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Chassenon

45° 51′ 11″ nord, 0° 45′ 56″ est
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Ne pas confondre avec l'ancienne commune deChassenon en Vendée, devenueXanton-Chassenon en 1827.

Chassenon
Chassenon
L'église Saint-Jean-Baptiste.
Blason de Chassenon
Blason
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionNouvelle-Aquitaine
DépartementCharente
ArrondissementConfolens
IntercommunalitéCommunauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Jean-Marie Lebarbier
2020-2026
Code postal16150
Code commune16086
Démographie
GentiléChassenonais
Population
municipale
843 hab.(2022en évolution de −3,99 % par rapport à 2016)
Densité36 hab./km2
Géographie
Coordonnées45° 51′ 11″ nord, 0° 45′ 56″ est
AltitudeMin. 150 m
Max. 261 
m
Superficie23,48 km2
TypeCommune rurale à habitat dispersé
Unité urbaineHors unité urbaine
Aire d'attractionHors attraction des villes
Élections
DépartementalesCanton de Charente-Vienne
LégislativesTroisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte topographique de France
Chassenon
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Chassenon
Géolocalisation sur la carte :Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Chassenon
Géolocalisation sur la carte :Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Chassenon
Liens
Site webchassenon.frVoir et modifier les données sur Wikidata
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Chassenon est unecommune française située dans ledépartement de laCharente, enrégionNouvelle-Aquitaine.

Seshabitants sont lesChassenonais et lesChassenonaises[1].

Géographie

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Localisation et accès

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Chassenon est une commune de laCharente limousine, située à l'est du département de laCharente et en limite avec celui de laHaute-Vienne à l'est[2]. Laroute nationale 141 passe au nord de la commune, reliantAngoulême à 60 km au sud-ouest etLimoges à 45 km à l'est.Poitiers est à 97 km au nord-nord-ouest[3].

Bordée au nord par la rivièreVienne, elle se trouve sur la D.29 reliantChabanais (6 km au nord-ouest) etRochechouart (5 km au sud-est)[2],[3].

Lavoie ferrée Angoulême-Limoges passe au nord de la commune en longeant la Vienne, et lagare de Saillat - Chassenon est en Haute-Vienne, sur la commune deSaillat-sur-Vienne[2].

Hameaux et lieux-dits

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Le gros hameau deVillegoureix est situé à 3 km au nord-est du bourg ; il est limitrophe avecles Gourdennes de la commune deSaillat où est située la gare de Saillat - Chassenon[2].

Le reste de la commune, hormis le bourg qui en occupe le centre, est occupé par de nombreuses fermes et petits hameaux :Laurière, Machat, Brethenoux, Longeas, Masferrand, Mastizon, Malbâti, Labit, Champonger, Nouaillas, Londeix…[2].

Communes limitrophes

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Chassenon est limitrophe avec cinq communes dont deux en Haute-Vienne à l’est[2].

Les communes limitrophes sontChabanais,Étagnac,Pressignac,Rochechouart etSaillat-sur-Vienne.

Carte
Les limites communales de Chassenon et celles de ses communes adjacentes.
Communes limitrophes deChassenon[2]
ÉtagnacSaillat-sur-Vienne
(Haute-Vienne)
ChabanaisChassenonRochechouart
(Haute-Vienne)
Pressignac

Géologie et relief

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Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle laCharente limousine, la commune se trouve sur leplateau du Limousin, partie occidentale duMassif central, composé deroches cristallines etmétamorphiques, reliques de lachaîne hercynienne.

Mur des thermes gallo-romains
formé de brèche.

Elle se situe aussi dans l'emprise d'un cratère météoritique formé il y a environ 200 millions d'années : l'astroblème de Rochechouart-Chassenon. La roche issue de cette collision, oubrèche, a servi à de nombreuses constructions alentours, en particulier à celles de l'église et desthermes gallo-romains dont on a longtemps cru qu'ils étaient construits sur un ancien volcan[4],[5].

Une petite partie de la commune à l'ouest est composée degranite et degneiss, avec au nord desalluvions anciennes le long de la vallée de la Vienne sur une hauteur atteignant 60 m. Les trois quarts de la commune, à l’Est, sont faits debrèche issue de la météorite[5],[6].

Article connexe :Géologie de la Charente.

Le relief est peu prononcé, comme dans toute cette partie occidentale du Massif central. La commune occupe un plateau orienté est-ouest entre les vallées de laVienne au nord et laGraine (ouGrêne), affluent de cette dernière, au sud[2].

