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Cilicie

36° 55′ 00″ N, 34° 53′ 44″ E
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Ne doit pas être confondu avecSatrapie de Cilicie ouCilicie (Troade).

La Cilicie en tant que province de l'Empire romain.

LaCilicie est unerégion historique d'Anatolie méridionale et une ancienneprovince romaine située dans l'actuelleTurquie. Elle était bordée au nord par laCappadoce et laLycaonie, à l'ouest par laPisidie et laPamphylie, au sud par lamer Méditerranée et au sud-est par laSyrie.

Elle correspond approximativement aujourd'hui à laprovince turque d'Adana, une région comprise entre lesmonts Taurus, lesmonts Amanos et laMéditerranée.

Histoire

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Nom et étendue

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La Cilicie, un desroyaumes antiques d'Anatolie, apparaît dans l'histoire sous la dénomination de « Khilakkou » dans les sourcesassyriennes etégyptiennes. Elle est disputée entre lesPhrygiens, lesCimmériens, lesAssyriens et lesOurartéens, avant de devenir un royaume indépendant auVIIe siècle av. J.-C., avecTarse pour capitale[1]. AuVe siècle av. J.-C., alors qu'elle est devenueperse en548,Hérodote la décrit sous le nom de « Cilicie » (Κιλικία), comme unesatrapie dont l’étendue est plus grande que dans les acceptions ultérieures données à ce nom. Au nord, elle va jusque sur le cours duHalys (Kızılırmak). À l’est, elle va jusqu’à l’Euphrate et au sud jusqu’aux environs de l’embouchure de l’Oronte[2],[3].Hérodote distingue la « Cilicie montagneuse »[4] et laplaine de Cilicie appelée « Plaine Aléienne »[5],[6]. La plaine Aléienne d’Hérodote correspond sans doute à la partie marécageuse en bord de mer, formée par les sédiments des deux fleuvesSeyhan etCeyhan[7] et qui correspond bien au vocableturc deÇukurova[8]. Le cours de ces deux fleuves s'est modifié à plusieurs reprises. À certaines périodes, ils ont eu une embouchure commune, ce qui explique que le Seyhan n'est parfois cité que comme un affluent du Ceyhan[9]. Actuellement leurs embouchures sont distantes de plus de 60 km.

Entre les années 1851 et 1853,Victor Langlois effectue un voyage en Cilicie et dans leTaurus par ordre de l’empereurNapoléon III. Ce récit de voyage permet de résoudre nombre de problèmes posés par les changements de toponymes[10].

Antiquité

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Cilicie, statère à l'effigie du satrapePharnabazes. Description avers : Baaltars nu jusqu’à la ceinture assis à gauche sur un trône sans dossier, tenant de la main droite un long sceptre lotiforme. Description revers : tête de guerrier barbu (Arès ou Pharnabazes) à gauche, coiffé d’un casque à triple aigrette. Date : vers 378-374av. J.-C.
La Syrieséleucide en92 av. J.-C.

Alexandre le Grand conquiert la Cilicie surDarius en333 av. J.-C. après labataille d'Issos ; à sa mort, elle échoit auRoyaume séleucide avant d'être partagée entre le royaume de « Cilicie trachée » à l'ouest (Τραχεία Κιλικία : la « Cilicie âpre », avec la capitale à Korakesion, l'actuelleAlanya[11]) et leroyaume d'Arménie (sousTigrane II) à l'est[12].

AuIer siècle av. J.-C.,Rome fait de la Cilicie une province de son empire. D’après la géographie deStrabon (fin duIer siècle av. J.-C. - début duIer siècle) la Cilicie commence àAlanya à l'ouest et va jusqu’àTarse à l'est. Strabon signale un peu plus loin dans le texte que « quelques auteurs » font commencer la Cilicie non pas à Alanya, mais à Kelenderis (aujourd'huiAydıncık) soit près de 130 km plus à l’est. À l'inverse,Pline l'Ancien place la limite occidentale de la Cilicie sur le fleuve Mélas (aujourd'huiManavgat Nehri) soit 55 km plus à l'ouest[13]. ÀTarse (Ταρσός = Tarsos), ou plus précisément àMezitli (Soli/Soles[14] ; appelée ensuite Pompeiopolis), on entre dans la plaine de Cilicie, dite « Cilicie pédicule »[15], aujourd'huiÇukurova enturc. Dans cette description de Strabon, la Cilicie trachée comprend les actuels districts d’Alanya et deGazipaşa dans l’actuelleprovince d’Antalya et l’İçel dans l'actuelleprovince de Mersin, moins les districts d’Anamur et deBozyazı si l’on considère que la limite ouest de la Cilicie est Aydıncık. Les districts du sud de l’actuelleprovince d’Adana forment la Cilicie pédicule. Les actuels districts côtiers d’Erzin,Dörtyol etIskenderun, dans leHatay, formaient la « Cilicie de l’Issos »[16].

