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Chamoson

46° 12′ 00″ nord, 7° 13′ 00″ est
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Chamoson
Chamoson
Le village de Chamoson vu depuisNendaz.
Blason de Chamoson
Armoiries
Chamoson
Logo
Administration
PaysDrapeau de la SuisseSuisse
CantonDrapeau du canton du ValaisValais
DistrictConthey
Localité(s)Grugnay,Saint-Pierre-de-Clages, Les Vérines, Némiaz, Chatelard, Les Mayens-de-Chamoson
Communes limitrophesLeytron,Riddes,Nendaz,Ardon,Conthey,Bex
PrésidentReynald Blanchut (Parti libéral-radical)
NPA1955
No OFS6022
Démographie
GentiléChamosard
Population
permanente
4 178 hab.(31 décembre 2022)
Densité129 hab./km2
LangueFrançais
Géographie
Coordonnées46° 12′ 00″ nord, 7° 13′ 00″ est
Altitude650 m
Superficie32,47 km2
Localisation
Carte de la commune
 
Géolocalisation sur la carte :Suisse
Voir sur la carte topographique de Suisse
Chamoson
Géolocalisation sur la carte :Suisse
Voir sur la carte administrative de Suisse
Chamoson
Géolocalisation sur la carte :canton du Valais
Voir sur la carte administrative du canton du Valais
Chamoson
Liens
Site webwww.chamoson.net
Sources
Référence population suisse[1]
Référence superficie suisse[2]
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Chamoson (/ʃamɔzɔ̃/) est unecommune suisse ducanton du Valais, située dans ledistrict de Conthey, entre les villes deMartigny (17 km) et deSion (12 km).

Géographie

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Le territoire de la commune vu depuisNendaz.

Situation générale

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Le territoire de Chamoson s'étend sur 32,47 km2[2]. Lors du relevé de 2013-2018, les surfaces d'habitations et d'infrastructures représentaient 8,1 % de sa superficie, les surfaces agricoles 23,4 %, les surfaces boisées 31,7 % et les surfaces improductives 36,8 %[3].

Au nord, leGrand Muveran fait office de frontière avec la commune deBex dans lecanton de Vaud. Le massif du Haut de Cry fait office de frontière avec la commune deConthey. À l'est, le rocher duCy de Grü et le pied du coteau font office de frontière avec la commune d'Ardon. Au sud, leRhône crée la frontière avec les communes deNendaz et deRiddes. Enfin, à l'ouest, la rivièreLosentse fait office de frontière avec la commune deLeytron.

Localités

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La commune comporte plusieurs localités, la principale étant bien-entendu Chamoson, au sommet du cône d'alluvions de la Losentse, avec 2 360 habitants recensés.

Juste au-dessus de ce village, se situe le hameau duGrugnay avec 203 habitants recensés. Au pied du coteau s'étendSaint-Pierre-de-Clages (604 habitants), célèbre pour son église romane. Sur le flanc du Haut de Cry, les deux hameaux d’Azerin et deNémiaz totalisent 117 habitants. Entre la Losentse et son affluent, le torrent de Cry, le hameauLes Vérines abrite 236 personnes. Enfin, le hameau deChâtelard se situe à l'Ardève, tandis que sur les hauteurs, proche de la limite communale avecLeytron, on trouve lesMayens de Chamoson, avec 302 habitants.

Les indications de population datent du recensement 2016[4].

Hydrographie

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Comme pour la majorité des communes du Valais, le territoire de Chamoson se trouve entièrement sur le bassin versant du Rhône.

Le cours d'eau principal, laLosentse, prend sa source à l'étang de la Forcla situé au pied du Pacheu. Elle compte trois affluents : le Grand Tsené, s'écoulant depuis la Pointe de Chemo, le torrent de Cry et le Tsené (anciennement torrent de Saint-André ou Merdesson) en provenance du Haut de Cry[5].

Montagnes

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La commune de Chamoson est délimitée par de nombreux sommets de montagnes : L'Ardève (1 501 m), le Grand Muveran (3 051 m), la Tête aux Veillon (2 846 m), Le Pacheu (2 798 m), la Tita Naire (2 701 m), les Pointes de Tsériés (2 753 m), le Haut de Cry (2 969 m), la Tête de Vertsan (2 563 m), les Ancillons (1 640 m), la Routia (1 306 m) et le Cy de Grü (746 m).

