Pour l’article homonyme, voirCorne.
| la Corne | |
| Caractéristiques | |
|---|---|
| Longueur | 19,7 km[1] |
| Bassin | 318 km2 |
| Bassin collecteur | leRhône |
| Nombre de Strahler | 3 |
| Cours | |
| Source | Les Rougeriaux |
| · Localisation | Saint-Vallerin |
| · Altitude | 270 m |
| · Coordonnées | 46° 41′ 04″ N, 4° 40′ 28″ E |
| Confluence | laSaône |
| · Localisation | Chalon-sur-Saône |
| · Altitude | 177 m |
| · Coordonnées | 46° 45′ 38″ N, 4° 51′ 14″ E |
| Géographie | |
| Principaux affluents | |
| · Rive gauche | l'Orbise |
| · Rive droite | lesCurles et laThalie |
| Pays traversés | |
| Départements | Saône-et-Loire |
| Régions traversées | Bourgogne-Franche-Comté |
| Principales localités | Saint-Rémy,Chalon-sur-Saône |
| Sources :SANDRE:« U3120500 »,Géoportail | |
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LaCorne est unerivière française dudépartementSaône-et-Loire de larégionBourgogne-Franche-Comté et unaffluent de laSaône, c'est-à-dire un sous-affluent duRhône.
D'une longueur de 19,7 kilomètres[1], la Corne prend sa source sur lacommune deSaint-Vallerin à 270 mètres d'altitude, près du lieu-dit les Rougeriaux[2].
Elle coule globalement du sud-ouest vers le nord-est.
Elle conflue sur la commune deChalon-sur-Saône, à 177 mètres d'altitude, entre les deux communes deSaint-Rémy etLux après avoir traversé le quai de Bellevue[2]. Sa partie finale s'appelle aussi Roie de Droux[2].
Dans le seul département de Saône-et-Loire, la Corne traverse dix communes[1] et troiscantons :
Soit en termes de cantons, la Corne prend source dans lecanton de Buxy, traverse lecanton de Givry, conflue dans lecanton de Chalon-sur-Saône-Sud.
La Corne traverse une seule zone hydrographique« la Corne » (U312) de 313 km2 de superficie[1]. Ce bassin versant est constitué à 58,10 % de« territoires agricoles », à 29,25 % de« forêts et milieux semi-naturels », à 12,61 % de« territoires artificialisés », à 0,02 % de« surfaces en eau »[1].
La Corne a cinq affluents référencés[1] :
Donc sonrang de Strahler est de trois.
Le bassin versant de la Corne est de 318 km2[3].
Le 14 mars 1471, durant labataille de Buxy, les chevaux bourguignons sont épuisés par le franchissement de la rivière en crue ; l'armée française reste maitresse du champ de bataille.
La qualité du peuplement piscicole est dite très bonne[3].
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