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Corbeil-Essonnes

48° 36′ 50″ nord, 2° 28′ 55″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirCorbeil.

Page d’aide sur l’homonymie

Pour les autres significations, voirSecteur pastoral de Corbeil-Saint-Germain.

Corbeil-Essonnes
Corbeil-Essonnes
L’hôtel de ville.
Blason de Corbeil-Essonnes
Blason
Image illustrative de l’article Corbeil-Essonnes
Logo
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionÎle-de-France
DépartementEssonne
ArrondissementÉvry
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart
Maire
Mandat
Bruno Piriou (DVG)
2020-2026
Code postal91100
Code commune91174
Démographie
GentiléCorbeil-Essonnois
Population
municipale
53 712 hab.(2022en évolution de +5,22 % par rapport à 2016)
Densité4 878 hab./km2
Géographie
Coordonnées48° 36′ 50″ nord, 2° 28′ 55″ est
AltitudeMin. 32 m
Max. 92 
m
Superficie11,01 km2
TypeGrand centre urbain
Unité urbaineParis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton de Corbeil-Essonnes
(bureau centralisateur)
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Corbeil-Essonnes
Géolocalisation sur la carte :France
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Corbeil-Essonnes
Géolocalisation sur la carte :Essonne
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Corbeil-Essonnes
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Corbeil-Essonnes
Liens
Site webcorbeil-essonnes.com
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Corbeil-Essonnes (prononcé[kɔʁbɛjɛsɔn]Écouter) est unecommune française située à vingt-neuf kilomètres au sud-est deParis, dans ledépartement de l’Essonne enrégionÎle-de-France, issue de la fusion en 1951 des communes de Corbeil et d'Essonnes.

Corbeil, cité gallo-romaine, château de défense de laSeine auMoyen Âge puis ville royale dès 1120, et Essonnes qui connut l’implantation de chasseurs auPaléolithique, de potiersgaulois et qui devint dès leXIIe siècle une importante ville industrielle sur la route de Paris, ont très tôt été liées dans leur développement économique et démographique, bénéficiant de la présence de laSeine et de l’Essonne, cours d’eau sources d’énergie pour les nombreux moulins, et des régions agricoles deBeauce et deBrie aux portes de la capitale. LesGrands moulins de Corbeil, qui alimentaient la royauté dès leXIIe siècle, et l'usine d'Altis Semiconducteur, constituent des activités qui ont marqué le passé de la ville.

Elle est aujourd'hui la deuxième commune la plus peuplée du département de l'Essonne.

Ses habitantssont appelés lesCorbeil-Essonnois[1].

Géographie

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Situation

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Corbeil-Essonnes est située dans larégionÎle-de-France, au sud de l’agglomération parisienne et au nord-est dudépartement de l’Essonne, à la frontière entre lesrégions naturelles duHurepoix à l’ouest, duGâtinais au sud et de laBrie française au nord-est. La commune occupe un territoire approximativementtriangulaire isocèle, la pointe orientée vers le sud, avec une base de trois kilomètres de long et des côtés de six kilomètres, créant une superficie totale de mille cent un hectares. L’Institut national de l'information géographique et forestière donne lescoordonnées géographiques48° 36′ 38″ N, 2° 28′ 38″ E au point central de ce territoire[2].

Plus des trois-quarts de ce territoire sont urbanisés, 64,36 % étant effectivement construits, il ne subsiste alors en 2003 que194 hectares d’espace « rural », situés en majeure partie sur les berges de laSeine et à l’ouest, à proximité du stade et du quartier de Robinson.

C’est ainsi au centre-ville que se situe le point le plus bas du territoire à seulement trente-deux mètres d’altitude, le terrain s’élevant rapidement vers le nord-ouest et le plateau du Hurepoix où se trouve le point culminant à quatre-vingt-douze mètres, en bordure de l’autoroute A6, seulement trois kilomètres plus à l’ouest de l’hôtel de ville.

Cité industrielle importante depuis des temps reculés, l’accès naturel à la commune par le fleuve fut largement enrichi, avec le passage sur son territoire de laroute nationale 7 du nord au sud, de laroute nationale 104 d’ouest en est et à l’extrême ouest de l’autoroute A6, qui traverse la ville voisine deVillabé. S’ajoute à ce réseau national un nœud routier départemental composé des RD26,33,191,446 et448. Les transports ferroviaires sont assurés par le passage sur le territoire de deux branches de laligne D du RER. Laligne de Villeneuve-Saint-Georges à Montargis du nord au sud-ouest, avec les gares deCorbeil-Essonnes etMoulin-Galant. Laligne de Corbeil-Essonnes à Montereau, au départ de la gare municipale principale, qui dessert les gares d’Essonnes - Robinson et duPlessis-Chenet. Les obstacles naturels et infrastructures routières et ferroviaires morcellent la ville en 19 quartiers, accentuant la distinction entre les anciennes communes de Corbeil et d’Essonnes.

Importante à l’échelle de la région, la commune est située à seulement vingt-neuf kilomètres au sud-est deParis-Notre-Dame[3],point zéro des routes de France. Elle est implantée à quatre kilomètres au sud-est de sa voisineÉvry-Courcouronnes[4], qui lui a ravi le statut depréfecture du département, quinze kilomètres au sud-est deMontlhéry[5], dix-sept kilomètres au nord-est d’Arpajon[6], dix-sept kilomètres au nord-est deLa Ferté-Alais[7], vingt et un kilomètres au sud-est dePalaiseau[8], vingt-trois kilomètres au nord deMilly-la-Forêt[9], trente et un kilomètres au nord-est d’Étampes[10], trente-cinq kilomètres au nord-est deDourdan[11] et quinze kilomètres au nord-ouest du chef-lieuseine-et-marnaisMelun[12]. La commune est en outre située à soixante-dix neuf kilomètres au sud-est de son homonymepicardeCorbeil-Cerf[13] et cent quarante-trois kilomètres à l’ouest deCorbeil dans laMarne[14].

Communes limitrophes

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Le territoire de Corbeil-Essonnes est installé dans une boucle de la Seine.

Au nord, le fleuve la sépare d’Étiolles puis d’une partie deSaint-Germain-lès-Corbeil au nord-est, avant que la commune n’occupe les deux rives jusqu’àSaint-Pierre-du-Perray à l’est. Au sud-est, la rive droite limitrophe est occupée par les communes deSaintry-sur-Seine etMorsang-sur-Seine. Au sud, laroute nationale 7 matérialise une partie de la frontière avecLe Coudray-Montceaux, suivit au sud-ouest par le village d’Ormoy. Le sud-ouest est aussi en limite deVillabé, séparée par le cours de l’Essonne. À l’ouest,Lisses marque le début de l’ancienne ville nouvelle, suivie au nord-ouest par la préfecture du département,Évry-Courcouronnes.

Carte
Les limites communales de Corbeil-Essonnes et celles de ses communes adjacentes.
Rose des ventsÉvry-CourcouronnesÉtiollesSaint-Germain-lès-CorbeilRose des vents
LissesNSaint-Pierre-du-Perray
O   Corbeil-Essonnes   E
S
Villabé
etOrmoy
Le Coudray-MontceauxSaintry-sur-Seine
etMorsang-sur-Seine
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Hydrographie

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Corbeil-Essonnes est située auconfluent de la rivière l’Essonne et de laSeine. Le fleuve entre par le sud-est de la commune puis forme une boucle à gauche face à la commune voisine deSaint-Pierre-du-Perray. En amont, Corbeil-Essonnes n’est implantée que sur la rive gauche, en sortie de la boucle, elle déborde légèrement sur la rive droite avant de laisser la place au parc deSaint-Germain-lès-Corbeil.

Un lac est relié au fleuve par un bras mort sur la berge gauche de la boucle, site de débordement naturel du fleuve aujourd’hui utilisé comme base nautique. Le parcours du fleuve totalise ainsi six kilomètres huit cents mètres sur le territoire de la commune. Il n’est enjambé que par deux ponts, le pont de l’armée Patton en centre-ville et le pont de laroute nationale 104 plus en aval qui matérialise la limite avecÉvry au nord. Une station de mesure du débit du fleuve fut installée dans la commune en 1881[15].

L’Essonne entre par le sud du territoire, alors qu’elle est scindée en deux bras, celui de droite matérialisant la frontière avec le bourg deVillabé. À proximité de lagare de Moulin-Galant se trouve une île. La rivière se réunit avant une nouvelle séparation dans le quartier de La Nacelle. Une petite île est présente après une courbe à gauche puis trois dans le quartier de Robinson, avant une nouvelle séparation du cours d’eau. Deuxbarrages sont implantés sur le bras sud, dont un pour alimenter l’ancien moulin à poudre communal, installé sur une île avant la confluence des deux bras de la rivière. La rivière fait ensuite une dernière boucle à gauche pour entrer dans le centre-ville. La fin du parcours a été domestiquée et se fait en souterrain sous lesGrands Moulins. Seize ponts permettent de traverser la rivière sur le territoire de la commune dont deux sur laroute nationale 7.

  • La Seine.
    La Seine.
  • L’Essonne en centre-ville.
    L’Essonne en centre-ville.

Relief et géologie

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Une forte crête marque la berge sud de la Seine sur sa rive gauche, séparant les vallées du fleuve et de la rivière, de sorte qu’une part importante de la commune, correspondant à l’ancien territoire d’Essonnes est installé dans une plaine alluviale où serpente l’Essonne en formant six îles.

Le territoire de Corbeil-Essonnes s’étale sur les deux rives de laSeine, dans une vallée s’élargissant largement vers l’aval. Le point le plus bas est situé à une altitude de trente-deux mètres, à proximité des quais de l’apport de Paris sur la rive gauche[16]. Au nord de ce point, le terrain s’élève rapidement vers l’ouest et le plateau duHurepoix.

Le centre-ville est situé à la même altitude que le fleuve, la plaine alluviale se poursuit par le lit de l’Essonne vers le sud-ouest, enserré entre le plateau du Hurepoix au nord-ouest et une crête au sud-est, séparant la rivière de la Seine, avec une pente abrupte au sud du territoire entre la route nationale 7 et le fleuve, marquée par un dénivelé de quarante mètres sur une longueur de deux cents mètres.

La rive droite est en partie occupée par la commune face au centre-ville, le terrain s’élève de façon régulière de vingt mètres sur une distance de cent mètres. Le sous-sol, typique duBassin parisien, comprend des formations decalcaire, d’argile, delimon et demeulière[17].

L’érosion et l’hydrographie ont façonné le relief de la commune, leplateau duHurepoix au nord-ouest, séparé du plateau duGâtinais au sud par l’Essonne dont la vallée s’incline vers la Seine à l’est.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de l'Île-de-France etClimat de l'Essonne.

En 2010, le climat de la commune est de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCNRS s'appuyant sur une série de données couvrant lapériode 1971-2000[18]. En 2020,Météo-France publie une typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré et est dans la région climatiqueSud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,7 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 660 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 7,6 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune deSeine-Port à 8 km àvol d'oiseau[20], est de11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 673,1 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différentsscénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].

Voies de communication et transports

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Le pont de l’Armée Patton sur la Seine.

Corbeil-Essonnes a toujours été au carrefour de diverses voies de communication fluviales, ferroviaires et routières.

Communications fluviales

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La première voie de communication naturelle est laSeine. Elle a servi, depuis leMoyen Âge, au transport des céréales de laBeauce. La commune accueille actuellement sur son territoire une partie duport fluvial de marchandises d’Évry[24], principalement destiné au fret et au traitement de céréales.

