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Chef d'état-major des armées (France)

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Pour les autres articles nationaux ou selon les autres juridictions, voirChef d'état-major des armées etCEMA.

Chef d'état-major des armées
Image illustrative de l’article Chef d'état-major des armées (France)
Insigne de l'état-major des armées : l'épée de l'armée de Terre, les ancres de la Marine nationale et les ailes de l'Armée de l'air et de l'espace.

Image illustrative de l’article Chef d'état-major des armées (France)
Titulaire actuel
Général d'armée aérienne
Fabien Mandon

depuis le
(2 mois et 24 jours)

Création
MandantPrésident de la République
Premier titulaireGénéralAntoine Béthouart
Résidence officielleHexagone Balard
Site internetwww.defense.gouv.fr/ema
modifier 

Lechef d'état-major des armées (CEMA) est unofficier généralfrançais. Militaire le plus gradé de l'armée française, il assure le commandement de toutes les opérations militaires sous l'autorité duprésident de la République et sous réserve des dispositions particulières relatives à ladissuasion nucléaire. Il assiste et conseille le gouvernement dans l'exercice de ses attributions relatives à l'emploi des forces ; son adjoint est lemajor général des armées.

Depuis le, le chef d'état-major est legénéral d'armée aérienneFabien Mandon.

Historique

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Genèse de la fonction

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Sous laTroisième République, aucun officier général ne jouit d'un commandement en chef interarmées[1]. De fait, le généralJoseph Joffre, vice-président duConseil supérieur de la guerre de à, n'exerce aucune autorité sur laMarine nationale, de même queFerdinand Foch etLouis Franchet d'Espèrey, commandants en chef du front occidental pour le premier et des armées d’Orient pour le second à la fin de laPremière Guerre mondiale[1]. Une structure interarmées, lesecrétariat général de la Défense nationale, est créée en, mais elle n'est dotée d'aucun commandement effectif[1].

Un « chef d’état-major général de la défense nationale » est nommé en mais« c'est un faux départ »[2] : il ne possède aucune structure administrative qui lui serait propre, et ses attributions sont confiées auchef d'état-major de l'Armée de terre, le général d'arméeMaurice Gamelin[2].

C'est en, sous leGouvernement provisoire de la République française, qu'un officier général se voit pour la première fois confier un commandement interarmées, c'est-à-dire qu'il est placé au-dessus des chefs d'état-major des armées deTerre,Air etMer dans l'ordre hiérarchique[3]. Il s'agit du général de corps d'arméeAntoine Béthouart, nommé chef d'état-major général de la Défense nationale ; le général d'arméeAlphonse Juin lui succède le[JORF 1].

Néanmoins, à partir de, laQuatrième République marginalise le chef d’état-major général de la défense nationale, tout d'abord en lui retirant son qualificatif de « général » le, puis en remplaçant le général d'armée Juin par un général de division en[4]. La marginalisation s’accélère avec le décret du « portant regroupement des états-majors généraux de la Guerre, de la Marine et de l'Air et création de l'État-Major général des forces armées » (EMGFA)[5]. Au bout de quelques mois, l'état-major de la défense nationale est supprimé et l'EMGFA devient donc le seul état-major interarmées[6].

À la tête de l'EMGFA se trouve le « comité des chefs d'état-major généraux des forces armées » (les chefs d'état-major de l'Armée de terre, de laMarine nationale et de l'Armée de l'air), dont l'un d'eux en assure la présidence, tandis que lemajor général des armées est chargé du secrétariat du comité. La présidence est confiée auchef d'état-major général de l'Armée de l'air, le généralCharles Léchères, et le général de divisionHenri Zeller est nommé major général[JORF 2]. Charles Léchères ne porte pas le titre de chef d'état-major général des armées et doit être considéré comme un « primus inter pares »[7].

Le décret du, en confiant àAlphonse Juin la fonction nouvelle d'inspecteur général des forces armées, fait de celui-ci le président du comité des chefs d’état-major, le vice-président du Conseil supérieur des forces armées et enfin le conseiller du gouvernement pour les questions de défense[7]. Ces attributions font de lui le chef d'état-major des arméesde jure, bien qu'il n'en reçoive pas le titre dans les faits. En, la nomination du maréchal Juin au commandement interarmées du secteur Centre Europe conduit à une trop grande concentration de pouvoir entre ses mains, ce qui pousse le gouvernement à lui retirer la présidence du comité des chefs d'état-major[7]. Cette dernière est confiée à un officier général titré « chef d’état-major général des forces armées » (CEMGFA).

