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Die (Drôme)

44° 45′ 13″ nord, 5° 22′ 13″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirDie.

Die
Die (Drôme)
Vue générale depuis l'est.
Blason de Die
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionAuvergne-Rhône-Alpes
DépartementDrôme
(sous-préfecture)
ArrondissementDie
(chef-lieu)
IntercommunalitéCommunauté de communes du Diois
(siège)
Maire
Mandat
Isabelle Bizouard (DVG)
2020-2026
Code postal26150
Code commune26113
Démographie
GentiléDiois
Population
municipale
4 796 hab.(2022en évolution de +4,6 % par rapport à 2016)
Densité84 hab./km2
Géographie
Coordonnées44° 45′ 13″ nord, 5° 22′ 13″ est
AltitudeMin. 367 m
Max. 1 841 
m
Superficie57,28 km2
TypeBourg rural
Unité urbaineDie
(ville isolée)
Aire d'attractionDie
(commune-centre)
Élections
DépartementalesCanton du Diois
(bureau centralisateur)
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Die
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Die
Géolocalisation sur la carte :Drôme
Voir sur la carte topographique de la Drôme
Die
Géolocalisation sur la carte :Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Die
Liens
Site webmairie-die.fr
modifier 

Die est unecommune française,sous-préfecture dudépartement de laDrôme enrégionAuvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitantssont dénommés les Diois.

Géographie

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Localisation

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La commune de Die se trouve à environ (60 km) à l'est deValence,préfecture dudépartement.
Le territoire de la commune de Die fait partie duparc naturel régional du Vercors et duPays Diois (communauté de 52 communes englobant 4 cantons).

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sontBarsac,Chamaloc,Laval-d'Aix,Marignac-en-Diois,Ponet-et-Saint-Auban,Romeyer etSolaure en Diois.

Carte
Les limites communales de Die et celles de ses communes adjacentes.
Rose des ventsMarignac-en-Diois
Ponet-et-Saint-Auban
Marignac-en-Diois
Chamaloc
RomeyerRose des vents
Ponet-et-Saint-Auban
Barsac
NLaval-d'Aix
O   Die (Drôme)   E
S
BarsacSolaure en Diois
(anciennementAix-en-Diois)
Solaure en Diois
(anciennementMolières-Glandaz)
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Relief et géologie

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Dent de Die.

Die se trouve au pied dumassif du Vercors au bord de larivière de la Drôme.

Die et savallée sont dominées par lamontagne de Glandasse à 2 041 mètres, barrière rocheuse massive et raide composant l'extrémité méridionale duVercors.

Sites particuliers[1] :

  • Col de Barsac
  • Col de Beaufayn
  • Col de Beauvoisin
  • Col de Cologne
  • Col de Cour
  • Col de l'Abbaye
  • Col de la Tour
  • Col de Ménil
  • Col des Chapelets
  • Col de Villard
  • Col du Lion
  • Col Fauchard
  • Combe Grimaud
  • l'Aguille (915 m)
  • Montagne de Baise
  • Montagne de Beaufayn
  • Montagne de Bret
  • Mont Chabraret (784 m)
  • Pas de Bret
  • Pas de Damiane
  • Pas de l'Aiguille
  • Pas de la Dame
  • Pas de la Perdrix
  • Pas de la Roche
  • Pas de la Trappe
  • Pas de Sagatte
  • Pas de Tripet
  • Pas de Truche
  • Pas du Corbeau
  • Pas du Loup
  • Pas du Renard
  • Pas Lovas
  • Pic de beauvoisin (876 m)
  • Pierre des Sacrifices
  • Roche de Marignac
  • Rocher Barbet
  • Serre de Côte Belle
  • Serre des Bœufs
  • Serre des Pins

Géologie

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La plate-forme urgonienne de la montagne de Glandasse (dontle Pestel) est un site géologique remarquable de1 970,37 hectares, qui se trouve sur les communes deChâtillon-en-Diois (aux lieux-ditsMontagne du Glandasse etle Pestel), Die,Laval-d'Aix,Romeyer,Treschenu-Creyers etChichilianne. En 2014, elle a été classée « trois étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique de Die.

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat d'Auvergne-Rhône-Alpes etClimat de la Drôme.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[9]. En 2020, le climat prédominant est classé Csa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud et sec[10]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[11] et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[12]. Elle est en outre dans lazone H2d au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[13],[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 980 mm, avec8,6 jours de précipitations en janvier et5,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 939,1 mm[15],[16]. La température maximale relevée sur cette station est de40,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de−18 °C, atteinte le[Note 1].