Vers27apr. J.-C., sous l'empereurTibère, la Cilicie est rattachée à laprovince de Syrie. Certaines parties de la région restent néanmoins dirigée par des souverains locaux jusqu'à l'annexion complète parVespasien en74. La province est suffisamment importante pour qu'unproconsul,Appius Claudius Pulcher, y soit nommé en 53av. J.-C.[17].

Septime Sévère y remporte une bataille contrePescennius Niger en 194.

Vers297, l'empereurDioclétien opère un redécoupage desprovinces. La Cilicie est alors divisée en trois parties : l'Isaurie au sud d'Iconium (Konya), approximativement les provinces turques deKonya et d'Antalya ;Cilicia prima avec comme capitaleTarse, et comme autres villesAdana etPompeiopolis (Soles), approximativement laprovince de Mersin et une partie de laprovince d'Adana ;Cilicia secunda avec comme capitaleAnazarbe (Aǧaçli) et comme villesMopsueste (Yakapinar),Ægée (Yumurtalık) etIssos d'Alexandrie (aux environs d'Iskenderun), approximativement l'est de laprovince d'Adana et les districts maritimes de laprovince du Hatay.

Sous la domination romaine, la région achève de s’helléniser et sechristianise auIIIe siècle.

En 622,Héraclius y remporta une bataille contreKhosro II[18].

Liste (partielle) des proconsuls romains de Cilicie

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Sous la République

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Règne deVespasien

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  • Publics Nonius Asprenas Caesius Caesianus (72-74)
  • Septimius (74-75)
  • Lucius Octavius Memor (76-78)

Règne deDomitien

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  • Tiberius Iulius Celsus Polemaenaeus (89-91)
  • Quintus Gellius Longus (91-93)

Règne deNerva et deTrajan

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  • Marcus Titius Lustricus Brutianus (avant 108)
  • Marcus Pompeius Macrinus (111 à 113)
  • Titus Calestrius Tiro (113 à 116)
  • Caius Bruttius Praesens (117 à 118)

Règne d'Hadrien

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  • Iullus Ga(llus?) (118 à 120)
  • Titus Vibius Varus (130 à 133)
  • Publius Pactumeius Clemens (136 à 138)
  • Caius Iulius Pancius Varus Cornutus (entre 119 et 138)

Règne d'Antonin le Pieux

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Règne de Marc-Aurèle et de Commode

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  • Lucius Saevinius Proculus (174 à 176)
  • (...)isus ? Claudius Silius Quintus Plautius Haterianus (177 à 178)
  • Marcus? Claudius Cassius Apronianus (vers 182-183)

Règne deSeptime Severe

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  • Quintus Venidius Rufus Marius Maximus Lucius Calvinianus (vers 194-196)
  • Marcus? Antonius Balbus (vers 198-200)
  • Antonius (...)ius (entre 198 et 208)
  • Flavius Ulpianus (vers 202)

Règne deCaracalla et deSévère Alexandre

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  • Flavius Iulianus (215 à 217)
  • Rutilianus (vers 215)
  • Ostor(ius) (entre 222 et 235)
  • Marcus Domitius Valerianus (entre 222 et 235)

Crises du troisième siècle

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Moyen Âge

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La Cilicie arménienne, 1080-1375
Cilicie multiculturelle vers 1204

La Cilicie fournit à laflotte de l'Empire romain d'Orient bois et marins, mais c’est aussi un pays depirates et decontrebandiers. À partir de646, l'est de la Cilicie est conquis par lecalifat musulman, sous le règne du Califeal'Muawiya, avant d'être pleinement contrôlé par lecalifat omeyyade à partir des débuts du VIIIe siècle[19], tandis que l’ouest est intégré authème desCibyrrhéotes, formé à partir des marins (et même pirates)caravisiens (Καραβισιάνοι) et des guerriersmardaïtes (Μαρδαἵτες) avant d’être érigé enthème deSéleucie (en grec Σελεύκεια =Seleukeia : la Séleucie d'Isaurie).

