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Codex Vaticanus

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Onciale03
Description de cette image, également commentée ci-après
Codex Vaticanus - 1 Esdras 2:1-8 (fac-similé)
Données clés
nomCodex Vaticanus graecus 1209
texteNouveau Testament
langueGrec ancien
dateIVe siècle
maintenant àBibliothèque vaticane
dimension27 × 27 cm
typeTexte alexandrin
CatégorieI
Manuscrits du Nouveau Testament

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LeCodex Vaticanus (Vat. gr. 1209; Gregory-Aland no.B ou03) est un manuscrit survélin en écriture grecqueonciale daté duIVe siècle conservé à laBibliothèque apostolique vaticane. Il est, avec leCodex Sinaïticus, le plus ancien manuscrit connu qui transmette le texte quasiment complet de l’Ancien et duNouveau Testament[1]. Cependant, plusieurs portions en sont manquantes.

Description

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Il est composé de 759 feuilles, écrites sur trois colonnes, à raison de 42 lignes par colonne, excepté leslivres poétiques, écrits sur deux colonnes[1].

Il utilise fréquemment desNomina sacra.

Le texte du codex est de typealexandrin.Kurt Aland le classe enCatégorie III[1].

Le manuscrit ne contient pas laPericope Adulterae (Jean 7,53-8,11)[2].

Variantes textuelles
Les variantes après la parenthèse sont les variantes du manuscrit
Éphésiens 2,1 — αμαρτιαις ] επιθυμιαις[3]
Matthieu 17,23 — τη τριτη ημερα (le troisième jour) ] τη τριημερα (le troisième jour)[4]
Matthieu 21,31 — ὁ πρῶτος (le premier) ] ὁ ὕστερος (le dernier)[5],[6]

Quelques variantes

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Mt 6,13 : ladoxologie duNotre Père est absente, comme dans leSinaïticus et leCodex de Bèze, alors qu'elle figure dans letexte byzantin et dans le « texte reçu ».

Mt 21,29-31 : le premier fils de laparabole est celui qui dit oui à son père et ne va pas à la vigne ; et le second, celui qui dit non et qui y va. C'est l'ordre inverse qu'atteste leSinaïticus.Ces deux formes parallèles de la parabole dépendent d'une troisième, celle duCodex de Bèze.

Mc 16,9-20 : la Finale longue de Mc manque comme dans leSinaïticus et contrairement auCodex de Bèze et au texte byzantin.

Lc 11,2-4 : le Notre Père de Lc a une forme courte (à 5 demandes au lieu de 7), qui est différente de la forme moyenne duSinaïticus (à 6 demandes) et des formes longues (à 7 demandes) duCodex de Bèze et du texte byzantin.

Jn 7,53-8? 11 : laFemme adultère est absente comme dans leSinaïticus et contrairement auCodex de Bèze et au texte byzantin.

Histoire du manuscrit

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La copie

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Les points trémas

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On repère parfois dans la marge un double point horizontal au niveau d'une ligne de texte, pour attirer l'attention du lecteur. Dans Mc, en particulier, ces points trémas signalent des passages où le manuscrit s'éloigne de laVieille latine et s'accorde avec laVulgate. Ces points confortent l'hypothèse d'une copie romaine du manuscrit.

La conservation du manuscrit

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Conservé enItalie entre sa copie vers 340 et le remplacement des feuillets manquants auXVe siècle, le manuscrit n'a clairement pas voyagé : s'il a été copié àRome, il n'a peut-être jamais quitté l'Italie.

Catalogué auVatican depuis 1475, il est attesté à la Bibliothèque vaticane dès son premier catalogue daté de1475[12]. Le papeNicolas V l’avait probablement intégré dès la fondation de la bibliothèque en1451.

Une première liste de variantes en est issue. Le manuscrit n'est pas utilisé pour composer les premières éditions imprimées, ni laPolyglotte d'Alcala (1514-1522,), ni la Bible d'Alde Manuce àVenise (1515-1518), ni le NT grec d'Érasme (1516). Mais une liste de variantes du NT est envoyée à Érasme, qui n'en fait rien.

Il est en revanche utilisé comme modèle pour l'édition romaine de laSeptante (1586), qui devient le modèle des éditions suivantes. Mais pour le NT, le texte d'Érasme est devenu le « texte reçu » et la liste des variantes n'est publiée qu'en 1673.

Est-ce un manuscrit suspect ? Un malentendu s'installe à la fin duXVIIe siècle : sur la foi d'un accord avec laVulgate pour quelques variantes desévangiles relevées par Lucas de Bruges, le manuscrit est déclaré « latinisant », autrement dit suspect d'avoir subi l'influence de laVulgate. AuXVIIIe siècle, il n'est mentionné ni dans les apparats critiques (Wettstein, 1751-1752) ni dans les classements de manuscrits (Griesbach, 1775-1807). Le principal témoin du texte alexandrin est alors leCodex Ephraemi rescriptus (C.04).

