Da Vinci Code (titre original :The Da Vinci Code) est unroman policier deDan Brown, publié en2003, composé de 105 chapitres et composant le deuxième volet de la pentalogie du personnage de fictionRobert Langdon. Le titre de la première édition francophone étaitLe Code de Vinci. Il estadapté au cinéma parRon Howard, en2006.Best-seller, le livre s'est vendu à 86 millions d'exemplaires dans le monde ()[1].
Robert Langdon, unsymbologueaméricain, est entraîné malgré lui, lors d'un voyage àParis, dans l'affaire du meurtre de Jacques Saunière,conservateur auMusée du Louvre. Langdon est soupçonné du meurtre, principalement à cause d’un message que Saunière a écrit sur le sol avant de mourir, s’achevant par la phrase « P.S. Trouver Robert Langdon ». Seule Sophie Neveu, cryptologue et petite-fille de Saunière, croit en l’innocence de l’Américain. Persuadée que le message de son grand-père s'adresse à elle en particulier, Neveu demande à Langdon de l'aider à en comprendre le sens (le message pouvant d'ailleurs leur permettre de comprendre qui est le vrai meurtrier). En retour, elle l'aide à échapper au commissaire Fache, lancé à ses trousses...
Langdon et Neveu découvrent par la suite que Saunière était à la tête duPrieuré de Sion, une ancienne et puissante confrérie, et qu'il a été assassiné par un membre de l'Opus Dei. L'assassin voulait protéger un secret dont le conservateur du Louvre avait connaissance, un secret susceptible d’ébranler les fondements de la foi chrétienne :Jésus de Nazareth aurait eu un enfant avecMarie Madeleine. Touché d’une balle dans le ventre, agonisant, Saunière a eu peur que le secret ne se perde après sa mort, et a donc cherché à le transmettre à sa petite-fille. Pour cela, il a écrit sur le sol un message abscons, espérant qu'elle seule pourrait le comprendre, à condition qu'elle soit aidée par le symbologiste Langdon, qu'il connaissait et en qui il avait confiance (d’où le « Trouver Robert Langdon », qui n’est nullement une accusation contre l'Américain). Il a également choisi de mourir dans une position symbolique rituelle, rappelant celle de l’Homme de Vitruve, deLéonard de Vinci, permettant ainsi à Langdon et à Neveu de comprendre que le secret a un rapport avec le peintre italien : en effet, celui-ci aurait été le chef du Prieuré de Sion et aurait cherché à exprimer à travers ses œuvres, de façon indirecte, ses idées sur la nature de la relation entre Jésus et Marie Madeleine.
Le thème central duDa Vinci Code est la lutte secrète entre les instances dirigeantes de l'Église catholique romaine et lePrieuré de Sion. L'objet de cette lutte est un secret connu des deux organisations, à savoir la paternité du Christ. La divulgation de ce secret menacerait le pouvoir de l'Église et risquerait d'ébranler les fondements de la civilisation occidentale. Soucieuse de conserver son pouvoir, l'Église semble donc chercher à détruire tout détenteur du fameux secret (dont le Prieuré), tandis que les membres du Prieuré luttent pour la préservation de ce même secret, qu'ils se transmettent de génération en génération. Sont par ailleurs évoquées en arrière-plan les deux idées selon lesquelles l'Église Catholique, voulant acquérir et garder le pouvoir, s'est interposée et imposée comme intermédiaire entre l'homme et Dieu, et l'union sexuelle, qui laisse toute la place à l'altérité homme - femme et qui est un moyen privilégié d'entrer en contact direct avec Dieu (voir la scène duHieros Gamos, Union sacrée), est déclarée péché.
Sophie Neveu : la petite-fille de Jacques Saunière, ce qui n'est pas le cas dans le film, où elle est seulement sa protégée, celui-ci lui ayant fait croire qu'il était son grand-père. C'est unecryptographe de la police française, qui a étudié à l'Université de Londres -Royal Holloway. Elle est bilingue (anglais et français). Son petit frère et elle sont les derniers descendants deJésus Christ etMarie-Madeleine
Jacques Saunière : conservateur duMusée du Louvre et Grand-Maître du Prieuré de Sion, assassiné au début du livre
Bézu Fache :commissaire de la police judiciaire française
Sir Leigh Teabing : historienanglais, chevalier de laCouronne, spécialiste duGraal, proche de Langdon, maitre voulant à tout prix le Graal pour révéler le fameux secret du prieuré
Bézu Fache est quant à lui un clin d'œil aux faux-monnayeurs du Bézu qui fondaient de la monnaie àRennes-le-Château.
