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Elle (magazine)

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Pour les articles homonymes, voirElle.

Elle
Image illustrative de l’article Elle (magazine)
Une du premier numéro (21 novembre 1945, fonds BNF).

PaysDrapeau de la FranceFrance
Zone de diffusionFrance
Languefrançais
Périodicitéhebdomadaire
Genrepresse féminine
Prix au numéro2,50 € (2021)
Diffusion323 151[1]ex. (2020)
FondateurHélène Lazareff
Date de fondation (il y a80 ans)
ÉditeurDéfense de la France (1945)[2]
Ville d’éditionLevallois-Perret

PropriétaireDaniel Křetínský viaCMI France (depuis 2019)
Directeur de publicationClaire Léost
Directeur de la rédactionVéronique Philipponnat, Erin Doherty
Rédacteur en chefAva Djamshidi
ISSN0013-6298
Site webhttps://www.elle.fr
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Elle[n 1] est unmagazine hebdomadairefrançaisféminin et de société, fondé en 1945 parHélène Lazareff.

Le titre est racheté en par le milliardaire tchèqueDaniel Křetínský.

Historique

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Lancement

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Le premier numéro d'Elle est publié le, peu après l'adoption dudroit de vote des femmes en France. La fondatrice estHélène Gordon-Lazareff, l'épouse de Pierre Lazareff, fille d'exilés russes qui avant la guerre commence sa carrière àParis-Soir, où elle rencontre son mari, puis àMarie Claire. Réfugiée àNew York pendant l'Occupation, elle est journaliste au supplément féminin duNew York Times et à la rubrique mode auHarper's Bazaar, unmagazine de mode luxueux dont elle s'inspire[3],[4], tout en conservant un« positionnement francophile » marqué[5].

Laligne éditoriale du journal est posée dès l'origine dans saligne de pied :« du sérieux dans la frivolité, de l'ironie dans le grave »[6]. Hélène Lazareff précise qu'elle souhaite alors« faire un journal de mode, mais pas seulement. Un journal moderne. Pratique. Avec des photos. Donc des photographes. […] Un journal qui s’adresse à toutes les femmes. Et qui soit cependant sophistiqué »[7]. Les premiers dessins qui paraissent dans le magazine sont signésChristian Bérard,Pierre Simon ou encore Doty.

Si le magazine met en valeur les femmes, sa ligne éditoriale n'est pasféministe[8], même siSimone de Beauvoir etMarguerite Duras y trouvent« un espace privilégié »« défendre leur travail et leurs idées »[9]. Il fait connaitreFrançoise Sagan lors de sa naissance en littérature en 1954, à l'âge de18 ans, quandBonjour tristesse provoque un scandale mondial[10]. Alors que le reste de la presse féminine se montre virulente[9],Elle lui propose une série de trois articles consacrés à l’Italie et en 1955 elle est accueillie àNew York par Hélène Gordon-Lazareff, qui organise une fête[9].

La référence des magazines de l'époque destiné aux femmes, non élitistes comme leVogue, sont alors leMarie Claire d'avant guerre etLe Petit Écho de la mode tirant à plusieurs centaines de milliers d'exemplaires[11]'[9]. Mais il se distingue des concurrents où tous les postes de direction sont occupés par des hommes[9] et axe sa communication sur un personnel nombreux et très féminisé[9] avec« une domination féminine dans la rédaction », à hauteur des trois quarts[9].

« Plus audacieux que ses concurrentes »Claudine etMarie-France[9], l’hebdomadaire a cependant pour originalité de présenter« la femme sur un pied d’égalité avec l’homme »[9], tout en« satisfaisant aux impératifs de neutralité des annonceurs »[9], et de« promouvoir des femmes exerçant des métiers masculins ou ayant un comportement émancipé », notamment par le biais de la littérature[9]. À partir d', une série de six reportages valorise le travail féminin dans la santé[9] et en novembre 1954,Elle titre « 70 romancières,300 romans : les femmes de lettres s’imposent »[9]. Des redistributions d’articles ont lieu avec le quotidienFrance-Soir[9],[5],[n 2].Pierre Lazareff, qui vient de fonderFrance Soir, reste très présent au sein de la rédaction.

