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Donald Trump

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Pour les articles homonymes, voirTrump etDonald Trump, Jr..

Donald Trump
Illustration.
Portrait officiel de Donald Trump en tant queprésident des États-Unis en 2025.
Fonctions
45e et47eprésident des États-Unis
En fonction depuis le
(10 mois et 4 jours)
Élection5 novembre 2024
Vice-présidentJ. D. Vance
GouvernementAdministration TrumpII
PrédécesseurJoe Biden

(4 ans)
Élection
Vice-présidentMike Pence
GouvernementAdministration Trump
PrédécesseurBarack Obama
SuccesseurJoe Biden
Biographie
Nom de naissanceDonald John Trump
SurnomThe Donald[1] (« Le Donald »)
Date de naissance(79 ans)
Lieu de naissanceNew York (État de New York,États-Unis)
NationalitéAméricaine
Parti politiqueParti républicain(1987-1999)
Parti de la réforme(1999-2001)
Parti démocrate(2001-2009)
Parti républicain(2009-2011)
Indépendant(2011-2012)
Parti républicain(depuis 2012)
PèreFred Trump
MèreMary Anne MacLeod
Grand-père paternelFrederick Trump
Grand-mère paternelleElisabeth Christ
FratrieMaryanne Trump Barry
Fred Trump Jr.
Robert Trump
ConjointsIvana Zelníčková(1977-1990)
Marla Maples(1993-1999)
Melania Knauss(depuis 2005)
EnfantsDonald Trump,Jr.
Ivanka Trump
Eric Trump
Tiffany Trump
Barron Trump
FamilleFamille Trump
EntourageJared Kushner(gendre)
Diplômé deWharton School (Pennsylvanie)
ProfessionHomme d'affaires
Animateur de télévision
Producteur de télévision
ReligionPresbytérianisme(jusqu'en 2021)
Christianisme non confessionnel(depuis 2021)
RésidenceMaison-Blanche
Mar-a-Lago
Trump Tower
Site web45office.com
www.donaldjtrump.com

Signature de Donald Trump

Image illustrative de l’article Donald Trump
Présidents des États-Unis
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Donald Trump (/ˈdɑnəldtɹʌmp/[a]), né le àNew York (État de New York), est unhomme d'affairesmilliardaire,animateur,producteur de télévision ethomme d'Étataméricain. Membre duParti républicain, il est le45e et47e président des États-Unis, en fonction du au et depuis le.

Fils du promoteur immobilierFred Trump et deMary Anne MacLeod Trump, il étudie à laWharton School (Pennsylvanie). En 1971, il prend la direction de l'entreprise familiale, qu'il renommeThe Trump Organization et se constitue dès lors un empire économique grâce à la construction ou à l'achat de bâtiments prestigieux, decasinos, d'hôtels de luxe et deterrains de golf.

Célébrité médiatique dès lesannées 1980, il est très impliqué dans le secteurtélévisuel ; de 2004 à 2015, il est notamment l'animateur de l'émission detéléréalitéThe Apprentice, qui bat des records d'audience et dans laquelle il popularise l'expression« You're fired! » (« Vous êtes viré ! »).

En politique, il s'affilie à partir de 1987 auParti républicain puis, deux ans auParti de la réforme. Après avoir été un opposant résolu au président républicainGeorge W. Bush, sous la présidence duquel il est inscrit auParti démocrate, il revient au Parti républicain en 2009. Il critique la politique du président démocrateBarack Obama et reprend, pendant plusieurs années, lesrumeurs conspirationnistes sur sa citoyenneté.

Alors que sa campagne n'est, à ses débuts, pas prise au sérieux par les observateurs, il remporte la désignation du Parti républicain auxprimaires présidentielles de 2016 avec son sloganMake America Great Again. Se présentant comme un adversaire de l'establishment et dupolitiquement correct, il emploie un ton considéré comme belliqueux, multiplie les déclarations controversées et s'engage notamment àréduire l'immigration. Son discours est souvent qualifié depopuliste,nationaliste,protectionniste etclimatosceptique. Sa victoire à l'élection présidentielle face à la démocrateHillary Clinton, qui le devance toutefois largement dans levote populaire, déjoue la quasi-totalité des pronostics. Il devient le président le plus âgé et le plus riche à entrer en fonction.

Pendant sonpremier mandat, il signe des décrets restreignant l'immigration — notamment issue depays musulmans —, procède à une extension dumur à la frontière avec le Mexique, retire son pays de l'accord de Paris sur le climat et de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien, reconnaîtJérusalem comme capitale d'Israël, rétablit lesrelations avec laCorée du Nord, supervise l'accord de paix entre Israël et les Émirats arabes unis et crée laUnited States Space Force. En matière économique, il réduit lesprélèvements obligatoires et toutes sortes d'impôts ettaxes de manière plus générale, renégocie l'ALENA comme l'ACEUM et lance une guerre commercialevisant notamment la Chine, et bénéficie de résultats positifs en matière d'emploi et de croissance jusqu'à lacrise sanitaire de 2020.

Il marque sa présidence par le renouvellement exceptionnel d'un tiers de la très influenteCour suprême des États-Unis, à laquelle il donne une coloration trèsconservatrice, et est parfois accusé d'entretenir une posture ambiguë vis-à-vis de groupes d'extrême droite violents. Son style de gouvernance inhabituel et sa communication offensive contribuent à susciter très fréquemment des polémiques : il entretient ouvertement des relations très hostiles avec la presse, hormis certains médias conservateurs.

Au début de l'année 2020, impliqué dans unecontroverse avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, il subit une premièreprocédure de destitution à la suite de laquelle il est acquitté par leSénat. Peu après, sa gestion de lapandémie de Covid-19 est très contestée et il retire notamment durant cette période les États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Candidat à l'élection présidentielle de 2020, il est battu par le démocrateJoe Biden.Refusant de concéder sa défaite, il engage des recours juridiques, qui sont quasiment tous rejetés, et retarde latransition présidentielle. Le, l'assaut du Capitole par certains de ses partisans notamment venus de l'alt-right, qui s'est déroulé après qu'il a tenu un discours incendiaire, est considéré comme uneinsurrection ou une tentative decoup d'État, ainsi qu'un épisode deviolence politique sans précédent dans une démocratie avancée. Fait inédit pour un président américain, uneseconde procédure de destitution est alors lancée contre lui, toujours sans succès. Il refuse d'assister à l'investiture de son successeur. Cet événement pousse de nombreux universitaires àcomparer sa gouvernance au fascisme.

Conservant une influence importante au sein duParti républicain, il annonce dès sa candidature à l'élection présidentielle de 2024 et s'impose auxprimaires du parti en de la même année. En parallèle, il connaît de nombreux problèmes judiciaires en raison notamment de son rôle dans l'assaut du Capitole, deses tentatives d'inverser le résultat de la présidentielle de 2020 et d'accusations diverses decorruption, ainsi que d'agressions sexuelles. Il est en 2023 inculpé à quatre reprises, en particulier pour « complot contre lesÉtats-Unis » au niveau fédéral, et pour « fausses déclarations et faux documents, usurpation de fonction publique, faux et usage de faux » dans l'État deGéorgie. Le, il estreconnu coupable de 34 chefs d'accusation par un tribunal de New York dans l'affaire Stormy Daniels, impliquant des paiements frauduleux avant l'élection présidentielle de 2016, et devient le premier ancien président américain reconnu coupable de faits criminels.

En, il échappe de justesse à unetentative d'assassinat lors d'un meeting de campagne présidentielle près deButler, enPennsylvanie, ce qui conduit à l'ouverture d'une première enquête. Deux mois plus tard, en, il est victime d'unenouvelle tentative d'assassinat àWest Palm Beach, enFloride, entraînant l'ouverture d'une seconde enquête.

Le, Donald Trump devient le deuxième président américain élu pour un second mandat non consécutif, et remporte à la fois levote populaire et celui du collège électoral, face à la candidate démocrate et vice-présidente sortanteKamala Harris, au profit de laquelle le président Joe Biden s'était retiré. Toutes les poursuites lancées à son encontre, et particulièrement celles liées au, sont abandonnées du fait de son élection.

Le secondretrait des États-Unis de l'Organisation mondiale de la santé etde l'accord de Paris sur le climat, ainsi que lagrâce accordée à plus de 1 500 émeutiers condamnés pour leurs actes du, comptent parmi lesdécrets qu'il signe le jour de saseconde investiture, le. Par ailleurs, conjointement avecElon Musk un temps nommé à la tête dudépartement de l'Efficacité gouvernementale, il procède à des coupes drastiques d'agences et de programmes gouvernementaux, ainsi qu'aux licenciements de dizaines de milliers de salariés fédéraux. Sur le plan international, il impose unrelèvement des tarifs douaniers. Il supervise également desfrappes sur les sites nucléaires iraniens, unaccord de paix entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan et propose unplan de paix pour la guerre à Gaza fin qui conduit à un cessez-le-feu le.

Origines et jeunesse

Famille

Article connexe :Famille Trump.

Donald John Trump (/ˈdɑnəldd͡ʒɑntɹʌmp/[a]Écouter) naît le dans le quartier deJamaica, dans l'arrondissement duQueens àNew York[2]. Il est baptisé et confirmé dans l'églisepresbytérienne de son quartier[3].

Quatrième d'une famille de cinq enfants, il est le fils deFred Trump (1905-1999),germano-américain, et deMary Anne Trump née MacLeod (1912-2000), d'origineécossaise[4],[5].

Il a deux frères et deux sœurs :Maryanne (1937-2023),Fred Jr. (1938-1981), Elizabeth (née en 1942) etRobert (1948-2020). Son frère aîné, Fred TrumpJr., est mort d'alcoolisme, ce qui a poussé Donald Trump à s'abstenir d'alcool et de cigarettes[6].

La famille paternelle de Trump est d'origineallemande, sa famille maternelle, d'origine écossaise. Parmi ses grands-parents paternels, qui viennent deKallstadt, on trouveFrederick Trump, qui a fait fortune dans lesvilles champignons deSeattle et duKlondike. Fred Trump, père de Donald, né dans leBronx, a fait carrière commepromoteur immobilier sur lacôte Est[7],[8]. Mary Anne Trump est née à Tong, surLewis[9].

Donald Trump est aussi le neveu du scientifiqueJohn George Trump, pionnier de laradiothérapie[10].

Scolarité

Donald Trump en avril 1964, à l'âge de17 ans, pendant sa scolarité à l'École militaire de New York.

Donald Trump grandit dans une maison destyle néo-Tudor dans le quartier chic deJamaica Estates. Il est élève de laKew-Forest School[11],[12]. À l'âge de treize ans — alors qu'il est, de son propre aveu, un adolescent difficile — il est envoyé par ses parents, qui espèrent ainsi canaliser son énergie, à l'École militaire de New York[13],[14].

Il est ensuite élève de l'université Fordham, dans leBronx, à compter d' et pendant deux ans. Par la suite, il s'inscrit à laWharton School de l'université de Pennsylvanie, qui est à l'époque l'un des rares établissements américains à proposer un cursus spécialisé dans l'immobilier[15],[16]. Pendant ses études, il travaille pour l'entreprise familiale, Elizabeth Trump & Son, qui porte le nom desa grand-mère paternelle[17]. Il obtient en mai 1968 une licence en économie[16].

Trump n'est pas envoyé servir pendant laguerre du Viêt Nam[18]. Durant ses études, de 1964 à 1968, il obtient quatre reports d'incorporation[19]. Puis, après avoir été jugé bon pour le service en 1966, il est réformé en[20]. Dans une interview accordée en 2015, il affirme avoir été réformé en raison d'uneépine calcanéenne au talon[21]. En 1969, il obtient un chiffre élevé à la loterie organisée pour laconscription aux États-Unis, ce qui lui aurait, de toute manière, permis d'échapper au service[20],[22].

Carrière d'homme d'affaires

Article connexe :The Trump Organization.

Immobilier

Débuts

Pendant ses études, Donald Trump travaille pour l'entreprise de son père[23],Elizabeth Trump and Son[24], qui se spécialise dans la location de logements destinés à la classe moyenne new-yorkaise, dans lesarrondissements deBrooklyn,Queens etStaten Island. Toujours pendant ses études, il collabore avec son père pour rouvrir un complexe d'appartements àCincinnati[25].

Au début desannées 1970, il devient président de l'entreprise familiale, tandis que son père prend le poste deprésident du conseil d'administration. Il rebaptise ensuite la sociétéThe Trump Organization[26].

En 1973, les Trump père et fils sont visés par une enquête dudépartement de la Justice américain, portant sur des soupçons de discriminations envers les aspirants locatairesnoirs. L'entreprise Trump signe finalement un accord par lequel elle accepte d'héberger des locataires présentés par laNational Urban League[27],[28].

Un de leurs avocats est alorsRoy Cohn[29] qui devient pour Donald Trump un conseiller et un mentor[30]. Dans une interview accordée àNewsweek en 1979, Trump dit de lui :« si vous avez besoin de quelqu'un qui peut devenir vicieux contre vos opposants, vous faites appel à Roy »[31]. Roy Cohn est également à l'époque avocat de plusieurs figures de lamafia américaine, dont lafamille Genovese, contrôlant certainssyndicats de la construction[32].

Expansion de ses activités

La façade de laTrump Tower àMidtown Manhattan.

Dans les années 1970, Donald Trump se lance dans une carrière depromoteur immobilier indépendant en se concentrant d'abord sur le marché deManhattan, dans la métropole de New York. Pendant sa campagne présidentielle, il explique avoir commencé avec« un petit prêt d'un million de dollars » accordé par son père, qu'il a ensuite remboursé à ce dernier avec des intérêts[33].

En 1978, il réalise sa première affaire importante en achetant des parts dans leCommodore Hotel à New York. L'hôtel, alors en partie vétuste, est rénové à grands frais, le chantier étant en grande partie financé par un prêt de70 millions de dollars négocié par Fred Trump avec le groupeHyatt. L'établissement rouvre ensuite sous le nom deGrand Hyatt Hotel[34],[35].

Lapatinoire Wollman àCentral Park.

En 1978, il termine les négociations pour construire laTrump Tower, ungratte-ciel de58 étages (202 mètres) situé àMidtown[36]. L'immeuble, achevé en 1983, héberge lepenthouse qui sert de résidence principale à Donald Trump, ainsi que le siège social de laTrump Organization[37],[38] et un studio de télévision. La Trump Tower sert plus tard de décor à l'émissionThe Apprentice[39].

En 1986, Trump rénove lapatinoire Wollman, célèbrepatinoire à ciel ouvert deCentral Park dont le chantier de rénovation connaissait desretards désastreux ayant englouti13 millions de dollars en six ans. Trump reprend le chantier et termine les travaux en trois mois, en économisant 750 000 dollars sur un budget de3 millions[40]. Il y gagne le droit d'attacher son nom aux activités du site[41]. À partir de 2003,The Trump Organization y obtiendra la concession d'unparc d'attractions saisonnier, les « Victorian Gardens (en) ».

En 1988, Trump acquiert pour400 millions de dollars lePlaza Hotel, dont il confie la gestion et la rénovation à son épouse de l'époque,Ivana[42],[43]. Bien qu'importantes, les rentrées d'argent de l'hôtel s'avèrent insuffisantes pour compenser les dettes liées au coût des travaux[44]. En 1995, Trump le revend pour325 millions de dollars au prince saoudienAl-Walid ben Talal Al Saoud[45].

Au fil des années, Donald Trump construit ou rachète de nombreux autres bâtiments — immeubles delogements oude bureaux,hôtels de luxe et autres — y compris en dehors de New York (Trump World Tower,Trump Building,Trump International Hotel and Tower,Old Post Office Pavilion, etc.)[46].

En 1985, il fait l'acquisition àPalm Beach (Floride) de la résidence de luxeMar-a-Lago, pour la somme d'environ10 millions de dollars. Il en fait à la fois sa résidence d'hiver et un club privé dont l'abonnement annuel s'élève à 200 000 de dollars[47],[48].

Il développe progressivement ses activités immobilières en dehors des États-Unis et investit, avec un succès inégal, dans de nombreux pays comme leCanada,Israël, l'Inde, laTurquie, lesÉmirats arabes unis, lePanama, leQatar, laCorée du Sud, l'Uruguayetc.[49],[50].

Casinos à Atlantic City

The entrance of the Trump Taj Mahal, a casino in Atlantic City. It has motifs evocative of the Taj Mahal in India.
L'entrée duTrump Taj Mahal àAtlantic City.

Dans les années 1980, Donald Trump investit le secteur descasinos d'Atlantic City, dans l’État duNew Jersey. Le groupeHoliday Corp finance la construction par le groupe Trump de l'hôtel-casinoTrump Plaza, ouvert en 1984[51]. Trump en gère l'activité« jeux ». Dès la première année, les mauvais résultats de cet établissement entraînent de vives tensions entre Trump et Holiday Corp[52]. Trump fait également l'acquisition à Atlantic City, pour la somme de320 millions de dollars, d'un immeuble dont la construction avait été commencée par le groupeHilton. Le chantier est achevé en 1985, et l'hôtel-casino-marina, dirigé par l'épouse de Donald TrumpIvana, ouvre sous le nom deTrump's Castle (rebaptisé ensuiteTrump Marina Hotel Casino)[53].

En 1988, toujours à Atlantic City, Trump achète le casinoTaj Mahal, alors en construction[54]. L'établissement, rebaptiséTrump Taj Mahal, rouvre en après un chantier dont le coût s'est élevé à un milliard de dollars, ce qui en fait à l'époque le casino le plus cher jamais construit[55],[56]. Financé à hauteur de675 millions par desjunk bonds[57] avec un taux d'intérêt à 14 %, l'établissementdépose le bilan l'année suivante[58]. En outre, le Trump Plaza comme le Trump's Castle sont victimes de la concurrence du Trump Taj Mahal, et doivent négocier en 1991 unerestructuration financière avec leurs créanciers[59].

Le Taj Mahal redresse sa situation en octobre 1991 lorsque Trump cède 50 % de ses parts à ses créanciers, en échange d'une réduction de ses taux d'intérêt et d'un délai pour payer ses dettes[60]. Il est également contraint de vendre sa compagnie aérienneTrump Shuttle, ainsi que sonyachtTrump Princess qu'il cède à son ami le prince Al-Walid ben Talal pour 20 millions de dollars[57],[61],[62]. L'établissement est racheté en 1996 et réorganisé sous la bannière deTrump Hotels & Casino Resorts[62] (rebaptisé ensuiteTrump Entertainment Resorts), une filiale que Trump préside de mi-1995 à début 2009, et dont il occupe le poste de PDG de 2000 à 2005[63]. Trump Entertainment Resorts dépose le bilan en 2004 avec 1,8 milliard de dettes, puis à nouveau en 2009 avec500 millions de dettes. Un nouveau plan de restructuration permet à Donald Trump de conserver 10 % des parts du Trump Taj Mahal et de ses autres casinos[62] : il continue en échange à accorder aux établissements l'utilisation de la marque Trump[64].

LeTrump Marina Hotel Casino est revendu en 2011 au groupeLandry's[65]. Victime de la crise du secteur des casinos d'Atlantic City, le Trump Plaza ferme ses portes en septembre 2014[66]. Après des années d'exploitation déficitaire, le Trump Taj Mahal est revendu en àCarl Icahn, qui doit le fermer en octobre de la même année[67].

Terrains de golf

Une vue duTurnberry Hotel, dans l'Ayrshire enÉcosse.

LaTrump Organization gère plusieursterrains de golf, aux États-Unis et dans le reste du monde ; le magazineGolfweek recense en 2015 dix-huit terrains possédés ou gérés par le groupe[68]. Pour l'année 2015, Trump a déclaré à lacommission électorale fédérale un revenu personnel d'environ382 millions de dollars lié à ses activités dans legolf[69]. Donald Trump, lui-même grand amateur de golf, a déclaré que ces investissements représentent la partie de ses affaires à laquelle il est le plus attaché[70].

En 2006, Trump fait l'acquisition de570 hectares àBalmedie dans l'Aberdeenshire, enÉcosse. Il y crée un terrain de golf, malgré l'opposition de certains habitants de la région[71], sur une zone pourtant déclaréesite d'intérêt scientifique particulier[72],[73]. Cette histoire fait en 2011 l'objet du documentaireYou've Been Trumped, qui tourne autour du conflit entre Trump et les résidents[74]. L'homme d'affaires promet alors la création de 6 000 emplois locaux grâce à son terrain, mais en 2016, il reconnaît n'en avoir généré que 200[75]. En juin 2015, il intente une action en justice pour empêcher la construction d'unparc éolien à proximité de son terrain de golf, mais il est finalement débouté par laCour suprême du Royaume-Uni[76],[77].

En 2012, il acquiert àMiami leDoral Golf Resort & Spa, qu'il rénove et rebaptiseTrump National Doral ; ce terrain accueille leWGC-Cadillac Championship, tournoi annuel desWorld Golf Championships[78]. En 2015, il déclare qu'il s'agit de l'une de ses entreprises les plus rentables : le chiffre d'affaires du Trump National Doral est estimé, pour l'année 2014, à 49,4 millions de dollars[79].

En, Trump fait l'acquisition du complexe sportifTrump Turnberry, dans l'Ayrshire en Écosse, qui accueille régulièrement l'Open britannique hommes[80],[81]. Après un important chantier de rénovation, le complexe rouvre en juin 2016[82].

Autres investissements

Sports

Donald et Melania Trump avec l'équipe américaine desJeux olympiques spéciaux de 2019.

En, Trump fait l'acquisition desGenerals du New Jersey, une équipe defootball américain membre de l'United States Football League (USFL). Trump essaie alors de faire une concurrence directe à laNational Football League et de forcer une fusion entre les deux championnats pour augmenter la valeur de ses investissements[83]. Après la saison de 1985, son équipe fusionne avec l'équipe desGamblers de Houston, mais connaît d'importants problèmes financiers. L'USFL finit par cesser ses activités en 1986[84].

Malgré son échec dans le football américain, Trump continue d'investir dans les sports, notamment dans legolf[84]. Il accueille par ailleurs plusieurs matchs deboxe au Trump Plaza d'Atlantic City, parmi lesquels, en 1988, le combat deMichael Spinks contreMike Tyson, dont il est pendant un temps conseiller financier[84],[85],[86].

En 1989 et 1990, Trump donne son nom auTour de Trump, unecourse cycliste qu'il voudrait équivalente auTour de France et auTour d'Italie. Il abandonne après la seconde édition, du fait des difficultés financières que connaissent alors ses principales entreprises. La course continue pendant plusieurs années sous le nom deTour DuPont[87],[88].

En 2014, il tente sans succès d'acheter l'équipe desBills de Buffalo après la mort de leur précédent propriétaire, Ralph Wilson[89].

Concours de beauté

De 1996 à 2015[90], Trump a été le propriétaire des concours de beautéMiss Univers,Miss USA, etMiss Teen USA[91]. Insatisfait des conditions de diffusion de ses concours surCBS, il les transfère en 2002 surNBC[92],[93].

En 2015, au début de la campagne présidentielle de Trump, NBC etUnivision mettent fin à leur relation avec le concours Miss Univers, en raison des propos polémiques tenus par le candidat sur les immigrés clandestins mexicains[94],[95]. Trump attaque alors Univision en justice, réclamant500 millions de dollars à la chaîne pour rupture de contrat et diffamation[96],[97]. Le de la même année, Trump annonce qu'il est désormais le seul propriétaire de Miss Univers après avoir acheté les parts de NBC, avec laquelle le conflit a été réglé à l'amiable[98],[99]. Il revend peu après ses parts àWilliam Morris/IMG. Le litige avec Univision est également réglé à l'amiable en[100].

Agence de mannequins

Donald Trump crée en 1999 uneagence de mannequins,Trump Model Management, domiciliée dans le quartier deSoHo à Manhattan[101]. En liaison avec une autre société de son groupe, Trump Management Group LLC, l'agence fait venir après 2000 près de250 mannequins étrangers pour les employer dans l'industrie américaine de la mode[102]. Dans le courant de l'année 2016, Trump Model Management traverse de graves difficultés, plusieurs mannequins et collaborateurs la quittant au moment de la campagne présidentielle de Donald Trump. LaTrump Organization finit par fermer cette filiale en[103].

Transports aériens

En 1989, Trump lance lacompagnie aérienneTrump Shuttle, qui propose à ses clients un service de luxe[104]. L'entreprise ne parvient cependant pas à devenir bénéficiaire[105]. Dès 1992, il doit revendre cette filiale, en raison notamment des difficultés financières du casinoTrump Taj Mahal[104]. En 2008, la Trump organization s'associe à la compagnie Sentient Flight Group pour proposer un service dejets privés.

Université Trump

Article détaillé :Université Trump.

