La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle est drainée par le canal de Saint-Quentin, le canal latéral à l'Oise, l'Oise, le Helot, le canal 01 de la commune de Autreville[1], le canal 01 de la commune de Chauny[2], le canal 01 de la commune de Ognes[3], le canal 01 de la commune de Sinceny[4], le canal 02 de la commune de Viry-Noureuil[5], le canal 03 de la commune de Viry-Noureuil[6], le canal Saint-Lazare[7], le cours d'eau 01 du le ru Besson[8], le Gobelet[9], le ruisseau de Marizelle[10], le ruisseau Ganton[11] divers bras de Brouage[12] et un autre petit cours d'eau[13],[Carte 1].
Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Oise moyenne ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 013 km2 de superficie, délimité par lebassin versant de l'Oise moyenne. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE est, en 2024, encore en élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat mixte du SAGE Oise-Moyenne (SMOM)[18].
Statistiques 1991-2020 et records CHAUNY (02) - alt : 83m, lat : 49°38'01"N, lon : 3°11'52"E Records établis sur la période du 01-07-1988 au 03-12-2023
Au, Chauny est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[24].Elle appartient à l'unité urbaine deChauny, une agglomération intra-départementale dont elle estville-centre[25],[26]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chauny, dont elle est la commune-centre[Note 3],[26]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (32,7 %),terres arables (32,7 %), prairies (14,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (13,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), forêts (2,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[29].
Chauny est reliée au reste du territoire par route notamment grâce à la proximité des autoroutesA26 etA29 qui passent par Saint-Quentin. Les aéroports nationaux et internationaux deParis sont à une heure de route. Le réseau départemental relie Chauny àNoyon (Oise) par laD 1032, Saint-Quentin et Soissons par laD 1,Ham par laD 937.
La ville est desservie par un réseau routier important et le chemin de fer y passe depuis 1849.Chauny possède unegare située sur la ligne Paris - Saint-Quentin -Maubeuge, très bien desservie par des trains Corail et des TER vers Paris,Compiègne,Creil etSaint-Quentin. Cette gare fut reconstruite après-guerre d'après les plans deUrbain Cassan etLudovic Tixier.
LeTGV, dont lagare TGV-Haute Picardie se trouve à une cinquantaine de kilomètres, est en compétition avec l'avion pour accéder au Sud de la France.
Lecanal de Saint-Quentin qui acheva la jonction de laSomme à l'Oise en 1738, voit passer de nombreuses péniches. Une voie verte pour les piétons et les cyclistes est ouverte en 2012. Elle est incluse dans lavélorouteEuroVelo 3[30],[31].
La commune de Chauny développe son propre réseau de transports en commun en 1997, avec les bus TAC (Transports de l'Agglomération de Chauny). Ces bus sont reconnaissables grâce à leurlivrée reprenant les couleurs jaune et bleu du blason chaunois. Ce réseau de transports s'appuie sur trois lignes desservant les neuf communes de l'agglomération urbaine chaunoise : Abbecourt, Amigny-Rouy, Autreville, Caumont, Chauny, Condren, Ognes et Sinceny.
Le, la compétence « Transports Collectifs Urbains » est transférée à lacommunauté de communes Chauny-Tergnier (CCCT) pararrêté préfectoral. Quelques mois plus tard, le réseau de transports est étendu à l'ensemble du territoire de la CCCT, soit23 communes, et devient Transports des Agglomérations de Chauny et Tergnier (TACT). Ce réseau compte désormais quatre lignes de bus et cinq lignes de transport à la demande. Puis en, la CCCT attribue l'exploitation du réseau à une société privée pour dix ans. Un nouveau réseau est ainsi mis en place le. Il est constitué de cinq lignes urbaines et quatre lignes interurbaines enTAD[Quoi ?].
Chauny est située sur la Véloroute EuroVélo3 dite la Scandibérique, inaugurée en 2016, longeant le canal de Saint-Quentin, reliant la Belgique à l'Espagne.
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Dans leschartes de Chauny, deLothaire àPhilippe IV, la ville, qui est bâtie sur la rive droite de l'Oise, est indiquée sous les noms deCalgny,Cauny,Canni,Calni ou deChaulni et en latin, par des auteurs anciens commeFlodoard, Guibert de Noyon… on lui donne pas moins de treize noms différents dontCalnacum,Calniacum,Cauniacum,Calviniacum etChanniacum[32],[33].