Un nouveau modèle du NT

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LeCodex Vaticanus est longtemps conservé jalousement par les autorités vaticanes, inaccessible même aux exégètes les plus éminents. Il faut attendre 1809 pour qu’il soit exposé à Paris, au temps dePie VII, pour que son écriture fasse reconnaître son antériorité à laVulgate[13]. Un fac-similé complet duNouveau Testament a été publié lors duconcile Vatican II ; et un fac-similé de tout le manuscrit a été publié à l’aube du troisième millénaire.

C’est essentiellement sur base duVaticanus et duSinaiticus que travailleront les théologiens anglaisWestcott etHort avant de publier une nouvelle édition duNouveau Testament en 1881[14].

Ces deux codex restent à l’heure actuelle privilégiés en matière de reconstitution du texte de laBible grecque.

Scribes et correcteurs

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2 Épître de Jean dans le codex

SelonConstantin von Tischendorf, le manuscrit a été écrit par troisscribes (A, B, C) dont deux semblent avoir écrit l'Ancien Testament et un le Nouveau. Ce point de vue a été accepté parFrederic G. Kenyon, mais contesté par T. C. Skeat après un examen plus approfondi du codex. Skeat et d'autres paléographes contestèrent sa théorie d'un troisième scribe (C), affirmant au contraire que deux scribes ont travaillé sur l'Ancien Testament (A et B) et que l'un d'eux (B) a écrit le Nouveau Testament.

Le scribe A aurait écrit :

Genèse à 1 Rois (pages 41-334)
Psaumes à Tobie (pages 625-944)

Et le scribe B :

1 Rois à 2 Esdras (pages 335-624)
Osée à Daniel (pages 945-1234)
Nouveau Testament

Deux correcteurs auraient travaillé sur le manuscrit, l'un (B2) contemporain des scribes, l'autre (B3) vers le Xe ou XIe siècle, bien que la théorie d'un premier correcteur (B1) proposée par Tischendorf ait été rejetée par les chercheurs plus tardifs. Selon Tischendorf, l'un des scribes est le même que ceux duCodex Sinaïticus (scribe D), mais il n' y a pas suffisamment de preuves pour étayer son affirmation. Skeat convient que le style d'écriture est très proche de celui duSinaïticus, mais qu'il n' y a pas assez de preuves pour accepter l'identité des scribes ;« l'identité de la tradition scribale est incontestable ».

L'écriture originale a été recopiée par un scribe postérieur (habituellement daté duXe ou XIe siècle), et la forme de l'écriture originale a été gâchée. Les accents, les marques de respiration et la ponctuation ont été ajoutés par une main postérieure. Il n' y a pas d'initiales agrandies, pas de divisions en chapitres ou en parties comme on en trouve dans les manuscrits ultérieurs, mais un système différent de division propre à ce manuscrit. Il y a beaucoup de fautes d'iotacisme, en particulier l'échange de ει pour ι et αι pour ε. L'échange de ει et ο pour ω est moins fréquent.

Le manuscrit contient de petits points doubles horizontaux inhabituels (appelés « distigmai », antérieurement « trémas ») ajoutés dans la marge des colonnes du Nouveau Testament.795 distigmai sont clairement visibles dans le texte, plus 40 autres qui sont incertains. La date de leur ajout est contestée et fait l'objet d'un lien ci-dessous. À titre d'exemple, deux distigmai sont visibles dans la marge gauche de la première colonne de l'image ci-dessus. Tischendorf a réfléchi à leur signification mais n'en a pas trouvé. Il indique seulement les endroits où ces points sont insérés : à la fin de l'Évangile de Marc, en 1 Timothée 2,14 ; 5,28 et en Hébreux 4,16 ; 8,1. La signification des distigmai n'a été comprise qu'en 1995, lorsque Philip Payne. a interprété le premier distigmai en étudiant les versets 1 Cor 14, 34-35 du codex. Il suggère que ces signes indiquent les lignes pour lesquelles une autre variante du texte était connue par la personne qui les écrivait. Les distigmai marqueraient donc les points d'incertitude textuelle. Par ailleurs, des distigmai s'observent également dans leCodex Fuldensis, en particulier dans 1 Corinthiens 14, 34-35. Les distigmai indiquent une variante des manuscrits occidentaux, qui placent 1 Corinthiens 14, 34-35 après 1 Cor 14, 40 dans les manuscritsClaromontanus,Augiensis,Boernerianus, 88, itd, g, et dans quelques manuscrits de la Vulgate.