Le point le plus bas, 150 m, est situé au bord de la Vienne au nord-ouest de la commune. Le point culminant, 261 m, est situé à 2 km à l'est du bourg, au sud deMachat (borne IGN). Le bourg est à environ 215 m d'altitude[2].

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans larégion hydrographique de « la Loire de la Vienne (c) à la Maine (nc) », une partie dubassin de la Loire, au sein dubassin Loire-Bretagne[7]. Elle est drainée par la Vienne, la Gorre, la Graine, la Judie, le Got du Ris, l'Etang, le Villegoureix et par divers petits cours d'eau, qui constituent unréseau hydrographique de 25 km de longueur totale[8],[Carte 1].

LaVienne borde la commune au nord. D'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source enCorrèze, sur leplateau de Millevaches, dans la commune deVolx et se jette dans laLoire dans laCorrèze, àSaint-Setiers, après avoir traversé 99 communes[9]. Sur le cours de la Vienne, la Montre en rive gauche, et Pilas en rive droite[2], sont d'anciennes îles redevenues terriennes par comblement d'un bras mineur de la Vienne[10].

LaGorre, d'une longueur totale de 39,2 km, prend sa source enHaute-Vienne, dans la commune dePageas, et se jette dans laVienne dans laHaute-Vienne, àSaillat-sur-Vienne, après avoir traversé 10 communes[11].

LaGraine limite la commune sur son flnc sud-ouest. D'une longueur totale de 26,6 km, elle prend sa source enHaute-Vienne, dans la commune deOradour-sur-Vayres, et se jette dans laVienne àChabanais, après avoir traversé 7 communes[12].

Quelques courts ruisseaux temporaires rejoignent ces deux rivières[2].

La commune est limitée à l'est par leruisseau de Villegoureix, qui se jette dans laGorre au nord de la commune, peu avant son confluent de celle-ci dans la Vienne[2].

  • Paysage aux alentours des thermes
    Paysage aux alentours des thermes
  • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Chassenon

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vienne ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin du bassin de laVienne, d'une superficie de 7 060 km2, a été approuvé le1er juin 2006. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Vienne[13]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources eneau superficielle etsouterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE duBassin Loire-Bretagne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le[14].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat de la Nouvelle-Aquitaine etClimat de la Charente.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique altéré, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[15]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfa, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été chaud sans saison sèche[16]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à unclimat océanique altéré[17] et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[18]. Elle est en outre dans lazone H2b au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[19],[20].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de11,9 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de°C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 971 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deSaulgond à 11 km àvol d'oiseau[21], est de12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,7 mm[22],[23]. La température maximale relevée sur cette station est de40,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de−12,8 °C, atteinte le[Note 1].

Pour afficher une liste d’indicateurs climatiques caractérisant la commune aux horizons 2030, 2050 et 2100 et pouvoir ainsi s'adapter aux changements climatiques, entrer son nom dans Climadiag-commune[24], un site de Météo-France élaboré à partir des nouvellesprojections climatiques de référence DRIAS-2020.

Végétation

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La commune est peu boisée avec une essence prédominante de chêne pour les zones les plus couvertes, avec des châtaigniers. Le sol est occupé par des prés séparés entre eux par des haies d'aubépine qui sont destinés à l'élevage d'ovins et de bovins constituant unbocage typique duLimousin.

Si ces zones de pâturages ne sont pas menacées, elles sont néanmoins de plus en plus mises en concurrence avec d'autres activités agricoles nécessitant un accroissement des surfaces exploitées. Un changement qui s'effectue au détriment de la flore dont celle protégée comme les orchidées terrestres.

Urbanisme

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Typologie

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Au, Chassenon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[25].Elle est située hors unité urbaine[26] et hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (76,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,6 %), forêts (19,9 %), prairies (14,6 %),terres arables (6,8 %), zones urbanisées (4 %), eaux continentales[Note 2] (1,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Chassenon est vulnérable à différentsaléas naturels :météorologiques (tempête,orage,neige, grand froid,canicule ousécheresse),inondations etséisme (sismicité faible). Il est également exposé à deuxrisques technologiques, et lerisque industriel et larupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque deradon[30]. Un site publié par leBRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[31].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par lerisque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment laVienne, laGorre et laGraine. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1995 et 1999[32],[30].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chassenon.

Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie. 40 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 553 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 80 sont en aléa moyen ou fort, soit 14 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national auretrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site duBRGM[33],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national descavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[34].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[30].

Risques technologiques

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La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à ladirective européenne SEVESO[35].

La commune est en outre située en aval desbarrages deLavaud-Gelade etVassivière, des ouvrages de classes A[Note 3]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à larupture de cet ouvrage[37].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, leradon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population auxrayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Chassenon est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[38].