En 2005, Donald Trump crée avec ses associés Michael Sexton et Jonathan Spitalny un institut de formation professionnelle,Trump University LLC, qui propose des cursus dans l'immobilier[106] facturés entre 1 500 et 35 000 dollars[107],[108]. L'État de New York lui ayant enjoint de cesser d'utiliser l'appellation« université », la société est rebaptisée en 2010Trump Entrepreneurial Institute[109]. Trump est en outre personnellement mis en cause pour n'avoir pas demandé la licence nécessaire à l'ouverture d'une école[110].

En 2013, l'État de New York lance une procédure en justice en réclamant40 millions de dollars à laTrump Entrepreneurial Institute pourpublicité mensongère[109],[111]. Deuxactions collectives en justice sont parallèlement lancées contreTrump Entrepreneurial Institute par d'anciens étudiants qui estiment avoir été floués[112]. Pendant sa campagne présidentielle, Trump proteste plusieurs fois contre le magistrat chargé des dossiers, le juge Gonzalo P. Curiel, qu'il accuse de partialité en raison de sesorigines mexicaines[113],[114],[115]. Il revient ensuite sur ses déclarations en expliquant que ses doutes sur l'impartialité de Curiel sont dus non pas aux origines de ce dernier, mais à son traitement de l'affaire[116],[117].

Le procès de laTrump Entrepreneurial Institute, prévu à San Diego le[118], est finalement annulé, les parties ayant trouvé un accord à l'amiable dans les trois dossiers peu après la victoire de Trump à l'élection présidentielle. Bien que niant avoir commis un délit quelconque, Trump accepte, pour échapper à un procès qui se serait déroulé avant son investiture à la présidence des États-Unis, de verser25 millions de dollars aux 6 000 plaignants et de payer1 million de dollars d'amende pour avoir enfreint les lois sur l'éducation[119],[120],[121]. L'accord est trouvé une heure seulement avant l'audience du tribunal qui devait statuer sur une demande de report du procès déposée par Trump[122].

Commercialisation du nom et de la marque Trump

L'un des traits les plus connus de Donald Trump, en tant qu'hommes d'affaires, est sa tendance à baptiser ou rebaptiser de son nom la plupart des lieux, entreprises et produits qui lui sont associés[123], et à commercialiser sous cette étiquette les biens et services les plus divers. Lamarque Trump — déclinée en parfum Trump, thé Trump, vodka Trump, cravates Trump, matelas Trump, voireTrump Steaks — lui rapporte ainsi 9,5 millions de dollars de redevances pour la période allant de début 2014 à mi-2015[124]. En 2011, des experts financiers deForbes ont évalué la valeur de la marque Trump à200 millions de dollars. Un autre analyste conteste cette analyse et affirme qu'elle en vaut 3 milliards[125].

Faillites

Donald Trump ne s'est jamais déclaré enfaillite personnelle, mais six de ses hôtels et casinos ont fait faillite entre 1991 et 2009[126],[127]. Il s'agit du Trump Taj Mahal en 1991 (voirHard Rock Hotel & Casino Atlantic City), duTrump Plaza Hotel and Casino en 1992, duPlaza Hotel en 1992, duTrump Castle Hotel and Casino en 1992, duTrump Hotels and Casino Resorts en 2004 et duTrump Entertainment Resorts en 2009[128],[129],[130]. Les entreprises de Donald Trump ont utilisé les dispositions duchapitre 11 de la loi américaine sur les faillites, ce qui leur a permis de continuer leurs activités pendant les négociations. Trump a revendiqué en 2011 avoir joué des possibilités légales en matière de faillite, afin de réduire ses dettes[131],[132].

À l'approche de l'élection présidentielle de 2016, le magazineThe Economist[133], analysant la carrière d'homme d'affaires de Donald Trump, juge que ses résultats ont été globalement médiocres par rapport au reste du secteur immobilier et du marché boursier new-yorkais. Le journal rappelle que les informations sur l'empire financier de Trump sont lacunaires par ses méthodes opaques et personnelles[123].The Washington Post qualifie la carrière de Donald Trump de mélange de rodomontades, d'échecs et de véritables succès, et souligne que, s'il possède un véritable don en ce qui concerne l'immobilier, ses expériences dans d'autres secteurs ont été moins convaincantes. Le journal conclut que le« génie » de l'homme d'affaires a consisté en premier lieu à créer une mythologie autour de sa personne et de son nom[134].

Fortune personnelle et impôts

LeTrump Hotel àLas Vegas, dont les vitres sont teintées d'or à24 carats[135].
Donald Trump en 2000, en compagnie du présidentBill Clinton.

Laliste Forbes des Américains les plus riches évalue en 1982 le patrimoine personnel de Donald Trump à environ200 millions de dollars, en incluant sa part d'héritage de la fortune de son père. Il est absent de cette liste entre 1990 et 1995 en raison d'importantes pertes financières[136].

Le, lors de l'annonce de sa candidature, Donald Trump publie un document estimant sa fortune à près de neuf milliards[137], commentant à cette occasion qu'il était« vraiment riche »[138].Forbes met en doute ces chiffres, et estime sa fortune réelle à 4,1 milliards[139].

En 2015, les déclarations controversées de Trump sur les immigrés clandestins lui font perdre, selonForbes, pour environ125 millions de dollars de contrats avec des entreprises commeNBCUniversal,Univision Network, ouMacy's[140]. Sa campagne présidentielle a également un impact négatif sur son patrimoine, certains consommateurs boycottant les produits et services de ses sociétés pour marquer leur opposition à sa candidature[141]. La fréquentation deshôtels et descasinos détenus par Trump baisse fortement en 2016[142],[143].

En,Forbes estime son patrimoine personnel à 3,7 milliards de dollars et le classe324e plus grande fortune mondiale et113e fortune américaine[144].

De manière répétée, Trump refuse de rendre publique l'intégralité de ses déclarations fiscales[145],[146], y compris pendant sa campagne présidentielle de 2016[147].

En, les médias américains révèlent que Donald Trump a déclaré aux impôts en 1995 avoir perdu916 millions de dollars. Causées par les faillites de trois de ses casinos et de sa compagnie aérienne, ainsi que par le rachat hasardeux duPlaza Hotel à Manhattan, ces pertes financières cumulées lui ont permis une déduction fiscale, échelonnée sur une période de dix-huit ans sur ses revenus imposables. Il a pu ainsi réduire fortement, voire annuler, les sommes qu'il devait à l'administration fiscale[148]. Trump a reconnu la véracité de cette information, mais a refusé d'indiquer quelles années étaient concernées[149]. Interrogé pendant un débat présidentiel sur la déduction fiscale dont il a bénéficié, il répond que le fait d'avoir eu recours à cette disposition prouve son intelligence[150].

En,MSNBC publie les deux pages principales de la déclaration de revenus du couple Trump pour l'année 2005. Celles-ci indiquent qu'il a payé38 millions de dollars d'impôt fédéral sur le revenu cette année-là, soit un taux effectif de plus de 25 %[151], en raison de l'application de l'« alternative minimum tax » (impôt minimum de remplacement), visant à empêcher que des contribuables profitent de niches fiscales pour payer peu ou pas d'impôt, et que Donald Trump souhaite faire supprimer[152]. Cette information ne répond toutefois que très partiellement aux interrogations soulevées dans les médias pendant la campagne présidentielle, concernant l'opacité maintenue par Trump sur sa situation fiscale pour18 années consécutives[153].

Le, leNew York Times publie une enquête selon laquelle, loin de la qualité de« self-made-man » qu'il revendique, Donald Trump aurait tiré le début de sa fortune personnelle de manœuvres d'évasion fiscale initiées par son père. Selon le quotidien, Donald Trump et ses frères et sœurs auraient, depuis leur enfance, bénéficié de versements par l'entremise d'unesociété écran créée parFred Trump dans le but de dissimuler au fisc les dons à ses enfants. L'enquête conclut que les sommes versées à Donald Trump par son père, loin de se limiter à un prêt d'un million de dollars pour se lancer en solo, se monteraient à413 millions de dollars dont une partie aurait été perçue dans le cadre d'une évasion fiscale. Le service des impôts de l'État de New York annonce l'ouverture d'une enquête. Les faits, s'ils sont établis, ne relèvent pas du pénal en raison de laprescription des faits, mais ils pourraient entraîner une amende au civil[154],[155].

En 2022, il est condamné à une amende de 10 000 dollars par jour pour ne pas avoir présenté à l'administration fiscale des documents relatifs à une enquête visant le groupe Trump Organization débutée en 2019. Il finira par payer 110 000 dollars d'amende le[156].

Médiatisation et carrière dans les médias

Donald Trump se distingue, en tant qu'homme d'affaires, par une recherche constante de la publicité[123] : sa stratégie de communication se signale en outre par un goût prononcé pour l'hyperbole, qui l'amène à annoncer chacun de ses projets à grand renfort de superlatifs[49]. Depuis les années 1980, il fait l'objet aux États-Unis d'une fortemédiatisation qui lui a permis de devenir une figure très familière du public américain. Les médias s'intéressent à lui dès la première moitié de la décennie : en, il fait la couverture du magazineGQ[157],[158]. En, il publieTrump: The Art of the Deal, un livre co-signé avec le journalisteTony Schwarz (en), mais dont il n'aurait pas écrit une ligne[b]. L'ouvrage, un mélange d'autobiographies et de conseils pour les affaires, connaît un énorme succès de librairie et reste pendant treize semaines en tête de laliste des livres à succès du New York Times. C'est avec ce livre, dans lequel il vante ses qualités d'homme d'affaires en se présentant comme un modèle de réussite à l'américaine, que Donald Trump devient une célébrité nationale aux États-Unis[157],[158].

Par la suite, sa notoriété lui vaut entre autres de faire des apparitions dans douze longs-métrages de cinéma et quatorze séries télévisées[159], généralement dans son propre rôle. On le voit ainsi dans des films commeMaman, j'ai encore raté l'avion ! (1992),Celebrity deWoody Allen en 1998,Zoolander (2001) ouL'Amour sans préavis (2002), ainsi que dans des épisodes duPrince de Bel-Air (1996), deSex and the City (1999), etc. Il a également joué un rôle secondaire dans le filmLes Chenapans (1994) où il interprète un magnat du pétrole. Ses rôles lui ont permis de devenir membre de laScreen Actors Guild et de recevoir une pension annuelle de plus de 110 000 dollars[160],[161]. Fréquemment imité et parodié par les humoristes et caricaturistes américains, il anime par ailleurs pendant un temps sa propre émission de radio, intituléeTrumped![162],[163].

Il est en outre souvent comparé àCharles Foster Kane, le personnage principal deCitizen Kane, chef-d'œuvre d'Orson Welles qu'il présente comme son film préféré[164].

The Apprentice

Donald Trump en compagnie du joueur de basket-ballDennis Rodman pendant la participation de ce dernier àThe Celebrity Apprentice, en 2009.
Articles connexes :The Apprentice etThe Celebrity Apprentice.

En 2004, Trump devient leproducteur exécutif et l'animateur de l'émission detéléréalitéThe Apprentice, diffusée surNBC et dans laquelle des candidats s'affrontent pour obtenir un poste de cadre supérieur dans l'une des sociétés du groupe Trump. Les candidats sont tour à tour éliminés du jeu par Donald Trump lui-même, dont la phrase fétiche dans l'émission est« You're fired! » (Vous êtes viré !). La première année deThe Apprentice rapporte à Trump 50 000 dollars par épisode (soit environ 700 000 dollars pour l'ensemble de la saison) mais, du fait du succès de l'émission, il est ensuite payé un million par épisode. L'émission donne également lieu à unspin-off,The Celebrity Apprentice[165]. Elle vaut en outre à Trump de recevoir en 2007 son étoile sur leHollywood Walk of Fame pour sa contribution au divertissement télévisuel[166],[167]. Trump anime quatorze saisons deThe Apprentice, de à. En 2016, son étoile du Hollywood Walk of Fame est vandalisée pendant sa campagne présidentielle[168].

World Wrestling Entertainment

À partir de la fin des années 1980, Donald Trump alimente sa notoriété médiatique en s'associant au milieu ducatch. Il loue à laWorld Wrestling Federation (WWF) le Trump Plaza d'Atlantic City pour l'organisation deWrestleMania IV le, puis pourWrestleMania V le[169]. Au cours de ces deux éditions, la réalisation fait des gros plans sur lui au premier rang[169]. LeTrump Taj Mahal à Atlantic City a ainsi accueilli le championnat de laWorld Bodybuilding Federation, qui appartenait à l'époque à laWorld Wrestling Entertainment[170].

Trump apparaît en personne dans diverses manifestations de laWWE, notamment en 2007 lors de laWrestleMania 23 pour les besoins d'un match appeléThe Battle of the Billionaires (La Bataille des milliardaires). Au cours de cet évènement, il soutientBobby Lashley tandis queVince McMahon soutient l'adversaire de ce dernier,Umaga, chacun des deux hommes d'affaires ayant promis de se faire raser le crâne si son champion perdait le match. C'est finalement McMahon qui s'y plie, après la victoire de Lashley[171].

En 2009, Vince McMahon annonce qu'il vendRAW à Donald Trump[172] ; ce dernier devient alors propriétaire du spectacle de catchWWE Raw, qu'il rebaptiseTRUMP RAW. Cependant, la semaine suivante, McMahon rachèteMonday Night Raw le double du prix vendu. En 2013, Trump devient membre duWWE Hall of Fame en reconnaissance de son rôle dans la promotion de la World Wrestling Entertainment[173]. En 2016,Linda McMahon, épouse de Vince McMahon et longtemps directrice de la WWE, verse6 millions de dollars à Donald Trump pour sa campagne présidentielle. Elle se voit nommée à la tête de laSmall Business Administration (SBA) après sa victoire[174].


Ascension politique

Premiers engagements

Le présidentRonald Reagan et Donald Trump, en 1987 à la Maison-Blanche.

D'abord affilié auParti démocrate, Donald Trump devient ensuite un fervent partisan du présidentRonald Reagan. Il s'engage alors au sein duParti républicain.

En, peu avant la sortie de son autobiographie, il achète dans plusieurs grands journaux une page de publicité pour publier une« lettre ouverte » adressée« au peuple américain », dans laquelle il prône une politiqueisolationniste pour relancer l'économie des États-Unis[175]. Dans la foulée du succès de son livre, il songe à se présenter à laprésidentielle de 1988 en formant un ticket avecOprah Winfrey comme candidate à la vice-présidence[176].George H. W. Bush, vainqueur du scrutin, aurait un temps envisagé de constituer un ticket avec Trump[177].

Par la suite, Trump envisage à plusieurs reprises de se présenter, mais sans aller pour le moment au bout de ses projets de candidature[178].

Affiliation au Parti de la réforme

Il quitte le Parti républicain en 1999 et rejoint leParti de la réforme des États-Unis d'Amérique, fondé parRoss Perot[179],[180]. Il cherche à en obtenir l'investiture en vue de l'élection présidentielle de 2000, mais il renonce à son projet de candidature alors qu'il était crédité de 7 % d'intentions de vote au niveau national s'il venait à remporter l'investiture du parti[181],[182].

Présidence de George W. Bush

Entre 2001 et 2009, sous laprésidence de George W. Bush, il est à nouveau enregistré comme électeur démocrate[183].

Il se montre critique envers laguerre d'Irak en, tout en évoquant les intérêts économiques que les États-Unis peuvent tirer du conflit[184],[185]. Jugeant queSaddam Hussein avait au moins le mérite de« tuer des terroristes »[186], il désavoue publiquement la guerre d'Irak à partir de 2004[184]. Lors de la campagne présidentielle de 2016, malgré la popularité de George W. Bush dans l'électorat républicain, Donald Trump s'oppose auxnéoconservateurs et qualifie l'intervention de 2003 de « désastre en matière de politique étrangère », dépeignant plus généralement la présidence Bush comme un échec[187],[188]. En vue de la présidentielle de 2016,George H. W. Bush déclare voter pour Hillary Clinton tandis que George W. Bush affirme voter blanc[189].

En 2005, Donald Trump se définit comme un« mix » de démocrate et de républicain[190]. En 2008, il contribue au financement de lacampagne pour l'investiture démocrate deHillary Clinton[191]. Durant lacampagne présidentielle, il déclare que George W. Bush aurait dû être destitué en raison de la guerre en Irak mais, fervent partisan du Parti républicain, soutientJohn McCain, dont il assure qu'il« ferait un grand président »[192].

Présidence de Barack Obama

En 2009, il s'inscrit au Parti républicain, et s'y réinscrit en 2012 après un interlude de plusieurs années sans affiliation politique[183]. En 2015, Donald Trump déclare qu'il« [se] reconnaît démocrate par certains aspects » et explique son tropisme démocrate antérieur par l'influence de la vie à Manhattan, réputée pour être une terre historiquement démocrate[183].

Donald Trump à laConservative Political Action Conference de 2013.

Après avoir envisagé une candidature en tant qu'indépendant à l'élection présidentielle de 2012, il apporte son soutien au candidat républicainMitt Romney[193]. Après la réélection de Barack Obama, il appelle à« marcher sur Washington et arrêter cette mascarade »[194]. Des journalistes supposent que Trump a envisagé de se présenter à l'élection présidentielle après ledîner des correspondants de la Maison-Blanche de 2011, durant lequel Barack Obama se moque à plusieurs reprises de Donald Trump[195],[196].À partir de 2011, Donald Trump reprend à son compte unethéorie selon laquelleBarack Obama ne serait pas né sur le territoire des États-Unis, mais auKenya, ce qui aurait pour conséquence de le rendre inéligible au poste deprésident des États-Unis[197]. Il déclare aussi que les notes d'Obama étaient insuffisantes pour qu'il intègre lafaculté de droit de Harvard[198]. L'universitaire Gregory Benedetti juge que le fait d'avoir alimenté cette polémique a alors permis à Trump de devenir« le porte-drapeau d'une branche ultra-conservatrice désireuse de présenter Obama comme un étranger, un Autre culturel et identitaire »[199]. Trump soutient cettethéorie du complot pendant cinq ans, au travers notamment de nombreux tweets[200]. En, il déclare qu'Obama est bien né aux États-Unis[201].

Il s'oppose en outre à plusieurs mesures prises par le président Obama, notamment lePatient Protection and Affordable Care Act, ainsi qu'à sa politique migratoire[202],[203].

Élection présidentielle de 2016

Primaires républicaines

Articles connexes :Primaires présidentielles du Parti républicain américain de 2016 etMake America Great Again.

Trump annonce sa candidature aux primaires républicaines le, avec leslogan« Make America Great Again » (« Rendre sa grandeur à l'Amérique ») — utilisé jadis parRonald Reagan[204], en se présentant en sauveur d'une Amérique moribonde, minée par la corruption de ses élites[205].

Quelques jours après l'annonce de sa candidature, alors crédité de moins de 5 % dans les enquêtes d'opinion, il effectue une percée inattendue dans les sondages, même siJeb Bush reste considéré comme le favori[206],[207]. À partir du mois de, les sondages le placent en tête des intentions de vote aux primaires, avec un soutien estimé entre 17 et 40 % à l'échelle nationale[208],[209],[210]. Durant l'été 2015, il figure en tête des personnalités faisant l'objet d'une recherche surGoogle et citées sur lesréseaux sociaux[206]. Cet « effet Trump », inattendu, médiatise les primaires : le premier débat entre les candidats républicains, le, est focalisé sur sa personne et rassemble24 millions de téléspectateurs, huit fois plus qu'en 2011[206],[211],[212]. Les doutes sur la pérennité de sa candidature, souvent dédaignée[213],[214], disparaissent à la fin de l'été 2015[206]. Cependant, la plupart des commentateurs continuent de prédire sa défaite[215],[216]. Dès sa déclaration de candidature, il se singularise en utilisantTwitter de manière très polémique, notamment pour attaquer, voireinsulter, quiconque lui déplaît. Il nomme un directeur des communications pour les réseaux sociaux,Dan Scavino[217].

Donald Trump lors d'un meeting àDerry (New Hampshire) le 19 août 2015.

Dès le début de sa campagne, il revendique un discours « politiquement incorrect », notamment sur l'immigration. Il soulève une polémique en accusant les immigrésmexicains d'être des« criminels » et des« violeurs » que le gouvernement mexicain enverrait« activement » aux États-Unis et en proposant la construction d'un mur le long de lafrontière mexicaine — mesure phare de son programme[218],[219] —, provoque un autre tollé en préconisant« l'arrêt total et complet de l'entrée desmusulmans aux États-Unis » et se voit globalement reprocher des déclarations jugéessexistes, ouracistes[220],[221],[222]. La campagne de Trump attire rapidement l'attention des médias internationaux, du fait de sa personnalité atypique et de ses déclarations fracassantes : il écrit ainsi surTwitter que leréchauffement climatique est une invention des Chinois pour miner l'économie américaine, suggère que la journalisteMegyn Kelly s'est montrée agressive avec lui parce qu'elle avait ses règles, ou moque publiquement le handicap d'un autre journaliste dont les questions lui avaient déplu[223].

En, après un score jugé décevant lors ducaucus de l'Iowa (24,3 % des suffrages), il arrive largement en tête à celles duNew Hampshire (35,2 %), deCaroline du Sud (32,5 %) et duNevada (45,8 %), renforçant ainsi son statut de favori[224],[225]. Lors duSuper Tuesday du, il conforte son avance en remportant sept des onze États en jeu[226]. Tandis qu'il est notamment attaqué par Mitt Romney et John McCain, descomités d'action politique lancent une campagne contre lui en diffusant des publicités négatives dont le coût s'élève à plusieurs dizaines de millions de dollars[227].Marco Rubio, l'un de ses principaux adversaires, se retire de la course le[228].

Il reçoit ensuite les soutiens de diverses figures républicaines. AprèsSarah Palin en,Chris Christie se rallie à Trump[229],[230], suivi deJeff Sessions — premier parlementaire républicain dans ce cas[231] —, de son ancien concurrentBen Carson, puis deRudy Giuliani[232],[233].

Dans l'histoire récente des primaires pour la présidentielle américaine, Trump fait partie des favoris des sondages ayant le moins dépensé d'argent[234],[235]. À la date du, il est ainsi, parmi les candidats républicains et démocrates, celui qui a dépensé le plus petit budget de campagne électorale, à savoir27 millions de dollars (85 millions pourMarco Rubio,96 millions pourBernie Sanders,104 millions pourTed Cruz et188 millions pourHillary Clinton)[236]. Il dépense beaucoup dans ses courriers aux électeurs et ses produits dérivés, mais ne commande aucun sondage (alors que Hillary Clinton a dépensé 896 000 dollars dans le domaine pour le seul mois d')[237] et dépense très peu en publicité ou en action militante sur le terrain, misant sur de grands meetings et un fort temps d'antenne dans les médias grâce à ses déclarations polémiques[238],[239] — il est probablement le candidat le plus suivi de l'histoire des campagnes politiques américaines[240].

Donald Trump en campagne àFountain Hills (Arizona) en mars 2016.

Le, il l'emporte dans l'État de New York, avec près de 60 % des voix[241], devenant ainsi le seul candidat capable de recueillir les 1 237 délégués nécessaires pour obtenir l'investiture dès le premier tour lors de la convention du Parti républicain en[242]. Ses deux concurrents encore en lice,Ted Cruz etJohn Kasich, concluent ensuite un accord prévoyant le retrait de l'un des deux lors de certaines primaires en et pour éviter une dispersion des voix et faire barrage à Trump[243]. Par contre sa large victoire (53 %) lors de la primaire de l'Indiana, le suivant, conduit Cruz et Kasich à suspendre leurs campagnes, assurant ainsi à Trump la nomination[244],[245].

Reince Priebus, président duComité national républicain, appelle alors le parti à s'unir derrière lui[246]. La quasi totalité des autres participants aux primaires républicaines se rallient ensuite à Trump[247]. Néanmoins, une cinquantaine de grands donateurs du Parti républicain décident de ne pas lui apporter leur soutien[237]. Par ailleurs, l'ancien présidentGeorge H. W. Bush ainsi que ses fils, l'ancien présidentGeorge W. Bush et l'ancien gouverneur de FlorideJeb Bush, font savoir qu'ils ne le soutiendront pas[248].

Le, il dépasse le nombre de délégués requis pour obtenir l'investiture[249]. Dans la perspective d'un duel face à Hillary Clinton, une série de sondages le donne alors vainqueur ou à égalité[250]. Après s'être attaché les services duspin doctorPaul Manafort en, il remercie en son directeur de campagne, Corey Lewandowski, ce qui témoigne d'une« professionnalisation » de sa campagne selon Reince Priebus[251].