Ce roman est un phénomène de l'édition au niveau mondial. Il a été vendu à plus de vingt millions d'exemplaires en moins de deux ans, dont plus d'un million et demi enFrance. La majeure partie de l'action se déroule en France puis en Angleterre. Son succès a engendré tout un mouvement économique, notamment avec un lot de livres « décodant » les environnements dans lesquels évoluent les personnages, des circuits touristiques sur les traces de ceux-ci, quantité d'émissions de radio et de télévision, des débats, une moisson d'articles, etc. Certains pensent que le succès du roman s'explique par le fait que c'est un efficace « roman de l'été ».
LeDa Vinci Code a été présenté comme unefiction et non une thèse (malgré la préface du livre disant le contraire). Il peut cependant s'agir d'un procédé littéraire, voire marketing, comparable à celui utilisé parVictor Hugo présentant son romanNotre-Dame de Paris comme une œuvre historique. Brown fait la même chose, en entretenant la confusion, mêlant réalité, vraisemblance et pure invention. De nombreux ouvrages, publiés peu après le roman, ont effectué une analyse complète des théories prétendues dans le roman. NotammentCode Da Vinci : l'enquête, deMarie-France Etchegoin etFrédéric Lenoir[3], etDa Vinci : la grande mystification d'Amy Welborn[4]. L'auteur évangélique Claude Houde rappelle les faits historiques dans son livre,Les mensonges du Da Vinci Code[5]. Ces ouvrages permettent de remettre facilement en cause les prétentions de l'auteur sur sa connaissance « nouvelle » de l'histoire.La communautéchrétienne contredit les allégations de Brown[6],[7],[8],[9],[10],[11],[12],[13],[14].
Selon leDa Vinci Code, la mission du Prieuré de Sion (établissement condamné comme frauduleux par la justice française) serait de protéger la dynastie mérovingienne, qui descendrait directement deJésus le Christ ou Oint etMarie Madeleine (lesÉvangiles mentionnent six femmes du nom de Marie, il s'agit ici deMarie de Magdala, disciple de Jésus qui le reconnut ressuscité près de son tombeau, confondue avec les autres par une tradition séculaire. Ces autres femmes sont notammentla femme “pécheresse” qui oignit de parfum les pieds du sauveur et obtint son pardon,Marie de Béthanie, la sœur deMarthe et deLazare qui oignit la tête et les pieds de Jésus etune autre pécheresse que Jésus sauva de la lapidation).
Au chapitre 60, il affirme que leur enfant était une fille prénommée Sarah (qui signifie "princesse" enhébreu) et que leGraal n'est pasune coupe ayant servi au Christ lors de son dernier repas avec ses apôtres, c'est Marie elle-même. Après la mort de Jésus, sa lignée se serait ensuite mêlée à celle desMérovingiens. LeVatican aurait œuvré pour que l’existence d’une lignée descendant du Christ reste secrète. C’est pour cela qu’il aurait fait assassiner son descendantDagobert II parPépin de Herstal mais la lignée se serait prolongée avec un fils, Sigisbert II.Godefroy de Bouillon, fondateur duPrieuré de Sion, ferait partie de cette lignée. Seul l'assassinat de Dagobert par Pépin de Herstal est avéré historiquement.
Pour justifier l'affirmation de l'union du Christ à une femme, le roman indique que dans le contexte social de l'époque, le célibat après l'âge de vingt ans était inenvisageable, en citant, entre autres, lesManuscrits de la mer Morte. Ces documents relatent l'Ancien Testament tel que le vivait la secte desEsséniens.
