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Clumanc

44° 01′ 28″ nord, 6° 23′ 02″ est
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Clumanc
Clumanc
Château de Clumanc.
Blason de Clumanc
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionProvence-Alpes-Côte d’Azur
DépartementAlpes-de-Haute-Provence
ArrondissementCastellane
IntercommunalitéCommunauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière
Maire
Mandat
Thierry Viale
2020-2026
Code postal04330
Code commune04059
Démographie
GentiléClumancais
Population
municipale
221 hab.(2022en évolution de +4,74 % par rapport à 2016)
Densité4,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées44° 01′ 28″ nord, 6° 23′ 02″ est
AltitudeMin. 773 m
Max. 1 703 
m
Superficie53,68 km2
TypeCommune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Riez
LégislativesPremière circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Clumanc
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Clumanc
Géolocalisation sur la carte :Alpes-de-Haute-Provence
Voir sur la carte topographique des Alpes-de-Haute-Provence
Clumanc
Géolocalisation sur la carte :Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
Clumanc
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Clumanc[klymɑ̃k] est unecommune française, située dans ledépartement desAlpes-de-Haute-Provence dans larégionProvence-Alpes-Côte d'Azur.

Lenom de ses habitants est Clumancais[1].

Géographie

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Carte élémentaire montrant les limites de la commune, les communes voisines, les zones de végétation et les routes
Clumanc et les communes voisines (Cliquez sur la carte pour accéder à une grande carte avec la légende).

Les communes limitrophes de Clumanc sontTartonne,Lambruisse,Moriez,Saint-Lions,Saint-Jacques,Chaudon-Norante etDigne-les-Bains.

Comme sa voisineTartonne, Clumanc présente un habitat dispersé avec un assemblage de hameaux dans la vallée de l’Asse de Clumanc.

Il n’y a pas de village-centre ni aucune localité précise portant le nom de la commune.

La mairie et l'école sont établis au pied de la colline où se trouve le château appartenant a deux propriétaires différents en bordure de la D 19.

Hameaux

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La commune compte 24 hameaux :

Géologie et relief

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La commune se compose de884,40 hectares de territoires agricoles (16,39 %) et4 512,02 hectares de forêts et milieux semi-naturels (83,62 %)[2].

  • Marnes à Clumanc.
    Marnes à Clumanc.
  • Montagne de la Sapée.
    Montagne de la Sapée.
  • Paysage vers Clumanc.
    Paysage vers Clumanc.

Le point culminant est lesommet de la Sapée à 1 701 m d'altitude.

La commune est située dans le périmètre de protection de laréserve naturelle géologique de Haute-Provence.

Hydrographie et eaux souterraines

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Cours d'eau sur la commune ou à son aval[3] :

  • La commune est traversée par larivière l'Asse de Clumanc, une rivière torrentielle, qui se réunit à l'Asse de Moriez et à l'Asse de Blieux sur la commune de Barrême.
  • Ravins des Sauzeries, du Riou, de Gion, Saint-Martin.

Environnement

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La commune compte1 124 ha de bois et forêts, soit 20 % de sa superficie[1].

La commune est couverte par deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type I et II[4] et une ZNIEFF géologique.

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de Provence-Alpes-Côte d'Azur etClimat des Alpes-de-Haute-Provence.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat méditerranéen altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[5]. En 2020, le climat prédominant est classé Csa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud et sec[6]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat de montagne ou de marges de montagne[7] et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[8]. Elle est en outre dans lazone H2d au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[9],[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,6 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de9,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 916 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deLa Mure-Argens à 12 km àvol d'oiseau[11], est de9,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 891,5 mm[12],[13]. La température maximale relevée sur cette station est de37,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de−21,9 °C, atteinte le[Note 1].

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[14], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Voies de communications et transports

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Vieux pont métallique à platelage en bois sur l’Asse de Clumanc.

Voies routières

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  • D19 Tartonne.
  • D19 > D519 Barrême[15]

Transports en commun

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Risques majeurs

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Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Lecanton de Barrême auquel appartient Clumanc est en zone 1b (risque faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur lesséismes historiques[17], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[18]. La commune de Clumanc est également exposée à trois autres risques naturels[18] :

  • feu de forêt ;
  • inondation (dans la vallée de l’Asse) ;
  • mouvement de terrain : les versants inférieurs de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[19].

La commune de Clumanc n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[20]. Aucunplan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[20], mais leDicrim existe depuis 2011[21].

