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Chefferies traditionnelles au Cameroun

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Chefferie traditionnelle au Cameroun
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Ensemble architectural de lachefferie de Bafut (Région du Nord-Ouest[1]).

LesRoyaumes traditionnels sont un échelon de l'organisation administrative auCameroun. Ces institutions sont régies par un décret de 1977[2]. Laloi constitutionnelle du[3] assure la représentation desroyaumes (chefferiestraditionnelles) en prévoyant leur présence dans lesconseils régionaux[4].

LesRoyaumes (chefferies) peuvent être du premier, deuxième ou troisième degré selon leur importance territoriale ou historique[5].

Origine des chefferies

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Les chefferies traditionnelles duCameroun sont à l'origine des micro-états, ou des états vassaux d'états pré-coloniaux[6]. Elles pouvaient prendre trois formes :

  • Nord (peuplespeuls) : grandslamidats féodaux « tout-puissants »[7];
  • Ouest (Grassland) : les chefferies tirent leur pouvoir d'une longue tradition rituelle[8];
  • Est, Centre et Sud : chefferies patriarcales, pouvoir d'arbitrage entre individus[9].

Statut administratif des chefs traditionnels

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À l'époque coloniale, les puissanceseuropéennes qui se sont succédé auCameroun s'appuieront sur les chefferies pour asseoir leurpouvoir, le chef traditionnel devenant alors l'indispensable auxiliaire entre la population et le pouvoircolonial[10].

À l'indépendance, le présidentAhidjo s'appuiera sur ces chefferies pour conserver la maîtrise du territoire national, en s'assurant la loyauté des chefs traditionnels par un système clientéliste. Ceux-ci étaient membres de droit du bureau local du parti présidentiel[11].

En 1977, toutefois, un nouveau statut est adopté qui transfère certains pouvoirs administratifs aux maires en vertu du Décret N°77/245 du 15 juillet 1977 portant organisation des chefferies traditionnelles[12].

Aujourd'hui, les chefs ont un statut d'auxiliaire administratif. Ils servent de lien entre l'administration et les populations du village et ont encore autorité pour rendre la justice traditionnelle (notamment pour les affaires foncières et civiles, dont les successions), même si la suppression de cette compétence est réclamée par diverses associations de défense des droits de l'homme[13].

Nomination

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Les chefs traditionnels sont nommés sur avis des « notables » de la chefferie. L'autorité administrative entérine ensuite leur nomination, laquelle est publiée aujournal officiel. Toutefois, il arrive que l'administration refuse le choix des notables et imposent un autre chef. Ce cas reste toutefois très rare[14].

À la tête de la Chefferie, la succession va du père à son descendant direct (fils du défunt chef). Ce successeur généralement le fils aîné est choisi par son père avant sa mort[15].

Catégorie de chefferies

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Les chefferies sont catégorisées endegré selon leur taille et leur hiérarchie historique :

  • premier degré : Chefferie qui couvre au moins deux chefferies du deuxième degré et dont le territoire ne peut aller au-delà des limites départementales ;
  • deuxième degré : Chefferie qui couvre au moins deux chefferies du troisième degré et dont le territoire ne peut aller au-delà des limites d'arrondissements ;
  • troisième degré : village, en milieu rural ou quartier, en milieu urbain.

Ces degrés représentent la hiérarchie des chefferies entre elles et constituent la nomenclature nationale des chefferies traditionnelles au Cameroun[16].

Nombres de chefferies de1er et2d degré

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LeMinistère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre au Cameroun en octobre 2012[17] 80 chefferies de premier degré et 862 chefferies de deuxième degré.

