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Coulounieix-Chamiers

45° 11′ 14″ nord, 0° 41′ 32″ est
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Coulounieix-Chamiers
Coulounieix-Chamiers
La Maladrerie.
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementDordogne
ArrondissementPérigueux
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Le Grand Périgueux
Maire
Mandat
Thierry Cipierre
2020-2026
Code postal24660
Code commune24138
Démographie
GentiléColomniérois
Population
municipale
7 537 hab.(2022en évolution de −5,17 % par rapport à 2016)
Densité347 hab./km2
Géographie
Coordonnées45° 11′ 14″ nord, 0° 41′ 32″ est
AltitudeMin. 78 m
Max. 222 
m
Superficie21,70 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbainePérigueux
(banlieue)
Aire d'attractionPérigueux
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Coulounieix-Chamiers
(bureau centralisateur)
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Coulounieix-Chamiers
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Coulounieix-Chamiers
Géolocalisation sur la carte :Dordogne
Voir sur la carte topographique de la Dordogne
Coulounieix-Chamiers
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Coulounieix-Chamiers
Liens
Site webSite officiel
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Coulounieix-Chamiers (/kulunjɛʃamje/) est unecommunefrançaise située dans ledépartement de laDordogne, enrégionNouvelle-Aquitaine.

Géographie

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Généralités

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Incluse dans l'unité urbaine de Périgueux etson aire d'attraction, la commune de Coulounieix-Chamiers constitue au sud-ouest dePérigueux, sa banlieue immédiate. Située enPérigord central, la commune est implantée sur la rive gauche de l'Isle qui la sépare de Périgueux au nord.

Traversée au nord par la route départementale(RD) 6089 (l'anciennenationale 89), limitée à l'est par laRD 6021 (l'ancienne routenationale 21) et au sud parl'autoroute A89 qui se croisent à l'échangeur de Périgueux-Centre, Coulounieix-Chamiers est l'un des plus importants nœuds routiers de la Dordogne. LesRD 4 et 113 desservent également le territoire communal.

La commune dispose de1 800 hectares d'espaces naturels, de 86 km de voirie et de 25 km de sentiers de randonnée, dont lesentier de grande randonnée 654 sur plus de cinq kilomètres entre Périgueux etSanilhac.

Communes limitrophes

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Coulounieix-Chamiers est limitrophe de cinq autres communes, dontRazac-sur-l'Isle à l'ouest, par unquadripoint, au niveau de la Borne Panlaire. Au nord, son territoire est distant de moins de200 mètres de celui deChancelade.


Carte
Les limites communales de Coulounieix-Chamiers et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deCoulounieix-Chamiers
Périgueux
Marsac-sur-l'Isle,
Razac-sur-l'Isle
Coulounieix-Chamiers
CoursacSanilhac

Géologie et relief

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Géologie

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Situé sur la plaque nord duBassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange duMassif central, le département de laDordogne présente une grande diversitégéologique. Les terrains sont disposés en profondeur enstrates régulières, témoins d'unesédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leurâge géologique. Coulounieix-Chamiers est située dans le troisième gradin à partir du nord-est, un plateau formé decalcaires hétérogènes duCrétacé[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées deformations superficielles duQuaternaire et deroches sédimentaires datant pour certaines duCénozoïque, et pour d'autres duMésozoïque. La formation la plus ancienne, notée c3(2), date duConiacien indifférencié, composée de calcairesgréseux, sables etmarnes à la base puis calcairesbioclastiques et calcaires crayeux etglauconieux ou calcaires à huîtres au sommet. La formation la plus récente, notée Xr, est constituée dedépôts anthropiques (Gallo-romain à actuel). Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 758 - Périgueux (ouest) » et « no 759 - Périgueux (est) » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

