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Département et région d'outre-mer

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Pour les articles homonymes, voirDOM etDROM.

  • Départements et régions d'outre-mer.

Lesdépartements et régions d'outre-mer (DROM) sont descollectivités territoriales françaises soumises au régime juridique d'assimilation législative tel que défini par l'article 73 de laConstitution de laCinquième République.

Il existe actuellement cinq DROM ; enMartinique[1], enGuyane[2] et àMayotte[3], les compétences départementales et régionales sont exercées par descollectivités territoriales uniques, qui remplacentdépartements etrégions. EnGuadeloupe[4] et àLa Réunion[5], elles restent dévolues aux collectivités départementales et régionales.

Les lois et règlements en vigueur enFrance sont applicables de plein droit dans les DROM, même si des adaptations peuvent exister. Ils se distinguent ainsi descollectivités d'outre-mer (COM), qui sont dotées de statuts spécifiques ; de laNouvelle-Calédonie qui dispose d'un statutsui generis régie par leTitre XIII de la Constitution[6] ; et desTerres australes et antarctiques françaises (TAAF) (seulterritoire d'outre-mer (TOM)) et de l'Île Clipperton (propriétédomaniale de l'État français), régis par l'article72-3 al. 4 de la Constitution.

Du point de vue de l'Union européenne, ce sont desrégions ultrapériphériques[7].

Histoire

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Carte de laMartinique de1742.

La mise en place de ce qui pourrait s'apparenter à des départements d'outre-mer a été faite après la conquête de larépublique de Venise en1797, lorsque lesîles Ioniennes (sous possession vénitienne) sont devenus françaises pendant leDirectoire et ont été organisées comme les départements deMer-Égée, d'Ithaque et deCorcyre. Cette tentative fut de courte durée, en 1798, l'amiral russeFiodor Fiodorovitch Ouchakov expulsa les Français de ces îles et, bien que la France les recouvrât en1807, les trois départements ne furent pas rétablis.

LaGuadeloupe, laMartinique, laGuyane etLa Réunion étaient issues dupremier empire colonial français : ces territoires avaient été colonisés par laFrance au cours duXVIIe siècle et étaient devenus deséconomies de plantation reposant principalement sur l'esclavage jusqu'audécret d'abolition de l'esclavage de1848.

L'idée de faire de ces colonies des départements est loin d'être neuve. Un vœu en ce sens est voté par leconseil colonial de laGuadeloupe dès1838. Émise sans succès lors de la discussion dusénatus-consulte du 3 mai 1854, l'idée est renouvelée en1865. Lesconseils généraux deGuadeloupe et deMartinique proposent à nouveau une telle évolution en1874, en1881, en1882. En1890,Vincent Allègre etAuguste Isaac déposent au Sénat une proposition de loi allant dans le même sens[8].

En 1915, le député guadeloupéenAchille René-Boisneuf et son collègue martiniquaisJoseph Lagrosillière déposèrent sur le bureau de la Chambre une proposition de loi tendant à classer les vieilles colonies (les deux Antilles françaises, la Guyane et la Réunion) en département français. Elle resta lettre morte mais l'usage de désigner les Antilles comme deux vieux départements d'Outre-mer français avant Nice et la Savoie se perpétua dans les propos publics des parlementaires antillais[9]. Le MartiniquaisHenry Lémery, dépose des propositions similaires comme député en1919, puis comme sénateur en1923[8]. À partir de1920,Jean Ralaimongo (nationalistemalgache, membre dirigeant du mouvement national malgacheVy Vato Sakelika (V.V.S, « fer, pierre, Réseau »), président de la Ligue française pour l’accession des indigènes de Madagascar aux droits des citoyens français, et engagé volontaire pendant la Première Guerre mondiale) est le premier à réclamer le statut de département d'outre-mer pour Madagascar. Il a mené la campagne en faveur de l'égalité des droits pour les Malgaches. Il voulait voirMadagascar devenir une partie de la France et voyait la naturalisation de ses concitoyens comme une voie progressive à suivre. Réclamant « Madagascar département français », et pour tous les Malgaches la citoyenneté française au même titre que n'importe quelle personne née sur le territoire national[10].