Régionchef-lieuNombre de chefferie de1er degréNombre de chefferie de 2nd degré
AdamaouaNgaoundéré617
CentreYaoundé7166
EstBertoua759
Extrême-NordMaroua19159
LittoralDouala1150
NordGaroua533
Nord-OuestBamenda5123
OuestBafoussam11108
SudEbolowa3105
Sud-OuestBuéa642
TOTAL80862

Pouvoirs des chefferies

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Influence traditionnelle

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Lesrois traditionnels conservent une forte influencemorale et spirituelle sur leurs administrés. Néanmoins, du fait de l'absence de nombreux rois de leurs villages (ceux-ci étant par ailleurs fonctionnaires, hommes d'affaires, etc.[18]), les royaumes (chefferies ) perdent peu à peu de leur influence, souvent au profit des élus locaux, comme lesmaires ou lesdéputés.

Pouvoir juridique

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En 1963, lacour suprême du Cameroun a jugé que partout où il a été légiféré, la loi l'emporte sur la coutume[19]. Elle ne s'applique que dans les vides législatifs. De même, la coutume ne peut aller contre la constitution.

En matière foncière, la coutume a longtemps été utilisée faute de droit écrit, mais la loi a prévu la transformation de la propriété coutumière en titre foncier sous peine de déchéance[20].

Les litiges coutumiers peuvent être tranchés par des tribunaux coutumiers, mais ceux-ci sont appelés à disparaître au profit destribunaux de premier degré.

Critique de l'institution chefferiale

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Les critiques de l'institution chefferiale[21] dénoncent sa gouvernance et soulignent en général la perception qu'elle aurait un caractèreanachronique et un aspectanti-démocratique[22].

Par ailleurs, il a été régulièrement soulevé le caractère anti-constitutionnel de l'institution, puisque celle-ci prévoit que les individus naissent libres et égaux en droit, principe incompatible avec le principe d'hérédité de la plupart des chefferies.

Les principaux royaumes par région

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Adamaoua

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Le Ministère de l'Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 6 chefferies de premier degré et 17 chefferies de deuxième degré pour la région de l'Adamaoua. Dans cette région, les chefferies sont principalement appelées deslamidats[23].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitantsPériode
DjéremTibatiLamidat de TibatiMohamadou Hadi Barkindo122.210
Faro-et-DéoTignèreLamidat de TignèreAboubakar Garba110.7322016 -
Faro-et-DéoMayo-BaléoLamidat deKontchaYerima Bakari Dewa11.520
Mayo-BanyoBanyoLamidat de BanyoMohaman Gabdo Yaya134.980
MbéréMeigangaChefferie deMeigangaMoussa Sabo155.728
VinaNgaoundéréLamidat de N'gaoundéréMohamadou Hayatou Issa1107.35

Centre

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Le Ministère de l'Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 7 chefferies de premier degré et 166 chefferies de deuxième degré pour la région duCentre[24].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
Haute-SanagaLembe-YezoumYezoumSoumbou Angoula Pierre[25].12.710
MfoundiYaoundé IIIChefferie d’EfoulanM.T Assiga1739.200
LekiéObalaEndindingTsala Ndzomo119.955
LekiéOkolaMvog-Ndama IJean-Marie Mama110.645
Nyong-et-KélléÉsékaNdog-Ndjoue IGabriel Matip17.350
Nyong-et-KélléBot-MakakNdog-Béa NordLouis Mbem124.512
Mbam-et-KimNgoroChefferie de SanagaMveimani Sombo Amba111.983

Est

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Le Ministère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 7 chefferies de premier degré et 59 chefferies de deuxième degré pour la région de l'Est[26].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
Haut-NyongAngossasMaka-MboangJean-Claude Balla1er114.131
Haut-NyongAtokMaka-BebendVacant114.141
Haut-NyongNguelemendoukaOmvang-SekondaRené Ze Nguele18.925
Haut-NyongNguelemendoukaEbessepGrégoire Langoul110.341
Haut-NyongLomiéNdzimou?18.400
KadeyBatouriKako-MbonjoVacant111.546
KadeyKetteBayaMbele Banga1?