Le général d'arméePaul Ély, nommé chef d’état-major général des forces armées par décret du, estde facto le premier chef d'état-major des armées[JORF 3].

Entre et, le chef d'état-major général des armées perd sa prééminence au profit du puissant chef d'état-major général de la défense nationale (CEMGDN) qui devient « conseiller militaire du gouvernement et la plus haute autorité militaire »[8]. La fonction est occupée par Paul Ély de à puis par le généralJean Olié[9] de à[10]. En, le CEMGDN perd son titre de « plus haute autorité militaire »[11] puis en, l'état-major général de la défense nationale redevient le secrétariat général à la défense nationale, comme dans l'entre-deux-guerres et comme entre et. Lesecrétariat général de la Défense et de la Sécurité nationale est aujourd'hui l'héritier direct de ce secrétariat général à la défense nationale. Par ailleurs, l'état-major général de la défense nationale cède ses responsabilités spécifiquement militaires à l'état-major interarmées. Celui-ci prend le nom d'état-major des armées, l’EMA d'aujourd'hui. Le général d'armée Charles Ailleret est nommé à sa tête[12],[13].

Intitulé de la fonction

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La fonction de chef d'état-major des armées a connu différents intitulés :

  • Chef d'état-major général de la défense nationale (-) ;
  • Président du comité des chefs d'état-major généraux des forces armées (-) ;
  • Inspecteur général des forces armées, président du comité des chefs d'état-major généraux des forces armées et vice-président du Conseil supérieur des forces armées (-) ;
  • Chef d'état-major général des forces armées (-) ;
  • Chef d'état-major général des forces armées, inspecteur général des forces armées (-) ;
  • Chef d'état-major général des armées, inspecteur général des forces armées, président du comité des chefs d'état-major (-) ;
  • Chef d'état-major général des armées (-) ;
  • Chef de l'état-major interarmées (-) ;
  • Chef d'état-major des armées (-) ;
  • Chef d'état-major général des armées (-) ;
  • Chef d'état-major des armées (depuis).

Responsabilités et autorités

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Le chef d'état-major des armées assiste leministre des Armées dans ses attributions relatives à l’emploi des forces. Il est responsable de l’emploi opérationnel des forces. Sous l’autorité duprésident de la République,chef des armées, et dugouvernement français, et sous réserve des dispositions particulières relatives à la dissuasion, le chef d’état-major des armées assure le commandement des opérations militaires. Il est le conseiller militaire du Gouvernement[14].

Sous l'autorité du ministre de la Défense, le chef d’état-major des armées est responsable :

  1. De l’organisation interarmées et de l’organisation générale des armées ;
  2. De l’expression du besoin en matière de ressources humaines civiles et militaires des armées et des organismes interarmées ;
  3. De la définition du format d’ensemble des armées et de leur cohérence capacitaire ;
  4. De la préparation et de la mise en condition d’emploi des armées. Il définit les objectifs de leur préparation et contrôle leur aptitude à remplir leurs missions. Il élabore les doctrines et concepts d’emploi des équipements et des forces ;
  5. Du soutien des armées. Il en fixe l’organisation générale et les objectifs. Il assure le maintien en condition opérationnelle des équipements ;
  6. Du renseignement d’intérêt militaire. Il assure la direction générale de la recherche et de l’exploitation du renseignement militaire et a autorité sur ladirection du Renseignement militaire ;
  7. Desrelations internationales militaires[15].
L’état-major des armées est installé à l’Îlot Saint-Germain entre sa création en et.
L’état-major des armées est désormais installé à l’Hexagone Balard[16].

Il a directement sous son autorité :

Le chef d'État-Major des armées est assisté par lemajor général des armées[21].

Chef d'état-major général de la défense nationale

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Un « chef d’état-major général de la défense nationale » est nommé en mais il ne possède aucune structure administrative. C'est en, sous le Gouvernement provisoire de la République française, qu'un officier général se voit pour la première fois confier un commandement interarmées. Néanmoins, à partir de, la Quatrième République marginalise le chef d’état-major général de la défense nationale et au bout de quelques mois, l'état-major de la défense nationale est supprimé. Entre et, le chef d'état-major général des armées perd sa prééminence au profit du puissant chef d'état-major général de la défense nationale (CEMGDN) qui devient « conseiller militaire du gouvernement et la plus haute autorité militaire ». En, le CEMGDN perd son titre de « plus haute autorité militaire » puis en, l'état-major général de la défense nationale redevient le secrétariat général à la défense nationale, comme dans l'entre-deux-guerres et comme entre et.

