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Chamant

49° 13′ 14″ nord, 2° 36′ 42″ est
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Page d’aide sur l’homonymie

Pour les articles homonymes, voirChamant (homonymie).

Chamant
Chamant
La mairie
Administration
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionHauts-de-France
DépartementOise
ArrondissementSenlis
IntercommunalitéCC Senlis Sud Oise
Maire
Mandat
Philippe Charrier
2020-2026
Code postal60300
Code commune60138
Démographie
Population
municipale
1 037 hab.(2022en évolution de +14,08 % par rapport à 2016)
Densité86 hab./km2
Géographie
Coordonnées49° 13′ 14″ nord, 2° 36′ 42″ est
AltitudeMin. 57 m
Max. 117 
m
Superficie12 km2
TypeCeinture urbaine
Unité urbaineSenlis
(banlieue)
Aire d'attractionParis
(commune de la couronne)
Élections
DépartementalesCanton de Senlis
Législatives4e circonscription de l'Oise
Localisation
Géolocalisation sur la carte :France
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Chamant
Géolocalisation sur la carte :France
Voir sur la carte administrative de France
Chamant
Géolocalisation sur la carte :Oise
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Chamant
Géolocalisation sur la carte :Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Chamant
Liens
Site webchamant.fr/
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Chamant est unecommune française située dans ledépartement de l'Oise enrégionHauts-de-France.

Géographie

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Description

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Chamant se situe dans le sud dudépartement de l'Oise, dans leValois, à la lisière sud-est de laforêt d'Halatte, sur l'ancienneroute nationale 32, l'actuelle RD 932a, jouxtant au nord-estSenlis.

Il est traversé par l'autoroute A1, dans un sens nord-est - sud-ouest, à 200 m au sud-est de Balagny-sur-Aunette. Un péage autoroutier se situe par ailleurs à Chamant.

Paris est éloigné de 50 km environ par l'autoroute, et l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle de 25 km. Chamant est proche deCreil et son agglomération, à 13 km.

Le plus bas de la commune, à 57 m au-dessus du niveau de la mer, à la sortie de l'Aunette du territoire communal. Le point le plus haut, à 116,4 m, est au poteau des Blancs Sablons. Le relief est peu varié en dehors de la nette dépression le long de la vallée de l'Aunette. L'on constate une augmentation progressive de part et d'autre de cet axe nord-est - sud-ouest.

Louis Graves décrivait le territoire communal au début duXIXe siècle comme « traversé du nord-est au sud-ouest, dans sa région moyenne, par la vallée d'Onette. Laforêt de Halatte couvre une partie de la région nord ; tout le reste du pays est employé à la production des céréales.
Cette commune peut être considérée comme formée de deuxsections depuis qu'on lui a réuni celle de Balagny[1] ».

Communes limitrophes

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Avec une superficie de12 km2, le territoire de Chamant est plus étendu qu'une commune moyenne de l'Oise, qui ne fait que8,46 km2[2], mais est pour moitié plus petit que celui de Senlis, qui fait 24,05 km2.

Ainsi, bien que Senlis se situe au sud-ouest de Chamant, les deux communes se côtoient sur 7,8 km2, soit 46 % environ de la circonférence de Chamant. De ce fait, Senlis est limitrophe aussi bien au nord et au sud qu'à l'ouest. Par contre,Villers-Saint-Frambourg ne touche à Chamant que sur moins de 1 100 m, etBarbery sur moins de 1 400 m. Au poteau des Blancs-Sablons en forêt d'Halatte, à l'extrémité nord-ouest du territoire communal, quatre communes se rencontrent : Senlis, Chamant, Villers-Saint-Frambourg etFleurines, sans que cette dernière commune soit toutefois limitrophe de Chamant.

Une autre particularité est à signaler : la forêt communale de Chamant, au sud dutemple gallo-romain de la forêt d'Halatte, est située sur le territoire d'Ognon[3].

Communes limitrophes deChamant
Villers-Saint-Frambourg
Ognon
ChamantBarbery
SenlisMont-l'Évêque

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans lebassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aunette[4],[Carte 1].

L'Aunette, d'une longueur de 14 km, prend sa source dans la commune deRully et se jette dans laNonette àSenlis, après avoir traversésix communes[5]. Il est presque entièrement situé sur des propriétés privés inaccessibles au public, et ne peut être aperçu que depuis les ponts. Seul à l'ouest du vieux pont de Chamant, un sentier permet de découvrir l'Aunette sur une petite distance.