Les quelques montagnes situées entièrement sur la commune sont : la Pointe de Chemo (2 626 m), laDent de Chamosentse (2 721 m), le Sécheralle (2 522 m) et la Tita di Larzes (2 038 m)[6].

Toponymie

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Le nom de la commune, qui se prononce/ʃamɔzɔ̃/, désigne par ellipse un domaine appartenant à une personne nommée Camusius ou Camusio[7].

Son anciennom allemand estTschamboss[8].

Histoire

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Vue aérienne (1955).

On est incapable de dater la création de ce village, la plus ancienne découverte est une hache-ciseau enamphibolite calcique découverte au lieu-dit La Posse, datant du5e millénaireav. J.-C.[9]. Des habitats en terrasses datant de la période de l'âge duBronze final ont été mis au jour sur le haut du cône des Lumeires[10].

Des vestiges devilla gallo-romaine ont été trouvés également, les archéologues s'accordant à décréter que c'est là que se trouvait un lieu de villégiature pour les habitants deSedunum : campus amasorium (camp d'amusement)[11].

En 999, le roi Rodolphe III de Bourgogne cède les villages de Chamoson,Ardon etSaint-Pierre-de-Clages à l'évêque de Sion[11].

Durant le Moyen Âge, Ardon et Chamoson forment une même seigneurie, qui au fil des luttes va appartenir tantôt à l'évêque de Sion, tantôt à la maison de Savoie.

Vers 1230, de nombreux écrits font référence à la construction d'une fortification à Chamoson par l'évêque Landry de Mont, bâtisseur du château de la Soie[12]. Lors du traité du, le comteAmédée IV de Savoie reconnaît la propriété de ces deux châteaux à l'évêché de Sion, puis il est cédé en 1260 àPierre II de Savoie. En 1266, pour réduire les coûts d'entretien, le château de Chamoson est partiellement démantelé[13]. Il est remis en état deux ans plus tard par l'évêché lorsquePhilippe Ier de Savoie le restitue[14].

Lors de l'année 1384, Amédée VII massacre la garnison du château du Crest à Ardon. Les défenseurs de Chamoson préfèrent se rendre sans opposer de résistance et se voient rattachés à la Savoie. Le château est démantelé durant cette période. Après la bataille de la Planta, en 1475, le Prince-évêque de Sion reprend le contrôle de cette région[14].

Le, une importante lave torrentielle a déferlé sur Chamoson après un orage[15],[16].

Population et société

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Gentilé et surnom

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Les habitants de la commune se nomment les Chamosards[17] (lé Tsamozâ enpatois valaisan[8]). Ils sont surnomméslé Leu, soit les loups[8], en raison de leur appétit insatiable[18].

Démographie

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Évolution de la population

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Chamoson compte 4 178 habitants au 31 décembre 2022 pour unedensité de population de 129 hab/km2[1]. Sur la période 2010-2019, sa population a augmenté de 27,6 % (canton : 10,5 % ;Suisse : 9,4 %)[2].

Évolution de la population de Chamoson entre 1850 et 2020[19],[1]

Pyramide des âges

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En 2020, le taux de personnes de moins de30 ans s'élève à 30,4 %, au-dessous de la valeur cantonale (31,7 %). Le taux de personnes de plus de60 ans est quant à lui de 26,8 %, alors qu'il est de 26,6 % au niveau cantonal[20].

La même année, la commune compte 1 989 hommes pour 1 997 femmes, soit un taux de 49,9 % d'hommes, supérieur à celui du canton (49,6 %)[20].

Pyramide des âges de Chamoson en 2020 (%)[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ans ou +
1,0 
7,1 
75 à 89 ans
9,3 
17,2 
60 à 74 ans
18,4 
21,0 
45 à 59 ans
20,5 
22,4 
30 à 44 ans
21,7 
15,9 
15 à 29 ans
12,6 
15,8 
- de 14 ans
16,5 
Pyramide des âges dans lecanton du Valais en 2020 (%)[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ans ou +
1,2 
7,5 
75 à 89 ans
9,4 
16,8 
60 à 74 ans
17,7 
22,2 
45 à 59 ans
21,7 
20,3 
30 à 44 ans
19,4 
17,7 
15 à 29 ans
16,6 
14,9 
- de 14 ans
14,1 

Politique

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Le conseil communal comporte 5 élus. L'actuel est composé de : Claude Crittin (président), Sandra Maillard-Koller (vice-présidente), Christophe Bessero, Stéphane Giroud et Luc Monsciani[21].

