Le terme de démence, enmédecine, est un terme technique qui ne doit pas être confondu avec la signification commune de ce terme dans le langage courant (folie furieuse). Les démences sont lesyndrome clinique desmaladies neurodégénératives.
L’expression « trouble neurocognitif majeur »[1],[2] a officiellement remplacé[3] le terme « démence » dans la classification médicale avec la publication du DSM-5 (Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) en mai 2013. Cette modification a été proposée par un groupe d’experts afin de mieux refléter la diversité des atteintes cognitives et d’éviter la connotation négative du mot « démence »[3].
le trouble neurocognitif majeur (anciennement démence) : altération cognitive significative entraînant une perte d’autonomie ;
le trouble neurocognitif léger : altération cognitive mesurable mais sans perte d’autonomie pour le patient.
Cette évolution sémantique a été adoptée progressivement dans les pratiques médicales et les recommandations officielles, notamment en France, où laHaute Autorité de Santé (HAS) utilise cette terminologie dans ses guides depuis 2018.
La démence chez les aînés, souvent appelée à tortdémence sénile[6] ousénilité, montre que la plupart des démences, mais pas toutes, sont liées à l'âge, et peut aussi refléter l'idée, répandue mais fausse, que le grave déclin des facultés mentales serait lié au processus normal de vieillissement[7]. En1907, une maladie organique connue sous le nom demaladie d'Alzheimer a été décrite. Elle a été associée à des changements cérébraux microscopiques.
Durant les périodes1913-1920, laschizophrénie est définie, et le terme dedémence précoce a été suggéré pour qualifier le développement de la démence de type sénile dès le plus jeune âge.
En1976, le neurologue Robert Katzman indique qu'il y aurait une connexion entre la « démence sénile » et lamaladie d'Alzheimer[8]. Katzman pense que la plupart des démences séniles qui surviennent (par définition) après 65 ans, sont pathologiquement identiques à la maladie d'Alzheimer avant l'âge de 65 ans et ne devraient néanmoins pas être traitées différemment. Il note le fait que la « démence sénile » n'était pas considérée comme une maladie, mais qu'elle fait plutôt partie de la vieillesse[9]. Katzman croit ainsi que la maladie d'Alzheimer, si celle-ci survient à l'âge de 65 ans, est répandue, et non rare, et la cinquième, voire quatrième, cause principale de mortalité.
La démence n'est pas seulement un problème demémoire, mais aussi de désorientation, de perte decapacité à apprendre, à retenir ou à se rappeler les expériences passées. Elle cause également un trouble des pensées, des sensations et activités. Ces problèmes mentaux et comportementaux peuvent gravement diminuer la qualité de vie des patients et de l'entourage. Quand la démence empire, les individus peuvent se négliger eux-mêmes, crier, se lamenter, mettre leur santé en péril, devenirincontinents.
Ladépression affecte 20–30 % des individus souffrant de démence, et environ 20 % d'entre eux souffrent d'anxiété[10]. La psychose (souvent, sentiments de persécution) et l'agitation/humeur agressive accompagnent souvent la démence. Ces troubles de l'humeur peuvent être traités indépendamment[11].
Dans les stades évolués de la démence, les individus sont généralement désorientés dans le temps (ignorant le jour, la semaine, le mois ou l'année) et dans l'espace (ignorant où ils se trouvent), ne reconnaissent plus des personnes familières, et ont des difficultés croissantes à communiquer, souvent avec destroubles du comportement. Certains troubles du comportement (rire sans raison apparente, parler tout seul,agitations, râles,cris etlamentations notamment) semblent combler un besoin, communiquer un besoin et/ou résulter d'une frustration ou d'autres affects négatifs tels qu'une intensedouleur morale[12].