La place libre laissée parMarie Claire interdit de publication en 1944 laisse donc des perspectives àElle mais également aux magazines plus conservateursMarie France (1944) etClaudine (mai 1945, racheté trois ans plus tard parElle)[13]. MaisElle, plus haut de gamme, veut« tirer par le haut la presse féminine française »[6].

Le premier numéro d'Elle, sans publicité car voulant s'adresser plus« à ses lectrices comme citoyennes et non consommatrices », est rapidement épuisé malgré le tirage de 700 000 exemplaires (pour une moyenne de 110 000 les numéros suivants)[5][9]. Plus tard, les publicités sont« d'abord concentrées sur une pleine page »[9] mais le titre reste moins dépendant que ses concurrents : elles oscillent entre 40 et 50 % de sa pagination totale[9]. Le titre tire en moyenne à 110 000 exemplaires puis monte à 340 000 en 1948[9], pour atteindre le cap des 500 000 en 1950[9]. Dès les années 1950, par l'influence de sa fondatrice, il acquiert une notoriété internationale ayant valeur de marque[14].

Simone Baron et Alice Chavanne[15] en assurent la responsabilité, assistées du photographe Jean Chevalier comme directeur artistique, avant l'arrivée en janvier 1946 deFrançoise Giroud, qui resterarédactrice en chef du magazine jusqu'en 1952[16] avant son départ pourL'Express. La notion d'émancipation des femmes reste omniprésente dans la ligne éditoriale[17]. Certains sujets peu habituels sont abordés, tels la frigidité dès 1949, ou l'hygiène[18]. Dès les débuts, laphotographie de mode, alors peu répandue dans la presse, prend une place importante au sein le magazine[3].

Au départ, le magazine ne comporte qu'une vingtaine de pages. La ligne éditoriale souhaitée parPierre Lazareff transgresse les principes des magazines féminins de l'époque : moins de chroniques au profit d'informations précises, elle recentre la mode sur les personnalités plus que les créations jusqu'à en promouvoir certaines — commeEmmanuelle Khanh quelques années après —, achète des images couleur jusqu'àNew York pour les mettre en couverture[n 3], éloignant ainsiElle des magazines de mode proches parfois de simples catalogues[19]. Le contenu du magazine est alors composé de pages sur lahaute couture et de rubriques avec recettes, astuces pratiques oupatrons[19]. Peu à peu, au-delà de la mode, l'information et la littérature entrent dans les pages du magazine même si la« femme écrivain » est déjà présente, par les écrits deColette, dès le premier numéro[20].

Années 1950

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Dès le début desannées 1950,Elle impose son propre style en étant précurseur dans les domaines dusportswear d'inspirationaméricaine, qui vit ses balbutiements ou duprêt-à-porter qui connaitra sonâge d'or la décennie suivante[19]. Le magazine tire alors à plus d'un demi-million d'exemplaires[5]. Si le tirage est alors de 500 à 600 000 exemplaires,Elle est lu par au moins un million et demi de lectrices[19] ; ce sera deux millions la décennie suivante[21]. En 1952, la jeuneBrigitte Bardot apparaît sur les couvertures de la publication[19]. Les années suivantes, les écrits deFrançoise Sagan sont régulièrement présents au sein du magazine[22].

Les « Villages magiques » fondé en 1950 par Paul Morihien, ancien nageur devenu libraire, avec l'aide dePierre etHélène Lazareff deviennent les « Villages magiques » du journalELLE, qui fusionneront avec leClub Med en 1956[23]. Le magazine diffuse régulièrement des articles sur lui tandis que le « bon magique » donne accès aux villages dans lesquelles des vedettes du cinéma et du théâtre sont invités ou parrains. Parmi eux,Torremolinos, près deMalaga, où a été tourné le filmLe Désir et l'Amour en 1951, l'histoire de Martine, d'une troupe d'artistes en tournage, tombée amoureuse d'un jeune et beau pêcheur qui doit remplacer au pied levé le rôle principal.

Le photographeLionel Kazan (qui entre au studio de Jean Chevalier fin 1952) n'est âgé que de23 ans quand il publie sa première couverture, le, avec pour décor naturel le désert algérien. D'avril 1953 à fin 1955, Lionel Kazan signe81 couvertures (il en signera presque une centaine). Claude Brouet, alors journaliste, reconnaît aussi la grande complicité qui existait entre Lionel Kazan et Hélène Lazareff, qui« se parlaient enrusse[24] ».