Ce n'est qu'à l'issue de laSeconde Guerre mondiale, alors que le statut de l'empire colonial français évolue ; ces quatre anciennes colonies deviennent desdépartements par laloi du. Cette départementalisation signifie leur intégration complète à laRépublique française puisque les lois et décrets appliqués enFrance y deviennent désormais applicables, bien que des particularités subsistent[11]. Les gouverneurs coloniaux sont remplacés par despréfets dépendants duministère de l'Intérieur.

LaConstitution de laQuatrième République confirme l'existence des départements d'outre-mer. La loi du sur la composition et l'élection de l'Assemblée de l'Union française en donne la liste qui comprend alors, outre laGuadeloupe, laMartinique, laGuyane etLa Réunion, lesdépartements français d'Algérie[12]. Ces derniers, créés en1848 à la suite de laconquête de l'Algérie par la France, sont alors au nombre de trois. Ils passeront à quatre puis quinze et enfin treize entre 1955 et 1958 avant de disparaître avec l'indépendance de l'Algérie en1962.

Champ decannes à sucre enGuadeloupe.

LaConstitution de laCinquième République adoptée en1958 prévoit, dans sonarticle 73 que« Le régime législatif et l’organisation administrative des départements d’Outre-Mer peuvent faire l’objet de mesures d’adaptation nécessitées par leur situation particulière ».

L'article 76 de la nouvelle Constitution prévoit également, à sa mise en place, que lesterritoires d'outre-mer puissent choisir entre trois possibilités :

  • garder leur statut ;
  • devenirdépartement d'outre-mer (c'est-à-dire être intégré à laRépublique) ;
  • devenir un État membre de la Communauté (c'est-à-dire gagner en autonomie).

LeGabon choisit de devenir département d'outre-mer, mais en est dissuadé par legénéral De Gaulle et son ministre de l'Outre-mer,Bernard Cornut-Gentille. LesComores, laPolynésie française, lacôte française des Somalis, laNouvelle-Calédonie etSaint-Pierre-et-Miquelon choisissent de garder leur statut de territoire.

En1976, leterritoire d'outre-mer deSaint-Pierre-et-Miquelon, lui aussi hérité dupremier empire colonial, devient le cinquième département d'outre-mer[13] avant de devenir une collectivité territoriale à statut particulier en1985[14].

En1982, dans le cadre du processus dedécentralisation, lesrégions sont élevées au rang decollectivités territoriales au même titre que les départements. Une loi prévoit alors que dans les départements d'outre-mer, leconseil général et leconseil régional soient fusionnés en une assemblée unique élue auscrutin proportionnel mais ce texte est censuré par leConseil constitutionnel jugeant que, selon la Constitution,« le statut des départements d'outre-mer doit être le même que celui des départements métropolitains »[15]. Une nouvelle loi est alors adoptée, faisant de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Martinique et de La Réunion des régions « mono-départementales » dans lesquelles existent un conseil général et un conseil régional, gérant chacun des compétences différentes[16].

En2003, la révision de l'article 73 de la Constitution permet de mettre fin à cette complexité et offre la possibilité de créer« une collectivité se substituant à un département et une région d'outre-mer » ou« une assemblée délibérante unique pour ces deux collectivités » à condition que ce projet soit validé parréférendum dans le territoire concerné[17].

C'est cette option de lacollectivité territoriale unique (dite« département de Mayotte ») qui est retenue en2011 après que les Mahorais ontvoté pour la départementalisation de leur île.Mayotte, territoire acquis par laFrance auXIXe siècle et rattaché auterritoire des Comores de1946 à l'indépendance desComores en1975, était précédemment unecollectivité territoriale à statut particulier[18] devenue« collectivité départementale » en 2001[19].

En2007, les communes insulaires deSaint-Barthélemy etSaint-Martin sont séparées - après référendum local en 2003 - de laGuadeloupe à laquelle elles étaient rattachées pour devenir descollectivités d'outre-mer à part entière.

