Movatterモバイル変換


[0]ホーム

URL:


Aller au contenu
Wikipédial'encyclopédie libre
Rechercher

Elle (film, 2016)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirElle.

Elle
Description de cette image, également commentée ci-après
Logo du film.
Données clés
RéalisationPaul Verhoeven
ScénarioDavid Birke
MusiqueAnne Dudley
Acteurs principauxIsabelle Huppert
Laurent Lafitte
Virginie Efira
Anne Consigny
Charles Berling
Sociétés de productionSBS Productions
Pays de productionDrapeau de la FranceFrance
Drapeau de l'AllemagneAllemagne
Drapeau de la BelgiqueBelgique
GenreThriller
Durée130 minutes
Sortie2016

Pour plus de détails, voirFiche technique etDistribution.

modifier

Elle est unthrillergermano-franco-belge réalisé parPaul Verhoeven et sorti en2016. Il s'agit d'uneadaptation du roman français« Oh… » dePhilippe Djian, publié en 2012.

Quinzième film du réalisateur,Elle marque son retour au long métrage, dix ans après la sortie de son précédent film,Black Book.

Le film est présenté en compétition aufestival de Cannes 2016. En2017, Paul Verhoeven et son interprète principaleIsabelle Huppert obtiennent respectivement lesGolden Globes dumeilleur film étranger et de lameilleure actrice dans un film dramatique. Isabelle Huppert reçoit également une nomination à l'Oscar de la meilleure actrice. Nommé onze fois auxCésar 2017, le film reçoit deux récompenses : leCésar du meilleur film et celui de lameilleure actrice pour Isabelle Huppert.

Synopsis

[modifier |modifier le code]

Georges Leblanc est emprisonné depuis lesannées 1970 pour avoir perpétré un massacre de masse. À l'époque, il avait impliqué sa fille Michèle dans sa folie meurtrière. Aujourd'hui, Michèle Leblanc (Isabelle Huppert) est devenue une femme d'affaires que rien ne semble atteindre. Mais au moment où son père demande à être remis en liberté, elle est violée par un inconnu masqué dans sa villa deSaint-Germain-en-Laye. Alors qu'en écho à son expérience primitive avec la police, elle décide de ne pas porter plainte, un processus s'enclenche : un jeu de rôle avec son violeur et une confrontation à son passé, qui la mèneront à se libérer du « déni étrange » qui la porte.

Fiche technique

[modifier |modifier le code]

Icône signalant une information Sauf indication contraire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par la base de données cinématographiquesIMDb, présente dans la section« Liens externes ».

Isabelle Huppert etPaul Verhoeven lors de la présentation du film aufestival de Cannes 2016.

Distribution

[modifier |modifier le code]

Production

[modifier |modifier le code]

Genèse et développement

[modifier |modifier le code]

Après le succès deBlack Book (2006), le réalisateurPaul Verhoeven développe un projet de film surJésus de Nazareth, un autre sur le milieu des cartels de drogue mexicains intituléRogue ainsi qu'une adaptation du roman anticolonialiste deLouis Couperus,La Force des ténèbres, mais peine à trouver les financements nécessaires. En 2012, il réalise un film expérimental de 55 minutes intituléTricked mais admet que« l'expérience était peut-être plus intéressante que le film qui en a résulté »[7]. Le producteurSaïd Ben Saïd lui soumet alors le roman« Oh… » dePhilippe Djian et Paul Verhoeven se montre vite enthousiaste à l'idée d'en faire un film :« C'était très différent de ce que j'avais fait auparavant. J'ai toujours pensé qu'il fallait ne jamais se répéter mais au contraire explorer de nouveaux territoires, ne pas se sentir en sécurité. D'un point de vue existentiel, c'est important de ne pas savoir ce qui vous attend. C'est ma manière de renouveler ma créativité, même si ça peut être effrayant. C'est pour cette raison que je n'ai jamais réalisé de suites à mes propres films qui ont fait l'objet de remakes ou de sequels[8]. »