Statistiques 1991-2020 et records station DIE (26)- alt : 384 m, lat : 44°46'03"N, lon : 5°20'36"E
Records établis sur la période du
1er janvier 1990 au
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)−1,7−1,80,93,87,811,213,112,99,66,62,2−15,3
Température moyenne (°C)3,44,37,810,814,818,821,32116,712,87,43,711,9
Température maximale moyenne (°C)8,410,314,617,821,926,329,429,123,918,912,68,518,5
Record de froid (°C)
date du record
−16,1
11.01.10
−17,3
05.02.12
−13,3
01.03.05
−7,2
08.04.21
−2,8
05.05.1991
2
10.06.05
4,3
17.07.00
2,2
31.08.1995
−0,3
29.09.1993
−5,1
23.10.07
−11,3
23.11.1999
−18
18.12.10
−18
2010
Record de chaleur (°C)
date du record
21,4
19.01.07
23,1
23.02.20
26,4
24.03.1994
29,6
14.04.24
35,2
22.05.22
40,6
28.06.19
39,4
31.07.17
40,9
12.08.25
34
04.09.16
31,9
07.10.09
23,1
07.11.15
19,3
30.12.21
40,9
2025
Précipitations (mm)70,651,462,182,486,769,461,866,997,598,1114,278939,1
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
71
06.01.1994
51,5
01.02.19
63,5
08.03.1991
95
21.04.1995
78
04.05.1999
57,2
02.06.23
85,5
02.07.1997
71
12.08.08
92,5
23.09.01
85,7
03.10.21
96
05.11.1994
80,5
02.12.03
96
1994
Source :« Fiche 26113003 »[PDF], surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base(consulté le)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
8,4
−1,7
70,6
 
 
 
10,3
−1,8
51,4
 
 
 
14,6
0,9
62,1
 
 
 
17,8
3,8
82,4
 
 
 
21,9
7,8
86,7
 
 
 
26,3
11,2
69,4
 
 
 
29,4
13,1
61,8
 
 
 
29,1
12,9
66,9
 
 
 
23,9
9,6
97,5
 
 
 
18,9
6,6
98,1
 
 
 
12,6
2,2
114,2
 
 
 
8,5
−1
78
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm

Urbanisme

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Typologie

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Au, Die est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17].Elle appartient à l'unité urbaine de Die, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[18],[19]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Die, dont elle est la commune-centre[Note 2],[19]. Cette aire, qui regroupe 27 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (66,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,4 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %),terres arables (8,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7 %), prairies (5,4 %), zones urbanisées (3,5 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,6 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Morphologie urbaine

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Quartiers, hameaux et lieux-dits

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Site Géoportail (carteIGN)[1] :

  • Abbaye de Valcroissant
  • Aurouse
  • Ausson
  • Bachot
  • Bassette
  • Bât de l'Âne
  • Beaufayn
  • Beauregard
  • Beauvoisin
  • Béconne
  • Blaygnières
  • Bret
  • Cabane Josseaume
  • Catori
  • Chandillon
  • Chamarges
  • Chante-Merle
  • Chapelle de Purgnon
  • Chapiat
  • Chastel
  • Chénos
  • Comballon
  • Cornet
  • Coteau de Chambertin
  • Côte Chaude
  • Cougnet
  • Courdeau
  • Croix de Justin
  • Cuémy
  • Ferme Barral
  • Ferme des Pennes
  • Ferme du Perrier
  • Floreaux
  • Grand Justin
  • Graton
  • Haute Vieille
  • Houlettes
  • la Belle Justine
  • la Chapelle
  • la Condamine
  • la Géline
  • Laguère
  • l'Allier
  • la Maladrerie
  • l'Aube
  • le Bâtet
  • l'Écharas
  • le Martouret
  • le Paradis
  • le Parisien
  • le Petit Pestel
  • le Pibous
  • le Plot
  • le Plot
  • le Pont Neuf
  • le Pré de l'Ours
  • les Acacias
  • les Églises
  • les Fondeaux
  • les Fourches
  • les Grimauds
  • les Lacets
  • les Miellons
  • les Oules
  • les Pennes
  • les Perbaux
  • les Plaines
  • les Trois Pierres
  • les Voconces
  • l'Homet
  • l'Hommet
  • Martinelle
  • Mille Aures
  • Montalivet
  • Onglane
  • Petit Chiapat
  • Petit Justin
  • Pille du Pont Rompu
  • Plas
  • Pluviane
  • Ponnavette
  • Pont des Chaînes
  • Pont des Chaînes
  • Pont Saint-Eloi
  • Porte Saint-Marcel
  • Raspail
  • Rivière
  • Ronde
  • Ruinel
  • Sagatte
  • Saint-Laurent
  • Saint-Sornin
  • Sallières
  • Sancol
  • Serre Jean
  • Severat
  • Tartussane
  • Tête Dure
  • Truchard
  • Vaux

Logement

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Projets d'aménagement

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Le plan d'urbanisme en cours prévoit l'agrandissement de la zone d'activité économique de Chamarges, située à l'ouest de la ville[23].

Voies de communications et transports

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Réseau routier

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La commune est accessible par laroute départementale 93 (aussi appelée route des Alpes ou de Gap) ; au nord par laRD 518 depuisVillard-de-Lans,La Chapelle-en-Vercors et le col de Rousset. Côté Gapençais, à l'est, l'accès se fait à partir de laRD 1075 reliant Sisteron à Grenoble (Lus-la-Croix-Haute).

À l'ouest, côtévallée du Rhône, la sortie d'autoroute la plus proche est la sortieSortie 16 Loriol-sur-Drôme de l'A7, àLoriol.