L'intrigue repose sur des faits touchant à la religion catholique et notamment à lapapauté, auPrieuré de Sion et à l'Opus Dei[16]. Dan Brown utilise l'histoire de l'Église catholique et celle de l'Opus Dei.L'avertissement ouvrant le livre, placé, du moins dans la version française, avant le terme « Roman » est : « Toutes les descriptions de monuments, d'œuvres d'art, de documents et de rituels secrets évoqués sont avérées ». Cela a suscité maintes interrogations.
Dan Brown a voulu, dans une certaine mesure, ménager les institutions : dans le chapitre 99, il s’avère que le mystérieux commanditaire des assassinats de Saunière et des sénéchaux n’a rien à voir avec l’Opus Dei ni avec le Vatican, contrairement à ce que Langdon et Neveu avaient cru. L’auteur avance par ailleurs, au chapitre 62, l’idée selon laquelle le Vatican contemporain ne tolérerait jamais un meurtre, quel que soit l’intérêt qu’il pourrait en tirer.Pourtant l’Opus Dei a demandé, sans succès, à Sony Pictures de faire insérer un avertissement avant lefilm inspiré du roman précisant qu'il s'agissait d'une œuvre de fiction[17].
Certains reprochent à Dan Brown d'avoir une démarche visant à discréditer l'Église catholique et à faire passer l'Opus Dei pour unesecte[18]. D'autres reprochent à l'auteur de pratiquer lathéorie du complot.
Dès le préambule du livre, l'auteur affirme l'existence d'une société secrète, le Prieuré de Sion, fondée en1099 et ayant comporté dans ses rangsIsaac Newton,Victor Hugo,Claude Debussy ou encoreLéonard de Vinci. Leur réunion dans le Prieuré de Sion serait prouvée par des documents secrets découverts en 1975 à la Bibliothèque nationale de France.
Plusieurs commentateurs observent que cette organisation daterait de la « révélation » dePierre Plantard, en : l'homme affirmait être descendant desMérovingiens, pour finalement déclarer après laSeconde Guerre mondiale être le dépositaire d'une organisation cachée : lePrieuré de Sion. Il aurait commencé par en déposer les statuts à la sous-préfecture deSaint-Julien-en-Genevois (Haute-Savoie) le pour officialiser sa « révélation », et aurait déposé un peu plus tard à la Bibliothèque de France lesDossiers secrets d'Henri Lobineau, qui seraient de faux parchemins, détaillant sa royale ascendance (il aurait même ajouté dans ces textes « de Saint-Clair » à son nom, pour se donner davantage de noblesse), ainsi que la prétendue histoire duPrieuré de Sion et la liste de ses grands maîtres (Léonard de Vinci,Victor Hugo...). Pierre Plantard est accusé de fraude par la justice française en 1992, à la suite de l'examen des documents déposés à la Bibliothèque Nationale et des déclarations de ses complices, Philippe de Cherisey etGérard de Sède.
Dan Brown entend également faire des révélations sur la mystérieuse richesse desTempliers.
Selon les sources historiques reconnues[19], l'ordre desPauvres Chevaliers du Christ, devenu ensuite l'Ordre des Templiers, fut créé aux alentours de1120, après que le roi de JérusalemBaudouin II fit don aux moines-soldats de la partie méridionale du temple de Jérusalem (auparavant rasé et pillé parTitus). Ils étaient exemptés de taxes pontificales dès1199, et leur double mission de protection et de banque des pèlerins les placèrent aux premières loges des conquêtes d'Antioche, deSaint Jean d'Acre, deConstantinople et deJérusalem. À la fin duXIIIe siècle, ils administraient plus de treize provinces en Europe et en Palestine, ce qui expliquerait l'origine de leur richesse. Quant à la disparition de l'ordre, elle est tout simplement due à son abolition en1312. Le dernier Maître de l'ordre,Jacques de Molay, fut brûlé en1314 sur ordre dePhilippe le Bel. Une partie importante de leurs biens a été attribuée à l'ordre des Hospitaliers. Les chevaliers templiers du Portugal et d’Écosse échappent à la répression, par leur fusion avec les hospitaliers.