En2016, laGuyane et laMartinique deviennent à leur tour descollectivités territoriales uniques.

De nombreuses personnes natives des territoires ultramarins se sont installées en métropole : l'expression« cinquième DOM »[20] (avant que Mayotte ne devienne le cinquième DOM effectif) ou« troisième île »[21] (pour lesAntillais) désigne cette population qui comptait 585 000 personnes en 1999.

Liste

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Départements et régions d'outre-mer en 2011

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Article connexe :Liste des communes de la France d'outre-mer.
NomCode INSEEDépartementalisationChef-lieuSuperficie (km2)Population
(pop. légale)
SubdivisionsFuseau horaire[22]Conseil départementalConseil régional
Guadeloupe971D1946Basse-Terre1 629400 200(2021)Arrondissements,cantons,communesUTC-4Conseil départemental de la GuadeloupeConseil régional de la Guadeloupe
Martinique972R1946Fort-de-France1 128375 100(2021)Arrondissements,communesUTC-4Assemblée de Martinique
Guyane973R1946Cayenne83 846[23],[24]294 146(2021)Arrondissements,communesUTC-3Assemblée de Guyane
La Réunion974D1946Saint-Denis2 512881 348(2022)Arrondissements,cantons,communesUTC+4Conseil départemental de La RéunionConseil régional de La Réunion
Mayotte976R2011Mamoudzou376256 518(2017)Cantons,communesUTC+3Conseil départemental de Mayotte


Anciens départements d'outre-mer

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NomCode INSEEChef-lieuCréationDisparitionRaison
Alger91 / 9AAlger18481962Indépendance de l'Algérie
Oran92 / 9GOran18481962Indépendance de l'Algérie
Constantine93 / 9DConstantine18481962Indépendance de l'Algérie
Bône99 / 9CBône19551962Indépendance de l'Algérie
Batna9BBatna19571962Indépendance de l'Algérie
Médéa9EMédéa19571962Indépendance de l'Algérie
Mostaganem9FMostaganem19571962Indépendance de l'Algérie
Orléansville9HOrléansville19571962Indépendance de l'Algérie
Sétif9JSétif19571962Indépendance de l'Algérie
Tiaret9KTiaret19571962Indépendance de l'Algérie
Tizi Ouzou9LTizi Ouzou19571962Indépendance de l'Algérie
Tlemcen9MTlemcen19571962Indépendance de l'Algérie
Aumale9MAumale19581959Partagé entre les départements deMédéa etBatna
Bougie9PBougie19581959Partagé entre les départements deSétif etConstantine
Saïda9RSaïda19581962Indépendance de l'Algérie
Saint-Pierre-et-Miquelon975Saint-Pierre19761985Devient une collectivité territoriale à statut particulier

Statut

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Schéma montrant l'appartenance des départements d'outre-mer français à l'Union européenne contrairement à d'autres territoires français.

Les départements et régions ultramarins sont régis par l'article 73 de laConstitution qui prévoit un régime d'identité législative, c'est-à-dire que« les lois et règlements sont applicables de plein droit ».

Toutefois, la Constitution prévoit également que des« adaptations tenant aux caractéristiques et contraintes particulières de ces collectivités » peuvent être faites.

Institutions

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L'hôtel du département deMayotte àMamoudzou.

Les institutions des départements et régions ultramarins sont globalement les mêmes que celles des autresdépartements etrégions français.

L'État y est ainsi représenté par unpréfet et le territoire est découpé enarrondissements etcommunes, ces dernières constituant le plus petit échelon descollectivités territoriales.

Chaque DROM étant à la fois un département et une région, il dispose d'unconseil départemental et d'unconseil régional chargé chacun d'exercer les compétences de ces collectivités. Toutefois, l'article 73 de la Constitution prévoit qu'unecollectivité territoriale unique peut se substituer à un département et une région d'outre-mer. Cette disposition s'applique à trois DROM sur cinq :

Adaptations et compétences particulières

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Laroute des Tamarins àLa Réunion est uneroute nationale gérée par leconseil régional.