  • L'Aunette
  • Le vieux gué-abreuvoir sur l'Aunette, à côté du pont.
    Le vieux gué-abreuvoir sur l'Aunette, à côté du pont.
Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Chamant[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

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Le territoire communal est couvert par leschéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Sensée ». Ce document de planification concerne un territoire de 413 km2 de superficie, délimité par lebassin versant de laNonette et de ses deux principaux affluents, laLaunette et l'Aunette. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le, puis révisé le. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le syndicat Interdépartemental du SAGE de la Nonette[6].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par lesagences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

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Pour des articles plus généraux, voirClimat des Hauts-de-France etClimat de l'Oise.

Plusieurs études ont été menées afin de caractériser les types climatiques auxquels est exposé le territoire national. Les zonages obtenus diffèrent selon les méthodes utilisées, la nature et le nombre des paramètres pris en compte, le maillage territorial des données et la période de référence. En 2010, le climat de la commune était ainsi de typeclimat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude duCentre national de la recherche scientifique (CNRS) s'appuyant sur une méthode combinant données climatiques et facteurs de milieu (topographie, occupation des sols, etc.) et des données couvrant lapériode 1971-2000[7]. En 2020, le climat prédominant est classé Cfb, selon laclassification de Köppen-Geiger, pour la période 1988-2017, à savoir un climat tempéré à été frais sans saison sèche[8]. Par ailleursMétéo-France publie en 2020 une nouvelle typologie desclimats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre leclimat océanique et leclimat océanique altéré[9] et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[10]. Elle est en outre dans lazone H1a au titre de laréglementation environnementale 2020 des constructions neuves[11],[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de10,8 °C, avec uneamplitude thermique annuelle de14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec10,4 jours de précipitations en janvier et7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur lastation météorologique deMétéo-France la plus proche, sur la commune deCreil à10 km àvol d'oiseau[13], est de11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,2 mm[14],[15]. La température maximale relevée sur cette station est de41,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de−21,6 °C, atteinte le[Note 2].

Milieux naturels et biodiversité

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La RD 932a se présente encore sous la forme d'une allée,structurant positivement le paysage[réf. souhaitée]. Plus d'un tiers du territoire de Chamant est occupé par laForêt d'Halatte, et les petits bois privés sont nombreux. Ils se trouvent notamment sur le terrain des deuxharas du Plessis-Chamant et dans la vallée de l'Aunette. Par contre, au-delà de l'autoroute, la nature du paysage change radicalement : Les grandes surfaces agricoles n'y laissent pas la place aux arbres.

Chamant était situé dans leparc naturel régional Oise-Pays de France, qu'elle quitte en 2019[16].

Lazone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) type 1 numéro national 220005064 « Massif forestier d'Halatte[17] » couvre à Chamant la forêt d'Halatte et un bois privé au nord du Plessis-Chamant. Sur la commune, la zone protégée au titre de la ZNIEFF correspond ausite naturel classé de la forêt d'Halatte et de ses glacis agricoles (classement par décret du)[18].

En outre, l'ensemble de la commune de Chamant fait partie dusite naturel inscrit de la vallée de laNonette (inscription par décret du)[19]. Ce site inscrit a préfiguré le parc naturel régional, son découpage étant à peu près identique avec la partie du parc située dans l'Oise. Finalement, Chamant compte un site inscrit d'origine plus ancienne, faisant double emploi avec le site inscrit de la vallée de la Nonette. Il s'agit du parc du château de Chamant, inscrit par arrêté du, pour une superficie de60 ha environ, correspondant au triangle délimité par la chaussée Pontpoint, la RD 932a et l'avenue du Maréchal-Foch. Cette protection n'a pas empêché la démolition du château du Plessis-Chamant en 1960. Propriété privée, le site n'est pas accessible au public[20].

Urbanisme

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Typologie

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Au, Chamant est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[21].Elle appartient à l'unité urbaine de Senlis[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 4],[22],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (42,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (41,3 %), forêts (35,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,8 %), prairies (5,8 %), zones urbanisées (4,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[23]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts

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Vue sur Balagny-sur-Aunette depuis le chemin ruralno 19 en direction de Chamant.