Le succès de sa candidature contredit la tactique envisagée par les stratèges du Parti républicain, pour qui les défaites successives de John McCain et Mitt Romney devaient pousser à davantage de modération afin de ne pas s'aliéner l'électorat hispanique, en pleine croissance[252]. Soufian Alsabbagh, spécialiste de la droite américaine, estime que Donald Trump incarne l'aboutissement d'un« mouvement de radicalisation » du Parti républicain[253]. D'après le politologue Alix Meyer,« il faut remonter àBarry Goldwater, en1964, pour trouver un tel décrochage entre le candidat investi et l'appareil du parti dont il se réclame »[252] ; son confrère Marc Landy évoque quant à lui les profils deWilliam Jennings Bryan en1896 et deGeorge McGovern en1972[254]. Il faut remonter à la candidature deDwight Eisenhower en 1952 pour voir un novice en politique remporter l'investiture républicaine[255],[256]. Le politologue Marc Landy souligne que Donald Trump pratique, par ses« incivilités »,« un populisme de divertissement, à la manière deSilvio Berlusconi, qui n’est pas dans les habitudes américaines »[215], en insultant fréquemment ses adversaires[257],[258], en leur donnant des surnoms (Ted« le menteur », Bush« le mou » ou« le petit » Marco) ou en alimentant des rumeurs à leur sujet comme la participation du père de Ted Cruz à l'assassinat du président Kennedy[215]. En, il est accusé d'appeler implicitement au meurtre de Hillary Clinton lors d'un meeting[259]. Par ailleurs, des affrontements entre ses partisans et ses opposants émaillent régulièrement ses meetings[260].

Tentative d'assassinat en meeting à Las Vegas

Article détaillé :Incident du rassemblement de Donald Trump à Las Vegas en 2016.

Le, alors qu'il est en meeting àLas Vegas, il échappe à une tentative d'assassinat de la part d'un Britannique de20 ans qui avait tenté de s'emparer de l'arme d'un agent de service[261].

Campagne présidentielle

Article connexe :Élection présidentielle américaine de 2016.
Donald Trump et son colistierMike Pence enArizona en août 2016.

Le, Donald Trump annonce que le gouverneur de l'Indiana,Mike Pence, initialement soutien de Ted Cruz, sera son colistier à l'élection présidentielle[262],[256]. Le « ticket » est officiellement investi par le Parti républicain le, lors de la convention deCleveland. Donald Trump se félicite alors d'avoir obtenu« le plus grand nombre de voix jamais obtenues dans l’histoire du Parti républicain »[263] (plus de14 millions[264]). De façon inattendue, Ted Cruz, arrivé en deuxième position de la primaire, refuse d'apporter son soutien au candidat républicain et appelle les électeurs américains à voter« selon leur conscience » lors de son discours à Cleveland[265]. Dans son discours d'investiture comme candidat, il dresse un tableau très sombre des États-Unis[266],[267] et une rhétorique à la fois nationaliste et populiste[268]. La première soirée de la convention est un fort succès d'audience pour les télévisions qui la retransmettent,CNN bénéficiant notamment d'un gain de 200 % par rapport à celle de 2012[269].

Logo de campagne du ticket républicain Trump-Pence.

Peu après son investiture, les sondages continuent de donner Trump au coude-à-coude avec la candidate démocrate[216],[270] alors que l'un et l'autre souffrent d'une mauvaise image dans l'opinion[271]. Les enquêtes d'opinion du mois d' sont défavorables à Trump[272] à qui ils donnent entre 6 et8 points de retard[273],[274]. Dans le même temps, Paul Manafort démissionne de son équipe de campagne en raison de sa mise en cause dans une affaire de corruption en Ukraine. Trump crée alors un poste de « directeur général de campagne » qu'il confie à une personnalité à la fois atypique et controversée,Steve Bannon, responsable du site d'extrême droiteBreitbart News[275],[276]. Dans le même temps, il promeutKellyanne Conway, dont le profil est consensuel au sein de l'appareil républicain, à celui de directrice de campagne[272],[273]. Peu après, il exprime des« regrets » pour ses propos qui ont« pu blesser des gens personnellement »[277] et infléchit pour la première fois une de ses propositions contre l'immigration illégale[278]. Le, à l'issue d'une visite au Mexique où il s'exprime aux côtés du présidentEnrique Peña Nieto, il réaffirme sa ligne dure sur l'immigration[279],[280]. En parallèle, il tente d'élargir son audience au sein de la communautéafro-américaine, traditionnellement très favorable aux démocrates[281]. Les sondages de voient les intentions de vote en sa faveur se rapprocher de celles pour Hillary Clinton[282].

D'abord en net retard par rapport à Hillary Clinton, le rythme de sa récolte de fonds connaît une brusque hausse à l'été 2016, grâce à un nombre massif de petites donations de quelques dizaines de dollars réalisées en ligne, et tend ainsi à combler l'écart[283]. Tandis que les banques américaines refusent de lui prêter de l'argent en raison de ses mauvaises relations avec elles en tant qu'entrepreneur, ses plus importants donateurs sont des oligarques russes proches du Kremlin[284]. Les principaux bailleurs de fonds pro-républicains s'abstiennent de le financer et préfèrent soutenir les candidats aux élections législatives à venir[285]. Si Donald Trump bénéficie du soutien de la majorité des donateurs de Marco Rubio et surtout de Ted Cruz, ceux de Jeb Bush, John Kasich et Chris Christie financent davantage la campagne de Hillary Clinton[286].

Donald Trump en campagne aux côtés de sa filleIvanka dans l'État-clé (swing state) dePennsylvanie en septembre 2016.

L'équipe de Donald Trump diffuse ses premières publicités dans le cadre de l'élection générale en, alors que celle de Hillary Clinton y a déjà consacré61 millions de dollars et que les deux autres candidats,Jill Stein etGary Johnson, ont eux aussi réalisé des spots[238]. La majeure partie de ses dépenses est alors destinée aux déplacements et aux frais liés aux événements[238], tandis que son équipe demeure extrêmement réduite[285]. Il préfère s'assurer une publicité gratuite sur lesréseaux sociaux et dans les médias, ou se reposer sur les infrastructures du Parti républicain pour la logistique et la collecte de fonds[285]. À la mi-, Donald Trump a dépensé 18,7 millions de dollars en spots télé, alors qu'Hillary Clinton a dépensé 109,4 millions, et il a levé 205,8 millions de dollars de fonds, alors qu'Hillary Clinton en a levé 516,7 millions[287]. Il recueille le soutien de seulement6 journaux, contre plusde 200 pour Hillary Clinton, d'après un décompte réalisé parPolitico qui estime qu'« aucun candidat n'avait jamais reçu aussi peu de soutiens » dans la presse[288].

Certains observateurs font un rapprochement avec l'élection de 1996 au regard du retard pris très tôt dans les sondages par le candidat républicainBob Dole et du fait que la plupart des candidats du parti auCongrès pour les élections suivantes considèrent également la présentielle comme perdue d'avance[289],[285].

Le, le premier débat télévisé entre les deux candidats semble remporté par Hillary Clinton[290]. Dans les trois semaines précédant le scrutin, la campagne de Trump se radicalise[291] et il laisse entendre que les élections sont truquées, notamment en raison du parti pris des médias contre lui[292]. Cette attitude lui attire des critiques de la part deBarack Obama[293].

Accusations de sexisme et d'agressions sexuelles

À quelques jours du deuxième débat qui doit opposer Donald Trump à Hillary Clinton, leWashington Post diffuse une vidéo, datant de 2005, dans laquelle on entend Trump — enregistré à son insu dans le studio de l'émission de télévisionDes jours et des vies — se vanter de courir les jupons et affirmer à son interlocuteur que« Quand vous êtes une star, [les femmes] vous laissent faire, vous pouvez faire tout ce que vous voulez, les attraper par la chatte [« Grab them by the pussy »], faire ce que vous voulez »[294]. La publication de cette vidéo ayant suscité des réactions outrées jusque dans les rangs du Parti républicain, y compris celle de son colistierMike Pence, le candidat s'excuse pour ses propos[295], qu'il qualifie de« vantardises de vestiaires »[296].

Dans les jours qui suivent, plusieurs femmes accusent publiquement Donald Trump de leur avoir fait lourdement des avances, voire d'avoir eu à leur égard un comportement relevant de l'agression sexuelle[297], par exemple en leur imposant des attouchements ou en les embrassant de force[298]. Le candidat républicain nie s'être comporté de la sorte et riposte à sa façon lors du deuxième débat l'opposant à Hillary Clinton, le : il rappelle que des femmes ont accusé le mari de cette dernière, Bill Clinton, de les avoir agressées sexuellement ou violées, et fait venir quatre d'entre elles pour qu'elles assistent au débat[299]. En réaction, lerappeurWill.i.am sort le unevidéosatirique intituléeGrab'm by the Pussy (Attrape-les par la chatte[300]) par laquelle il dénonce l'attitude méprisante et les commentaires sexistes de Trump à l'égard des femmes[301].

Contrevérités

Article détaillé :Ère post-vérité.
Donald Trump avecSean Hannity à laConservative Political Action Conference de 2015.

Avant de se lancer dans la campagne présidentielle, Donald Trump avait développé dès les années 1980 le concept d'« hyperbole véridique », expliquant dans un de ses ouvrages : « Les gens veulent croire en ce qui est le plus formidable, le plus génial et le plus spectaculaire. J'appelle cela l'hyperbole véridique. C'est une forme innocente d'exagération — et une méthode de promotion très efficace »[302].

Pendant la campagne des primaires républicaines, il déclare, au sujet desattentats du 11 septembre 2001 : « J'ai vu, à NewJersey City, des milliers et des milliers de personnes musulmanes acclamer la chute des tours du World Trade Center », ce que les autorités du New Jersey démentent[302]. Très actif sur Twitter durant la campagne présidentielle, il avance« Blancs tués par des Blancs : 16 %. Blancs tués par des Noirs : 81 % », graphique à l'appui. Il s'appuie sur une source qui n'existe pas et inverse en fait les chiffres puisque 82,4 % des Blancs assassinés l'ont été par des Blancs et 14,8 % par des Noirs[303],[304]. Il affirme que le« vrai taux de chômage aux États-Unis est de 42 % », en additionnant lesinactifs (retraités, mères au foyer, étudiants et lycéens) pour parvenir à ce compte erroné[303],[305]. Donald Trump explique également que« la croissance américaine n'a jamais été négative » et que le taux de croissance du PIB américain est passé en négatif au premier trimestre 2015 sous la présidence de Barack Obama, ajoutant« que ça ne s'était jamais produit dans l'histoire ». Or la première affirmation est fausse, et pour la deuxième, les médias américains relèvent que cela s'est produit42 fois depuis la Seconde Guerre mondiale[306],[303]. Il affirme constamment durant la campagne que les élections sont« truquées », développant à ce sujet plusieurs« théories du complot »[307]. Après sa victoire grâce à sa majorité aucollège électoral, mais avec plus de deux millions de voix de moins qu'Hillary Clinton dans le vote populaire, il écrit sur Twitter avoir« remporté le collège électoral, j'ai gagné le vote populaire si on déduit les millions de gens qui ont voté illégalement », sans avancer la moindre preuve[308],[309]. Le sitePolitifact trouve dans les déclarations de Donald Trump, pour l'année 2015, 76 % de mensonges complets ou partiels, ce qui le place en tête des personnalités politiques américaines dont les propos sont le plus souvent« archi-faux, faux ou plutôt faux »[302].

Positionnement des médias

Plus de 76 % de la presse américaine soutient Hillary Clinton, contre moins de 5 % pour Donald Trump[310]. De nombreux titres de presse appelant traditionnellement à voter pour le candidat républicain s'opposent à lui[311]. En dépit du soutien duNew York Post deRupert Murdoch et deThe National Enquirer durant la primaire républicaine, des articles extrêmement négatifs sont publiés quotidiennement sur Donald Trump[312].

Durant la campagne, le groupe médiatique de Rupert Murdoch, notamment la chaîne de télévisionFox News, soutient activement la candidature de Trump[313]. C'est également le cas du site d'extrême droiteBreitbart News, que le directeurSteve Bannon quittera pour diriger la fin de la campagne du candidat républicain, avant de devenir conseiller stratégique à la Maison-Blanche.

Après la victoire de Donald Trump à l'élection présidentielle, des médias influents commeThe New York Times reconnaissent n'avoir pas su capter la colère d'une partie de l'électorat américain[314].Paul Krugman, prix Nobel d'économie en 2008, souligne l'ignorance de l'Amérique« des élites » pour l'Amérique« profonde » etMargaret Sullivan (en), l'éditorialiste duWashington Post, paraphrase la thèse dePeter Thiel (investisseur de laSilicon Valley et soutien de Donald Trump) lorsqu'il explique que« les journalistes prennent toujours Trump au pied de la lettre, mais sans le prendre au sérieux » alors que« ses électeurs, en revanche, le prennent au sérieux, mais ne le prennent pas au pied de la lettre » et que donc,« par exemple, quand il propose de construire un mur à la frontière mexicaine, les journalistes exigent des détails, veulent savoir comment il va s'y prendre », alors que ses électeurs« comprennent qu'il ne veut pas vraiment édifier un mur et entendent simplement qu'il propose unepolitique migratoire plus saine et plus intelligente »[315],[316].

Victoire sur Hillary Clinton

Donald Trump prononçant un discours après l'annonce de sa victoire, dans la nuit du 8 novembre 2016.

Le, Donald Trump remporte l'élection présidentielle. Il renverse la tendance annoncée en particulier enFloride et enCaroline du Nord, que les sondages avaient majoritairement anticipés comme favorables àHillary Clinton, ainsi qu'auMichigan, auWisconsin et enPennsylvanie, traditionnellement démocrates, et que les enquêteurs prévoyaient également penchant pour le camp démocrate. Ces cinq États lui ont apporté un total de74 grands électeurs[317]. Son discours protectionniste et hostile à l'immigration clandestine lui permet ainsi de s'imposer dans laRust Belt, région anciennement industrielle qui a subi de plein fouet les dégâts des délocalisations et des politiques de libre-échange. Il se voit au total attribuer306grands électeurs contre232 à sa rivale. Celle-ci obtient 2,87 millions de voix (2,1 points de pourcentage) de plus que lui[318],[319]. Un tel cas de figure, dû aumode de scrutin indirect et à la pratique duwinner takes all, s'est présenté seulement quatre fois dans le passé, lors desélections présidentielles de1824,1876,1888 et2000[320]. Un tel écart en nombre de voix (mais pas en pourcentage) constitue un record historique pour ce système électoral, ce qui réactive les critiques à son égard ainsi que les appels à le réformer[321] (Donald Trump s'était d'ailleurs opposé à ce système en 2012)[322].

Donald Trump remporte le suffrage des électeurs âgés de plus de45 ans (53 %, contre 45 % à Clinton), des électeurs masculins (53 %, contre 41 % à Clinton), des électeurs peu diplômés (51 % des électeurs n'ayant pas dépassé le collège ou le lycée et 53 % des électeurs ayant fréquenté un établissement d'études supérieures, mais sans en être diplômé, contre respectivement 45 % et 43 % à Clinton), des électeurs blancs (58 %, contre 37 % à Clinton) et des électeurs hétérosexuels (48 %, contre 47 % pour Clinton)[323].

Cette victoire fait démentir les projections. Sur un échantillon de376 sondages publiés entre et, seulement 30 ont annoncé Donald Trump en tête[317] ; les derniers publiés annonçaient une avance d'environ 3,5 points de pourcentage à Hillary Clinton et une nette victoire pour celle-ci au niveau des grands électeurs[324],[325]. Tout au long de sa campagne, la plupart despolitologues l'avaient donné perdant[326] et de nombreux commentateurs assurent que sa victoire est improbable voire impossible[327],[328]. Après cette élection, les médias américains, qui soutenaient Hillary Clinton à 75 % et Donald Trump pour moins de 5 %, confessent avoir été incapables de capter le sentiment du pays profond[329],[330].

La candidate écologisteJill Stein dépose des demandes de recompte des voix dans trois États où les résultats ont été serrés[331], mais l'opération confirme la victoire de Trump dans le Wisconsin[332], et est annulée par la justice fédérale dans le Michigan[333].

Donald Trump devient le président le plus âgé et le plus riche jamais élu par les Américains pour un premier mandat, devantGeorge Washington[334],[335], et le seul à accéder à cette fonction sans avoir exercé auparavant un mandat électif et/ou des responsabilités militaires[336]. Dans son livreLe Feu et la Fureur : Trump à la Maison-Blanche, paru en janvier 2018,Michael Wolff affirme que Donald Trump ne voulait en réalité pas devenir président et cherchait avant tout à se faire de la publicité, en se présentant à une élection qu'il n'imaginait pas pouvoir gagner[337].

Période de transition

Rencontre entre le président en fonction,Barack Obama, et son successeur, à laMaison-Blanche, le.

Le, alors que Donald Trump se voit attribuer 306 des 538 grands électeurs ducollège électoral, désignant le président pour laMaison-Blanche, le Parti républicain est également sur le point de contrôler laChambre des représentants, leSénat et donc laCour suprême[338]. Pour le politologueVincent Michelot,« c'est du jamais-vu depuis les années 1930. Même Reagan a gouverné avec une majorité démocrate à la Chambre des représentants »[339]. Il s'agit de la sixième fois depuis 1900 que les Républicains ont la mainmise sur le Congrès et la Maison-Blanche[340].

Contestations contre sa victoire

Alors que son élection est suivie de manifestations dans des grandes villes américaines pour protester contre sa victoire[341], il adopte dans ses premières déclarations un ton ouvert et apaisé, y compris contre d'anciens adversaires qu'il avait durement attaqués au cours de sa campagne, Hillary Clinton en particulier[342] en précisant qu'il ne compte pas« nuire aux Clinton » car« cela diviserait vraiment beaucoup le pays »[343]. Dans la lignée de sa campagne, il continue de s'exprimer surTwitter sur un ton polémique : il réagit ainsi aux manifestations en affirmant qu'il s'agit de« manifestants professionnels incités par les médias »[344], mais revient sur ses propos en louant la« passion » des manifestants« pour notre grand pays »[345]. Dans plusieurs tweets, il raille et contredit leNew York Times au sujet du suivi de sa campagne et de la période de transition[346].

Approches internationales

Il rencontre des hommes d'affaires indiens, ainsi que le président argentinMauricio Macri et le Premier ministre japonais,Shinzō Abe[347]. Devant l'engagement répété de Donald Trump à se retirer de l'accord de partenariat transpacifique, le président chinoisXi Jinping invite les dirigeants de la zone Asie-Pacifique à soutenir l'accord régional de libre-échange concurrent que son pays leur a proposé[348]. La décision de Donald Trump explique, selon certains médias, la décision deJohn Key, Premier ministrenéo-zélandais et« fervent artisan » de l'accord de partenariat transpacifique, de ne pas se représenter[349]. Peu après, Donald Trump s'entretient avecTsai Ing-wen,présidente de Taïwan, ce qui constitue une première depuis la rupture des relations diplomatiques entre les deux États en 1979 ; cet échange entraîne une« protestation solennelle » du pouvoir chinois, suivie par la réaffirmation par la Maison-Blanche de son soutien à la politique de « la Chine unique »[350]. Sur Twitter, Donald Trump accuse ensuite la Chine dedévaluer sa monnaie pour mieux concurrencer les entreprises américaines et« de bâtir un vaste complexe militaire en mer de Chine méridionale »[351].

Donald Trump etShinzō Abe, le Premier ministre japonais, le 17 novembre 2016.

Le, il annonce qu'il renoncera à son salaire de président (400 000 dollars annuels) et qu'il ne percevra que le dollar symbolique auquel l'oblige la loi[352].

Il achève la période de transition avec le plus faible taux d'approbation des deux décennies précédentes dans l'opinion publique pour un président des États-Unis[353].Vincent Michelot souligne« le caractère exceptionnel » de la période de transition, menée avec une forte publicité contrairement aux habitudes et en entraînant un retard important dans les nominations :« Ceci est d’autant plus inquiétant que les ministres désignés ont en commun de n’avoir aucune expérience du secteur public. Et que certains de ses membres sont non seulement inexpérimentés, mais aussi hostiles à l’existence même du ministère qu’ils vont diriger »[354].

Élection par le collège électoral

Le scrutin de la présidentielle étant indirect aux États-Unis, l'élection définitive de Donald Trump n'est effective qu'à l'issue du vote du collège électoral[355]. Jusqu'à la réunion de celui-ci, le, l'identité de nombreux grands électeurs républicains est révélée par des associations anti-Trump et plusieurs d'entre eux sont alors victimes de harcèlement et de menaces de mort afin qu'ils changent leur vote[356],[357]. Donald Trump obtient néanmoins le vote de 304 grands électeurs contre 227 à Hillary Clinton[358], deux votes seulement lui faisant défaut contre cinq à sa rivale démocrate[359].

Nominations

Article détaillé :Première présidence de Donald Trump.

Durant la période de transition, Donald Trump s'entoure d'une équipe de transition et commence à désigner les membres de son futur gouvernement. En se basant sur les nominations connues au, le site américain Quartz a calculé que les17 membres du futur gouvernement Trump disposaient de 9,5 milliards de dollars, soit autant que les109 millions d'Américains les plus pauvres[360]. La nomination de financiers, d'hommes et de femmes d'affaires fortunés à des postes-clés, ainsi que la présence de nombreuxlobbyistes au sein de l'équipe de transition sont dénoncées par la sénatrice démocrateElizabeth Warren, qui interpelle le président-élu une lettre datée du, l'accusant d'être« déjà en train d’échouer » dans sa promesse de ne pas être aux mains des élites en nommant« une kyrielle de banquiers deWall Street, d’initiés de l’industrie et des lobbyistes au sein de [son] équipe de transition ». La sénatrice souligne que« 72 % des Américains, démocrates comme républicains, pensent que« l’économie américaine est truquée au bénéfice des riches et des puissants » », et appelle Trump à ne pas inclure ces personnes de son équipe[361]. Lors d'un entretien accordé le à la chaîne de télévision CBS, le milliardaire avait expliqué qu'il était difficile de trouver des gens pour travailler avec le gouvernement sans qu'ils aient des liens avec les lobbys, estimant que Washington était,« dans sa totalité », un« énorme lobby »[362].

Prises de position

Dans les semaines suivant son élection, il fait en sorte de tenir ses promesses de campagne concernant la préservation d'emplois dans les entreprises manufacturières américaines[363]. Le 29 novembre 2016, le chauffagisteCarrier, qui prévoyait de délocaliser 1 400 emplois au Mexique, annonce qu'il va en préserver un millier dans le pays à la suite de négociations avec Donald Trump[364]. Le suivant, l'opérateur de téléphonie mobileSprint Nextel fait savoir qu'il va rapatrier 5 000 emplois aux États-Unis et remercie Donald Trump pour son implication dans ce projet[365]. Le, le groupe automobileFord, menacé par le président élu d'importantes taxes d'importation, revient sur sa décision de construire une nouvelle usine au Mexique, préférant utiliser une partie des 1,6 milliard de dollars prévus pour le projet pour le développement d'un site dans le Michigan, durement frappé par la désindustrialisation[366].

Le, sous la pression de Donald Trump, les parlementaires républicains renoncent à réduire les pouvoirs du Bureau d'éthique parlementaire, un organisme indépendant chargé d'enquêter sur les violations éthiques des élus[367],[368].

Après la décision de Barack Obama d'expulser 35 diplomates russes en raison de l'accusation d'ingérence de la Russie dans la campagne électorale, Donald Trump se montre sceptique et salue « l'intelligence » de Vladimir Poutine, qui a décidé de ne pas lancer de représailles[369]. Sur fond de crainte d'une nouvelleguerre froide, certains observateurs soulignent la volonté de Barack Obama de mettre en difficulté le président élu[370],[371]. Une fois élu, il demande à la Russie« une diminution de laviolence en Ukraine et larestitution de la Crimée »[372].

Après son élection, Donald Trump continue de s'exprimer largement surTwitter, y compris en matière diplomatique. Le, l'agence de presse officielle chinoiseXinhua déplore ainsi son« obsession de la diplomatie Twitter »[373]. Après avoir contredit leprincipe de la Chine unique, ce qui occasionne des tensions avec le régime deXi Jinping, il finit par le reconnaître lors d'un entretien avec ce dernier en, ce qui rassure également le Japon[374].

Le, soit neuf jours avant l'investiture de Trump, le présidentmexicain,Enrique Peña Nieto, affirme, comme son prédécesseurVicente Fox, que son pays ne paiera pas pour le mur promis par Trump lors de sa campagne et dont le coût serait estimé à25 milliards de dollars. Il se dit néanmoins prêt à mener des négociations ouvertes avec le nouveau président, notamment sur les questions d'immigration[375].

Avant et après son élection, des responsables des institutions européennes telles queDonald Tusk (président duConseil européen),Martin Schulz (président duParlement européen) ouPierre Moscovici (commissaire européen) expriment leur défiance à son égard[376],[377]. En, Donald Trump déclare que l'Union européenne est« un instrument au service de l'Allemagne ». Il qualifie leBrexit de« succès pour le Royaume-Uni ». Il considère que lacrise migratoire en Europe et la position de l'Allemagne sur cette question sont à l'origine de leur départ[378].

Trump tient en outre des propos critiques envers l'OTAN, qu'il accuse de n'avoir pas su s'adapter à la menace terroriste. Il regrette par ailleurs que cinq États seulement respectent l'objectif fixé par l'OTAN de consacrer 2 % de son PIB aux dépenses militaires[378].