Réseau ferroviaire

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Lagare de Die est située sur laligne de Livron à Aspres-sur-Buëch et est desservie par[24],[25],[26] :

Transports en commun

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La commune est desservie par deux lignes de bus régulières, ainsi que par un service de bus à la demande pour les vallées du Diois, non desservies par une ligne régulière :

Une nouvelle ligne sera prochainement mise en service : Vallée de Quint -Romeyer - Die[24].

La commune dispose d'un héliport (à Chamarges)[1].

Risques naturels et technologiques

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Risques sismiques

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Article connexe :Risque sismique dans la Drôme.

La commune de Die a été touchée par destremblements de terre d’intensité V sur l’échelle MSK en 1835 et en 1963[28].

Autres risques

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Toponymie

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Attestations

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[29] :

Étymologie

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Le nom de la ville dérive du latindea « déesse ». Il s'agit de la déesse gauloiseAndarta.

Die,Diá enoccitanvivaro-alpin, tire son nom du culte de la déessevoconce Andarta qui fut adoptée par les Romains[30].

TranspositionDie en français[31],[32],[33].

Histoire

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Pour un article plus général, voirHistoire de la Drôme.

Préhistoire et protohistoire

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Dès leNéolithique, la présence d'un habitat est attesté, notamment grâce aux fouilles de Chanqueyras[réf. nécessaire].

Une grandestatue-menhir gravée accompagnée de deux petits menhirs, découverts près de la coopérative viticole (actuellement conservés aumusée de Die), attestent également de la présence de populations[34],[35]. Il s'agit de la plus anciennestatue-menhir connue à ce jour en France, et peut-être en Europe[36].

Les vestiges de l'âge duBronze final ont été observés à La Roche de Marignac[37].

Quelques tessons ont été retrouvés à Chandillon[38].

Antiquité : les Gallo-romains

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Article détaillé :Dea Augusta Vocontiorum.
La porte Saint-Marcel.

Une première agglomération semble s'implanter au début de l'époque romaine sur un petit col surplombant la Drôme et le franchissement du vallon de Meyrosse, au carrefour entre la vallée et la voie menant au Trièves. De nombreux indices montrent l'extension de l'urbanisation auIer siècle[réf. nécessaire].

IIe siècle : la ville de Die compte de nombreux monuments. Capitale des Voconces, elle remplaceLuc-en-Diois dans cette fonction. Le titre de colonie (colonia Dea Augusta Vocontiorum) lui est décerné vers la fin duIIe siècle ou dans le courant duIIIe siècle. La ville devient un centre important du culte deCybèle (attesté par septinscriptions tauroboliques)[réf. nécessaire].

Nombreuses découvertes gallo-romaines : statues, bijoux, monnaies, stèles, inscriptions, et troisautels tauroboliques (MH) duIIIe siècle[39].

Entre 285 et 305, alors que l'empire montre des signes de faiblesse, la ville s'entoure d'un rempart qui protège une surface urbanisée de25 hectares. La région est en crise et certains quartiers périphériques sont déjà abandonnés. Le rempart de Die est long de deux kilomètres environ. Lors de l'édification, des fragments de monuments antiques sont réemployés.
La ville avait deux portes principales : la porte Saint-Pierre, démolie en 1891, à l'ouest, et la porte Saint-Marcel à l'est. Lors de la construction du rempart, un arc monumental duIIe siècle a été démonté pierre par pierre pour être réinséré dans la fortification duIVe siècle.
L'axe reliant les deux portes peut être considéré comme étant ledecumanus. Lecardo, s'il existe, n'a pas été localisé.
Une route vers Grenoble passait par le massif de Glandasse (sud du Vercors) pour aboutir à Chichilliane. Sur ce plateau ont été retrouvés les fronts de taille de carrières de pierres extraites puis amenées à Die par le Pas de Chabrinel
[réf. nécessaire].

325 : Le premier évêque attesté estNicaise. Il est le seul représentant des églises desGaules auPremier concile de Nicée. Le diocèse sera réuni en 1276 à celui deValence, puis à nouveau distinct de ce dernier à la fin duXVIIe siècle, avant d'être supprimé à la Révolution[réf. nécessaire].

Du Moyen Âge à la Révolution

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XIe siècle : Die passe sous la suzeraineté desempereurs germaniques puis desévêques de Die[39].

XIIIe siècle : le territoire de Die est composé de six paroisses : Notre Dame, Le Château, Saint-Marcel, Saint-Maurice, Saint-Pierre, Justin (voir ces noms)[29].

XIVe siècle : le territoire de Die intégré au fief du Valentinois est rattaché au royaume de France en 1316[40]. Ce territoire n'est plus composé que d'une paroisse, celle de la cathédrale Notre-Dame. Elle est desservie par deux curés. Elle aura, pendant quelque temps, pour annexe, l'église Saint-Jean, exclusivement destinée aux enfants[29].