Année après année, le prêt-à-porter prend une part de plus en plus large dans le magazine ; celui-ci ne se contente plus de présenter la mode, il devient prescripteur, s'associant auxgrands magasins parisiens[19]. Le magazine consacre jusqu'à huit pages àPrisunic, qui a lancé une ligne de vêtements en 1956 avecDenise Fayolle[19]. Si la haute couture n'est plus prépondérante,Elle reste l'un des rares organes de presse français soutenantGabrielle Chanel — etson iconique tailleur — à son retour aux affaires en 1954, ainsi que le débutantPierre Cardin, le« chouchou » du magazine les années suivantes[19].Peter Knapp prend la direction artistique en 1959 ; il y restera deux décennies. C'est lui qui donne au mensuel sa forme définitive[19].

Années 1960 et suivantes

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Dans les années 1960 et au début des années 1970, le magazine« s’essouffle dans la quête d’une nouvelle image de la femme »[9]. À la fin desannées 1960, des bons réductions« Couturama » délivrés avec le magazine pour les marques deUngaro,Ricci,Cardin,Courrèges, ouSaint Laurent, entre autres,« déclenchent les passions »[19]. Les grands noms — à l'exception notable deChanel —, ainsi que les étoiles montantes de la mode, y participent[19]. L'écrivainAlexandre Vialatte y tient une chronique régulière :Le Paris des Parisiennes.Catherine Rousso entre au magazine en 1969 puis devient rédactrice en chef« Mode » ; elle y restera plus de quarante ans[25]. Vers cette époque, les principaux combats pour l’émancipation des femmes ont déjà été menés depuis la fin de la guerre et dans les années 1970 à 80, la ligne éditoriale s’essouffle et cherche une nouvelle image de la femme[26]. Le « Grand prix des Lectrices de Elle » est lancé le ; il évoluera notablement en 1977 puis en 2002[27].

Éliane Victor, recommandée par Françoise Giroud, devient rédactrice en chef du magazine en 1978, dans une période ou les tirages sont en baisse. Elle quitte le magazine quatre ans plus tard, ayant réussi à remonter les chiffres de ventes[28].

En parallèle est lancé en 1986 aux États-Unis l'édition américaine du magazine. Avec sa maquette colorée, sexy et « jeune », c'est rapidement un succès, le magazine allant jusqu'à dépasser les ventes duHarper's Bazaar avec 800 000 exemplaires (second des ventes « presse féminine » dans ce pays) et à faire vieillir l'image élitiste duVogue US, poussant à la perte de son influente rédactrice en chefGrace Mirabella[29].

En 2002,Valérie Toranian, succède àAnne-Marie Périer, comme directrice de la rédaction du journal, avant d'être remplacée parFrançoise-Marie Santucci, en septembre 2014[30]. Rapidement, celle-ci modifie la ligne éditoriale du magazine, entraînant quelques remous de la part de la société des journalistes du magazine[31].

En 2015,Elle est présent dans le monde entier avec46 éditions internationales et plus de20 millions de lectrices. Le magazine tire pour 2014 à plus de 300 000 exemplaires, en forte chute par rapport aux années précédentes[31].

CMI

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En avril 2018, leGroupe Lagardère et sa filialeHachette Filipacchi Médias annoncent la vente prochaine de plusieurs de leurs organes de presse, dont le magazineElle, à l'homme d'affaires et patron de pressetchèque Daniel Křetínský[32],[33]. Finalement, en, Lagardère cède ses titres de presse magazine en France (à l’exception deParis Match et duJDD) à la société Czech Media Invest (CMI) dirigée par Daniel Křetínský[34]. Cette cession s’accompagne de la concession d’une licence exclusive pour la France sur la marque « Elle » au profit de CMI. Le groupe Lagardère demeure propriétaire de la marque Elle en France et à l’international et touche desroyalties[35]. CMI renouvelle la publication en augmentant le grammage du papier, entreprend d'orienter la ligne éditoriale plus vers les « news » et développe des numéros « hors série »[35].

En, le magazineElle obtient le statut de publication d’information politique et générale (IPG), une décision historique pour un magazine féminin et une reconnaissance de tous les combats que mène le magazine depuis sa création, en particulier pour l'égalité hommes / femmes[36],[37]. Ce statut le place au même niveau queL'Obs ouLe Point par exemple et ouvre les portes« pour des subventions ou des tarifs postaux avantageux »[35].