À lapage 1512, à côté d'Hébreux 1, 3, le texte contient une note marginale intéressante :« "Insensé et voyou, conserve l'ancienne lecture et ne la change pas." » (« ἀμαθέστατε καὶ κακέ, ἄφες τὸν παλαιόν, μὴ μεταποίει »), ce qui suggère que les corrections non autorisées étaient un problème récurrent dans les scriptoria.

Contenu

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Septante

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L'ordre des livres du manuscrit est le suivant :

Nouveau Testament

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Construction littéraire

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Les livres de laSeptante ont une disposition remarquable :

  • les Livres historiques forment uneproportion du simple au double : 2 livres / livret central / 4 livres ;
  • les Livres poétiques forment uneproportion d'égalité : 3 livres / livret central / 3 livres ;
  • les Livres prophétiques forment uneproportion du simple au double inversée, par la longueur des livres : XII (57 p.) / Isaïe (61 p.) - Jérémie (63 p.) / Baruch (6 p.) - Lamentations - Lettre (3 p.) / Ézéchiel (63 p.) / Daniel (28 p.), soit : les XII et Daniel (avec ses annexes), dans le rapport de 2 pour 1 ;

Isaïe + Jérémie et Ézéchiel, dans le rapport de 2 pour 1 ; et même au centre, Baruch et la Lettre de Jérémie, dans le rapport de 2 pour 1.

Les proportionsdu simple au double ded'égalité sont réunies par unespéculation philosophique qui donne aux livres un statut d’Écriture sacrée. La proportiondu simple au double inversée est d'origine chrétienne et complète les deux autres proportions en opérant un retour symbolique à la situation initiale.

Ces proportions liaient les livres duNouveau Testament, dans letexte occidental (voirCodex Bezae etCodex Claromontanus), mais elles n'apparaissent plus dans leVaticanus. Autrement dit, l'état de laSeptante est plus conservateur que celui duNT.

Canon de la Septante

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  • Le Pentateuque est en tête de laBible, et les livres ont un ordre constant. Pourtant, le livre centralLévitique interrompt une histoire qui réunit les livres 2Exode et 4Nombres. Ainsi, leLévitique occupe la position centrale dans une suite qui forme uneproportion d'égalité : 2 livres / livre central / 2 livres.
  • Les livres historiques suivent le Pentateuque dans toutes les bibles, et leur ordre est constant ; mais le livret deLivre de Ruth n'en fait pas partie, dans laBible hébraïque, il se trouve dans la collection de Megillot (rouleaux) qui fait partie desÉcrits, dernière section de la Bible hébraïque. Les livres1-2 Règnes correspondent à 1-2Samuel et 3-4 Règnes, à 1-2 Rois de la Bible hébraïque.

Les livres suivants ont un ordre qui varie dans laSeptante et entre elle et laBible hébraïque.

Canon du Nouveau Testament

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Tous les livres duNouveau Testament nous sont parvenus en langue grecque. Selon plusieurs témoignages anciens, l'évangile deMatthieu aurait d'abord été écrit en hébreu ou en araméen ; peut-être cette première rédaction s'appelait-elleÉvangile selon les Hébreux, dont l'existence est attestée au tout début duIIe siècle, mais ce livre ne fait partie d'aucun canon.

Lacunes

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Évangile selon Luc et Évangile selon Jean.
Le passage Marc 16, 6-8, qui termine l'Évangile de Marc

Le manuscrit contenait à l'origine une Bible grecque complète, avec laSeptante et leNouveau Testament. Il présente aujourd’hui quelques lacunes :

LeCodex Vaticanus reproduit un texte grec de type alexandrin et suit la version d’Hésychius de la Bible grecque, écrite vers 300 et mentionnée par Jérôme de Stridon. L'écritureonciale est la même que celle duSinaiticus, lequel suit pourtant une autre version. Deux possibilités se présentent alors pour l'origine du manuscrit : ou bien il s'agit de l'une des cinquante bibles grecques commandées par l'empereur Constantin à Eusèbe de Césarée en 331, mais dans ce cas, pourquoi le modèle n'est-il pas le même que pour leSinaiticus qui en fait sûrement partie ? Ou bien il s'agit de la bible grecque commandée par l'empereur Constant à Athanase vers 340, auquel cas il faut expliquer la ressemblance des lettres avec leSinaiticus. LeCodex Vaticanus, mentionné dans le premier catalogue de la Bibliothèque vaticane (1475), a servi de modèle à laSeptante imprimée à Rome en 1586. La collation duNouveau Testament est commencée à la fin duXVIe siècle, mais elle n'est publiée qu'en 1673 et donne lieu à un malentendu : ses nombreux accords avec la Vulgate latine contre le texte grec imprimé la disqualifient aux yeux des savants duXVIIIe siècle. Il faut attendre 1881 pour qu'elle devienne la source d'une édition de référence duNouveau Testament, celle deB. F. Westcott etF. J. A. Hort, leThe New Testament in the Original Greek par la méthode de lacritique textuelle. Depuis lors, le Codex Vaticanus s'impose comme le principal modèle pour les éditions de laSeptante et duNouveau Testament grec.

