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Concile

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Unconcile (dulatinconcilium, « assemblée »), ousynode (dugrec anciensun-odos « chemin commun » ), est une assemblée d'évêques de l'Église catholique (latine ou non) ouorthodoxe. Il manifeste une dimension essentielle de touteÉglise chrétienne : la synodalité ou organisation hiérarchique du corps en vertu de laquelle lesprélats chargés du gouvernement de chaque portion de l'Église (évêques) sont susceptibles de se réunir pour prendre l'ensemble des décisions qui engagent lafoi et la discipline de tous sous l'autorité d'unprimat.

Définition

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Dans l’Église catholique, il désigne la réunion de l’ensemble des évêques en communion avec l'évêque de Rome, lepape, et régulièrement convoqués en assemblée par lui. Un concile peut être « œcuménique », c’est-à-dire universel quand il réunit la totalité des évêques (c’était le cas des conciles d’avant leschisme d’Orient), « général » quand il réunit l’ensemble des évêques catholiques du monde (c’est le cas du concileVatican II bien qu’on ait pris l’habitude de l’appeler « œcuménique »), national ou provincial.

Il s'agit donc d'une assemblée d'évêques qui établit lesdoctrines, lesdogmes (concile œcuménique) et dediscipline commune (conciles généraux et conciles particuliers). Une des formes de leurs décisions est lecanon ouloi.

Histoire et présentation générale

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On distingue cinq sortes de conciles répartis en deux catégories principales : lesconciles œcuméniques et les conciles particuliers.

  • lesconciles généraux sont les assemblées de tous les évêques appartenant à une même communion ecclésiale. En ce cas,œcuménique prend son sens premier et étymologique d'universalité. Il ne désigne pastoutes les Églises chrétiennes mais toutes les parties (évêques,fidèles,diocèses) d'un même ensemble ;
  • lesconciles particuliers où ne sont convoqués qu'une partie des évêques.

Parmi les conciles particuliers on distingue :

  • lesconciles nationaux ou pléniers, composés de tous les évêques d'un État ;
  • lesconciles régionaux (aussi pléniers), composés de tous les évêques de plusieurs provinces ecclésiastiques formant une région (actuellement par exemple en Italie).
  • lesconciles provinciaux, convoqués par un évêque métropolitain, où sont réunis les évêques d'uneprovince ecclésiastique ;
  • lessynodes diocésains, convoqués par l'évêque du lieu.

Lesconférences épiscopales ne sont ni des conciles, ni des synodes, mais des assemblées consultatives de prélats qui n'engagent que leurs participants et non toutes les communautés dont ils ont la charge.

Tout concile est convoqué par le supérieur de tous les évêques concernés (pape oupatriarche pour le concile œcuménique, métropolitain pour le concile provincial, etc.).

Lorsque le pouvoir ecclésiastique n'en avait pas les moyens, ou lorsque ceux-ci étaient exercés par l'État, spécialement lorsque l'Église était assimilée à un organisme étatique, les autorités civiles (empereur, roi, princes) ont tenté de se réserver le droit de convoquer les conciles. Toutefois, aucun concile ne peut édicter de loi sans l'approbation de l'autorité ecclésiastique qui le préside.

Leschisme de 1054 est la séparation entre l'Église d'Occident et l'Église d'Orient, traditionnellement placée en1054, et appeléeschisme d'Orient par lescatholiques, etschisme d'Occident par lesorthodoxes. À partir de cette date, l'œcuménicité des conciles n'est plus absolue ; elle est relative à l'ensemble des Églises en communion de foi avec l'autorité qui convoque le concile.

Dans l'orthodoxie

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Dans lesÉglises orthodoxes, le concile est l'instance qui décide pour l'ensemble des patriarcats de l'une ou l'autre Église. Il est ditœcuménique s'il est déclaré tel par le concile suivant (représentant ainsi l'opinion partagée par tous), ses décisions engagent alors toutes les églises qui le reconnaissent comme tel. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle les orthodoxes ne reconnaissent pas leconcile de Constantinople IV (879-880) comme œcuménique : il n'a été suivi d'aucun autre concile, certains proposent d'ailleurs de mettre à l'ordre du jour du prochain concile panorthodoxe la proclamation de l'œcuménicité de ce huitième concile[1].