Toponymie

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Le nom de Chassenon est attesté dès l'époque romaine :Cassinomagus, auIVe siècle[39]. Les autres formes anciennes sontvicaria Cassenominsse en940-952[40],Cassano,Cassanomayo (non daté)[41].

Le nom de Chassenon serait directement issu dugauloiscassano oucassino qui a donnéchêne en français,chasne enfrancoprovençal etcasse,cassanh/cassanha,chaisne enoccitan, suivi dusuffixe-magos, plaine puis marché. La signification serait donc « le champ des chênes » ou « le marché des chênes ». Le nom peut être aussi issu d'un nom d'homme gauloisCassinus[42].

Langue régionale

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La commune est historiquement dans la partie de la Charente où était parlé, entre autres, le dialecte estlimousin[43]. Elle s’écritChassanom en limousin[44].

Sur la planèteMars, en, l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobileCuriosity de laNASA, est baptisée d'après la commune[45].

Histoire

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À l'époque romaine, Chassenon était un important centregallo-romain situé sur lavoie d'Agrippa de Saintes à Lyon.

Articles détaillés :Cassinomagus etThermes de Chassenon.

AuMoyen Âge, c'était un ancienfief de lafamille de Tryon, en la personne deAymeric de Tryon,chevalier, en1318[46].

Entre leXe et XVIIIe siècles, Chassenon était le siège d'uneviguerie, qui rendait la justice localement. Elle était alors dans lediocèse de Limoges, puis fut rattachée aux six autres vigueries ducomté d'Angoulême, qui en compta une vingtaine de par son extension auXIe siècle.

Au point de vue religieux, laparoisse était dans le diocèse de Limoges[47].

Politique et administration

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La mairie de Chassenon.
Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
 mai 1945Pierre Coldeboeuf  
mai 1945mars 1965André Desnoyés  
mars 1965mars 1989Emile BissirieixPCF 
mars 1989mars 2008Gilles RaynaudPCF 
mars 2008mars 2014Jean-Pierre ReymondDVGretraité du bâtiment
mars 2014mai 2014
(décès)
Christophe Gras[48] ancien responsable financier
mai 2014juillet 2014Jérôme Soulas intérim
juillet 2014mai 2020Patrick Strack agent immobilier
mai 2020en coursJean-Marie Lebarbier  

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[50].

En 2022, la commune comptait 843 habitants[Note 4], en évolution de −3,99 % par rapport à 2016 (Charente : −0,48 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311841184618511856
1 0401 0001 0491 0811 0251 0081 0181 1101 077
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
186118661872187618811886189118961901
1 0221 0499941 0321 0991 1421 1731 1691 176
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190619111921192619311936194619541962
1 1481 1881 0801 0411 1339831 0631 0131 097
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196819751982199019992005200620102015
1 0729821 023964903895894879873
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20202022-------
857843-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puisInsee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 26,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 38,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait442 hommes pour428 femmes, soit un taux de 50,8 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,9 
11,3 
75-89 ans
14,0 
24,4 
60-74 ans
25,4 
18,9 
45-59 ans
19,2 
16,5 
30-44 ans
15,4 
11,7 
15-29 ans
9,7 
16,3 
0-14 ans
14,5 
Pyramide des âges du département de laCharente en 2021 en pourcentage[54]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

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Commerces

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Une boulangerie-pâtisserie est située sur la voie principale du bourg.

Un salon de coiffure à côté de la place de la mairie propose ses services pour un public mixte.

Lemarché des délices locaux réunit différents commerçants ambulants sous les marronniers de la place de l'Église le premier dimanche de chaque mois. Les participants sont principalement des entreprises locales. Ce marché existe depuis 2021 grâce à l'initiative du Comité des fêtes. Il laisse sa place ou s'associe, en fonction du calendrier, avec le marché aux fleurs et lemarché de Noël.

Ledomaine de la Grange de Quayre est une ancienne demeure rénovée en chambres d'hôtes proposant un service d'hébergement local.

Le bar-restaurant qui faisait office de lieu de restauration pour les habitants comme pour les touristes, en visite aux thermes de Cassinomagus, est dans l'attente d'un repreneur.

Auberge romaine de Chassenon

Équipements, services et vie locale

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Enseignement

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Le secteur du primaire et ducollège est Chabanais[55].

Le secteur du lycée est Confolens.

Installations

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La commune possède un terrain de football et un parc de jeu pour enfants comportant une table de ping-pong et une machine de fitness.

