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Décemvir à pouvoir consulaire

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Données clés

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Undécemvir à pouvoir consulaire (enlatin :decemvir legibus scribundis consulari imperio) est un membre d'un des deux collèges dedix hommes qui aurait eu pour mission de rédiger laLoi des XII tables entre451 et449 av. J.-C., premier corps de lois rédigé de laRome antique.

Il se serait agi d'une magistrature extraordinaire disposant d'unpouvoir consulaire (consulari imperium), créée dans le cadre des luttes entreplébéiens etpatriciens et qui remplace le collège des consuls[1]. Une fois sa mission achevée, le deuxième collège de décemvirs aurait tenté de se maintenir illégalement au pouvoir et finalement la magistrature a été abolie, permettant le retour desconsuls à la tête de l'État.

Cette narration traditionnelle est toutefois fortement sujette à caution et son authenticité est mise en cause par les historiens modernes.

Le contexte politique

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Article connexe :Lex Terentilia.

La constitution du collège desdecemviri fait suite à une dizaine d’années d’agitation politique à Rome. Lestribuns de la plèbe dénoncent l’arbitraire des décisions de certainsconsuls qui interprètent à leur gré la loi orale et réclament depuis462 av. J.-C. la mise par écrit des droits des consuls à travers larogatio Terentilia dont le vote est constamment repoussé par lespatriciens. En effet, à cette époque, les lois ne sont pas mises par écrit à Rome, contrairement à ce qu'il est coutume de faire dans le monde hellénique. Les décisions prises par les magistrats romains ne se réfèrent donc pas à des principes connus de tous, d'où la nature arbitraire de leur pouvoir que contestent les plébéiens[2].

Après des années de tension et de violences, les deux partis trouvent un compromis[2] avec la création d’une commission mixte chargée de rédiger des lois communes auxpatriciens et auxplébéiens, en contrepartie de l’abandon du projet delex Terentilia. LeSénat accepte et, en453 av. J.-C., une délégation de trois sénateurs,Spurius Postumius Albus Regillensis,Aulus Manlius Vulso etServius Sulpicius Camerinus Cornutus, reçoit pour mission d’aller àAthènes étudier les lois deSolon et celles des autres cités grecques[3],[4],[a 1]. Il est plus probable que les ambassadeurs romains se soient en fait rendus dans les cités grecques du sud de l'Italie[2].

Création des décemvirs à pouvoir consulaire (451)

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À leur retour en452 av. J.-C.[5], les délégués font leur rapport devant le Sénat qui décide la création d'une commission spéciale pour un an, lesdecemviri legibus scribendis consulari imperio (littéralement, « les dix hommes au pouvoir consulaire pour écrire les lois »)[a 2],[a 3].

Lesdecemviri dispose d'un pouvoir absolu, sans précédent, mettant en suspens celui desconsuls, qui est justement contesté, mais aussi destribuns de la plèbe[3]. Il suspend également le droit d'appel (provocatio), pourtant un droit fondamental ducitoyen romain qui lui assure son statut d'homme libre[2]. Leur mission principale est de mettre le droit par écrit afin de rendre la loi accessible à tous de sorte que nul ne puisse la contester[3]. En dehors de leur travail rédactionnel, les décemvirs gouvernent et rendent la justice chaque jour à tour de rôle. Le pouvoir du décemvir du jour est symbolisé par les douzelicteurs qui le précèdent dans ses déplacements.

Le premier collège desdecemviri (451-450)

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Les membres

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Selon Denys d'Halicarnasse, les décemvirs sont tous choisis parmi lespatriciens car lessénateurs estiment que seuls ces derniers peuvent proposer des lois, même s’il est convenu que le peuple les voterait. Mais ce principe n'est pas toujours appliqué parTite-Live et lesFastes capitolins[6]. Il paraît en fait peu probable que le premier collège n'ait été constitué que de patriciens, certainsnomina des membres, commeGenucius ouMinucius selon les sources, sont plébéiens[2]. Mais même si la composition est mixte, il est certain que les patriciens ont réussi à se réserver une place prépondérante et ainsi s'assurer le contrôle des décisions prises par les décemvirs[2].