Analyser les différences régionales et temporelles dans les taux de démence selon l’âge, ainsi que leurs projections futures, est essentiel pour anticiper les besoins en santé. Les estimations varient selon les époques et les sources, certaines annonçant plutôt une baisse[13],[14],[15],[16] ; d'autres au contraire annoncent une hausse de la prévalence[17],[18] ; et d'autres encore une possible stabilité de la prévalence[19],[20] ; selon Xiaoxue Douet al. (2025)[21], ces études sont limitées par un manque de données homogènes et récentes pour un grand nombre de pays, et un manque de suivi par cohorte[22],[23].
Une étude de 2005 estime la prévalence globale de la démence à 24,3 millions, avec 4,6 millions de nouveaux cas de démence par an. Le nombre d'individus affectés pourrait doubler à 81,1 millions d'ici 2040[24]. La plupart se trouvent dans les pays développés. Par ailleurs, 60-70 % des individus atteints de démences souffriraient de la maladie d'Alzheimer. Vers 2005, lestroubles cognitifs modérés atteindraient un peu moins du quart des personnes âgées de plus de 70 ans auxÉtats-Unis. L'évolution vers un tableau démentiel concernerait 10 % de ces personnes par an[25]. Au début des années 2020, elle était, selon l'OMS, la septième cause de décès (donnée 2023)[26].
La tendance générale est à une hausse du nombre de cas dans le monde, en raison de ladémographie et de l'augmentation globale de l'espérance de vie : desépidémiologistes annoncent environ 152,8 millions (IC à 95 %, 130,8 millions à 175,9 millions) de cas de démence d’ici 2050 (avec près de 10 millions de nouveaux cas par an à prendre en charge)[27],[28].
Plus on est âgé, plus le risque de démence augmente, maisdes observateurs[Lesquels ?] notent en 2025 que« les différences dans la prévalence globale de la démence au fil du temps ne peuvent pas être expliquées uniquement par l’âge »[29],[30] : à âge égal — au moins dans le monde occidental — pour des raisons encore incomplètement comprises, il augmente moins qu'autrefois. Les générations récentes sont en effet statistiquement moins touchées par le risque de démence en vieillissant[21]. C'est la conclusion d'une vaste étude transversale, basée sur trois enquêtes comparables qui ont inclus 99 420 personnes aux États-Unis, 21 069 personnes en Europe et 32 490 personnes en Angleterre, publiée en juin 2025 par la revueJAMA : les personnes de 71 ans et plus, issues de cohortes de naissance plus récentes sont moins touchées par la démence aux États-Unis (21,2 %), en Europe (38,9 %) et en Angleterre (28,3 %). Cette tendance était plus prononcée chez les femmes que chez les hommes et les taux et rythmes diffèrent selon les zones géographiques considérées, mais cette différence tend à se réduire, peut-être« en partie par l’augmentation du niveau de scolarité des femmes et des filles par rapport aux décennies précédentes[21] », l’un des principaux « facteurs de risque modifiables » de la démence[31]. Ainsi, aux États-Unis, dans la cohorte des 81-5 ans, 25,1 % des gens nés entre 1890 et 1913 souffraient de démence, contre 15,5 % chez ceux nés après la Première Guerre mondiale, entre 1939 et 1943. Ceci confirme qu'il existe des facteurs environnementaux à la démence[21].
Prévalence de la démence chez les personnes âgées (81-85 ans) selon la cohorte de naissance[21]
En 2021, environ 57 millions de personnes dans le monde vivaient avec une démence, et la majorité de ces cas se trouvent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire. Chaque année, près de 10 millions de nouveaux cas sont diagnostiqués, soulignant l’ampleur croissante du problème de santé publique[32].
Les recommandations de laHaute Autorité de santé (France)[33] préconisent la réalisation duMMS pour évaluer l'état cognitif sans que cela ne préjuge du diagnostic. Toute personne présentant un trouble neurocognitif identifié par un médecin généraliste doit consulter un médecin spécialiste de la mémoire (consultation mémoire), celui-ci posera un diagnostic étiologique[2].