La commune a été l’objet de plusieurs arrêtés de catastrophe naturelle en1994 pour des inondations et des coulées de boue[18]. Les tremblements de terre ressentis de la manière la plus sensible dans la commune sont ceux[22] :

Toponymie

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Le nom de la localité apparaît sous la formein valle Clumanci vers1046-1066. Il est probablement formé sur une racine oronymique (désignant une montagne)*Kl-[25] (?) et se termine par le suffixe ligure-anc. Ce toponyme est probablement antérieur aux Gaulois[26].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Clumanc est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[27].Elle est située hors unité urbaine[28] et hors attraction des villes[29],[30].

Occupation des sol

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (87,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (33,6 %), zones agricoles hétérogènes (8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8 %),terres arables (6,1 %), prairies (2,3 %)[31].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire

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Monument aux morts, au centre de la commune.

Auguste fait la conquête de la vallée des Asses en même temps que celle des Alpes, qu’il achève en14 av. J.-C. Il est difficile de connaître le nom dupeuple gaulois qui peuplait la vallée, et le nom de lacivitas dont Clumanc dépendait au Haut-Empire :Eturamina (Thorame) ouSanitensium (Senez). À la fin de l’Empire romain, le rattachement à celle deSanitensium, et à son diocèse, sont avérés, avec la disparition de l’évêché de Thorame[32].

Presbytère du prieuré Saint-Honorat, incendié par laWehrmacht en juillet 1944.

La localité apparaît pour la première fois dans les chartes en1046[33], lescomtes de Provence y possédaient une maison forte[34]. Le prieuré de Saint-Honorat relevait de l’abbaye de Lérins, du milieu duXIe siècle à la Révolution[35]. L’église Notre-Dame relevait elle de l’abbaye Saint-Victor de Marseille, ou de l’évêque de Digne[35]. Ces églises étaient situées dans des petitscastrum[35].

En1342, les communautés de Clumanc, Labaud et Saint-Honorat sont rattachées à laviguerie deCastellane par lecomte de Provence[36] avant de relever de celle deBarrême[35]. Les communautés de Labaud (Labaudum auXIIIe siècle[37]) et de Saint-Honorat, qui comptaient respectivement 24 et 49 feux en 1315, sont fortement dépeuplées par la crise duXIVe siècle (peste noire etguerre de Cent Ans) et annexées par celle de Clumanc auXVe siècle[34].

Durant une longue période, les seigneurs de Clumanc étaient les membres de lafamille de Perier[38].

Durant laRévolution, lasociété patriotique de la commune y est créée précocement, pendant l’été 1792[39].

La Révolution et l’Empire apportent nombre d’améliorations, dont uneimposition foncière égale pour tous, et proportionnelle à la valeur des biens de chacun. Afin de la mettre en place sur des bases précises, la levée d’uncadastre est décidée. Laloi de finances du 15 septembre 1807 précise ses modalités, mais sa réalisation est longue à mettre en œuvre, les fonctionnaires du cadastre traitant les communes par groupes géographiques successifs. Ce n’est qu’en 1837 que lecadastre dit napoléonien de Clumanc est achevé[40].

Comme de nombreuses communes du département, Clumanc se dote d’écoles bien avant leslois Jules Ferry : en 1863, elle en possède trois, dont une aux Sauzeries Basses, qui dispensent uneinstruction primaire aux garçons[41]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : laloi Falloux (1851), qui impose pourtant l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de800 habitants, n’est pas appliquée[42]. Quand la premièreloi Duruy (1867) abaisse ce seuil à500 habitants, la commune ouvre enfin une école de filles[43]. La commune profite de la deuxième loi Duruy (1877) pour construire une école neuve[44].

Héraldique

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La commune utilise ses armoiries sur la signalisation de voirie.
Article connexe :Armorial des communes des Alpes-de-Haute-Provence.
Blason de Clumanc

Blasonnement :

Fascé d'or et d'azur de six pièces, et un chef d'argent, chargé du mot CLUMANC de sable[45],[46].

Politique et administration

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Municipalité

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Liste des maires successifs de 1791 à 1900
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
1791 Jean-Louis Bourrillon[47]  
?1815Bienvenu Bourrillon  
18151815Casimir Roux  
18151821Charles Astoin  
18211834Hilarion Gros  
18341849Bienvenu Bourrillon  
18491852Augustin Pierre Casimir Ferrat  
18521854Auguste Pascal  
18541854Bienvenu Bourrillon  
18551856Lucien Pascal  
18561870Jean André Bourrillon  
18711872Pierre Chaillan  
18731876Maurice Honorat  
18761878Jean André  
18781884Eugène Laurens  
18841888Gratien Paul  
18881892Gustave Roux  
18921896Paul Chaspoul  
18961900Joseph Galicien  
19001900Jules Chaspoul  
1900?Baptistin Audemard  
 
Liste des maires successifs à partir de 1900
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
     
mai 1945 Jean Girard[48]  
     
19952014Bernard Molling[49],[50],[51]DVGConseiller général
2014en cours
(au 17 avril 2014)
Thierry Viale[52]DVGCadre administratif et commercial d'entreprise[53]

Budget et fiscalité 2024

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Ensemble mairie-école-salle polyvalente, au centre de la commune.