Force arméePortraitGrade au moment
de la prise de fonction
Chef d'état-majorDate de prise de poste
et décret de nomination
Durée
Chef d'état-major général de la défense nationale
Général de corps d'arméeAntoine Béthouart285 jours
Général d'arméeAlphonse Juin[JORF 1]2 ans, 273 jours
Général d'arméeJean de Lattre de Tassigny1 an, 141 jours
Général d'arméePaul Ély2 ans, 4 jours
Général d'arméeJean Olié152 jours
Général d'arméeAndré Puget[22]274 jours

Liste des chefs d'état-major des armées

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Quatrième République

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Force arméePortraitGrade au moment
de la prise de fonction
Président du comitéDate de prise de poste
et décret de nomination
DuréePrésident du Conseil
« assure la direction des forces armées »
Président de la République
« Chef des armées »
Président du comité des chefs d'état-major généraux des forces armées
Général de corps aérienCharles Léchères[JORF 2]1 anHenri Queuille
René Pleven
Edgar Faure
Antoine Pinay
Vincent Auriol
Inspecteur général des forces armées,
président du comité des chefs d'état-major généraux des forces armées
et vice-président du Conseil supérieur des forces armées
Général d'armée[a]Alphonse Juin362 joursAntoine Pinay
René Mayer
Joseph Laniel
Chef d'état-major général des forces armées
Général d'arméePaul Ély[JORF 3]289 joursJoseph LanielVincent Auriol
René Coty
Général d'arméeAugustin Guillaume[JORF 4]1 an, 269 joursJoseph Laniel
Pierre Mendès France
Edgar Faure
Guy Mollet
René Coty
Chef d'état-major général des forces armées,
inspecteur général des forces armées
Général d'arméePaul Ély[JORF 5]2 ans, 75 joursGuy Mollet
Maurice Bourgès-Maunoury
Félix Gaillard
Pierre Pflimlin
Chef d'état-major général des armées,
Inspecteur général des forces armées,
président du comité des chefs d'état-major
Général d'arméeHenri Lorillot[b][JORF 6]22 joursPierre Pflimlin
Charles de Gaulle
René Coty

Cinquième République

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Force arméePortraitGrade au moment
de la prise de fonction
Chef d'état-majorDate de prise de poste
et décret de nomination
DuréePremier ministre
« dispose de la force armée »[c]
Président de la République
« Chef des armées »[d]
Chef d'état-major général des armées,
Inspecteur général des forces armées,
président du comité des chefs d'état-major
Général d'arméePaul Ély[e][JORF 7]247 joursCharles de Gaulle
Michel Debré
René Coty
Charles de Gaulle
Chef d'état-major général des armées
Général d'arméeGaston Lavaud[JORF 8]2 ans, 44 joursMichel DebréCharles de Gaulle
Chef de l'état-major interarmées
Général d'armée aérienneAndré Martin[JORF 9]1 an, 95 joursMichel Debré
Georges Pompidou
Charles de Gaulle
Chef d'état-major des armées
Général d'arméeCharles Ailleret[JORF 10]5 ans, 237 joursGeorges PompidouCharles de Gaulle
Général d'armée aérienneMichel Fourquet[JORF 11]3 ans, 68 joursGeorges Pompidou
Maurice Couve de Murville
Jacques Chaban-Delmas
Charles de Gaulle
Georges Pompidou
Général d'armée aérienneFrançois Maurin[JORF 12]4 ans, 21 joursJacques Chaban-Delmas
Pierre Messmer
Jacques Chirac
Georges Pompidou
Valéry Giscard d'Estaing
Général d'arméeGuy Méry[JORF 13]5 ans, 18 joursJacques Chirac
Raymond Barre
Valéry Giscard d'Estaing
Chef d'état-major général des armées
Général d'arméeClaude Vanbremeersch[JORF 14]195 joursRaymond BarreValéry Giscard d'Estaing
Chef d'état-major des armées
Général d'arméeJeannou Lacaze[JORF 15]4 ans, 180 joursRaymond Barre
Pierre Mauroy
Laurent Fabius
Valéry Giscard d'Estaing
François Mitterrand
Général d'armée aérienneJean Saulnier[JORF 16]2 ans, 107 joursLaurent Fabius
Jacques Chirac
François Mitterrand
Général d'arméeMaurice Schmitt[JORF 17]3 ans, 158 joursJacques Chirac
Michel Rocard
AmiralJacques Lanxade[JORF 18]4 ans, 137 joursMichel Rocard
Édith Cresson
Pierre Bérégovoy
Édouard Balladur
Alain Juppé
François Mitterrand
Jacques Chirac
Général d'armée aérienneJean-Philippe Douin[JORF 19]2 ans, 210 joursAlain Juppé
Lionel Jospin
Jacques Chirac
Général d'arméeJean-Pierre Kelche[JORF 20]4 ans, 203 joursLionel Jospin
Jean-Pierre Raffarin
Général d'arméeHenri Bentégeat[JORF 21]3 ans, 338 joursJean-Pierre Raffarin
Dominique de Villepin
Général d'arméeJean-Louis Georgelin[JORF 22]3 ans, 143 joursDominique de Villepin
François Fillon
Jacques Chirac
Nicolas Sarkozy
AmiralÉdouard Guillaud[JORF 23]3 ans, 354 joursFrançois Fillon
Jean-Marc Ayrault
Nicolas Sarkozy
François Hollande
Général d'arméePierre de Villiers[JORF 24]3 ans, 154 joursJean-Marc Ayrault
Manuel Valls
Bernard Cazeneuve
Édouard Philippe
François Hollande
Emmanuel Macron
Général d'arméeFrançois Lecointre[JORF 25]4 ans, 1 jourÉdouard Philippe
Jean Castex
Emmanuel Macron
Général d'arméeThierry Burkhard[JORF 26]4 ans, 40 joursJean Castex
Élisabeth Borne
Gabriel Attal
Michel Barnier
François Bayrou
Général d'armée aérienneFabien Mandon[JORF 27]François Bayrou
Sébastien Lecornu