Le réalisateur est particulièrement intéressé par la force et la complexité de l'héroïne ainsi que par la structure du récit.« À la lecture du livre, j'ai immédiatement aimé cet équilibre entre le thriller et tout ce que ses relations avec autrui révèlent de sa personnalité. Son caractère est défini par la manière dont elle traite les autres. Il n'y a aucune introversion ni d'explication psychologique à son comportement. Elle est simplement définie par ses actions[8] ». Paul Verhoeven voit également un parallèle entre l'histoire deElle et celle de l'un de ses films préférés,Belle de jour deLuis Buñuel, l'histoire d'une femme riche qui décide de se prostituer parce qu'elle s'ennuie :« Il y a quelque chose deBelle de jour dansElle dans le sens où mon film aborde aussi des comportements jugés immoraux ou anormaux en les traitant comme s'ils étaient normaux[9]. »

Le projet, dévoilé en pendant leMarché du film de Cannes, est annoncé comme« du pur Verhoeven, extrêmement érotique et pervers[10] ». Le coproducteur du filmArte France Cinéma le décrit comme un« portrait de femme dans lequel on retrouve la verve, la violence, l’énergie vitale et les talents de satiriste » du réalisateur[11].

Le film, rebaptiséElle, est prévu pour être filmé àBoston en langue anglaise mais, d'après Paul Verhoeven, il s'est avéré impossible de tourner un sujet aussi sulfureux auxÉtats-Unis[12]. Il choisit alors de tourner en langue française et à Paris, avec le producteurSaïd Ben Saïd[13]. Afin de communiquer comme il le souhaite avec les équipes du film, le réalisateur suit pendant quinze jours des cours intensifs de français dans un institut de langue aux Pays-Bas[14].

Attribution des rôles

[modifier |modifier le code]
La distribution du film au Festival de Cannes 2016 :Anne Consigny,Virginie Efira,Jonas Bloquet,Isabelle Huppert,Paul Verhoeven,Alice Isaaz,Christian Berkel,Charles Berling etLaurent Lafitte.

Pour le rôle principal, Paul Verhoeven recherche une actrice« prête à assumer ». Il rencontre ainsiNicole Kidman, qu'il pense être parfaite pour incarner le personnage de Michèle[15]. Il pense également àMarion Cotillard,Diane Lane,Sharon Stone etCarice van Houten. En,Isabelle Huppert est confirmée dans le rôle de Michèle[16]. L'actrice est particulièrement sensible à la puissance du roman, que Philippe Djian avait écrit en pensant à elle, et par la force du personnage : « À sa sortie, le livre a provoqué des réactions un peu agitées. Sans vouloir aller sur une pente glissante, en faisant le film, j'ai trouvé qu'un point de vue féministe s'y développait presque. C'est tout de même quelqu'un qui passe de l'état d'objet à celui de sujet, qui prend le contrôle de ce qu'elle subit, jusqu'à en devenir la manipulatrice. Elle ne se comporte pas comme une victime. Elle supporte tout, ne s'effondre jamais, malgré l'accumulation des forces qui pèsent sur elle, qu'elles soient surgies du passé, du présent, familiales, professionnelles… Au milieu de ce chaos, elle tient bon, elle surnage tout le temps, chose à laquelle je me suis beaucoup attachée pendant le tournage. J'aurais pu être tentée d'y renoncer. Mais finalement, je ne l'ai pas fait, et je crois que j'ai eu raison[17]. » Huppert est depuis longtemps une admiratrice des films de Paul Verhoeven et décrit ce dernier comme « l'un des plus grands réalisateurs au monde pour moi »[18].En, c'est au tour deVirginie Efira,Laurent Lafitte,Anne Consigny etCharles Berling de rejoindre le projet[19].

Tournage

[modifier |modifier le code]
Clap de tournage du film.

Letournage débute àParis, le, pour une durée de trois mois[20], dont cinq semainespassées dans une villa deSaint-Germain-en-Laye[21]. Une scène initialement prévue dans un commissariat est annulée à la suite desattentats survenus à Paris entre les 7 et de la même année. Durant le tournage, le réalisateur et certains acteurs ont affiché leur soutien aux victimes de l'attaque du musée du Bardo survenue le avec des photographies et des messages[22]. Le film a étéégalement tourné rue Adrien-Agnès àStains, au centre de tir deLa Courneuve, à laprison de la Santé et àcelle de Fresnes, aucimetière du Père-Lachaise et àLa Celle-Saint-Cloud.