Au niveau cantonal, la commune n'a jamais eu d'élus au Conseil d'état. 32 habitants ont eu la chance de siéger au Grand Conseil, dont 4 l'ont même présidé : Albert Delaloye (1932-1934), Robert Carrupt (1958-1960), Albert Biollaz (1966-1968) et Charles-Marie Crittin (1973-1974)[22].

Au niveau fédéral, la commune compte 3 personnes ayant été élues conseillers nationaux :Camille Crittin (1928-1959),Antoine Favre (1943-1959) etFélix Carruzzo (1959-1979)[23].

Économie

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Viticulture

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Chamoson est la plus grande commune viticole du Valais, avec ses427 hectares de vignes. Le terroir de Chamoson est réputé idéal pour lesylvaner, dont résulte un vin appelé Johannisberg.

Activité minière

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Une mine de fer, à Chamoson, produisait la « chamosite ». Au tout début duXIXe siècle, Pinson et Liotard en sont les premiers propriétaires connus. En 1814, un ingénieur français de mines, Émile Gueymard, signale ici de nombreuses scories qui attestent une exploitation ancienne. En 1820, un autre ingénieur des mines, Pierre Berthier, précise que ce minerai est formé de sous-silicate de fer, de sous-silicate d'alumine, et d'eau, une composition qui ne semble pas attestée ailleurs. Berthier propose donc d’appeler ce minerai « chamosite » du nom du lieu de sa découverte.

Jusqu’en 1857, le minerai est transporté par luges, puis par chars à bœufs jusqu'aux forges d'Ardon. En 1855, ce filon produit 1 500 tonnes de minerai, mais les prix d'extraction augmentant, il n’est bientôt plus rentable. L'exploitation est interrompue en 1857.

Une nouvelle concession est accordée en 1936 et l'exploitation reprend en 1941, le transport se faisant désormais en partie au moyen d'un téléphérique. Mais la société qui se charge de l’exploitation est mise en sursis concordataire en 1944, quelques jours avant qu'une avalanche emporte une partie des installations. En outre, en 1945, le Conseil fédéral interdit l'usage du bois local pour traiter le minerai. La liquidation est donc prononcée et la fermeture définitive de la mine intervient le. Seuls quelques vestiges attestent encore cette activité qui fut un temps importante[24].

Dans un tout autre domaine, une découverte en 1980 a révélé un four à goudron végétal dans un abri sous roche au pied de l'Ardève. Cette installation exceptionnelle, la seule connue à ce jour en Suisse romande, se situe dans un bois à 750 mètres d'altitude, au haut d'une vigne sur la rive droite de la Losentze. Il n'y a pas pour l'instant d'éléments permettant sa datation[25].

Culture et patrimoine

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Patrimoine bâti

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Église paroissiale Saint-André. Édifice de structure basilicale à trois nefs, néogothique, avec transept et chœur polygonal. Construite en 1928-1930 par l'architecteLucien Praz. Le clocher, conservé de l'ancienne église, présente une flèche pyramidale et date de 1751-1752 (millésimé sur les fers qui ceinturent le sommet du clocher). À l'intérieur de l'église, la mosaïque ornant l'abside, les peintures murales dans la nef, ainsi que les vitraux datent de 1928-1930 et sont dus àEdmond Bille[26].

  • Chamoson, église paroissiale, clocher.
    Chamoson, église paroissiale, clocher.
  • Chamoson, église paroissiale, vue du sud.
    Chamoson, église paroissiale, vue du sud.
  • Chamoson, église paroissiale, vue vers le chœur.
    Chamoson, église paroissiale, vue vers le chœur.
  • Chamoson, église paroissiale, vue du chœur.
    Chamoson, église paroissiale, vue du chœur.

Village. Maisons de pierre, en partie ornées de décors peints duXIXe siècle. Maison paysannes. École bâtie en 1920-1940 par les architectesLucien Praz etRobert Tronchet dans le goûtHeimatstil valaisan[26].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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BlasonBlasonnement :
« Écartelé d'argent et degueules[27]. »

Les armoiries de Chamoson sont attestées sur une pierre sculptée en façade de l'ancienne maison de commune de 1650. Elles auraient été les armes des seigneurs de Chamoson, l'argent remplaçant l'or[28].