D'autres tests de repérage, simples, peuvent être réalisés en pratique quotidienne : Le testCodex[34] est un test simple et rapide, réalisable en trois minutes qui permet d'approcher avec une très bonne fiabilité le diagnostic de démence. Sa sensibilité est de 92 % et sa spécificité de 85 % par rapport aux critères de référence du DSM-IV.
Le MoCA (« Montreal Cognitive Assessment »)[35] est une batterie de tests rapide (10 minutes) qui explore différentes fonctions cognitives et qui a l'avantage d'être validé dans de nombreuses langues.
Une évaluation neuropsychologique approfondie peut être réalisée par des psychologues spécialisés (neuropsychologues) permettant de caractériser précisément les fonctions psychologiques altérées et préservées (cognitions, affects, émotions, personnalité).
Il n'y a aucun examen complémentaire qui puisse aider au diagnostic de démence, qui reste un diagnostic posé sur la clinique. En particulier, ni la biologie, ni l'imagerie cérébrale n'apportent de contribution au diagnostic positif de démence.
Une dépression de la personne âgée peut mimer un syndrome démentiel (on parle alors de « pseudo-démence du sujet âgé »), ou l'accompagner. Le taux desuicide est, auDanemark, trois à dix fois plus élevé chez les personnes âgées atteintes de démence, après que cette maladie a été diagnostiquée chez elles[36], probablement parce qu'elles connaissent l'évolution de la maladie. Ces sujets ne veulent pas devenir un poids pour leurs proches à la suite de la perte de leurs capacités cognitives. Celui qui passe à l'acte laisse généralement préalablement entendre qu'il pense qu'il serait meilleur pour ses proches qu'il soit mort, notent les chercheurs.
Même sans diagnostic médical de démence préalable, le déclin lent des fonctions cognitives (d'origine démentielle ou non) d'un patient peut entraîner unedépression.
Elles sont multiples et pour partie encore mal comprises.
Selon la littérature scientifique disponible en 2023[37],« les 12 principaux facteurs de risque actuels et potentiellement modifiables de démence (identifiés par la « Commission Lancet 2020 sur la prévention et la prise en charge de la démence »,) ne peuvent expliquer que 40 % de la prévalence de la démence »[21] (incluant notamment une faiblescolarité, l'hypertension, lestroubles auditifs, letabagisme, l'obésité, ladépression, l'inactivité physique, lediabète, lemanque de contact social, laconsommation excessive d'alcool, letraumatisme crânien et lapollution de l'air. Des modélisations laissent penser qu'agir en amont sur ces facteurs par la prévention en santé, le sevrage tabagique, le traitement de l'hypertension, l'accès généralisé aux aides auditives, pourrait réduire l'incidence de la démence tout en générant des économies dans les systèmes de santé. Ces résultats reposaient surtout sur des données observationnelles sans évaluation complète des conséquences épidémiologiques des variations de prévalence de ces risques, ce pourquoi une étude de cohortes populationnelles suivies dans le temps, avec des méthodes constantes d'évaluation, afin d'examiner les changements dans laprévalence et l'incidence de la démence, ainsi que l'évolution desfacteurs de risque établis à travers le calcul de fractions attribuables à la population (ou PAFs pourPopulation Attributable Fraction) a été lancée, dont les conclusions pourront servir à mieux orienter les politiques publiques de santé.
