La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aisne, l'Oise, la dérivation de Carandeau[1], l'Aisne[2], le canal 01 de la commune de Compiegne[3], le cours d'eau 05 de la commune de Choisy-au-Bac[4], le fossé 01 de la commune de Rethondes[5], le fossé 05 de la commune de Rethondes[6], le fossé 08 de la commune de Choisy-au-Bac[7], le fossé 09 de la commune de Choisy-au-Bac[8], le fossé Béjot[9], le ru des Bonshommes[10], le ru des Lois[11] et le ru du Plessis Brion[12],[13],[Carte 1].
L'Oise prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude, dans l'ancienne commune deForges et se jette dans laSeine à 20 mètres d'altitude, au Pointil enrive droite et en aval du centre deConflans-Sainte-Honorine dans le département desYvelines. D'une longueur341 kilomètres, elle est presque entièrement navigable et bordée de canaux sur104 kilomètres[16].
Statistiques 1991-2020 et records MARGNY-LES-COMPIEGNE (60) - alt : 92m, lat : 49°25'53"N, lon : 2°48'13"E Records établis sur la période du 01-03-1994 au 03-12-2023
Au, Choisy-au-Bac est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[25].Elle appartient à l'unité urbaine de Compiègne[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant quatorze communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 3],[26],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[27],[28].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,8 %),terres arables (15,4 %), zones urbanisées (12,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,5 %), eaux continentales[Note 5] (5,4 %), prairies (1,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[29]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Choisy-au-Bac en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (2,1 %) inférieure à celle du département (2,5 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 70,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (70 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].
Choisy-au-Bac est desservie, en 2023, par les autobus des lignes 3 et les autocars de la ligne 106 duréseau TIC ainsi que par la ligne 16 du service AlloTIC. Elle est également desservie par les lignes 6321 et 6334 duréseau interurbain de l'Oise[30].
Bac-à-l'Aumône est un écart de Choisy et deClairoix de part et d'autre de l'Aisne[32] attesté sous les formesle bac a l'aumosne (1337) ;le bac a lamoulne de la riviere doise (vers 1400) ;Bac-à-l'Aumône (1840) ;le Bacq a l'aumonne (1746) ;le Bac à l'Aumône (1947)[33]. LeBac désigne l'embarcation qui permettait de franchir l'Aisne entre la destruction auXVIe siècle d'un pont ancien et la construction de son successeur auXIXe siècle[31] qui relie Choisy à Clairoix[32].
Des fouilles menées sous les piles du viaduc ont mis au jour des vestiges dumésolithique, datant de plus de 7500 ans[34].
Dans la gravière Lafarge ou au nouveau stade de football, des vestiges dunéolithique ainsi que de la période gauloise ont été découverts[34]. À cette époque, Choisy faisait partie du territoire desViromanduens[31]. Au premier âge du fer, le minerai de fer peut être recueilli sur place, comme le montre les fouilles du site fortifié, où l'on voit se succéder plusieurs fours à fer[35].
À l'époque mérovingienne, Choisy est une des résidences royales. Un certain nombre de rois mérovingiens (ex. :Clovis IV, son frèreChildebert IV) sont inhumés à Choisy, dans l'église Saint-Étienne. Des fouilles archéologiques menées en 2021 ont permis de découvrir une importante nécropole mérovingienne[34]
Le domaine est ensuite transmis aux roiscarolingiens.
À la mort dePépin le Bref le, elle règne avec en faisant monter ses deux fils sur le trône. Deux ans plus tard elle arrange le mariage de son aîné, Charles ou encoreCharlemagne avecDésirée de Lombardie. Mais à la mort de son frère,CarlomanIer, Charles s'empare de ses terres, écarte définitivementBertrade de Laon du pouvoir, fait enfermer ses neveux Pépin et Syagre dans un cloître et marie leurs sœurs, Cunégonde àGuillaume d'Orange - ami et cousin de l'empereur - et Gisèle à un prince lombard puis àLéon IVempereur d'Orient deConstantinople.Bertrade de Laon se retire alors en une abbaye qui se trouvait alors à Choisy-au-Bac et y meurt le. Choisy fut certes autrefois proposé comme un des lieux possibles de naissance de Charlemagne, cela est désormais plus qu'improbable.