XVe siècle : Die est rattachée au domaine royal[39].Le, la ville de Die obtient la confirmation d'anciens privilèges, parlettres patentes du roiLouis XI (1423-1461-1483)[41].1474 (démographie) :236 familles roturières, huit familles nobles, 11 exempts ou francs archers et 33 ecclésiastiques[29].Die est ravagée pendant lesguerres de Religion[39].

1604 : l'Académie protestante de Die est fondée. Elle sera supprimée par le conseil du roi le[42].

1629 (4 mai) : après la bataille duPas de Suse, le roiLouis XIII, accompagné du cardinal deRichelieu, fait étape avec ses troupes à Die. Il lui sera offert, pour l'occasion, deux charges devins de muscat[43].

Avant 1685 : avant la révocation de l'édit de Nantes, les protestants avaient à Die une académie qui, fondée en 1604 par les synodes du Dauphiné, comprenait une chaire de théologie, une d'hébreu, deux de philosophie et une d'éloquence. Il s'y distribuait chaque année un prix connu sous le nom deprix Marquet[29].

1685 : après larévocation de l’Édit de Nantes, lesprotestants qui restent dans le pays se cachent afin de pratiquer leur culte auDésert ; ceux qui sont pris sont condamnés auxgalères. De 1685 à 1787, date de l'édit de tolérance,418 habitants de Die sont ainsi persécutés[44].

1688 (démographie) : 4 100 habitants[29].

Avant 1790, Die était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et le siège d'un évêché, d'un bailliage, d'un gouvernement militaire et d'une maîtrise des eaux et forêts.

  • L'évêché, qui était suffragant de Vienne, fut uni à celui de Valence de 1276 à 1687. Il remontait, suivant la tradition, à saint Martin, qui vivait en 220, mais plus sûrement à saint Nicaise, un des pères du concile de Nicée (325).
  • L'évêque de Die, à qui les empereurs germaniques concédèrent, en 1178 et 1214, tous les droits régaliens dans son diocèse, et qui prenait encore en dernier lieu le titre de comte de Die, était seigneur temporel de la ville épiscopale et des terres de Aouste, Aurel, Bourdeaux, Bezaudun, Chamaloc, la Chapelle-en-Vercors, Châtillon-en-Diois, Crupies, Jonchères, Mirabel, Montmaur, Poyols, Saillans, Saint-Agnan-en-Vercors, Saint-Julien-en-Vercors, Saint-Martin-en-Vercors, les Tonils, et en partie de Vassieux et de la vallée de Valdrôme. Il avait en outre des droits de fief sur la plupart des autres terres de son diocèse.
  • Le chapitre de Die, composé d'un doyen, d'un sacristain et de huit chanoines, était lui-même seigneur de Ausson, Justin, Marignac, Menglon et Romeyer.
  • Il y avait à Die un couvent de dominicains (fondé en 1272), un de cordeliers (fondé en 1278), un d'ursulines (fondé en 1630), un de religieuses hospitalières (fondé en 1739) et un séminaire.
  • La justice-mage, ou bailliage épiscopat de Die, était un tribunal composé d'un vibailli ou juge-mage, d'un lieutenant et d'un procureur fiscal connaissait en première instance des causes de la ville de Die et des autres terres épiscopales et, sur appel, de toutes les causes des terres relevant du fief de l'évêque. On appelait de ce tribunal au présidial de Valence (voir introduction du dictionnaire).
  • Le gouvernement militaire de Die, composé d'un gouverneur et d'un major, ne s'étendait pas au-delà de cette ville.
  • La maîtrise des eaux et forêts de Die, composée d'un maître-particulier, d'un lieutenant, d'un garde-marteau et d'un procureur du Roi, avait pour ressort les élections de Valence et de Montélimar avec la principauté d'Orange (voir introduction du dictionnaire)[29].

Die était en outre une des dix villes du Dauphiné, dont les consuls siégeaient à la tète des députés du tiers état, dans les États généraux de cette province, et faisaient partie de la commission chargée d'assister le Procureur des États dans l'intervalle des sessions[29].

Le mandement de Die ne comprenait autrefois que la partie de la commune de ce nom qui est sur la rive droite de la Drôme, la partie de la rive gauche ayant formé jusqu'auXVe siècle les paroisse et mandement de Justin et, jusqu'à la Révolution, une seigneurie distincte de celle de Die[29].

L'abbaye de Valcroissant

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Dictionnaire topographique du département de la Drôme[45] :

  • 1203 :abbatia Vallis Crescensis (cartulaire des Écouges, 15).
  • 1243 :monasterium Vallis Crescentis (choix de documents, 3).
  • 1486 :Valcreissent (archives de la Drôme, fonds de l'évêché de Die).
  • 1516 :abbatia Vallis Crescentis in montibus (rôle de décimes).
  • 1576 :l'abbaie de Valcressant (rôle de décimes).
  • 1891 :L'Abbaye, ferme et ruines de la commune de Die.

Ancienne abbaye de l'ordre de Cîteaux (de la dépendance de Bonnevaux) fondée vers 1188. Elle a été ruinée pendant les guerres de Religion mais le titre a subsisté jusqu'à la Révolution. L'abbé de Valcroissant était seigneur temporel du lieu et décimateur dans la paroisse de la Chaudière[45].