Sont choisis d’office les membres de la délégation envoyée à Athènes :Servius Sulpicius Camerinus Cornutus,Aulus Manlius Vulso etSpurius Postumius Albus Regillensis, ainsi que les consuls désignés pour l’année,Appius Claudius Crassus Regillensis Sabinus etTitus Genucius Augurinus[7]. S’y ajoutentPublius Sestius Capitolinus Vaticanus, qui a proposé auSénat la création de la commission, ainsi queTitus Veturius Geminus Cicurinus,Caius Iulius Iullus,Publius Curiatius Fistus Trigeminus etTitus Romilius Rocus Vaticanus[7].Diodore de Sicile confirme cette liste donnée parTite-Live, sauf pourPublius Curiatius Fistus Trigeminus qu'il remplace parPublius Horatius Pulvillus[a 4].Denys d'Halicarnasse donne la même liste que Diodore, avec Publius Horatius[a 5], un ancien consul dont l’âge doit apporter la pondération utile aux discussions. La direction de la commission est confiée àAppius Claudius Sabinus.

Réalisations

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Selon les sources antiques, le premier collège des décemvirs gouverne avec modération et impartialité entre451 et450 av. J.-C. et ont la chance qu’aucun ennemi de Rome ne se manifeste pendant cette période. Ils rédigent les premières lois sous dix titres et les soumettent au vote populaire descomices centuriates. Elles sont gravées sur dix tables d'airain ou de bois, selon les traditions.

Le second collège desdecemviri (450-449)

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Affichage des tables de bronze portant la loi dite « des Douze Tables ».

Les membres

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Pour compléter ces lois, on organise l'année suivante des élections pour désigner de nouveaux décemvirs.Appius Claudius Sabinus se représente, contrairement à l'usage qui veut qu'on ne puisse pas briguer unemagistrature deux années de suite. Il se fait néanmoins réélire après une active campagne de séduction auprès du peuple. Sont également élus :Marcus Cornelius Maluginensis,Lucius Sergius Esquilinus,Lucius Minucius Esquilinus Augurinus,Quintus Fabius Vibulanus,Titus Antonius Merenda,Manius Rabuleius,Quintus Poetelius Libo Visolus,Kaeso Duillius Longus etSpurius Oppius Cornicen[6]. La liste donnée par Tite-Live est confirmée parDiodore de Sicile[a 4], et parDenys d'Halicarnasse[a 6]. Ce dernier affirme que le second collège compte troisplébéiens, Poetilius, Duillius et Oppius, ce qui contreditTite-Live qui les déclare tous patriciens. LesnominaAntonius etRabuleius n'ont jusqu'à présent été portés que par des plébéiens, aussi, si l'indication de Denys d'Halicarnasse est fondée, on peut penser que ce deuxième collège a été partagé de manière équitable entre patriciens et plébéiens[8]. Lesdecemviri entrent en fonction aux ides de mai450 av. J.-C. et créent la surprise en se présentant chacun précédé de douzelicteurs, soit cent-vingt licteurs en tout, une force de coercition jamais vue à Rome.

Réalisations

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Pendant cette seconde année, les décemvirs abusent de leur pouvoir et gouvernent avec despotisme, brimant laplèbe et ignorant leSénat.Appius Claudius Sabinus, le plus puissant d'entre eux, s'attire la haine du peuple. Au bout de l'année, ils ajoutent deux nouvelles lois aux précédentes, d'où le nom de « Loi des Douze Tables »[9],[a 7]. Selon Diodore de Sicile, ces deux nouvelles lois ne sont ajoutées que l'année suivante, en449 av. J.-C., par les consuls qui succèdent aux décemvirs.