Communications routières

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La route nationale 104 (la Francilienne) au nord de Corbeil-Essonnes.

Le mode de transport fluvial historique fut rapidement connecté aux autres voies terrestres de communication. La ville est ainsi sur le passage de l’ancienneVia Agrippa, devenue l’ex-route nationale 7, qui traverse la commune du nord au sud, complétée auXXe siècle par l’autoroute A6 qui passe à l’extrême ouest du territoire et laroute nationale 104, super-périphérique d’Île-de-France, qui croise les deux premières au nord de la commune.

Centre industriel historique, Corbeil et Essonnes étaient aussi le point de départ d’un maillage important de voies secondaires, conservées aujourd’hui avec lesroutes départementalesRD 26 versSaint-Maurice-Montcouronne et au-delàRambouillet, laRD 33 versBoussy-Saint-Antoine et plus loinVilliers-sur-Marne, laMarne et l’autoroute A4, laRD 191 versÉtampes etAblis, laRD 446 versMelun, laRD 448 versMontgeron et laroute nationale 6, enfin laRD 947 versLieusaint et l’autoroute A5.

D’importants travaux inscrits auschéma directeur de la région Île-de-France en 1994, engagent la totale réfection de laFrancilienne entre les autoroutesA6 etA5, notamment avec le doublement duviaduc de Corbeil-Essonnes, l’aménagement de l’échangeur autoroutier Émile Zola d’accès à la commune, tout ceci avec des contraintes importantes de trafic (100 000 véhicules par jour, 4 600 véhicules par heure en pointe) et environnementales (urbanisation dense sur la rive gauche et bois classés sur la rive droite)[25].

À Corbeil-Essonnes est installé le premier pont routier permettant de traverser la Seine sur les cinq que compte département de l’Essonne, le pont de l’Armée Patton.

Ce riche réseau routier est complété par la présence importante d’infrastructures ferroviaires, la commune disposant, au nord d’une vaste gare de fret entre leszones d’activités de l’Apport de Paris et desTarterêts.

Corbeil-Essonnes est située à quinze kilomètres au sud-est de l’aéroport de Paris-Orly, quarante-quatre kilomètres de l’aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle et quatorze kilomètres à l’ouest de labase aérienne de Melun-Villaroche, transformée à terme en aéroport de tourisme et d’affaires[26].

Transports en commun

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Transports ferroviaires
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Le territoire de la commune est traversé par troislignes ferroviaires qui se rejoignent à Corbeil-Essonnes ou en sont origine ou terminus :

La ville de Corbeil-Essonnes est desservie par troisgares de laligne D du RER situées sur son territoire :

  • lagare de Corbeil-Essonnes, située au nord, dans le centre-ville historique, à la jonction des trois lignes ferroviaires ;
  • lagare d'Essonnes - Robinson, située à l'ouest, dans le quartier de Robinson, sur la ligne de Corbeil-Essonnes à Montereau ;
  • lagare de Moulin-Galant, située au sud-ouest, dans le quartier du Moulin-Galant, sur la ligne de Villeneuve-Saint-Georges à Montargis.
  • Sélection de photos des gares de Corbeil-Essonnes.
  • La gare de Corbeil-Essonnes.
    La gare de Corbeil-Essonnes.
  • La gare d'Essonnes - Robinson.
    La gare d'Essonnes - Robinson.
  • La gare de Moulin-Galant.
    La gare de Moulin-Galant.

Ainsi que par trois autres gares de la ligne D du RER situées à proximité immédiate de la commune :

Depuis la gare de Corbeil-Essonnes, leRER D permet de se rendre àParis entre 30 à50 minutes environ, àJuvisy en20 minutes environ, àMelun en30 minutes environ et àMalesherbes en45 minutes environ.

Lignes de bus
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Plusieurs lignes d’autobus desservent la commune :

  • Sélection de photos de bus à Corbeil-Essonnes.
  • Un bus du réseau de bus Cars Sœur à l'arrêt devant la gare de Corbeil-Essonnes.
    Un bus du réseau de bus Cars Sœur à l'arrêt devant la gare de Corbeil-Essonnes.
  • Un bus du réseau du réseau de bus Seine Essonne Bus quittant l'arrêt de la gare de Corbeil-Essonnes
    Un bus du réseau du réseau de bus Seine Essonne Bus quittant l'arrêt de la gare de Corbeil-Essonnes
  • Un bus T Zen arrivant à la gare routière de Corbeil-Essonnes.
    Un bus T Zen arrivant à la gare routière de Corbeil-Essonnes.
  • Un bus Noctilien devant la gare de Corbeil-Essonnes.
    Un bus Noctilien devant la gare de Corbeil-Essonnes.
  • Un bus du réseau TICE à l'arrêt dans la gare routière de Corbeil-Essonnes.
    Un bus du réseau TICE à l'arrêt dans la gare routière de Corbeil-Essonnes.

Logement

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Icône d'horloge obsolète.
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Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

En 2009, sur les 17 480 logements que comptait la commune, 5 951 étaient desHLM soit 34 % du total, bien au-delà des préconisations de laloi relative à la solidarité et au renouvellement urbains, ils étaient répartis entre seize sociétés foncières[27].

Lieux-dits, écarts et quartiers

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Les Tarterêts.
Occupation des sols en 2008.
Type d’occupationPourcentageSuperficie
(en hectares)
Espace urbain construit67,7 %749,34
Espace urbain non construit16,6 %184,07
Espace rural15,6 %172,75
Source :Iaurif-MOS 2008[28]

Historiquement composée de deux communes différentes, Corbeil au nord et Essonnes au sud, la ville unique conserve encore une distinction marquée entre les deux précédentes entités.

Le découpage enquartiers se poursuivit avec l’expansion démographique duXXe siècle. Aujourd’hui, on dénombre dix-neuf quartiers, résidentiels ou industriels. À l’extrême nord, leszones d’activités de l’Apport de Paris et Gustave Eiffel, puis en bord deSeine, lecentre-ville actuel, précédemment celui de Corbeil, complété par le quartier de la Gare, Chantemerle, plus au sud, le Bas-Coudray marquant une boucle du fleuve, suivi toujours sur la rive gauche par Montconseil, l’Ermitage et le Pressoir Prompt. Laroute nationale 7 marque une frontière, la chaussée ouest étant située sur l’ancien territoire d’Essonnes, avec au sud, le quartier de Moulin Galant, plus au nord, la Nacelle puis Robinson-La Nacelle et l’ancien centre-ville d’Essonnes, sur une île de la rivière l’Essonne.

Au nord de la voie ferrée se trouvent lesgrands ensembles, construits après la seconde guerre mondiale,Les Tarterêts à gauche de la RN 7, Les Coquibus, habitations et zone d’activités, leslotissements Corbeil-Nord et Les Granges à droite de l’axe routier. Face au centre-ville, accessible par le pont de l’Armée Patton se trouve le quartier Rive Droite, enserré entre le fleuve et le plateau deSaint-Germain-lès-Corbeil. À l’extrême nord-ouest, l’important site de laSnecma constitue à lui seul un quartier industriel limitrophe d’Évry[29].

Cette division importante et la présence de quartiers dits « sensibles » sur le territoire et en périphérie ont conduit l’État, la commune et lacommunauté d'agglomération Seine-Essonne à signer uncontrat urbain de cohésion sociale en 2000, succédant aucontrat de ville signé en 1994[30]. Quatre quartiers sont recensés commeprioritaires au titre de lapolitique de la ville : La Nacelle réunissant 1 600 habitants sur huit hectares[31], Montconseil réunissant 7 000 habitants sur cinquante-sept hectares[32] etLes Tarterêts réunissant 5 600 habitants sur cinquante-quatre hectares[33]. Ce dernier ensemble est aussi classé commezone franche urbaine avec le quartier voisinLes Pyramides sur la commune d’Évry-Courcouronnes[34]. En outre, deux quartiers sont inscrits comme prioritaires au titre du renouvellement urbain, L’Ermitage[35] et la Rive-Droite[36]. L’Insee découpe la commune en dix-huitîlots regroupés pour l'information statistique soit la Zone industrielle des Tarterêts, trois îlots pour le quartier des Tarterêts, Coquibus-Art de Vivre, Moulin Galant-Papeterie, Ermitage, Robinson-La Nacelle, Essonnes Ouest, Rive droite, Centre-ville, Apports Paris-Gare, Chantemerle, Essonnes Est-Nagis, deux îlots pour Montconseil et Pressoir prompt-Bas Coudray[37].

Morphologie urbaine

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La ville de Corbeil-Essonnes est composée de vingt quartiers, dont quatre classésquartiers prioritaires : les quartiers de Montconseil, de la Nacelle, desTarterêts et Rive droite :

Urbanisme

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Typologie

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Au, Corbeil-Essonnes est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[38].Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant407 communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 2],[39],[40]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[40]. Cette aire regroupe 1 929 communes[41],[42].

Toponymie

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Le lieu était désignéCorboilum en 1006,Corborium,Curbuilum en 1067,Corbolium en 1184,Corbeuil[43].

Le nom de la commune trouve son origine dans legauloisCorboialo, deCorbos, nom d'homme (« lecorbeau ») etialos (« laclairière[44] »).

Le nom de la déessegallo-romaine de l’eauAcionna devenueExona puis Essonne[45], est le nom de la rivière qui donna son appellation à la commune et au département.

Au cours de laRévolution française, la commune porte provisoirement le nom deCorbeil-la-Montagne[46].

Histoire

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Préhistoire

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L'occupation du site de Corbeil-Essonnes, sur la rive gauche du fleuve, remonte de façon certaine auPaléolithique et auNéolithique, comme en témoignent les objets retrouvés, des haches polies, des lames, des couteaux, des burins et un grattoir en silex auxTarterets[47], une épée courte, une lance et un couteau de l’âge du bronze ailleurs (voir lasection « Préhistoire » de l'article « Les Tarterêts »).

Antiquité

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Plus tard, si l'habitatgallo-romain fut totalement recouvert auMoyen Âge, sont encore mis au jour au cours de fouilles, des monnaies gauloises en bronze et, en toute hypothèse, ce qui aurait été unevoie antique reliantLutetia àAgedincum (actuelle Sens) capitale desSenons, par la vallée de laSeine[Note 4]. Des poteries retrouvées derrière le marché couvert indiquent la présence d’ateliers depotiers à proximité de l'ancien ruisseau de Villelouvette[49]. La première chapellechrétienne fut élevée àExona vers l’an 600 à l’emplacement d’un ancien templepaïen.

Cité militaire et ouvrière

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Située au confluent de l’Essonne et de la Seine, la cité eut très tôt un rôle stratégique militaire et commercial, et fut capitale ducomté de Corbeil, qui dépendait ducomté de Paris.

Ce comté de Corbeil fut créé parHugues Le Grand en 946[50], à l'occasion du mariage de Haimon ou Aimon (vers 930 - vers 957) avec ElisabethLe Riche, fille deLisiard Le Riche, qui le reçurent enapanage[50]. Il n'y eut que huitcomtes de Corbeil, après lesquels lesvicomtes de Corbeil furent institués.

Les raidsvikings sur la Seine durant leIXe siècle déclenchèrent notamment la construction de bâtiments de défense sous le règne deCharles III le Gros, dont un à Corbeil. N’en subsistent aujourd’hui que les fondations sur la rive droite. Bâti par le comteHaymon de Corbeil, il disposait d’une enceinte avec cinq tourelles, d’undonjon appelé la « tour du Hourdy » et était entouré d’un bras artificiel de la Seine[51].