Le mot russesobor (en caractèrescyrilliques : Собор), se traduit parconcile ousynode, et peut désigner dans cette langue une fête religieuse chrétienne orthodoxe qui peut être celle d'un groupe de deux ou plusieurssaints ouarchanges (comme le concile des neuf archanges) et non pas seulement une assemblée de représentants de l'Église comme dans le catholicisme[2].

Dans le catholicisme

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Pour lescatholiques, l'autorité et la compétence du concile, en matière de doctrine ou de discipline, sont subordonnées aujourd'hui[3] à celles dupape, lequel confirme puis promulgue les décrets conciliaires. Seul le pape convoque et dissout les conciles, qu'ils soient généraux, régionaux ou locaux. Lesynode, qui n'a aujourd'hui qu'une autoritéconsultative (mais néanmoins écoutée par le pape), se distingue du concile œcuménique par un ordre du jour qui ne concerne qu'une zone géographique ou qu'une Église particulières et spécifiques.

Rôle et tenue des conciles

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Le premier concile universel intervient douze ans après que l'empereur romainConstantin Ier le Grand eut porté lechristianisme au rang dereligion autorisée. Constantin ressent alors la nécessité de convoquer un concile œcuménique chargé d'arbitrer le conflit entreArius etAthanase. Ce premier concile œcuménique débute en325.

À partir de 325, le concile, sauf cas de force majeure, est réuni tous les ans mais un concile peut durer plusieurs années. De ce fait, sur place, il donne lieu à la création d’un quartier ou villageépiscopal. Les convocations se font d’un concile sur l’autre. Ces conciles se tiennent habituellement sur plusieurs années parce que les voyages peuvent durer plusieurs semaines, voire plusieurs mois, et que certaines questionsthéologiques (laGrâce, l’Incarnation, laTrinité, etc.) demandent des temps très longs de débats de réflexion.

Ils se tiennent au début sur le territoire de l’Empire romain puis sur le territoire des Empires romain etcarolingien, amputé à partir de laconquête musulmane (post632) du croissant allant de laSyrie à l’Algérie.

Classement des conciles et synodes

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Ce classement a longtemps donné lieu à discussions car les actes des conciles — acta en latin — n’étaient souvent pas datés ou datésa posteriori. Des travaux universitaires ont tenté de les répertorier rigoureusement, tels que la « Base d'Information Bibliographique en Patristique » de l’université Laval,Québec, publiée sous la direction du professeurRené-Michel Roberge, qui constitue actuellement une des bases les plus complètes et les plus accessibles.

Liste des conciles jusqu'en 1054

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Conciles généraux
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Huit de ces conciles sont reconnus par l'Église catholique et par l'Église orthodoxe, sept sont qualifiés d’œcuméniques par cette dernière (liste des conciles œcuméniques).