Maintien des décemvirs au pouvoir

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Après les ides de mai449 av. J.-C., bien que leur mandat d’un an soit terminé et leur travail législatif achevé, les décemvirs, entrainés parAppius Claudius Sabinus, restent illégalement au pouvoir[10],[11] et s'entourent d'une garde nombreuse, étouffant toute protestation émanant de toutes les classes sociales[10]. Une opposition sénatoriale se développe néanmoins, menée parLucius Valerius Potitus etMarcus Horatius Barbatus, et emporte le soutien du peuple[12].

La guerre déclenchée contre Rome par lesSabins installés dansEretum et lesÈques qui campent sur lemont Algide[12] oblige les décemvirs à réunir leSénat pour obtenir la levée des troupes romaines, organisées en deux armées commandées chacune par quatre décemvirs[12]. Ces derniers sont donc contraints de se disperser et se partagent les secteurs d’opérations, tandis qu'Appius Claudius Sabinus etSpurius Oppius Cornicen restent à Rome pour assurer la défense de la ville[a 8],[a 9].Quintus Fabius,Manius Rabuleius,Kaeso Duillius etQuintus Poetilius partent affronter les Sabins etMarcus Cornelius,Lucius Minucius,Titus Antonius etLucius Sergius combattent les Èques. Ils sont tous tenus en échec[10]. Les deux armées se replient, la première entreFidènes etCrustumerium et la deuxième surTusculum[12],[13],[a 10].

La chute des décemvirs

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Les crimes des décemvirs

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Uccisione di Virginia de Camillo Miola, 1882.

Selon la tradition, deux crimes des décemvirs déclenchent une révolte populaire et le soulèvement de l'armée.Tite-Live etDenys d'Halicarnasse s'étendent longuement sur les deux événements[a 11],[a 12], tandis queDiodore de Sicile ne cite que l'un d'eux, l'épisode de la jeune fille, mais sans nommer niVerginia niAppius Claudius Sabinus.

Le premier des deux crimes est le meurtre de l’opposantplébéien Lucius Siccius Dentatus, ancien tribun de la plèbe, durant une campagne en pays sabin[14], meurtre déguisé en perte dans une embuscade ennemie[a 13]. Cette disparition dresse aussitôt les soldats contre les décemvirs[15]. Le deuxième crime se déroule à Rome.Appius Claudius Sabinus revendique comme esclave la jeuneVerginia, fille du centurionLucius Verginius, et promise àLucius Icilius, ancientribun de la plèbe. Il lui intente un procès en liberté qu'il préside lui-même. À l'issue du procès, le statut d'esclave de Verginia est confirmé par la sentence décemvirale et son père préfère la poignarder en pleinForum, près duSacellum de la Vénus Cloacina, pour la soustraire aux violences deSabinus[10],[15].

Deuxième sécession de la plèbe

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Article détaillé :Deuxième sécession de la plèbe.

À la nouvelle de la mort de Verginia, les soldats d'une colonne de l'armée mobilisée sur le front èque et volsque se mutinent et quittent le mont Vecilius pour venir camper sur l'Aventin, face à Rome[15],[16]. Les civils plébéiens se joignent à eux sur l'Aventin et le Sénat envoie trois consulaires,Spurius Tarpeius,Servius Sulpicius etCaius Iulius[17], pour connaître leurs revendications[18],[16]. Les insurgés réclament la venue de Lucius Valerius et Marcus Horatius, seuls patriciens avec lesquels ils acceptent de traiter[16]. Suivant une proposition de Verginius qui s'exclut lui-même du vote, les soldats mutinés élisent dix des leurs commetribuns militaires pour assurer le commandement de l'insurrection[16]. Pendant ce temps, un mouvement comparable mené par les chefs plébéiens Icilius et Numitorius agite l'armée partie en campagne contre les Sabins. En apprenant l'élection de dix tribuns militaires, la deuxième armée de soldats mutinés fait de même[16]. Ces nominations de tribuns militaires pour remplacer un commandement contesté préfigure l'instauration dutribunat militaire à pouvoir consulaire quelques années plus tard[19].