Pour la mise en scène, Paul Verhoeven s'inspire deHuit et demi deFederico Fellini,La Règle du jeu deJean Renoir etLa Soif du mal d'Orson Welles, des films« toujours en mouvement ». Comme il l'explique dans un entretien avec lesCahiers du cinéma, le réalisateur explique préférer« utiliser le montage dans un senshitchcockien, de manière à ce qu'il ne soit pas trop visible. J'essaie de monter en utilisant le mouvement des acteurs. On ne coupe pas les êtres dans la vie! »[23] Pour ce faire, le réalisateur choisit de tourner son film avec deux caméras numériquesArriflex Alexa utilisées simultanément avec deux focales différentes[24]« Aujourd'hui, le temps donné au réalisateur pour faire son film a diminué de 40 à 50 pour cent. Travailler avec deux caméras résout une partie du problème tout en vous donnant la possibilité de faire des choses que vous n'auriez pas pu faire auparavant[14]. »

Paul Verhoeven dans sa salle de montage à Amsterdam.

Une fois les prises de vues achevées, Paul Verhoeven parle d'un tournage« difficile »[25] mais admet plus tard avoir vécu une aventure « extrêmement heureuse »[26]. Il ajoute également qu'il s'agit peut-être de son film le« plus subversif » mais dément les rumeurs selon lesquelles il s'agit d'un film érotique dans la même veine que certains de ses précédents films tels queBasic Instinct. Il décrit Isabelle Huppert comme la meilleure actrice avec laquelle il ait travaillé.« C'est quelqu'un de très spécial, en mesure d'éviter tout cliché dans n'importe quelle situation. Elle arrive sur le plateau avec toutes sortes de détails supplémentaires dont vous n'oseriez même pas rêver. Elle est non seulement une grande actrice mais elle est aussi particulièrement imaginative et créative dans son approche du personnage. Je n'ai pas eu besoin de lui dire quoi que ce soit à propos de Michèle car elle savait exactement dès le début ce que son personnage ferait et comment il agirait dans n'importe quelle circonstance. Elle est extrêmement audacieuse et n'avait vraiment aucun problème avec tout ce qui était dans le scénario. J'ai un grand respect pour elle[14]. »

De son côté, Isabelle Huppert parle d'une expérience« formidable[27] » malgré« douze semaines de travail exténuantes[28] ». Pour l'actrice, l'élément le plus intéressant du film est son ambiguïté continuelle, comme l'explique le réalisateur dans un entretien,« Effectivement, c’est toujours ambigu. Il est difficile de comprendre entièrement cette femme ; tout est flottant, les intrigues se mêlent. J’avais déjà fait ça dans d’autres films. NotammentTotal Recall, dans un registre différent, en mélangeant rêve et réalité. À la fin, on ne sait pas très bien quoi penser, ce n’est pas clair. J’aime multiplier les hypothèses. Comme dans la vraie vie, on ne sait pas ce qui se cache derrière un visage souriant. Ou pas[29]. »

Musique

[modifier |modifier le code]

Bande originale

[modifier |modifier le code]

La bande originale du film est publiée le chezSony Classical[30].

Musiques additionnelles

[modifier |modifier le code]

Icône signalant une information Sauf indication contraire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par legénérique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici, ainsi que par la base de données cinématographiquesIMDb, présente dans la section« Liens externes ».Parmi les musiques additionnelles présentes dans le film mais non recensées par l'IMDb, on pourra trouver :

Accueil

[modifier |modifier le code]

Promotion

[modifier |modifier le code]
Paul Verhoeven à la première du film àAmsterdam.

En,Le Journal de Saint-Germain-en-Laye publie un entretien avec Isabelle Huppert accompagné des premiers visuels officiels. Il s'agit de quatre photographies du tournage où apparaissent Huppert, Verhoeven, Anne Consigny, Virginie Efira, Laurent Lafitte, Vimala Pons et Charles Berling[21]. L'affiche définitive et la bande annonce sont dévoilées en[31]. En,Le Film français annonce que la date de la sortie du film prévue enFrance au est finalement avancée au[32]. Le, la sélection officielle en compétition du film auFestival de Cannes 2016 est annoncée[33]. Elle marque le retour de Paul Verhoeven au Festival vingt-quatre ans après la présentation deBasic Instinct[34]. Le même jour, quatre nouveaux visuels sont dévoilés sur le site Internet du distributeur[35].

