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Diocèse d'Angoulême

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Diocèse d'Angoulême
Image illustrative de l’article Diocèse d'Angoulême
Cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême.
Informations générales
PaysDrapeau de la FranceFrance
Rite liturgiqueromain
Type de juridictiondiocèse
CréationIIIe siècle
AffiliationÉglise catholique en France
Province ecclésiastiquePoitiers
(Bordeaux avant 2002)
SiègeAngoulême
Titulaire actuelHervé Gosselin, depuis 2015
Langue(s) liturgique(s)français
Calendriergrégorien
Statistiques
Paroisses29
Prêtres54
Religieux10
Religieuses87
TerritoireCharente
Population totale352 015(2022)
Population catholique269 000(2022)
Pourcentage de catholiques76,4 %
Site website officiel
Image illustrative de l’article Diocèse d'Angoulême
Localisation du diocèse
(en) Notice surwww.catholic-hierarchy.org
modifier 

Lediocèse d'Angoulême (enlatin:Dioecesis Engolismensis) est undiocèse de l'Église catholique de France. Le siège épiscopal est àAngoulême.

Érigé dès leIIIe siècle, il est le diocèse historique de l'Angoumois, et recouvre actuellement le territoire du département de laCharente.

Jusqu'en2002, il estsuffragant de l'archidiocèse de Bordeaux et relève de laprovince ecclésiastique du même nom. Depuis lors, il est suffragant de l'archidiocèse de Poitiers et relève de laprovince ecclésiastique de Poitiers qui comprend les diocèses d'Angoulême, deLa Rochelle et Saintes, de Poitiers, deLimoges, et deTulle.

Depuis 2015, l'évêque d'Angoulême estHervé Gosselin.

Histoire

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Les origines : une construction mouvementée

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Le diocèse d’Angoulême aurait été fondé parsaint Ausone auIVe siècle. Les premiers évêques s'entourent de leurpresbyterium, collège composé de prêtres, diacres et de clercs qu'il a ordonné, et qui ont pour mission de travailler à l'évangélisation du peuple de la cité d'Angoulême. En effet, le diocèse se confondait dans ses premiers temps avec le territoire peu étendu de laCivitas Engolismensis, qui évoluera vers le territoire de l’Angoumois. Le diocèse était le premier suffragant de la métropolebordelaise.

À la chute de l'Empire Romain d'Occident, la région subit lesgrandes invasions, et notamment le passage desVandales qui ravagent Angoulême en407. L’Aquitaine est pacifiée par lesWisigoths, et passe sous leur domination en418. Avec l'avènement d'Euric en466, les Wisigoths, adeptes de la versionarianiste du christianisme, lancent des persécutions contre les catholiques et en particulier contre le clergé. Ils détruisent la première cathédrale d'Angoulême et la remplacent par un édifice du culte arien dédié àsaint Saturnin[1], tandis que le siège de l’évêché est laissé vacant parEuric en472.

En508, juste après sa victoire sur les Wisigoths,Clovis prend Angoulême, miraculeusement selonGrégoire de Tours etAdémar de Chabannes. En effet, sur les conseils de son chapelain Lupicin, il fit porter en procession sous les remparts de la ville des reliques attribuées àJésus-Christ en croix. Les murailles de la ville se seraient écroulées devant lui et des pierres du rempart l'auraient blessé à une jambe. En rappel de cette prise, une jambe sculptée figure sur une tour de la2e enceinte datant duXIIe siècle. Clovis nomma son chapelain Lupicin nouvel évêque de la ville et fit abattre l'ancienne cathédrale wisigothe. Lupicin, qui resta 30 ans sur le siège épiscopal, en fit rebâtir une nouvelle, consacrée àsaint Pierre. Seuls subsistent de cet édifice primitif deux chapiteaux sculptés en marbre qui encadrent la baie d'axe dans l'abside de l'actuelle cathédrale.