Carte géologique de Coulounieix-Chamiers.
Légende de la carte géologique.
ÈrePériodeÉpoqueFormations géologiques
Cénozoïque
(0 - 66.0)
Quaternaire
(0 - 2.58)
Holocène
Xr :Anthropique : remblais, dépôts, déblais carrière (Gallo-romain à actuel)
CFvs :Formations superficielles :colluvions carbonatées de vallons secs : sablelimoneux à débris calcaires et argile sableuse à débris
Fy3-z :Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argilessilteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
Pléistocène
Fxb3 :Bassesterrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) : séquence 3 (Saalien - '-Riss'-)
Fxb2 :Bassesterrasses (RD Garonne) - Terrasse d'Izon (type 6) : séquence 2 (Saalien - '-Riss'-)
Fwb(D) :Moyennesterrasses - Terrasses de Malleret sup. indifférenciées (types 3 à 5) : argiles à graviers, galets à la base et sables fins à moyens au sommet (Elstérien - '-Mindel'-)
Néogène
(2.58 - 23.03)
 non présent
Paléogène
(23.03 - 66.0)
Oligocène non présent
Éocène
e4b(1) :Formation deGuizengeard inf. : sables finsfeldspathiques vert pâle à graviers et à matière organique,pyrite et argilessilteuseskaoliniques gris-verdâtres à blanchâtres àmarmorisation / rubéfaction au sommet (Yprésien sup. continental)
Paléocène non présent
Mésozoïque
(66.0 - 252.17)
Crétacé
(66.0 - ≃145.0)
Supérieur
Ac :Altérites duCrétacé sup. : argileskaoliniques,silteuses à sableuses, parfois rubéfiées, à gravier, à silex etchailles, avec apport local duTertiaire (complexe des Doucins)
c5b :Campanien 2 : calcaires crayo-marneux blanchâtres à grosses silicifications grises en alternance dures et tendres puis calcaire crayeux àglauconie (formations de Marsaguet, de Segonzac et sommet deTrémolat)
c5a(2) :Campanien 1 : calcairespackstone àwackstone crayo-marneux gris blanchâtres à subalvéolines à silex gris ou noirs avec localement des niveauxgréseuxbioclastiques,marnes àrhynchonelles à la base (formations d'Atur, deVergt, deSalon et deTrémolat)
c4b-c :Santonien moy. à sup. : calcaire crayo-glauconieux avec niveaux à huîtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier à silex etrudistes (formation deSaint-Félix-de-Reillac).Faciès pouvant évoluer vers des sables fins etgrès carbonatés àrudistes
c3(2) :Coniacien indifférencié : calcairesgréseux, sables etmarnes à la base puis calcairesbioclastiques et calcaires crayeux etglauconieux ou calcaires à huitres au sommet
inférieurnon présent.
Jurassique
(≃145.0 - 201.4)
 non présent
Trias
(201.4 - 251.902)
 non présent
Paléozoïque
(252.17 - 538.8)
 non présent
 

Relief et paysages

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Le département de la Dordogne se présente comme un vasteplateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans leNontronnais, àSaint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (2 m àLamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 78 m[6] au nord, là où l'Isle quitte la commune pour entrer sur celle deMarsac-sur-l'Isle, et 222 m[6] au niveau du château d'eau implanté au sud du bourg de Coulounieix[7].

Dans le cadre de laConvention européenne du paysage entrée en vigueur en France le, renforcée en 2016 par laloi pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, unatlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en[8]. Les paysages du département s'organisent en huitunités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune fait partie duPérigord central, un paysage vallonné, aux horizons limités par de nombreux bois, plus ou moins denses, parsemés de prairies et de petits champs[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 21,70 km2[6],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de laBD Topo, composante duRéférentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 21,49 km2[3].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans lebassin versant de la Dordogne au sein dubassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par l'Isle, leCerf et par un petit cours d'eau, qui constituent unréseau hydrographique de 13 km de longueur totale[15],[Carte 1].

L'Isle, d'une longueur totale de 255,29 km, prend sa source dans laHaute-Vienne dans la commune deJanailhac et se jette dans laDordogne — dont elle est le principal affluent — en rive droite face àArveyres, en limite deFronsac et deLibourne[16],[17]. Elle borde la commune au nord sur six kilomètres face àPérigueux.

Le Cerf, d'une longueur totale de 15,37 km, prend sa source dans la commune deBoulazac Isle Manoire (territoire de l'ancienne commune d'Atur) et se jette dans l'Isle en rive gauche àRazac-sur-l'Isle[18]. Il sert de limite sud à la commune sur quatre kilomètres, face àSanilhac etCoursac.