Accueil critique

[modifier |modifier le code]
Notes
Site ou magazineNote
Allociné4,4/5[36]
Rotten Tomatoes91%[37]
Metacritic89/100[38]

Le film est acclamé par la critique lors de sa présentation auFestival de Cannes 2016 où l'équipe reçoit une ovation debout de près de sept minutes[39]. PourStéphane Delorme desCahiers du cinéma, c'est« un retour foudroyant du Hollandais. Nous n’osions rêver d’un film aussi audacieux, aussi généreux, dont la fiction foisonnante vient fortement interroger le cinéma français sur son propre terrain. »[40] PourJean-Philippe Tessé, également desCahiers du cinéma,« c'est une grande joie de retrouver Paul Verhoeven dans une telle forme. Il faut toute son audace pour plonger avec une telle agilité et un tel plaisir dans une histoire aussi dingue.Elle est un film très noir et très drôle, un film vraiment tordu et vraiment fou. »[41] Pour Christophe Narbonne et Gérard Delorme du magazinePremière, Paul Verhoeven signe avecElle« son film sans doute le plus féroce depuisLe Quatrième Homme[42] », un« film choc, portrait sadomasochiste d'une grande bourgeoise au passé trouble. Avec une Isabelle Huppert grandiose[43] ». Pour Fausto Fasulo deMad Movies, il s'agit d'un« portrait de femme d'une infinie complexité et dont chaque précieuse nuance nous renvoie à la beauté amorale de certains romans porno japonais des années 70 » et ajoute qu'en« à peine quelques secondes de film, l'évidence nous transperce : ni le temps, ni l'expatriation n'ont jugulé la vigueur, la précision et le goût du risque d'un réalisateur dont on a peut-être oublié - ou sous-estimé - la capacité à revitaliser ses obsessions quand il change de genre ou de pays d'adoption[44]. » PourThierry Chèze deStudio Ciné Live, il s'agit d'un« Verhoeven majeur »« la perversité est élevée au rang de (grand) art » et où« chaque plan, superbement construit, baigne dans cette ambiguïté perverse qui entraîne le récit sur une palette inouïe de sensations diverses, de la violence frontale à la farce burlesque[45]. » Pour Louis Guichard, deTélérama, le film est excellent grâce à une« Isabelle Huppert époustouflante, au bord de l'ambiguïté vénéneuse[46] ».

Box-office

[modifier |modifier le code]

La sortie nationale du film en France a lieu le sur 290 écrans[47]. Il cumule 213 665 entrées durant sa première semaine d'exploitation et se classe en troisième position au box office après lesblockbustersWarcraft : Le Commencement etX-Men: Apocalypse[48]. Finalement,Elle totalise 636 312 entrées[47], ce qui permet àPaul Verhoeven de refaire un score honorable en France après l'échec commercial deBlack Book (124 887 entrées)[49],[50].

Aux États-Unis,Elle sort dans unecombinaison limitée de salles et rapporte plus d'un million de dollars durant neuf semaines[51]. À la suite de son succès auxGolden Globes et la nomination auxOscars dans la catégorie de la meilleure actrice, le long-métrage voit augmenter les copies distribuées en salles (209), en engrangeant plus de 700 000 dollars de recettes durant la période post-Golden Globes et dépasse les 2 millions de dollars[51].

Dans le monde, le film rapporte 12 748 594 dollars[51] .

Distinctions

[modifier |modifier le code]
Isabelle Huppert etPaul Verhoeven à la42e cérémonie des César.

Le film est présenté en compétition dans la sélection officielle duFestival de Cannes 2016. Il est également nommé au prix du meilleur film auFestival du film de Londres et auLisbon & Estoril Film Festival, et à celui du public auFestival international du film de Melbourne et auNew Zealand International Film Festival (en). Il obtient le Grand Prix du International Cinephile Society Awards2016[52].

Il se classe en deuxième position dans leTop 10 2016 desCahiers du Cinéma (derrièreToni Erdmann)[53] etno 3 dans le Top 30 2016 duBritish Film Institute[54] ainsi que dans le Top 10 2016 duCercle.