Grotte de Saint-Cybard à Angoulême

AuVIe siècle,saint Cybard est resté à vivre en reclus, dans une grotte située sous le rempart nord d'Angoulême, en prolongement du Jardin vert, où il soignait les pauvres et accomplissait des miracles,. Ceci entraîne à sa mort la création de la première abbaye, l’abbaye Saint-Cybard, alors que la création de la première abbaye de femmes, l’abbaye Saint-Ausone, s'est faite ultérieurement auXe siècle, sur la tombe d'Ausone. Saint Cybard est lesaint patron du diocèse.

Au début duVIIIe siècle, l'Aquitaine est l'objet de troubles avec les raids des Arabes. Ainsi en732,Eudes d'Aquitaine doit appelerCharles Martel pour arrêter les Arabes qui ravagentSaintes et Angoulême en se dirigeant vers le lieu de labataille de Poitiers.

À partir du milieu duIXe siècle et pendant plus d'un siècle, Angoulême subit lesraids et les pillages des Vikings, notamment en848, Angoulême parHasting et en863.

L'épanouissement de l'Église d'Angoulême

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Grimoard de Mussidan, évêque d'Angoulême (991-1018) fit édifier une nouvelle cathédrale en 991, l'ancienne ayant été incendiée sans doute par les Vikings. Abbé deBrantôme enPérigord, il utilisa les revenus de l'abbaye pour financer la construction de la cathédrale. Elle fut consacrée en1015, mais ne dura qu'un siècle, ses dimensions étant trop réduites.

La région, notamment du côté saintongeais connaît un élan de construction de monuments religieux dans un contexte d'épanouissement de l'art roman saintongeais dont il reste de nombreux témoins aujourd'hui.

En 1110, l'évêque Girard II fait ordonner la construction des maisons épiscopales et de lacathédrale actuelle. L'évêque se révéla être un artiste de premier plan. Il dirigea les travaux de sa cathédrale sous la surveillance du chanoine Itier Archambaud, mort en 1125. Ceux-ci commencèrent vers1110 et l'église fut consacrée en1128. Sous l'impulsion de Girard II, quelques abbayes et églises voient aussi le jour.

AuxXIVe et XVe siècles, la région est sujette à des tensions entre laFrance et l'Angleterre dans le cadre de laguerre de Cent Ans, et affectée par les désastres de lapeste noire. Cette situation a eu pour conséquences lafortification et/ou la destruction de certains édifices religieux, un déclin démographique, puis l'émigration de populations poitevines et angevines, faisant disparaître lalangue occitane au profit dusaintongeais moderne. En effet, à la veille dutraité de Brétigny les abbayes, prieurés, couvent ou églises étaient appauvris ou ruinés[2].

Sous l'épiscopat d'Octavien de Saint-Gelais, le diocèse est mis en lumière à la cour deCharles VIII grâce aux talents de romancier et de poète de son évêque. Il entreprit la restauration de la cathédrale et l'agrandissement du palais épiscopal. Évêque d'importance auprès du roi, il a fait partie de ceux qui ont accompagné sa dépouille versSaint-Denis en 1498. À la fin de son épiscopat, Angoulême fut l'objet d'une grave épidémie, propulsant ses habitants à la campagne. À sa suite, beaucoup d'évêques d'Angoulême auront une proximité avec le pouvoir royal. En effet, lecomté d'Angoulême a donné à la France la dynastie desValois-Angoulême, avec l'accession au trône deFrançois 1er en 1515. Avec le concordat de 1516, les rois de France peuvent user de leur pouvoir sur le choix des évêques.

L'époque des réformes

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LesGuerres de Religion affectent fortement la région, dont une partie de la population est devenue protestante. Beaucoup d'édifices religieux sont mutilés pendant cette période, dont la cathédrale qui en a souffert en 1562 et 1568 où elle fut canonnée par l'armée protestante conduit par l'amiral de Coligny et le clocher sud détruit. Après la guerre, de 1625 à 1634, la cathédrale est relevée grâce au chanoine Jean Mesneau qui y consacre plus de trente mille livres et retrouve les titres perdus pendant la guerre[3]. C'est malheureusement aussi à cette époque qu'Angoulême perd son privilège d'Université, à la suite d'une longuequerelle entre leconseil municipal de l'époque et l'évêqueAntoine de La Rochefoucauld, sur fond de rivalité entreLa Sorbonne et lacompagnie de Jésus[4].