Selon le roman de Dan Brown, l’Ordre desPauvres Chevaliers du Christ aurait été fondé par des membres du Prieuré de Sion, qui auraient découvert sous leTemple de Salomon les malles contenant le Saint-Graal, entrant ainsi en possession de documents prouvant que le Christ a eu un enfant avec Marie Madeleine. Le pouvoir que le Vatican a confié aux Templiers et qui leur a permis d’accumuler tant de richesses serait en fait un « cadeau » d’Innocent II. Le pape aurait ainsi acheté leur silence (ou obéi à un chantage, le roman ne tranche pas entre ces deux possibilités) pour qu’ils ne révèlent pas l’existence de ces documents compromettants pour l’Église catholique. Puis le papeClément V aurait lui-même ordonné l’arrestation et le massacre des Templiers, en1307, en vue de mettre la main sur le Graal, ce qu’il n’a pas réussi à faire, et de détruire cette organisation menaçante pour l’Église. Philippe le Bel aurait été son complice dans cette affaire.
Une polémique est soulevée quant aux sources de Dan Brown pour la rédaction duDa Vinci Code. Le thème central du roman consiste en effet en une synthèse des théories de plusieurs ouvrages, dont cinq sont considérés comme les sources majeures de l'auteur pour la construction de son récit[20]. Ces cinq livres sont qualifiés de « pseudo-historiques » par de nombreux experts[21].
La critique porte surtout surL'Énigme sacrée, dont se serait amplement inspiré Dan Brown, certains l'ayant accusé de plagiat. Il s'agit d'un livre polémique écrit par trois Britanniques en1982, publié en1983 àLondres et en France. Le, un tribunal britannique a lavé Dan Brown de cette accusation de plagiat[22], au titre que les auteurs deL'Énigme sacrée n'avait pas prétendu écrire de la fiction, malgré les ressemblances troublantes entre les deux ouvrages.
Certains lecteurs ont pris une grande partie de ce roman de fiction pour un document authentique.[réf. souhaitée]SelonRené Rémond, les millions de lecteurs de ce livre n'y cherchent pas une approche érudite duchristianisme, encore moins un traité dethéologie.[réf. souhaitée]
Ce livre intrigue nombre de ses lecteurs en distillant des hypothèses sous la forme de faits, ou des idées discutables qu'il fait passer sous couvert d'érudition, comme pour l'interprétation des tableaux de Léonard de Vinci. Un nombre impressionnant de lecteurs, quels que soient leurs niveaux de culture ou d'éducation, se laissent prendre au piège. Le livre réactive la fameusethéorie du complot, du grand secret, qui est révélé : depuis des siècles, l'Église cacherait des choses, occulterait des faits historiques sulfureux, en particulier que Jésus aurait été l'époux de Marie-Madeleine et qu'ils auraient eu une descendance, encore présente aujourd'hui[23].
L'Église catholique romaine, dépassée par le succès de l'ouvrage et par les réactions de certains lecteurs, s'est initialement engagée dans une stratégie de défense sans condamnation formelle. Plus d'une année et demi après sa publication, le cardinal Tarcisio Bertone conseille fermement aux fidèles, enmars 2005, surRadio Vatican, de ne pas lire, ni acheter le romanDa Vinci Code. LeVatican a échoué à interdire le livre :la mise à l'index par le Vatican n'existe plus depuis 1966 et le pontificat dePaul VI.L'Église en a plutôt profité pour donner des explications sur les sources : différences entreévangiles canoniques etapocryphes, histoire desConciles, publications de théologiens reconnus comme le jésuiteBernard Sesboüé.LaPrélature de l'Opus Dei a souligné également par son site Internet officiel les problèmes théologiques que soulève le roman.
EnChine, le film, sorti dans quelque 400 salles le, est retiré par les autorités. La raison officielle est que cette censure devait permettre de protéger la culture chinoise et de donner satisfaction aux chrétiens du pays. L'Église catholique établie en Chine avait appelé au boycott du long métrage de Ron Howard[24].
Son best-seller leDa Vinci Code est son premier succès et son premier roman adapté en film. C'est le deuxième livre dans lequelRobert Langdon apparaît. Le premier estAnges et Démons pour lequel une adaptation cinématographique est sortie le13 mai 2009.