Première présidence

Article détaillé :Première présidence de Donald Trump.
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Débuts

Investiture

Article détaillé :Première investiture de Donald Trump.
Donald Trump prêtant serment sur laBible offerte par sa mère et sur la Bible d’Abraham Lincoln ().

De nombreux artistes refusent de participer à l'investiture du nouveau chef de l'État les 19 et. Le chanteur de countryToby Keith accepte de se produire sur scène, et la jeune lauréate de l'émissionAmerica's Got Talent,Jackie Evancho, chante l'hymne national après la prestation de serment.

Donald Trump devient officiellement le45e président des États-Unis en prêtant serment auCapitole àWashington, D.C. le à12 h EST (soit18 h CET).

Une polémique éclate sur l'importance de la foule présente sur leMall de Washington, D.C. le jour de son investiture, estimée par de nombreux médias comme étant très inférieure à celle ayant assisté à l'investiture de Barack Obama huit ans plus tôt[379] (les chiffres avancés sont de 250 000 personnes en 2017 contre 1,8 million en 2009)[380], ce que l'équipe du nouveau président réfute totalement, leporte-parole de la Maison-BlancheSean Spicer déclarant : « Ce fut la plus grande foule ayant assisté à une investiture, point barre »[381],[382] et la conseillèreKellyanne Conway expliquant promouvoir « lesfaits alternatifs »[381].

Dès le lendemain de son investiture, il est confronté à d'importantes manifestations de protestation, principalement féministes[383], dont la principale, laMarche des femmes sur Washington, D.C., réunit entre 500 000 et un million de personnes. Des manifestations similaires ont lieu dans 400 autres villes américaines et dans70 pays, les organisateurs estimant qu'entre deux et trois millions de personnes y ont participé[384],[385]. Lesinvestitures de présidents tels queRichard Nixon en 1973,Ronald Reagan en 1981 etGeorge W. Bush en 2001 avaient elles aussi donné lieu à des manifestations, sans toutefois atteindre la même ampleur ; la manifestation précédente la plus importante n'avait ainsi réuni que 60 000 participants en 1973[386],[387].

Simultanément, lors de sa visite au quartier général de laCIA, Donald Trump déclare être en guerre contre les journalistes qu'il qualifie d'« êtres humains les plus malhonnêtes sur terre »[388].

Portrait officiel de Donald Trump commeprésident des États-Unis en2017.

Nominations, limogeages et démissions

Les principaux postes mis à part, l'administration de Donald Trump se distingue par un important retard dans la désignation de ses hauts fonctionnaires. En juin 2017, seuls 123 des 558 postes-clés ont été pourvus[389], la nomination de divers candidats ayant en outre été refusée par le Sénat[390]. Au bout de deux mois, il faut remonter àGeorge Bush père pour trouver un retard plus important dans la mise en place d'une administration. De nombreuses agences fédérales fonctionnent dès lors au ralenti, avec des dirigeants provisoires voire inexistants[391].

Ce retard inédit résulte de plusieurs causes, à commencer par la lenteur des nominations : en, la Maison-Blanche n'avait proposé aucun candidat pour 357 des575 postes de haut rang. Selon le New York Times, à cette date Donald Trump n'a annoncé que 38 % de ses choix, contre 78 % pour Barack Obama au même moment. Les observateurs imputent cette lenteur au fait que Trump n'a pas lancé suffisamment tôt le processus de nominations, par manque de préparation[392]. Sont également mis en cause sa volonté de réduire l'appareil étatique, et de privilégier certaines agences au détriment d'autres, telles que l'agence pour le développement international et l'agence de l'environnement[391]. D'autre part, l'opposition des sénateurs démocrates aux candidats proposés par l'administration Trump est taxée d'« obstructionnisme » par le camp républicain, celui-ci rendant ces derniers responsables de la confirmation, après six mois de présidence, de seulement60 personnes sur 165 nominations[393],[394]. Les sénateurs démocrates justifient cette lenteur par le temps pris par l'examen des conflits d'intérêts potentiels liés aux candidatures des hommes d'affaires désignés par Trump[392].

Entre et, l'entourage proche de Donald Trump à la Maison Blanche connaît douze départs, soit un total inédit sur une telle période. À ceux deMichael T. Flynn et d'Andrew Puzder, viennent s'ajouter d'autres démissions de collaborateurs haut placés, dont fin du chef de cabinet de la Maison-Blanche,Reince Priebus[395]. Fin également, le directeur de communication,Sean Spicer, est remplacé parAnthony Scaramucci, lui-même contraint à la démission dix jours plus tard. Ces départs et limogeages à répétition s'expliquent pour une bonne partie par l'enquête sur les liens entre son équipe de campagne et la Russie, ainsi que par ses échecs au Congrès et par des rivalités internes[396],[397].

Pendant sa première année de présidence, Donald Trump doit remplacer plus du tiers de ses conseillers, ce qui représente un« turn-over » sans précédent au sein du gouvernement des États-Unis[398]. En, la Brookings Institution estime que près de 43 % des postes les plus élevés de l'administration ont fait l'objet de démissions ou de départs forcés depuis l'entrée en fonction de Donald Trump[399]. En de la même année — marquée par les démissions ou les limogeages de nombreux hauts fonctionnaires — l'administration Trump atteint un taux de 62 % de départs de ses hauts responsables, contre 24 % sousBarack Obama, 33 % sousGeorge W. Bush et 38 % sousBill Clinton au même stade de leurs mandats respectifs[400].

Conférence de presse de Donald Trump et du secrétaire général de l'OTAN,Jens Stoltenberg, le 12 avril 2017.

Politique intérieure

Économie et social

Article connexe :Guerre commerciale entre les États-Unis et la Chine.

Dès sa nomination, il signe un décret fédéral demandant aux agences gouvernementales de limiter les réglementations relatives à l'Obamacare[401]. Les premiers décrets signés par Donald Trump sont le retrait des États-Unis de l'Accord de partenariat transpacifique (TPP), le gel de l'embauche de fonctionnaires fédéraux, un décret consistant à interdire le financement d'Organisations non gouvernementales internationales qui soutiennent l'avortement[402], la relance des projets de construction de deuxoléoducs,Keystone XL (duCanada auxÉtats-Unis), qui avait été bloqué parBarack Obama pour des raisons environnementales, etDakota Access (duDakota du Nord à l'Illinois), préalablement abandonné en raison de lamobilisation de la tribuSioux deStanding Rock et des organisations écologiques[403].

Le, leSénat adopte un important projet de réforme fiscale, destinée à faire baisser les impôts pour les sociétés et les particuliers. Il s'agit de la première grande réforme du mandat présidentiel de Donald Trump — qui avait fait de la baisse des impôts l'un de ses principaux chevaux de bataille — après l'échec de l'abrogation de l'Obamacare[404],[405]. Les opposants à cette baisse massive des impôts jugent qu'elle risque de ne bénéficier qu'aux grandes entreprises et aux plus riches tout en pénalisant sur le long terme les classes moyennes et les plus pauvres. LeNew York Times estime que la réforme risque de creuser ledéficit des États-Unis de 1,4 trillions de dollars en dix ans et, en abrogeant certaines des dispositions de l'Obamacare, de priver d'assurance santé jusqu'à13 millions d'Américains[406].

Donald Trump illustrant l’inflation normative entre 1960 et 2017.

Donald Trump bénéficie à ses débuts d'une conjoncture économique remarquable. La croissance de l'économie américaine est plus forte que prévu au troisième trimestre 2017, à 3 % en rythme annualisé. Alors qu'il souhaite privilégier les créations d'emplois aux États-Unis, le taux de chômage recule nettement et les indices boursiers sont au plus haut[407]. LeDow Jones grimpe de 30 % début 2018 et les salaires des ouvriers progressent pour la première fois depuis longtemps[408]. La situation économique favorable se maintient durant l'année 2018 : les entreprises, grandes gagnantes de la réforme fiscale, investissent à un rythme élevé. En, le chômage tombe à son plus bas niveau depuis 1969 (3,7 %)[409]. Trump se targue, en, d'avoir créé depuis son élection 1,65 million d'emplois dans le secteur privé. Le nombre d'emplois créés, bien qu'important, est cependant inférieur à celui des 11 derniers mois du mandat deBarack Obama[407]. Les dépenses publiques et le déficit budgétaire continuent cependant à augmenter et l'investissement immobilier recule[410]. Donald Trump se félicite de ses résultats et déplore que les médias ne leur donnent pas suffisamment d'échos.CNN, tout en reconnaissant le mérite de Donald Trump dans la bonne santé de l'économie, rapporte que les résultats ne profitent pas suffisamment aux classes populaires — la réforme fiscale risquant au contraire d'augmenter les inégalités — et que l'explosion des déficits publics est porteuse de problèmes futurs[411].

Sur le plan international, Donald Trump opère un virageprotectionniste. Le, il acte le retrait des États-Unis de l'accord de partenariat transpacifique, qu'il qualifie de traité destiné à avantager laChine. Des commentateurs observent que cet accord de libre-échange avait été au contraire conçu par Barack Obama pour contrebalancer l'influence de Pékin en Asie, et que le retrait américain risque de laisser les mains plus libres à la Chine dans la région[412]. En 2017, il lance une renégociation de l'Accord de libre-échange nord-américain. Lenouvel accord, entré en vigueur le1er octobre 2018, contient notamment des dispositions visant à protéger l'industrie automobile américaine[413].

En 2018, il lance une série de« guerres commerciales » qui visent laChine, mais aussi l'Union européenne et d'autres pays comme leCanada. En janvier, il met en place pour une période de quatre ans des taxes douanières sur les machines à laver et les panneaux solaires, dont la Chine est une grande exportatrice[414],[415]. En mars, il annonce des taxes de 25 % sur les importations d'acier et de 10 % sur celles d'aluminium[416]. En désaccord avec cette politique,Gary Cohn, principal conseiller économique du président, donne sa démission[417]. D'autres taxes visant des produits chinois sont introduites dans le courant de l'année[418],[419], tandis que Pékin réplique en taxant des produits américains[419],[420]. La politique commerciale de Trump suscite des tensions avec les alliés des États-Unis : en, lors de la clôture dusommet du G7 au Québec, le premier ministre canadien,Justin Trudeau, déclare que les nouvelles taxes américaines sont« insultantes » pour le Canada. Donald Trump annonce alors, par un tweet, qu'il se désolidarise du communiqué commun du G7 qu'il venait pourtant de signer[421].

Le chômage continue ensuite à diminuer pour s'établir à 3,6 % en, un niveau jamais atteint depuis 1969, principalement en raison du nombre d'embauches dans les secteurs des services aux entreprises, de la santé et de l'assistance sociale[422],[423].

Immigration

Article connexe :Décret présidentiel 13769.
Donald Trump passant en revue les prototypes deson mur dans la lignée de labarrière précédemment érigée entre les États-Unis et le Mexique, avec notammentKirstjen Nielsen etKevin McAleenan (San Diego,).

Le, lors de lajournée internationale dédiée à la mémoire des victimes de l'Holocauste[424], il signeun décret interdisant l'entrée sur le territoire américain auxréfugiés de toutes nationalités pendant120 jours, aux ressortissantsirakiens,iraniens,soudanais,libyens,somaliens etyéménites pendant90 jours, et indéfiniment aux ressortissantssyriens, à l'exception des détenteurs de visa diplomatique et des membres d'institutions internationales. Les pays visés sont tous des pays majoritairementmusulmans. Face au tollé, Donald Trump se justifie en expliquant lors d'une conférence de presse qu'il souhaite protéger les Américains des« terroristesislamistes radicaux ». Certains médias observent néanmoins une incohérence dans ces propos puisque l'Arabie saoudite, dont de nombreux ressortissants ont perpétré des attentats sur le sol américain, n'est pas visée par ce décret, probablement pour des raisons économiques[425]. Dans une interview sur une chaînechrétienne, il souligne par ailleurs que dorénavant, les réfugiés chrétiens et d'autres minorités religieuses auMoyen-Orient, seront privilégiés par rapport aux réfugiés musulmans[426],[427]. L'Iran décide d'appliquer le principe de réciprocité et interdit à son tour l'entrée sur son territoire aux ressortissants américains jusqu'à ce que la décision de Trump soit levée[428]. Sa décision provoque des manifestations sur tout le territoire américain[429] et des protestations aux quatre coins du monde[430].

L'État de Washington annonce le son intention de porter plainte contre le décret anti-immigration. Plusieurs entreprises dont le siège est situé dans cet État, dontAmazon etExpedia, indiquent qu'elles s'associeront à ce recours devant la cour fédérale de l'État[431].

Le, Trump limoge la ministre de la Justice par intérimSally Yates, après qu'elle a critiqué publiquement le décret anti-immigration et ordonné aux procureurs fédéraux de ne pas le défendre devant les tribunaux[432].

Le, un juge fédéral de l'État de Washington rend une décision qui bloque l'exécution du décret anti-immigration sur l'ensemble du territoire américain, afin de permettre l'examen de la plainte déposée par le ministre de la Justice de cet État[433].

Fin, sa volonté de bâtir un mur de protection le long de la frontière terrestre américaine, une promesse lors de sa campagne présidentielle, se heurte à l'opposition dunouveau congrès élu dominé par le Parti démocrate. Cette situation conduit auplus longshutdown de l'histoire des États-Unis[434].

Autres aspects

Le, faute de majorité pour faire adopter le texte, Trump est contraint de retirer le projet de loi de réforme de la santé destiné à abroger la législation de protection sociale, dite « Obamacare »[435]. S'agissant de la promesse phare de sa campagne, cet échec est considéré de manière unanime comme un grave revers politique par la presse américaine, laquelle parle de « débâcle », d'« humiliation » ou de « preuve d'incompétence »[436]. Le, lors d'un nouveau vote, laChambre des représentants adopte le projet d'abrogation de l'Obamacare[437]. Le nouveau projet d'assurance maladie, surnommé« Trumpcare », est ensuite soumis à l'approbation duSénat : selon un rapport du bureau du budget du congrès, le texte présenté pourrait priver23 millions d'Américains de couverture maladie à l'horizon 2026[438]. En, deux sénateurs républicains annoncent leur intention de voter contre la nouvelle mouture de« Trumpcare », rendant impossible une majorité au Congrès pour le projet. Face à ce nouveau revers, Donald Trump renvoie à plus tard la réforme de l'assurance-santé en appelant simplement le Congrès à« abolir Obamacare »[439]. Fin, une proposition d'abrogation partielle d'Obamacare est rejetée par le Sénat[440].

En et, après le passage de l'ouragan Irma surPorto Rico, Donald Trump fait l'objet de nombreuses critiques en raison de la lenteur des secours apportés à ce territoire américain. Il réagit en dénonçant la gestion de la crise par les autorités locales et en appelant à une réforme des infrastructures de Porto Rico, tout en soulignant que l'aide fédérale apportée à l'île ne serait pas éternelle. Ses déclarations alimentent encore la polémique : la maire deSan Juan, notamment, accuse le président d'être« incapable de remplir l’obligation morale » d'aider la population portoricaine[441],[442].

Par ailleurs, dès les premiers mois de sa présidence, Trump prend un ensemble de mesures importantes sur le plan social et économique : il durcit l'accès des salariés aux comptes de retraite, autorise les entreprises de charbonnage à déverser leurs déchets dans les rivières et à exploiter les parcs naturels, annule l'obligation de déclarer les émissions deméthane, et restreint les fonds alloués aux organismes d'aide à l'avortement[443].

Dans le courant de sa première année à la Maison-Blanche, Trump nomme à trois fois plus dejuges fédéraux que ne l'avait fait Barack Obama dans le même laps de temps. Effectuées à un rythme inhabituellement soutenu, ces nominations concernent des personnalités trèsconservatrices qui, nommées à vie, sont appelées à avoir une profonde influence sur la législation américaine[444].

En, la nomination controversée deBrett Kavanaugh fait basculer laCour suprême à droite, lesjuges conservateurs — également nommés à vie — y devenant majoritaires[445],[446]. En, six semaines avant les élections, le décès de la jugeRuth Bader Ginsburg laisse un siège vacant à la Cour suprême (qui compte alors5 juges conservateurs et3 juges démocrates). Pour asseoir durablement la Cour dans le camp conservateur et, selon leNew York Times, bénéficier ainsi d'un recours ultime qui lui serait favorable s'il contestait les élections auprès de la Cour, Donald Trump s'empresse de nommerAmy Coney Barrett, juge connue pour ses positions très conservatrices, notamment contre le droit à l'avortement[447]. Ce basculement conduit à l’annulation des arrêtsRoe v. Wade etPlanned Parenthood v. Casey (en)[448].

Selon les autrices d'un rapport de laFondation Jean-Jaurès de 2023 sur les droits des femmes,« la présidence de Donald Trump a été dévastatrice pour les droits des femmes aux États-Unis et au niveau international » : il a réactivé lapolitique de Mexico (en), surnomméeGlobal Gag Rule — « règle du bâillon mondial » —, introduite parRonald Reagan en 1985 puis successivement abrogée par chaque administration démocrate et remise en place par chaque administration républicaine, qui empêche les organisations étrangères recevant une aide américaine en matière de planification familiale de pratiquer des avortements, de fournir des services de conseils et d’informations pour l’avortement, ou de faire du plaidoyer pour l’accès aux services d’avortement dans leur pays, même en utilisant des fonds non américains. Donald Trump a également mis en place des réglementations mettant en péril la santé des femmes et l’égalité de genre, ou encore supprimé le financement des États-Unis auFonds des Nations unies pour la population (UNFPA) qui est la plus grande source de fonds pour la planification familiale et les DSSR dans le monde[448].

Pandémie de Covid-19

Article connexe :Pandémie de Covid-19 aux États-Unis.
Donald Trump, Mike Pence et le conseiller scientifique William N. Bryan lors du point presse quotidien du groupe de travail de la Maison-Blanche sur le coronavirus ().
Donald Trump visitant un centre de donateurs de laCroix-Rouge américaine (, Washington, D.C.).

À partir du printemps 2020, Donald Trump participe à la gestion de l’épidémie mondiale de Covid-19, qui constitue l'une des plus graves crises sanitaires de l'histoire américaine. Il nomme Mike Pence chef du groupe de travail (« task force ») de la Maison-Blanche sur le coronavirus[449].

Donnant des conférences de presse quotidiennes, il tient des propos déroutants, comme lorsqu'il évoque l'éventualité de remèdes comme l'injection de désinfectant[450],[451]. Se fiant à l'avis de personnels de santé, y compris de médecins chinois, il pointe la responsabilité de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) — qui n’avait pas remis en cause les déclarations de la Chine — et gèle la participation américaine à son financement[452],[453],[454]. Il appelle les Nations unies à« tenir la Chine responsable de ses actions » et blâme le gouvernement chinois pour la propagation mondiale du Covid-19[455]. Dans un premier temps, ilrefuse de porter unmasque en public[456], au contraire de la plupart des autres chefs d’État ; il en utilise un de façon occasionnelle par la suite, notamment après les premières recommandations des autorités sanitaires[457], sans toutefois l'imposer à la population.

Le, à un mois de l'élection présidentielle, Donald Trump annonce qu'il a été testé positif au coronavirus — tout comme son épouse, Melania — et qu'il se place en quarantaine à la Maison-Blanche[458]. Admis à l’hôpital le lendemain, il sort après trois jours d’hospitalisation[459],[460] prétextant être « immunisé », malgré les preuves de recontaminations chez des patients touchés[461],[462]. À la suite de ces propos, le réseau socialTwitter réduit la visibilité de ses messages afin de limiter la propagation de fausses informations sur leCovid-19.

Le, six jours après l’élection présidentielle, le laboratoire allemandBioNTech et son partenaire américainPfizer annoncent que leur candidat-vaccin contre le Covid est « efficace à 90 % »[463]. Le camp du président y voit un succès de Trump, mais la participation de celui-ci est démentie par les deux entreprises, dont le président accuse les dirigeants d'avoir retardé cette annonce pour le faire perdre[464],[465]. Le président Trump semble alors « se désintéresser de la pandémie » selon le journaliste Marc Chalamet[466], annonce que son administration n'ordonnera pas de confinement et menace de ne pas livrer de vaccins à l'État de New York dirigé par le démocrateAndrew Cuomo, l’accusant de ne pas croire à la fiabilité du vaccin[467].

Quelques mois après son départ de la Maison-Blanche, la possibilité d’un accident de laboratoire chinois ayant laissé s'échapper le virus est de nouveau évoquée lorsque Joe Biden demande un rapport sur l'origine du Covid-19[468]. Cette thèse, longtemps qualifiée de« complotiste » par les institutions internationales et les médias traditionnels, était celle de l’administration Trump, qui mettait en cause l'Institut de virologie de Wuhan[469].

Environnement

Le, conformément à son programme électoral, il annonce le retrait des États-Unis de l'accord de Paris sur le climat, sans toutefois exclure de réintégrer le processus après renégociation, voire de conclure un « nouvel accord qui protège » les États-Unis[470],[471]. En outre, il ne prévoit pas de sortie de l'accord avant fin 2020[470]. Le retrait formel des États-Unis ne sera possible qu'après le, soit au lendemain de l'élection présidentielle[472],[473]. Il justifie sa décision par une volonté de défendre l'économie américaine, en s'appuyant sur des données jugées mal interprétées ou erronées[474]. Cette annonce provoque de vives critiques aux États-Unis[475],[476],[477]. Ce choix est également condamné par la quasi-totalité des dirigeants de la planète[478],[479]. En, les États-Unis confirment leur présence à laconférence de Bonn sur le climat[470].

Après avoir promis durant la campagne électorale que lecharbon resterait « roi » aux États-Unis, Donald Trump met fin peu après son élection au « Clean Power Act », un programme visant à inciter les producteurs d’électricité à réduire leurs émissions et à se tourner vers une énergie moins polluante[480]. Le président prend plusieurs autres décisions favorables au secteur, notamment en nommant un ex-lobbyiste du charbon,Andrew R. Wheeler, à la tête de laEnvironmental Protection Agency (EPA)[481] ; ou en autorisant les producteurs de charbon à déverser leurs rebuts dans les cours d’eau[482]. Il suspend en début de mandat lessubventions fédérales accordées au secteur desénergies renouvelables et, dès, adopte des décrets relançant les deux projets d’oléoducs controversésKeystone XL et Dakota Access, auxquels l’administration Obama avait dû renoncer[483].

Le gouvernement américain autorise en 2017 l’abattage de grands prédateurs protégés enAlaska (tels quegrizzlis etloups)[484], et ouvert à l’exploitation pétrolière une zone protégée de cette même région[485]. Il prend aussi des mesures en 2018 pour étendre considérablement leforage en mer dans les eaux américaines. Ledépartement de l'Intérieur propose d'ouvrir presque entièrement le littoral du pays au forage[486].

Le président américain décide en de faire réviser le statut des 40 000monuments nationaux classés au cours des vingt dernières années. En, son gouvernement ouvre leGrand Staircase-Escalante etBears Ears, situés dans l'Utah, à l'exploitation minière et au forage. Le premier monument voit la taille de sa zone protégée être réduite de près de la moitié, quand le second en perd 85 %, ce qui constitue la plus grande élimination d'une surface protégée de l'histoire des États-Unis[487].

Politique étrangère

Donald Trump impose rapidement, en politique étrangère, un style particulier et détonnant par rapport aux usages en vigueur. Selon l'universitaire Maya Kandel, l'intention de Donald Trump de« révolutionner la politique étrangère américaine »,« au cœur de ses promesses de campagne », s'est traduite par un changement de paradigme associé à« l’émergence d’une nouvelle alliance entre non-interventionnistes et nationalistes »[488].

Donald Trump avecEmmanuel Macron etJustin Trudeau en 2018.

Outre l'accord de Paris sur le climat et l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien, Donald Trump annonce le désengagement des États-Unis de plusieurs organes ou programmes emblématiques : l'Office de secours et de travaux des Nations unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient, leConseil des droits de l'homme des Nations unies, l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco), et lePacte mondial pour les réfugiés. Il annonce également le désengagement du financement duFonds des Nations unies pour la population[489].

Donald Trump nomme son conseiller stratégiqueSteve Bannon au sein duNational Security Council, l'organe de décision au cœur du pouvoir pour les questions de sécurité nationale et de politique étrangère[490]. Bannon, qui a dirigé le siteBreitbart News, est notamment réputé être un suprématiste blanc[491].

Fin, il effectue sa première tournée diplomatique. Après des étapes en Arabie saoudite et en Israël, il assiste ausommet de l'OTAN puis à celui duG7, où son style et ses déclarations occasionnent des tensions avec les autres dirigeants. La réunion du G7 s'achève sans qu'aucune position commune sur leréchauffement climatique ait pu être trouvée[492].