L'évêqueFrançois de Péricard à partir de 1647 réforma en profondeur l'organisation de son diocèse, et notamment en réduisant les prétentions de son chapitre. Celui-ci se montre favorable jusqu'en1668 aux thèses dujansénisme. Pour son diocèse, il créa des hôpitaux à Angoulême et àLa Rochefoucauld, et posa les fondations de son séminaire auquel il légua ses immeubles, meubles et sa bibliothèque.

En1720,Cyprien-Gabriel Bénard de Résay chasse lesjésuites du collège d'Angoulême.

Le diocèse connaît avecJoseph-Amédée de Broglie (1754-1784) une réforme du nombre de ses archiprêtrés, créant ceux deVars,Torsac,Saint-Claud etChâteauneuf. Celui-ci avait reçu un diocèse déshérité dont l'administration a été laissée en quasi déshérence depuis des années par des évêques âgés et s'adjoint pour l'administrer commevicaire général l'énergiqueFrançois Bareau de Girac, qui prend possession de l'évêché à sa placepar procuration et avec lequel il publie de nombreuxmandements et instructions pastorales.

À la veille de laRévolution, le diocèse compte 17archiprêtrés regroupant 205 paroisses. S'y ajoutent différents chapitres, abbayes et couvents[5].

La Révolution, période de bouleversements

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Son successeur,Philippe-François d'Albignac de Castelnau est consacré le 18 juillet 1784, et doit faire face aux événements de la Révolution. Relativement à la réunion desÉtats Généraux du 5 mai 1789 àVersailles, il réunit en mars le clergé sous sa présidence à a cathédrale d'Angoulême. L'évêque s'opposa au vote par tête, ainsi qu'à laconstitution civile du clergé, impliquant sa renonciation au titre d'évêque d'Angoulême. Les autorités civiles lui choisirent un remplaçant en la personne dePierre-Mathieu Joubert, qui le remplaça le 8 mars 1791.

La Révolution a beaucoup fait évoluer le territoire diocésain. En effet, alors qu'il ne comptait auparavant que 205 paroisses, sa surface est doublée, afin de faire correspondre l'étendue administrative du diocèse avec l'administration du département. Les hommes et les femmes qui ont prononcé des vœux doivent prêter serment à laconstitution civile du clergé. Comme dans d'autres départements, ceux qui refusent sont enfermés oudéportés. D'autres émigrent[6].

Lors de la réorganisation territoriale des diocèses à laRévolution Française, ont été agrégées au diocèse d'Angoulême 44 paroisses dudiocèse de Limoges, 38 de celui dePérigueux, 68 de celui dePoitiers et plus de 100 de l’anciendiocèse de Saintes. Mais celle-ci a pour conséquence aussi de transformer la cathédrale entemple de la raison à partir de 1793 : des « Fêtes de la Raison » y sont organisés le 10 frimaire an II du fait de la « déchristianisation » amorcée par le gouvernement révolutionnaire. L'évêquePierre-Mathieu Joubert se sécularise, le culte ayant été aboli. Le diocèse ne connaît pas d'évêque jusqu'en 1802.

Au Concordat de 1801, lediocèse de Périgueux fut uni à celui d’Angoulême.Dominique Lacombe en devient l'évêque en 1802. Celui-ci, bien qu'il eût refusé de rétracter le serment qu'il avait prêté à laconstitution civile du clergé, reçut de Rome ses bulles, sur l'insistance particulière du gouvernement français. L'évêque d'Angoulême soutint l'empereur contre lepape en toute circonstance, et ne laissa échapper aucune occasion de le célébrer. À la secondeRestauration, de nombreuses plaintes s'élevèrent contre lui ; il refusa obstinément de donner sa démission. Le diocèse de Périgueux devient à nouveau autonome en 1822. Depuis, le territoire du diocèse se confond avec le département de la Charente.