De la Révolution à nos jours

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Die auXIXe siècle illustrée parAlexandre Debelle (1805-1897).

En 1790, Die devient le chef-lieu d'un district comprenant les cantons de la Chapelle-en-Vercors, Châtillon-en-Diois, Die, la Motte-Chalancon, Luc-en-Diois, Lus-la-Croix-Haute, Pontaix, Saint-Julien-en-Quint, Saint-Nazaire-le-Désert et Valdrôme. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait le chef-lieu d'un arrondissement, comprenant les cantons de Bourdeaux, la Chapelle-en-Vercors, Châtillon-en-Diois, Crest-Nord, Crest-Sud, Die, la Motte-Chalancon, Luc-en-Diois et Saillans[29].

Le diocèse de Die comprenait avec trois cantons du département de l'Isère, l'arrondissement de Die, moins les communes du canton de Crest-Nord qui sont au couchant des montagnes de la Raye, et la plus grande partie du canton de Crest-Sud, plus le canton de Dieulefit et quelques communes des cantons de Grignan et de Nyons (voir introduction du dictionnaire)[29].

Seconde Guerre mondiale

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La commune va souffrir des exactions allemandes[46].

Histoire récente

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Politique et administration

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La mairie.

Tendances politiques et résultats

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Article connexe :Élections municipales de 2020 dans la Drôme.
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Administration municipale

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Liste des maires

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L'articlehistoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination desmaires de la commune.
Liste des maires successifs[47]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Liste des maires avant 1945
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
17901790Pierre-Michel-François Roman de Fonrosa[48] Elu le 5 mars, démissionne le 15 novembre[49]
17901791Jean-François de Lamorte-Charens[49] Elu le 28 novembre
17911795Victor-André Blanc[50] Elu le 2 décembre, † 10 ventôse An III (28/02/95)[51]
17951800Jean-François Lamorte fils[51] Nommé le 14 ventôse (4/03), décline mais contraint prête serment le 9 messidor An III (27/06/95)
18001801François-René Reboul[52],[53] Nommé par arrêté préfectoral du 28 germinal an VIII (18/04/1800)
18011804Lamorte-Félines fils[52] 22 messidor an IX au 2 fructidor an XII
18041806?  
18061815Calixte Gueymard de Roquebeau[52] nommé en 1806 et suspendu le 26 avril 1815
18151817?  
18171819Jean-Pierre Chevandier[52]  
18191822Étienne Delamorte-Félines[52]  
18221823Louis Long[52]  
18231829François-René Chevandier de Valdrome[52]  
18301832Paul Jean-Pierre Jullien[52]  
18321838Pierre Plan[52]  
18381848Adrien Joubert[52]  
18481849Frédéric Coursange[52] mort en cours de mandat
18491851
(dissolution)
Fortuné Lagier de Vaugelas  
18511852Adrien Joubert[52]  
18531870Émile Laurens[52]  
18701876Ernest Joubert[52]  
1876
(élection ?)
1876Auguste Audriffret[52]  
1876
(élection ?)
1877Ernest Joubert[52]  
18781878Louis Coursange[52]  
1878
(élection ?)
1885Félix Germain[52]  
1885
(élection ?)
1894
(révocation)
Adolphe Ferrier[52]  
1894mai 1896Auguste Barnaud[52]  
mai 18961909Joseph Reynaud[52]Républicain
puisRad.
Conseiller d'État, propriétaire àParis
Conseiller général de Châtillon-en-Diois(1893 → 1924)
Président duconseil général de la Drôme
19091913
(démission)
Auguste Daspres[52]SFIOÉlu à la suite d'une élection municipale partielle
janvier 1914octobre 1918
(démission)
Auguste Simon[52],[54]SFIOMécanicien, ancien premier adjoint
19181922Paul Coursange[52]  
1923mai 1935Amédée Rousset[52]  
mai 1935janvier 1941[55]
(révocation)
Jules Plan[52]Républicain 
janvier 1941septembre 1942
(démission)
Marie Tardif[52]  
septembre 1942juillet 1944[56]
(révocation)
Maurice Vérillon[52],[57] Pharmacien, ancien premier adjoint
Nommé conseiller départemental en 1942
juillet 1944juillet 1944Jules Plan[52]  
 
19451946Charles Lambert[52]  
1946octobre 1947Élie Brochier[52]  
octobre 1947janvier 1974
(démission)
Maurice Vérillon[52],[57]SFIOpuisPSPharmacien
Sénateur de la Drôme(1959 → 1980)
Conseiller général de Die(1949 → 1979)
mars 1974mars 1989Marcel Bonniot[52],[58]PSInstituteur
Suppléant du députéRodolphe Pesce(1978 → 1986)
mars 1989juin 1995Jean-Pierre Rambaud[52]PCFInstituteur et directeur d'école
Conseiller général de Die(1979 → 1992 et 1998 → 2004)
juin 1995mars 2008Isabelle Bizouard[52]PS(app.)Chargée de mission en développement local
Adjointe au maire(1989 → 1995)
Conseillère générale de Die(1992 → 1998)
Conseillère régionale deRhône-Alpes(1998 → 2004)
mars 2008avril 2014Georges BerginiatDVD-UMP[59]Ancien directeur d'ESAT
Vice-président de laCC du Diois(2011 → 2014)
avril 2014juillet 2020Gilbert TrémoletMoDem[60]Cadre bancaire retraité, ancien premier adjoint
Vice-président de laCC du Diois
juillet 2020en cours
(au 12 décembre 2020)
Isabelle Bizouard[61]DVGChargée de mission
2e vice-présidente de laCC du Diois(2020 → )

Rattachements administratifs et électoraux

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Politique environnementale

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Finances locales

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Jumelages

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La ville de Die est jumelée avec cinq villes[62] :

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[64].