La ville changea alors d’implantation, permettant la distinction entre Corbeil et Essonnes et disposa dès l’an 900 d’un pont sur le fleuve. C’est à cette époque aussi que fut construite l’église Saint-Exupère et l’égliseSaint-Guénault. Détruites par un incendie en 1140, la première fut immédiatement reconstruite et enrichie. En 1071, le comte Bouchard II de Corbeil fit construire les fortifications du cloître de l’église principale.

À partir duXIe siècle, le territoire des deux villes se couvrit d’unvignoble, il y fut construit leprieuré de Saint-Jean-Baptiste. Alors située aux portes dudomaine royal français, le roiLouis VI le Gros l’unit au royaume en 1120, en même temps queMontlhéry, à la suite de la défaite d’Hugues le Jeune. Il y fit alors reconstruire le château sur la rive droite du fleuve. Vers 1121, l’abbé Suger fut nommé à Corbeil et y fit construire un nouveau cloître, un réfectoire et un dortoir pour douze religieux.

Un des premiers plan de Corbeil. Christophe Tassin, 1634
Un des premiers plan de Corbeil. Christophe Tassin, 1634
Un des premiers plan de Corbeil[52].Christophe Tassin, 1634.
Carte de la région de Corbeil par Cassini.

Lesparoisses de Corbeil et d’Essonnes, disposant chacune d’une église importante, étaient alors installées au bord de la Seine, à la croisée des fertiles régions de laBeauce et de laBrie. Une activité deminoterie se développa rapidement, profitant de la présence de la rivière l’Essonne. LesGrands moulins de Corbeil devinrent auXIIe siècle moulins du roi, la commune fournissant la capitale en pain « Chaland » de qualité, au moyen descoches appelés les « Corbeillards »[Note 5]. Cette activité nourricière était complétée par destanneries, unepoudrerie et unlaminoir, plaçant Corbeil et Essonnes en concurrence directe avecTroyes.

Blanche de Castille vint fréquemment au château de Corbeil, suivie par son filsSaint Louis.Pierre Abélard y créa une école dethéologie réputée, à proximité du donjon de la mère de sa maîtresseHéloïse d'Argenteuil.

En 1258 fut signé à Corbeil le premiertraité de Corbeil, entre laFrance et leroyaume d'Aragon, dans lequel Louis IX renonçait à ses prétentions enCatalogne etJacquesIer à celles au Nord du Roussillon (sauf Montpellier)[53].

En, le roiPhilippe le Long se maria à Corbeil avecJeanne II de Bourgogne et, en, fut signé un autretraité de Corbeil, cette fois entre la France et leroyaume d'Écosse pour renouveler l’Auld Alliance.

Durant laguerre de Cent Ans, la ville subissant de nombreux sièges, il y fut constitué un corps d’arquebusiers.Gilles Mallet, avant 1411, en est le vicomte[54].

Une lettre du futur roiCharles VII mentionnait aussi une activité importante de Corbeil, labatellerie.CharlesVIII vint à Corbeil en 1484 etFrançois Ier en 1519. En, lors dusiège de Paris, l’EspagnolAlexandre Farnèse prit la ville, ce qui permit de ravitailler la capitale, assiégée parHenriIV (huitième guerre de religion)[55].

En 1628, l’explosion de la poudrerie embrasa la ville. En 1656, Jacques de Bourgoin fonda le collège de Corbeil pour l’éducation des enfants. AuXVIIe siècle, Essonnes était située sur l’importante route royale deParis àFontainebleau et disposait alors d’unrelais de poste et d’hôtels pour les voyageurs. Entre 1736 et 1738, pas moins de douze explosions ravagèrent le moulin à poudre. Le, une nouvelle explosion l’anéantit et fit quarante morts[56].

Les Hospitaliers

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LesHospitaliers de l’ordre de Saint-Jean de Jérusalem possédaient déjà des terres et bâtiments à Corbeil, quand, en 1188, ils reçurent d'Alix, mère dePhilippe-Auguste deux moulins et le droit exclusif de fouler du drap[57],[58]. C'est lareine de FranceIngeburge de Danemark, veuve de Philippe-Auguste, qui, en 1223, fonda leprieuré de Saint-Jean en l’Île[58] où elle mourut le. Pour assurer des revenus plus important, ils réunirent à Corbeil leurmembre de Tigery près de Corbeil[59],[60].

Guillaume de Mailg, prieur de France, convoqua, en 1353, unchapitre prieural à Corbeil pour trouver des ressources au prieuré qui, ayant perdu son rang au profit duprieuré hospitalier du Temple, ne pouvait plus faire face à ses engagements. Il fut alors décidé que lemembre de Savigny serait rattaché au prieuré de Corbeil[61].

À laRévolution la commanderie fut confisquée et en partie pillée. En 1836, elle devient la propriété de Louis Feray, gendre d'Oberkampf, qui tenta une restauration[62].

En 1783, les revenus de la commanderie s'élevait à21 500 livres[63].

Les Bordes

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Quand le prieurPhilippe de Villiers de L'Isle-Adam avait fondé en 1529 une chapelle dans l'église Sainte-Marie-du-Temple à Paris, il avait aussi fait don de4 000 livres. Une partie de cette somme avait servi à l'achat d'une ferme qui se trouvait aux Bordes, dans lacensive de la commanderie de Saint-Jean en l'Île, à Corbeil qui formait lemembre des Bordes. Malgré la présence de ce membre à Corbeil, il faisait partie duprieuré hospitalier du Temple.

Avec ses90 arpents de terre, cette ferme avait un rapport de 1 200 Livres en 1757[64].

Révolution industrielle et villégiature

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Les anciens moulins à poudre.

Au milieu duXVIIIe siècle,Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre vint vivre quelque temps à Essonnes.

En 1789, lecahier de doléances fut ouvert à Corbeil, des représentants de la population assistèrent à laFête de la Fédération le. En 1789 toujours,Pierre-François Didot racheta l’imprimerie d’Essonnes où Louis-Nicolas Robert mis au point plus tard la premièremachine à papier en continu, en 1798. En 1790, elle devient chef-lieu dudistrict de Corbeil et le restera jusqu’en 1795.

En 1800, dès la création de l’administration préfectorale, Corbeil devintsous-préfecture du nouveau département deSeine-et-Oise.

À la suite des protestations des riverains devant le risque couru, le moulin à poudre cessa définitivement son activité en 1822. Il devint la même année une filature de soie et une fabrique de draps.

Le fut mise en service la ligne dechemin de fer deParis à Corbeil. Ce nouvel axe de circulation permit la venue de « touristes », telAlfred Jarry qui loua une maison près des Grands Moulins, ou le peintreFélicien Rops qui passa les quinze dernières années de sa vie à Essonnes. Cela permit aussi l’accroissement toujours plus important de l’industrie locale, avec l’ouverture defilatures parChristophe-Philippe Oberkampf, l’ouverture parAymé Stanislas Darblay de la secondepapeterie d’Essonnes, de l’imprimerie de Louis Simon Crété (toujours en activité), dessucreries puis des usines de chemin de fer dePaul Decauville ouvertes en 1881 et enfin de laféculerie de Paul Doittau. En 1885, l’ancien moulin à poudre fut transformé en fabrique demagnésium. En 1892, la ville possédait cinq ports de commerce, totalisant un trafic de 22 600 tonnes de marchandises[65].

Les anciens hospices Galignani.

La ville bénéficia alors de la construction de nombreux équipements structurants, le temple protestant en 1862[66], l’hôtel de la sous-préfecture en 1863[67], la gendarmerie en 1875, la maison d’arrêt en 1883[68], le palais de justice en 1887, le marché couvert en 1893[69], parfois grâce à la générosité de notables locaux avec par exemple l’ouverture de l’hôpital Galignani en 1860, de l’orphelinat et de l’école du même nom en 1878. En 1899, ce fut leprésident du ConseilPierre Waldeck-Rousseau qui acquit le Castel-Joli sur la rive droite pour en faire sa dernière résidence[70].

Le fut inauguré l’hôtel de ville de Corbeil[71]. En 1907, la grève des ouvriers-papetiers d’Essonnes eut un retentissement national et fut sévèrement réprimée. En 1914 fut édifié l’hôtel de ville d’Essonnes.

Pendant laPremière Guerre mondiale, l'école Galignani devint l'Hôpital auxiliaire de l'association des Dames de France (HAADF)no 245[72]. La poudrerie accueillit aussi le232eRégiment d'infanterie territoriale (normalement caserné à Argentan)[73]. En juin 1916, une section de mitrailleuses stationna à Corbeil[74]. À la fin de la guerre, la ville fut bombardée une première fois en 1918, détruisant, entre autres, les vitraux des églises.

En 1928 ouvrit labiscotterie Exona qui fonctionna jusqu’en 1971[75].

LaSeconde Guerre mondiale fit plus de dégâts encore. Occupée par lesAllemands, la ville fut bombardée par lesAlliés, notamment le, où un train de munitions explosa en gare de Corbeil. Dans la nuit du au, un autre bombardement de l’ensemble des gares importantes de la région, dont celle de Corbeil, se solda ici par la chute d’unbombardierHalifax qui s’écrasa àh 15 sur un pavillon de la rue Gournay, abattu par laFlak. Sept corps furent sortis des décombres, les six premiers emmenés à lakommandantur deCourances, le septième retrouvé le, rapidement enterré à Corbeil[76]. Dans leur fuite, les Allemands détruisirent le pont sur la Seine, alors seul point de passage sur le fleuve entreMelun etVilleneuve-Saint-Georges.

Deux destins liés en une commune

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La première volonté de fusionner les villes de Corbeil et d’Essonnes aurait été mentionnée dans les cahiers de doléances en 1789. En 1946, le préfet demanda aux maires des deux communes de réfléchir à un rapprochement. Il ne se concrétisa que le avec la création officielle de Corbeil-Essonnes[46].

En 1955 fut achevé le nouveau pont Patton, rétablissant les communications routières entre les deux rives du fleuve. En 1958 fut ouvert le lycée, qui devint plus tard le lycée Robert Doisneau et une crue de la Seine inonda tout le centre-ville[77]. En 1966 fut construite laMJC[78] cependant que la ville perdait son statut de sous-préfecture de Seine-et-Oise en vue de la constitution du nouveau département de l’Essonne. Entre 1966 et 1971, les services préfectoraux restèrent cependant à Corbeil-Essonnes, en attendant le transfert dans les nouveaux locaux d’Évry.

L’urbanisation et l’équipement de la commune se poursuivit pourtant, avec la construction de la piscine en 1967 pour compléter l’aire de baignade sur la Seine, du palais des sports en 1971, du théâtre en 1973, de l’hôpital Gilles de Corbeil entre 1982 et 1985. En 1973, le pont autoroutier de laFrancilienne doubla les capacités de franchissement du fleuve, déchargeant un peu le centre-ville du flux automobile.

En 1995, l’investissement d’IBM sur son site corbeillois permit la création de mille emplois[79].

En 2002, la ville et notamment le quartierdes Tarterêts fut le théâtre d’affrontements entre bandes rivales[80] et d’attaque de policiers[81]. En 2009, dans le cadre de la réorganisation des services de l'État, la commune perdit les services de la sous-préfecture[82].

Politique et administration

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Politique locale

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La place Galignani et l’hôtel-de-ville.