Un diocèse de missions

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De 1852 à 1879, sous l'égide d'Antoine-Charles Cousseau, évêque d'Angoulême, la cathédrale est restaurée par l'architectePaul Abadie, modifiant sensiblement l'intérieur et l'extérieur de l'édifice. Aussi, il fit construire les églisesSaint-Ausone, Saint-Cybard et Saint-Martial. De même, son successeurAlexandre-Léopold Sébaux ayant conscience d'avoir à charge un diocèse peu religieux fit des tournées pastorales et prédications, mais surtout le recrutement des vocations ecclésiastiques, et l'instruction chrétienne, pour laquelle il fonda des écoles libres, notamment le collège de Saint-Paul (1878), et des œuvres ouvrières et charitables.

AuXXe siècle, le diocèse connaît les réformes importantes deVatican II sous l'épicopat de Kérautret. Le nombre deprêtres diminue, consécutivement à la baisse de lapratique religieuse en France. AuXXIe siècle, le diocèse ne connaît alors plus d'ordination de prêtres.

Le diocèse estsuffragant de l'archidiocèse de Bordeaux et relève de laprovince ecclésiastique du même nom jusqu'au décret du 8 décembre2002, où laCongrégation pour les évêques élève le diocèse de Poitiers au rang d'archidiocèse métropolitain et fait du diocèse d'Angoulême un de ses suffragants.

Géographie

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Article détaillé :Géographie de la Charente.

Le territoire du diocèse d'Angoulême se confond avec celui dudépartement de la Charente, soit une superficie de 5956 km².

Le diocèse est frontalier de ceux dePoitiers (Vienne etDeux-Sèvres),La Rochelle et Saintes (Charente-Maritime etSaint-Pierre-et-Miquelon),Limoges (Creuse etHaute-Vienne) etPérigueux-et-Sarlat (Dordogne).

Organisation territoriale

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Le diocèse est divisé en cinqdoyennés, eux-mêmes divisés en 22paroisses[7] :

  • DoyennéGrand Angoulême : avec les paroisses : des Saints Apôtres ; Soyaux – Vallée de l’Échelle ; La Visitation sur Boëme ; Notre-Dame des Sources ; Saint Amant – Gond – Champniers ; Sainte Joséphine Bakhita ; Saint Roch – Sacré Cœur ; Saint Cybard sur Charente et Nouère.
  • DoyennéOuest Charente : avec les paroisses : Pays de Jarnac ; St-Martin en val de cognac ; Châteauneuf – Segonzac ; Notre Dame des Borderies
  • DoyennéEst Charente : avec les paroisses : Notre Dame des Terres en Haute-Charente ; Saint augustin en Tardoire et Bandiat ; Confolens – Chabanais – Champagne-Mouton
  • DoyennéNord Charente : avec les paroisses : Ruffec ; St Léger de Mans ; Villefagnan ; Aigre
  • DoyennéSud Charente : avec les paroisses : Barbezieux – Baignes – Barret ; Aubeterre – Chalais – Brossac ; Montmoreau – Blanzac – Villebois-Lavalette.

Cathédrale

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Lacathédrale Saint-Pierre d'Angoulême est l'église cathédrale du diocèse. Chose peu commune en France, elle estromane, alors que bon nombre de cathédrales sontgothiques.

vue d'ensemble de la cathédrale Saint-Pierre d'Angoulême

Églises

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Article détaillé :Liste des églises de la Charente.

Les églises du diocèse présentent une grande diversité architecturale, en raison de styles et de périodes de construction différentes. Dans le diocèse, de nombreux édifices témoignent de l'épanouissement, auxXIe et XIIe siècles de l'art roman saintongeais, un des grands courants artistiques français de l'art roman. Aussi, de façon plus discrète se distinguent des édifices d'art gothique ou ayant subi des modifications de cette époque, et encore plusnéoclassiques. AuXIXe siècle, quelques églises sont élevées de manière assez académique afin de remplacer des édifices jugés vétustes. L'église monolithe Saint-Jean àAubeterre-sur-Dronne date duVIIe siècle.