Récompenses

[modifier |modifier le code]

Références vidéoludiques

[modifier |modifier le code]

Dans le livre dePhilippe Djian, l'héroïne travaille dans le monde du cinéma. Le réalisateur trouvant l'idée redondante, il suit les conseils de sa fille qui lui avait soufflé l'idée du domaine des jeux vidéo[13].

Michèle étant directrice d'une société de développement dejeu vidéo, on trouve de nombreuses références à ce médium, ainsi qu'à la pop-culture en général : par exemple, le nom de la sociétéActivision et le termegamer sont utilisés dans un dialogue, des extraits du jeuStyx: Master of Shadows et un poster du jeu vidéoThe Last of Us apparaissent dans le film et le montage du jeu avec le visage de Michèle, diffusé dans l'entreprise, fait référence auhentai et plus particulièrement aux films mettant en scène destentacules érotiques.

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. Casting et équipe technique -Allociné
  2. « Elle : Verhoeven en plein tournage », surCineuropa,(consulté le)
  3. « Page officielle du film », sursbs-distribution.fr
  4. « Paul Verhoeven, un Français d'adoption », surCineuropa,(consulté le)
  5. (it) « Paul Verhoeven sul set a Parigi per "Elle", suo primo film in lingua francese », surFarefilm.it(consulté le)
  6. « Dates de sortie » (dates de sortie), surl'Internet Movie Database
  7. Olivier Bonnard, « Paul Verhoeven : "J’ai un peu l’impression d’être enterré vivant." », surL'Obs,(consulté le).
  8. a etbJean-Sébastien Chauvin etStéphane Delorme,L'ironie est un art perdu : entretien avec Paul Verhoeven,Les Cahiers du Cinéma,,p. 8.
  9. Gilles Esposito et Cédric Delelée, « Paul Verhoeven - En terre étrangère »,Mad Movies,no 296,‎,p. 40-43
  10. (en) Taylor Lindsay, « Coming to Cannes From Wild Bunch: 'Spring Breakers 2' and Gaspar Noe's Sex Celebration 'Love' », surIndiewire,(consulté le).
  11. « Communiqué de presse - Cinq nouvelles coproductions d’Arte France cinéma », surArte,(consulté le).
  12. Toma Clarac, « PAUL VERHOEVEN, DE ROBOCOP À JÉSUS CHRIST », surGQ Magazine,(consulté le).
  13. a etbLaurent Djian, « Paul Verhoeven - Le Grand entretien »,Studio Ciné Live n°79,‎,p. 10 à 14
  14. ab etc(en) Margaret Barton-Fumo, « Interview: Paul Verhoeven », surFilm Comment,(consulté le).
  15. (nl) « Nicole Kidman in erotische thriller », surDe Telegraaf,(consulté le).
  16. « Paul Verhoeven : un film en français avec Isabelle Huppert », surAlloCiné,(consulté le).
  17. Guillaume Bonnet,Show girl,Première,,p. 36.
  18. (en) Katie Walsh, « Interview: Isabelle Huppert Talks Her Favorite Films Of 2014, The State Of Cinema, Michael Haneke & More », surIndiewire,(consulté le).
  19. « Virginie Efira rejoint Isabelle Huppert dans le nouveau film du réalisateur de Basic Instinct », surAlloCiné,(consulté le).
  20. Fabien Lemercier, « Elle : Verhoeven en plein tournage », surCineuropa,(consulté le).
  21. a etbLe Journal de Saint-Germain, « Isabelle Huppert: si loin, si proche », surcalameo.com,(consulté le).
  22. « EN IMAGES. Paul Verhoeven et ses acteurs posent pour la Tunisie », surLe Parisien,(consulté le).
  23. Jean-Sébastien Chauvin & Stéphane Delorme "L’ironie est un art perdu entretien avec Paul Verhoeven", Octobre 2015 n°715. p. 17. sur le site Cahiers du Cinema.
  24. Jean-Sébastien Chauvin & Stéphane Delorme "L’ironie est un art perdu entretien avec Paul Verhoeven", Octobre 2015 n°715. p. 17 sur le site Cahiers du Cinema.
  25. Sébastien Bénédict, « PAUL VERHOEVEN : LA CHAIR ET LE SANG (DU CHRIST) », surChronic'art,(consulté le).