Rattachements administratifs et électoraux

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Antérieurement à la loi du 10 juillet 1964[83], les communes de Corbeil et d'Essonne, puis Corbeil-Essonnes faisait partie du département deSeine-et-Oise. Corbeil était d'ailleurs lechef-lieu de l'arrondissement de Corbeil créé le.

Laréorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département de l'Essonne et à sonarrondissement d'Évry, après un transfert administratif effectif au. Corbeil-Essonnes était néanmoins jusqu'en 2009 unesous-préfecture, sans que la commune ne soit le chef-lieu d’aucun arrondissement[84].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de lapremière circonscription de l'Essonne.

Corbeil puis Corbeil-Essonnes était depuis 1793 lechef-lieu ducanton de Corbeil (auquel était également rattaché Essonnes) jusqu'à 1964. En effet, de 1964 à 1967, la commune se retrouve répartie entre le canton de Corbeil-Essonnes-Nord et le canton de Corbeil-Essonnes-Sud[46]. Dans le cadre de la mise en place dudépartement de l'Essonne, un canton de Corbeil-Essonnes est recrée jusqu'en 1985, lorsqu'il est scindé par le décret du entre les cantons deCorbeil-Essonnes-Est et deCorbeil-Essonnes-Ouest[85]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, la ville devient lebureau centralisateur ducanton de Corbeil-Essonnes dont la composition varie à nouveau.

Intercommunalité

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La commune était le siège de lacommunauté d'agglomération Seine-Essonne, créée fin 2002[86], et dont les compétences concernaient notamment le développement économique, l’aménagement du territoire et lapolitique de la ville. Cette intercommunalité succédait à la communauté de communes de Corbeil-Essonnes et du Coudray-Montceaux créée en 1996[87].

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loiMAPAM du, qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, le préfet de la région d'Île-de-France approuve le unschéma régional de coopération intercommunale qui prévoit notamment la « fusion de lacommunauté d'agglomération Évry Centre Essonne (Essonne), de lacommunauté d'agglomération Seine-Essonne (Essonne), de lacommunauté d’agglomération de Sénart en Essonne (Essonne), et de lacommunauté d'agglomération de Sénart (Seine-et-Marne) et (l')extension du nouveau groupement à la commune deGrigny (Essonne)[88] », antérieurement membre de lacommunauté d'agglomération Les Lacs de l'Essonne.

C'est ainsi qu'a été créée au lacommunauté d'agglomération Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart dont Corbeil-Essonnes est désormais membre.

En 2018, la commune est également membre du Syndicat Intercommunal d'Aménagement, de Rivières et du Cycle de l'Eau, créé fin 2016 et qui regroupe 36 communes et 4 intercommunalités[89]

Tendances et résultats politiques

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Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2010)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Commune relativement « populaire » et traditionnellement industrielle, elle apparaît comme étant ancrée àgauche. De fait, elle fut dirigée entre 1951 et 1959 par un maireSFIO et de 1959 à 1995 par des mairescommunistes,Roger Combrisson ayant même obtenu tous les sièges du conseil municipal en 1959, avant que la ville ne soit emportée en 1995 par le candidat dedroiteSerge Dassault, alors adhérent auRPR. Le basculement partiel commença en 1988 avec l’élection de Serge Dassault auconseil général de l'Essonne pour lecanton de Corbeil-Essonnes-Est, puis son élection à la mairie en 1995. Ce choix local ne remettait pas en cause la tendance de vote supra-local puisque les électeurs choisirent à 19,79 % la listesocialiste conduite parFrançois Hollande lors desélections européennes en 1999, plaçant la liste de droite en troisième position[90].

Les Corbeil-Essonnois renouvelèrent cependant leur confiance à Serge Dassault dès le premier tour en 2001 pour les élections municipales et cantonales et en 2002 lors de l’élection législative, remportée toutefois parManuel Valls sur l’ensemble de la circonscription[91]. Cette même année, les électeurs Corbeil-Essonnois qui avaient placéLionel Jospin en seconde position avec 18,82 % des suffrages au premier tour avaient déjà voté à 19,21 % pourJean-Marie Le Pen et seulement 17,14 % pourJacques Chirac[92], qui bénéficia cependant du large report des voix pour atteindre 82,40 % au second tour, le candidatfrontiste perdant près de 2 % de voix pour n’atteindre que 17,60 %, légèrement moins que sur le plan national[93]. La tendance générale s’inversa ensuite au profit de la gauche, avec en 2004 la victoire ducommuniste Bruno Piriou sur lecanton de Corbeil-Essonnes-Ouest et les très nettes avances deJean-Paul Huchon (PS) aux élections régionales (vingt-trois points d’avance sur le candidat de l’UMPJean-François Copé) et d’Harlem Désir (PS) aux élections européennes (dix points d’avance sur le candidat UMPPatrick Gaubert). Les défaites de la droite se poursuivirent en 2007 avec l’élection sur la circonscription et cette fois dans la commune aussi de Manuel Valls (PS) et le fort plébiscite pour la candidateSégolène Royal (PS) avec onze points d’avance surNicolas Sarkozy (UMP), et à nouveau en 2008 avec la perte par la droite du canton de Corbeil-Essonnes-Est au profit de Carlos Da Silva (PS), ne laissant àSerge Dassault que la mairie, remportée de justesse avec seulement 50,65 % des voix au second tour. En 2009, à l’occasion de l’élection municipale partielle consécutive à l’annulation de celle de 2008, l’écart entre la liste UMP et la liste de rassemblement de la gauche (PCF,PG,NPA,LO, PS,EÉLV) conduite par le communiste Michel Nouaille au second tour a été encore plus minime (vingt-sept voix sur plus de 10 000 votants). En 2010 lors de nouvelles élections municipales partielles, la situation s’inversa avec plus de sept cents voix d’écart en faveur de la liste UMP face à une nouvelle liste de gauche, avec une participation encore inférieure.

Enfin, situation commune aux villes à l’électorat populaire, les Corbeil-Essonnois sont fortement sceptiques face aux instances européennes, rejetant en 1992 letraité de Maastricht à 55,92 %[94] et en 2005 le traité constitutionnel à 60,35 %, ne participant qu’à 40,25 % au scrutin européen en 2004. Une section duParti communiste français[95], un comité duParti de gauche, un comité duNouveau Parti anticapitaliste[96], une section UMP et une section duParti socialiste[97], sont présentes dans la commune.

Élections présidentielles

Résultats des deuxièmes tours :

Élections législatives

Résultats des deuxièmes tours :

Élections européennes

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections régionales

Résultats des deux meilleurs scores :

Élections cantonales et départementales

Résultats des deuxièmes tours :

Élections municipales

Le maire de Corbeil-Essonnes depuis 1995 était Serge Dassault (UMP) par ailleurssénateur du département, mais le résultat de l’élection municipale 2008 a été invalidé par la décision duconseil d’État du[122]. Serge Dassault est en effet déclaré inéligible pour cause de "dons d'argent".

Lors des élections municipales partielles, son successeur Jean-Pierre Bechter (UMP) a été élu dans les mêmes proportions de voix, mais son élection a été à son tour annulée par le Conseil d'État le[123].

Le, le conseil municipal élu une semaine auparavant lui a de nouveau accordé sa confiance par trente-deux voix contre dix à son opposant[124].

Résultats des deuxièmes tours :

Article connexe :Élections municipales de 2014 dans l'Essonne.
Article connexe :Élections municipales de 2020 dans l'Essonne.
Référendums

Administration municipale

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Conseil municipal de Corbeil-Essonnes(mandature 2020-2026)[Note 7].
ListeTendancePrésidentEffectifStatut
« Corbeil-Essonnes, une ville à vivre »(DVG)Bruno Piriou34Majorité
« J'aime Corbeil-Essonnes avec énergie et proximité »(DVD)Jean-Pierre Bechter10Opposition
« Dessinons Ensemble Corbeil-Essonnes »(DIV)Jean-Luc Raymond1Opposition

Liste des maires

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Liste des maires successifs.
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Liste des maires successifs de Corbeil[132]
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
septembre 1772janvier 1777Jacques Darbonne Nommé maire de Corbeil par le roiLouis XV
janvier 1777août 1789Simon Briêre Marchand
août 17891789Charles Franchet Avocat
novembre 17891791Étienne Charles Marsault Notaire
novembre 17911792M. Lhoste  
décembre 17921794Louis Happey  
17941795M. Hallé  
janvier 17961797M. Cousin-Longchamp  
novembre 17971800Louis Happey  
juin 1800mars 1814Jean-Claude Boisneuf de Chenevières Avocat, sous-préfet
mars 1814avril 1814Jean-Thomas Gorsat  
mars 1815mai 1815Louis Happey  
mai 1815juin 1815Ange Chambaut  
juin 18151816Jean-Claude Boisneuf de Chenevières Avocat, sous-préfet
septembre 1816janvier 1819Jean-Baptiste Boucher  
janvier 1819janvier 1819Jean-Thomas Gorsat  
janvier 18191823Jean-Baptiste Boucher  
juillet 18231830Jean-Pierre Dallemagne  
août 18301831M. Lérembert  
août 18311833Louis Maille  
septembre 18331848Jean-Frédéric Magniant Avocat, juge suppléant
Chevalier de la Légion d'honneur
février 1848avril 1848Édouard Petit Médecin
Conseiller d'arrondissement(1845 → 1848)
mai 18481855Ponce Claude Marie Maxime Dupont  
juillet 18551858Claude Toussaint Mullot  
novembre 1858janvier 1878Paul Darblay Homme d’affaires
Conseiller d'arrondissement(1871 → 1874)
janvier 1878janvier 1878Louis Victor Bessin  
janvier 1878octobre 1878Philippe Surbled Docteur en médecine, ancien adjoint au maire
Ancien conseiller d'arrondissement(1867 → 1871)
novembre 1878novembre 1878Louis Lambert Ancien agent voyer
Conseiller d'arrondissement(1874 → 1895)
novembre 18781881Jules Crété[133] Imprimeur
septembre 18811887Louis Lambert Ancien agent voyer
Conseiller d'arrondissement(1874 → 1895)
mars 1887mai 1888Léon Litzelmann Avocat
mai 1888mai 1892Louis Lambert Ancien agent voyer
Conseiller d'arrondissement(1874 → 1895)
mai 1892mai 1900Charles Henri Drezet Conseiller d'arrondissement(1898 → 1904)
mai 1900mai 1908Victor Calliet Banquier
mai 1908mai 1912Louis Garnier  
mai 1912octobre 1921Octave BoudouardRad.soc.Ingénieur chimiste, professeur auCNAM
Conseiller d'arrondissement(1910 → 1919)
Secrétaire général de l'Association des maires de France
Chevalier de la Légion d'honneur (1920)
Démissionnaire
octobre 1921mai 1935Maurice Riquiez  
mai 1935mars 1939Léon Rault[134]Front
populaire
Décédé en fonction
mars 19391940Léopold Vendries  
juin 19401941Paul Marcout  
mai 1941août 1944Charles Moncany Médecin
août 1944août 1944M. Laborde Commandant desFFI, faisant fonction de maire
août 1944août 1951Gaston GentilhommeSoc.ind.
puisRPF
Cheminot
Président duComité local de Libération d'août à septembre 1944
Les données manquantes sont à compléter.
 