Notes et références

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Notes

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  1. Élevé à la dignité deMaréchal de France le.
  2. Égalementchef d'état-major de l'Armée de terre, dont il conserve la fonction. Cette nomination, conséquence de la démission du généralÉly, doit être replacée dans le contexte de lacrise de mai 1958.
  3. Article 20 de laConstitution du.
  4. Article 15 de laConstitution du.
  5. En, Paul Ely devient chef d’état-major général de la défense nationale (CEMGDN) jusqu'à son départ à la retraite en. Jean Olié lui succède à ce poste de à. Durant cette période, le chef d'état-major général des armées perd sa prééminence au profit du puissant chef d'état-major général de la défense nationale qui devient la « plus haute autorité militaire nationale ».

Références

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  1. ab etcVial 2007,p. 2.
  2. a etbVial 2007,p. 3.
  3. Vial 2007,p. 4.
  4. Vial 2007,p. 5.
  5. Décret portant regroupement des états-majors généraux de la guerre, de la marine et de l'air et création de l'état-major général des forces armées,Journal officiel de la République française,,no 103,p. 4155.
  6. Vial 2007,p. 5–6.
  7. ab etcVial 2007,p. 6.
  8. « Décretno 59-262 du relatif aux attributions du chef d’État-Major général de la défense nationale », JORF,,p. 1797-1798 ; « Décretno 59-267 du relatif aux attributions du chef d’État-Major général des armées », JORF,,p. 1802.
  9. « M. le général d'armée Olié (Jean) est nommé chef d’état-major général de la défense nationale à compter du1er mars 1961. », décret du portant affectation d'un officier général de l'armée de terre, Journal officiel,,p. 1747.
  10. Il donne sa démission en.
  11. « Décretno 61-1231 du relatif aux attributions du chef d’État-Major général de la défense nationale », JORF,,p. 10506-10507.
  12. « Alors que les premiers dirigeants de laIVe République avaient laissé péricliter l'état-major général de la défense nationale jusqu'à finalement le supprimer, laVe République à ses débuts renforce cet état-major et l'installe en position centrale. Son chef devient à la fois « conseiller militaire du gouvernement » et « plus haute autorité militaire nationale ». Confié au général d'armée Paul Ély, le poste surclasse sans conteste celui du chef d'état-major général des années, dévolu au général d'armée Gaston Lavaud, qui dépend lui directement du ministre éponyme »,Défendre la France - L'héritage de De Gaulle à la lumière des enjeux actuels, Nouveau Monde Editions, 2020,pp. 30-33.
  13. « Dès son retour au pouvoir en, le général de Gaulle restaure le modèle qu’il avait lui-même établi au printemps. Si le premier EMGDN [état-major général de la défense nationale] avait été centré sur la figure d’Alphonse Juin, le général d’armée Paul Ély incarne cette période de renouveau. Arrivé en après une courte période de transition assurée par le vice-amiral Georges Cabanier, un ancien Français libre ayant brièvement occupé le poste de SGPDN adjoint en-, Paul Ély prend le titre de chef d’état-major général de la défense nationale, ce qui fait de lui la plus haute autorité militaire française. Ce poste, qui s’inscrit pour lui dans le prolongement du rôle de chef d’état-major général des forces armées qu’il occupait depuis, le place sous l’autorité du Premier ministre et non plus du ministre de la défense. Sa fonction est bien, par nature, interministérielle. Ély occupe ainsi une position centrale et sommitale qui est encore celle du général d’armée Jean Olié qui lui succède en, après avoir été chef de l’état-major particulier du Président de la République. »,Le SGDSN, 110 ans d’histoire - 1958-1962 : le second EMGDN, une éphémère remilitarisation site sgdsn.gouv.fr.
  14. Article R*3121-1 du code de la défense consulté le 24 décembre 2016.
  15. Article R*3121-2 du code de la défense consulté le 24 décembre 2016.
  16. « Cabinet du chef d'état-major des armées », surlannuaire.service-public.fr,.
  17. Article R*3121-3 du code de la défense consulté le 24 décembre 2016.
  18. Article R*3121-5 du code de la défense consulté le 24 décembre 2016.
  19. Arrêté du portant organisation de l'état-major des armées(lire en ligne).
  20. Arrêté du fixant les missions et l'organisation du service interarmées des munitions(lire en ligne).
  21. Article D3121-19 du code de la défense consulté le 24 décembre 2016.
  22. [1]