  1. 325 :Ier concile de Nicée, il condamne lagnose et l'arianisme (doctrine d'Arius). Adoption duSymbole de Nicée. Adoption de laconsubstantialité duPère et duFils. Fixation de la date dePâques. Érection des sièges d'Alexandrie, deRome etAntioche enéparchies, le siège deJérusalem se voyant reconnaitre un privilège d'honneur[4]. Adoption du dogme de latrinité. Adopte divers canons disciplinaires.
  2. 381 :Ier concile de Constantinople (Églises des deux conciles) contre la négation de la divinité duSaint-Esprit et contre lesariens. Adoptions de laconsubstantialité de l'Esprit saint avec le Père et le Fils, duSymbole de Nicée-Constantinople. Attribue un siège patriarcal àConstantinople. Adopte divers canons disciplinaires.
  3. 431 :Ier concile d'Éphèse (Églises des trois conciles) proclameMarie Mère de Dieu et condamneNestorius. Proclame l'Unité de Personne en Jésus-Christ. Adoption duSymbole d'Éphèse en433. Adopte divers canons disciplinaires.
  4. 451 :concile de Chalcédoine condamne la doctrine d'Eutychès selon lequel le Christ n'aurait qu'une seule nature, divine - lanature humaine étant en quelque sorte absorbée par la nature divine, doctrine dite desmonophysites. Au contraire, le concile affirme ses deux natures, divine et humaine en l'unique personne de Jésus-Christ. Adoptions duSymbole de Chalcédoine et de la Discipline desSacrements. Condamne Dioscore et le second concile d'Éphèse. Adopte divers canons disciplinaire,Jérusalem érigée en patriarcat, Constantinople comme deuxième siège de la taxis après Rome.
  5. 553 :IIe concile de Constantinople condamne les trois chapitres pour nestorianisme, condamne l'origénisme. Sans canons.
  6. 680-681 :IIIe concile de Constantinople condamne lemonothélisme. Les monothélites, disciples deSergius, évêque de Constantinople, modifiaient, en partie, les idées d'Eutychès (voirsupra) : ils enseignaient qu'il n'y a qu'une seule volonté de Jésus-Christ, la volonté divine qui absorbe et anéantit la volonté humaine. Sans canons.
  7. 692 :concilein Trullo, dit aussisynode de Constantinople ouconcile Quinisexte. Rajoute des canons en raison de l'absence de ceux ci aux5e et6e concile. Acceptée par l'Église orthodoxe, qui le considère comme partie intégrante du6e concile œcuménique. Rejeté par le Pape Serge, mais accepté partiellement, avec des réserves sur les canons contraires à l'usage Romain, par les papes Adrien puis Jean 8.
  8. 787 :IIe concile de Nicée (Églises des sept conciles) condamne l'iconoclasme. Il autorise et précise leculte des images (pas de l'image en elle-même, mais de ce qu'elle entend représenter). Adopte divers canons disciplinaire. Non reconnu par Rome jusqu'au concile de Constantinople de 879.
  9. 869-870 :IVe concile de Constantinople, contre leschisme dePhotius. Ce concile affirme que laTradition est l'une des règles defoi. Latrichotomie est condamnée (l'homme est composé d'uncorps, d'uneâme et d'unesprit) et la dichotomie est affirmée (l'homme est composé d'un corps et d'une âme). L'Église orthodoxe ne le reconnaît pas. L'Église catholique ne le reconnait que depuis leXIe siècle, remplaçant progressivement celui de 879.
Autres conciles (régionaux)
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Conciles de l’Église catholique à partir de 1054

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Conciles généraux
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Les conciles ci-dessous réunissent, en plus des seuls évêquescatholiques, les généraux desordres monastiques, les princes et des universitaires ; tant d'Occident que d'Orient — l'Église catholique englobe l'Occident mais le dépasse tout autant, nombre d'Églises d'Orient étant unies àRome sans être pour autant derite latin. Les décrets de ces conciles œcuméniques ne sont actuellement reconnus que par l'Église catholique.