Liste des maires successifs d'Essonnes[135]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
17871789Jean-Jacques Hallé Commerçant
17891790Jean-Philippe Gaulot  
17901792M. Havard  
17921793M. Féron  
17931795Jean-Louis Huet  
17951796M. Lefebvre  
17961798Jean-Baptiste Aubry Député
17981804Jean-Louis Huet  
18041809Charles-Alexandre Ferrand  
18091815Louis Baron-Desfontaines Colonel
18151815M. Amaury  
18151815Louis Baron-Desfontaines Colonel
18151834Charles-Louis Radot  
18341837Jean Alexandre Antoine Levasseur  
18371843Charles-Louis Radot  
18431848Jean-Pierre Truchon  
18481848Ernest Féray Homme d’affaires
18481848Henri Buffaitrille  
18481848Louis-Spire Deschamps  
18481848Jean-Henri Lenoir  
18481849Ernest Feray[136]Centre droit
puisCentre gauche
Petit-fils d'Oberkampf, manufacturier
Conseiller général de Corbeil(1840 → 1870)
18491849Jean-Jacques Bresson  
18491850Alexis-Joseph Cadenet  
18501850Pierre-Victor Boyer  
18501877Ernest Feray[136]Centre droit
puis Centre gauche
Petit-fils d'Oberkampf, manufacturier
Conseiller général de Corbeil(1840 → 1870)
Député de Seine-et-Oise(1871 →1876)
Sénateur de Seine-et-Oise(1876 → 1891)
18771878Louis-Denis Renault  
18781881Ernest Féray Homme d’affaires
18811882André Mairesse  
18821892François Chantroux  
18921893Albert Malliary  
18931903Edmond Garnot  
1903mai 1908Auguste Joyeux  
mai 1908avril 1914Léon Cassé[137] Industriel chapelier, adjoint au maire
Conseiller d'arrondissement(1910 → 1914)
Décédé en fonction
mai 1914décembre 1919Louis Baudoin  
décembre 1919novembre 1921Jean Kuttler[138]SFIO
puisSFIC
Ouvrier meunier, syndicaliste
Révoqué
1921mai 1925Paul LaunayPC-SFIC 
mai 1925mai 1929Wilfrid Lafloque[139]PC-SFIC[140] 
mai 19291940Henri BerreauRad.Industriel àParis
Conseiller général de Corbeil(1937 → 1940)
19401940Georges Kuény  
août 1940juin 1941Henri BerreauRad.ind.Industriel àParis
Décédé en fonction
juin 1941juillet 1941Antoine Michot Premier adjoint faisant fonction de maire
juillet 1941mai 1945Jules-Léon Bua  
mai 1945août 1951Louis LecouillardPCF 
 
Liste des maires successifs de Corbeil-Essonnes[141],[142]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
septembre 1951octobre 1951Paul Koenig Président de ladélégation spéciale
octobre 1951[143]mars 1959Georges GoudinSFIODirecteur d'école
mars 1959mai 1992[144]Roger Combrisson[145]PCFRésistant, déporté
Chef de districtSNCF
Député de l'Essonne (1re circ.)(1967 → 1968, 1973 → 1981 et 1986 → 1988)
Conseiller général de Corbeil-Essonnes(1964 → 1976)
Conseiller général de Corbeil-Essonnes-Ouest(1985 → 1992)
Démissionnaire pour raisons de santé
mai 1992[146]juin 1995Marie-Anne LesagePCFRédactrice en assurances
Conseillère générale de Corbeil-Essonnes-Ouest(1992 → 1998)
juin 1995[147],[148]juin 2009[149]Serge Dassault[150],[151]RPR
puisUMP
Homme d’affaires (Dassault Aviation...)
Sénateur de l'Essonne(2004 → 2017)
Conseiller général de Corbeil-Essonnes-Est(1988 → 2004)
Déclaré inéligible pendant un an par leConseil d'Etat
juillet 2009[152]octobre 2009Jean Delannoy[153] Ancien receveur des impôts, président de la délégation spéciale
octobre 2009[147],[154]octobre 2010Jean-Pierre BechterUMPSous-préfet, administrateur de laSocpresse (Le Figaro)
PDG du Républicain de l'Essonne
Élu à la suite d'uneélection municipale partielle
octobre 2010décembre 2010Jean Delannoy[155] Ancien receveur des impôts, président de la délégation spéciale
décembre 2010[156]juillet 2020Jean-Pierre BechterUMP-LRSous-préfet, administrateur de laSocpresse (Le Figaro)
PDG du Républicain de l'Essonne
Conseiller départemental de Corbeil-Essonnes(2015 et 2017 → 2021)
Président de laCA Seine-Essonne(2010 → 2015)
Vice-président de laCA Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart(2016 → 2020)
Réélu en 2010 lors d'uneélection municipale partielle[157]
Réélu pour le mandat 2014-2020[158]
juillet 2020[159]en cours
(au 4 juillet 2020)
Bruno PiriouDVGAttaché territorial
Conseiller général de Corbeil-Essonnes-Ouest(1998 → 2015)[160]
2e vice-président de laCA Grand Paris Sud Seine-Essonne-Sénart(2020 → )

Politique de développement durable

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La commune a engagé dans une politique dedéveloppement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2011[161].

Labels et distinctions

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En 2005, la commune a reçu le label « Ville Internet @@@ »[162], renouvelé en 2006[163].

Jumelages

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Article connexe :Coopérations décentralisées des communes de l'Essonne.

Corbeil-Essonnes a développé des associations dejumelage avec[164]:

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

Deuxième commune du département de l’Essonne en nombre d’habitants, avec cependant douze mille résidents de moins que sa voisineÉvry, Corbeil et Essonnes, puis Corbeil-Essonnes, ont cependant toujours été des agglomérations importantes du sud francilien. Ville industrielle, Corbeil comptait déjà trois mille habitants lors du premierrecensement des personnes en 1793, sa voisine Essonnes, plus rurale et destinée à l’hébergement des nouveaux arrivants en regroupait mille cinq cents.

Au fil des années, Essonnes rattrapa peu à peu son retard, restant cependant toujours moins peuplée que la ville principale mais connaissant les mêmes variations, à savoir la perte de cent habitants chacune en 1806 et en 1846 avec des contrecoups ultérieurs à Essonnes qui perdait encore des Essonnois en 1821 et 1851, et la forte hausse de 1896, lorsque Corbeil gagna mille nouveaux arrivants et Essonnes mille sept cents en pleine période d’abondance industrielle et d’exode rural.

La tendance s’inversa pour la première fois en 1911 quand la population d’Essonnes commença à décroître alors que Corbeil continuait sa progression, dépassant cette même année les dix mille Corbeillois et n’étant que peu marquée par les pertes de la Première Guerre mondiale qui fit pourtant encore chuter Essonnes, celle-ci ne franchissant le cap des dix mille résidents qu’au recensement de 1926.

Les deux communes, encore séparées, furent cependant également impactées par les ravages de la Seconde Guerre mondiale, Corbeil perdit ainsi plus de deux cents personnes et Essonnes près de cinq cents avec une population respective de 10 976 et 10 032 habitants.

Le recensement de 1954 fut le premier qui intervint après la réunion des municipalités, la nouvelle commune de Corbeil-Essonnes comptant ainsi 22 891 habitants, et poursuivant une progression rapide pour atteindre 38 859 personnes vingt ans plus tard avant une première baisse de mille résidents en 1982 qui ne l’empêche pas de franchir le cap des quarante mille Corbeil-Essonnois lors du recensement de 1990.

La décennie suivante fit à nouveau perdre mille habitants à l’agglomération, avant une nouvelle croissance qui lui fit atteindre les 40 929 personnes lors du recensement intervenu en 2006. Avec 17,4 % de la population de nationalité étrangère en 1999, l’immigration représente alors une part importante du développement de la commune[168], le taux est ainsi quatre points supérieur à celui de sa voisine Évry, pourtant réputée plus cosmopolite. Parmi cette population de nationalité étrangère, 5,1 % sont originaires duPortugal, 3,5 % d’Algérie, 1,9 % duMaroc, 1,2 % deTurquie, 0,6 % deTunisie et 0,3 % d’Espagne ou d’Italie[169].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[170],[Note 8].

En 2022, la commune comptait 53 712 habitants[Note 9], en évolution de +5,22 % par rapport à 2016 (Essonne : +2,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution démographique de Corbeil (1793-1953) puis Corbeil-Essonnes  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
3 0003 3473 2303 4813 7083 6904 4554 4094 725
Évolution démographique de Corbeil (1793-1953) puis Corbeil-Essonnes  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
5 0305 2215 5416 0166 3926 7197 5418 1849 182
Évolution démographique de Corbeil (1793-1953) puis Corbeil-Essonnes  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
9 6329 90210 74610 93711 23011 52411 18010 97622 891
Évolution démographique de Corbeil (1793-1953) puis Corbeil-Essonnes  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620112016
26 80532 19238 85937 84640 34539 37840 92944 22351 049
Évolution démographique de Corbeil (1793-1953) puis Corbeil-Essonnes  [ modifier ], suite (4)
20212022-------
52 68353 712-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[46] puisInsee à partir de 2006[171].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution démographique d'Essonnes (1793-1953)
179318001806182118311836184118461851
1 5001 3831 2891 0852 7173 0633 6123 5173 439
Évolution démographique d'Essonnes (1793-1953), suite (1)
185618611866187218761881188618911896
3 5903 8583 9844 7035 3346 0816 8257 3519 072
Évolution démographique d'Essonnes (1793-1953), suite (2)
19011906191119211926193119361946-
9 3749 6339 3489 33010 25410 68310 50510 032-
(Source : Ldh/EHESS/Cassini[172].)

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 45,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 15,8 % la même année, alors qu'il est de 20,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 24 916 hommes pour 26 038 femmes, soit un taux de 51,10 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,02 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[173]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,8 
3,9 
75-89 ans
4,9 
10,6 
60-74 ans
11,0 
18,1 
45-59 ans
16,0 
22,7 
30-44 ans
21,5 
20,7 
15-29 ans
22,7 
23,7 
0-14 ans
23,1 
Pyramide des âges du département de l'Essonne en 2021 en pourcentage[174]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
12,9 
60-74 ans
13,9 
20 
45-59 ans
19,4 
19,9 
30-44 ans
20,1 
20 
15-29 ans
18,2 
21,3 
0-14 ans
19,8 

Enseignement

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Les établissements scolaires de Corbeil-Essonnes sont rattachés à l’académie de Versailles.

La commune dispose en 2010 sur son territoire :

S’ajoutent l’école primaireprivée sous contratSainte-Marie[177], le collège privéSaint-Spire et le lycée privéSaint-Léon[178] tous trois disposant d’un enseignement religieux catholique.

LeGreta-Est-Essonne est installé au lycée Robert Doisneau[179].

Deux établissements d’enseignement adapté sont installés en 2009 dans la commune, l’institut thérapeutique, éducatif et pédagogique Les Fougères et l’institut d’éducation motrice Le Petit Tremblay[180].

Hors temps scolaire, l’accueil des enfants se fait avec lescentres de loisirs Henri Wallon, La Nacelle, Montconseil, Les Mozarts, Jean Macé, Théodore Steeg, Pauline Kergomard, Le Paradis, Louis Pasteur, La Montagne des Glaises, L’Indienne, Villededon, Frédéric Joliot-Curie, Paul Éluard et Léon Cassé.

Troismaisons de quartier accueillent les adolescents auxTarterêts, à Montconseil et sur la Rive-Droite.

  • Le lycée Robert Doisneau.
    Le lycée Robert Doisneau.
  • Le lycée privé Saint-Léon.
    Le lycée privé Saint-Léon.