Décrets de nomination

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  1. a etb« Décret du portant nomination du chef d'état-major général de la Défense nationale », surle JORF numérisé sur Gallica,(consulté le).
  2. a etbDécret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de l'air (1re section du cadre de l'état-major général de l'Armée de l'air) et d'un officier général de l'Armée de terre (1re section du cadre de l'état-major général de l'Armée de terre),Journal officiel de la République française,,no 103,p. 4155.
  3. a etb« Décret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  4. « Décret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  5. « Décret du1er mars 1956 portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  6. « Décret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  7. « Décret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  8. « Décret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  9. « Décret du portant affectation d'un officier général de l'Armée de l'air », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  10. « Décret du portant affectation d'officiers généraux de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  11. « Décret portant affectation d'un officier général de l'Armée de l'air », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  12. « Décret conférant les rang et appellation de général d'armée aérienne dans la1re section du cadre des officiers généraux de l'Armée de l'air et portant affectation d'officiers généraux de l'Armée de l'air », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  13. « Décret portant affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  14. « Décret portant admission par anticipation dans la2e section du cadre des officiers généraux de l'Armée de terre et affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  15. « Décret portant admission par anticipation dans la2e section, conférant les rang et appellation de général d'armée dans la1re section du cadre des officiers généraux de l'Armée de terre et affectation d'un officier général de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  16. « Décret du portant élévation dans la1re section du cadre des officiers généraux de l'Armée de terre et affectation d'officiers généraux des armées de Terre et de l'Air », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  17. « Décret du portant réintégration dans les cadres et affectation d'officiers généraux de l'Armée de terre », surle JORF numérisé sur Légifrance,(consulté le).
  18. Décret du portant élévation dans la1re section, promotion et nomination dans la1re section et dans la2e section et affectation d'officiers généraux.
  19. Décret du portant élévation aux rang et appellation de général d'armée aérienne, promotion et nomination dans la1re section et affectation d'officiers généraux.
  20. Décret du portant élévation aux rang et appellation de général d'armée et affectation d'un officier général.
  21. Décret du portant admission dans la2e section par anticipation et sur demande, élévation aux rang et appellation de général d'armée, élévation aux rang et appellation de général de corps d'armée, promotion et nomination dans la1re et la2e section et affectation d'officiers généraux.
  22. Décret du portant affectation d'un officier général.
  23. Décret du1er février 2010 portant affectation d'un officier général.
  24. Décret du portant affectations et élévation d'officiers généraux.
  25. Décret du portant affectation et élévation d'un officier général.
  26. Décret du portant nominations d'officiers généraux.
  27. Décret du portant nomination d'un officier général.

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Chef d'état-major des armées (France)
Précédé parSuivi par
Général d'arméeFrançois Lecointre
Général d'arméeThierry Burkhard
Depuis le 22 juillet 2021
-
v ·m
GPRF
IVe République
Ve République
v ·m
Commandement
Composantes
Historiques
Divers
v ·m
Chefs d'états-majors, directeurs de service interarmée et conseillers militaires en France
Ensemble des forces armées
Commandant
Second
Par armée
Commandant
Second
Par service interarmée
Auprès de membres de l'exécutif
v ·m
Voir aussi :État-major
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