L'article 73 de laConstitution prévoit que des adaptations aux lois et aux règlements peuvent être faites pour tenir compte de la situation particulière des départements et régions d'outre-mer.

Ces adaptations peuvent être[25] :

  • réalisées par l'État : il peut s'agir par exemple d'une entrée en vigueur d'un texte différente en outre-mer ou d'une loi qui autorise legouvernement à mettre en œuvre des modalités d'application particulière dans les DROM pardécret en Conseil d'État ;
  • réalisées par les collectivités elles-mêmes à condition d'y être habilitées par leParlement, y compris pour l'adaptation d'une disposition relevant normalement de laloi.

Parmi les adaptations juridiques spécifiques à l'outre-mer existent notamment des mesures fiscales (tel que l'octroi de mer ou certaines déductions), l'attribution de compétences (par exemple la gestion desroutes nationales par les collectivités territoriales de Guadeloupe, de Martinique et de la Réunion et non l'État), des règles d'aménagement (comme lazone des cinquante pas géométriques), des aides et financements (continuité territoriale), etc.

En outre, la Constitution prévoit que les départements et régions d'outre-mer — saufLa Réunion — peuvent être autorisés par la loi à fixer eux-mêmes les règles applicables sur leur territoire dans un nombre limité de matières (qui excluent la nationalité, les droits civiques, les garanties des libertés publiques, l'état et la capacité des personnes, l'organisation de la justice, le droit pénal, la procédure pénale, la politique étrangère, la défense, la sécurité et l'ordre publics, la monnaie, le crédit et les changes ou le droit électoral). Laloi organique prévoit que pour ce faire, l'assemblée délibérante de la collectivité territoriale concernée doit adopter une demande d'habilitation à la majorité absolue de ses membres et, si l'habilitation est accordée, elle expire au bout de deux années maximum. Les mesures adoptées par un département ou une région d'outre-mer en vertu d'une telle habilitation sont publiées auJournal officiel[25].

Mayotte ne bénéficie d'aucune des campagnes deSanté Publique France (par exemple prévention du cancer, lutte contre la toxicomanie…), à l'exception du recensement des cas de grippe. Les Collectivités d'Outre-Mer qui ne sont ni des départements ni des régions français n'en bénéficient pas non plus (Nouvelle-Calédonie, Polynésie française, etc.).

Pour les sujets placés sous l'autorité du Préfet, les règles françaises s'appliquent dans les DROM, par exemple la sensibilisation à la Sécurité routière dans les écoles…

Union européenne

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EnGuyane, le fleuveOyapock forme lafrontière entre laFrance (et donc l'UE) et leBrésil.

Les départements et régions ultramarins sont, du point de vue de l'Union européenne (UE), desrégions ultrapériphériques. Ce statut, prévu par l'article 349 duTraité sur le fonctionnement de l'Union européenne, fait des DROM une partie intégrante du territoire de l'Union européenne dans lequel le droit communautaire s'applique comme dans les autres régions de l'UE mais rend possible des« mesures spécifiques » portant« notamment sur les politiques douanières et commerciales, la politique fiscale, les zones franches, les politiques dans les domaines de l'agriculture et de la pêche, les conditions d'approvisionnement en matières premières et en biens de consommation de première nécessité, les aides d'État, et les conditions d'accès aux fonds structurels et aux programmes horizontaux de l'Union » (article 349)[26],[27].

Les DROM bénéficient notamment en tant que régions ultrapériphériques duFonds européen de développement économique et régional (FEDER) et duFonds social européen (FSE) avec des taux plus élevés qu'en France continentale[26].

Hormis les DROM,Saint-Martin (collectivité d'outre-mer), lesCanaries (Espagne),Açores etMadère (Portugal) sont également des régions ultrapériphériques de l'UE.