En 2024, le budget de la commune était constitué ainsi[54] :

Avec les taux de fiscalité suivants :

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 470 [55].

Intercommunalité

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Clumanc a fait partie jusqu'en 2016 de lacommunauté de communes du Moyen Verdon. Depuis le, elle est membre de lacommunauté de communes Alpes Provence Verdon - Sources de Lumière.

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

En 2022, la commune de Clumanc comptait 221 habitants. À partir duXXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016, etc. pour Clumanc). Les autres « recensements » sont des estimations.

Évolution démographique
1315147117651793180018061821183118361841
78feux44 feux7938238087539401 0131 0521 043
Évolution démographique, suite (1)
1846185118561861186618721876188118861891
1 1151 0901 0401 039919842859772755710
Évolution démographique, suite (2)
1896190119061911192119261931193619461954
611560506501418341315276250247
Évolution démographique, suite (3)
1962196819751982199019992006201120162022
199177135137156154172188211221
Population sans doubles comptes de 1962 à 1999 ;population municipale depuis 2006
(Sources :Baratier,Duby &Hildesheimer pour l’Ancien Régime[34],EHESS[56],Insee à partir de 1968[57],[58],[59])

L’histoire démographique de Clumanc, après la saignée desXIVe et XVe siècles et le long mouvement de croissance jusqu’au début duXIXe siècle, est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1831 à 1861. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique rapide, et de longue durée. Dès 1901, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1846[60]. Le mouvement de baisse se poursuit jusqu’à la fin des années 1970. Depuis, le mouvement s'est inversé, avec une croissance faible sur quarante ans.

Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Établissements d'enseignements[61] :

  • La commune est dotée d’une école primaire[62].
  • Écoles maternelles et primaires à Clumanc, Barrême.
  • Collèges à Saint-André-les-Alpes, Digne-les-Bains,
  • Lycées à Digne-les-Bains, Le Chaffaut-Saint-Jurson.

Santé

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Professionnels et établissements de santé[63] :

Cultes

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Économie

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Aperçu général

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En 2009, la population active s’élevait à 81 personnes, dont 7 chômeurs[66] (12 fin 2011[67]). Ces travailleurs sont majoritairementsalariés (64 %)[68] et travaillent majoritairement hors de la commune (60 %)[68].

Agriculture

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Fin 2010, lesecteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait 29 établissements agricoles actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus) et un emploi salarié[69].

Le nombre d’exploitations professionnelles, selon l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture, est de 13 en2010. Il était de 18 en 2000[70], de 31 en 1988[71]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevageovin etbovin, et le maraîchage[70]. De 1988 à 2000, lasurface agricole utile (SAU) a fortement baissé, de1 796 ha à492 ha[71]. La SAU a continué sa chute lors de la dernière décennie, pour s’établir à206 ha[70].

Industrie

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Fin 2010, lesecteur secondaire (industrie et construction) comptait quatre établissements, n’employant aucunsalarié[69].

Activités de service

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Fin 2010, lesecteur tertiaire (commerces, services) comptait quatre établissements (avec deux emploissalariés), auxquels s’ajoutent les trois établissements du secteur administratif (regroupé avec le secteur sanitaire et social et l’enseignement), salariant neuf personnes[69].

D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est importante pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[72], l’essentiel de la capacité d'hébergement étant non-marchande[73]. Plusieurs structures d’hébergement à finalité touristique existent dans la commune, mais uniquement sous la forme de meublés[74].

Les résidences secondaires apportent un complément important à la capacité d’accueil[75] : au nombre de 113, elles représentent presque la moitié des logements. Trois résidences secondaires possèdent plus d’un logement, et quatre sont des logements mobiles installés à l’année[76],[77].

Lieux et monuments

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Architecture civile

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  • Château des Périers.
    Château des Périers.
  • Château de Seisset.
    Château de Seisset.
  • À Valaury, porte gravée 1789.
    À Valaury, porte gravée1789.
  • À Valaury, autre porte au linteau daté de 1832.
    À Valaury, autre porte au linteau daté de 1832.

Lechâteau des Périers, proche de la mairie, relève du style duXVIe mais peut avoir été construit dans le deuxième quart duXVIIe siècle. Carré, encadré de quatre tours d’angle également carrées, il est inscrit à l’inventaire desmonuments historiques[78],[79]. Aujourd'hui à moitié en ruines, ce château appartenait aux membres de lafamille de Perier,seigneurs de Clumanc[80].