  • L'Isle sert de limite entre Coulounieix-Chamiers (à gauche) et Périgueux.
    L'Isle sert de limite entre Coulounieix-Chamiers (à gauche) et Périgueux.
  • L'Isle au barrage de Campniac entre Coulounieix-Chamiers (au fond) et Périgueux.
    L'Isle au barrage de Campniac entre Coulounieix-Chamiers (au fond) et Périgueux.
  • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Coulounieix-Chamiers.

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe lesbassins versants de l'Isle et de laDronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[19]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE duBassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le[20].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Dordogne.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[21]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud sans saison sèche[22]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[23] et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à20 jours)[24]. Elle est en outre dans lazone H2c au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[25],[26].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de12,5 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 908 mm, avec12,3 jours de précipitations en janvier et6,9 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 912,2 mm[27],[28]. La température maximale relevée sur cette station est de41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de−13,8 °C, atteinte le[Note 3].

Statistiques 1991-2020 et records station COULOUNIEIX (24)- alt : 217 m, lat : 45°09'34"N, lon : 0°40'36"E
Records établis sur la période du
1er octobre 2004 au
Moisjan.fév.marsavrilmaijuinjui.aoûtsep.oct.nov.déc.année
Température minimale moyenne (°C)2,72,34,87,510,313,615,314,712,39,85,93,18,5
Température moyenne (°C)5,56,19,312,615,41921,120,51814,49,36,113,1
Température maximale moyenne (°C)8,49,913,817,820,524,426,926,423,618,912,69,217,7
Record de froid (°C)
date du record
−8,6
11.01.10
−13,8
09.02.12
−10
01.03.05
−2,5
03.04.22
0,4
05.05.19
5,4
01.06.06
8,6
07.07.24
7,9
31.08.10
4,2
26.09.10
−0,8
29.10.12
−5,4
18.11.07
−8,6
19.12.09
−13,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,6
01.01.22
24,9
27.02.19
25,7
20.03.05
29,8
30.04.05
32,8
30.05.25
38,1
30.06.15
39,1
23.07.19
41,1
11.08.25
35,5
03.09.05
32
01.10.23
23,9
07.11.15
17,7
08.12.10
41,1
2025
Précipitations (mm)89,373,481,882,881,383,456,359,25572,98393,8912,2
Record de pluie en 24 h (mm)
date du record
38,7
19.01.13
35,3
13.02.16
31
03.03.06
50
19.04.25
34,8
18.05.17
52,2
06.06.11
69,9
27.07.06
58,4
29.08.07
37,3
30.09.16
71,2
20.10.09
30,6
02.11.09
38,6
10.12.17
71,2
2009
Source :« Fiche 24138004 »[PDF], surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/data, édité le : 06/10/2025 dans l'état de la base(consulté le)
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
8,4
2,7
89,3
 
 
 
9,9
2,3
73,4
 
 
 
13,8
4,8
81,8
 
 
 
17,8
7,5
82,8
 
 
 
20,5
10,3
81,3
 
 
 
24,4
13,6
83,4
 
 
 
26,9
15,3
56,3
 
 
 
26,4
14,7
59,2
 
 
 
23,6
12,3
55
 
 
 
18,9
9,8
72,9
 
 
 
12,6
5,9
83
 
 
 
9,2
3,1
93,8
Moyennes :• Temp.maxi etmini°C• Précipitationmm

Urbanisme

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Typologie

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Au, Coulounieix-Chamiers est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[29].Elle appartient à l'unité urbaine dePérigueux, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de labanlieue[30],[31]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Périgueux, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[31]. Cette aire, qui regroupe 49 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[32],[33].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (45,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :forêts (31 %), zones urbanisées (23,1 %),terres arables (18,3 %), zones agricoles hétérogènes (17 %), prairies (5,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,8 %)[34]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement social

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En 2012, la commune dispose de 24,35 % delogements sociaux, taux supérieur à l'obligation minimale de 20 % pour les communes de plus de 3 500 habitants dans l'agglomération périgourdine[35].