Extrême-Nord

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Le Ministère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 19 chefferies de premier degré et 159 chefferies de deuxième degré pour la région de l'Extrême-Nord[27].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
DiamaréMarouaLamidat de MarouaBakari Yerima Bouba1130.585
DiamaréBogoLamidat de BogoBELLO MOHAMADOU147.019
Mayo-TsanagaMokoloLamidat de MokoloYacouba Mohamadou Mourtalla112.841
Mayo-TsanagaMokoloLamidat de Matakam-sudDjeguele Zogue1106.385
Mayo-DanayYagouaChefferie de YagouaLitassou Makaïni160.766
Mayo-DanayKar-HayChefferie de DoukoulaLuc Ayang137.985
Mayo-DanayKalfouChefferie de KalfouYerima Hamadou Tomboutou113.900
Mayo-SavaMagaChefferie de GuirvindigAmpou Agourda127.875
Mayo-SavaMoraSultanat deWandalaEl Hadj Yerima Brahim Boukar148.175
Mayo-KaniKaéléChefferie de KaéléEl Hadj Abubakar Wabi116.710
Mayo-KaniKaéléChefferie de MidjivingMoussa Lame111.881
Mayo-KaniKaéléLamidat de DoumrouAminou Ahmadou16.750
Mayo-KaniPohriChefferie de BiziliDakreo Dourga18.150
Mayo-KaniGuidiguisLamidat de GuidiguisSadou112.275
Mayo-KaniMindifLamidat de MIndifOumarou173.230
Mayo-KaniMoutourwaChefferie de MoutourwaBassoro Diwaoui117.150
Logone-et-ChariLogone-BirniSultanat de Logone-BirniMahamat Bahar Marouf124.835
Logone-et-ChariKoussériSultanat de KoussériMahamat ABBA II114.675
Logone-et-ChariGoulfeySultanat de GoulfeyAli Mahamat119.250

Littoral

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Le Ministère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 11 chefferies de premier degré et 50 chefferies de deuxième degré pour la région duLittoral[28].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitantsPériode
MoungoMelongChefferie de MboMbappe Pandong136.253
MoungoNjombe-PenjaChefferie Bonkenng-PenjaDieudonné Dissake151.256
MoungoMbangaChefferie BalongMagellan Moukete Ngoh1152.163
MoungoDibombariChefferie PongoThéodore Toto Bekombo19.178
Sanaga-MaritimeÉdéaChefferie Édéa-BakokoWilliam Ndong-Tsombe111.296
WouriDouala1erChefferie BellJean-Yves Eboumbou Douala Manga Bell118.265
WouriDouala1erChefferie AkwaLouis Din Dika Akwa156.138
WouriDouala1erChefferie DeïdoFréderic James Ekwalla -Essaka122.1562013 -
WouriDouala3eChefferie BakokoS. Jamil Madiba Songue1?2023 -
WouriDouala3eChefferie BassaGaston Mbody Epee135.248
WouriDouala4eChefferie Bele-BelePaul Milord Mbappe Bwanga120.956

Nord

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Le Ministère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 5 chefferies de premier degré et 33 chefferies de deuxième degré pour la région duNord[29].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
BénouéGarouaLamidat de GarouaIbrahim El Rachidine1106.575
BénouéBibemiLamidat de BibemiDaouda Aladji126.618
Mayo-ReyRey-BoubaLamidat de Rey-BoubaAboubakary Abdoulaye175.150
Mayo-LoutiFiguilChefferie de LamMONGLO SINGAI Charles118.150
Mayo-LoutiMayo-OuloChefferie de Mayo-OuloAhmadou babale117.135

Nord-Ouest

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Le Ministère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 5 chefferies de premier degré et 123 chefferies de deuxième degré pour la région duNord-Ouest[30]. Dans cette région, les chefferies sont principalement appelées desfondoms[31] et le chef traditionnel est appeléfon[32].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
MezamBamendaChefferie MankonAngwafor III131.255
MezamBaliChefferie Bali-NyonghaGanyonga III Bikaï128.276
MezamBafutChefferie BafutJohn Neba Abuabi II131.253
BuiKumboChefferie NsoP. Wirba Mbinglo1158.553
BoyoFundongChefferie KomVincent Yuh II173.703

Ouest

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La région est le berceau duRoyaume bamoun et desChefferies Bamilékés. Le Ministère de l’Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 11 chefferies de premier degré et 123 chefferies de deuxième degré pour la région de l’Ouest[33]. La plupart de ces chefferies sontBamilékés.