Le, il s'exprime à la tribune de l'ONU pour exposer sa vision des relations internationales. Dans un discours d'une virulence inhabituelle pour les lieux, parsemé d'expressions imagées[493], il revient notamment sur la crise avec le régime de Pyongyang, en se disant prêt à« détruire totalement » laCorée du Nord en cas d'attaque. Il dénonce également la« dictature socialiste »vénézuélienne et déclare que l'accord sur le nucléaire iranien est« un des pires auquel les États-Unis aient jamais participé ». Outre cette diatribe contre les« États voyous », il souligne que la contribution américaine à l'ONU représente pour les États-Unis un« fardeau financier injuste » et appelle à une réforme de l'institution[494].

Le, leWashington Post rapporte que la veille, lors d'une réunion à la Maison-Blanche consacrée à la protection des immigrés provenant d'Haïti, duSalvador et de plusieurs nationsafricaines, Donald Trump se serait interrogé, en présence de plusieurs sénateurs, sur l'intérêt d'accueillir aux États-Unis autant de gens venus« de ces pays de merde (shithole countries)[c] », ajoutant que les États-Unis devraient plutôt faire venir davantage d'immigrés de pays comme laNorvège. Lors de cette discussion, il aurait en outre rejeté l'éventualité d'un accord sur la protection des immigrés haïtiens, déclarant :« Pourquoi a-t-on besoin de plus d'Haïtiens ? Virez-les »[495]. Le jour même de la publication de l'article duWashington Post, les ambassadeurs du groupe africain aux Nations unies publient un communiqué condamnant les propos attribués à Donald Trump et réclamant des« rétractations » et des« excuses » de la part de ce dernier[496]. Les propos rapportés ne sont tout d'abord pas démentis par la Maison-Blanche. Puis le président américain, sans démentir le fond de ses propos, affirme le lendemain dans untweet ne pas avoir utilisé« ce langage ». Les termes prêtés à Trump déclenchent un tollé et une vague d'indignation au niveau mondial : le président américain est accusé non seulement de grossièreté, mais aussi deracisme[497],[498],[499].

Arabie saoudite

Donald Trump en mai 2017, en compagnie du président égyptienAbdel Fattah al-Sissi et du roiSalman d'Arabie saoudite.

EnArabie saoudite, première étape en de sa tournée diplomatique, il prend des positions à rebours de celles de son prédécesseur, en s'alignant sur la vision saoudienne de la région et en dénonçant le rôle de l'Iran[500]. Il se rend ensuite enIsraël où il affirme sa foi en l'alliance israélo-américaine, sans proposer de solution précise pour leconflit israélo-palestinien[501]. Alors qu'il s'était engagé durant sa campagne à le réaliser dès le tout début de son mandat, il reporte le transfert de l'ambassade des États-Unis deTel Aviv-Jaffa àJérusalem, réclamé aussi bien par la droite israélienne au pouvoir qu'au sein des conservateurs américains, contre lequel les pays arabes mènent une campagne de lobbying[502].

Conflit israélo-palestinien

Le, revendiquant une nouvelle approche sur leconflit israélo-palestinien, il reconnaît officiellementJérusalem comme capitale d'Israël et donne l'instruction d'y déplacer l'ambassade américaine[503]. Sa décision est saluée par le Premier ministre israélienBenyamin Netanyahou, qui déclare que l'annonce de Trump marque un« jour historique »[504]. LeHamas appelle les pays arabes et musulmans à expulser les ambassadeurs américains de leurs territoires[505].

Russie

Donald Trump préconise dès une meilleure entente avec laRussie, notamment dans le cadre de la lutte contre l'organisation État islamique[506]. Les relations americano-russes sont cependant parcourues de périodes de tension, notamment dans le contexte de laguerre en Syrie. En, Trump écrit dans un tweet que les relations des États-Unis avec la Russie sont« pires aujourd'hui qu'elles ne l'ont jamais été, y compris pendant laGuerre froide », et préconise une meilleure entente entre les deux pays[507].

Vladimir Poutine remettant à Donald Trump le ballon officiel de lacoupe du monde de football 2018 lors dusommet d’Helsinki.

Le, il rencontre le président russeVladimir Poutine lors d’unsommet entre la Russie et les États-Unis àHelsinki. Peu avant, il déplore à nouveau sur Twitter la détérioration des relations russo-américaines et en rejette en partie la faute sur le procureurRobert Mueller, qui vient d'inculper douze membres du renseignement russe dans le cadre de l'enquête sur l'ingérence de la Russie dans la présidentielle américaine[508]. Interrogé par les journalistes à Helsinki sur cette affaire, il désavoue ses propres services secrets en déclarant qu'il ne voit pas pourquoi la Russie l'aurait fait. Devant le tollé suscité par sa déclaration, il affirme que sa langue avait fourché et qu'il ne voyait pas de raison« pour que la Russie ne l'ait pas fait »[509],[510].

Iran

Article détaillé :Retrait américain de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien.

Le, il concrétise sa promesse électorale auxélections présidentielles américaine de 2016, par le retrait américain de l'accord de Vienne sur le nucléaire iranien (dont l'acronyme anglais est JCPoA). Cette décision est vivement critiquée par les pays signataires de l'accord, mais approuvée par les pays duMoyen-Orient alliés desÉtats-Unis. Le,Mike Pompeo, lesecrétaire d'État américain, pose douze conditions pour tout nouvel accord avec l'Iran et promet en cas de refus les « sanctions les plus dures de l'Histoire ».

Le, après une attaque attribuée à des milices pro-Iran sur l'ambassade américaine en Irak le, Donald Trump autorise uneattaque visant le général iranienQassem Soleimani et le tuant.

Corée du Nord

Article connexe :Sommet entre la Corée du Nord et les États-Unis à Singapour en 2018.
Rencontre entre Donald Trump etKim Jong-un le 12 juin 2018 à Singapour.

En vue de faire pression sur le régime nord-coréen, en réponse aux essais d'armes nucléaires et à l'usage d'armes balistiques, il annonce en l'envoi d'une « armada » vers la péninsule coréenne. LaCorée du Nord se dit alors« prête à la guerre » et à répondre« à toute attaque nucléaire par le nucléaire »[511]. Trump renonce finalement à envoyer un groupe aéronaval en Corée du Nord, constitué du porte-avionsUSS Carl Vinson et de son escadre[512].

Début, plusieurs escalades verbales dans les relations américano-nord-coréennes font craindre un conflit nucléaire. Cependant, à la surprise générale, le dirigeant nord-coréen propose au président américain une rencontre où seraient notamment négociés les différends liés au nucléaire. Donald Trump accepte l'invitation[513]. La rencontre est prévue pour le àSingapour[514], mais elle est annulée par Trump en en raison du retour de la rhétorique belliqueuse de la Corée du Nord et du rejet par le gouvernement nord-coréen des demandes de dénucléarisation formulées par l'administration américaine[515]. Quelques jours plus tard, à la suite d'une déclaration de conciliation de la Corée du Nord, la rencontre est maintenue comme prévu[516]. Cette rencontre est saluée par la communauté internationale[517].

Donald Trump continue par la suite à échanger avec Kim Jong-un. Le, il pénètre àPanmunjeom aux côtés du dirigeant nord-coréen. Il s'agit d'une première historique, aucun président américain n'étant jusqu'ici entré en Corée du Nord. Les deux dirigeants réaffirment à cette occasion leur volonté de relancer le processus de dénucléarisation du pays[518].

Mexique

En pleine tension diplomatique entre les États-Unis et leMexique, il dénonce sur Twitter le déficit commercial américain avec le pays voisin et le refus du gouvernement mexicain de payer le mur de séparation entre les deux pays, suscitant l'annulation de sa rencontre avec leprésidentPeña Nieto[519],[520].

Le, il signe un décret donnant le coup d'envoi de la construction dumur à la frontière mexicaine qu'il avait promis pendant sa campagne.

Syrie

Le, à la suite de l'attaque chimique de Khan Cheikhoun, commis par l'armée syrienne, il faitbombarder la base aérienne d'Al-Chaayrate. Mi-, il provoque une polémique en révélant, lors d'une rencontre à la Maison-Blanche avec le ministre des Affaires étrangères russe,Sergueï Lavrov, des informations jugées confidentielles sur les opérations menées par un« pays allié » contre l'organisation État islamique[521]. Le, leNew York Times révèle qu'il s'agissait d'une opération de « hackers israéliens ayant pénétré une petite cellule de terroristes de Daesh en Syrie. C'est grâce à cette infiltration et au partage des informations récoltées que les services de renseignement américains ont appris que le groupe terroriste travaillait à la fabrication d'explosifs capables de tromper lesscanners à rayons X des aéroports en les faisant ressembler exactement à des batteries pour ordinateurs portables[522]. En, ledépartement de la Sécurité intérieure des États-Unis avait annoncé l'interdiction d'embarqueren cabine des appareils électroniques pour les voyageurs à destination desÉtats-Unis en provenance d'aéroports en Arabie saoudite, en Égypte, aux Émirats arabes unis, en Jordanie, au Koweït, au Maroc, au Qatar et en Turquie[523].

Le, il crée la surprise — y compris au sein de sa propre administration — en annonçant le retrait de Syrie des troupes américaines. Il justifie cette décision par le fait que l'État islamique a été« vaincu », ce qui rend à ses yeux inutile une présence militaire des États-Unis. Ce retrait américain aurait notamment pour conséquence d'abandonner les forces locales à dominantekurde, soutenues par les Occidentaux, mais considérées comme des ennemis par laTurquie, et jouerait également en faveur du régime deBachar el-Assad[524],[525]. Le secrétaire à la Défense,James Mattis, en désaccord avec cette décision, présente sa démission le lendemain[526].

Article détaillé :Raid de Baricha.

Le, il annonce dans une allocution télévisée la mort du chef de l'État islamique,Abou Bakr al-Baghdadi, lors d'uneopération militaire menée par desforces spéciales américaines enSyrie : fuyant les militaires, celui-ci est mort en déclenchant sa ceinture d'explosifs, tuant également trois de ses enfants[527]. Ces conditions font dire à Donald Trump que« cette brute a passé ses dernières heures dans la panique, la peur et la terreur, terrifié par la force américaine qui s’abattait sur lui », qu'« il est mort comme un chien, comme un lâche » et que« le monde est désormais un endroit plus sûr »[528].

Controverses

Préoccupations sur son âge et sa santé

Article détaillé :Préoccupations sur l'âge et la santé de Donald Trump.

Depuis le début de la campagne présidentielle de Trump en 2016, sasanté physique et mentale ont fait l'objet de débats. Donald Trump avait 70 ans lors de son entrée en fonction, surpassantRonald Reagan jusque alors lapersonne la plus âgée à accéder à la présidence[529]. L'âge, le poids, le mode de vie et les antécédents demaladies cardiaques de Donald Trump ont soulevé des questions sur sa santé physique[529].

Certainspsychiatres et journalistes ont émis l'hypothèse que Donald Trump pourrait souffrir de troublesde santé mentale, tels que ladémence[530] (héréditaire) ouun trouble de la personnalité narcissique[531].

Ces craintes le poursuivront lors de la campagne présidentielle de 2024, ses détracteurs soulignant qu'il n'avait pas publié de rapport médical complet depuis 2015[532].

Accusations de conflits d'intérêts

L'analyse des déclarations d'actifs de Donald Trump publiée en novembre 2016 par leWashington Post révèle qu'au moins111 entreprises appartenant à Trump ont fait des affaires dans dix-huit pays et territoires à travers l'Amérique du Sud, l'Asie et le Moyen-Orient, certaines dans des pays avec lesquels les États-Unis entretiennent des relations financières ou diplomatiques délicates, comme l'Arabie saoudite, la Turquie, les Émirats arabes unis, la Chine, Israël, l'Azerbaïdjan, l'Indonésie ou le Panama.

En dépit du risque important de voir ces liaisons d'affaires devenir autant de sources deconflits d'intérêts, Trump annonce son refus de vendre ses actifs ou de les confier à un gestionnaire indépendant avant d'entrer à la Maison-Blanche, contrairement à la tradition suivie par la plupart des derniers présidents américains, deReagan àBush, préférant s'engager à laisser la gestion de ses entreprises à ses enfants et à des cadres[533].

Cette situation inédite place le conglomérat de Trump dans une position sans précédent dans l'histoire présidentielle américaine, à la fois comme possible voie d'accès pour des intermédiaires en quête des faveurs de la présidence, et comme cible potentielle d'attaques ou de menaces à l'étranger. Pourtant, Donald Trump reconnaît lui-même comme« un petit conflit d'intérêts » le contrat de10 millions de dollars conclu en 2014 avec le consortium turcDoğan Holding, devenu depuis un influent soutien du régime répressif d'Ankara. Les conseillers en éthique voient davantage ce contrat comme une source de revenus personnelle qui pourrait exposer Trump à des influences étrangères et faire pencher ses prises de décisions en tant que chef de l'exécutif.

D'autre part, de nombreux projets et biens immobiliers de Trump sont soutenus par des prêts consentis par de grandes banques étrangères, certaines allemandes ou chinoises comme laBank of China, que Trump a pourtant régulièrement critiquée. Ainsi laDeutsche Bank, qui se trouve être le plus important créancier de Trump, est par ailleurs en cours de négociation pour le règlement éventuel de plusieurs milliards de dollars dans le cadre des abus liés à lacrise des subprimes. La négociation de cette sanction est conduite avec leministère de la Justice, lequel sera dirigé prochainement par des responsables nommés par Donald Trump.

La question des avoirs de Trump à l'étranger reste toujours en suspens, celui-ci ayant refusé d'autoriser l'audit financier de ses investissements ainsi que de fournir certains documents tels que sa déclaration de revenus, qui permettraient une meilleure connaissance de ses comptes à l'étranger[534],[535].

Le, Trump annonce son intention de dissoudre sa fondation pour « éviter ne serait-ce que l'apparence d'un conflit d'intérêts ». Cette annonce n'a pourtant quasiment aucune portée, sa fondation étant déjà de fait inactive par ordre de la justice américaine. D'autre part, une telle décision ne changerait rien aux liens capitalistiques de Trump avec les centaines de sociétés réunies dans son conglomérat,« opaque et non coté »[536].

Le, Donald Trump annonce les mesures destinées à empêcher d'éventuels conflits d'intérêts, notamment celle de placer laTrump Organization sous le contrôle d'un trust dirigé par deux de ses fils. Walter Shaub, directeur du Bureau pour l'éthique gouvernementale aux États-Unis (U.S. Office of Government Ethics), détaille longuement ce plan lors d'une conférence[537], le jugeant « totalement insuffisant » et déclarant qu'il « ne remplit pas les normes suivies par les personnes qu'il a nommées à son gouvernement, ni par chaque président depuis quatre décennies »[538]. Walter Shaub rappelle les recommandations faites à Donald Trump par le bureau : « Il doit céder ses parts. Rien d'autre ne permettra de résoudre ces conflits »[539].

Le, le Bureau des marques déposées de l'Administration d'État pour le commerce et l'industrie chinois donne son accord préalable à l'enregistrement de 38 marques déposées liées à Donald Trump, protégeant ainsi les droits de propriété intellectuelle du président américain et de sa famille en Chine. À l'instar du sénateurBen Cardin, membre de lacommission des affaires étrangères du Sénat, de nombreux sénateurs démocrates et des juristes estiment que l'accord de la Chine sur la « marque Trump » peut être considéré comme une forme d'avantage accordé par un gouvernement étranger, ce que la Constitution américaine interdit à un président en exercice[540]. En réponse à cette accusation de conflit d'intérêts, le responsable juridique de la Trump Organization déclare que le groupe cherchait à protéger ses droits en Chine depuis une dizaine d'années déjà. Pour autant, la demande d'enregistrement de ces marques commerciales a été déposée en avril 2016 par les avocats de Donald Trump, pour la plupart au nom de « Donald J. Trump »[541].

Le, les procureurs généraux duMaryland et duDistrict de Columbia déposent plainte contre le président Trump, considérant qu'il est au centre d'une« violation sans précédent de la Constitution »[542]. Une plainte similaire avait été déposée le précédent par l'associationCitizens for Responsibility and Ethics in Washington (en)[543].

Le,196 sénateurs et représentants démocrates au Congrès déposent une plainte basée sur l'article premier, section 9, clause 8 de laConstitution des États-Unis, dite clause des émoluments étrangers ou clause des titres nobiliaires. Cette clause interdit à toute personne occupant une fonction publique d'« accepter cadeau, émoluments, fonction ou titre de quelque sorte que ce soit d'un roi, prince, ou d'un État étranger » sans l'accord du Congrès. Dans leur plainte, ces élus rappellent que cette clause « a été adoptée pour s'assurer que les dirigeants de notre nation ne seraient pas corrompus par une influence étrangère ou qu'ils ne placeraient pas leurs intérêts financiers particuliers devant l'intérêt national », et que l'absence de coupure nette entre Trump et ses entreprises place celui-ci dans une situation de conflit d'intérêts permanent[544].

Le, un tribunal fédéral du Maryland déclare recevable la plainte déposée en juin 2017 par les procureurs généraux du Maryland et du District de Columbia. Dans sa décision, le juge fédéral indique que« les plaignants ont allégué de manière suffisante que le président viole les clauses sur les émoluments étrangers et nationaux de la Constitution en raison de son implication et la réception de profits de l’hôtel Trump International et ses dépendances à Washington, ainsi que les opérations de l’Organisation Trump dans cette affaire ». Il évoque notamment« un préjudice réel, clairement lié aux actions du président, et un préjudice qui peut être réparé par la cour ». L'instruction de cette plainte pourrait être le début d'un long combat judiciaire, les collectivités démocrates comptant exiger les déclarations fiscales de Donald Trump, qu'il a toujours refusé de rendre publiques[545].

Liaisons alléguées

Stormy Daniels en 2015.

Le, leWall Street Journal affirme que l'actrice de films pornographiquesStormy Daniels aurait perçu 130 000 dollars juste avant l'élection présidentielle, en échange de son silence concernant une relation sexuelle qu'elle aurait eue avec Donald Trump en 2006, alors que son épouseMelania était enceinte de leur filsBarron. Le, l'avocat personnel du président affirme que la somme a bien été versée[546]. Début, l'actrice pornographique porte plainte pour faire invalider la clause de confidentialité liée au versement des 130 000 dollars[547]. Les avocats de Trump annoncent à leur tour qu'ils réclameront20 millions de dollars à Stormy Daniels pour violation de l'accord[548].

Le, l'ancienneplaymateKaren McDougal porte plainte à son tour pour faire invalider une clause de confidentialité concernant la liaison qu'elle aurait eue avec Donald Trump. L'actrice et mannequin dit avoir perçu 150 000 dollars, dont la moitié aurait été versée à son avocat en accord avec Trump[549]. Le, Stormy Daniels accorde àCBS un entretien dans lequel elle raconte en détail sa relation avec Donald Trump, qui lui aurait fait à l'époque miroiter une participation àThe Celebrity Apprentice. Elle affirme en outre que l'entourage de Trump l'a menacée pour la dissuader de parler[550],[551]. En, elle publie un livre racontant sa version de l'histoire[552]. Donald Trump, de son côté, dément catégoriquement avoir eu une liaison avec l'actrice[553].

Le,Michael Cohen, ancien avocat personnel de Donald Trump, est condamné à trois ans de prison ferme pour avoir, pendant la campagne présidentielle de son client, acheté le silence de Stormy Daniels et de Karen McDougal en versant 130 000 dollars à la première et 150 000 dollars à la seconde[554].

Rapport avec les médias

À partir des élections de 2016,The Washington Post,The New York Times ainsi que de nombreux commentateurs politiques établissent des parallèles entre l'ascension de Donald Trump et celle d'Adolf Hitler.

Ces critiques soulignent les similitudes des rhétoriques, slogans et méthodes politiques des deux hommes et notent les rapprochements entre les situations historiques, s'inquiétant publiquement du danger qui leur paraît menacer la démocratie américaine[555].

Dans une tribune duMonde, l'historien spécialiste de la Deuxième Guerre mondialeRobert Paxton reconnaît que la tentation peut être forte de qualifier de « fasciste » le président nouvellement élu, du fait de sa personnalité autoritaire et des motifs typiquement fascistes qu'il reprend à son compte :« déploration du déclin national, imputé aux étrangers et aux minorités ; mépris des règles juridiques ; caution implicite de la violence à l’encontre des opposants ; rejet de tout ce qui est international, que ce soit le commerce, les institutions ou les traités en place ». Pour Paxton, toutefois,« un pouvoir exécutif sans contrainte ni contrôle est indicateur de dictature en général, plutôt que de fascisme en particulier ». Il estime que l'étiquette« fasciste » occulte lelibertarisme économique et social favorable aux plus riches du régime de Trump, qu'il préfère qualifier de« ploutocratie »[556]. DansForeign Policy, l'historien et universitaire Eliah Bures rappelle que la plupart des présidents américains ont été qualifiés de fascistes depuis les années 1970, et estime que Donald Trump ne peut être classé dans ce courant[557].

Après son investiture, Donald Trump continue d'utiliser de façon régulière les réseaux sociaux, qui constituent selon lui un moyen de s'adresser directement aux citoyens sans passer par le biais[558] ou la prétendue censure des médias[559]. Le compte officielTwitter de la Maison-Blanche et du président américain est administré par son directeur des communications adjointDan Scavino. Donald Trump continue néanmoins à communiquer avec son compte Twitter personnel beaucoup plus actif que le compte de la présidence. Il l'utilise de la même manière que pendant sa campagne, notamment pour critiquer les actions de ses opposants et des médias, ainsi que pour rappeler son agenda[560]. Très réactif sur Twitter, il s'y exprime« sans filtre » en employant souvent le registre de l'émotionnel, voire de l'invective[561],[562],[563]. Les tweets peuvent également avoir une incidence diplomatique : Donald Trump a ainsi provoqué des réactions de la part des autorités chinoises en écrivant de manière très directe son opinion sur la politique commerciale et militaire de la Chine[564].

Donald Trump lors d'un entretien accordé àFox News ().

Entre et, leCentre Shorenstein (en) sur les médias et la politique de l'université Harvard examine ce que les journalistes de dix grands médias ont publié par écrit sur Donald Trump durant les cent premiers jours de sa présidence. De cette étude, il ressort que[565],[566] :

  • Trump domine la couverture médiatique. Il est le sujet de 41 % de toutes les nouvelles (trois fois plus que pour les précédents présidents américains).
  • Son aptitude à présider est mise en doute plus souvent en Europe qu'aux États-Unis.
  • La couverture journalistique crée un nouveau standard en matière de presse défavorable. Pas un seul media n'est plus positif que négatif.
  • Globalement, le ton est négatif dans 80 % des nouvelles (57 % négatif pour George W. Bush, 60 % pour Bill Clinton).
  • Le ton négatif s'élève à 93 % pourCNN etNBC, à 91 % pourCBS, à 87 % pour leNew York Times, à 83 % pour leWashington Post, à 70 % pourThe Wall Street Journal, à 52 % pourFox News ; en Europe, le ton négatif atteint un record de 98 % pourARD, de 84 % pour leFinancial Times et de 74 % pour laBBC.
  • Les trois sujets les moins contestés par les journalistes sont l'économie (54 % de ton négatif), la menace terroriste (70 %) et les autres affaires de politique intérieure (72 %)[565].

Commentant cette étude, plusieurs médias rappellent qu'une tonalité négative ne signifie pas que le traitement de l'information soit biaisé[567],[568].

Pendant sa campagne et après son entrée en fonctions, Donald Trump entretient un rapport très conflictuel avec lesmédias de masse, qu'il accuse de partialité à son encontre. Il déclare avoir« une guerre en cours avec les médias » et va, dans ses tweets et ses diverses interventions, jusqu'à injurier les journalistes dans leur ensemble en les qualifiant d'« êtres humains les plus malhonnêtes du monde », de« menteurs »,« imposteurs »,« racailles », etc.[569]. Le, trois journalistes deCNN sont contraints à la démission pour avoir publié un article qui comportait des informations inexactes sur les liens entre un membre de l'entourage de Donald Trump et les milieux financiers russes[570]. Quelques jours plus tard, il retweete un montage vidéo qui le montre frappant à coups de poing un personnage portant le logo de CNN à la place de la tête. PourLe Monde, la violence des polémiques entre la Maison-Blanche et les médias atteint un niveau inédit[569].

Durant l'année 2018, ses rapports continuent à se dégrader avec les grands médias américains qu'il qualifie régulièrement de « fake news », et de« véritables ennemis du peuple » en réaction aux vives critiques soulevées après sarencontre avec Vladimir Poutine à Helsinki[571]. En de cette année,Arthur Gregg Sulzberger, directeur duNew York Times, titre qui compte parmi les médias les plus violemment attaqués par Donald Trump[572], confirme avoir eu un entretien avec le président à la Maison-Blanche, à la demande de ce dernier. Au cours de ces échanges, A. G. Sulzberger dit avoir prévenu le président« que ce langage incendiaire contribuait à une augmentation des menaces contre les journalistes et allait inciter à la violence », et l'avoir« imploré de revenir sur ses attaques démesurées contre le journalisme, que je pense être dangereuses et nuisibles pour notre pays »[573]. Le suivant, plus de 350 journaux, sites et magazines américains locaux et nationaux, progressistes et conservateurs, publient des éditoriaux pour réaffirmer leur droit d'informer face aux attaques du président, et pour insister sur l'importance de l'indépendance des médias[574].