En 896, Choisy et sa région sont occupés et dévastés par lesVikings[31].
Choisy est une forteresse importante qui défend le domaine royal. Elle est prise d'assaut en 1422 par les Anglais, qui ne la conservent que peu de temps, et elle perd progressivement son importance, au point de n'être défendue en 1426 que par une femme et quatre soldats secourus par quatre bourgeois de Compiègne. Lors de laguerre civile entre Armagnacs et Bourguignons, Choisy est occupé par les Bourguignons, qui se rendent en 1429 au roi de FranceCharles VII. L'année suivante, Choisy est assiégée par le Duc de Bourgogne,Jean de Luxembourg et lecomte d’Arondel et se rend malgré une défense vaillante. Le duc de Bourgogne fait raser la forteresse et rétablir le pont que les assiégés avaient coupé[31].
« Il y avait une maladrerie ou léproserie située sur le chemin da Plessis-Brion, au lieu où l'on voit encore une croix. La chapelle, dédiée à sainte Madeleine, formait un bénéfice à la collation de l'abbé de Saint-Médard. Quatre mines de terre y étaient attachées. Les Templiers eurent une autre chapelle entre Choisy etLe Plessis-Brion , près de la forêt de Laigue, au lieu dit la terre des fées[31] ».
En 1812/1815, le pont du Francport sur l'Aisne est rétabli après une longue interruption. Il consistait en untablier large de cinq mètres, soutenu sur huit pilotis, et aboutissant à des culées, mais est détruit à la fin du Premier empire par les troupes étrangères. Il n'est rétabli ensuite que pour les piétons mais est démoli en 1840[31]. Un nouveau pont est ensuite reconstruit au Francport[39].
En 1850, la population de Choisy-le-Bac était principalement constituée d'agriculteurs, de bûcherons et d'ouvriers mariniers. Unmoulin à vent était exploité, et la commune était propriétaire d'une école et dupresbytère[31].
L'ancien domaine abbatial desMinimes est acheté vers 1840 par le comte Arthur de L'Aigle, qui y fait construire une grande demeure inspirée de l'architecture des manoirs anglais.
Son filsRobert de L'Aigle (1843-1931) la fait remplacer en 1896-1897 par une autre demeure, élevée d'après des plans de l'architecteErnest Sanson. La construction est exécutée en pierre, sous de hautes toitures en ardoise. Elle s'insère dans un parc dessiné par le paysagisteHenri Duchêne, sur les hauteurs de la vallée de l'Aisne[40].
Au début de laPremière Guerre mondiale, Choisy-au-Bac voit arriver le les réfugiés deVerdun puis, le, la 1st Cavalry Brigade en retraite qui stationne au château du Vivier. Le Génie français détruit le le pont du chemin de fer et celui sur l'Aisne[41], ce qui n'empêche pas l'armée allemande d'occuper le bourg le même jour, pendant 12 jours pendant lesquels il pille et incendie le 47 maisons en guise de représailles.
L'armée française reprend ensuite Choisy-au-Bac qui devient le lieu de cantonnement de troupes françaises. Celles-ci remettent en état le pont sur l'Aisne[42].
Le, juste après la fin de laBataille de la Marne, les Allemands se replient sur les hauteurs deMoulin-sous-Touvent, incendient le pont suspendu sur l'Aisne, un chantier de traverses voisin ainsi que le pont fixe et déportent en Allemagne plusieurs hommes en âge de se battre. Plusieurs habitants sont tués par balle probablement par des patrouilles[42].