En965, l'empereurNicéphore II Phocas reconquiert l’ensemble de la Cilicie, formant, dans le centre et l’est du pays, lesthèmes de Tarse, Anazarbe et Mopsueste[20]. De nombreuxArméniens viennent alors se réfugier en Cilicie, surtout après l’invasionarabe de l'Arménie. Ces Arméniens sont au départ des colons militaires censés barrer lachaîne du Taurus. En 1071, l’Empire byzantin perd l’Anatolie où se forme leSultanat seldjoukide de Roum (« des Romains » enturc, c'est-à-dire « desByzantins »), mais la Cilicie, où s’émancipent de plus en plus les seigneuries localesarméniennes, reste dans le giron byzantin. Vers 1070, l’ArménienPhilaretos Brakhamios domine une principauté, vassale de l’empire, qui englobe la Cilicie,Antioche etÉdesse. Son émancipation aboutit en 1198 à la création en Cilicie d’unroyaume arménien, avec à sa tête son premierroi :Lévon IIle Grand, reconnu par lescroisés, lePape et les souverains d’Occident[21].

Article détaillé :Royaume arménien de Cilicie.

LeXIIIe siècle est le siècle le plus florissant pour le royaume arménien de Cilicie. Dans le premier tiers du siècle, son roi se permet même d’intervenir dans les problèmes de succession de laprincipauté d'Antioche. L'arrivée desMongols en Grande Arménie, dans les années 1230 va pousser le royaume à se mettre volontairement sous leur protectorat, plutôt que d’en subir l’invasion. Le roiHéthoum va lui-même faire le voyage vers lekhan mongol pour conclure une alliance militaire dans les années 1250. En 1258, les Mongols s’emparent deBagdad. Cet évènement annonce les attaques sur la Syrie qui vont marquer la fin duXIIIe siècle. La première attaque a lieu en 1260. Le royaume arménien envoie des contingents qui participent à la prise d’Alep et deDamas. Le roi réussit à agrandir son territoire grâce à la prise de plusieurs places fortes de Syrie du Nord par les Mongols.

En 1266, lesMamelouks font leur première incursion dans le royaume arménien. Leurs attaques se succèdent et peu à peu épuisent le royaume. AuXIVe siècle, en1375, à l’époque des beylicats, le royaume arménien de Cilicie tombe aux mains dessultanatsturcs desKaramanides (à l’ouest) etRamadanides (à l’est), puis, après 1488, desOttomans. Le dernier roi arménien,Léon VI, est capturé dans sa capitale deSis en 1375, et emmené prisonnier auCaire. Il dicte son récit et celui de son royaume au moine Jean Dardel. Le titre de « roi de Cilicie » passe alors à la famille desLusignan, régnant surChypre.

De l'Empire ottoman à la Turquie

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Carte duvilayet d'Adana (1869-1922) en 1892.

AuXVIe siècle, lesOttomans envahissent la région. Petit à petit, la population cilicienne, arménienne dans l’intérieur etgrecqueorthodoxe sur la côte, devient majoritairementturque etmusulmane au fil des conversions (entre autres, pour ne plus payer leharaç : impôt sur les non-musulmans, et pour ne plus subir ledevchirmé : enlèvement des garçons pour le corps desjanissaires). La Cilicie devient une province ottomane, l'eyalet d'Adana.

Au début duXIXe siècle, le succès de la révolte dupacha d'Égypte,Mehemet Ali, contre lesultanottoman permit à son filsIbrahim Pacha de conquérir la Syrie et la Cilicie en1832. Moins d'une décennie plus tard, ladiplomatie de la canonnière desBritanniques, aidée par la neutralité de laFrance, imposa au pacha l'abandon de ces conquêtes contre la reconnaissance de l'autonomie de l'Égypte. Cette période est un prélude augénocide arménien dans l'Empire ottoman avec lesmassacres d'Adana d'avril1909[22].

Après laPremière Guerre mondiale, la France revendique la Cilicie dans le cadre de la Syrie mandataire, alors que laRépublique démocratique d'Arménie (1918-1920/21) la revendique avec le soutien du Royaume-Uni[23]. Letraité de Sèvres démembre l'Empire ottoman, et la France obtient l'occupation de la Cilicie, qui prolonge en Turquie méridionale lemandat français en Syrie (1923-1946, à la suite de lacampagne de Cilicie)[24]. Une population arménienne se maintient dans l’est de la Cilicie sous le protectorat français avant de se réfugier dans leHatay lors du retrait français au profit de la Turquie en1920, puis enSyrie et auLiban en1939 lorsque laFrance cède le Hatay à la Turquie.