En, ELLE.fr lance la version payante de son site en ligne. Quelque dix millions de personnes s'abonnent en quelques mois[35].

En, afin d’accélérer la mutation numérique d'Elle, CMI France nomme Véronique Philipponnat directrice du journal[38]. En juin, le magazine obtient une interview d'Emmanuel Macron qui fait lebuzz et fait sensiblement progresser les ventes[35]. La marque « Elle » est alors rentable pour CMI réalisant environ 20 % du chiffre d'affaires du groupe, suivie de près parArt et Décoration[35]. En parallèle, le groupe Lagardère continue de fournir du contenu « clef en main » pour toutes les éditions internationales, dont la française, même si la majorité des pages sont produites en local[35].

En, une enquête du service defact-checking du média public belgeVRT estime qu'au cours des trois derniers mois (mars-avril-mai 2025), plus de la moitié des articles parus dansElle,Marie Claire et dansPsychologies ont été partiellement ou entièrement générés par de l'intelligence artificielle[39]. L'enquête montre notamment que plusieurs journalistes de la rédaction belge du magazine - Marta Peeters, Sophie Vermeulen - sont en réalité de faux profils dont la photo utilisée est générée par de l'intelligence artificielle. L'enquête révèle aussi qu'une rédactrice se décrivant comme experte en psychologie était également un faux profil[40].

Ventures Média, propriétaire de ces titres de presse, réagit en supprimant les profils et en ajoutant une légende aux articles indiquant qu'il a été généré à l'aide de l'intelligence artificielle. La société a indiqué qu'il s'agissait d'un « test »[40].

Record

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Ashley Graham dansElle.

Le, le magazine voit exploser ses ventes (400 000 exemplaires) grâce àEmmanuelle Béart posant nue, sa chevelure blonde attachée avec son string[41], pour la photographeSylvie Lancrenon[42]. Le, le magazine bat un nouveau record de vente (530 000 exemplaires) grâce àBrigitte Macron posant en couverture ; il s'agit de la meilleure vente d'un numéro en dix ans, d'après le magazine[43],[44].

Diffusion en France

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Tiré à 312 781 exemplaires en France, le magazine est vendu à 339 151 exemplaires (diffusion totale payée) sur l'année 2019[45] puis 323 151 exemplaires en 2020[35].

Diffusion totale payée[45]
200920102011[n 4]201220132014201520162017201820192020
Elle370 658404 037402 989401 332384 704352 390342 981333 141340 690342 453339 151330 895

Notes et références

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Notes

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  1. Parfois typographiéELLE, en capitales, comme son logo.
  2. La rédaction deFrance-Soir est deux étages en dessous des locaux deElle[12].
  3. Après la Guerre, si laphotographie de mode a peu à peu envahie les magazines depuis les années 1930, celle-ci n'est pas encore systématique en couverture, l'illustration de mode étant encore très présente.Modes et travaux ouL'Officiel par exemple, utilisent encore des dessins à cette époque pour leurs couvertures.
  4. « À partir de janvier 2011, ces chiffres intègrent les versions numériques issues de l’application de la nouvelle réglementation OJD concernant la diffusion numérique. Il convient donc de tenir compte de ces modifications pour interpréter les évolutions entre 2010 et 2011 » -OJD, 2012.