Notes et références

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  1. « Article L7211-1 - Code général des collectivités territoriales », surlegifrance.gouv.fr(consulté le)
  2. « Article L7111-1 - Code général des collectivités territoriales », surlegifrance.gouv.fr(consulté le)
  3. « Article LO3511-1 - Code général des collectivités territoriales », surlegifrance.gouv.fr(consulté le)
  4. « Article L4431-1 - Code général des collectivités territoriales », surlegifrance.gouv.fr(consulté le)
  5. « CHAPITRE Ier : Dispositions générales (Articles L3441-1 à L3441-9) », surlegifrance.gouv.fr(consulté le)
  6. « Le statut de la Nouvelle-Calédonie », surVie publique.fr(consulté le).
  7. Conseil européen, « Décision du Conseil européen modifiant le statut à l'égard de l'Union européenne de Mayotte [EUCO 112/12] », sureuropa.eu,.
  8. a etbJean-Yves Faberon et Jacques Ziller,Droit des collectivités d'outre-mer, LGDJ,(ISBN 978-2-275-03217-7),p. 31-32.
  9. Voir entre autres Dominique Chathuant,Nous qui ne cultivons pas le préjugé de race. Histoire(s) d'un siècle de doute sur le racisme en France, Paris, Le Félin, 2021, p. 207.
  10. Encyclopaedia Universalis, Encyclopaedia Universalis France, Paris,(ISBN 2-85229-281-5), Mouvement national malgache, p. 275.
  11. Loino 46-451 du 19 mars 1946.
  12. « Loino 46-2385 du 27 octobre 1946 sur la composition et l'élection de l'Assemblée de l'Union française », surlexpol.cloud.pf(consulté le).
  13. Loino 76-664 du 19 juillet 1976 relative à l’organisation de Saint-Pierre-et-Miquelon.
  14. Loino 85-595 du 11 juin 1985 relative au statut de l'archipel de Saint-Pierre-et-Miquelon.
  15. « Décisionno 82-147 DC du 2 décembre 1982 », surconseil-constitutionnel.fr.
  16. Loino 82-1171 du 31 décembre 1982 portant organisation des régions de Guadeloupe, de Guyane, de Martinique et de La Réunion.
  17. « Que sont les départements et régions d'outre-mer ? », survie-publique.fr(consulté le).
  18. Loino 76-1212 du 24 décembre 1976 relative à l'organisation de Mayotte.
  19. Loino 2001-616 du 11 juillet 2001 relative à Mayotte.
  20. Claude-Valentin Marie, « Le cinquième dom : Mythe et réalités »,Pouvoirs,Éditions du Seuil,vol. 113 « L'outre-mer »,‎,p. 171-182(ISBN 2-02-068877-8,DOI 10.3917/pouv.113.0155,lire en ligne).
  21. Alain Anselin,L'Émigration antillaise en France : La troisième île, Paris,Karthala,, 293 p.(ISBN 2-86537-274-X).
  22. Les DROM n'observent pas l'heure d'été. Leur décalage horaire avec la capitale n'est donc pas constant toute l'année.
  23. Christiane Taubira, « Question n°47507 à M. le ministre de la défense sur la superficie de la Guyane », surquestions.assemblee-nationale.fr,(consulté le)
  24. « La cartographie et le suivi régulier des forêts ultramarines à l'heure des priorités »,IGN Magazine,Institut national de l'information géographique et forestière (IGN),no 88,‎,p. 18/32(lire en ligne[PDF], consulté le) :

    « La guyane - Superficie : 83 846 km2 »

    .
  25. a etb« Guide de logistique. Collectivités d'Outre-mer de l'article 73 de la Constitution (Guadeloupe, Guyane, Martinique, La Réunion, Mayotte) », surLégifrance(consulté le).
  26. a etb« Outre-mers »,Représentation permanente de la France auprès de l'Union européenne(consulté le).
  27. Conseil de l'Union européenne, « Versions consolidées du traité sur l'Union européenne et du traité sur le fonctionnement de l'Union européenne et Charte des droits fondamentaux de l'Union européenne », sureuropa.eu,,p. 256.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Départementsfrançais etcollectivités territoriales exerçant les compétences d'un département
Métropole
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Disparus
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