Repassé définitivement aux mains françaises, Choisy-au-Bac devient le lieu de cantonnement de plusieurs régiments, d'ambulances. Le château du Francport est utilisé comme ambulance.
Sa proximité de Compiègne, de la voie de chemin de fer et de rivières naviguées l'expose à des bombardements aériens allemands, provoquant des victimes militaires et civiles. Ce sera le cas 24 août 1915, le 28 mars 1918 sur l'écluse du Carendeau, le 17 mai suivant sur la rue des Orfèvres[42].
Les épis de Francport ont été occupés par l'artillerie lourde sur voie ferrée (ALVF) du fait de l'avance allemande du printemps 1918. Les épis de Francport n'étaient pas « oubliés » du commandement en 1918 mais ils ne figuraient pas sur les cartes des réseaux ferrés pour raisons de sécurité, ils apparaissaient seulement sur lescartes d'état-major. Le train desplénipotentiaires allemands et celui dumaréchalFoch stationnaient sur les deux rameaux ouest des épis de Francport, les deux rameaux est n'ayant pas été utilisés.
Le pont de Choisy-au-Bac en 1915.
Le pont du Francport détruit par le Génie français en 1915.
Maisons détruites.
Les voies ferrées historiques ayant accueilli les trains des négociateurs de l'armistice de 1918 sont les épis deRethondes, désignés à l'époque, dans les documents militaires, « épis de Francport ».
Lors du prelier tour desélections municipales de 2014 dans l'Oise, la liste SE/UMP menée par le maire sortant Jean-Noël Guesnier obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 079 voix (64,90 %, 19 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant très largement la liste SE menée par Pierre Poilane, qui a recueilli 586 voix (35,19 %, 4 conseillers municipaux élus). Lors de ce scrutin, 30,79 % des électeurs se sont abstenus[48].
Lors desélections municipales de 2020, la liste menée par Jean-Noël Guesnier (SE) est opposée à celle pilotée par son ancien premier maire-adjoint, Jean-Luc Mignard[49]. Lors du premier tour, la liste de Jean-Luc Mignard obtient lamajorité absolue des suffrages exprimés, avec 710 voix (50,96 %, 18 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant de 27 voix celle du maire sortant, qui a recueilli 683 voix (49,03 %, 5 conseillers municipaux élus Lors de ce scrutin marqué par laPandémie de Covid-19 en France, 41,31 % des électeurs se sont abstenus[50],[51]
Sur la commune est implanté une brigade de gendarmerie. La caserne a été construite en 2002. La brigade de gendarmerie de Choisy-au-Bac fait partie d'une communauté regroupant également les brigades d'Attichy et deRibécourt-Dreslincourt.
La commune dispose également d'une police municipale dont les locaux se trouvent en mairie.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[57].
En 2022, la commune comptait 3 386 habitants[Note 6], en évolution de +2,61 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 31,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 30,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 608 hommes pour 1 675 femmes, soit un taux de 51,02 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,11 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[59]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
1,1
90 ou +
1,0
7,0
75-89 ans
10,0
21,2
60-74 ans
21,1
19,5
45-59 ans
21,2
16,3
30-44 ans
18,4
13,9
15-29 ans
12,1
21,0
0-14 ans
16,1
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[60]
Organisée bisuannellement jusqu'en 2013 par l'Association Sportive Cosacienne qui adhère à l'UFOLEP,La Cosacienne est une série d'épreuves sportives sur un week-end comprenant un trail nocturne, deux run et bike et des courses pour les enfants.Les courses de La Cosacienne se déroulent dans les rues de Choisy-au-Bac et dans lesforêts de Laigue et deCompiègne.Plus de 800 vététistes et/ou coureurs à pied y participent.L'organisation nécessite la mobilisation de plus de 200 bénévoles, secouristes, etc.