La commune de Chamant se compose du bourg ainsi que de troishameaux : le Poteau, à la sortie de Senlis sur la RD 932a, le Plessis-Chamant, entre le bourg et la lisière de la forêt d'Halatte et Balagny-sur-Aunette, au nord-est.

Le hameau de Malgenest a disparu et ne reste plus qu'un lieu-dit à mi-chemin entre Chamant etOgnon.

Habitat et logement

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En 2018, le nombre total delogements dans la commune était de 458, alors qu'il était de 432 en 2013 et de 413 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 84,9 % étaient desrésidences principales, 8,1 % des résidences secondaires et 7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 81,7 % d'entre eux desmaisons individuelles et pour 17,2 % desappartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chamant en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion derésidences secondaires et logements occasionnels (8,1 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 72,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (73,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Chamant en 2018.
TypologieChamant[I 2]Oise[I 5]France entière[I 6]
Résidences principales (en %)84,990,482,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)8,12,59,7
Logements vacants (en %)77,18,2

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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Chamant, limitrophe deSenlis, bénéficie de son réseau routier.

La sortie la plus proche de l'Autoroute A1, qui traverse la commune, est la sortieno 8 située pour partie sur le territoire de Chamant.

Chamant est desservie par le tracé initial de l'ancienneRN 32 (actuelle RD 932A) qui relieSenlis àCompiègne etNoyon.

L'ancienneRN 324 (actuelle RD 1324) Senlis -Crépy-en-Valois constitue la limite sud de la commune pendant 1 600 m, et l'ancienneRN 17 (actuelle RD 1017) constitue la limite ouest de la commune sur 1 050 m.

Transports en commun

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Chamant ne dispose pas de gare.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 641 et 6221 duréseau interurbain de l'Oise[24].

Toponymie

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La localité a été désignée commede Camano villa (Xe)[25] ;apud villam Camante (1129)[25] ;Camante villa (1129)[25] ;Camant (1129)[1] ;Chament[1] (1130) ;molendinum de Camant (1131)[25] ;Chaman (1180)[1] ;Chamantum (1182)[1] ;ecclesiam de Chamanto (1182)[25] ;de Chamento (1270) ;Camentum[1] (1370) ;Chamentum[1] (1370) ;Chamans[1] (vers 1520) ;de Chamanto (XVIe)[25] ;Chamont (1667) ;Chamant (1840)[25].

Histoire

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SelonLouis Graves, « Chamant était une desparoisses primitives de l'évêché de Senlis. Quelques auteurs l'ont prise pour le lieu appelé Chanaan (Charma) dans la vie desaint Rieul où il est dit que ce saint, venant à Beauvais, s'arrêta lorsqu'il apprit le martyre desaint Lucien ; mais cette opinion, fondée sur la ressemblance des noms, est dépourvue de preuves. Chamant n'est nullement dans la direction de Senlis à Beauvais, et se trouve éloigné de l'Oise, tandis que Chanaan en était voisin.
L'évêque de Senlis avait laseigneurie
L'église était une de celles dont le patronage fut confirmé auchapitre cathédral par labulle du papeLuceIII donnée le àVelletri.
Le clergé de Senlis y venait quelquefois en procession dans les occasions critiques. Le dimanche après l'Assomption de l'année 1592, l'évêque Jean Dieudonné s'y rendit solennellement accompagné du chapitre, des collégiales, des ordres religieux et de toutes les paroisses; on y porta les châsses de saint Rieul, desaint Prothais et desaint Frambourg ; elles furent exposées à la vue des fidèles dont le concours était prodigieux, pour obtenir du ciel la guérison du roiCharlesVI[1] ».

À la fin de l'épopée napoléonienne, Chamant est pillé en 1815 par les troupes prussiennes[1]

Article connexe :Occupation de la France à la fin du Premier Empire.

La commune, instituée lors de laRévolution française, a absorbé en 1825 celle deBalagny-sur-Aunette[26].

En 1841, la commune était propruiétaire d'une école, de deux maisons, d'un lavoir, d'un jeu d'arc ainsi que d'une promenade plantée et dix hectares de rés ou de friches. Deux moulins à eau y étaient exploités. La population vivait de l'agriculture[1].

Au début duXXe siècle est créé à côté de hippodromeSenlis Horse Race Course un terrain d'aviation[27].