Démission des décemvirs

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Les deux armées font leur jonction sur l'Aventin où les vingt tribuns élisent deux d'entre eux, Sextus Manilius et Marcus Oppius, comme chefs[17],[19]. À l'instigation de Marcus Duillius, ancien tribun de la plèbe, l'armée quitte l'Aventin et investit leMont Sacré afin de transformer le mouvement d'insurrection en sécession[19], bientôt rejoint par de nombreux plébéiens de Rome[15]. Sous la pression des soldats et des plébéiens, les décemvirs sont contraints de démissionner. Selon Tite-Live, au moins neuf tribuns de la plèbe sont élus afin de rétablir leconsulat. Parmi eux, Caius Apronius, Marcus Duillius, Lucius Icilius, Publius Numitorius, Caius Oppius, Marcus Pomponius, Caius Sicinius, Marcus Titinius et Lucius Verginius[10]. En plus de rétablir les consuls à la tête de l'État, les tribuns font voter des lois qui rendent obligatoire le maintien des mandats des tribuns de la plèbe et le droit d'appel. Publius Numitorius etLucius Verginius poursuivent respectivementSpurius Oppius Cornicen etAppius Claudius Sabinus qui se suicident avant leur procès[14]. Les autres décemvirs anticipent la condamnation et s’exilent[10]. Leurs biens sont confisqués[a 14],[a 15],[a 16].

Rétablissement du consulat

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Après le départ des décemvirs, des élections consulaires sont organisées, sous la présidence duPontifex Maximus, un Quintus Furius selonTite-Live[a 17] maisManius Papirius Crassus selonAsconius[17]. Selon la tradition, les consuls élus sontLucius Valerius Potitus etMarcus Horatius Barbatus[a 18],[a 19],[a 20]. Ces derniers parviennent à calmer les insurgés en promettant le rétablissement des principales libertés. Ils font voter une série de lois favorables à la plèbe, lesleges Valeriae Horatiae, qui rétablissent entre autres les dispositions instituées par lesleges Valeriae Publicolae de509 av. J.-C.[19]

Conséquences

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De cette crise politique interne importante, les Romains retirent les fondements dudroit romain que constitue laLoi des Douze Tables. Celle-ci fonde l’égalité despatriciens et desplébéiens devant une loi enfin rédigée et visible de tous. Les droits des citoyens romains sont désormais garantis par ce corps de lois écrit accessible à tous et qui sert de référence[20]. Les magistrats ne peuvent donc plus exercer un pouvoir arbitraire et le citoyen attaqué peut désormais invoquer les lois écrites pour se défendre[20]. La codification des lois romaines semblent sonner comme une victoire des plébéiens sur le pouvoir des patriciens mais si on y trouve en effet des lois qui leur sont favorables, on trouve également des mesures annonçant la volonté des patriciens de s'organiser en un système de caste fermée. Ainsi, une des douze lois, qui est remise en cause à peine quelques années plus tard, interdit les mariages mixtes patricio-plébéiens[21].

Analyse moderne

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L'écriture des lois

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Selon la tradition, la rédaction des lois se déroule en deux temps. Les dix premières lois, jugées satisfaisantes par l'ensemble du peuple romain, sont rédigées par la première commission entre 451 et 450 av. J.-C. Les auteurs antiques expliquent que l’œuvre législative n'étant pas achevée, une seconde commission est nommée et produit les deux dernières lois. Celles-ci, contrairement, aux dix premières, provoquent un large débat et sont jugées scandaleuses par les plébéiens, toujours selon la tradition. L'histoire du décemvirat paraît en fait plus complexe et cette simplification qui consiste à opposer la première commission, juste et légitime, à la seconde, cruelle et tyrannique, ne serait qu'une invention des annalistes[21].

La chute des décemvirs

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L’authenticité de l’épisode deVerginia, dont la mort pour sauver sa vertu déclenche une révolution contre un pouvoir despotique, est douteuse[13], offrant un parallèle trop marqué avec le renversement du roiTarquin le Superbe à la suite de la mort deLucrèce. Le procès scandaleux de Verginia symbolise en fait la réduction en esclavage du peuple romain par les décemvirs[22]. Il illustre les menaces que représente l'exercice d'un pouvoir arbitraire et légitime la création de la loi des XII Tables, censée éviter que cela ne puisse se reproduire[23].