L’école où Langdon réalise ses études est l’académie Phillips Exeter, la même école que Dan Brown a fréquenté.
Les personnages des livres de Dan Brown sont souvent baptisés d’après les noms de personnes faisant partie de sa vie. Robert Langdon est baptisé du nom de John Langdon, l'artiste qui a créé les ambigrammes utilisées pourAnges et Démons. Le camerlingue Carlo Ventresca est baptisé du nom d'une amie, réalisatrice de dessins animés Carla Ventresca. Dans les archives du Vatican, Langdon rappelle le mariage de deux personnes appelées Dick et Connie, qui sont les noms de ses parents. L’éditeur de Robert Langdon, Jonas Faukman, est baptisé à partir du nom de l'éditeur de Dan Brown, Jason Kaufman. Leigh Teabing a été nommé ainsi après que les auteurs Leigh et Baigent (« Teabing » est une anagramme de « Baigent ») eurent écritThe Holy Blood And The Holy Grail qui utilise la même histoire (suivant laquelle la lignée de Jésus et de Marie Madeleine existe encore aujourd’hui). Dan Brown a également reconnu que des personnages ont pris le nom d’un bibliothécaire duNew Hampshire, et d’un professeur français à Exeter,André Vernet.
Dans un rapport à l'épreuve enmars 2006, Dan Brown a écrit que tandis qu'il grandissait, aux anniversaires et à Noël, lui et sa famille participaient à des chasses au trésor élaborées pour trouver leurs cadeaux cachés en suivant les indices et les codes que leur père avait laissés. C'est le même événement qu'il a décrit pour l'enfance d'un personnage du Da Vinci Code : Sophie Neveu.
Dan Brown joue autennis, et écrit dans son loft. Il se lève régulièrement à 4 heures du matin pour travailler. Il garde un sablier antique sur son bureau pour se souvenir de prendre des pauses.
Dans le chapitre 68, on découvre un nouveau personnage : Jonas Faukman ; un jeu de mots avec Jason Kaufman, éditeur et ami deDan Brown, cité à la fin du livre dans les remerciements.
↑Les numéros pairs de 18 à 34 ne sont pas attribués, puisque les terrains attenants sont occupés notamment par leréservoir de Ménilmontant et le débouché de larue Darcy.
Florent Varak,Le mariage de Jésus - Da Vinci Code : vous y croyez ?, éd. Clé.(ISBN2906090670)
Michael Baigent, Richard Leigh, Henry Lincoln,L'Énigme sacrée, éditions Pygmalion/Gérard Watelet (pour l'édition en français), 1983.(ISBN2290346969)
Jean-Paul Bourre, "L'Élu du Serpent rouge", Les Belles Lettres, 2004.(Roman.)
Christopher Knight & Robert Lomas,La Clé d'Hiram, éditions Dervy (pour l'édition en français), 1997.(ISBN2850769223)
Amy Welborn,Da Vinci : la grande mystification, édition Le Forum Diffusion, 2005.(ISBN2916053042)
Gordon Zola :Nom de code : le Dada de Vinci,Paris, Éditions du Léopard Masqué,2006. 224 pages.(ISBN9782350490243). Parodie goguenarde du roman de Dan Brown, écrite dans le but de lutter contre l'engouement provoqué par cette œuvre.
Marie Madeleine, la femme au flacon d'albâtre - Jésus et le Saint Graal..., Margaret Starbird, Ed. Trédaniel, 2008(ISBN2844458653)
Marie Madeleine et le Saint Graal, la vérité sur la femme qui a accompagné Jésus..., Margaret Starbird, Ed. Exclusif,(ISBN2848910518)
Au-delà du Code Da Vinci, Le livre qui résout le mystère. Marie Madeleine, Jésus et ses descendants. Le grand secret des Templiers, le Saint Graal, René Chandelle, Ed. Exclusif 2006,(ISBN2848910550)
Au-delà du Code Da Vinci 2. Entre Da Vinci et Lucifer. Les clefs qui permettent de comprendre pourquoi le Vatican a interdit le Code Da Vinci, qu'y a-t-il derrière le Code Da Vinci ?, René Chandelle, Ed. Exclusif 2006,(ISBN2848910569)