lapollution de l'air : une méta-analyse publiée en juillet 2025 dansThe Lancet Planetary Health, basée sur 51 études ayant porté sur près de 30 millions de personnes vivant principalement dans des pays à revenu élevé, confirme les résultats de nombreuses études, revues de la littérature et méta-analyses antérieures[44],[45],[46],[47],[48] : une exposition prolongée à certains polluants de l'air expose bien à un risque accru de démence (démence vasculaire notamment). Trois polluants (particules fines (PM2.5) ;dioxyde d'azote (NO₂) ;suies) sont plus fortement associés au déclin cognitif, probablementvia l'inflammation cérébrale et le stress oxydatif qui dégradent les neurones. Ces études se basent généralement sur l'adresse de résidence, ce qui induit des limites méthodologiques (en manquant l'exposition au travail, dans les transports)... La Fédération Alzheimer Monde, afin de mieux protéger la santé cognitive des populations vieillissantes. Habiter près d'une route fréquentée expose aussi à d'autres pathologies du système nerveux[49] et cardiovasculaires[50] ;
lapollution sonore : selon une étude récente (2020) de l'université du Michigan, qui confirme de précédents travaux[51], vivre longtemps dans un environnement bruyant (souvent également pollué, le bruit étant souvent généré par la circulation ou un environnement industriel) est associé à un risque accru de développer une démence de typemaladie d'Alzheimer[52]. Une hausse du bruit ambiant moyen de10 décibels augmenterait de 36 % le risque de déficience cognitive légère, et de 29 % le risque de maladie d'Alzheimer. La performance cognitive globale des personnes de l'étude exposées au bruit était inférieure, cette infériorité étant principalement associée à la diminution de leur vitesse de perception mais pas toujours à un déclin cognitif[52].
Les symptômes peuvent cacher divers types de problème sous-jacent, génétiques, neuronaux, microbiens, alimentaires, sociopsychologiques (douleur, dépression, anxiété, ennui/isolement social, personnalité instable ou prémorbide, stress post-traumatique, déshydratation) dont certaines peuvent trouver des solutions non pharmacologiques[53]... Les causes peuvent être exploréesvia des marqueurs biologiques (comme les marqueurs du LCR), ou par l'imagerie cérébrale (IRM ou imagerie métabolique)[38]. Les causes sont parfois infectieuses (ex :neurosyphilis[54]), notamment chez le sujet jeune Selon Paulin & Pasquier (2012)« Plus l'âge de début est précoce, plus les causes génétiques et métaboliques, potentiellement traitables, sont fréquentes »[55].
Une vie saine, caractérisée par une alimentation saine, l'absence detabagisme et d'alcoolisme, la pratique d'activités physiques, avec absence dediabète, d'isolement social et dedépression diminue le risque de démence, mais une étude publiée en2019, basée sur l'incidence de la démence chez 6 352 Néerlandais de 55 ans et plus, a montré que ce bénéfice disparaît« chez les personnes présentant uneprédisposition génétique élevée à la maladie »[56].
Quelques études ont estimé qu'une consommation modérée d'alcool (bière, vin, ou autresboissons alcoolisées) pourrait peut-être réduire les risques de démence[57],[58],[59] mais leurs résultats sont controversés (pouvant être biaisés par d’autres facteurs tels que le niveau d’éducation, de vie sociale, d'alimentation, etc.), et cette prise d'alcool, même à faible dose, induit alors un risque accru decancer. Les recommandations officielles récentes (comme celles du NHS) conseillent de ne pas commencer à boire d'alcool, pour mieux prévenir la démence, car les preuves qu'une faible quantité d'alcool diminue le risque de démence sont insuffisantes, et les risques associés pour la santé dépassent les bénéfices potentiels[60].
Unealimentation humaine de typerégime méditerranéen peut possiblement réduire les risques[61], notamment dans le déclin cognitif lié à l'âge chez des Espagnols à forts risques cardiovasculaires où le régime méditerranéen non seulement aboutit à de meilleurs résultats cognitifs comparé à un simple régime pauvre en graisse mais aussi améliore les performances cognitives après 6 ans de régime riche enhuile d'olive etnoix[62]. L'effet semble être dû à la richesse en antioxydants quiréduisent les radicaux oxydatifs et contreraient ainsi lestress oxydatif qui est toxique pour le cerveau, que ce soit pour les vaisseaux nourriciers des neurones ou pour les neurones directement[63],[64].
Une étude a démontré un lien entre lapression artérielle sanguine élevée et le développement de la démence. L'étude, publiée dans le journalLancet Neurology de juillet 2008, affirme que les médicaments baissant la pression du sang réduisaient la démence de 13 %[65],[66],[67].