Fin 2021 débute le chantier qui, à terme, doit rénover la cité HLM Jacqueline-Auriol de Chamiers bâtie dans les années 1950 ; cela doit se traduire par la réhabilitation de312 logements sociaux, la démolition de201 autres, la reconstruction de49 autres et l'édification de160 logements privés, d'unemaison de quartier, d'uncentre social, d'un pole artisanal et ducentre médico-social de la Dordogne[36].

Site de l'ancien camp américain

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Sur le site de l'ancien américain de l'OTAN en bordure de l'Isle a été édifié le « Sîlot », un pôle des cultures urbaines et de l'économie sociale et solidaire[37]. À l'été 2022, le site est l'objet de festivités (concerts, sports et activités pour les jeunes)[37]. Les travaux ont commencé en pour une ouverture en[38],[39]. Il se compose de sept halles qui abritent« une salle de concert […], un espace pour des expositions, des bureaux […], un pôle numérique […] et un bar-restaurant »[38]. Dans le parc attenant se situent unemicro-ferme et unskatepark, en partie couvert[38].

Hameaux et lieux-dits

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D'après lacarte de Béleyme, les hameaux et lieux-dits de la commune de Coulounieix peuvent être distingués de celle de Saint-Jean-de-la-Cité :De Coulounieix, dépendaient les hameaux et lieux-dits suivants : Andrivaux, Beaufort, Cafaret, Chabrier, Chantemerle, Charbonieras, Ecorneboeuf, Gareloup, la Garelie, le Payçet, la Petite-Borie, la Petite-Forêt, la Rampinsolle, le Crost, le Pont-du-Cerf, les Croix, les Crouchaux, les Quicoux, Malvy, Montgaillard, Sarailler, Soucheix et Toirac ; de Saint-Jean-de-la-Cité dépendaient les hameaux et lieux-dit suivants : Balzac, Barbette, Bayot, Beaudessou, Beaulieu, Brûleboux, Campniac, Camps-de-César, Castel-Fadèze, Bas et Haut-Chamiers, Chansaud, Côtes-de-France, Cuirassou, Gardonne, Gironde, Guillemotte, Guillot, la Boissière, la Curade, la Grande-Borie, la Grange, la Peyrouse, la Rophie, le Lac-Beze, le Roc, les Andrieux, les Anglais, les Brandes, les Gourjonnes, les Izards, les Rousalas, les Veyriers, Marival, Marcheix, Mérillier, Mondissous, Pagot, Pareau, Paricaud, Perlijoux, Peyrelade, Plague, Plancheix, Puybournet, Saint-Augûtre, Sarrazi, Soussurac, Terrias, Tuilière et la Vieille-Cité.

Prévention des risques

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Le territoire de la commune de Coulounieix-Chamiers est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations,feux de forêts, mouvements de terrains etséisme (sismicité très faible). Il est également exposé à unrisque technologique, letransport de matières dangereuses[40]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[41].

Risques naturels

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La commune fait partie duterritoire à risques importants d'inondation (TRI) de Périgueux, regroupant12 communes concernées par un risque de débordement de l'Isle, un des18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur lebassin Adour-Garonne[42]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues de 1783 (5,21 m à l'échelle de crue, la crue la plus importante connue), de 1843 (4,83 m) et de 1944 (4,5 m, 630 m3/s, la crue centennale de référence). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue detemps de retour de10 ans à30 ans), moyen (temps de retour de100 ans à300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[43]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1986, 1992, 1993 et 1999[44],[40]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais duplan de prévention des risques inondation (PPRI) de l'« agglomération de Périgueux » prescrit le et approuvé le, pour lescrues de l'Isle. La crue de 1944, plus haute crue historique bien connue sur l'Isle, avec un débit estimé de 630 m3/s à Périgueux, présente unepériode de retour centennale et sert de crue de référence au PPRI[45].

Coulounieix-Chamiers est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[46]. En septembre 2020, un plan inter-départemental deprotection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[47],[48].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coulounieix-Chamiers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[49]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[50]. 93,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveaunational métropolitain)[Carte 4]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[51].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1995, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999, 2005, 2014, 2018 et 2020[40].

Toponymie

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Panneau d'entrée de ville en français et en occitan.