  • Ancienne église monolithe Saint-Jean à Aubeterre-sur-Dronne
    Ancienne église monolithe Saint-Jean à Aubeterre-sur-Dronne
  • Église Saint-Cybard de Dignac
    Église Saint-Cybard de Dignac
  • Église Saint-Cybard de Plassac-Rouffiac
    Église Saint-Cybard de Plassac-Rouffiac
  • Église Saint-Jacques-de-l'Houmeau à Angoulême
    Église Saint-Jacques-de-l'Houmeau à Angoulême
  • Église Saint-Ausone à Angoulême
    Église Saint-Ausone à Angoulême
  • Église Saint-Antoine à Cognac
    Église Saint-Antoine à Cognac

Abbayes et communautés

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Article détaillé :Liste des abbayes de la Charente.

La Charente a compté treizeabbayes parmi lesquelles sept abbayesbénédictines, quatre abbayesaugustiniennes, et deux abbayescisterciennes. Une a été fondée auXXe siècle : l'abbaye bénédictine de Maumont, sur la commune deJuignac.

  • Abbaye Saint-Étienne de Bassac
    Abbaye Saint-Étienne de Bassac
  • Abbaye Saint-Amant de Boixe
    Abbaye Saint-Amant de Boixe
  • Abbaye Notre-Dame de la Couronne
    Abbaye Notre-Dame de la Couronne
  • Abbaye Sainte-Marie de Maumont
    Abbaye Sainte-Marie de Maumont

Communautés actuelles

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Le diocèse d'Angoulême accueille différentes communautés religieuses[8].

Communautés devie religieuseapostolique

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Communautés devie religieusecontemplative

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Associations de fidèles

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  • Petites Servantes de l’Amour Miséricordieux, àGenac
  • Fraternité Trinitaire d’Angoulême
  • Communauté de Gennesaret

Évêques

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Article détaillé :Liste des évêques d'Angoulême.

À ce jour, il est estimé à 100 ou 101 évêques à s'être succédé comme évêques d'Angoulême[9].

Évêques originaires du diocèse d'Angoulême

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Statistiques

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En 2018, sur une population de 354000 personnes le diocèse comptait 270000 baptisés, correspondant à 76.3% du total.

annéepopulationprêtresdiacresreligieuxparroisses
baptiséetotale%nombreséculiersréguliersnombre de baptisés par prêtrehommesfemmes
1959300.000311.13796,4297260371.01048507362
1970320.000331.01696,7266232341.20340540363
1980234.000343.00068,2209171381.119143364430
1990280.500340.77082,3172146261.630429362374
1999270.000342.00078,9130109212.076733272149
2000240.000339.62870,7123106171.951729284148
2001240.000339.62870,711498162.105727258149
2002240.000339.62870,711499152.105726250149
2003240.000339.62870,711496182.105729249139
2004240.000339.62870,711093172.181728234125
2006231.000339.60068,010686202.179838210101
2012264.000352.11075,08666203.069113017288
2015276.000367.50075,17561143.680111714447
2018270.000354.00076,36148134.426121813245

Notes et références

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  1. Pierre Dubourg-Noves, « Anciennes cathédrales » dansVia Patrimoine,Angoulême : Monuments disparus, Prahecq, éditions Patrimoines médias,, 268 p.(ISBN 2-910137-87-2),p. 116.
  2. « 1346-1380 : la grande pitié des diocèses de Saintes et d'Angoulême (...) - Histoire Passion - Saintonge Aunis Angoumois », surwww.histoirepassion.eu(consulté le)
  3. Jean-HippolyteMichon (préf. Bruno Sépulchre),Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p.(lire en ligne),p. 104, 278, 288 :