L'US Choisy au Bac, club de football local comptant plus de 500 licenciés, réussit en juin 2013 l'exploit historique pour le club de faire accéder en championnat régional la même saison ses deux équipes seniors : l'équipe A en Division d'Honneur et l'équipe B en Promotion Interdistricts du championnat de la ligue de Picardie de football. Après une seule saison en division d'honneur, l'équipe fanion termine championne de Picardie en juin 2014, titre qui lui permet d'accéder auchampionnat de France (CFA 2).
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L'exploitation par le groupeLafargue de la carrière du Buissonnet, située à proximité de l'écluse du Carandeau, à Choisy-au-Bac, s'engage en 2018 pour cinq ans pendant lesquelles un million de tonnes de sable et de gravier en seront extraits. Après quoi, le site sera réhabilioté pendant un an, puis mis à disposition de l'intercommunalité qui y réalisera un bassin de 790 m de longueur, 110 m de large et 2 m de profondeur destiné à l'aviron et aux autres sports nautiques, dans la perspective de pouvoir servir de bassin d'entrainement pour lesJeux olympiques d'été de 2024[61],[62].
Église de la Sainte-Trinité (classée monument historique en 1920[63]) : la construction de l'église paroissiale actuelle débuta au début duXIIe siècle par lanefromane, et se poursuivit après le milieu duXIIe siècle par letransept avec ses deuxabsidioles et la façade, qui hésitent entre le roman et legothique, pour s'achever au début duXIIIe siècle par l'abside et leclocher, clairement gothiques. Sa configuration s'inscrit dans la tradition des basiliques romanes duSoissonnais de la seconde moitié duXIe siècle, et les nombreux partis archaïsants, dont l'absence decolonnettes àchapiteaux dans la nef et le transept, le voûtement encul-de-four des absidioles à une période aussi avancée, et l'absence decontreforts devant l'abside, pourtantvoûtée d'ogives dès l'origine, s'expliquent difficilement. La restauration radicale que l'église a subie entre 1853 et 1885 a effacé définitivement les indices qui auraient pu permettre de comprendre l'histoire de l'édifice. L'extérieur est en grande partienéo-gothique, mais est censé s'inspirer de son architecture d'origine. L'élément le plus authentique et le plus original est sans doute le clocher, d'un style dépouillé mais d'une silhouette puissante. C'est le seul dans la région à présenter autant de baies sur l'étage debeffroi[64],[65]. Un programme de restauration est engagé par la commune autour de 2020[66]
Le château des Bonshommes, nommé à l'origine château du Francport, construit en 1896-1897, d'après des plans de l'architecteErnest Sanson, dans un vaste parc à l'anglaise dessiné par le paysagisteHenri Duchêne, pourRobert des Acres de l'Aigle, marquis de l'Aigle, conseiller-général et député de l'Oise et resté dans sa descendance jusqu'à la fin du XXe siècle.
Le roiChildebert IV y meurt en 711, et est enterré dans la basilique Saint-Étienne fondée par ses prédécesseurs[31].
Son filsDagobert III, après avoir vaincu les Austrasiens près de Compiègne, assassiné en 716 près de la Motte-Brion à l'àge de dix-sept ans, y est inhumé à côté de son père[31].
D'argent au bac degueules avec son batelier de carnation vêtu d'or et d'un pantalon aussi de gueules, voguant sur une champagne ondée d'azur, surmonté de trois fleurs de lys aussi d'or rangées en chef[69].
Détails
* Il y a là non-respect de larègle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (or sur argent). Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Général de Montarby, « Comment les Allemands sont entrés à Choisy-au-Bac en 1940 et comment ils en sont sortis en 1944 »,Bulletin de la Société historique de Compiègne,t. XXV,,p. 181-197(lire en ligne, consulté le).
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 23/06/2022 à 10:19 TU à partir des 477 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1961 au 01/08/2002.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Compiègne comprend une ville-centre et treize communes de banlieue.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑a etbPhilippe Boulfroy,Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise,,p. 74.
↑Émile LAMBERT,Dictionnaire topographique de l'Oise, Amiens,(lire en ligne),p. 27.