Enoccitan, la commune porte le nomColonhés e Champs Niers[52].

Histoire

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Vers 200av. J.-C., lesPétrocores« habitaient la région située entre laDordogne et laVézère », selonVenceslas Kruta[53]. Ils s'installent pendant cette période sur les hauteurs en rive gauche de l'Isle et créent, sur l'actuel territoire de Coulounieix-Chamiers, unoppidum[54], situé sur le plateau de la Boissière, également connu sous le nom de« camp de César à la Curade »[55]. Cet oppidum, peut-être capitalelaténienne des Pétrocores, est abandonné quelques décennies après laConquête césarienne, et laVesunna gallo-romaine, capitale de cité romaine et futurePérigueux, s'établit sur la rive opposée entre 25 et 16av. J.-C.[56].

La pierre Panlaire est uneborne qui se dresse en bordure de route au croisement des routes conduisant de Coulounieix àRazac et deCoursac àMarsac, près des lieux-dits les Farges et Perlijoux[57]. À l'origine, auXVe siècle, elle marquait la limite des quatreparoisses devenues des communes à la Révolution, à la fin duXVIIIe siècle[57]. Déplacée d'une dizaine de mètres[57], elle se situe désormais sur le territoire de la commune de Coulounieix-Chamiers][58].

En 1824, les communes de La Cité, dite parfois Saint-Jean-de-la-Cité (afin de la différencier de la Cité, Périgueux), et Coulounieix fusionnent[6]. En 1958, Coulounieix prend le nom de Coulounieix-Chamiers[59]

Dans les années 1950-1960, l'OTAN installe une base avec800 soldats au nord de la commune, dans la boucle de l'Isle, à l'emplacement d'une anciennevilla gallo-romaine[60].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune de Coulounieix a été rattachée, dès 1790, aucanton de Périgueux qui dépendait dudistrict de Perigueux. Lesdistricts sont supprimés en 1795. Le canton est rattaché à l'arrondissement de Périgueux en 1800.

La commune prend son nom actuel en 1958. Le canton de Périgueux est scindé en trois en 1973 et Coulounieix-Chamiers fait partie du nouveaucanton de Périgueux-Ouest[6].

Dans le cadre de laréforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît auxélections départementales de mars 2015[61]. La commune est alors rattachée aucanton de Coulounieix-Chamiers, avecbureau centralisateur fixé à Coulounieix-Chamiers.

Intercommunalité

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Le, elle intègre dès sa création lacommunauté d'agglomération périgourdine. Celle-ci disparaît le 31 décembre 2013, remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie :Le Grand Périgueux.

Tendances politiques et résultats

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Articles détaillés :Élections municipales de 2014 en Dordogne etÉlections municipales de 2020 en Dordogne.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 5 000 et 9 999 habitants au recensement de 2017, vingt-neufconseillers municipaux ont été élus en 2020[62],[63].