Durant laPremière Guerre mondiale, le terrain d'aviation est utilisé par leRoyal Flying Corps de l'armée britannique comme champ d'aviation sous le nom deSenlis Horse Race Course les 30 et[28]. Chamant est occupé par l'armée allemande du 2 au, puis devient le lieu de cantonnement de troupes françaises en stationnement. Le a lieu l'exécution d'otages civils, dont le maire de Senlis Eugène Odent[29].

Durant laSeconde Guerre mondiale, le terrain d'aviation est utilisé par laLuftwaffe comme terrain de desserrement pour les chasseurs de l'aérodrome de Creil, sous le nom deFlugplatz Senlis (no 560). À la fin de la guerre, il accueille le Groupe II / JG 2 (Bf 109 G6) en et le Groupe I / JG 2 (FW 190A-8) du au puis du 13 au[28].

Le, vers11 h 30, le terrain d'aviation, la ville et Senlis sont bombardés par desBoeing B-17 Flying Fortress alliés[27].

La ville a été décorée de laCroix de guerre 1939-1945 le, avec étoile de bronze[30]. La citation à l'ordre de la brigade indique « Population laborieuse et patriote ; malgré le danger suscité par la présence, dans le centre de l'agglomération, d'un terrain d'aviation comptant 50 chasseurs bombardiers, un important dépôt de carburant, et trois bombardements précurseurs, a conservé calme et sang-froid, confiante en la victoire. S'est portée spontanément, au mépris du danger, le, au secours des victimes du bombardement qui fit 12 tués et 12 blessés graves[27] ».

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Senlis du département duOise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de laquatrième circonscription de l'Oise.

Elle fait partie depuis 1801 ducanton de Senlis[26]. Dans le cadre duredécoupage cantonal de 2014 en France, Chamant reste intégrée à ce canton, dont le nombre de communes est réduit de 17 à 14 communes.

Intercommunalité

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Jusqu'au début de l'année 2009, la commune appartenait à lacommunauté de communes du Pays de Senlis qui regroupait 19 collectivités.

À la suite de désaccords profonds entre élus des communes membres[31], le préfet a décidé de dissoudre l'intercommunalité le[32].

Il autorise la création :
- de laCommunauté de communes des Trois Forêts (CC3F) avec les 5 communes deSenlis,Aumont-en-Halatte,Courteuil, Chamant etFleurines.
- de lacommunauté de communes Cœur Sud Oise (CCCSO), regroupant treize communes et dont le siège était à Ognon, l'une des plus petites de l'intercommunalité[33].

Dans le cadre des dispositions de laloi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[34],[35], leschéma départemental de coopération intercommunale approuvé par le préfet de l'Oise le prévoit notamment la fusion de lacommunauté de communes des Trois Forêts et de la communauté de communes Cœur Sud Oise[36].

Après consultation des conseils municipaux et communautaires concernés[37], la nouvelle intercommunalité, recréant de fait l'ancienne communauté de communes du Pays de Senlis (sansOrry-la-Ville)[38], dont la scission en 2010 avait créée ces deux intercommunalités, est constituée au par un arrêté préfectoral du sous le nom decommunauté de communes Senlis Sud Oise, dont la commune est désormais membre.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
Les données manquantes sont à compléter.
18321837Jean-Baptiste Stanislas Mocquet  
18371848Marie Alexandre Baillot  
18481854Jean-Marie Rieul Pelbois  
18541860Pierre Joachim Lefèvre  
18601878Julien Stanislas Moquet  
18781881Victoire Antoine Leroy  
18811884Julien Stanislas Moquet  
18841894Eugène André Troncin  
18941899Bertrand de Valon[39] Veneur
18991904Charles-Léon Langlois  
19041906Bertrand de Valon[39] Veneur
19061924André Edouard Troncin  
19241929Julien Cossin  
19291941André Edouard Troncin  
19411944Louis Gauthier  
19441959René Frelet  
19591981Alain de Rothschild Banquier
19811982Georges Lezier  
19821995Jacques Bataille  
19972008Denis Massion[40]UMPRetraité
mars 2008en cours
(au 29 janvier 2022)
Philippe CharrierSEExpert assurance
Président de laCC des Trois Forêts(2008 → 2014)
Président(2018 → 2020) puis vice-président(2020 → ) de laCC Senlis Sud Oise
Réélu pour le mandat 2020-2026[41],[42]

Équipements et services publics

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L'école en 2011.