↑ab etcStéphanie Forestier, « C'est bonne pioche » : ce village de l'Oise est le paradis des archéologues : A Choisy-au-Bac, une nécropole mérovingienne vient d'être mise au jour sur une parcelle destinée à accueillir un projet immobilier. Une énième découverte sous le sol de cette commune qui cache encore nombre de trésors. »,Le Parisien,(lire en ligne, consulté le).
↑Philippe Bonnet-Laborderie,Art et Histoire dans les Pays d'Oise, de la préhistoire à nos jours, Beauvais, le G.E.M.O.B.,, 180 p.,p. 26
↑Marc Pilot, « Choisy Au Bac durant la Guerre »,Villages martyrs, surcompiegne1914.fr(consulté le) (extrait de l'ouvrage "Choisy au Bac et les deux guerres mondiales").
↑Elie Julien, « À Choisy-au-Bac, le maire se sent «trahi» et se lance dans les municipales : Il devait laisser son poste à son adjoint. Mais à cause d'un désaccord, Jean-Noël Guesnier a finalement décidé de se présenter une nouvelle fois devant les électeurs »,Le Parisien, édition de l'Oise,(lire en ligne, consulté le).
↑a etbPatrick Caffin et Juliette Duclos, « Municipales dans l'Oise : ces maires sortants qui ont perdu face à leurs anciens adjoints : Dans plusieurs communes du département, des duels fratricides se sont joués lors de ce premier tour des élections municipales. Souvent au détriment du maire sortant »,Le Parisien, édition de l'Oise,(lire en ligne, consulté le)« À Choisy-au-Bac, le goût est aussi amer pour Jean-Noël Guesnier (SE), qui briguait un quatrième mandat ».
↑M. M., « Jean-Noël Guesnier, le maire sortant battu à Choisy-au-Bac, saisit la justice »,Le Courrier picard,(lire en ligne, consulté le)« Dans un silence de plomb, le conseil municipal de Choisy-au-Bac a élu maire, avec 18 voix, Jean-Luc Mignard, ex-premier adjoint, contre le maire sortant, Jean-Noël Guesnier (5 voix). Après trois mandats de maire de Choisy-au-Bac et un mandat d'adjoint aux travaux auparavant, ce dernier a vu, le 15 mars, sa liste enregistrée 27 voix d'écarts derrière celle de son ancien bras droit. ».
↑Fanny Dolle, « La solidarité s'organise après l'incendie du gymnase de Choisy-au-Bac : Après l'incendie qui a ravagé le complexe André-Mahé, une réunion de crise était organisée, mercredi soir, en mairie. L'objectif était de recenser les besoins pour trouver des solutions de repli. Des clubs voisins et l'Agglo de Compiègne se sont déjà manifestées pour leur proposer un toit et des créneaux »,Le Courrier picard,(lire en ligne, consulté le).
↑Benjamin Derveaux, « Choisy-au-Bac : les travaux ont commencé sur le site du futur bassin d'aviron : Les travaux préparatoires pour l'exploitation de la carrière du Buissonnet par Lafarge viennent de commencer. À terme, l'endroit sera aménagé en bassin par l'agglomération pour accueillir les sports nautiques »,Le Parisien, édition de l'Oise,(lire en ligne, consulté le).
↑Elie Julien, « Choisy-au-Bac : un million de tonnes de sable et de gravier à extraire : La société Lafarge, installée à Chevrières, débute cette semaine l'exploitation de la carrière. Elle compte y extraire sable et gravier par bateau pendant trois ans »,Le Parisien, édition de l'Oise,(lire en ligne, consulté le).
↑« À Choisy-au-Bac, la mairie reçoit une nouvelle dotation pour la restauration de l'église : La Fondation du patrimoine a remis un chèque à la commune pour récompenser la mobilisation de la municipalité pour la restauration de l'église Sainte-Trinité »,Le Courrier picard,(lire en ligne, consulté le).