Notes et références

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  1. ab etc(en)Kurt Aland et BarbaraAland (trad. Erroll F. Rhodes),The Text of the New Testament : An Introduction to the Critical Editions and to the Theory and Practice of Modern Textual Criticism, Grand Rapids (Michigan), William B. Eerdmans Publishing Company,,2e éd., 366 p.(ISBN 978-0-8028-4098-1),p. 107-109.
  2. NA26,p. 273.
  3. NA26,p. 505.
  4. E. Miller,A Guide to the Textual Criticism of the New Testament (New Jersey, 1886),p. 58.
  5. Bruce M. Metzger,A Textual Commentary on the Greek New Testament (Deutsche Bibelgesellschaft: Stuttgart 2001),p. 45.
  6. Eberhard Nestle,Erwin Nestle, Barbara Aland andKurt Aland (eds),Novum Testamentum Graece,26e édition, (Stuttgart:Deutsche Bibelgesellschaft, 1991),p. 60 [NA26]
  7. Eusèbe de Césarée,Vie de Constantin, 4, 36.
  8. J. K. Elliott,Théodore Skeat et l'origine du Codex Vaticanus, dans P. Andrist (éd.),Le manuscrit B de la Bible, Histoire du texte biblique 7, Lausanne, 2009,p. 119-133.
  9. Athanase d'Alexandrie,Apologie à Constance 4.
  10. Voir C.B. Amphoux,Les circonstances de la copie du Codex Vaticanus, dansLe manuscrit B de la Bible, éd. P. Andrist, HTB 7, Lausanne, 2009,p. 157-176.
  11. B. F. Westcott - F. J. A. Hort,The NT in the Original Greek, Cambridge - Londres, 1881-1882.
  12. Caspar René Gregory,Textkritik des Neuen Testaments, Leipzig, 1900,p. 35 (lire en ligne=https://archive.org/stream/textkritikdesne00greggoog#page/n47/mode/2up) ; Robert Devreesse,Le fonds grec de la Bibliothèque Vaticane, des origines à Paul V, Studi e Testi 244, Rome, 1965.
  13. J. L. Hug,De antiquitate Codicis Vaticani commentatio, 1810 | lire en ligne =https://archive.org/stream/deantiquitateco00huggoog#page/n4/mode/2up
  14. Brooke Foss Westcott - Fenton John Anthony Hort,The New Testament in the Original Greek: Introduction, appendix,p. 34.

Annexes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Novum Testamentum e codice Vaticano graeco 1209 (CodexB), Rome, 1968.
  • Janko Sagi,Problema historiae codicis B,Divus Thomas 1972, 3 - 29.
  • T. C. Skeat,The Codex Vaticanus in the 15th Century., JTS 35 (1984) 454 - 65.
  • Philip B. Payne,Fuldensis, Sigla for Variants in Vaticanus and 1 Cor 14.34-5., NTS 41 (1995) 251 - 262 [Payne discovered the first umlaut while studying this section.]
  • Curt Niccum,The voice of the MSS on the Silence of the Women: ..., NTS 43 (1997) 242 - 255.
  • Codex Vaticanus graecus 1209 (Codex Vaticanus B) Bibliothecae Apostolicae Vaticanae, facsimilé complet, Rome,.
  • Philip B. Payne andPaul Canart,The Originality of Text-Critical Symbols in Codex Vaticanus., Novum Testamentum 42 (2000) 105 - 113.
  • J. Edward MillerSome Observations on the Text-Critical Function of the Umlauts in Vaticanus, with Special Attention to 1. Corinthians 14.34-35., JSNT 26 (2003) 217-236 [Miller disagrees with Payne on several points. He notes and uses this website.]
  • Philip B. Payne and Paul CanartThe Text-Critical Function of the Umlauts in Vaticanus, with Special Attention to 1 Corinthians 14.34-35: A Response to J. Edward Miller., JSNT 27 (2004) 105-112 [Payne still thinks, contra Miller, that the combination of a bar plus umlaut has a special meaning.]
  • Christian–B. Amphoux,Codex Vaticanus B: Les points diacritiques des marges de Marc[PDF],Journal of Theological Studies vol. 58, 2007,p. 440-466.
  • Patrick Andrist (éd.),Le manuscrit B de la Bible (Vaticanus graecus 1209), HTB 7, Lausanne, 2009.

Articles connexes

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Biblioteca Vaticana.

Liens externes

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