Articles détaillés :Liste des chefferies bamiléké,Chefferie bamilékée etRoyaume bamoun.
DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
BamboutosBabadjouChefferie de BabadjouJean-Marie Penandjo113 971
BamboutosBatchamChefferie de BangangJoseph Momo183 817
BamboutosBatchamChefferie de BatchamAdrien Djeutsa Sonkoué129.155
MenouaDschangChefferie de FotoGuy Bertrand Momo Soffack Ier163 161
MenouaNkong-NiChefferie de BafouVictor Kana153 367
Haut-NkamBankaChefferie de BankaPaul Arnaud Monkam Toukam112 264
Haut-NkamBanaChefferie de BanaSikam Happi V15.053
MifiBamougoumChefferie de BamougoumJacques Fotso Kankeu125.281
NdéBangangtéChefferie de BangangtéNjih Mohnlu Seidou Pokam129.135
NounFoumbanSultanat BamounMohamed Nabil Nforifoum Mbombo Njoya1210.000
Koung-KhiPoumogneChefferie de BandjounHonoré Djomo Kamga148.758

Sud

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Le Ministère de l'Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 3 chefferies de premier degré et 105 chefferies de deuxième degré pour la région duSud[34].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
Dja-et-LoboBengbisChefferie Bulu de BengbisÉtienne Enondji Mvomo17.995
Dja-et-LoboSangmélimaChefferie Ndou-LibiThérèse Eloumba Medjo18.075
OcéanLolodorfChefferie Ngoumba-FangAndré Mienam Vilmorin110.982

Sud-Ouest

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Le Ministère de l'Administration territoriale (MINAT) dénombre en, 6 chefferies de premier degré et 142 chefferies de deuxième degré pour la région duSud-Ouest[35].

DépartementArrondissementDénomination de la chefferieNom du chefDegréNombre d’habitants
FakoLimbéChefferie BakweriVacant131.785
FakoBuéaChefferie BakweriSamuel Endeley120.758
MemeKumbaChefferie BafawVictor Mukete142.133
ManyuMamféChefferie BayangiGodson Orock Oben110.577
LebialemFontemChefferie FontemLucas Fontem Njifua116.076
LebialemWabaneChefferie BamumbuLekunze Nebongwe II117.198

Annexes

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Articles connexes

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Bibliographie

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  • Hilaire Kouomegne Noubissi ,Décentralisation et centralisation au Cameroun. L'exemple de la répartition des compétences entre l'État et les collectivités locales, Université Panthéon-Sorbonne/Université de Yaoundé II, 2012, 443 p. (thèse de droit public)
  • Robert K. Kpwang,La chefferie « traditionnelle » dans les sociétés de la grande zone forestière du Sud-Cameroun : (1850-2010), L'Harmattan, 2011, 490 p.(ISBN 9782296459397)
  • Joseph Owona,Les systèmes politiques précoloniaux au Cameroun, L'Harmattan, 2015, 107 p.(ISBN 978-2-343-07294-4)