Des activités cognitives pratiquées régulièrement peuvent réduire le risque dedémence vasculaire ou d'Alzheimer[68] : apprentissage d'une nouvelle langue[69], pratique de jeux de société[70],[71] ou d'un instrument de musique. En2012, une étude a montré que les personnes âgées utilisant desordinateurs semblent avoir un risque réduit de démence[72].
Démence de lachorée de Huntington, maladie autosomique dominante accompagnée d’un déclin auditif
La « démence sénile », terme désormais peu employé par les professionnels et rejeté par certains d'entre eux[73],[74], désigne toute forme de démence survenant chez une personne âgée, quelle qu'en soit la cause[73].
Certaines démences sont évitables (démence alcoolique par exemple). Peu de démences sont curables une fois installées (1,5 % environ à ce jour) ;
Les traitements les plus fréquents sont alors :
neurochirurgicaux ; en cas de tumeurs bénignes, hydrocéphalie chronique de l’adulte (dite « à pression normale »), hématome sous-dural, causes qui sont aisément révélées par l’imagerie cérébrale ;
endocriniens ou carentiels (rarement efficaces mais permettant de rendre certaines démences réversibles).
La guérison du malade n'est cependant pas toujours complète ou durable. Il est parfois au moins possible de traiter des affections concomitantes réversibles (qui selon Michel & Sellal en2011, aggraveraient la démence dans près d’un quart des cas)[75].
En 2019, le fardeau économique mondial de cet état pathologique atteignait 1,3 trillion de dollars américains (USD) et, selon l'OMS devrait atteindre 2,8 trillions de dollars américains d’ici 2030[26],[76].
Depuis juillet 2007, dans le cadre du Plan national Maladies rares[77] (PNMR), un centre de référence a été labellisé pour la prise en charge des personnes atteintes des démences rares suivantes : démence ou dégénérescence fronto-temporale (DFT),paralysie supranucléaire progressive (PSP),dégénérescence cortico-basale (DCB) et aphasie primaire progressive (APP). Ce centre de référence des Démences Rares[78], est localisé à l'hôpital de la Salpêtrière àParis et travaille en collaboration avec 12 centres de compétence régionaux, pour améliorer la prise en charge des patients et des familles sur toute laFrance.
« Un trouble neurocognitif (TNC) : une réduction acquise, significative et évolutive des capacités dans un ou plusieurs domaines cognitifs. Ce déclin cognitif est persistant, non expliqué par une dépression ou des troubles psychotiques, souvent associé à un changement de comportement, de personnalité. Un TNC majeur (anciennement démence) : une réduction acquise, significative et évolutive des capacités dans un ou plusieurs domaines cognitifs, suffisamment importante pour ne plus être capable d’effectuer seul les activités de la vie quotidienne (perte d’autonomie) : gérer son budget, ses traitements, faire ses courses, utiliser les transports, le téléphone. Ce trouble diffère d’un syndrome confusionnel. »
.
↑ab etcCollectif, « Guide parcours de soins des patients présentant un trouble neurocognitif associé à la maladie d’Alzheimer ou à une maladie apparentée »,Les parcours de soins - HAS,(lire en ligne) :
« Le terme de démence est remplacé aujourd’hui par trouble neurocognitif majeur. Dans un trouble neurocognitif majeur, les déficits cognitifs interfèrent avec l’autonomie dans les actes du quotidien, ce qui signifie qu’une aide est nécessaire pour accomplir les activités instrumentales de la vie quotidienne, comme payer ses factures ou gérer ses médicaments. »
↑Lalla MariamHaïdara, « Les causes biopsychologiques des symptômes comportementaux et psychologiques de la démence »,thèse,(lire en ligne, consulté le).
↑Mahmoudi, R., Maheut-Bosser, A., Hanesse, B., et Paille, F. (2006). La Neurosyphilis: une cause rare de démence. La Revue de médecine interne, 27(12), 976-978 (résumé).