Voir aussi

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Fonds d'archives

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  • Fonds : Chamoson, Commune (1304-1964) [24 mètres]. Cote : CH AEV, AC Chamoson. Sion : Archives de l'État du Valais(présentation en ligne).

Liens externes

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Références

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  1. ab etc« Bilan démographique selon le niveau géographique institutionnel »Accès libre, surOffice fédéral de la statistique(consulté le).
  2. ab etc« Portraits régionaux 2021: chiffres-clés de toutes les communes »Accès libre[xls], surOffice fédéral de la statistique(consulté le).
  3. Office fédéral de la statistique, « Statistique de la superficie standard - Communes selon 4 domaines principaux »Accès libre[xls], surwww.bfs.admin.ch,(consulté le).
  4. « chamoson.net/commune/populatio… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  5. cartes nationale suisse n° 1305
  6. cartes nationale suisse n° 1305 et n° 1306
  7. cs, « Chamoson »Accès libre, surtoponymes.ch.
  8. ab etcPaul Fehlmann,Ethniques, surnoms et sobriquets des villes et villages en Suisse romande, Haute-Savoie et alentour, dans la vallée d'Aoste et au Tessin,Genève, Jullien,, 274 p.(ISBN 2-88412-000-9),p. 24
  9. Pierre Pétrequin, Christophe Croutsch et Michel Errera,Approche des productions valaisannes en amphibolite calcique (néphrite),, Jade,.
  10. Pugin et Corboud,Le Valais avant l’histoire : 14 000 av. J.-C. -47 apr. J.-C., -Gallay A.,.
  11. a etbJ-E Tamini, Pierre Délèze et Paul de Rivaz,Essai d'Histoire d'Ardon, Chamoson et Saint-Pierre-de-Clages, Editions à la Carte,, 168 p.(ISBN 2-88464-757-0).
  12. Louis Blondel et André Donnet,Châteaux du Valais, Walter,, 293 p..
  13. Daniel Masotti,Le château de Chamoson ou la forteresse perdue, Association d'Études militaires de Saint-Maurice,.
  14. a etbDaniel Masotti,Le château disparu de Chamoson, Pro Castrum,, 41 p..
  15. info sur rts.ch
  16. la lave torrentielle de Chamoson sur YouTTube
  17. Charles Knapp (dir.),Dictionnaire géographique de la Suisse,vol. 6 : Toffen - Zybachsplatte, Neuchâtel,Victor Attinger, 1902-1910,p. 191[détail des éditions][lire en ligne (page consultée le 17.11.2022)]
  18. Raphy Rappaz,Les sobriquets des localités du Valais romand, Sion, Éditions Fiorina,,3e éd., 290 p.,p. 31
  19. « Évolution de la population des communes 1850-2000 »Accès libre, surOffice fédéral de la statistique,(consulté le).
  20. abc etd« Population résidante permanente et non permanente selon les niveaux géographiques institutionnels, la nationalité (catégorie), le lieu de naissance, le sexe et la classe d'âge »Accès libre, surOffice fédéral de la statistique(consulté le).
  21. « Le conseil communal - légistalture 2021-2024 :: Commune de Chamoson », surwww.chamoson.net(consulté le)
  22. Fernand Crittin,Chamoson à travers les âges, Editions à la Carte,, 256 p.(ISBN 978-2-88924-281-8)
  23. « Recherche Députés », surparlament.ch(consulté le).
  24. Vincent Quartier-la-Tente, « Un minerai de fer au nom d’un village valaisan »,Passé simple,no 45,‎,p. 21-23.
  25. Vincent Quartier-la-Tente, « Un four à goudron végétal à Chamoson »,Passé simple,no 65,‎,p. 17-18.
  26. a etb(de) Hans Jenny (dir.),Kunstführer durch die Schweiz : Genf, Neuenburg, Waadt, Wallis, Tessin,vol. 2, Zurich, Société d’histoire de l’art en Suisse /Büchler Verlag,, 725 p.(ISBN 3-7170-0165-5),p. 373.
  27. « Chamoson », surwww.aveg.ch(consulté le).
  28. Armorial valaisan, Zurich, Orell Fuessli,, 304 p.(présentation en ligne,lire en ligne),p. 56.
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