Références

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  1. « Elle », suracpm.fr(consulté le).
  2. Soulier 2008,p. 106.
  3. a etbSoulier 2008,p. 106 à 107.
  4. Vanessa Schneider, « En 1945, Hélène Gordon-Lazareff lance le magazine « Elle » : « le sérieux dans la frivolité, l’ironie dans le grave » », surlemonde.fr,(consulté le).
  5. abc etdGrandpierre 2012, partie n°10.
  6. a etbSoulier 2008,p. 107.
  7. Grandpierre 2012, partie n°1.
  8. Grandpierre 2012, partie n°2, 10 et 13.
  9. abcdefghijklmnopqrs ett"Elle : un outil d’émancipation de la femme entre journalisme et littérature 1945-1960 ?", par Karine Grandpierre, dans la revueContextes en 2021[1]
  10. "Les dimanches de Louveciennes, chez Hélène et Pierre Lazareff" par Sophie Delassein
  11. Grandpierre 2012, partie n°3 et 4.
  12. Soulier 2008,p. 105.
  13. Grandpierre 2012, partie n°5.
  14. "Comment le magazine ELLE a conquis le monde" par Karine Grandpierre, le 16 janvier 2013 dansLa revue des médias[2]
  15. Didier Grumbach,Histoires de la mode, Paris, Éditions du Regard, (1re éd. 1993, Éditions du Seuil), 452 p.(ISBN 978-2-84105-223-3),p. 59
  16. Michel Klen,Femmes de guerre : une histoire millénaire, Ellipses,,p. 414
  17. Grandpierre 2012, partie n°10, 11 et 12.
  18. Soulier 2008,p. 111.
  19. abcdefghij etkGrumbach 2008,op. cit., Les origines de la confection : Le journal Elle,p. 191 à 197
  20. Grandpierre 2012, partie n°2 et 13.
  21. Dominique Veillon et Michèle Ruffat,La mode des sixties, Paris, Autrement,coll. « « Mémoires/Histoire » »,, 280 p.(ISBN 978-2-7467-1015-3,présentation en ligne),p. 9Inscription nécessaire
  22. Grandpierre 2012, partie n°15, 16 et 17.
  23. BertrandRéau,Les Français et les vacances : Sociologie des pratiques et offres de loisir, Paris, CNRS,, 235 p.(ISBN 978-2-271-07202-3).
  24. (fr + en)Alexandra Kazan (préf. Olivier Saillard),Lionel Kazan photographe, Paris, Liénart Editions,, 280 p.(ISBN 978-2-35906-158-1,BNF 45034179).
  25. Sylvia Jorf, « Madame Rousso »,Elle,no 3625,‎,p. 19 à 28(ISSN 0013-6298)
  26. Grandpierre 2012, partie n°2.
  27. Grandpierre 2012, partie n°28.
  28. Grandpierre 2012, partie n°26.
  29. Norberto Angeletti, Alberto Olivaet al. (trad. de l'anglais par Dominique Letellier, Alice Pétillot),En Vogue : L'histoire illustrée du plus célèbre magazine de mode, Paris,White Star,, 410 p.(ISBN 978-88-6112-059-4), « Vers le nouveau siècle »,p. 242
  30. Frédéric Roy, « Françoise-Marie Santucci remplace Valérie Toranian à la tête de Elle », surcbnews.fr,
  31. a etb« Lagardère reprend en main son joyau Elle »,Challenges,no 419,‎,p. 9(ISSN 0751-4417)
  32. Grazia.fr, « Vendu à un groupe média tchèque, "Elle" est en colère »,Grazia.fr,‎(lire en ligne, consulté le)
  33. Schwartzenberg, « Elle racheté par un drôle d'oligarque tchèque »,Club de Mediapart,‎(lire en ligne, consulté le)
  34. « Daniel Kretinsky : «J'ai un grand respect pourElle etMarianne» »,FIGARO,‎(lire en ligne, consulté le)
  35. abcdefg ethThuy-Diep Nguyen, « Elle soigne sa ligne »,Challenges,no 707,‎,p. 42-43(ISSN 0751-4417)
  36. « Itw Claire Leost - BFM Business - Statut IPG du ELLE »(consulté le)
  37. « Le statut d’IPG du magazine Elle reconnu », surLa lettre de l'audiovisuel(consulté le)
  38. « Véronique Philipponnat revient chez ELLE comme Directrice | Offremedia », suroffremedia.com(consulté le)
  39. « Elle, Marie Claire, Psychologies : la VRT révèle l’utilisation massive de l’IA dans certains magazines belges - RTBF Actus », surRTBF(consulté le)
  40. a etb(nl) VRTNWS, « Magazine Elle gebruikte nepjournalisten: Sophie Vermeulen bestaat niet, maar schreef dit jaar wel 403 artikels | VRT NWS: nieuws », surVRTNWS,(consulté le)
  41. Couverture avec Emmanuelle Béart
  42. Soulier 2008,p. 151.
  43. « Le magazine Elle bat des records avec son numéro consacré à Brigitte Macron », surpeople.bfmtv.com,
  44. « Brigitte Macron fait le succès du magazine "Elle" », surlepoint.fr,
  45. a etbL'Alliance pour les chiffres de la presse et des médias (ACPM), « Chiffres :Elle », suracpm.fr,

Annexes

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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