels et de petits ensembles locatifs.

Le, la commune a intégré laCommunauté de communes des Albères et de la Côte Vermeille.

Rôle d'Elne dans le Référendum de 2017 sur l'indépendance de la Catalogne

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C'est à Elne qu'ont été réceptionnées et cachées les urnes qui ont servi auRéférendum de 2017 sur l'Indépendance de la Catalogne[64]. L'entreprise chinoise Smart Dragon Ballot Expert y a livré 10 000 urnes trois semaines avant le jour du référendum. Des équipes de passeurs se sont relayées ensuite pour les faire passer clandestinement en Espagne[65].

Par ailleurs, c'est aussi à Elne, à l'imprimerie Salvador, qu'ont été imprimés les bulletins de vote du même référendum[66].

Politique et administration

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La mairie d'Elne.

Administration municipale

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Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2014 dans les Pyrénées-Orientales.
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Liste des maires

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Liste des maires successifs[67]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
17921793V. Commes  
17931796B. Palloure  
17961798S. Casals  
17981799A. Carrère  
17991800F. Daudiès  
18001801F. Castelnau  
18011801J. Cazellas  
18011808H. Durand  
18081815J. Delaris-Cambel  
18151815H. Durand  
18151817J. Calmettes  
18171821Th. Carrère  
18211826J. Cazals  
18261830A. Calmettes  
18301834J. Delaris  
18341835A. Traby  
18351837A. Montariol  
18371838J. Durand  
18381846J. Delaris  
18461848J. Gasch  
18481850J. Delaris  
18501851R. Jph Carrère  
18511862J. Delhom  
18621867M. Besse  
18671870F. Traby  
18701870F. Capeille  
18701874François Ramonet  
18741878M. Besse  
18781908François Ramonet  
19081919J. Cavaillé  
19191920P. Capeille-Amiel  
19201921A. Bousquet  
19211935J. Carrère  
19351940L. Marcerou  
19401944J. Astruc  
19441944J. Padritge  
19441944A. Jonca  
19441945J. Parent  
19451953Jean Baillette[68]  
Henri Roger  
Narcisse PlanasPCF puisDVGArtisan serrurier[69]
Conseiller général ducanton de Perpignan-4(1976 → 1982)
Conseiller général ducanton d'Elne(1982 → 2001)
Joseph Bringéapp.RPR 
Nicolas GarciaPCFJournaliste
Conseiller départemental ducanton de la Plaine d'Illibéris(2015 → )
5 juillet 2020Yves Barniol[70]DVD 
5 juillet 2020en coursNicolas Garcia[71]PCFJournaliste
Secrétaire départemental du PCF des Pyrénées-Orientales (2008-2020)[72]
Conseiller départemental ducanton de la Plaine d'Illibéris(2015 → )

Politique environnementale

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Jumelages

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Elne est jumelée avecCastelló d'Empúries dans la Communauté autonome deCatalogne, dans la comarca de l'Alt Empordà, enEspagne.

Population et société

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Démographie ancienne

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La population est exprimée en nombre defeux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
135813651378142414701515155316431709
430 f430 f397 f162 f254 f281 f173 f31 f214 f
Évolution de la population, suite (1)
172017301767177417891790---
250 f227 f1 290 H1 403 H350 f1 536 H---
(Sources :Jean-PierrePélissier,Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique,vol. 66 :Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS,, 378 p.(ISBN 2-222-03821-9))

Notes :

  • 1553 : pour la ville seule ;
  • 1774 : pour Elne et Saint-Martin-de-Moussille.

Démographie contemporaine

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[73]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[74].

En 2022, la commune comptait 9 479 habitants[Note 9], en évolution de +7,96 % par rapport à 2016 (Pyrénées-Orientales : +3,92 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
1 1961 3091 8041 9612 0932 2292 2602 5382 524
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
2 4622 4862 8002 6982 7643 1033 2373 2333 303
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
3 5513 5003 5273 3743 6614 0464 0974 3475 091
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620082013
5 7445 8926 0176 1776 2626 4107 3257 5798 450
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20182022-------
9 1039 479-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[75] puisInsee à partir de 2006[76].)
Histogramme de l'évolution démographique

Récemment[Quand ?], et de manière accélérée depuis la construction du contournement d'Elne de la route nationale allant dePerpignan versArgelès-sur-Mer,Collioure et l'Espagne (RD914), la ville a commencé à s'étendre vers le nord au travers de nouveaux quartiers principalement résidentiels, ce qui laisse augurer à la fois une augmentation de la population et un rajeunissement de celle-ci, les nouvelles maisons étant souvent habitées par de jeunes couples. Une nouvelleécole primaire a donc été construite, le groupe scolaire Françoise-Dolto.

Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années :1968[77]1975[77]1982[77]1990[77]1999[77]2006[78]2009[79]2013[80]
Rang de la commune dans le département468121211108
Nombre de communes du département232217220225226226226226

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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  • Fête patronale et communale : 10 décembre[81] ;
  • Marchés : le vendredi[81].

Santé

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Sports

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Économie

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Revenus

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En 2018, la commune compte 3 912 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 9 038 personnes. Lamédiane durevenu disponible parunité de consommation est de 18 090 [I 6] (19 350 € dans le département[I 7]). 36 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 11] (42,1 % dans le département).

Emploi

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Taux de chômage
200820132018
Commune[I 8]11,4 %14,5 %14,6 %
Département[I 9]10,3 %12,9 %13,3 %
France entière[I 10]8,3 %10 %10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 5 440 personnes, parmi lesquelles on compte 72,4 % d'actifs (57,8 % ayant un emploi et 14,6 % de chômeurs) et 27,6 % d'inactifs[Note 12],[I 8]. Depuis 2008, letaux de chômage communal (au sens du recensement) des15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 2 802 emplois en 2018, contre 2 607 en 2013 et 2 637 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 3 222, soit unindicateur de concentration d'emploi de 87 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,2 %[I 12].

Sur ces 3 222 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 116 travaillent dans la commune, soit 35 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 83,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,5 % lestransports en commun, 9,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités

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Revenus de la population et fiscalité

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En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 21 968 [I 15].

Emploi

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Entreprises et commerces

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Culture locale et patrimoine

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Monuments et lieux touristiques

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Cathédrale Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie.

Historiquement, Elne était divisée en ville haute et ville basse. Chacune avait son enceinte fortifiée, dont les vestiges actuels (tours, portes etcourtines sur lesquelles se sont appuyées les maisons) remontent auxXIIIe et XIVe siècles. La ville basse fut probablement la première à être occupée, et son sol a livré de nombreuses traces d'occupation (époques préhistorique, romaine,haut Moyen Âge). La ville haute est occupée par lacathédrale Sainte-Eulalie-et-Sainte-Julie et soncloître qui forment un remarquable ensemble médiéval.

  • Façade de la cathédrale.
    Façade de la cathédrale.
  • Clocher de la cathédrale.
    Clocher de la cathédrale.
  • Galerie nord du cloître.
    Galerie nord du cloître.
  • Fortifications de la ville haute.
    Fortifications de la ville haute.
  • Muraille.
    Muraille.
  • Place de la République.jpg.
    Place de la République.jpg.
  • Place de l'Hospice : plaque gravée.
    Place de l'Hospice : plaque gravée.
  • Monument aux morts sculpté par Aristide Maillol.
    Monument aux morts sculpté parAristide Maillol.
  • Ville haute (Boulevard Illiberis).
    Ville haute (Boulevard Illiberis).
  • Portalet entre ville haute et ville basse (vue ville haute).
    Portalet entre ville haute et ville basse (vue ville haute).
  • Portalet (vue ville basse).
    Portalet (vue ville basse).
  • Porte de Balagué.
    Porte de Balagué.
  • Porte de Perpignan (vue sud).
    Porte de Perpignan (vue sud).
  • Porte de Perpignan (vue nord).
    Porte de Perpignan (vue nord).
  • Porte de Collioure.
    Porte de Collioure.
  • Arc 1569, rue Constantin.
    Arc 1569, rue Constantin.
  • Église Sainte-Eugénie de Tresmals
    Église Sainte-Eugénie de Tresmals
  • Ancienne église Saint-Jacques d'Elne, devenu une boulangerie
    Ancienne église Saint-Jacques d'Elne, devenu une boulangerie
  • Chapelle Saint-Georges
    Chapelle Saint-Georges

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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Article connexe :Armorial des communes des Pyrénées-Orientales.
BlasonBlasonnement :
d'azur, à lacroix latine d'argent accostée, en pointe, de deuxfleurs de lys d'or