Liste des maires

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L'articlehistoire des maires de France retrace l'évolution des modalités d'élection ou de nomination desmaires de la commune.
Liste des maires successifs[64]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
1790septembre 1796Vincent Faure de Gardonne  
septembre 17961816Gérôme Gadaud  
1816juin 1819Jean-François Gadaud  
juin 1819août 1837Jean Lavaud de Lalaurencie  
août 1837septembre 1860Guillaume Lavaud de Lalaurencie  
septembre 1860octobre 1865Alphonse Jay de Beaufort  
octobre 1865février 1869M. de Chasseloup-Laubat  
février 1869janvier 1878Léonard Martineau  
janvier 1878mai 1892Guillaume Baylet  
mai 1892mai 1893Antoine Reynal  
mai 1893septembre 1902Gaston de Roffignac(1847-1910) Comte
septembre 1902mai 1904Marc Lamy-Lapeyrière  
mai 1904septembre 1909Charles Flotta  
septembre 1909décembre 1919Albert Dubost  
décembre 1919décembre 1932Roger Rousseau  
décembre 1932octobre 1944Léo Laroche  
octobre 1944août 1962Léopold Marois  
août 1962mars 1965Marcel Dalesme[65](1895-1981) Cultivateur, ancien adjoint au maire
Juste parmi les Nations
mars 1965avril 1970Édouard ThermeDVDDécédé en fonction
avril 1970mars 1971Gabriel Dardailler  
mars 1971juin 1987Jean Sigalas[66],[67](1922-2011)PCFAgent de maitriseSNCF
Démissionnaire
juin 1987mars 1989Camille DaboirPCF 
mars 1989mars 2008Michel Dasseux[68]PSRetraité desPTT
Adjoint au maire(1983 → 1989)
Député de la Dordogne (1re circ.)(1997 → 2007)
Conseiller général de Périgueux-Ouest(1985 → 2001)
Vice-président duconseil général de la Dordogne(1992 → 1998)
Vice-président de laCA périgourdine
mars 2008[69]juillet 2020Jean-Pierre RoussarieDVGProfesseur des écoles retraité
Premier adjoint au maire(1989 → 2003)
Vice-président de laCA périgourdine
juillet 2020[70]en coursThierry CipierreUDI-LC[71]
puisHOR[72]
Pharmacien
Adjoint au maire dePérigueux(2014 → 2020)
Conseiller départemental de Périgueux-2(2015 → 2021)
Conseiller départemental de Coulounieix-Chamiers(2021 → )
10e vice-président duGrand Périgueux(2020 → )

Politique de développement durable

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La commune a engagé une politique dedéveloppement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[73].

Jumelages

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Équipements et services publics

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Santé

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Fin 2025 est posée à Crea'Vallée Nord la première pierre des bâtiments de la future Clinique du Parc, actuellement implantée à Périgueux ; son ouverture est prévue en[74].

Justice

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Dans le domaine judiciaire, Coulounieix-Chamiers relève[75] :

Population et société

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Démographie

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

Leshabitants de Coulounieix-Chamiers sont appelés lesColomniérois[76].

Démographie de La Cité

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Jusqu'en 1824, les communes de La Cité et de Coulounieix étaient indépendantes.

Évolution démographique
de La Cité
1793180018061821
-462583644
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[77])

Démographie de Coulounieix, puis de Coulounieix-Chamiers

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[78]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[79].

En 2022, la commune comptait 7 537 habitants[Note 6], en évolution de −5,17 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
180018061821183118361841184618511856
2983123289809801 0119601 0441 045
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
186118661872187618811886189118961901
1 0731 1861 1881 2371 2991 3331 4151 4031 436
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190619111921192619311936194619541962
1 3321 4181 4611 6101 6771 7192 0162 7095 816
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196819751982199019992006200820132018
7 4218 1698 2508 4038 1028 3648 3568 1087 458
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
2022--------
7 537--------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puisInsee à partir de 2006[80].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports

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Précédemment propriété deLa Poste et géré par l'ASPTT, le gymnase a été racheté par la commune en 2020 ; après rénovation, son inauguration s'est tenue en ; il a été baptisé parCéline Dumerc, ancienne internationale de basket-ball[81].

Manifestations culturelles et festivités

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  • Début mai, sur un week-end, fête du bourg de Coulounieix[82].
  • En mai, salon-exposition-vente de minéraux, fossiles et pierres fines (13e édition en 2025[83]).
  • Au mois de novembre, salon « La Folie chocolat » (13e édition en 2025[84]).
  • En 2008, laFélibrée s'est tenue sur plusieurs communes de l'agglomération périgourdine, dont Coulounieix-Chamiers.

Économie

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Emploi

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L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Coulounieix-Chamiers ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

L'emploi des habitants

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En 2018[85], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 2 975 personnes, soit 35,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (507) a fortement diminué par rapport à 2013 (584) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,0 %.

L'emploi sur la commune

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Fin 2018, la commune offre 2 630 emplois pour une population de 8 356 habitants[86]. Lesecteur tertiaire prédomine avec 43,7 % des emplois mais le secteur administratif (administration publique, enseignement, santé, action sociale) est également très présent avec 36,7 %.

Répartition des emplois par domaines d'activité

 Agriculture, sylviculture ou pêcheIndustrieConstructionCommerce, transports et servicesAdministration publique, enseignement, santé, action sociale
Nombre d'emplois152272721 149966
Pourcentage0,6 %8,6 %10,3 %43,7 %36,7 %
Source des données[86].