  26. Jean-Sébastien Chauvin & Stéphane Delorme "L’ironie est un art perdu entretien avec Paul Verhoeven", Octobre 2015 n°715. p. 8. sur le site Cahiers du Cinema.
  27. [vidéo] « VALLEY OF LOVE -conférence- (vf) Cannes 2015 », surYouTube
  28. Laurent Djian, « Quand Isabelle Huppert est interviewée par ses confrères », surL'Express,(consulté le).
  29. Romain Le Vern, « POURQUOI « ELLE » DE PAUL VERHOEVEN SERA TRÈS CHAOS », surChaos Reigns,(consulté le).
  30. (en) « Elle Soundtrack (Anne Dudley) - Sony Classical (2016) »,Film Music Site(consulté le)
  31. Clément Cusseau, « Bande-annonce Elle : une troublante Isabelle Huppert dans le nouveau Verhoeven », surAlloCiné,(consulté le).
  32. « SBS Distribution avance le prochain Paul Verhoeven », surLe Film français,(consulté le).
  33. « La Sélection officielle 2016 », surFestival de Cannes,(consulté le).
  34. Thomas Baurez, « Festival de Cannes 2016: Elle, de Paul Verhoeven », surL'Express,(consulté le).
  35. « ELLE - DIRECTED BY PAUL VERHOEVEN », surSBS Distribution,(consulté le).
  36. « Elle », surAlloCiné(consulté le).
  37. (en)« Elle »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?),Rotten Tomatoes(consulté le).
  38. (en) « Elle »,Metacritic(consulté le).
  39. [vidéo] « ELLE - Rang I - VO - Cannes 2016 », surYouTube
  40. Stéphane Delorme "Édito Brise Cannoise", Mai 2016 n°722 sur le site Cahiers du Cinema.
  41. Jean-Philippe Tessé "Basique instinct", Mai 2016 n°722 sur le site Cahiers du Cinema.
  42. Christophe Narbonne, « Elle de Paul Verhoeven »,Première,no 471,‎,p. 53
  43. Gérard Delorme, « Elle de Paul Verhoeven »,Première,no 471,‎,p. 99-101
  44. Fausto Fasulo, « Elle de Paul Verhoeven - Une femme libérée »,Mad Movies,no 296,‎,p. 36-39
  45. Thierry Chèze, « Elle de Paul Verhoeven »,Studio Ciné Live,no 79,‎,p. 108
  46. Louis Guichard, « Télérama »,Hebdomadaire,‎.
  47. a etb« Elle (2016) », surJP Box-Office(consulté le).
  48. « CLASSEMENT HEBDOMADAIRE FRANCE 25-31 MAI 2016 », surJP Box-Office(consulté le).
  49. http://www.jpbox-office.com/fichacteur.php?id=287&affich=france#cible2
  50. « Paul Verhoeven au box-office : de Robocop à Elle ! », surAvoir Alire - aVoir-aLire.com(consulté le).
  51. ab etchttp://www.boxofficemojo.com/movies/?id=elle.htm
  52. « Elle » ((en) récompenses), surl'Internet Movie Database
  53. Top Ten 2016, Décembre 2016no 728 sur le site Cahiers du Cinéma.
  54. (en) « The best films of 2016 »,
  55. « Elle de Paul Verhoeven, encore sacré, par le Syndicat de la critique cette fois »,Télérama,‎(lire en ligne, consulté le)

Voir aussi

[modifier |modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

[modifier |modifier le code]

Liens externes

[modifier |modifier le code]

v ·m
Réalisateur
v ·m
Années 1970
Années 1980
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020
v ·m
L'année indiquée est celle de la cérémonie.De 1949 à 1956, l'Oscar est un prix d'honneur, sans propositions ou nominations de films.
Les films sont ceux qui sont proposés à la nomination par la France ; tous ne figurent pas dans la liste finale des films nommés.
Oscar d'honneur ou spécial
Années 1950
Années 1960-1970
Années 1980-1990
Années 2000-2010
Années 2020
v ·m
Années 1990
Années 2000
Années 2010
Années 2020
L'année indiquée est celle de la cérémonie.
Ce document provient de « https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Elle_(film,_2016)&oldid=227603166 ».
Catégories :
Catégories cachées :

[8]ページ先頭

©2009-2025 Movatter.jp