Notes et références

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  1. Claude Mutafian et Éric Van Lauwe,Atlas historique de l'Arménie, Autrement, coll. « Atlas / Mémoires », 2005(ISBN 978-2746701007),p. 15 à 19.
  2. Hérodote, « Histoire, Livre II, Euterpe. 34 », sur« Méditerranées ».
  3. Claude Mutafian et Éric Van Lauwe,op. cit.,p. 21.
  4. « Cilicie montagneuse », en grec :oreina Kilikia,ὀρεινα Κιλικία.
  5. « Plaine Aléienne », en grec :Aleïon pedion,Ἀλήιον πεδίον, « plaine sans moisson » (c.-à-d. pauvre). VoirHérodote, « Histoire, Livre VI, Érato. 95 », sur« Méditerranées ».
  6. Louis Vivien de Saint-Martin, Kâtip Çelebi,op. cit.(lire en ligne), « Asie Mineure d’Hérodote »,p. 305-306.
  7. Les noms des deux fleuves arrosant la plaine d'Adana, Seyhan (autrefoisSarus) et Ceyhan (prononcédjeyḥan, autrefoisPyramus), reprennent les noms donnés par les géographes arabes aux deux fleuvesSeyhun (Syr-Daria, autrefoisYaxartes, en arabe : sīḥūn,سيحون) etJihoun (Amou-Daria, autrefoisOxus, en arabe : jīḥūn,جيحون) qui délimitent la région d'Asie centrale appeléeTransoxiane, en actuelOuzbékistan. Voir :Victor Langlois,op. cit.(lire en ligne), « Cilicie orientale »,p. 464.
  8. Çukurova, écritTchukur-owa par Victor Langlois, ce qui correspond à la phonétique du mot turc et qui signifie « plaine basse ». Voir :Victor Langlois,op. cit.(lire en ligne), « Cilicie montagneuse »,p. 231.
  9. Victor Langlois,op. cit.(lire en ligne), « Cilicie orientale »,p. 465.
  10. Victor Langlois,op. cit.(lire en ligne).
  11. Κορακήσιον = Korakesion : voirStrabon,Géographie[détail des éditions][lire en ligne], la Cilicie XIV, 5 ; Τραχεία Κιλικία = Tracheia Kilikia ou Τραχειῶτις = Tracheiotis, la « Trachéotide » soit la « Cilicie âpre », devait ce nom aux rivages abrupts et à la pauvreté de ses villages.
  12. D'après Hans-Erich Stier (dir.):Grosser Atlas zur Weltgeschichte, ed. Westermann, 1985(ISBN 3-14-100919-8), et Claude Mutafian & Éric Van Lauwe,op. cit.,p. 29.
  13. Pline l'Ancien,Histoire naturelle[détail des éditions][lire en ligne], V, chapitre XXII, La Cilicie et les nations avoisinantes. §3.
  14. Soli/Soles en latin :Soli, en grec :Soloï, Σόλοι.
  15. Κιλικία πεδιάς =Kilikia pedias, soit « Cilicie plate » engrec,Cilicia pedia,Cilicia campestris, soit « Cilicie pédicule » enlatin.
  16. Κιλικία περὶ τὸν Ἰσσόν =Kilikia peri ton Isson, soit la « Cilicie de l’Issos » (littéralement « autour de l’Issos »), en turcIssos Ovasi.
  17. « Claudius »,Columbia Electronic Encyclopedia, 6th Edition,‎,p. 1–1(lire en ligne, consulté le)
  18. Dictionnaire universel d'Histoire et de Géographie, éd. Hachette, année 1860, page 895.
  19. (en) Alexander Kazhdan (dir.),Oxford Dictionary of Byzantium, Oxford, Oxford University Press,(ISBN 978-0-19-504652-6)
  20. Claude Mutafian & Éric Van Lauwe,op. cit.,p. 49.
  21. Claude Mutafian & Éric Van Lauwe,op. cit.,p. 53-55.
  22. GérardDédéyan (dir.),Histoire du peuple arménien, Toulouse, Éd. Privat, (1re éd. 1982), 991 p.[détail de l’édition](ISBN 978-2-7089-6874-5),p. 518.
  23. (en) « The Nagorno-Karabakh Conflict », surGoogle Books(consulté le).
  24. « Le conflit franco-turc en Cilicie | Chemins de mémoire », surwww.cheminsdememoire.gouv.fr(consulté le)

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Victor Langlois,Voyage dans la Cilicie et dans les montagnes du Taurus : exécuté pendant les années 1851-1853., B. Duprat,(présentation en ligne,lire en ligne).
  • Raymond Kévorkian et Mihran Minassian,Les Arméniens de Cilicie, Habitat, mémoire et identité, Beyrouth, Presses de l'Université Saint-Joseph,(ISBN 9 789953-45529-7)

Articles connexes

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Antiquité romaine

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après 600

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Liens externes

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