  1. 1123 :Ier concile du Latran, ratification duconcordat de Worms, maintien de latrêve de Dieu, octroi d'indulgences aux croisés, canonisation deConrad de Constance.
  2. 1130 :concile de Clermont. Il condamne la pratique dutournoi.
  3. 1139 :IIe concile du Latran.
  4. 1179 :IIIe concile du Latran définit les règles pour lesélections pontificales.
  5. 1184 :concile de Vérone excommunie lesvaudois.
  6. 1215 :IVe concile du Latran condamne les vaudois et lesAlbigeois (cathares), décrète sur laconfession, lacommunion, lemariage et la hiérarchie dessièges patriarcaux.
  7. 1245 :Ier concile de Lyon, réforme les règles d'élection des évêques.
  8. 1274 :IIe concile de Lyon, réforme les règles d'élection du pape.
  9. 1311-1312 :concile de Vienne condamne desbégards et desbéguines.
  10. 1414-1418 :concile de Constance, fin dugrand schisme d'Occident qui débuta en1378 ; à l'ouverture du concile, troispapes se disputent leSaint-Siège.
  11. 1431-1442 :concile de Bâle affirme explicitement l'autorité des conciles sur le pape — leconciliarisme, et de ce fait n'est pas compté commeœcuménique ; il fut continué àFerrare1438 et àFlorence (1439-1445).
  12. 1512-1517 :Ve concile du Latranschisme luthérien (1520) –schisme anglican (1534) condamne la supériorité du concile sur le pape et réaffirme, par labulleÆternus Pastor, la supériorité du pape.
  13. 1545-1563 :concile de Trente définit la foi catholique sur les points niés par leprotestantisme et entreprend une réforme radicale du fonctionnement de l'Église. Il fixe la doctrine sur le nombre et la nature dessacrements, réorganise l'Église autour du prêtre et renforce laprimauté du pape.
  14. 1869-1870 :Ier concile du Vatican, explicite le rapport entrefoi et raison (Dei Filius) et définit le dogme de l'infaillibilité pontificale (Pastor æternus). Interrompu par laprise de Rome.
  15. 1962-1965 :IIe concile du Vatican.
Autres conciles
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Conciles de l’Église orthodoxe à partir de 1054

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Ces conciles ne sont pas tous reçu universellement, ni ont une autorité semblable aux conciles œcuméniques, à l'exception du neuvième concile œcuménique (cinquième concile de Constantinople)

  • 1082 : concile de Constantinople. CondamneJean Italos et différentes idées issue de l'hellénisme.
  • 1157 : concile des Blachernes. CondamneNicéphore Basilakès etSotérichos Panteugénos. Clarifie certains détails christologiques et liturgiques.
  • 1166 : concile de Constantinople. Réaffirme la monarchie du Père, condamne l'interprétation de« mon père est plus grand que moi » par la nature humaine du Christ.
  • 1285 :concile de Constantinople. CondamneJeanXI Vekkos et l'union de Lyon. Clarifie lapneumatologie et publie le Synodicon du Saint-Esprit.
  • 1341, 1349 et 1351 :conciles palamites (neuvième concile œcuménique, cinquième à Constantinople). Condamnent le barlaamisme et ses partisans (Barlaam le Calabrais,Grégoire Akindynos). Affirme la théologie deGrégoire Palamas : la distinction essence/énergie, la grâce incréée, l'hésychasme.
  • 1450 : concile de Constantinople, organisé par les patriarches de Jérusalem, Antioche et Alexandrie, condamne l'union de Florence.
  • 1484 : concile de Constantinople, condamne de nouveau l'union de Florence, annule sa proclamation en 1452 à Constantinople parIsidore de Kiev.
  • 1583 : concile de Jérusalem, condamne plusieurs innovations latines.
  • 1642 :concile de Iași, contre leprotestantisme, réaffirme la canonicité de divers livres de la Bible, accepte une version révisée de la Confession dePierre Movilă.
  • 1672 :concile de Jérusalem, condamneCyrille Loukaris et lecalvinisme, la justification par la foi seule, et réaffirme la canonicité de divers livres de la Bible.
  • 1722 : concile de Constantinople, condamne la doctrine dupurgatoire.
  • 1727 : concile de Constantinople, sur l'eucharistie, condamne la communion par une seule espèce et l'utilisation depain azyme.
  • 1755 : concile de Constantinople, affirme que les catholiques et les protestants n'ont pas de sacrements et doivent être reçus par le baptême.
  • 1819 : concile de Constantinople, affirme les opinions des moines Kollyvades sur la réception fréquente de l'eucharistie et l'expérience mystique de la connaissance de Dieu.
  • 1872 :concile de Constantinople, condamne l'ethnophylétisme (racisme), le fait d'organiser l'Église selon des critères ethniques.
  • 1895 : concile de Constantinople, aboutit à la publication de l'encyclique des patriarches orientaux de 1895.
  • 1923 :congrès de Constantinople, conduit à l'adoption ducalendrier julien révisé par certaines Églises. Maintient le Paschalion ancien.
  • 2016 :concile de Crête, réaffirme divers dogmes face à la modernité.