Une agence dela Poste est présente dans le bourg, au 8 route de Saillat.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine civil

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Agglomération gallo-romaine
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Article détaillé :Thermes de Chassenon.

Les thermes de Chassenon, dits de Longeas, au sud-est de Chassenon, sont construits sur une période d'environ 90 ans, entre approximativement l'an 90 et l'an 180 (Haut-Empire romain).

À cette époque,Cassinomagus est une agglomération secondaire de type urbain ; son centre d'attraction est lesanctuaire entourant son grandtemple, bientôt assorti d'un des plus grands thermes de Gaule et d'un grand amphithéâtre.

L'amphithéâtre, connu depuis leXIXe siècle[56], est classé MH depuis 1936[57].

La nature des thermes antiques n'est reconnue qu'en 1961 ; auparavant, lescaves de Longea (en fait les soubassements des thermes) étaient vus comme les caves d'un grand palais. Mais le site des thermes est néanmoins classémonument historique depuis1959[58].Il appartient auconseil départemental de la Charente depuis1983[réf. nécessaire]. Il figure parmi les édifices thermaux antiques les mieux conservés de laGaule.

Le 21 septembre 1987, les thermes de Longeas, le temple de Montélu et l'amphithéâtre du Bourg sont conjointement classésmonuments historiques ; et le forum, les petits temples, l'aqueduc et les carrières gallo-romaines du lieu-dit les Mouillères sont réunis en une inscription globale en tant quemonuments historiques[59].

L'ensemble de l'agglomération gallo-romaine fait l'objet de recherches historiques et archéologiques avancées depuis plusieurs dizaines d'années (voir l'article « Cassinomagus »).

Lesthermes de Chassenon
Autres monuments anciens
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Plusieurs châteaux et logis sont mentionnés sur la commune[60] :

Pierre commémorative de la loi de 1901
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Ce mégalithe artificiel a été érigé le 9 juin 2001 commémorant le centenaire de la loi de 1901. Cette érection a pour but de célébrer le passage de IIe au IIIe millénaire.

Patrimoine religieux

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  • L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, construite en pierre de météorite comme les thermes, date duXIVe siècle[61].
La sculpture juste au-dessus de l'arc de décharge de la porte d'entrée (photo ci-contre) a une iconographie curieuse : le Christ avec les bras en croix, mais sans croix[62] (caractéristique qui se retrouve en quelques autres endroits[Note 5] vers leXe siècle et le début duXIe siècle[63]), est encadré par les deux soldats[62] fréquemment illustrés depuis la fin duVIe siècle[63] : Longin à droite portant la lance (ici à flamme lozangique et ailerons), et Stéphaton à gauche présentant l'éponge au bout d'une lance[62]. Cette sculpture est la seule connue en France où ces deux personnages ont ces positions ; partout ailleurs dans ce pays, Longin est à gauche et Stéphaton à droite[63].
À gauche et un peu en dessous de ce bas-relief, un autre est encastré dans la façade. Celui-ci est très endommagé et difficilement lisible.Pierre Beaumesnil le décrit comme trois personnages, l'un armé d'une massue ou d'un couteau s'apprêtant à frapper une femme à genoux devant lui et le troisième personnage debout faisant face aux deux premiers ;Michon y voit uneAnnonciation, avec la femme à genoux représentant un ange etMarie en face séparée de l'ange par unprie-dieu ; Duléry[62] y voit deux druides soutenant par les bras une troisième personne enlacée d'osiers, s'apprêtant à la jeter en sacrifice àTeutatès[64] ; V. H. Ducourtieux et A. Précigou y voient uneAdoration des mages[65].
  • Bas-relief à gauche de l'arc de décharge de la porte d'entrée de l'église.
    Bas-relief à gauche de l'arc de décharge
    de la porte d'entrée de l'église.
  • Vue d'ensemble.
    Vue d'ensemble.
  • Église Saint-Jean-Baptiste, sculpture au-dessus de la porte d'entrée : épisode de la Passion
    Église Saint-Jean-Baptiste,
    sculpture au-dessus de la porte d'entrée : épisode de laPassion

Patrimoine naturel

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Personnalités liées à la commune

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  • L'abbé Michon, archéologue qui a engagé les premières fouilles du site gallo-romain en 1844[56]
  • Jean-Henri Moreau, archéologue qui a fouillé les thermes en 1958 et fondateur desAmis de Chassenon
  • comteCharles de Tryon, officier et diplomate, né en 1773 au château de Salles.
  • Famille de Tryon.
  • comte Mathieude Courcy, officier et maire de Chassenon. Admis en 1783 aux honneurs de la Cour, il est un proche de la famille Royale. Les souverains signent son contrat de mariage. Il épouse la fille ducomte de Sanois. Il a pour ParrainMathieu-François Molé, Premier Président du Parlement de Paris. L’une de ses filles Françoise-Cornelie épousera Le comteCharles de Tryon.