À l'image de sacampagne présidentielle, son mandat se caractérise par un grand nombre de mensonges et approximations. A la fin de son premier mandat, leWashington Post relève un total de 30 573 informations « fausses ou erronés », soit une moyenne de plus de 20 par jour, « un record pour les fact-chekers du journal »[575].

De nombreux observateurs constatent que la présidence de Trump a profondément bouleversé et clivé le monde des médias[576].

« Russiagate »

Article détaillé :Affaire du Russiagate.

Le « Russiagate » a assombri la première partie du mandat du président républicain sans faire émerger de preuves solides de collusion entre la Russie et Donald Trump[577].

Le, Donald Trump est contraint de forcer sonconseiller à la sécurité nationale,Michael T. Flynn, à démissionner. Ce dernier est soupçonné d'avoir menti — notamment au vice-président Mike Pence — sur la nature de ses conversations téléphoniques de avec l'ambassadeur de Russie aux États-Unis[578], et d'être potentiellement vulnérable à un chantage russe[579]. Le, face aux critiques dont il fait l'objet à la suite de révélations de la presse sur ses contacts avec l'ambassadeur de Russie,Jeff Sessions,procureur général des États-Unis, annonce se récuser de toute enquête sur la supposée ingérence russe dans l'élection présidentielle. Un article duNew York Times du indique qu'avant son élection à la Maison-Blanche, des membres de l'équipe de campagne de Trump, dontPaul Manafort, ont eu des contacts répétés avec de hauts responsables des services de renseignement russes. Selon le quotidien, les services de renseignement américains enquêteraient afin de déterminer si des membres de l'équipe de Donald Trump étaient de connivence avec les Russes pourinfluer sur le cours de l'élection[580].

Le, Donald Trump limoge ledirecteur du FBIJames Comey, alors chargé de l'enquête sur les éventuelles collusions de son équipe de campagne avec la Russie. Le, lors d'une déposition devant laCommission judiciaire du Sénat, James Comey déclare« avoir fait l'objet de pressions » et affirme que le président l'a limogé afin de« modifier la façon dont l’enquête sur la Russie était conduite » sans en apporter de preuves. Les avocats de Donald Trump annoncent porter plainte contre Comey pour divulgation d'informations confidentielles et le président accuse Comey« d'avoir menti lors de son audition devant le Congrès ». Avant de témoigner à son tour, Jeff Sessions déclare n'avoir pas omis de déclarer une rencontre avec l'ambassadeur russe et dément les allégations de collusion entre Moscou et l'équipe de campagne de Donald Trump, les qualifiant de « mensonge détestable et consternant ».

En, à l'issue de deux ans d'enquête, le procureur spécial Robert Mueller indique dans son rapport qu'il n'avait pas trouvé de preuves suffisantes pour mettre un individu de la campagne Trump en accusation pour conspiration, mais qu'il avait bien trouvé une dizaine de cas possibles d'obstructions de la justice[581].

En, l’enquête du procureur spécial John Durham jette de forts doutes sur les accusations de collusion entre Moscou et l'ex-président américain, notamment après l'arrestation et la mise en examen, le, d'Igor Danchenko, le principal informateur du « dossier Steele » à l’origine du Russiagate, inculpé de cinq chefs d'accusation de mensonge au FBI. Cet informateur est accusé d'avoir menti et d'avoir tenu ses informations d’un proche des Clinton, Charles Dolan, conseiller en relations publiques de plusieurs campagnes démocrates[582],[583],[584].

Le rapport de John Durham publié en met en avant les faiblesses de l'enquête du FBI concernant le Russiagate et constate que la police fédérale a « manqué d'objectivité » dans l'analyse des liens entre Moscou et la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016[577].

Conversation controversée avec Zelensky et première procédure de destitution

Articles détaillés :Controverse concernant Donald Trump et l'Ukraine etPremière procédure de destitution de Donald Trump.
Donald Trump au lendemain de son acquittement par le Sénat, le.

En,Nancy Pelosi,présidente de la Chambre des représentants, lance à son encontre une procédure d'impeachment (destitution) après qu'unlanceur d'alerte de lacommunauté du renseignement des États-Unis a révélé la teneur d'une conversation téléphonique au cours de laquelle le président américain demande au président ukrainien,Volodymyr Zelensky, de faire déclencher une enquête surHunter Biden, fils deJoe Biden, potentiel candidat démocrate à l'élection présidentielle américaine de 2020.

La Chambre des représentants, dominée par les démocrates, le met en accusation pour« abus de pouvoir » et« entrave à la bonne marche du Congrès », ce qui fait de lui le troisième président américain à être inculpé, aprèsAndrew Johnson etBill Clinton. À majorité républicaine, le Sénat l'acquitte le, à l'issue d'un procès de deux semaines.

Élection présidentielle de 2020

Article détaillé :Campagne présidentielle de Donald Trump en 2020.
Donald Trump tenant une réunion publique àPhoenix, le.

Annonce de candidature

Donald Trump annonce rapidement son intention de se présenter pour un second mandat et dévoile dès le slogan qu'il utilisera pour sa campagne :« Keep America great! »[585] (« Gardons sa grandeur à l'Amérique ! »), en résonance avec son slogan de 2016,« Make America Great Again ». Il nomme en outre un directeur de campagne,Brad Parscale, qui a déjà travaillé pour lui lors de la campagne de 2016[586]. Il confirme qu'il souhaite queMike Pence accomplisse un second mandat comme vice-président[587].

Investiture républicaine

Il lance officiellement sa campagne présidentielle le, depuisOrlando, enFloride, aux côtés de Mike Pence et de Melania Trump[588]. Lors des primaires républicaines, il est concurrencé parBill Weld etJoe Walsh[589]. Il remporte sans difficulté l'ensemble des scrutins organisés (récoltant plus de 90 % des voix) et obtient suffisamment de délégués pour être à nouveau investi comme candidat du Parti républicain dès le[590]. Il est investi candidat de son parti lors de la convention du[591].

Élection générale

Comme en 2016, les sondages le montrent largement devancé par son adversaire démocrate dans les intentions de vote au niveau national et dans la plupart desÉtats-clés[592],[593].

Lapandémie de Covid-19 le contraint à suspendre sa campagne pendant plusieurs semaines[594].

Donald Trump interrogé parSinclair Broadcast Group (Maison-Blanche,).

Lors du premier débat télévisé le à Cleveland, il fait preuve d'une grande agressivité envers son adversaire démocrateJoe Biden, au point que certains commentateurs américains qualifient la rencontre de « pire débat de l'histoire »[595]. Donald Trump demande au groupe de miliciens néo-fascistesProud Boys de se« mettre en retrait et de se tenir prêt », ajoutant qu'« il faut que quelqu'un fasse quelque chose au sujet de ces antifas et de la gauche. Ce n’est pas un problème de l’aile droite. C’est la gauche »[596],[597]. Il menace également de contester devant laCour suprême une éventuelle défaite[598].

Le, un mois avant l'élection présidentielle et quelques jours aprèsune réunion qui provoqua un cluster, Donald Trump, alors âgé de74 ans, annonce qu'il est atteint, ainsi que sa femme Melania, par le Covid-19 et se met dans la foulée en quarantaine à la Maison-Blanche, suspendant ainsi ses réunions prévues pour sa campagne. Le médecin personnel du président déclare alors que ce dernier présente seulement de « légers symptômes, mais garde le moral »[599]. Il reçoit alors un traitement expérimental d’anticorps de synthèse développé par la sociétéRegeneron[600]. Donald Trump est admis àl'hôpital militaire Walter Reed dans la soirée du. Souffrant de « fièvre et de fatigue », le président devrait rester hospitalisé durant « quelques jours par précaution ». Le chef de cabinet de la Maison-Blanche précise que le président continuera à assumer ses fonctions depuis les appartements présidentiels de l'hôpital[601]. Si Donald Trump était empêché d'exercer ses fonctions, le vice-présidentMike Pence le remplacerait temporairement au pouvoir durant son incapacité à gouverner[602]. Il regagne la Maison-Blanche après trois jours d’hospitalisation et défend une nouvelle fois sa gestion critiquée de la pandémie[603].

Guéri de la Covid-19, Donald Trump reprend immédiatement sa campagne et tient une série particulièrement importante de réunions publiques alors que la pandémie n’est pas terminée[604]. Une étude réalisée par l’université Stanford estime que l’ensemble de ces réunions ont entraîné plus de 30 000 infections à la Covid-19 et environ700 morts[605].

Avant l’élection, Donald Trump et le Parti républicain mettent en garde contre le risque de fraudes en faveur de son adversaire en raison du recours historiquement important auvote par correspondance et paranticipation en raison de lapandémie de Covid-19[606].

Au soir du scrutin le, comme pronostiqué par le président sortant avant le vote[607] et alors que la plupart des sondages prédisent une victoire écrasante de Joe Biden, aucun candidat ne remporte suffisamment de grands électeurs pour être procalmé vainqueur. Il est tout de même annoncé dès le soir de l'élection que Donald Trump a remporté la Floride[608] et l'Ohio[609], États traditionnellement les plus disputés lors des dernières élections présidentielles. Cependant, le vote par correspondance et par anticipation ralentissent le processus de dépouillement dans les États où les résultats sont les plus serrés que sont l’Arizona, la Caroline du Nord, la Géorgie, le Michigan, le Nevada, la Pennsylvanie et le Wisconsin.

Quelques jours plus tard, le, les projections de différents médias (CNN[610],Fox News[611],The New York Times[612]) attribuent au candidat démocrate le Wisconsin[613], le Michigan[614] et enfin la Pennsylvanie[615], anciens bastions démocrates que le président sortant était parvenu à faire basculer dans le camp républicain en 2016. Après avoir tenté à deux reprises d'accéder à la Maison-Blanche, Joe Biden, âgé de77 ans, est élu46e président des États-Unis. Donald Trump entre ainsi dans le cercle très fermé des présidents américains ayant accompli un seul mandat puisque depuis la seconde guerre mondiale, seulsJimmy Carter etGeorge H. W. Bush ont été battus avant lui[616]. Il devient le premier président américain dont lacote de popularité n’a jamais dépassé la barre des 50 % dans les sondages conduits par l’institutGallup[617], qui a été élu en étant devancé dans levote populaire et qui a fait l'objet d'une procédure de destitution[618].

Contestations du résultat

Article détaillé :Contestation des résultats de l'élection présidentielle américaine de 2020.

Donald Trump refuse de reconnaître sa défaite[619], annonce qu'il a largement gagné l'élection[620] et dénonce des fraudes massives, sans apporter d'éléments tangibles à l'appui de ses allégations[621],[622]. Il multiplie les fausses informations, dont beaucoup sont signalées trompeuses par Twitter[623],[624]. Donald Trump, son équipe de campagne et son avocat personnelRudy Giuliani entreprennent de nombreux recours judiciaires dans tous les principaux États qui ont scellé sa défaite, mais l'absence de preuve concernant d'éventuelles fraudes provoque l'échec de nombreuses plaintes déposées devant des juges locaux[625]. Deux semaines après l'annonce de la victoire de Joe Biden, Donald Trump continue à crier à la fraude massive et tente d'intervenir dans les procédures de certification des votes, notamment en faisant pression sur les législateurs républicains duMichigan (un État remporté avec plus de 150 000 voix d'avance par Biden)[626](à savoir que Joe Biden a été élu par les grands électeurs le puis ce vote a été confirmé par le Congrès le), dans l'idée qu'en l'absence de certification, il leur reviendrait de désigner eux-mêmes les grands électeurs, qui pourraient alors voter en faveur de Trump[625],[627]. Le, alors que la victoire de Joe Biden dans leMichigan est certifiée, l'Administration des services généraux dirigée par Emily Murphy lance la procédure detransition présidentielle qui restait bloquée jusque là[628]. Donald Trump lui-même accrédite ces faits, tout en continuant à crier à la fraude massive[629].

Le, le collège électoral se réunit et élit Joe Biden à la présidence des États-Unis avec un score final de 306 grands électeurs contre 232 pour Donald Trump. La bataille juridique et de communication continue néanmoins : encouragés par Trump, certains sénateurs républicains annoncent qu'ils contesteront le résultat lors du décompte officiel des voix, prévu le[630]. Ceux qui entérinent trop vite la victoire de Biden se voient menacés par Trump[631]. Dans toutes ses interventions publiques durant cette période menant à l'assaut du 6 janvier contre le Congrès réuni au Capitole, il répète des centaines de fois qu'il a« obtenu une victoire écrasante », utilise autant de fois les mots« rigged » (truqué),« fraud », et« fight », pour« sauver » ou« reprendre »« notre pays »[632].

Bien que Donald Trump ait recueilli sept millions de voix de moins que son adversaire, le système électoral américain est tel qu'il aurait pu être réélu s'il avait « retourné » 32 507 voix dans quatre États-clés[633]. Depuis plusieurs décennies en effet, le système du collège électoral est favorable aux États les moins peuplés, souvent conservateurs : de ce fait, lors des sept dernières élections, les candidats républicains ont remporté trois mandats présidentiels alors qu'ils ont été devancés six fois par les démocrates dans levote populaire. Selon l'expert électoralNate Silver, un candidat démocrate doit ainsi obtenir deux à trois points de plus que son adversaire républicain pour obtenir la même chance d'être élu[607].

Derniers jours de mandat

Invasion du Capitole

Article détaillé :Assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump.
Partisans de Donald Trump au Capitole, le.

Dès, Donald Trump, avec de nombreux tweets, convie ses partisans à manifester dans tout le pays et à participer, le, à un immense rassemblement devant laMaison-Blanche lorsque se déroule auCapitole l'étape finale du processus électoral 2020 : la certification par leCongrès des votes ducollège électoral et la victoire de Joe Biden, afin de la contester. Lors du rassemblement, il déclare notamment à ses milliers de partisans de se« battre comme des diables (fight like Hell) », sans quoi il n'y aura plus de pays[634],[635],[636]. Peu après, l’assaut du Capitole par des centaines de ses partisans, considéré comme une insurrection ou une tentative de coup d'État[637],[638],[639],[640],[641],[642], suscite de vives réactions à son encontre dans le pays et à l'international, et des appels à sa destitution[643]. Cet assaut fait dire à plusieurs experts du fascisme queDonald Trump correspond désormais à la définition d'un fasciste, sans qu'il y ait consensus[641],[642]. Donald Trump apparaît alors particulièrement isolé, avec la perte de certains soutiens dans le camp républicain et la menace par les démocrates d'une nouvelle procédure de destitution[643]. Certains de ses ministres démissionnent (les secrétaires d'État aux Transports et à l'Éducation, le ministre de la Santé[644]), alors que plusieurs démocrates, dont la présidente du CongrèsNancy Pelosi, demandent à Mike Pence d'invoquer le25e amendement de la Constitution pour déclarer le président Trump inapte à gouverner, ce que celui-ci refuse de faire. Un sondageYouGov indique que, si une majorité d’Américains considère l’attaque comme une menace pour la démocratie, 45 % des électeurs républicains sont favorables à l'initiative[645].

Donald Trump condamnant l’assaut du Capitole, le.

Donald Trump publie le lendemain soir une vidéo dans laquelle il condamne l’assaut et les violences. Il prétend qu’il a« immédiatement déployé laGarde nationale et les forces fédérales pour sécuriser le bâtiment et expulser les intrus », promet de faire payer« ceux qui ont enfreint la loi » et appelle ses partisans à« rentrer chez eux ». Actant sa défaite, mais réitérant ses accusations de fraudes, il affirme avoir voulu« protéger la démocratie américaine » en usant des moyens légaux pour contester les résultats de l’élection, promet une« transition de pouvoir sans accroc » et appelle à« la réconciliation » après la certification du Congrès[646],[647],[648]. Ce revirement brutal, dicté par les circonstances, est destiné à répondre aux critiques venues de son propre camp. Donald Trump tente ainsi de corriger l’impression désastreuse laissée par la vidéo diffusée la veille, dans laquelle il réitérait ses allégations de fraude et d'élection« volée », et invitait les émeutiers à« rentrer chez [eux] », tout en assurant les comprendre et en leur exprimant son affection :« We love you, you're very special »[649],[650].

Éviction des réseaux sociaux

Capture d'écran du compte de Donald Trump suspendu parTwitter, le.

Le,Twitter clôt son compte, qui était suivi par plus de88 millions de personnes,« en raison d’un risque d’incitation à la violence »[651]. Ses comptesFacebook etInstagram sont aussi fermés« jusqu'à nouvel ordre »[652]. Cette décision de la part de réseaux sociaux de clore ou suspendre le compte d’un chef d’État en exercice constitue une première mondiale, suscitant un vif débat aux États-Unis et dans le monde[653]. Le président mexicain,Andrés Manuel López Obrador, s’interroge sur« la liberté et le droit à l’information » et sur« le rôle des autorités légalement et légitimement constituées », tandis que le lanceur d’alerteEdward Snowden, fait état d'un« tournant dans la bataille pour le contrôle de l’information ». À l’inverse, pour une partie de la gauche américaine, cette décision intervient trop tardivement[653].

Twitch,Snapchat etYouTube ferment également les comptes officiels de Donald Trump pour une durée indéfinie. Le média social chinoisTikTok, que l'administration de Donald Trump voulait bannir en, supprime des vidéos de discours du président ainsi que certainsmots-dièse et desmots-clés se référant au « parti patriotique »[654],[655]. De son côté,Shopify retire les ventes des sites officiels de Donald Trump tels que les casquettesMake America Great Again.

Le compte Twitter de Donald Trump est finalement réactivé le, après que le nouveau propriétaire de la plateforme, le milliardaireElon Musk, a réalisé la veille, sur son propre compte Twitter, un sondage intitulé :« Faut-il réintégrer l’ancien président Trump ? » avec 52 % d'avis favorables[656].

Seconde procédure de destitution

Article détaillé :Seconde procédure de destitution de Donald Trump.
La Chambre des représentants votant laseconde procédure de destitution de Donald Trump.

À la suite de l'invasion du Capitole, plusieurs parlementaires démocrates envisagent de lancer dès le une procédure dedestitution à l'encontre de Donald Trump. Si elle aboutissait, cette procédure aurait des conséquences non seulement symboliques, mais pourrait également rendre Donald Trump inéligible et l'empêcher alors de se présenter à l’élection présidentielle de 2024[657].

Le, la Chambre des représentants approuve la mise en accusation de Donald Trump pour« incitation à l'insurrection » à232 voix (dont 10 Républicains) contre 197[658],[659]. Parmi les membres du parti du président qui ont voté pour le destituer se trouvaitLiz Cheney, troisième par ordre d'importance parmi les représentants républicains, qui a déclaré à propos de l'émeute :« Il n'y a jamais eu de plus grande trahison de la part d'un président »[658]. Trump est ainsi le premier président de l'histoire des États-Unis à être mis en accusation à deux reprises[660].

Le, l'institut Gallup publie les résultats d'une enquête d'opinion, qui fait état de 34 % d'opinions favorables en sa faveur. Trump n'a jamais dépassé la barre symbolique des 50 % d'intentions favorables pendant son mandat (de 49 % avant la pandémie de Covid). C'est le premier président dans cette situation depuis le début des sondages de cet institut en 1938[661].

Donald Trump sera finalement acquitté par leSénat le[662],[663].

Dernière allocution télévisée à la nation

« Discours d’adieu » de Donald Trump prononcé le depuis la Maison-Blanche.

Le, admettant la victoire de Joe Biden, mais refusant de féliciter ce dernier, Donald Trump annonce qu'il quittera laMaison Blanche dans la matinée du à bord deMarine One, pour ne pas avoir à croiser Joe Biden et ses équipes, et éviter ainsi toute passation de pouvoir[664]. Des spécialistes constatent des destructions d'archives présidentielles de la part de Trump, ce qu'accréditent des témoignages en interne[665]. Le, pour la dernière fois, Donald Trump s'adresse à la nation en tant que président en fonction. Dans son discours, il appelle ses concitoyens à prier pour l'administration de son successeur, sans le nommer[666].

Dans les derniers jours de son mandat, Donald Trump propose une liste de cent personnes àgracier. Parmi elles, se trouvent de nombreux proches et collaborateurs de tous ordres : membres de sa famille, hauts fonctionnaires, et rappeurs[667]. Ces listes ne seront pas nécessairement validées[668]. Finalement, le, il gracie73 personnes, dontSteve Bannon, mais aucune personne de sa famille, ni lui-même[669].

Départ de la Maison-Blanche

Donald et Melania Trump le.

Contrairement à la tradition, Donald Trump n’assiste pas à la prestation de serment de son successeur, une première depuisAndrew Johnson en 1869[648]. Le, le président sortant quitte la Maison-Blanche à bord deMarine One en direction de la base aérienne militaire d'Andrews. À son arrivée sur la base, des coups de canon sont tirés, et le président prononce un ultime discours, dans lequel il déclare : « Au revoir nous vous aimons. Nous reviendrons sous une forme ou une autre. Ayez une bonne vie, nous nous reverrons bientôt, adieu ». Le45e président des États-Unis décolle ensuite, àh, pour la dernière fois à bord d'Air Force One, en direction dePalm Beach, enFloride. Donald Trump et son épouse s'installent ensuite dans leur club privé deMar-a-Lago. Le mandat de Donald Trump s'achève à midi, au moment où Joe Bidenprête serment sur laBible devant le Capitole, et devient officiellement le46e président des États-Unis[670],[671].

Bilan

Article détaillé :Classement des présidents américains.

Selon un sondage universitaire réalisé début 2018 auprès de 170historiens etpolitologues, il est classé pire président de l'histoire des États-Unis[672],[673]. Un sondage auprès d'historiens spécialistes des présidences américaines réalisé parC-SPAN en 2021 classe Trump comme le quatrième pire président[674]. Il obtient ses pires notes dans les catégories de caractéristique de dirigeant comme l'autorité morale et les compétences administratives[675],[676]. LeSiena College Research Institute le classe dans son sondage de 2022 comme le troisième pire président. Il est classé dans le bas de toutes les catégories sauf pour la chance, la volonté de prendre des risques et la gouvernance du parti et est dernier dans plusieurs catégories[677]. En 2018 et 2024, les membres de laAmerican Political Science Association le classent comme le pire président des États-Unis[678],[679].

Poursuites judiciaires postérieures au mandat présidentiel

Acquittement au Sénat

Le commence le procès endestitution de Donald Trump auSénat[680]. Comme il ne peut plus être destitué, ayant quitté ses fonctions, une condamnation pourrait lui valoir une interdiction à vie d'exercer tout mandat politique aux États-Unis[681],[682].

Les élus démocrates, en s'appuyant sur une série de vidéos, accusent Trump d'être l'« incitateur en chef » de l'invasion du Capitole[683]. Les élus républicains rejettent la procédure de destitution au motif qu'il est inconstitutionnel de juger un ancien président, arguant que la destitution ne s'applique qu'aux agents fédéraux en fonction[684]. La défense de Trump est dirigée par les avocatsMichael van der Veen (en), David Schoen et Bruce Castor ; la plaidoirie de Bruce Castor suscite des railleries dans le camp démocrate et la consternation de Trump lui-même[685],[686].

Le, Donald Trump est acquitté par le Sénat. Cinquante-sept sénateurs votent pour un verdict de culpabilité, dont sept républicains, et43 contre, en deçà de dix voix de la majorité des deux tiers requise par la Constitution[687]. Dans les procédures d'impeachment qu'ont connues les États-Unis, jamais autant de sénateurs du même bord politique que le président n'avaient voté en faveur de sa destitution[688],[689]. Le chef de la minorité républicaine,Mitch McConnell, qui a voté « non coupable », en explique les raisons : il considère que ce n'est pas le rôle du Sénat de destituer un« simple citoyen »[690] ; en revanche, il juge Donald Trump pleinement responsable du déroulement des évènements, de son mensonge sur la fraude à l'assaut du, et indique que c'est à la justice des États-Unis de se saisir de son cas[690]. De son côté, l'ancien président déclare, dans un communiqué : « Notre mouvement magnifique, historique et patriotique,Make America Great Again, ne fait que commencer »[691].

Enquête parlementaire sur l’assaut du Capitole

Le, les procureurs démocrates évoquent une« trahison d'une ampleur historique » à propos des discours préalables à l'invasion du Capitole[692]. Les avocats de Trump plaident quant à eux l'inconstitutionnalité de la procédure en raison du départ de celui-ci de la Maison-Blanche[693].

Le, la commission parlementaire d'enquête surl'assaut du Capitole rend ses conclusions et recommande au ministère de la Justice d'engager des poursuites pénales contre Donald Trump pour le rôle qu'il a joué dans cet événement[694]. Elle estime que l'ex-président américain pourrait être inculpé pour quatre motifs : obstruction d’une procédure officielle, conspiration contre les États-Unis, conspiration en vue de produire de fausses déclarations et incitation ou aide à une insurrection[695].