Notes et références

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  1. « Le métropolite Séraphim du Pirée demande au patriarche Bartholomée d’inclure la reconnaissance de l’œcuménicité du Concile qui s’est tenu à Sainte-Sophie en 879, dans la liste des thèmes qui seront examinés au futur Concile panorthodoxe », surOrthodoxie.com(consulté le)
  2. (ru) « СОБОР - Древо », surdrevo-info.ru(consulté le)
  3. Il n'en a pas toujours été ainsi, pour mémoire les conciles du début duXVe siècle ; l'infaillibilité pontificale a été entérinée en1869-1870 lors duIer concile du Vatican.
  4. GiuseppeAlberigo (dir.),Les conciles œcuméniques,vol. 1 :L'histoire, Cerf,(ISBN 2-204-04446-6),p. 43-44
  5. GCN - [T. III], Arles (archevêques, conciles, prévôts, statuts), page 16,no 17.
  6. Jacques Zeiller,Les origines chrétiennes dans les provinces danubiennes de l'Empire romain, éd. L'Erma di Bretschneider, 1967, p. 280.
  7. Le, cf.GCN - (T. III), Arles (archevêques, conciles, prévôts, statuts), page 17.
  8. Claude Fleury,Histoire ecclésiastique, page 314[lire en ligne] : concile de Valence (374).
  9. La date de 401 fait toujours l'objet d'un débat.
  10. « Francis Moreau - Le Diocèse Wisigoth de Lodève (462-725) », surfmoreau.recit.free.fr(consulté le)
  11. Lelong 1778,p. 91.
  12. Ivan Gobry,Pépin le bref, Pygmalion.
  13. Lebeuf 1743,p. 202, volume 1.
  14. Lelong 1778,p. 112.
  15. Canon 14.
  16. abc etdLebeuf 1743,p. 392, volume 1.
  17. Lebeuf 1743,p. 455, volume 1.
  18. (es) « Diego Antonio Posada y Vidaurre archivos », surelincape.com(consulté le)
  19. a etbJeanne-Marie Tuffery-Andrieu,Le concile national en 1797 et 1801 à Paris : l'abbé Grégoire et l'utopie d'une Église républicaine, Peter Lang,, 357 p.(présentation en ligne).

Voir aussi

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Sources

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Bibliographie

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Textes des conciles

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Conciles particuliers

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Gaule
  • Concilia Galliæ. A. 314 - A. 506, éd. par Charles Munier, Turnhout, 1963 (Corpus Christianorum, Series Latina, 148).
  • conciles gaulois duIVe siècle, éd. par Jean Gaudemet, Paris, 1977 (Sources chrétiennes, 241).
  • Concilia Galliæ. A. 511 - A. 695, éd. par Carlo de Clercq, Turnhout, 1963 (Corpus Christianorum, Series Latina, 148A).
  • Les canons des conciles mérovingiens (VIe-VIIe siècles), éd. par Jean Gaudemet et Brigitte Basdevant, Paris, 1989, 2 vol. (Sources chrétiennes, 353 et 354).
Germanie

Dans la sérieMonumenta Germaniæ Historica [Leges].Concilia :

Autres conciles et synodes nationaux

Études

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Articles connexes

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Liens externes

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v ·m
Sept premiersconciles œcuméniques(325-787)
Reconnus par l'Église des deux conciles
Deux premiers conciles et :
Reconnus par l'Église des trois conciles
Trois premiers conciles et :
Reconnus par l'Église orthodoxe
Sept premiers conciles et :
Reconnus par l'Église catholique
Sept premiers conciles et :
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