Au-dessous du château des Périer, le bâtiment dit « couvent ou tour de l’Annonciade », ou encore « tour de Boriane » est peut-être une maison campagnarde appartenant à un bourgeois aisé ou à un seigneur local : elle est construite en appareil régulier, est ornée d’une baie géminée et date de la fin duXIIe siècle ou duXIIIe siècle[81] ; c’est un monument inscrit[82]. Sur sa façade, uncadran solaire de1879 gravé sur pierre a été restauré en 1988[83].

Au Riou, se trouve une ferme duXVIIe siècle, avec une cheminée engypserie[84].

Lechâteau de Seisset est situé au sud de la commune[33].

Art religieux

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Église Notre-Dame

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Église de Clumanc.
Article détaillé :Église Notre-Dame de Clumanc.

L’égliseparoissiale Notre-Dame (inscrite à l’inventaire des monuments historiques), est un ancienprieuré de l’abbaye Saint-Victor de Marseille fondé auXIe siècle, mais dont l’état actuel remonte au plus tôt auXIIIe, voire auXIVe siècle selon la DRAC[86]. La première chapelle date duXVe ou duXVIe siècle[87], ce qui la rendrait contemporaine de la façade. La DRAC penche pour une construction des quatre chapelles auXVIIe siècle. Le clocher-mur est construit au-dessus du chevet. Des travaux de réparation ou de construction de chapelles latérales sont datés : 1677, 1675. D’autres travaux ont lieu au milieu duXIXe siècle. La toiture d’everite, qui remplace en 1975 les lauzes posées sur la voûte, a permis de conserver le bâtiment[88]. Elle est inscrite aux monuments historiques[89].

Entre la nef et une chapelle nord, l’arcade est soutenue par des colonnes médiévales, données pourcarolingiennes par Raymond Collier. Elles sont ornées, sur plusieurs registres, d’entrelacs, de colonnettes torsadées, d’étoiles et de rosaces, classées[90],[91].

Dans son mobilier, se trouvent :

À côté de l’église Notre-Dame, la croix en fonte est signalée pour son décor végétal[100].

Autres églises et chapelles

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  • Chapelles de Clumanc.
  • Prieuré Saint-Honorat.
    Prieuré Saint-Honorat.
  • Chapelle de Valaury.
    Chapelle de Valaury.
  • Chapelle Saint-Jean, au hameau du Riou.
    Chapelle Saint-Jean, au hameau du Riou.
Wikimedia Commons présente d’autres illustrations surles chapelles de Clumanc.

L’église Saint-Honorat est fondée auXIe siècle, et son état actuel date de 1645 (selon Raymond Collier), ou duXIIIe siècle au plus tôt (selon la DRAC) : c’est alors un prieuré de l’abbaye de Lérins, construit selon les principes de l’architecture romane. Sanef comprend cinqtravées. Deux chapelles latérales, dans la dernière travée, forme transept. Le chevet est plat, l’abside voûtée en berceau. Elle est restaurée entre 1750 et 1779, sa nef allongée en 1862, restaurée en 1969 et sa couverture a été refaite en 1987[101],[102]. Les cloches sont logées dans unclocher mur, situé au-dessus du portail.

Son mobilier comprend :

Du fait des nombreux hameaux, la commune compte de nombreuses chapelles :

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références

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Notes

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  1. Les records sont établis sur la période du au.

Cartes

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  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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  1. a etbRoger Brunet, « Canton de Barrême », surLe Trésor des régions(consulté le).
  2. Localisation de la commune, géographie et occupation des sols
  3. L'eau dans la commune
  4. Zones Naturelles d'Intérêt Écologique, Faunistique et Floristique de la commune de Clumanc, sur le sitebasecommunale.paca.developpement-durable.gouv.fr.
  5. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  6. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
  7. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le)
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le)
  9. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
  10. « Répartition des départements par zone climatique »[PDF], surecologie.gouv.fr(consulté le)
  11. « Orthodromie entre Clumanc et La Mure-Argens », surfr.distance.to(consulté le).
  12. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche climatologique - période 1991-2020. », surobject.files.data.gouv.fr/meteofrance/(consulté le)
  13. « Station Météo-France « La Mure-Argens », sur la commune de La Mure-Argens - fiche de métadonnées. », surdonneespubliques.meteofrance.fr(consulté le)
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surMétéo-France,(consulté le)
  15. Voies routières. Itinéraires
  16. Réseau des lignes régulières de transports des Alpes-de-Haute-Provence
  17. Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, p.39.
  18. ab etcMinistère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement,Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 12 juillet 2012
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