Le crime commis à l'encontre de Verginia, d'ordre sexuel, s'ajoute au crime commis en se maintenant illégalement au pouvoir, d'ordre politique, et à celui commis en éliminant l'opposant Lucius Siccius au cours d'une campagne, d'ordre militaire. Le récit traditionnel fait se succéder trois crimes des décemvirs concernant les trois fonctions principales : morale, politique et militaire[24]. Cette succession rappelle une fois de plus la construction du récit des annalistes pour la chute du roiTarquin[24]. La tradition paraît donc avoir été fortement remaniée et la perception qu'on a aujourd'hui du décemvirat pourrait être complètement faussée. Il pourrait en fait s'agir de l'expérience d'un nouveau type de gouvernement qui aurait été reconduit une deuxième année[24].

Les élections consulaires de 449

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La similitude des noms des consuls donnés par les auteurs antiques avec ceux de l'année 509 rendent leur authenticité douteuse. De plus, les lois dont ils seraient les auteurs, qui donnent force de loi aux plébiscites, rétablissent le droit d'appel et la sacro-sainteté des tribuns de la plèbe, rappellent également les actions des consuls de 509, ce qui renforce l'idée d'une invention de l'annalistique[17].

Notes

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  • Sources modernes :
  1. Rougé 1991,p. 220.
  2. abcde etfBriquel 2000,p. 194.
  3. ab etcBriquel 2000,p. 193.
  4. Broughton 1951,p. 43.
  5. Broughton 1951,p. 44.
  6. a etbBroughton 1951,p. 46.
  7. a etbBroughton 1951,p. 45.
  8. Broughton 1951,p. 47.
  9. Broughton 1951,p. 46-47.
  10. abcde etfBroughton 1951,p. 48.
  11. Briquel 2000,p. 196-197.
  12. abc etdCels-Saint-Hilaire 1995,p. 180.
  13. a etbBriquel 2000,p. 197.
  14. a etbBroughton 1951,p. 48-49.
  15. abc etdCels-Saint-Hilaire 1995,p. 181.
  16. abcd eteGagé 1978,p. 304.
  17. abc etdBroughton 1951,p. 49.
  18. Cels-Saint-Hilaire 1995,p. 181-182.
  19. abc etdGagé 1978,p. 305.
  20. a etbBriquel 2000,p. 195.
  21. a etbBriquel 2000,p. 196.
  22. Cels-Saint-Hilaire 1995,p. 184.
  23. Briquel 2000,p. 197-198.
  24. ab etcBriquel 2000,p. 198.
  1. Tite-Live,Histoire romaine,III, 31, 7-8
  2. Tite-Live,Histoire romaine,III, 32-33
  3. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,X, 54-56
  4. a etbDiodore de Sicile,Bibliothèque historique, XII, 9
  5. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines, X, 56
  6. Denys d'Halicarnasse,Antiquité romaine, X, 58, 4
  7. Cicéron,De Republica, II, 63
  8. Tite-Live,Histoire romaine,III, 38-42
  9. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,XI, 2, 1
  10. Tite-Live,Histoire romaine,III, 42
  11. Tite-Live,Histoire romaine, III
  12. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines, XI
  13. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,XI, 25, 2
  14. Tite-Live,Histoire romaine,III, 43-54
  15. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,XI, 24-43
  16. Diodore de Sicile,Bibliothèque historique,XII, 24-25
  17. Tite-Live,Histoire romaine,III, 54, 5
  18. Tite-Live,Histoire romaine,III, 55, 1
  19. Denys d'Halicarnasse,Antiquités romaines,XI, 5, 2
  20. Diodore de Sicile,Bibliothèque historique,XII, 26, 1

Bibliographie

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Auteurs antiques

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Auteurs modernes

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Voir aussi

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Premier collège des décemvirs(451 à450 av. J.-C.)
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