Avant leVe siècle, il n'y a à Chauny qu'une citadelle d'origine gauloise qui,pendant des invasions desVandales (407) et desHuns (451), sert de refuge aux peuples[34]. Si on ignore la date exacte de création de la citadelle, les historiens s'accordent sur le fait qu'elle a été érigée par les premierscomtes de Vermandois, qui voulaient borner, défendre les frontières de leur domaine en construisant le long de la frontière une série de fortifications qui étaient nomméeschâteaux borniers au même titre que les châteaux deHam,Nesle,Ronssoy,Estrées-en-Arrouaise,Guise,Ribemont etVendeuil. Le château occupait la partie la plus haute où furent construits plus tard les couvents des religieux de Sainte-Croix et des minimes. Cette supposition est contestée par l'abbé J Turpin[35] en raison de la phrase deFlodoard. Le château est cité par ce dernier, en949 :« ....Un certain Bernard du parti deHugues ayant un château sur l'Oise, nommé Chauny, se livra avec son château aucomte Adalbert.... ».
Le château est encore cité en 1066 par Gilbert religieux de Saint-Amand en Flandre :« Sortant de la ville deLaon nous primes le chemin versNoyon, accompagné d'une grande foule; la nuit approchait, nous arrivâmes à un petit château appelé Chauny, où nous fûmes reçus fort honnêtement et nous y passâmes la nuit. »
L'antique citadelle est démolie en 1430 et ses restes sont alors utilisés pour fortifier les murs d'enceinte d'un puissant château fort. En 1471, la ville tombe pourtant aux mains des Anglais qui vont l'occuper pendant25 ans[36].
La terre de Chauny devait appartenir à l'origine au domaine royal avant d'être incorporée à la province duVermandois dont lescomtes la donnèrent vers 830 à l'un de leurs seigneurs qui en ait sa résidence.
Les premières familles venues s'installer sous la protection ducastellum de Chauny furent les habitants deCondren après le ravage de leur ville, lors desinvasions normandes.
Il s'ensuit une période de paix et de tranquillité qui permit à la ville de prospérer et donc de s'agrandir. C'est ainsi que plusieursfaubourgs virent le jour autour de la ville :
le Brouage, qui fut longtemps la plus belle partie de la ville et qui tire son nom duBrouage un ruisseau qui prend sa source àGenlis et qui se jette dans l'Oise àAbbécourt ;
les Pâtureaux ;
le Pissot ;
Senicourt ;
le Bailli ;
la Chaussée après 1213.
Lors des nombreuses guerres qui firent rage dans la région, la ville fut conquise de nombreuses fois : par les Bourguignons en 1411, les Anglais en 1418, les troupes royales en 1430, le duc de Bourgogne en 1471,Maximilien d'Autriche en 1478, les calvinistes en 1552 et les Espagnols en 1652.
La ville fut le siège de nombreuses institutions sous l'Ancien Régime et le resta par la suite en étant tribunal de première instance sous la Révolution.
En 1790, elle devient chef-lieu dedistrict jusqu'en 1800.
Le, pendant l'invasion de la France par laSixième Coalition, un détachement de800 cavaliersprussiens,saxons etcosaques commandés par le colonel russeGeismar entre dans la ville : des ouvriers de lacompagnie de Saint-Gobain, croyant avoir affaire à une simple patrouille, ouvrent le feu sur les cavaliers et en tuent trois. Ceux-ci chargent la foule, faisant12 tués. Puis les Russes pillent la manufacture et réclament une indemnité de 100 000 francs en menaçant de brûler la ville. Le maire, M. de Mory de Neuflieux, et deux conseillers municipaux s'offrent comme otages jusqu'au paiement de la somme ; la ville et la compagnie arrivent à payer les trois quarts de la somme, les Russesfouettent cinq suspects et se retirent en emmenant le maire[37].
Chauny, qui était une ville prospère pendant la révolution industrielle, fut totalement dynamitée par les Allemands en 1917. Tous les monuments de la ville sont donc postérieurs à laPremière Guerre mondiale.
Destructions de la Grande Guerre.Le boulevard Gambetta, dans lesannées 1930.