Réactivation et nouvelles poursuites judiciaires

Donald Trump en.
Article détaillé :Procès pénal de 2024 de l'ancien président américain Donald Trump.

Plusieurs poursuites judiciaires sont réactivées à partir du, en particulier des accusations defraude et d'agressions sexuelles. Les affaires en question portent sur lefinancement de la campagne présidentielle de 2016, les déclarationsfiscales de la Trump Organization, ses relations avec l'actrice pornographiqueStormy Daniels, et plusieurs accusations d'agression sexuelle[696].

En, dans une enquête relative à de possibles fraudes fiscales et bancaires, le procureur de Manhattan annonce examiner des documents couvrant 2011 à 2018. Le tout représente plusieurs millions de pages[697].

Dans la nuit du, leFBI procède à uneperquisition àMar-a-Lago, la résidence de Donald Trump en Floride. Selon leWashington Post, les services secrets cherchaient des documents classéssecret défense que l’ancien président est soupçonné avoir conservés après son départ de la Maison-Blanche, violant une loi fédérale sur l’espionnage aux États-Unis[698]. Donald Trump annonce lui-même qu’un « raid » mené par les services secrets a eu lieu et dénonce une« persécution politique »[699]. Le FBI annonce quelques jours plus tard avoir trouvé des documents secrets dans la résidence de l’ancien chef d’État, dont certains concernent le « président de la République française »[700]. Lors d'une conférence de presse inhabituelle, leministre de la Justice,Merrick Garland, affirme avoir« personnellement approuvé » la perquisition ; il condamne les« attaques infondées » de la part des républicains contre son ministère et contre la police fédérale[701].

En, Trump est inculpé par un grand jury deManhattan, à New York. Il est accusé d’avoir imputé à des dépenses juridiques une somme de 130 000 dollars versée à Stormy Daniels pour la faire taire sur la relationextra-conjugale qu’il aurait eue avec elle en 2006. Trump aurait donc enfreint la loi électorale en falsifiant cette comptabilité. Il est le premier ancien président américain de l’histoire à faire l’objet d’une poursuite pénale[702],[703]. Le, formellement mis en état d'arrestation, Donald Trump plaide non-coupable des trente-quatre chefs d'accusation retenus contre lui[704]. Il dénonce une persécution politique à son encontre à l'approche de l'élection présidentielle de 2024, souligne le fait que le procureur est démocrate et dénonce les faiblesses supposées de son argumentaire juridique[705].

Le, il est déclaré coupable à l'unanimité des 12 jurés des 34 délits de falsification de documents comptables. Lejuge Merchan doit fixer sa peine le[706]. Dans une déclaration véhémente, Donald Trump annonce vouloir« faire appel de cette arnaque »[707].

Agression sexuelle et diffamation

En, Donald Trump est condamné par un tribunal deManhattan à verser 5 millions de dollars àE. Jean Carroll, qui l'accusait de viol en 2019 et de diffamation. Le jury requalifie le crime d'agression sexuelle[708], le viol n'ayant pas été commis par l'introduction de son pénis, selon la qualification juridique du viol en vigueur àNew York. Donald Trump conteste le montant des dommages et intérêts demandés, arguant qu'une telle somme serait excessive pour par exemple avoir frôlé un sein et intente un recours sous forme de motion. En, le juge Kaplan rejette sa demande, exposant que le dossier est très clair, et qu'il s'agit bien d'un viol au sens courant du terme, justifiant la somme demandée[709].

Inculpations liées à ses tentatives de rester au pouvoir

Le, le procureur spécialJack Smith, nommé par le ministère de la Justice, annonce l'inculpation de Donald Trump accusé de « complot contre les États-Unis », pour ce qui est qualifié d'« assaut sans précédent contre la démocratie américaine » en relation avec sestentatives de conserver le pouvoir après sa défaite lors des élections présidentielles de 2020 et à l'Assaut du Capitole[710]. Quinze jours plus tard, l'État de Georgie, où la pression de Trump et de ses alliés a été particulièrement forte, l'inculpe ainsi que dix-huit co-accusés pour notamment« fausses déclarations et faux documents, usurpation de fonction publique, faux et usage de faux, pressions sur des témoins… »[711].

Influence persistante au niveau national

L'ancien président fait sa première apparition officielle depuis son départ de la Maison-Blanche le en intervenant à laConservative Political Action Conference, où il évoque la possibilité de briguer de nouveau un second mandat, répétant qu'il pourrait « décider de battre les démocrates une troisième fois »[712]. Les analystes estiment alors qu’il est toujours aussi influent au sein du Parti républicain et que sa popularité y est restée intacte malgré les évènements du Capitole de[713],[714]. Les enquêtes d'opinion le donnent grand favori en vue desprimaires républicaines de 2024[715],[716].

Joe Biden demande le à ce que Donald Trump n'ait pas accès aux notes du Renseignement. Si les anciens présidents bénéficient traditionnellement de cet accès, Biden estime que Trump« n'a pas besoin de recevoir les briefings des Renseignements ». Il déclare :« Quel sens cela a-t-il de lui donner un briefing des Renseignements ? Quel impact a-t-il encore, au-delà du fait qu'il pourrait déraper et dire quelque chose ? »[717].

Donald Trump à laConservative Political Action Conference (CPAC) de 2022.

Toujours suspendu deTwitter etFacebook, Trump lance et utilise son blog, baptisé « From The Desk of Donald Trump », dont le fonctionnement est similaire à celui de Twitter, entre et, date à laquelle il le ferme[718],[719]. Au même moment est annoncée la suspension de ses comptes Facebook etInstagram pour deux ans minimum, jusqu’à ce que les « risques pour la sécurité du public aient disparu », ce qui conduit Donald Trump à parler d’« une insulte » faite à ses « 75 millions d'électeurs » de l'élection présidentielle de 2020[720].

Le, àWellington (Ohio), l’ancien président organise un meeting pour la première fois depuis son départ de la Maison-Blanche. Il y dépeint les démocrates comme des « gauchistes radicaux » qui seraient responsables d’une recrudescence des crimes violents, décrit l'administration Biden comme étant « une catastrophe » et réitère ses accusations sans fondement de fraudes lors de l’élection présidentielle de 2020[721],[722].

En, alors que les sondages continuent de le donner à égalité avec Joe Biden en cas de candidature àl'élection présidentielle de 2024, Donald Trump annonce le lancement de son propre réseau social, baptisé « Truth Social ». La plateforme appartient au groupe nouvellement crééTrump Media & Technology (TMTG), une structure qui fournit également un service de vidéo à la demande et des podcasts « non-woke »[723]. L'année suivante, le rachat de Twitter par le milliardaireElon Musk permet son retour sur la plateforme, mais Donald Trump déclare préférer communiquer via son propre réseau social[724],[725].

Durant la campagne pour les élections de mi-mandat de, Donald Trump mobilise intensivement ses partisans lors de grands meetings donnés à travers le pays[726]. Sa mésentente avec le gouverneur de Floride,Ron DeSantis, qui est présenté comme l’un de ses rivaux au sein duParti républicain, apparaît publiquement[727].

Élection présidentielle de 2024

Article détaillé :Élection présidentielle américaine de 2024.

Donald Trump a été élu président des États-Unis au début du mois de. Il remporte la totalité des États pivots, tandis que son parti décroche dans le même temps la majorité au Sénat des États-Unis après une campagne électorale qui l’oppose successivement à Joe Biden puis à Kamala Harris.

Primaires présidentielles

Article détaillé :Primaires présidentielles du Parti républicain américain de 2024.
Logo de campagne des primaires de Donald Trump en vue de l'élection présidentielle de 2024.

Le, Donald Trump annonce officiellement sa candidature à l’élection présidentielle de 2024 dans un discours prononcé depuis sa résidence deMar-a-Lago, enFloride. Il déclare notamment que« l’Amérique est de retour » et vante la performance réalisée par ses candidats auxélections de mi-mandat, qui se sont déroulées quelques jours plus tôt[728].

Dans les semaines qui suivent l'annonce de sa candidature, il reprend les meetings à travers le pays et parvient à récolter des dons importants[729]. Au début du mois de janvier 2023, un premier sondage donne Donald Trump gagnant face àJoe Biden[730]. En suivant, alors qu’il devient le premier président américain à être inculpé au pénal par la justice américaine, certains politologues estiment que cette inculpation pourrait tendre à« rassembler davantage autour de la personne Trump ». Sa cote de popularité augmente nettement à la veille de sa comparution devant la justice àManhattan, en[731].

Le, il remporte lecaucus de l'Iowa, avec 51 % des suffrages exprimés[732]. Le, il arrive à nouveau en première position lors de la primaire duNew Hampshire, récoltant plus de 54 % des voix, devant sa concurrente principaleNikki Haley[733]. Le, il remporte l’investiture républicaine dans leNevada et reçoit 26 délégués supplémentaires[734],[735]. Le, Donald Trump poursuit sa série victorieuse en remportant les primaires républicaines enCaroline du Sud avec près de 60 % des suffrages[736],[737]. Le, il remporte leSuper Tuesday en triomphant de sa rivaleNikki Haley[738]. Lors de cette grande journée électorale, il raffle 14 des 15 États mis en jeu dont laCalifornie, laCaroline du Nord et leTexas[739],[740]. Avec cette victoire, Donald Trump possède 995 délégués sur les 1 215 délégués nécessaires pour être officiellement investi candidat duParti républicain[741]. En remportant pour la troisième fois consécutive les primaires républicaines, aprèscelles de 2016 etcelles de 2020, et en devenant lecandidat du Parti républicain pour la troisième fois, Donald Trump égalise le record de candidatures officielles républicaines détenu parRichard Nixon, candidat du parti en 1960, 1968 et 1972.

Le, en amont de la convention duParti républicain qui a lieu àMilwaukee, dans leWisconsin, Donald Trump annonce sur son réseau socialTruth Social queJ. D. Vance, lesénateur de l'Ohio, sera son colistier et futurvice-président en cas de victoire à l'élection présidentielle[742],[743],[744].« J’ai décidé que la personne la plus apte à assumer la fonction de vice-président des États-Unis était le sénateurJD Vance, du grand État de l’Ohio » annonce l'ancien président[745],[746]. Au deuxième jour de la convention,Ron DeSantis etNikki Haley, les anciens adversaires de Donald Trump auxprimaires du Parti républicain, annoncent se rallier et soutenir la candidature de l'ancien président[747],[748].

Campagne présidentielle

Article détaillé :Campagne présidentielle de Donald Trump en 2024.
Logo de la campagne présidentielle de 2024 de Donald Trump.

La campagne présidentielle de Donald Trump est marquée par un appel plus important qu'aux campagnes précédentes aux démographies habituellement démocrates, notamment les catégories noires, latinos et jeunes[749],[750]. Ses politiques promises incluent des baisses d'impôt, despolitiques protectionnistes[751], une mise en avant desénergies fossiles[752], l'America First[753], ladéportation de masse des immigrés clandestins[751],[754] et un retour en arrière pour les droits des personnestransgenres[751].

La rhétorique toujours plus incendiaire et déshumanisante de Donald Trump combinée à ses liens avec leProjet 2025 fait dire à de nombreux médias, experts et figures politiques majeures queDonald Trump se rapproche de plus en plus d'une forme de fascisme, notamment les médiasPolitico[755] etThe Economist[756], les experts du fascismeRuth Ben-Ghiat[757] etRobert Paxton[758] etTimothy Snyder[759], ou encore la candidate démocrateKamala Harris[760].

Tentative d'assassinat lors d'un meeting à Butler

Article détaillé :Tentative d'assassinat de Donald Trump en juillet 2024.
Donald Trump portant un bandage sur l'oreille à laConvention nationale républicaine de juillet 2024.

Le, lors d'un meeting organisé dans un lieu d'exposition agricole àButler, enPennsylvanie,une personne tire dans la direction de Donald Trump[761]. À18 h 12, alors que son discours a commencé depuis quelques minutes et qu'il tourne la tête, il est blessé à l'oreille droite et évacué par ses équipes de sécurité[762],[763]. Quelques heures après, leFederal Bureau of Investigation (FBI) annonce avoir identifié l'auteur des faits comme étant Thomas Matthew Crooks, un jeune homme de 20 ans originaire deBethel Park, unborough situé à environ 85 kilomètres du lieu des évènements[764],[765]. Ce dernier était armé d'unfusil semi-automatique de typeAR-15[766]. Il est abattu par un tireur d'élite 26 secondes après le premier des huit tirs qu’il a effectués[767]. Dans la foule, sur la trajectoire des tirs, un homme de 50 ans est tué et deux autres personnes sont grièvement blessées. La police a indiqué avoir retrouvé deux engins explosifs dans la voiture du suspect et un troisième à son domicile[768]. Les responsables de la sécurisation du site sont par la suite mis en cause[769]. D'après le FBI, Thomas Matthew Crooks aurait survolé la zone avec un drone deux heures avant l'évènement[770]. Le drone utilisé ainsi que la manette pour guider l'appareil ont été retrouvés dans le véhicule de l'auteur des faits[771]. Le suspect aurait également fait des recherches auparavant sur l'assassinat de John F. Kennedy et plus précisément sur« quelle était la distance à laquelleLee Harvey Oswald était deJohn Fitzgerald Kennedy »[772].

À la suite de cet évènement, les condamnations sont unanimes à travers le monde[773]. Leprésident des États-UnisJoe Biden déclare :« Il n’y a pas de place en Amérique pour ce genre de violence. C’est de la folie ! Et c’est l’une des raisons pour lesquelles nous devons unir ce pays. Nous ne pouvons pas tolérer cela »[774].Emmanuel Macron, leprésident de la République française, souhaite un« prompt rétablissement » à l'ancien président américain.« C’est un drame pour nos démocraties. LaFrance partage le choc et l’indignation du peuple américain » déclare-t-il par la suite[775].

Le, la directrice de l'United States Secret Service (USSS),Kimberly Cheatle démissionne de son poste[776],[777]. Elle reconnaît le« plus important échec opérationnel du Secret Service depuis des décennies » et« assume l’entière responsabilité de ce manquement à la sécurité »[778]. La veille, lors de son audition auCongrès des États-Unis, elle avait pourtant estimée être« la meilleure personne pour diriger le Secret Service à l’heure actuelle »[779].

Tentative d'assassinat au Trump International Golf Club

Article détaillé :Tentative d'assassinat de Donald Trump en septembre 2024.

Le, alors que Donald Trump joue au golf sur son parcours du Trump International Golf Club deWest Palm Beach, non loin de sa résidence deMar-a-Lago, enFloride, une fusillade entre lesSecret Service et une personne a lieu à proximité (entre 300 et 500 mètres) de l'ancien président américain[780],[781]. LeFBI évoque dans un communiqué une possible« tentative d'assassinat »[782],[783]. Un fusil de typeAK-47, avec une lunette, une caméraGoPro, deux sacs à dos et du matériel d’enregistrement vidéo sont retrouvés dans un buisson[784],[785]. Le suspect, un homme de 58 ans, alors au volant d'un véhiculeNissan noir, identifié comme Ryan Wesley Routh et domicilié àHawaï, est arrêté[786],[787].

Seconde présidence

Article principal :Seconde présidence de Donald Trump.

Le, il est élu47e président des États-Unis en remportant 312 grands électeurs contre 226 pour son opposanteKamala Harris[788],[789]. LeParti républicain reprend également la majorité auSénat et garde sa majorité à laChambre des représentants, si bien que leCongrès est désormais entièrement dévoué à la présidence Trump[790],[791].

Investiture

Article détaillé :Seconde investiture de Donald Trump.
Seconde prestation de serment de Donald Trump, avec à ses côtés laBible offerte par sa mère lorsqu’il était enfant et celle d’Abraham Lincoln (,rotonde du Capitole des États-Unis).

Tenue le troisième lundi de janvier, l'investiture a lieu le même jour que leMartin Luther King Day, il s'agit de la troisième fois dans l'histoire américaine que cela se produit, la première fois est lors de la seconde investiture de Bill Clinton en 1997 et la deuxième lors de laseconde investiture de Barack Obama en 2013[792]. Le vendredi, leprésident élu Trump annonce que la cérémonie d'investiture sera déplacée à l'intérieur en raison du temps glacial et aura lieu dans larotonde du Capitole, une première depuis la seconde investiture publique de Ronald Reagan le[793].

Nominations

À la suite de son élection, il commence à dévoiler les premiers noms qui composeront sa future administration[794],[795]. Il décide notamment de nommer l'entrepreneurElon Musk à la tête d'un nouveau ministère, ledépartement de l'Efficacité gouvernementale (enanglais :Department of Government Efficiency, ou DOGE), au même titre que l'homme d'affairesVivek Ramaswamy[796],[797]. Il nomme aussi le vaccino-sceptique et complotisteRobert Francis Kennedy Jr. au ministère de la santé[798], ou le vétéran devenu présentateur deFox NewsPete Hegseth secrétaire à la défense[797].

Licenciements massifs d'employés fédéraux et gels des embauches

Trump a mis en place un gel des embauches dans l'ensemble de l'administration fédérale, ordonné l'arrêt du télétravail des employés fédéraux sous 30 jours[799],[800], et créé une nouvelle classification d'employés fédéraux (Schedule Policy/Career) permettant de licencier plus facilement les fonctionnaires occupant des postes liés aux politiques publiques. Trump a initié des licenciements massifs[799], décrits par beaucoup comme sans précédent ou en violation du droit fédéral[801], dans le but de remplacer ces employés par des personnes plus en accord avec son programme[802]. Trump a ordonné la fin des projets dediversité, équité et inclusion (DEI) au sein du gouvernement fédéral et mis en congé les employés des bureaux DEI. Il a abrogé le décret 11246, qui imposait des pratiques d'action positive et de non-discrimination aux entreprises sous contrat fédéral[803],[804].

Politique intérieure

Trump a nommé des lobbyistes du pétrole, du gaz et de la chimie à l'EPA pour annuler les réglementations climatiques et les contrôles de pollution[805]. Il a déclaré une urgence énergétique nationale, permettant la suspension de certaines réglementations environnementales et l'accélération des approbations de projets énergétiques, tout en s'opposant au développement des sources d'énergie renouvelable[806],[807]. Trump a de nouveau retiré les États-Unis de l'Accord de Paris sur le climat[808].

L'administration a adopté une approche agressive contre ce qu'elle qualifie « d'idéologie du genre » : elle a mis fin à la possibilité de changer le genre indiqué sur les passeports, arrêté le financement des soins d'affirmation de genre pour les personnes de moins de 19 ans, interdit aux personnes trans de servir dans l'armée et empêché les femmes trans de participer aux initiatives sportives féminines financées par le gouvernement fédéral[809].

Donald Trump se lance dans une« campagne de restauration des noms qui honorent la grandeur américaine »[810]. Cette campagne vise au changement de nom dugolfe du Mexique en golfe d'Amérique[811],[812], du mont Denali enmont McKinley[813] et du Fort Liberty enFort Bragg[814],[815]. En, il signe undécret présidentiel qui officialise l'anglais comme étant la langue officielle des États-Unis. Cette langue, qui est la plus parlée au sein de la population depuis le début de l'histoire américaine, ne servait depuis l'indépendance du pays que de langue nationalede facto sans statut officiel[816].

Immigration

Dès ses premiers jours au pouvoir, Trump a mis en œuvre des mesures de grande envergure ciblant l'immigration illégale. Il a ordonné aux agents de la patrouille frontalière d'expulser sommairement les migrants traversant illégalement la frontière, désactivé l'applicationCBP One qui était utilisée pour planifier les passages frontaliers, réactivé le programme « Rester au Mexique », désigné les cartels comme groupes terroristes, déployé des troupes à la frontière sud et relancé la construction d'unmur frontalier au sud[817].

Trump a lancé une opération de déportation massive. L'Immigration and Customs Enforcement (ICE) a opéré plus de 1000 arrestations quotidiennes une semaine après son entrée en fonction, avec un objectif de 1200 à 1500 arrestations par jour. Trump a initialement concentré les opérations de déportation dans lesvilles sanctuaires et contre les individus figurant sur des « listes cibles » de criminels établies avant son administration. Les expulsions ont également été accélérées pour les demandeurs d'asile ne répondant pas aux critères[818]. Trump a également suspendu le traitement des demandes de réfugiés pendant quatre mois et révoqué le statut de libération conditionnelle des migrants entrés aux États-Unis via CBP One et le programme de libération conditionnelle humanitaire « parole »[819].

Trump a tenté de supprimer ledroit du sol en signant un décret pour ce faire, mais une juge duMaryland, qui conteste la constitutionnalité de ce décret, en a bloqué la promulgation[820]. Le, Trump promulgue la loi Laken Riley, qui impose la détention automatique des migrants en situation irrégulière ayant été inculpés ou condamnés pour crimes[821].

Politique étrangère

Article connexe :Expansionnisme américain sous Donald Trump.

La politique étrangère du second mandat de Trump a été qualifiée d'impérialiste et d'expansionniste[822],[823]. Il a exprimé l'intention d'annexer leCanada, leGroenland, lecanal de Panama[824],[825], et labande de Gaza, dont ildéclare vouloir faire une« Côte d'Azur duMoyen-Orient » en la vidant de sa population dePalestiniens[826].

Trump a ordonné au gouvernement américain de cesser de financer et de collaborer avec l'OMS et a annoncé l'intention des États-Unis dequitter formellement l'OMS[827]. Trump et son administration entrante ont contribué à négocier un cessez-le-feu entre Israël et le Hamas aux côtés de l'administration Biden, mis en place un jour avant l'investiture de Trump[828]. Trump et Elon Musk ont démantelé la majeure partie de l'USAID (l'agence chargée des aides du soutien audéveloppement économique et de l'aide humanitaire dans le monde)[829].

Nombre d'observateurs jugent que la position de Trump sur l'Europe est à l'origine d'un bouleversement géopolitique qui remet en question l'unité de l'Occident et l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord face notamment à l'invasion de l'Ukraine par la Russie. La nouvelle orientation américaine sur le conflit et sur l'alliance transatlantique est source de confusion pour l'Europe, qui reçoit des signaux selon lesquels elle ne peut compter comme auparavant pour sa défense sur une puissance considérée comme allié historique. Un moment souvent présenté comme historique a lieu lorsque Trump et Vance ont une conduite humiliante avecVolodymyr Zelensky venudiscuter dans le Bureau ovale le[830]. Dans une certaine mesure, Trump se rapproche dugouvernement russe, il suspend toute aide militaire et de renseignement à Kiev en l'attente de la signature d'un accord sur les terres rares du sous-sol ukrainien, projette de recevoirVladimir Poutine, de mettre fin aux sanctions contre laRussie, à son exclusion de l'ex-G8, et interrompt les opérations decybersécurité la visant[831]. Il avance que la présence américaine pour l'exploitation des ressources du sous-sol ukrainien serait une garantie de sécurité. Zelensky est réticent[832]. Affirmant que la Russie est plus disposée à la paix, Trump mène des pourparlers de cessez-le-feu auxquels l'Ukraine est finalement représentée enArabie saoudite le, alors que Zelensky et l'Europe craignaient des négociations russo-américaines. Cependant, c'est la Russie qui ne valide pas l'accord[833].

Certains affirment que le souhait du président américain est d'obtenir leprix Nobel de la Paix, auquel il confirme être officiellement candidat pour 2025[834].

Positions politiques

Articles détaillés :Positions politiques de Donald Trump etDonald Trump et le fascisme.

Donald Trump se définit comme un « républicain conservateur »[835], mais les commentateurs et les enquêtes d'opinion indiquent qu'il est beaucoup moins perçu comme un véritable conservateur (true conservative) ou comme une personne religieuse (religious) que les autres personnalités du Parti républicain[836]. Il indique être« totalement flexible sur beaucoup, beaucoup de sujets », et revendique sa capacité à être« imprévisible », ce qui le conduit régulièrement à changer de position[837].

Il est parfois jugé sans« aucun équivalent dans l’histoire politique américaine »[838],[839],[840] ou« inclassable »[841]. Depuis l'assaut du Capitole de 2021 et en particulier depuis sacampagne présidentielle en 2024, de nombreux experts du fascisme l'identifient au fascisme de par lanostalgie d'un âge d'or fantasmé et perdu[842], la déshumanisation raciste[843], leculte de la personnalité[844], la violence antidémocratique[845], la répudiation de l'État de droit[846]etc. qu'il déploit ; d'autres experts nient cependant ces affirmations, sans contester le danger qu'il représente pour la démocratie américaine[842],[847].

Soufian Alsabbagh le présente comme« un candidatnativiste-nationaliste »[253]. L'historienSerge Berstein estime qu'il« pratique lepopulisme de la même manière que les partis populistes européens »[848] ; Soufian Alsabbagh, s'il souligne ses différences avec ces derniers, estime que son électorat partage des« motivations profondes » avec les leurs[253].