En 2022, la commune comptait 4 796 habitants[Note 3], en évolution de +4,6 % par rapport à 2016 (Drôme : +2,64 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
3 2513 9783 4213 5093 5553 9003 9243 8653 928
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
3 9123 8743 7623 8763 8413 7033 8233 7293 681
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
3 6383 6513 7973 2323 3043 2413 1753 1843 326
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200520062010
3 5464 0484 0623 9924 2304 4514 3764 3874 357
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
201520202022------
4 5764 7704 796------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puisInsee à partir de 2006[66].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

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Plusieurs services publics sont présents sur la commune[67] :

  • La commune étant chef-lieu d'arrondissement, elle dispose d'un hôtel desous-préfecture.
  • D'autres administrations et établissements publics sont représentés :gare SNCF, Hôtel des impôts,La Poste, la gendarmerie.
  • Elle est également le siège de lacommunauté de communes du Diois, dont les bureaux sont en centre-ville.

La Maison de services au public du Diois regroupe plusieurs services (Caf, Msa, Conciliateur de justice, Défenseurs des droits, etc.)[68].

Enseignement

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Les élèves de Die (la commune relève de l'académie de Grenoble) commencent leurs études au groupe scolaire public Chabestan-Sermant, composé d'uneécole maternelle[69](5 classes pour115 enfants) et d'une école élémentaire[70](13 classes pour283 enfants).

L'école primaire privéeNotre-Dame dispose de quatre classes (99 élèves)[71].

La commune dispose d'un collège et d'un lycée[72] - lycée du Diois[73]. Le collège propose une option cirque (unique en France). Le lycée propose une sectionSport-Nature.

Die dispose aussi de deux centre de formations pour adultes : le Greta Viva5 et le CFPPA de Die (centre de formation agricole - singularité : agroécologie)[74].

Santé

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La commune possède un hôpital public[75].

À la suite de la fermeture des services de maternité et de chirurgie de l'hôpital du centre-ville, l'Agence régionale de santé (ARS) prévoit la construction d'un nouvel hôpital sur zone agricole en périphérie[76].

Manifestations culturelles et festivités

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  • janvier : l'association Écologie au Quotidien organise chaque année, fin janvier, les Rencontres de Die et de la Biovallée[77] ;
  • juin : fête de latranshumance Diois-Vercors[78] ;
  • juillet :
    • fête patronale : premier dimanche de juillet[39] ;
    • fête romaine de la Drôme en Pays Diois[79].

Loisirs

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  • Des sentiers de randonnées traversent le secteur de Die : GR 95 et GR 965[1].

Sports

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La commune possède un complexe sportif[39].

Manifestations sportives

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Médias

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Le territoire de la commune se situe dans l'aire de diffusion de plusieurs médias :

  • Presse écrite
    • Le Dauphiné libéré, quotidien régional qui consacre, chaque jour, y compris ledimanche, dans son édition de « La vallée de la Drôme » un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
    • L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
    • Drôme Hebdo (ancienPeuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
    • Journal du Diois et de la Drôme.
  • Presse audio-visuelle

Culte

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Culte catholique

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L'église Notre-Dame (ancienne cathédrale) et la communauté catholique de Die sont rattachées à laparoisse Saint-Marcel en Diois, laquelle couvre 37 communes et dépend duDiocèse de Valence[81].

Culte protestant

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Letemple protestant de Die est situé au n°2 de la rue Amédée Rousset. La paroisse est membre de l'Église protestante unie de France[82]. Le bâtiment est inscrit au titre des monuments historiques depuis 1931[83].

Économie

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Champs delavandin, près de Die.
Clairette de Die tradition.

Agriculture

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En 1992 : vignes, lavandes, arbres fruitiers, céréales, bovins, ovins, caprins[39].

  • Produits locaux : vinClairette de Die, fromage Picodon[39].
  • Marchés : les mercredis et samedis matin[84].
  • Foire (en 1992) : le 8 avril, la veille du premier dimanche de juillet, le 2 novembre[39].

La Cave coopérativeClairette de Die est le plus gros employeur duDiois ; elle a adopté le nom de marque « Jaillance »[85].

Commerce

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Industrie

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La commune dispose d'une zone d'activité économique, à l'ouest de la ville, la ZAE de Chamarges[23].

Tourisme

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  • Station climatique d'été[39].
  • Syndicat d'initiative (en 1992)[39].