Enseignement primaire et secondaire

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Écoles maternelles
  • André Malraux (quartier de Montconseil)
  • Arthur Rimbaud (quartier des Tarterêts)
  • Charles Baudelaire (quartier des Tarterêts)
  • Frédéric Joliot Curie (quartier de l'Ermitage)
  • Henri Wallon (quartier de Robinson)
  • Jean Macé (quartier de la gare)
  • L'Indienne (quartier de Chantemerle)
  • La Nacelle (quartier de La Nacelle)
  • La Source (quartier de Montconseil)
  • Le Paradis (quartier Rive-Droite)
  • Léon Cassé (quartier de Robinson)
  • Louis Pasteur (quartier du Bas Coudray)
  • Montagne des Glaises (quartier Montagne des Glaises)
  • Paul Langevin (quartier de Montconseil)
  • Pauline Kergomard (quartier du Pressoir-Prompt)
  • Théodore Steeg (quartier de Moulin-Galant)
  • École Geneviève-Antonioz De Gaulle (quartier de la Papeterie)
Écoles élémentaires
  • André Malraux (quartier de Montconseil)
  • Frédéric Joliot Curie (quartier de l'Ermitage)
  • Galignani (quartier du Vieux-Corbeil / Centre ville)
  • Jacques Bourgoin (quartier Rive-Droite)
  • Jacques Prévert (quartier des Tarterêts)
  • Jean Macé (quartier de la Gare)
  • Jules Ferry (quartier de Robinson)
  • La Nacelle (quartier de La Nacelle)
  • Le Paradis (quartier Rive-Droite)
  • Les Quatre Vents (quartier des Tarterêts)
  • Pablo Picasso (quartier des Tarterêts)
  • Paul Bert (quartier de Robinson)
  • Paul Eluard (quartier de Montconseil)
  • Paul Langevin (quartier de Montconseil)
  • Pressoir Prompt (quartier du Pressoir-Prompt)
  • Théodore Steeg (quartier de Moulin-Galant)
  • Germaine-Tillion (quartier de la Papeterie)
  • Ecole privée Sainte-Marie (quartier du Bas-Coudray)
Collèges
  • Chantemerle (quartier de Chantemerle)
  • La Nacelle (quartier de La Nacelle)
  • Louise Michel (quartier de Montconseil / du Pressoir-Prompt)
  • Léopold Sédar Senghor (quartier des Tarterêts)
  • Saint-Spire (privé) (quartier du Bas-Coudray)
Lycées
  • Saint-Léon (privé) (quartier du Bas-Coudray)
  • Robert Doisneau (quartier des Tarterêts / des Coquibus)

Culture

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Corbeil-Essonnes bénéficie d’une longue tradition culturelle, en accueillant dès 1819 d’unthéâtre à l’initiative de l’industriel Joseph Martin.

Elle dispose encore du théâtre intercommunal construit en 1973[181] qui accueille deuxcompagnies de théâtre. S’ajoute lasalle de cinéma indépendanteArcel, classée« art et essai »[182].

Pour l’accès de tous à la culture, la commune a mis en place lamédiathèque Chantemerle et deux annexes auxTarterêts et à Montconseil[183], laMJCFernand Léger[184] et le conservatoire de musique et danseClaude-Debussy installé dans l’ancien hôtel de ville d’Essonnes.

Trois lieux d’exposition accueillent en outre des manifestations temporaires :

  • l’ancienne commanderie de Saint-Jean-en-l’Isle ;
  • la galerie d’art située sous le théâtre de la ville depuis ; la galerie d'art s'est d'abord ouverte en 2001 dans le cloître Saint-Spire avec une exposition du peintre Pierre Scholla, puis a déménagé rue Saint-Spire en ;
  • la cathédrale Saint-Spire.

La commune organise unfestival de musique, « Les Couleurs du jazz », la « Quinzaine du film argentin » et unfestival de bande dessinée.

Quinzeassociations participent à l’animation culturelle de la commune[185].

Divers artistes se produisent dans les salles municipales, dontGrand Corps Malade en ; d’autres y sont nés ou y ont résidé.

Sports

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La commune dispose sur son territoire de diverses infrastructures permettant la pratique sportive.

La première d’entre elles, le palais des sports regroupe un gymnase, undojo, une salle de combat, une salle d’escrime et une salle dedanse.

Le stade de Robinson est équipé d’unterrain de football et derugby, le stade Mercier ajoute à ces mêmes équipements unepiste d'athlétisme. Le stade Roger est lui entièrement destiné autennis avec six courts synthétiques, deux courts en terre battue, un court en béton et quatre courts couverts. Lestade nautique Gabriel Menut, avec trois bassins dont un olympique de cinquante mètres à toit mobile, unefosse à plongeon et des bassins d’agrément, accueille les nageurs et joueurs dewater-polo, il est complété par la base decanoë-kayak au bord de l'Essonne. Six gymnases sont implantés dans divers quartiers, deux aux Tarterêts pour lebasket-ball et levolley-ball, à Montconseil pour lehandball, à La Nacelle pour le volley-ball et letennis de table, ainsi que les gymnases Louise Michel pour le basket-ball, le tennis et le volley-ball et le gymnase Maurice Broguet qui ajoute aux disciplines précédentes lagymnastique rythmique, lejudo et l’aïkiryu.

Trente-deux associations animent et organisent en 2009 la pratique sportive dans la commune[186]. Parmi elles, l’AS Corbeil-Essonnes créée en 1951 et qui évolua enchampionnat de France de football de deuxième division est ainsi l’un des clubs defootball majeurs du département, comme l’ASCE Canoë-Kayak etCorbeil XIII dans leurs disciplines respectives. Le la commune futville-étape duTour de France 2001 puis à nouveau le pour leTour de France 2005.

Santé

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L’hôpital Gilles de Corbeil en 2008.

La commune accueille sur son territoire depuis 2011 le nouveauCentre hospitalier sud francilien, regroupant les centres Galignani et l’hôpital Gilles de Corbeil[187]. Elle dispose ainsi de services decardiologie,diabétologie-endocrinologie,dermatologie,hématologie,neurologie,oncologie,pneumologie, d’imagerie médicale etmédecine nucléaire. Du centre hospitalier sont organisées les missions duSmur pour la moitié est du département[réf. nécessaire]

La polyclinique Chantemerle est aussi installée sur la commune.

Le centre d’accueil Galignani est complété par l’autreétablissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, le foyerBernardin de Saint-Pierre.

S’ajoutent en 2009 un centre d’accueil familial spécialisé, un foyer de jour, un centre médico-psycho-pédagogique et lamaison des adolescentsLes Roches[188].

Outre ceux exerçant à l’hôpital, 83 médecins[189], 31 chirurgiens-dentistes[190], 12 pharmacies[191] et trois cliniques vétérinaires, dont la clinique vétérinaire Jean-Jaurèsassurant les urgences 24h/24h dans l’agglomération Grand Paris Sud[réf. nécessaire], sont installés (en) sur la commune.

La commune accueille aussi en 2009 le siège administratif duSamu départemental, le Centre départemental d’appel d’urgence et unCentre d'enseignement des soins d'urgence[192].

Petite enfance

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L'accueil collectif des bébés se fait avec lescrèches Les Galopins et Le Petit Poucet, la crèche familiale Chanteprince[réf. nécessaire]

Trois centres deprotection maternelle et infantile sont implantés à Corbeil-Essonnes, en centre-ville[193], à la Nacelle[194] et auxTarterêts[195], complétés par deux centres deplanification familiale en centre-ville[196] et aux Tarterêts[197]

Autres services publics

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L’ancienne sous-préfecture.

La commune, bien qu’elle ne soit pas chef-lieu d’arrondissement et qu’elle soit voisine de la préfecture d’Évry, disposait encore sur son territoire jusqu’en 2009 d’unesous-préfecture[198].

Elle accueille aussi un certain nombre de représentations duservice public, dont la direction départementale des services vétérinaires[199], la fédération départementale de lapêche et de lapisciculture[200], une permanence du délégué aumédiateur de la République[201], les services deconservation des hypothèques[202] et ducadastre[203], le centre départemental d’action sociale[204], une antenne de laCAF[205], dupôle emploi[206] et desAssedic[207]. Quatre agencespostales sont réparties en centre-ville[208], à Saint-Étienne[209], Montconseil[210] et aux Tarterêts[211]. Dix-neufavocats[212] exercent sur la commune, une société d’huissier de justice[213] et deux études denotaire[214] y sont installés. L’organisation juridictionnelle rattache les justiciables de Corbeil-Essonnes aux tribunaux d’instance, degrande instance, decommerce et auconseil de prud’hommes d’Évry[215].

Sécurité

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Le centre de semi-liberté.

La commune accueille sur son territoire uncentre de secours principal responsable de la sécurité des biens et des personnes de l’agglomération[216]. Une brigade degendarmerie et uncommissariat de police sont installés dans la commune, la première étant dévolue à la sécurité des communes rurales voisines et à la sécurité routière. Malgré cette présence relativement importante, la commune souffre d’une relative insécurité, notamment dans les quartiers sensibles, avec des actes de délinquances fréquents, du braquage d’un bureau de poste aux Tarterêts[217] à l’agression de fonctionnaires de police[218] entraînant des manifestations de la population[219]. Uncentre de semi-liberté est implanté en centre-ville.

La ville doit notamment faire face à des affrontements entre bandes de jeunes, issus de quartiers rivaux, notamment entre Montconseil etles Tarterêts. En 2016, la ville est secouée par la mort d'Adel, jeune de 19 ans du quartier Montconseil, choisit au hasard et tué d'une balle dans la tête lors d'une expédition punitive, et pour laquelle dix personnes seront condamnées pour meurtre en bande organisée[220].

Lieux de culte

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Corbeil-Essonnes est le siège associé dudiocèse d'Évry-Corbeil-Essonnes depuis sa création en 1966 et le siège dudoyenné de Corbeil-Saint-Germain. Ainsi, lacollégialeSaint-Spire fut élevée au rang decathédrale la même année. Laparoissecatholique dispose, en plus de la cathédraleSaint-Spire, des églisesSaint-Étienne (ancienne église paroissiale d’Essonnes),Notre-Dame-de-la-Paix à Montconseil,Saint-Joseph aux Tarterêts etSaint-Paul à Moulin-Galant (fréquentée par la communautépolonaise)[221]. La communautéprotestante de l’Église réformée dispose d’untemple auquel s’ajoutent les lieux de culte du centreévangélique Métanoia et celui de la mission évangélique de la Réconciliation. Lesmusulmans disposent de lamosquée As-salam inaugurée le[222]. La communautébouddhiste dispose elle du centrebouddhique tibétainDrikung Kagyu Rinchen Pal[223].

  • La cathédrale Saint-Spire.
    La cathédrale Saint-Spire.
  • L'église Saint-Étienne.
    L'église Saint-Étienne.
  • L'église Notre-Dame-de-la-Paix.
    L'église Notre-Dame-de-la-Paix.
  • L'église Saint-Paul.
    L'église Saint-Paul.
  • Le temple.
    Le temple.
  • La mosquée As-Salam.
    La mosquée As-Salam.