Lors de sa campagne électorale de 2016, les idées qu’expriment Trump et son programme recueillent les faveurs et le soutien de mouvements américains d'extrême droiteultranationalistes,racistes etsuprémacistes blancs, y compris leKu Klux Klan[849], qui se reconnaissent dans le discours de Trump et considèrent qu'il exprime leurs idées[850] et leParti nazi américain[851]. Pour certains universitaires commeRobert Kagan ouPierre de Senarclens, il incarne unnouveau fascisme[852]. Alain Tourigny le qualifie sur le sitelenouvelliste.ca d'imprévisible « maître de la planète », risquant de mener celle-ci à latroisième guerre mondiale[853]. L'association américaineSouthern Poverty Law Center (SPLC), reconnue pour ses travaux d'étude et de surveillance des courants extrémistes, considère que« Trump est un héros pour l'Alt-right », la « droite alternative » regroupant différentes franges du mouvement conservateur américain partageant certaines idéologies, principalementracialistes ou racistes comme lenationalisme blanc ou le suprémacisme, et qui toutes sont hostiles à l'immigration, aumulticulturalisme et au « politiquement correct », autant de thèmes utilisés par Trump pour sa campagne[854].

Donald Trump lors d'un dîner duParti républicain àDes Moines (Iowa) en 2015.

Certains analystes le comparent en 2016 àGeorge Wallace, candidat indépendant à la présidence en1968[855],[856],[253], ou àAndrew Jackson, septième président des États-Unis[857],[858],[859]. Le seul président américain auquel Donald Trump se réfère dans son discours d'investiture par le Parti républicain estRichard Nixon à travers la reprise de son slogan « Law and order » (« La loi et l'ordre »), ce qui est perçu comme un changement important dans un parti habitué à se référer essentiellement àRonald Reagan, et vise à mettre l'accent sur le thème de lasécurité nationale[266],[860]. Bien qu'ayant des idées souvent opposées à celles de Ronald Reagan, tous deux sont parfois comparés car ils ont en commun de venir du milieu du spectacle, de ne pas être pris au sérieux par les élites et les médias lorsqu'ils lancent leur candidature pour la Maison-Blanche, et de susciter une grande incompréhension avec leur élection[861],[862].

Il reprend par ailleurs desthéories du complot sur des sujets divers[863],[864],[865] :Conspiracy Watch le propose comme l’héritier direct du courant pseudo-conservateur analysé par l’historienRichard Hofstadter dans sa célèbre conférence sur le style paranoïaque dans la politique américaine, à savoir un courant extrémiste de droite qui n'avait plus été représenté à ce niveau depuis la candidature deBarry Goldwater en1964[866]. Certains observateurs voient dans sa propension aumensonge une manifestation de l'ère post-vérité, dans la lignée de la campagne duréférendum sur l'appartenance du Royaume-Uni à l'Union européenne[867],[868],[869] ; le concept d'« hyperbole vraie », issu de son ouvrageThe Art of the Deal (1987) et né de la plume de sonprête-plumeTony Schwarz (en), est considéré comme une théorisation de cette technique qu'il a mise en pratique tout au long de sa carrière d'homme d'affaires[870],[871].

Ses biographes soulignent l'importance dans sa formation idéologique des sermons deNorman Vincent Peale à l'église Collégiale Marble de New York, qu'il n'a jamais cessé de fréquenter depuis son enfance, en particulier dans son rapport à la vérité et à la réussite matérielle[872].

Le, après l'annulation de l'arrêtRoe v. Wade garantissant depuis près d'un demi siècle le droit àl'avortement au niveaufédéral, Donald Trump salue dans un communiqué la décision de laCour suprême et indique qu'il s'agit là de la « volonté deDieu »[873].

Le, relate le journalPolitico[874], après avoir, à tort, affirmé qu'il serait possible de voler jusqu'à 950 dollars (855 euros) de marchandises en Californie sans conséquences, Donald Trump, candidat à la présidentielle américaine qui se tiendra 36 jours plus tard, au micro lors d'un meeting politique àErie enPennsylvanie affirme qu'autoriser une journée de violences policières pourrait permettre de mettre fin à la criminalité« immédiatement ». Il a appelé à« une bonne journée de violence, de la vraie violence, bien comme il faut », des représailles policières, pour d'éradiquer le crime« immédiatement »[875]. Selon leWashington Post[876], il a ensuite réduit cette période à une heure, mais en précisant« une heure difficile. Et je veux dire vraiment dure. La nouvelle se répandra. Et cela s'arrêtera immédiatement ». Des commentateurs notent que cet appel à une violence illégale et débridée évoque l'amendement imaginé par les scénaristes des films d'horreur de la sérieAmerican Nightmare (une loi qui, dans la série, permet qu'une fois par an, durant une période de douze heures dite « La Purge », tout crime deviendrait autorisé)[877].

Synthèse des résultats électoraux

Primaires

AnnéePartiVote populaireDéléguésPrincipal
adversaire
Rang
VoixPourcentage
2000RéformeNC(abandon)
2016Républicain14 015 993
44.9  / 100
1441  / 2472
Ted Cruz1er
202018 159 752
94.0  / 100
2549  / 2550
William Weld
202417 015 756
76.4  / 100
2268  / 2374
Nikki Haley

Élections générales

AnnéePartiFonction
briguée
ColistierVote populaireGrands
électeurs
Principal
adversaire
Rang
VoixPourcentage
2016RépublicainPrésidentMike Pence62 984 828
46.1  / 100
304  / 538
Hillary Clinton1er
202074 216 722
46.9  / 100
232  / 538
Joe Biden2e
2024J. D. Vance77 302 580
49.8  / 100
312  / 538
Kamala Harris1er

Vie privée

En 1977, il épouseIvana Zelníčková, athlète et mannequintchécoslovaque, Selon certaines sources, il la rencontre à Montréal en 1976 dans une réception privée à l'occasion desJeux olympiques[878],[879]. S'en suivront 9 mois de fréquentation avec de nombreux allers-retours entre New York et Montréal[879]. Selon d'autres sources, Donald Trump la remarque dans le bar Maxwell's Plum[880], où elle fait partie d'une délégation de mannequins venues à New York de Montréal pour faire la promotion des Jeux olympiques[881]. Ils ont ensemble trois enfants :Donald Trump, Jr. (né le),Ivanka Trump (née le) etEric Trump (né le). Ils divorcent en 1992. Donald Jr, Ivanka et Eric occupent tous trois des postes dans l'empire financier de leur père ; Ivanka et Eric quittent par la suite ces fonctions pour travailler à la Maison-Blanche.

Donald Trump dément la rumeur d'une relation qu'il aurait entretenue avecCarla Bruni en 1991[882], rumeur qu'il aurait lui-même lancée[883].

Le, il épouse l'actrice et présentatrice de télévisionMarla Maples, avec qui il a une fille,Tiffany (née le). Le couple se sépare en 1997[884] et divorce le.

Depuis le, il est marié àMelania Knauss, mannequin originaire deSlovénie avec laquelle il a un fils,Barron Trump (né le).

Par son fils Donald, Jr. et son épouse Vanessa Haydon Trump, il est grand-père de Kai Madison Trump (née le), Donald John Trump III (né le), Tristan Milos Trump (né le), Spencer Frederick Trump (né le) et Chloe Sophia Trump (née le). Sa filleIvanka et l'époux de cette dernière,Jared Kushner, lui ont donné trois autres petits-enfants : Arabella Rose Kushner (née le), Joseph Frederick Kushner (né le) et Theodore James Kushner (né le)[885]. Son fils Eric et la femme de celui-ci, Lara Yunaska, lui ont également donné deux autres petits-enfants : Eric « Luke » Trump (né en) et Carolina Dorothy Trump (née en)[886].

Donald Trump est unprotestantpresbytérien jusqu'en, et déclare aller à laCollégiale Marble de New York, une des plus anciennes églises des États-Unis, située au cœur de Manhattan, où il a été influencé par son pasteurNorman Vincent Peale, apôtre de lapensée positive[887]. LapasteureévangéliquePaula White est sa conseillère spirituelle personnelle et a dirigé un comité consultatif évangélique à la Maison-Blanche[888]. En 2021, après son premier mandat, il se déclarechrétien n'appartenant à aucune dénomination[889].

Arbre généalogique de lafamille Trump
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Frederick
Trump

(1869-1918)
 

Elizabeth
Christ

(1880-1966)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Henry
Trump
(1899-1900)
 

William
Walter
 

Elizabeth
Trump
(1904-1961)
 

Fred
Trump, Sr.

(1905-1999)
 

Mary
MacLeod

(1912-2000)
 

John
Trump

(1907-1985)
 

Elora
Sauerbrun
(1913-1983)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

David
Desmond, Sr.
 

Maryanne
Trump

(1937-2023)
 

John
Barry
(????-2000)
 

Fred
Trump, Jr.

(1938-1981)
 

Linda
Clapp
 

James
Grau
 

Elizabeth
Trump
(1942)
 

Ivana
Zelníčková

(1949-2022)
 

Donald
Trump

(1946)
 

Marla
Maples

(1963)
 

Melania
Knauss

(1970)
 
 

Blaine
Beard

(1957)
 

Robert
Trump

(1948-2020)
 

Ann
Pallan
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

David
Desmond, Jr.
(1960)
 

Fritz
Trump
(1963)
 

Lisa
Lorant
 

Mary
Trump

(1965)
 

Donald
Trump, Jr.

(1977)
 

Vanessa
Haydon

(1977)
 

Jared
Kushner

(1981)
 

Ivanka
Trump

(1981)
 

Eric
Trump

(1984)
 

Lara
Yunaska

(1982)
 

Tiffany
Trump

(1993)
 

Michael
Boulos
 

Barron
Trump

(2006)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Apparitions culturelles

Très médiatisé aux États-Unis dès lesannées 1980, Trump est depuis cette époque l'une des figures de laculture populaire américaine.

Lise Wajeman, professeure delittérature comparée, relève peu après l'élection présidentielle de 2016 qu'« en quelques mois s’est forgée sur la Toile une sorte d’anthologie éparse des avatars de Trump dans les séries, films, bandes dessinées, romans », en particulier chez ses opposants, ce qui répond selon elle« à une triple nécessité : comprendre d’où le phénomène vient, imaginer où il va, essayer de le combattre »[890].

En 2016 et 2017 s'ouvre aux États-Unis un débat par articles interposés, entre universitaires spécialistes de philosophie etpsychologie politique, examinant si Donald Trump, qui avait financé sa propre campagne (magnificence) possède ou non la « magnanimité » (conscience de ses grandes possibilités), vertu par excellence des gouvernants selon Aristote :Le magnificent M. Trump[891] ;La magnificence et la possible magnanimité de Trump au deuxième abord[892] ;Deux ou trois choses que Trump devrait apprendre d'Aristote[893]. Dans ce dernier article, Peter F. Cannavò clôt le débat en soulignant qu'il ne faut pas confondre conscience de ses propres possibilités, éventuellement grandes, et arrogance.

Les projets, l'action et la manière particulière de s'exprimer de Donald Trump ont causé l'apparition du vocable « trumpisation », qui a donné « trumpiser » et « trumpisme »[894]. Il a été prononcé pour la première fois en public par l'ancien Premier ministre français Manuel Valls ; ce néologisme a été accepté par le Conseil de la langue en Suède (trumpifiering)[895].

En 2017, le chercheur Vazrick Nazari décerne à un papillon le nom deNeopalpa donaldtrumpi en référence à la chevelure de Donald Trump[896],[897].

Livres

Fiction

Dans le romanAmerican Psycho deBret Easton Ellis (1991), Donald Trump est cité à plusieurs reprises par le protagonistePatrick Bateman, qui le considère comme un modèle.A posteriori, des œuvres de fictionuchroniques oudystopiques sont présentées comme des anticipations de l'élection de Donald Trump, telles queLe Complot contre l'Amérique dePhilip Roth (2004) ouCela ne peut arriver ici deSinclair Lewis (1935) ; un rapprochement est également fait avec le personnage deLex Luthor, ennemi deSuperman élu président des États-Unis[898],[899],[900]. DansLa Parabole des talents, roman dystopique d'Octavia E. Butler publié en 1998, le sénateur Andrew Steele, dont les partisans s'assemblent afin de brûler des sorcières — ce qu'il condamne« dans un langage si doux que ses partisans étaient libres d’entendre ce qu’ils voulaient entendre » —, utilise le slogan de Ronald Reagan repris par Donald Trump, « Make America Great Again »[890],[901]. En 2017,La Maison Golden deSalman Rushdie se moque du président sous le personnage de Gary « Green » Gwynplaine[902]. Dans le romanL'Anomalie d'Hervé Le Tellier (prix Goncourt 2020), Donald Trump est un personnage qu'on devine, et ayant une part importante dans l'histoire, bien que son nom réel ne soit jamais cité (il est toujours désigné comme « le président américain »). Il est décrit dans le roman, comme présentant« une forte ressemblance avec un gros mérou à perruque blonde »[903],[904].

Journalisme

En, le journalisteMichael Wolff publie le livreLe Feu et la Fureur : Trump à la Maison-Blanche, qui décrit la première année de présidence de Trump comme particulièrement chaotique. Des témoignages rapportés par l'auteur mettent en doute les capacités intellectuelles de Trump ainsi que son aptitude à gouverner, voire sa santé mentale. Les ventes de l'ouvrage et son audience médiatique relancent le débat sur la question de l'équilibre mental de Donald Trump, ce qui provoque cette réaction de sa part sur Twitter :« En fait, tout au long de ma vie, mes deux plus grands atouts ont été ma stabilité mentale et le fait d'être, genre, vraiment intelligent […]. Je suis passé d'homme d'affaires TRÈS prospère à grande vedette de la télévision… à président des États-Unis (dès mon premier essai). Je pense qu’on peut me qualifier non pas de malin, mais de génie… et un génie très équilibré en plus ! »[905].

En, le journaliste politiqueBob Woodward publie le livrePeur, qui décrit une Maison-Blanche en proie au chaos et un président incompétent et dépassé par sa tâche, auquel son entourage va jusqu'à subtiliser des documents à signer pour l'empêcher de prendre des décisions dangereuses[906],[907].

Cinéma

Donald Trump a effectué diverscaméos dans des œuvrescinématographiques, la plupart du temps en jouant son propre rôle[908] :

Joe Dante, réalisateur de la sérieGremlins, s'en est inspiré pour créer le personnage Daniel Clamp dans le filmGremlins 2: La nouvelles génération[916].Bob Gale, scénariste de la sérieRetour vers le futur, dit aussi s'être inspiré de lui pour imaginer le personnage de Biff Tannen, devenu milliardaire dans un futur alternatif dansRetour vers le futur 2[917]. DansWonder Woman 1984, le rôle du super-vilainMaxwell Lord est aussi inspiré de Donald Trump[918].

En, pendant la campagne présidentielle, le cinéasteMichael Moore sort un film intituléMichael Moore in TrumpLand qui, contrairement à ce que le titre peut laisser entendre, n'est pas une attaque frontale contre Donald Trump, mais un plaidoyer pourHillary Clinton[919],[920],[921]. En 2018, dans un documentaire intituléFahrenheit 11/9, il compare Donald Trump àAdolf Hitler[922].

Télévision

Donald Trump a effectué de nombreuxcaméos dans des œuvrestélévisuelles, en général dans son propre rôle[908] :

En 1992, dans l'épisodeL'Ange de la sérieCode Quantum, Donald Trump enfant (joué par Justin Thomson) est transporté avec ses parents par Sam Beckett devenu chauffeur de taxi. En 1995, il fait une apparition dans son propre rôle, à la fin du téléfilmPour l'amour du risque,Secrets de famille (Hart to Hart : Secrets of the Hart). En 2000, un épisode desSimpsons,Les Simpson dans 30 ans, prédit son élection comme président des États-Unis :Lisa Simpson lui succède en 2030 après un bilan catastrophique[933],[934]. Interrogé durant la campagne des primaires républicaines de 2016, le scénaristeDan Greaney indique que cette idée« est apparue logiquement comme la dernière étape avant de toucher le fond. Elle a été exploitée parce qu'elle était cohérente avec la vision d'une Amérique devenue folle »[935].

Le,Ben Harper etJack Johnson ont joué avecToots and the Maytals dansSaturday Night Live (saison 29, épisode 16), un épisode avec Donald Trump comme invité principal[931],[936].

L'étoile de Donald Trump auWalk of Fame.

La 2 327e étoile lui est décernée en 2007 sur leHollywood Walk of Fame, au titre de son émission detéléréalitéThe Apprentice[124]. Pour dénoncer la proposition de Trump d'édifier une muraille à lafrontière mexicaine, l'artiste urbain Plastic Jesus se sert de cette étoile pour une œuvre éphémère, en l'entourant d'un mur fait de planches de bois, haut d'une quinzaine de centimètres et surmonté de fils barbelés[937].

Sa candidature à l'élection présidentielle de 2016 puis sa victoire en font un personnage très récurrent des sketches lors desshows télévisés américains[938]. Parmi ces nombreuses caricatures, celle duSaturday Night Live portée parAlec Baldwin dans le rôle de Donald Trump rencontre un grand succès aux États-Unis et dans le reste du monde[939],[940], au point que les sketches sur Donald Trump et son entourage (notammentKellyanne Conway[941],Sean Spicer[942],Steve Bannon[943] et le président russe « ami » de TrumpVladimir Poutine[944]) font partie des chroniques phares de l'émission[945]. Donald Trump lui-même a vertement critiqué l'émission à plusieurs reprises surTwitter[946].

L'acteurBrendan Gleeson est le premier acteur à incarner Donald Trump dans une fiction. En, le réalisateurBilly Ray adapte les mémoires deJames Comey, directeur du FBI dans lamini-sérieThe Comey Rule[947].

Musique

En 1990, le groupeThe Time sort une chanson intituléeDonald Trump (Black Version), écrite parPrince[948].

En2011, le rappeur américainMac Miller sort le morceauDonald Trump dans lequel il glorifie le mode de vie de l'homme d'affaires[949].

Le, quelques heures avant le dernierdébat télévisé entreHillary Clinton et le milliardaire, lerappeurEminem diffuse avec ses comptesTwitter etFacebook une chanson intituléeCampaign Speech (Discours de campagne) dans laquelle il s'en prend violemment au candidat républicain[950],[951],[952].

En 2019, la chanteuse de countryLinda Ronstadt compare Donald Trump àAdolf Hitler[953].

Peinture

Donald Trump montrant au Premier ministre israélienBenyamin Netanyahou une peinture inspirée de satentative d’assassinat manquée, accrochée en à l'emplacement du portrait officiel de Barack Obama à la Maison-Blanche[954].

En 1989, le peintreRalph Wolfe Cowan (en) réalise un portrait de Donald Trump sur commande de ce dernier ; le tableau est exposé à la bibliothèque deMar-a-Lago, le club privé de Donald Trump àPalm Beach, en Floride[955].

Lors des primaires républicaines de 2016, l'artisteIllma Gore (de) partage sur un réseau social un portrait de Donald Trump intitulé comme son slogan de campagneMake America Great Again, qui le représente nu avec unmicropénis, ce qui vaut à l'artiste des menaces de poursuites judiciaires de la part de l'équipe de Donald Trump[956],[957] et d'être agressée physiquement par un supporteur du candidat républicain[958]. Le tableau est ensuite exposé dans une prestigieuse galerie londonienne[959].

À la même période, l'artiste Mindaugas Bonanu réalise une peinture sur le mur d'un petit restaurant deVilnius en Lituanie, qui représente un baiser entre Donald Trump et Vladimir Poutine sur le modèle du célèbrebaiser entre Léonid Brejnev et Erich Honecker ; l'œuvre bénéficie d'une large communicationvirale[960].

Jeu vidéo

DansDonald Trump's Real Estate Tycoon, unjeu de simulation économique despéculation immobilière sorti en, le but du joueur est de devenir plus riche que Donald Trump. Ce dernier a prêté sa voix aux deux versions du jeu[961].

Dans le jeuMr. President! deGame Developer X, sorti surSteam en, le joueur incarne ungarde du corps devant sauver le candidat à la présidence Ronald Rump de multiples tentatives d'assassinat ; le jeuparodie à l'occasion les thèmes et les événements de la campagne électorale de Trump pour l'élection de 2016[962],[963].

Bande dessinée

Enmars 2018, les Éditions i publient l'album parodiqueTrump en 100 tweets, dessiné parFrançois Boucq (grand prix de la ville d'Angoulême 1998) et scénarisé par Vanessa Duhamel[964],[965]. En2017, lecartoonisteGarry Trudeau (prix Pulitzer 1975) publie une compilation de ses dessins dans la série satiriqueDoonesbury, dont Trump est un personnage récurrent[966]. En 2017,Art Spiegelman (prix Pulitzer 1992) dessine pourResist!, magazine graphique d'opposition à Donald Trump créé par son épouseFrançoise Mouly et sa filleNadja[967].

Distinctions et hommages

Décorations étrangères

Distinctions

Statues

Après soninvestiture en 2017, lemusée de cireMadame Tussauds deLondres lui dédie une statue. La statue est actualisée ironiquement après sa défaite lors de l'élection présidentielle de 2020 avec une version du président en tenue de golf[980].

Aumusée Grévin, autre musée de cire àParis, unestatue a été inaugurée le, soit un jour avant soninvestiture[981]. ÀBerlin, le musée Tussauds choisit de représenter le la figure en cire de Donald Trump dans unebenne à ordures[982].

Toponymes

L'entrée de la colonie deRamat Trump (en).

Lacolonie israélienne deRamat Trump (en), fondée en 2019 auGolan occupé, est nommée ainsi en son honneur, en remerciement de la reconnaissance par les États-Unis de l'annexion israélienne partielle en 1981 du territoire syrien[983].

Publications

Notes et références

Notes

  1. a etbPrononciation enanglais américainretranscrite selon lanorme API.
  2. Schwartz,nègre de Trump pour les besoins deThe Art of the Deal, dit avoir rédigé du début à la fin ce livre, dont l'homme d'affaires n'aurait pas écrit une ligne. Ses propos sont confirmés par l'éditeur, qui déclare :« Trump n'a même pas écrit une carte postale pour nous ». Trump fournit quant à lui des réponses contradictoires :« Tony a été très bon. Il était le co-auteur. […] Il n'a pas écrit le livre, c'estmoi qui ai écrit le livre. J'ai écrit le livre. C'était mon livre » :cf.Donald Trump’s Ghostwriter Tells All,The New Yorker, 25 juillet 2016.
  3. Shithole — littéralement« trou à merde », ce qui a donné la traduction française« pays de merde » — est une expression vulgaire de l'argot anglo-américain, qui désigne au sens propre deslatrines, et au sens figuré un endroit sale ou repoussant. Le terme peut être traduit sous une forme policée par« taudis »,« porcherie » ou« trou à rats ».Cf.«Pays de merde» : les médias en mal de la bonne traduction,Libération, 12 janvier 2018.

Références

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  22. (en) SteveEder et DavePhilipps, « Donald Trump's Draft Deferments: Four for College, One for Bad Feet »,The New York Times,‎1er août 2016(ISSN 0362-4331,lire en ligne, consulté le) :

    « Because of his medical exemption, his lottery number would have been irrelevant, said Richard Flahavan, a spokesman for the Selective Service System, who has worked for the agency for three decades… Still, Mr. Trump, in the interviews, said he believed he could have been subject to another physical exam to check on his bone spurs, had his draft number been called. 'I would have had to go eventually because that was a minor medical…' But the publicly available draft records of Mr. Trump include the letters 'DISQ' next to his exam date, with no notation indicating that he would be re-examined. »

    .
  23. (en) « In Step With: Donald Trump »,Parade Magazine,‎(lire en ligne[archive du]).
  24. (en) Donald J.Trump et TonySchwartz,Trump: The Art of the Deal,Warner Books, (1re éd. First published 1987), 372 p.(ISBN 978-0-446-35325-0),p. 46

    « He called his company Elizabeth Trump & Son … »

    .
  25. (en) « Donald Trump's Bond Hill connection »,The Enquirer,‎.
  26. (en) GwendaBlair,Donald Trump : Master Apprenticel,Simon & Schuster,, 303 p.(ISBN 978-0-7432-7510-1,lire en ligne),p. 23.
  27. (en) DavidDunlap, « 1973: Meet Donald Trump »,The New York Times,‎(lire en ligne[archive du]) :

    « Trump Management… was also to allow the league to present qualified applicants for every fifth vacancy… Trump himself said he was satisfied that the agreement did not 'compel the Trump Organization to accept persons on welfare as tenants unless as qualified as any other tenant.' »

    .
  28. (en) MichaelKranish et RobertO'Harrow, « Inside the government's racial bias case against Donald Trump's company, and how he fought it »,The Washington Post,‎(lire en ligne) :

    « Civil rights groups in the city viewed the Trump company as just one example of a nationwide problem of housing discrimination. But targeting the Trumps provided a chance to have an impact, saidEleanor Holmes Norton, who was then chairwoman of the city's human rights commission. 'They were big names.' »

    .
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