    « page 104 : "On lui doit la restauration laborieuse et intelligente de la cathédrale ruinée par les protestants", page 278 : "le doyen Jean Mesneau restaura le monument, rétablit les voûtes",page 288 : "Et lors je auray dépensé et déboursé la somme de trente mille livres vallant dix mille escus et employé audit bâtiment avec grand peine el labeur" »

  4. Prosper Boissonnade, Jean Gustave Bernard,Histoire du Collège et du Lycée d'Angoulême (1516-1895), Angoulême, Coquemard,, 472 p., page 69 à 71
  5. abbé J.P.G. Blanchet,Le clergé Charentais pendant la révolution, Despujols,(lire en ligne), page 1 à 5
  6. Abbé J.P.G. Blanchet,Le clergé Charentais pendant la révolution, Angoulême, Despujols,(lire en ligne)
  7. « Diocèse d'Angoulême, Eglise catholique de Charente », surangouleme.catholique.fr(consulté le)
  8. « Communautés de vie - Diocèse d'Angoulême, Eglise catholique de Charente », surangouleme.catholique.fr(consulté le)
  9. « Évêché », surjm.ouvrard.pagesperso-orange.fr(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles liés

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Liens externes

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v ·m
Circonscriptions catholiques en France
À la fin de l’Ancien Régime
Les noms en italique désignent les évêchés non-français en 1791
Province d'Aix
Province d'Albi
Province d'Arles
Province d'Auch
Province deBesançon
Province deBordeaux
Province deBourges
Province deCambrai
Province d'Embrun
Province deLyon
Province deNarbonne
Province deParis
Province deReims
Province deRouen
Province deSens
Province deToulouse
Province deTours
Province deVienne
Évêchés dépendants de sièges étrangers
Sièges immédiats
Archidiocèse de Gênes
Archidiocèse de Mayence
Archidiocèse de Pise
Archidiocèse de Trèves
Autres évêchés extérieurs à la France en 1791
Province d'Avignon
Province deTarentaise
1791-1801 (Constitution civile du clergé)
1801-1822 (Concordat de 1801)
Les diocèses dont le nom est inscrit en italique se sont trouvés hors de France après le démantèlement de l'empire en 1814 et 1815.
Province d'Aix
Province deBesançon
Province deBordeaux
Province deBourges
Province deLyon
Province deMalines
Province deParis
Province deRouen
Province deToulouse
Province deTours
1822-2002 (Prévues par le concordat de 1817,en 1883)
Les diocèses dont le nom est suivi d'une astérisque sont ceux qui ont été rétablis en 1822
Province d'Aix, Arles et Embrun
Province d'Albi (Castres et Lavaur)*
Province d'Alger (1866-1962)
Province desAntilles et de la Guyane (1967)
Province d'Auch*
Province d'Avignon
Province deBesançon
Province deBordeaux
Province deBourges
Province deCambrai
Province deChambéry
Province deLyon et Vienne
Province deNouméa (1966)
Province dePapeete (1966)
Province deParis
Province deReims*
Province deRennes (Dol et Saint-Malo) (érigée en 1859)
Province deRouen
Province deSens (-Auxerre)*
Province deToulouse et Narbonne
Province deTours
Sièges immédiats
Depuis la réforme de 2002
Les diocèses dont le nom est inscrit en gras sont des archevêchés non-métropolitains
Province des Antilles et de la Guyane (Saint-Pierre et Fort-de-France)
Province deBesançon
Province deBordeaux (-Bazas)
Province deClermont
Province deDijon
Province deLille
Province deLyon
Province deMarseille
Province deMontpellier (-Lodève-Béziers-Agde-Saint-Pons-de-Thomières)
Province deNouméa
Province dePapeete
Province deParis
Province dePoitiers
Province deReims
Province deRennes (-Dol-Saint-Malo)
Province deRouen
Province deToulouse (-Saint-Bertrand-de-Comminges-Rieux)
Province deTours
Sièges immédiats
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