Édifices religieux

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  • Cathédrale Saint-Spire, rue du Cloître Saint-Spire.
  • Église Saint-Étienne, place Léon Casse.
  • Église Saint-Joseph, rue Pablo Picasso aux Tarterêts.
  • Église Saint-Jean de L'Ile, rue de Widmer.
  • Église Saint-Paul, boulevard John Kennedy.
  • Chapelle Notre-Dame de la Paix, rue Alfred Lécuyer.
  • Temple réformé, avenue Carnot.
  • Église évangélique Métanoïa, rue de la Papeterie.
  • Église protestante évangélique, rue Feray.
  • Mosquée As-Salam-Centre culturel islamique de la paix, avenue de Gaulle.
  • Salle du royaume des témoins de Jéhovah, rue Georges le Du.

Médias

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La commune est située dans le bassin d’émission deschaînes de télévisionFrance 3 Paris Île-de-France,IDF1 etTéléssonne intégré àViàGrandParis. L’hebdomadaireLe Républicain relate les informations locales dans son édition Nord-Essonne comme lastation de radioEFM. La radio Évasion FM y dispose d’une fréquence spécifique. Autres médias locaux Le Parisien Essonne, Essonne Info, Actu Essonne et M-Essonne.

Économie

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La rue Saint-Spire, artère commerçante.
Icône d'horloge obsolète.
Cette section doit êtreactualisée.(Dernière mise à jour : 2009)
Des passages de cette section sont obsolètes ou annoncent des événements désormais passés.Améliorez-la oudiscutez-en.

Dès leMoyen Âge, Corbeil et Essonnes étaient d’importants sites industriels, disposant detanneries et depoudreries. C’est aujourd’hui encore, avec Évry, le cœur économique du département.

La commune est intégrée par l’Insee à lazone d’emploi d’Évry qui regroupait en 1999 soixante-six communes et 271 329 habitants, Corbeil-Essonnes étant la seconde commune en nombre de résidents avec près de 15 % du total[224].

Des vingt plus grandes entreprises installées sur ce secteur,Snecma Moteurs etAltis Semiconductor, les deux premières en importance sont implantées sur la commune avec chacune plus de deux mille salariés[225], symbolisant l’importance maintenue de l’industrie et de la construction qui représentent encore 20,8 % de l’activité économique et salariée. C’est ainsi 2 069 entreprises, dont 1 686 sièges sociaux, employant 17 790 salariés qui étaient implantées à Corbeil-Essonnes en 2006, la fonction publique ne représentant que 4,7 % contre 80,2 % pour lesecteur tertiaire.

Caractéristique de la grande banlieue parisienne restée en partie rurale, trois exploitations agricoles employant dix personnes étaient encore actives en 2000 sur la commune. Le tourisme d’affaires est aussi important dans la commune, avec trois hôtels dont un deuxétoiles pour un total de cent quarante-trois chambres. Quatremarchés sont implantés sur la commune, le principal en centre-ville lesmardis,vendredis etdimanches matin et auxTarterêts lesmercredis etsamedis matin[226].

Industrielle, la commune n’est pas épargnée par les pollutions, ainsi, quatre entreprises sont recensées dans le registre des émissionspolluantes, Altis Semiconductor pour ses rejets d’halogénoalcanes, deprotoxyde d'azote, d’ion fluorure, d’arsenic, dechrome et decuivre[227], les installations étant classées au titre de ladirective Seveso[228], Boc Edwards pour ses rejets d’acide fluorhydrique et d’ammoniaque[229], Hélio Corbeil Quebecor pour sa production de déchets dangereux[230] et la Snecma pour sa production de déchets dangereux et ses prélèvements importants d’eau[231].

Emplois, revenus et niveau de vie

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Icône d'horloge obsolète.
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Avec un taux de 31,1 %, les professions intermédiaires sont lacatégorie socio-professionnelle la plus représentée, suivie par lesouvriers, population traditionnelle de Corbeil-Essonnes, représentant encore 26,2 % des actifs. En 1999, pas moins de 18 795 personnes étaient recensées commepopulation active mais 17,3 % d’entre elles étaient au chômage, ce qui fait d’elle la commune la plus touchée du département[232], et 14,9 % ne disposaient que d’untravail précaire[233].

Ainsi, avec seulement 17 925 euros de revenu net imposable moyen, les contribuables Corbeil-Essonnois sont loin de la moyenne départementale fixée en 2006 à 26 556 euros, et seulement 53,1 % étaient effectivement assujettis à l’impôt sur le revenu[234]. En 2010, lerevenu fiscal médian par ménage était de 25 236 €, ce qui plaçait Corbeil-Essonnes au 22 708 e rang parmi les 31 525 communes de plus de39 ménages en métropole[235].

Répartition des emplois parcatégorie socioprofessionnelle en 2006.
 AgriculteursArtisans, commerçants,
chefs d’entreprise
Cadres et professions
intellectuelles supérieures
Professions
intermédiaires
EmployésOuvriers
Corbeil-Essonnes0,1 %4,0 %15,4 %30,3 %26,6 %23,7 %
Zone d’emploi d’Évry0,3 %4,0 %20,2 %29,6 %28,2 %17,7 %
Moyenne nationale2,2 %6,0 %15,4 %24,6 %28,7 %23,2 %
Répartition des emplois parsecteur d'activité en 2006.
 AgricultureIndustrieConstructionCommerceServices aux
entreprises
Services aux
particuliers
Corbeil-Essonnes0,3 %22,8 %6,3 %12,0 %10,4 %7,0 %
Zone d’emploi d’Évry0,9 %13,5 %5,4 %14,6 %16,2 %6,9 %
Moyenne nationale3,5 %15,2 %6,4 %13,3 %13,3 %7,6 %
Sources :Insee[236]
Grands moulins de Corbeil
Nouveau complexe portuaire des Grands moulins de Corbeil.
Article détaillé :Grands moulins de Corbeil.

Reconstruite en 1893, laminoterie des Grands moulins de Corbeil, propriété dugroupe Soufflet est encore en activité et symbolise l’industrie historique de la commune à proximité directe du centre-ville. Un quai de chargement sur la Seine est installé dans le prolongement du port de commerce d’Évry.

Centre commercial Marques Avenue A6
Le centre commercial Marques Avenue A6.

Le, lecentre commercial Art de vivre rénové intégra le groupe de magasins d’usine Concepts & Distribution sous l’appellationMarques Avenue A6, rassemblant78 boutiques sur une superficie de treize mille mètres carrés.

Culture locale et patrimoine

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Patrimoine environnemental

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Près de deux cents hectares du territoire municipalsont encore[Quand ?] considérés comme ruraux, majoritairement constitués debois communaux dont le bois desTarterêts au nord qui occupe plus de six hectares. Deux cents autres hectares sont classifiés comme espaces urbains non construits, constitués pour partie deparcs, jardins etsquares qui totalisent eux près de dix-huit hectares. Les deux plus importants sont le parc de La Nacelle qui occupe presque quatre hectares et le parc de Chantemerle avec plus de deux hectares. Ils sont complétés, par ordre de taille par les squaresDalimier, Maurice Riquiez,Balzac,Gustave Courbet, d’Angoulême, des Coquibus, du stade Roger, Crété, Montconseil, Saint-Léonard, Moulin-Galant,Jean Macé, de Nagis, Espar et des Castors[237].

Ce patrimoine environnemental permet à Corbeil-Essonnes d’arborer en 2009 trois fleurs auconcours des villes et villages fleuris[238] depuis 1999.

Lesentier de grande randonnéeGR 2 traverse la commune du sud au nord en empruntant les berges de la Seine. À l’inverse de la Seine qui relève du domaine public d’État, les berges de l’Essonne sont en grande majorité privées, l’entretien étant effectué par la commission exécutive d’entretien de la rivière Essonne[239].

Une partie des berges de la Seine et de l’Essonne ont été recensés au titre desespaces naturels sensibles par leconseil général de l'Essonne[240].

Patrimoine architectural

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Statue de la reine de Saba à Notre-Dame, finXIIe siècle

Corbeil-Essonnes, commune à l’histoire riche, dispose sur son territoire d’unpatrimoine culturel important, retraçant les diverses périodes de prospérité de l’agglomération. Sept édifices sont ainsi inscrits auxmonuments historiques, le plus ancien est l’église désaffectée Saint-Jean-en-L’Isle, construite entre leXIIe siècle et leXIIIe siècle et inscrite le, aujourd’hui devenue un musée[241]. S’ajoute uneborne géographique frappée de lafleur de lys royale, datant de la même période et inscrite le[242]. Lacathédrale Saint-Spire duXIVe siècle fut elle aussi classée, une première fois en 1840 et à nouveau le[243], comme le fut plus tard l’église d’Essonnes, l’église Saint-Étienne au clocher duXIIe siècle et à la nef duXIIIe siècle, le tout classé le[244]. Les vestiges de l'église Notre-Dame[245] remontés dans le parc de Montgermont àPringy (Seine-et-Marne) en 1828[246], et dont les statues-colonnes du roi Salomon et de la reine de Saba (précédemment identifiées commeClovis etClotilde)[Note 10], datant dernier quart duXIIe siècle, se trouvent au musée du Louvre[247].LesGrands moulins construits auXIXe siècle, inscrits le[248] sont un exemple de l’architecture industrielle importante à Corbeil-Essonnes, au même titre que la halle du marché couvert à l’architecture métallique, construite en 1893 et inscrite le[249]. Les bâtiments de lapapeterie Darblay, construits entre 1823 et 1959, dont l’ensemble construit parPaul Friesé à partir de 1869 sur les deux berges de l’Essonne symbolisent aussi le patrimoine industriel de la ville. La chapelle Notre-Dame-de-la-Paix du quartier Montconseil, construite en 1960 par l’architecteÉdouard Albert a reçu le label « Patrimoine duXXe siècle »[250]. LaChaufferie centrale du quartier des Hauts-Tarterêts a été inscrite pour sa part le 7 avril 2016.

Divers autres bâtiments caractérisent la commune, dont la sous-préfecture, édifiées en 1862, le temple protestant au clocher en bois, inauguré le, la prison construite vers 1883, le bâtiment de l’ancien orphelinat Galignani bâti en 1878, l’ancien moulin à poudre datant duXVIIe siècle, le Castel-Joli duXIXe siècle, résidence de Waldeck-Rousseau.

  • Les remparts de Corbeil.
    Les remparts de Corbeil.
  • La commanderie de Saint-Jean-en-L’Isle.
    La commanderie de Saint-Jean-en-L’Isle.
  • Le porche du cloître Saint-Spire.
    Le porche du cloître Saint-Spire.
  • Le marché couvert de Corbeil.
    Le marché couvert de Corbeil.
  • La tour élévatrice des Grands moulins de Corbeil.
    La tour élévatrice des Grands moulins de Corbeil.

Personnalités liées à la commune

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Différentspersonnages publics sont nés, décédés ou ont vécu à Corbeil-Essonnes :

Abélard et Héloïse.
Pierre Waldeck-Rousseau

Héraldique et logotype

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Article connexe :Armorial des communes de l'Essonne.
Logo.
Blason de Corbeil-EssonnesBlason
D’azur aucœur au naturel chargé d’unefleur de lys d’or.
Détails
La fusion avec l’ancienne commune d’Essonnes a permis de créer un nouveau blason :parti : au premier d’azur au cœur cousu degueules chargé d’une fleur de lys d’or, au second aussi d’azur aux troisépis deblé d’or posés enéventail.

Sur les deux blasons de Corbeil et Corbeil-Essonnes, l’erreur d’associer du gueules sur de l’azur en font desarmes à enquerre. Le blason de la commune est apposé sur la rameTGV 97 au titre desparrainages du matériel roulant de laSNCF par les communes[252].