Santé

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Le Pôle Oise Santé (POS) est implanté dans la zone du Poteau, et comprend depuis 2016 un centre d'ophtalmologie et, depuis 2019, les cabinets de plusieurs médecins et professionnels de santé[43].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Articles connexes :Histoire du recensement de la population en France etDémographie de la France.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[45].

En 2022, la commune comptait 1 037 habitants[Note 6], en évolution de +14,08 % par rapport à 2016 (Oise : +0,87 %,France horsMayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
264372409298479449423427468
Évolution de la population  [ modifier ], suite (1)
185618611866187218761881188618911896
478471440480567615628593672
Évolution de la population  [ modifier ], suite (2)
190119061911192119261931193619461954
616533479523514450514473551
Évolution de la population  [ modifier ], suite (3)
196219681975198219901999200620072012
590619720665953957929925920
Évolution de la population  [ modifier ], suite (4)
20172022-------
9101 037-------
De 1962 à 1999 :population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes :population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puisInsee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune.En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à60 ans est de 27,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait462 hommes pour448 femmes, soit un taux de 50,77 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,1 
6,3 
75-89 ans
7,7 
18,8 
60-74 ans
20,2 
20,4 
45-59 ans
23,0 
19,2 
30-44 ans
17,7 
13,0 
15-29 ans
11,6 
22,1 
0-14 ans
18,6 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2021 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,5 
75-89 ans
7,6 
15,6 
60-74 ans
16,3 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,6 
15-29 ans
16,2 
20,6 
0-14 ans
19,1 

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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L'église Notre-Dame

.

Chamant compte troismonuments historiques, dont un au chef-lieu, un à Balagny (les deux églises) et un enforêt d'Halatte ;

Article détaillé :Église Notre-Dame de Chamant.
  • Château d'eau de Chamant (inscrit monument historique en 1998[56]), enForêt d'Halatte : Il s'agit du seul château d'eau métallique du Nord de la France, construit en 1895, sans doute par un élève deGustave Eiffel, pour alimenter les écuries de courses d'Albert Menier, industriel chocolatier. D'une hauteur de30 m, l'ouvrage est surmonté d'un belvédère permettant une vue sur toute la forêt. Depuis l'adduction de l'eau courante à Chamant en 1955, il sert de réservoir pour Chamant et Le Plessis-Chamant, Balagny possédant son propre château d'eau[57].
  • Approche de l'église depuis le sud.
    Approche de l'église depuis le sud.
  • Portail en anse de panier gothique flamboyant.
    Portail en anse de panier gothique flamboyant.
  • Église Sainte-Foy, façade occidentale.
    Église Sainte-Foy, façade occidentale.
  • Église Sainte-Foy de Balagny-sur-Aunette.
    Église Sainte-Foy de Balagny-sur-Aunette.
  • Le château d'eau.
    Le château d'eau.

On peut également signaler :