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

  • Elne, surWikimedia Commons

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entrechefs-lieux de communes àvol d'oiseau.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. Dans les sites Natura 2000, lesÉtats membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
  4. Les ZNIEFF detype 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Les ZNIEFF detype 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Saint-Cyprien comprend trois villes-centres (Argelès-sur-Mer, Elne etSaint-Cyprien) et onze communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement desfoyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à lataxe d’habitation.
  11. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  12. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », surl'observatoire des territoires(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  2. « La grille communale de densité », surle site de l'Insee,(consulté le).
  3. « Unité urbaine 2020 de Saint-Cyprien », surle site de l'Insee(consulté le).
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », surle site de l'Insee(consulté le).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surle site de l'Insee,(consulté le).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Elne »(consulté le).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Pyrénées-Orientales »(consulté le).
  8. a etb« Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Elne »(consulté le).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales »(consulté le).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière »(consulté le).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sursite de l'Insee(consulté le).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Elne »(consulté le).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 »(consulté le).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 »(consulté le).
  15. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », surle site de l'Insee(consulté le).

Autres sources

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Elne et Perpignan », surfr.distance.to(consulté le).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Elne et Céret », surfr.distance.to(consulté le).
  4. « Communes les plus proches d'Elne », survillorama.com(consulté le).
  5. Carrere, J.B.,Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy,, 438 p.(lire en ligne).
  6. Frédéric Zégierman,Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard,(ISBN 2-213-59961-0),p. 222-225.
  7. Carte IGN sousGéoportail
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  9. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  10. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  11. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  13. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
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  24. « - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
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  26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Elne », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
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  29. a etb« Liste des ZNIEFF de la commune d'Elne », surle site de l'Inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  30. « ZNIEFF le « cours du Tech de Palau-del-Vidre à son embouchure » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  31. « ZNIEFF le « Mas Larrieu » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  32. « ZNIEFF l'« embouchure du Tech et grau de la Massane » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  33. « ZNIEFF la « rivière le Tech » - fiche descriptive », surle site de l'inventaire national du patrimoine naturel(consulté le).
  34. « Les communes soumises à la loi littoral. », surobservatoire-des-territoires.gouv.fr,(consulté le).
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  40. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  41. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  42. « Retrait-gonflement des argiles », surle site de l'observatoire national des risques naturels(consulté le).
  43. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Elne », surgeorisques.gouv.fr(consulté le).
  44. « Plans de Préventions des Risques naturels - Base de données actualisée à septembre 2020 », surgeorisques.gouv.fr/(consulté le).
  45. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », surle site de la préfecture, édition 2017(consulté le), partie 3 - chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  46. PierreVidal (1848-1929),Elne historique et archéologique,, 177 p.(lire en ligne).
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  48. Michel Sauvant,Le coin de l'onomastiqueur : La cité de Pyrène, pure légende
  49. , cité par Jean Tosti dansElne
  50. A l'adresse[1] Michel Sauvant argumente cette hypothèse
  51. Dominique Garcia, La Celtique méditerranéenne. Habitats et sociétés en Languedoc et en Provence.VIIIe – IIe sièclesav. J.-C., éditions Errance, Paris, 2004,(ISBN 2-87772-286-4).
  52. a etbSelon le dernier écrit de l'historienPierre Ponsich[réf. non conforme].
  53. (ca + fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan,Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone,(lire en ligne).
  54. Jérôme Kotarba, Georges Castellvi et Florent Mazière, « Carte archéologique de la Gaule 66 : Les Pyrénées-Orientales », Lire les pages sur Elne, suraibl.fr,(consulté le).
  55. Fabricio Cárdenas,66 petites histoires du Pays Catalan, Perpignan,Ultima Necat,coll. « Les vieux papiers »,, 141 p.(ISBN 978-2-36771-006-8,BNF 43886275).
  56. Association Pédagogique de la Plaine, du Vallespir et de la Côte Vermeille, fiche sur Elne
  57. Odette Pontal,Les conciles de la France capétienne jusqu'en 1215, Paris, Éditions du Cerf, 1995.
  58. Philippe Contamine (directeur),Des origines à 1715, Paris, PUF, 1992,inAndré Corvisier (directeur),Histoire militaire de la France,(ISBN 2-13-043872-5),p. 212.
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v ·m
DePerpignan àSaint-Bertrand-de-Comminges
v ·m
Communes de laplaine du Roussillon
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