Liens externes

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Notes et références

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  1. « La chefferie de Bafut », proposée à l'inscription sur la liste duPatrimoine mondial[1]
  2. Décret 77/245 du 15 juillet1977 - JOC 01/08/1977
  3. « Loi N°96/06 du 18 janvier 1996 portant révision de la Constitution du 02 juin 1972. », surwww.prc.cm(consulté le)
  4. Bertrand-RaymondGuimdo D., « Les bases constitutionnelles de la décentralisation au Cameroun (Contribution à l’étude de l’émergence d’un droit constitutionnel des collectivités territoriales décentralisées) »,Revue générale de droit,vol. 29,no 1,‎,p. 79–100(ISSN 0035-3086 et2292-2512,DOI 10.7202/1035696ar,lire en ligne, consulté le)
  5. « Les chefferies traditionnelles », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  6. Pierre-ClaverKamgaing, « La concession de la chefferie traditionnelle, lieu public ou lieu privé ? »,Les Annales de droit,no 16,‎1er juin 2022,p. 121–140(ISSN 1955-0855,DOI 10.4000/add.2358,lire en ligne, consulté le)
  7. ThéodoreTakou,« Guerre, pouvoir et société dans les lamidats peuls du Nord-Cameroun : le cas du lamidat de Ngaoundéré au XIXe siècle », dansPouvoirs anciens, pouvoirs modernes de l'Afrique d'aujourd'hui, Presses universitaires de Rennes,coll. « Enquêtes et documents »,, 93–106 p.(ISBN 978-2-7535-6427-5,lire en ligne)
  8. « Au Cameroun, voyage mystique dans les chefferies de l’Ouest », surTV5MONDE - Voyage,(consulté le)
  9. GeorgesEtoa Oyono, « Splendeurs et problèmes des chefs traditionnels des territoires du centre-sud au lendemain de la Grande Guerre »,Revue internationale des francophonies,no 3,‎(ISSN 2556-1944,DOI 10.35562/rif.624,lire en ligne, consulté le)
  10. Jean-Claude Muller,« Chapitre VI. Colonialismes, regroupement et identité », dansLes chefferies dìì de l'Adamaoua (Nord-Cameroun), Paris, Éditions de la Maison des sciences de l’homme, CNRS Éditions,, 212 p.(ISBN 978-2-7351-1839-7,lire en ligne),p. 133-158
  11. Pierre-F.Gonidec, « Un régime dominé par la stature du président Ahidjo », surLe Monde diplomatique,(consulté le)
  12. « Décret N°77/245 du 15 juillet 1977 portant organisation des chefferies traditionnelles », surwww.prc.cm(consulté le)
  13. FIDH : « la torture au Cameroun : une réalité « banale », une impunité systématique ».
  14. « Désignation des chefs traditionnels : que d’agitation ! », surwww.cameroon-tribune.cm(consulté le)
  15. « Succession dans les chefferies traditionnelles : mode d’emploi », surwww.cameroon-tribune.cm(consulté le)
  16. « Nomenclature nationale des chefferies traditionnelles du Cameroun - Affocom »,(consulté le)
  17. « Annuaire des chefferies traditionnelles de1er et2d degrés (MINAT, octobre 2012) », surminatd.cm(consulté le).
  18. Chefferies traditionnelles : Les étudiants du Sud dénoncent leur élite
  19. CS/COR arrêté du 23 avril 1963
  20. Décret 76/165 du et Ordonnance 74/01 du
  21. « Gouvernance despotique,gouvernance chefferiale et gouvernance postcoloniale », surwww2.institut-gouvernance.org(consulté le)
  22. « Chefferies, au cœur de l’histoire », surAfrique magazine(consulté le)
  23. « Les chefferies de l'Adamaoua », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  24. « Les chefferies de la Région du Centre », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  25. « Obsèques : honneur au chef supérieur des Yézoum », surwww.cameroon-tribune.cm(consulté le)
  26. « Les Chefferies Traditionnelles de l'Est », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  27. « Les Chefferies de l'Extrême-Nord », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  28. « Chefferies traditionnelles du Littoral », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  29. « Nord – MINAT »(consulté le)
  30. « Les Chefferies traditionnelles du Nord-Ouest », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  31. « North West : Sun Sets On Mankon fondom », surwww.cameroon-tribune.cm(consulté le)
  32. « Cameroun : des rois mystiques », surBBC News Afrique,(consulté le)
  33. « Les Chefferies traditionnelles de l'Ouest », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  34. « Les Chefferies de la Région du Sud », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
  35. « Les chefferies traditionnelles du Sud-Ouest », surOsidimbea - La Mémoire du Cameroun. Encyclopédie de l'histoire des Organisations(consulté le)
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