Die, accrochée dans les années 1960 et 1970 à ses petites industries déclinantes (meuble et chaussure) a raté le tournant historique dutourisme de masse[réf. nécessaire].

Aujourd'hui, Die bénéficie d'un tourisme estival important, populations nordiques et étrangères (Pays-Bas,Belgique) résidant essentiellement dans les campings de la vallée de la Drôme[réf. nécessaire].

Le tourisme hivernal est composé de visiteurs régionaux. Il concerne le ski (championnat de France de ski Handisport), la randonnée en raquettes, les courses de chiens de traîneaux (compétition internationale de l'Alpirush) à la station de ski ducol de Rousset (située dans leMassif du Vercors, à 1 300-1 700 mètres)[réf. nécessaire].

Revenus de la population et fiscalité

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Die souffre de précarité avec 40 % de ses habitants vivant au sein d'un ménage à «bas revenus».

Emploi

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Vestiges des remparts gallo-romains

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Monuments laïcs

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La fontaine de la Comtesse
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Buste de la Comtesse.

Un coin de la place de l’Évêché est appelé « place de la comtesse » ou même « la comtesse », utilisé comme repère dans la ville[89]. Ce nom vient du buste de la comtesseBéatrice de Die, œuvre deJeanne Royannez (contrairement à ce qu’indique le panneau installé par la municipalité sur le mur de l’évêché et qui comporte de nombreuses erreurs[90]), buste exposé en 1887 au salon de l’Union des femmes peintres et sculpteurs[91]. La ville de Die en fait l’acquisition en 1888[92] et le buste de la comtesse est inauguré le 10 août 1888 au cours d’une virée estivale desFélibres et du groupe La Cigale (nom de la Société des Méridionaux de Paris). Sont présents le député-maireMaurice-Louis Faure, président de la Cigale, et le maire de Die,Joseph Reynaud, tous deuxradicaux-socialistes[93]. Le buste en bronze est installé sur une fontaine[89] et sauvé du programme de récupération des métaux non-ferreux pendant laSeconde Guerre mondiale par une personne anonyme[94]. L’époux de la sculptrice,Clovis Hugues, est lui aussi cigalier[95]. Le monument est régulièrement taggé ou vandalisé[96]. Il est à la fois un symboleoccitan et un hommage à une femme, mais cet hommage à une poétesse par une sculptrice est surtout une affaire d’hommes, éloignés des préoccupations des Diois ruraux de l’époque. Cette mise en avant d’une femme de la classe privilégiée est un témoin du rapport que les citoyens entretiennent avec leurs institutions[97]. Elle conduit Kate Fletcher à se poser les questions de qui, quelles valeurs, quelles idées sont ici commémorées, défendues ?[98]

Liste
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Monuments religieux

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Le palais épiscopal s'appuyait sur l'enceinte gallo-romaine, dont la chapelle occupait une tour. Sa construction date desXIe et XIIe siècles. Des traces d'enduits peints (XIIe et XIIIe siècles) subsistent encore[104][source insuffisante].
  • Base de la muraille gallo-romaine en matériaux de réemploi (boulevard du Cagnard).
    Base de la muraille gallo-romaine en matériaux de réemploi (boulevard du Cagnard).
  • Les remparts de Die.
    Les remparts de Die.
  • La porte Saint-Marcel, dernière des trois portes de l'ancienne cité de Die.
    La porte Saint-Marcel, dernière des trois portes de l'ancienne cité de Die.
  • La tour de Purgnon.
    La tour de Purgnon.
  • Le musée de Die.
    Le musée de Die.

Patrimoine culturel

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  • Lemusée de Die et du Diois (musée de France, municipal) abrite des collections archéologiques et historiques remontant auNéolithique. La période gallo-romaine, la plus riche, s'illustre par lesautels tauroboliques, classés au titre des monuments historiques[108]. Sont aussi présentés le Moyen Âge de cette cité épiscopale et les ravages des guerres de Religion[réf. nécessaire].
Le musée se trouve dans un hôtel particulier duXVIIIe siècle dans le centre-ville (ouvert d'avril à octobre)[réf. nécessaire].

Gastronomie

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Patrimoine naturel

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  • Forêts de Ménil[39].
  • Forêts domaniales de Justin[1].
  • Sources de Rays[39].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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En 1891, les armoiries de la ville de Die étaient :De gueules au château surmonté de trois tourelles d'argent[29].