La commune s’est en outre dotée d’unlogotype reprenant les blasons et devises de Corbeil et Essonnes couronnés.

Devise

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Ladevise de Corbeil-Essonnes, ancienne devise de Corbeil, est « cor bello paceque fidum » enlatin, ce qui peut se traduire en français par « cœur fidèle en guerre et en paix ». Elle est complétée par l’ancienne devise d’Essonnes « crescet ad huc » en latin, dont la traduction en français est « par cela elle grandit ».

Corbeil-Essonnes dans les arts et la culture

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  • Le nom « corbillard » vient de la ville de Corbeil[253]. Au Moyen Âge, Paris était approvisionné par le port de Corbeil par des navires à fond plat appelés des corbeillards. Lors d’une épidémie de peste, les cadavres furent évacués de la capitale par ces navires[254], donnant leur nom aux véhicules funéraires. Ainsi au Moyen Âge, Corbeil - située au confluent de la Seine et de l'Essonne - est réputée pour être un carrefour commercial. Le blé arrive des plaines voisines pour être ensuite transformé dans les grands moulins de la ville. Une fois fabriqué, le pain doit être acheminé jusqu'à Paris, pour cela, on le place dans des cales de bateau à fond plat[255] tiré par des chevaux depuis le rivage. Ce transport fluvial va être renommé le « corbeillard »[253]. Cependant que, toujours au Moyen Âge, la peste bubonique refait surface en Europe. L'épidémie est terrible et fait des ravages inédits. Les rues de Paris débordent de cadavres[256]. Alors pour désengorger la capitale, on réquisitionne les bateaux de commerce pour transporter les morts loin de la ville. Le mot « corbillard »[257]" en tant que tel va apparaître à partir duXVIIe siècle[258], pour désigner ces voitures qui transportent les cercueils, sûrement par analogie entre le corbeillard et le corbillat, le petit du corbeau, souvent associé à la mort.
  • La commune homonyme deCorbeil dans laMarne est située approximativement sous la mêmelatitude à cent quarante-trois kilomètres à l’est.
  • Honoré de Balzac situe de nombreuses scènes deLa Cousine Bette à Corbeil résidence deCélestin Crevel[259].
  • Certaines scènes des filmsLe Guignolo deGeorges Lautner sorti en 1980 avecJean-Paul Belmondo,Marie-Line deMehdi Charef sorti en 2000 avecMuriel Robin furent tournées dans la commune[260],La Clef deGuillaume Nicloux sorti en 2007 etAgathe Cléry d’Étienne Chatiliez sorti en 2008[261].
  • La commune a servi de décor à plusieursartistes peintres qui l’ont représentée, dontJean-Victor Bertin qui a réaliséVue prise à Essonnes près de Corbeil conservé aumusée du Louvre[262], etAntoine Muguet (1875-1954), qui a peintLe pont de Corbeil conservé auMusée des Beaux-Arts de Lyon[263].
  • L’expression« prendre Paris pour Corbeil » qui signifie commettre une lourde bévue, viendrait de la légende que Corbeil assiégée résista et que les assaillants, des protestants, s’en allèrent faire le siège de Paris. Les Parisiens se seraient alors gaussés de la bêtise de la situation et de la grave erreur commise par les assiégeants :« Comment espérer prendre la capitale s’il leur est impossible de prendre une petite ville d’un comté voisin… voyons, il ne faut pas prendre Paris pour Corbeil »[264].

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et406 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. À vérifier dans François Naudet, avec la collab. de Stéphane Ardouin, Alain Bénard et François Besse,L'Essonne, Paris, Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 2004 (Carte archéologique de la Gaule : pré-inventaire archéologique, 91)(ISBN 2-87754-086-3).
    Mais aucune voie antique ni borne milliaire à Corbeil-Essonnes, voire touteinscription latine, ne sont mentionnés dans leCorpus Inscriptionum Latinarum [17]. Miliaria Imperii Romani, Pars secunda, Miliaria provinciarum Narbonensis Galliarum Germaniarum, éd. par Gerold Walser, Berlin, New York, Berlin-Brandenburgische Akademie der Wissenschaften, 1986, ou dans les autres corpus épigraphiques de textes latins.
    Une voie antique existait entre Corbeil et Étampes, pour laquelle un menhir servait de borne leugaire ; cette voie a été en partie effacée par l'extension du domaine du château du Mesnil Voisin (Lardy), et son repérage n'a pas été poursuivi au-delà de ce point[48].
    On note que laBorne royale àfleur de lys classée en 1934 (« Borne à fleur de lys n° 21 de Corbeil-Essonnes », noticeno PA00087862, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture) est par erreur présentée commeborne milliaire par le sitetopic-topos, mais avec le numéro 30 (au 78 boulevard Jean-Jaurès).
  5. Plus tard, ils furent chargés de transporter les victimes de la pandémie dePeste noire auXIVe siècle, instituant le mot decorbillard[réf. nécessaire].
  6. Résultat invalidé par décision du conseil d’État du 8 juin 2009.
  7. Résultat officiel sur le site de la mairie de Corbeil-Essonnes.
  8. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  9. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  10. Selon la fiche descriptive de Louvres, les statues avaient été identifiées de 1803 à 1806 comme étant celles de Clovis et de Clotilde. Depuis, elles sont traditionnellement désignées, sans preuve, comme Salomon et la reine de Saba.

Références

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  2. Coordonnées géographiques de Corbeil-Essonnes sur le site lion1906.com Consulté le 01/02/2009.
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  4. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Évry sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  5. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Montlhéry sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  6. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Arpajon sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  7. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et La Ferté-Alais sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  8. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Palaiseau sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  9. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Milly-la-Forêt sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  10. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Étampes sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  11. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Dourdan sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  12. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Melun sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
  13. Orthodromie entre Corbeil-Essonnes et Corbeil-Cerf sur le site lion1906.com Consulté le 13/08/2012.
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  63. Mannier (1872) p. 56
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  73. Marie-Claire Roux,En arrière toutes ! Des villes de banlieue dans la Grande Guerre, Athis-Mons, Maison de Banlieue et de l’Architecture,, 96 p.(ISBN 978-2-9538890-8-6).
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  149. « Corbeil : Serge Dassault inéligible pour un an »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne, consulté le)« Le Conseil d'Etat a annoncé lundi matin l'annulation des élections municipales de Corbeil-Essonnes en mars 2008. Serge Dassault, sénateur-maire UMP et son principal opposant Bruno Piriou (PC) sont tous deux déclarés inéligibles pour un an. Le candidat PC, battu de 170 voix au deuxième tour, avait introduit un recours en annulation accusant le maire sortant d'avoir distribué de l'argent aux électeurs, faussant ainsi le scrutin. Dans sa décision, le Conseil d'Etat estime que si l'ampleur des dons d'argent dont est accusé M. Dassault ne peut être précisément déterminée, « ces faits ont été, eu égard à l'écart de voix, de nature à altérer la sincérité du scrutin et à en vicier les résultats » ».
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  152. « La délégation qui va gérer la ville enfin là »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne)« L'ancien receveur des impôts Jean Delannoy, qui vient de finir une précédente délégation à Morangis, a été nommé président. »
  153. « Ils vont gérer Corbeil tout l'été »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne)« Un intérim qui a démarré voilà quelques jours en toute discrétion après l'invalidation de l'élection du maire UMP sortant, Serge Dassault. Dès leur arrivée, ils ont désigné trois vice-présidents et un président, Jean Delannoy. »
  154. « Jean-Pierre Bechter (UMP) élu maire de Corbeil-Essonnes en conseil municipal »,Le Parisien,‎(lire en ligne, consulté le)« Les premiers mots du maire, qui avait remporté le second tour des municipales le 4 octobre avec seulement 27 voix d'avance sur son adversaire, le communiste Michel Nouaille, ont été en direction de Serge Dassault. « Si je suis ici, c'est grâce à vous », a-t-il déclaré à l'ancien premier magistrat de la ville, dont la présence en début de séance aux côtés du personnel administratif a été fortement critiquée par l'opposition ».
  155. Bernard Gaudin, « Municipales 2010 : Jean Delannoy nommé président de la délégation spéciale », surcorbeil.info.free.fr,« Après le départ de Jean-Pierre Bechter qui a cessé ses fonctions de maire le jeudi 7 octobre 2010, c’est désormais Jean Delannoy qui assure, avec six autres délégués, la bonne marche de la mairie de Corbeil-Essonnes. Installée par le préfet le vendredi 8 octobre, la délégation spéciale va expédier les affaires courantes en attendant le scrutin du 5 décembre. »
  156. « Corbeil-Essonnes : Bechter réélu maire »,Le Parisien, édition de l'Essonne,‎(lire en ligne)« Ce n'est pas une surprise : une semaine après sa victoire dans les urnes, Jean-Pierre Bechter a été réélu dimanche maire de Corbeil-Essonnes par le conseil municipal. »
  157. AFP, « L'UMP Jean-Pierre Bechter réélu à la mairie de Corbeil-Essonnes : Le bras droit de Serge Dassault a remporté, dimanche, au second tour la municipale de Corbeil-Essonnes avec 53,71 % des suffrages »,Le Monde,‎(lire en ligne, consulté le).
  158. Marie d'Ornellas, « Municipales à Corbeil-Essonnes : Serge Dassault savoure la victoire de son bras droit »,Le Parisien, édition de l'Essonne - Municipales 2014,‎(lire en ligne, consulté le)« Jean-Pierre Bechter (UMP) a célébré dès 22 heures sa large victoire. L’édile est arrivé en tête avec 56,52 % des suffrages face à Bruno Piriou (PCF, 43,47 %), qui présentait une liste citoyenne et d’union de la gauche ».
  159. Gérald Moruzzi, « Corbeil-Essonnes : un passage de relais en douceur entre Jean-Pierre Bechter et Bruno Piriou : Malgré plus de dix ans d’affrontement incessants entre les deux hommes, le conseil d'installation du nouveau maire Bruno Piriou (DVG) s'est déroulé sans heurts. Jean-Pierre Bechter, son prédécesseur qui ne siégera pas, a défendu son bilan. »,Le Parisien, édition de Seine-Saint-Denis,‎(lire en ligne, consulté le)« Opiniâtre opposant à ce que beaucoup appellent le « système Dassault », Bruno Piriou [...] qui se donne pour ambitions « la vérité et la réconciliation », préfère annoncer sa feuille de route pour les six années à venir. Et elle est chargée. ».
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  258. Est-il possible, dit-elle [la Seine], qu'on me doive toujours parler de cette Sapho et de ce Cléodamas ? il n'y a point de corbillard qui ne me rompe la tête de leur vertu et de leur mérite (Mlle de Scudéry,p. 260, Rathery et Boutron, Paris, 1873)
  259. ÉditionFurne, 1848, vol.17p. 102, 228, 289
  260. Fiche du filmMarie-Line sur le site IMDb. Consulté le 23/05/2010.
  261. Liste des films tournés à Corbeil-Essonnes sur le site L2TC.com Consulté le 05/12/2010.
  262. Noticeno 000PE000100, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Joconde,ministère français de la Culture. Consulté le 24/08/2010.
  263. Noticeno 000PE026868, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Joconde,ministère français de la Culture. Consulté le 24/08/2010.
  264. Définition de l’expression « Prendre Paris pour Corbeil » sur l’espace du dictionnaire Littré du site reverso.net Consulté le 30/03/2012.
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