Établissements

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Fin 2018, la commune compte233 établissements actifs employeurs[87], dont 152 au niveau des commerces, transports ou services, 35 relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, 30 dans la construction, 14 dans l'industrie, et 2 dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[88].

Entreprises

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Parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, trois sociétés implantées à Coulounieix-Chamiers se classent parmi les cinquante premières de leur secteur d'activité quant auchiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016 :

  • dans le commerce, SA Coopérative artisanale (commerce de gros interentreprises de parfumerie et de produits de beauté) se classe35e avec 18 936 k€[89] ;
  • dans l'industrie, Dordogne enrobés (fabrication de produits minéraux non métalliques) se classe35e avec 7 295 k€[90] ;
  • dans leBTP, Avry le Corvaisier (travaux de maçonnerie générale et gros œuvre de bâtiment) se classe12e avec 5 950 k€[91] ;
  • dans lesservices, Hoche & associés (activités comptables) se classe30e avec 3 989 k€[92] ;
  • dans l'agroalimentaire,CUMA agro Aquitaine (activités de soutien aux cultures) se classe43e avec 1 469 k€[93].
  • En 2025, le Syndicat départemental des déchets de la Dordogne (SMD3) dispose de deux sites de tri des déchets pour le département, un à Coulounieix-Chamiers et l'autre àMarcillac-Saint-Quentin ; à côté du premier site se construit depuis l'automne 2024 un site plus important, plus moderne et plus rapide, qui devrait remplacer en 2026 les deux anciennes usines[94].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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  • La grotte de Campniac.
    La grotte de Campniac.
  • Le château de la Rolphie.
    Le château de la Rolphie.
  • Le château des Izards.
    Le château des Izards.
  • Les cheminées de la Maladrerie.
    Les cheminées de la Maladrerie.
  • Le monument aux morts.
    Le monument aux morts.

Patrimoine religieux

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  • Église Saint-Michel de Coulounieix,XIVe siècle, très retouchée.
  • Église Notre-Dame de l'Immaculée-Conception de Chamiers,XXe siècle, de style moderne.
  • L'église Saint-Michel.
    L'église Saint-Michel.
  • Sa nef.
    Sa nef.
  • Son chœur.
    Son chœur.
  • Détail d'un de ses vitraux.
    Détail d'un de ses vitraux.

Personnalités liées à la commune

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Tournages

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Les records sont établis sur la période du au.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Coulounieix-Chamiers » surGéoportail(consulté le 17 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).

Références

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  2. « Carte géologique de Coulounieix-Chamiers » surGéoportail(consulté le 13 juin 2022).
  3. a etb« Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Coulounieix-Chamiers », surle Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie(consulté le).
  4. « Notice associée à la feuilleno 758 - Périgueux (ouest) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », surInfoterre, le site du BRGM(consulté le).
  5. « Notice associée à la feuilleno 759 - Périgueux (est) de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », surInfoterre, le site du BRGM(consulté le).
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  7. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », surdrive.google.com.
  8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  9. « Unités paysagères de la Dordogne », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  10. « Portrait du Périgord central », surle site de l'atlas des paysages de la Dordogne(consulté le).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Coulounieix-Chamiers », surle site de l'Insee(consulté le).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », surl'Observatoire des territoires(consulté le).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », surdata.iledefrance.fr(consulté le).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », suradour-garonne.eaufrance.fr(consulté le).
  15. « Fiche communale de Coulounieix-Chamiers », surle système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine(consulté le).
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v ·m
(périmètre de 2024 ; population municipale au)
Plus de 20 000 habitants
Plus de 10 000 habitants
Plus de 3 500 habitants
Plus de 2 000 habitants
Moins de 2 000 habitants
Communes déléguées
v ·m
Les communes les plus peuplées de laDordogne
Les communes de 2 000 habitants et plus (population municipale 2022 ; périmètre au)
Plus de 20 000 habitants
De 10 000 à 19 999 habitants
De 5 000 à 9 999 habitants
De 2 000 à 4 999 habitants
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