Article détaillé :Armorial des communes de la Drôme.
Apt

Les armes se blasonnent ainsi :De gueules au château de trois tours d'or, maçonné, ouvert et ajouré de sable.[111]

Annexes

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  2. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  3. fiche de la Comane sur le site du SANDRE.
  4. fiche de la Drôme sur le site du SANDRE.
  5. Sandre, « Ruisseau de marignac [V4230660] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sursandre.eaufrance.fr(consulté le).
  6. Sandre, « Ruisseau de beaufayn [V4230540] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sursandre.eaufrance.fr(consulté le).
  7. fiche de la Meyrosse sur le site du SANDRE.
  8. Sandre, « Ruisseau de valcroissant [V4230560] - Cours d'eau selon la version Carthage 2017 », sursandre.eaufrance.fr(consulté le).
  9. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  10. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  11. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
  13. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le).
  14. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  15. « Station Météo-France « Die » - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le).
  16. « Station Météo-France « Die » - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le).
  17. « La grille communale de densité », surle site de l’Insee,(consulté le).
  18. « Unité urbaine 2020 de Die », surinsee.fr(consulté le).
  19. a etbInsee, « Métadonnées de la commune ».
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Die », surinsee.fr(consulté le).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », surinsee.fr,(consulté le).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sursite des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique.(consulté le).
  23. a etbagrandissement de la ZAE de Chamarges.
  24. a etbTransports à Die.
  25. Fiche de la gare sur la SNCF.
  26. Gare de Die.
  27. [1].
  28. Daniel Ratz,Les tremblements de terre en Drôme-Ardèche, Valence : Éditions & Régions, 1998,2-910669-41-6,p. 80.
  29. abcdefghijk etlJ. Brun-Durand,Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale,(lire en ligne), page 124 (Die).
  30. P. Duval,Les Dieux de la Gaule, Paris, Payot, coll. « Petite bibliothèque », 1976,p. 58.
  31. J. Planchon,De Luc à Die : le chassé-croisé des capitales voconces, dansCapitales éphémères (Actes du colloque de Tours, 6-8 mars 2008),25e suppl. à la Rev. Archéo. Du Centre de la France, Tours, 2004,p. 233-245.
  32. A. Longnon,Les noms de lieu de la France : leur origine, leur signification, leurs transformations, E. Champion, Paris, 1920,p. 115.
  33. « Andarta, la déesse guerrière des Voconces », surTerre & Peuple Provence,(consulté le).
  34. Jules Masson Mourey,Images du corps en Méditerranée occidentale : les stèles anthropomorphes néolithiques du sud-est de la France (Vème-IIIème millénaire avant J.-C.), Aix-Marseille Université, Thèse de Doctorat,, 748 p.(lire en ligne),p. 377-378
  35. A. Beeching, J. L. Brochier et J. Vital, « Une exceptionnelle statue-menhir et deux stèles néolithiques entrent au musée de Die (Drôme) »,Archeologia,‎,p. 4.
  36. Jules Masson Mourey, « Corps de pierre néolithiques. Les stèles anthropomorphes du sud-est de la France »,Archéologia,‎,p. 56(lire en ligne)
  37. JeanGasco, « La question actuelle des fortifications de la fin de l'âge du Bronze et du début de l'âge du Fer dans le midi de la France »,Documents d'archéologie méridionale. Protohistoire du Sud de la France,no 32,‎1er janvier 2009,p. 17–32(ISSN 0184-1068,DOI 10.4000/dam.1898,lire en ligne, consulté le).
  38. Arnaud Blin, « Le Néolithique en région Rhône-Alpes - 10 ans de recherches archéologiques (2004 - 2013) »,DRAC Rhônes-Alpes : Bilan scientifique archéologique,‎,p. 69(lire en ligne).
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  40. Aristide Guilbert,Histoire des villes de France, Paris, Furne Perrotin et Fournier, 1845,p. 57
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  52. abcdefghijklmnopqrstuvwxyzaaabacadaeafagah etai[PDF] Marcel Bonniot,Les maires de Die de 1800 à nos jours dansChroniques du Diois, Dea Augusta, n°3, juin 2005, page 11,lire en ligne
  53. Voir biblio : Béranger, 1977, p. 200
  54. Notice SIMON Auguste par Roger Pierre
  55. « À Die, c'est le maire républicain, Jules Plan, qui est limogé et remplacé par son premier adjoint, le pharmacien Maurice Vérillon. »[2]
  56. « Maurice Vérillon, destitué le 6 juillet 1944, restera jusqu'au 8 pour régler les affaires courantes. Bien que rappelé à ses fonctions le 23 juillet, il présente sa démission le 29 pour raisons de santé. »[3]
  57. a etbNotice VÉRILLON Maurice par Gilles Vergnon, version mise en ligne le 21 février 2016, dernière modification le 21 février 2016
  58. « Marcel Bonniot nous a quittés »,Journal du Diois et de la Drôme(consulté le).
  59. « Le maire sortant Georges Berginiat (UMP) [...] a décidé de se maintenir au second tour des élections. »[4]
  60. Résultats élections sur le site de France 3 Rhône-Alpes.
  61. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », surmairesdeladrome.fr.
  62. jumelage
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  64. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
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  66. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
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  109. Décret du 30 décembre 1942 définissant les conditions de contrôle de l'appellation « clairette de Die »,JORF du 27 janvier 1943,p. 248.
  110. Références sur la façon d'orthographier les appellations d'origine
  111. Armorial de France, p. 5201
v ·m
Villes de laDrôme
Les communes de plus de 2 000 habitants
Plus de 60 000 habitantsValence(préfecture)
Plus de 30 000 habitants
Plus de 10 000 habitants
Plus de 5 000 habitants
Plus de 2 000 habitants
v ·m
Isère
Drôme
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