Héraldique

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Article détaillé :Armorial des communes de la Charente.
Blason de ChassenonBlason
De sinople à la fontaine d'or jaillissante d'argent accostée de deux colonnes antiques aussi d'or[67].
Détails
Adopté en 2015.
Auteur(s)
J.-F. Binon

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au.
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[36].
  4. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  5. Autres représentations montrant le christ bras en croix et sans croix : le christ de la fresque de Saint-Pierre-les-Eglises (Chauvigny, Vienne), daté entre 782 et 984 ; un graffiti de la seconde moitié duXe siècle sur une paroi de l'aula deDoué-la-Fontaine (Maine-et-Loire) ; nombreuses miniatures et ivoires jusqu'au début duXIe siècle[63].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Chassenon » surGéoportail(consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », surinfoterre.brgm.fr(consulté le).
Notes sur la démographie

Références

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  3. a etb« Chassenon », surgoogle.fr/maps. Les distances par route entre deux points donnés sont calculées dans le panneau latéral (voir l'onglet en haut à gauche de l'écran) – cliquer sur "Itinéraires".
  4. Jean-HippolyteMichon (préf. Bruno Sépulchre),Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p.(lire en ligne),p. 19, 176, 180.
  5. a etb« Géologie de Chassenon, carte interactive » surGéoportail..
  6. [Chèvremontet al. 1996] Philippe Chèvremont, J-P Floch, F Ménillet, J-M Stussi, R Delbos, B Sauret, J-L Blés, C Courbe, D Vuaillat et C Gravelat, « Notice de la carte géologique à 1/50 000 de Rochechouart », surficheinfoterre.brgm.fr,BRGM,(ISBN 2-7159-1687-6, consulté le),p. 173.
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  9. Sandre, « la Vienne »
  10. Laurent Pelpel, « Les îles de la Vienne », suramis-chassenon.org(consulté le).
  11. Sandre, « la Gorre »
  12. Sandre, « la Graine »
  13. « SAGE Vienne », surgesteau.fr(consulté le).
  14. « Caractéristiques du SDAGE Loire-Bretagne 2022-2027 », sursdage-sage.eau-loire-bretagne.fr(consulté le).
  15. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
  16. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012,lire en ligne, consulté le)
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  19. « Réglementation environnementale RE2020 », surecologie.gouv.fr,(consulté le)
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  21. « Orthodromie entre Chassenon et Saulgond », surfr.distance.to(consulté le).
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  24. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », surMétéo-France,(consulté le)
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  35. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », surcharente.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque industriel.
  36. Article R214-112 du code de l’environnement
  37. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », surcharente.gouv.fr(consulté le), chapitre Risque rupture de barrage.
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  39. Table de Peutinger
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  52. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
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  54. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) »,(consulté le).
  55. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles », surweb16.ac-poitiers.fr(consulté le).
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  57. « Amphithéâtre », noticeno PA00104285, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  58. « Thermes de Chassenon », noticeno PA00104287, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  59. « Centre rural gallo-romain (vestiges archéologiques) », noticeno PA00104286, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture. Noter que l'appellation "centre rural" est en contradiction avec les résultats de toutes les recherches archéologiques faites depuis plus de cent ans, ainsi que de la compréhension populaire depuis bien plus longtemps : un "palais" ne peut qu'être accompagné d'un groupement d'habitat relativement conséquent, et en tout état de cause il n'est certainement pas situé "en espace rural".
  60. Jean-PaulGaillard,Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p.(OCLC 908251975,présentation en ligne),p. 221-224
  61. Jean-HippolyteMichon (préf. Bruno Sépulchre),Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p.(lire en ligne),p. 270
  62. abc etdBourgeoiset al. 2006,p. 236.
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  66. La réserve naturelle nationale FR3600169 - Astroblème de Rochechouart-Chassenon sur le site de l'INPN[2]
  67. Armorial de France, p. 15279

Voir aussi

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Bibliographie

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  • [Bourgeoiset al. 2006] Luc Bourgeois, Claude Andrault-Schmitt et André Berland, « Saint-Jean-Baptiste de Chassenon (Charente) : archéologie monumentale de la modeste église paroissiale d'un site prestigieux »,Revue Historique Du Centre Ouest,‎(lire en ligne [suracademia.edu]).Document utilisé pour la rédaction de l’article

Articles connexes

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Liens externes

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