Le 29 août 1914, les3e et5e brigades de cavalerie ducorps expéditionnaire britannique qui se dirigent versSoissons entrent à Chauny. Les Allemands étant signalés dans les environs, la voie ferrée est détruite dans Chauny et les ponts sont minés. Le 30 août 1914, la cavalerie britannique quitte la ville pourFontenoy. Des éclaireurs allemands ayant été aperçu place Bouzier, les artificiers du génie du148e régiment d'infanterie font sauter les ponts à ladynamite.Le 31 août, les destructions des ponts continuent, des bateaux et péniches sont coulés dans l'Oise et lecanal. Les derniers soldats quittent la ville dans la soirée. Le1er septembre 1914, vers midi, les troupes allemandes pénètrent dans Chauny.
Le, après labataille de la Marne, les troupes françaises qui occupentCuts etCarlepont lancent une attaque pour délivrer la ville, qui échoue. Chauny sera occupée durant deux ans et demi.
: l'aviation alliée bombarde et détruit lasoudière de Chauny, une usine chimique fabriquant à cette époque de l'anhydride phtalique participant à l'effort de guerre nazi[41].
La ville est victime de plusieurs famines : 1276, 1417, 1578, 1650, 1652 (à la suite de la prise de Chauny par les Espagnols le 13 juillet), 1692, 1789, 1793-1795 ainsi que d'hivers néfastes : 1408, 1458, 1521-1522, 1608, 1657-1658, 1681-1694 (qui voit la disparition de la culture de la vigne à Chauny), 1709, 1776, 1783-1784, 1812, 1820, 1838, 1841-1842, 1853 et 1871[43] et de sécheresses : 1000, 1303, 1541, 1619, 1652, 1718, 1802, 1811, 1823, 1830 (28-29 juillet).
La ville est victime le d'un tremblement de terre. En 1678, une tempête enlève le clocher de l'église Notre-Dame et en juillet 1767 dévaste la ville et les champs alentour. Le, un orage fait de nombreux dégâts dans la ville et le, ravage la ville et l'usine des glaces et produits chimiques. La même tempête renverse le cèdre de l'Aventure et le vieil orme des Promenades publiques qui avait été planté en 1766[44].
La ville connaît de très nombreuses inondations dont les plus importantes furent : 1574, 1655 (où le roi de France envoie1 500 livres pour reconstruire les ponts), février 1658, 1661, etc.[45].
La grande dernière inondation fut en, lors de la crue de l'Oise. Elle eut d'importantes conséquences puisque900 habitations,70 entreprises, artisans et commerçants furent sinistrés, et près de 2 000 personnes évacuées[46].
Plusieurs graves épidémies sont signalées : 1401, 1417, 1460, 1579, 1585, 1636, 1668 (peste), 1747 (typhus), 1761 (typhus et peste), 1789 (idem), 1832 et 1849 (choléra)(on compte278 décès sur le territoire de la commune pour l'année 1849 et5 décès hors commune) (a titre de comparaison :150 décès pour l'année 1850)[47], 1871 (variole)[45].
Les archives départementales ne permettent pas de remonter avant 1167, année de création de la mairie : Jacques, maire en 1167, Jean Delfosse, maire en 1167, Gérard, maire en 1175, Robert en 1186, Renaud de Varizy-Burga en 1200, Jean en 1214, Renaud Odent (ou Adens) en 1230, Odon Hasselin en 1250, Jean Audemer en 1260, Pierre Mourin en 1270, Adam Vitime en 1280, Étienne Maldenré en 1296, 1298, 1300 et 1302, Raoul-le-Querre en 1297, 1299, 1303, 1307, 1309, 1312 et 1314.
La ville compte septécoles maternelles, et septécoles primaires[53], trois collèges et trois lycées : l'institution privée Saint-Charles, le lycée privé agricoleRobert-Schuman[54], ainsi que les lycées publics de Chauny, nés en 2014 du groupement en cité scolaire du lycée général et technologiqueGay-Lussac et du lycée professionnelJean-Macé, respectivement renommés site Gambetta et site André-Ternynck.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[55],[Note 4].
En 2022, la commune comptait 11 456 habitants[Note 5], en évolution de −4,33 % par rapport à 2016 (Aisne : −1,97 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2021, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 35,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (34,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 27,8 % au niveau départemental.
En 2021, la commune comptait 5 444 hommes pour 6 052 femmes, soit un taux de 52,64 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,17 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Pyramide des âges de la commune en 2021 en pourcentage[58]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,9
90 ou +
2,5
6,4
75-89 ans
10,9
17,0
60-74 ans
19,3
18,9
45-59 ans
20,2
16,2
30-44 ans
16,2
21,9
15-29 ans
15,4
18,8
0-14 ans
15,5
Pyramide des âges du département de l'Aisne en 2021 en pourcentage[59]
Chauny dispose d'un centre-ville commercial, centré sur axe principal réparti sur les rues de la République et de la Chaussée. Si la majorité des commerces présents sont locaux et de toutes natures (salons de coiffure, jeux vidéo, brasseries et restaurations, habillements, etc.), on y trouve également des enseignes nationales.
Au nord de la ville se trouve une zone commerciale dénommée ZAC de l'Univers. On y trouve également plusieurs enseignes nationales ainsi qu'une pépinière d'entreprises, principalement composée d'artisans locaux.
Au sud de la ville se trouve le bassin industriel chaunois, avec des entreprises industrielles.
Dans son romanGargantua,François Rabelais, fait allusion à Chauny. Dans le chapitre XXIV, il y est fait état de l'activité deGargantua et de son emploi du temps quand l'air était pluvieux[64] :
« Allait voir les bateleurs, trajectaires (jongleurs), thiéracleurs (charlatans) et considérait leurs gestes, leurs ruses, leurs soubresauts et beau parler, singulièrement ceux de Chauny en Picardie, car ils sont de nature grands jaseurs et beaux bailleurs de balivernes en matière de singes verts. »
C'est ainsi que les singes sont devenus un des l'emblèmes de la Ville que l'on retrouve sur différents blasons. Aujourd'hui, ce sont trois singes qui sont représentés : l'un qui ne voit rien, l'autre qui ne dit rien et le troisième qui n'entend rien. La Ville est parfois appelée : « Chauny-les-Singes ».
Ladîme de dragées : tous les jours, avant et après lesvêpres, les enfants se tenaient à l'entrée des églises pour exiger le don de dragées.
Baptême : les parrains et marraines avaient l'obligation d'envoyer des dragées, des bonbons ou de l'argent aux enfants du pays.
Veille deNoël : les enfants de Chauny parcouraient les rues, frappaient aux portes et demandaient de l'argent par la formule :Au guignoleu chanterons-nous ?.
Jeudi gras : les petites filles des écoles partaient avec un panier au bras et réclamaient des œufs. Il s'ensuivait alors un jeu. En ville, on installait une large planche inclinée et chaque fille devait y faire rouler ses œufs. Celle qui parvenait à sauver ses œufs devenait la reine dujaudiau. Elle devait alors se promener dans les rues avec un sceptre à la main.
Saint Sébastien : les vieux garçons et vieilles filles mariés dans l'année, les veufs et veuves remariés en secondes noces étaient bruyamment fêtés par le peuple qui les acclamait avec des pelles, des chaudrons, des casseroles et tout instrument pouvant produire du bruit.
Mariage : legardien de la mariée avait pour mission de veiller sans cesse sur celle-ci. L'époux et la population devait réussir à faire échapper celle-ci. Si la chose était réussie, le gardien devait se promener sur un âne, le visage vers la queue tenue comme bride suivi du cortège de noce.
Théophile-Jules Pelouze (1807-1867), chimiste, est administrateur des Glaces et Produits chimiques de Chauny et Saint-Gobain. Une rue, devenue aujourd'hui une impasse, lui a été attribuée en son honneur.
Juliette Adam (1836-1936), romancière et poétesse féministe, fut élevée par ses grands-parents à Chauny. Sa grand-mère eut une grande influence sur elle.
UnForum, très moderne, permet de nombreuses manifestations culturelles avec, à proximité, les forêts de Saint-Gobain et de Coucy Basse.
La fête Rabelais, qui a lieu chaque année, est l'occasion de défilés et de concerts.
La course cyclisteParis-Chauny, née en 1922 et qui se déroule annuellement en septembre.
2 foires commerciales, qui se déroulent les premiers week-ends des mois de mars et septembre avec fête foraine.La place de l'Hôtel-de-Ville lors des fêtes Rabelais en 2012.
↑Les moyennes interannuelles (écoulements mensuels) ont été calculées le 28/07/2024 à 02:06 TU à partir des 501 QmM (débits moyens mensuels) les plus valides du 01/01/1981 au 01/06/2024.
↑Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)