  • Chapelle Notre-Dame-du-Bon-Secours, rue Notre-Dame-du-Bon-Secours àSenlis : la chapelle est située sur le territoire communal de Chamant, mais au quartier Bon Secours de Senlis près du « parc écologique », non directement accessible depuis Chamant. Le chemin rural reliant jadis la chapelle au village, par la vallée de l'Aunette, a été intercepté lors de la construction de la déviation de laRN 330. Par ailleurs, la chapelle n'est historiquement pas liée à Chamant. Elle est issue de la fondation ducouvent descapucins parla Reine Margot en 1609, à l'écart de Senlis.
Les établissements religieux y étaient déjà nombreux, si bien que la ville était opposée à l'installation d'un monastère supplémentaire. La chapelle a été construite de 1610 à 1614. En 1624, quand Senlis est victime d'une épidémie de peste pendant laquelle les capucins font preuve d'un grand dévouement. Ils formulent un vœu apparemment exaucé, et la chapelle devient ici l'objet d'un importantpèlerinage. En 1642, les religieux parviennent à se loger à l'intérieur de Senlis et quittent les lieux. À partir de 1667, leséminaire de Senlis en devient le propriétaire et le reste jusqu'à sa suppression, à laRévolution française. Le pèlerinage est rétabli en 1859, mais à la fin duXIXe siècle, la chapelle est ruinée.
Une nouvelle chapelle est ainsi construite en 1894, grâce à un don de la famille Geoffroy habitant Balagny. Seul le modeste chœur à chevet plat de l'ancienne chapelle est conservé. La nef est curieusement disposée perpendiculairement au chœur, et ses extrémités sont disposées en hémicycle. Ses voûtes d'ogives sont inspirées de l'architecture
angevine. Comme autres particularités, l'on note unechaire à prêcher extérieure à l'extrémité sud de la nef, et uncampanile en bois, coiffé d'une flèche aiguë couverte d'ardoise, se dresse au-dessus du portail d'entrée[58],[59],[53].
  • Monument aux morts[60]
  • Le monument des otages de Senlis, rue des Otages : « Passant, arrête-toi et souviens-toi ! Dans ce champ, ont été fusillés par les Allemands le comme otages de la ville de Senlis : Eugène Odent, maire de Senlis ; Émile Aubert, mégissier ; Jean Barbier, charretier ; Lucien Cottrau, garçon de café ; Pierre Dewerdt, chauffeur ; J.B. Élysée-Pommier, garçon boulanger ; Arthur Rigault, tailleur de pierres ».
Le monument a été élevé le par souscription publique sous les auspices duSouvenir français[61],[62]. Il ne se situe pas sur la commune de Senlis, mais à proximité ; aujourd'hui, le lieu d'exécution n'est plus un champ mais une zone pavillonnaire.
  • Le haras de Plaisance, au hameau du Plessis-Chamant, avenue du Maréchal-Foch : bâtiments pittoresques agencés autour d'une cour carrée, aux volumes multiples, avec descolombages peints en blanc, au remplissage enbrique rouge.
  • Calvaire de Chamant, au carrefour de la rue Eugène-Odent avec la rue du Moulin : le crucifix en fer est montée sur une hautecolonnemonolithique émergeant d'un pupitre pouvant servir d'autel lors de processions.
  • Forêt d'Halatte
  • La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, face au quartier de Senlis du même nom.
    La chapelle Notre-Dame-de-Bon-Secours, face au quartier de Senlis du même nom.
  • Le monument des otages de Senlis assassinés le 2 septembre 1914.
    Le monument des otages de Senlis assassinés le 2 septembre 1914.
  • Le calvaire de Chamant, près de l'école.
    Le calvaire de Chamant, près de l'école.
  • Le haras de Plaisance, au Plessis-Chamant.
    Le haras de Plaisance, au Plessis-Chamant.
  • Vieux pont sur l'Aunette, en bas du village de Chamant.
    Vieux pont sur l'Aunette, en bas du village de Chamant.
  • L'ancien presbytère de Chamant, à l'ouest de l'église.
    L'ancien presbytère de Chamant, à l'ouest de l'église.
  • Le puits public du hameau de Balagny, sur la place.
    Le puits public du hameau de Balagny, sur la place.
  • La ferme de Balagny avec sa tour du XIIIe siècle.
    La ferme de Balagny avec sa tour duXIIIe siècle.
  • Pigeonnier de la Cour Lalouette à Balagny.
    Pigeonnier de la Cour Lalouette à Balagny.

Personnalités liées à la commune

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Georges-Émile Lebacq, 1928,Soir, Chamant (Oise)
Georges-Émile Lebacq, 1933,Meules à Chamant en hiver

Chamant dans les arts et la littérature

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes

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  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Senlis comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

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  1. « Réseau hydrographique de Chamant » surGéoportail(consulté le 22 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », surqualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/(consulté le)
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », surremonterletemps.ign.fr(consulté le).

Références

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Site de l'Insee

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  2. a etb« Chiffres clés - Logement en 2018 à Chamant »(consulté le).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chamant - Section LOG T2 »(consulté le).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Chamant - Section LOG T7 »(consulté le).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise »(consulté le).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière »(consulté le).

Autres sources

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  2. « Résumé statistique national (fichier Excel) »(consulté le) sur le site« INSEE » ; l'Oise compte 693 communes pour 5 860 km2.
  3. Communes limitrophes et autres renseignements topographiques selon la carte topographique 1 : 25 000e « TOP 25 » de l'IGN, consultable en 3D sur le site« Geoportail »(consulté le). Distances mesurées par l'outil proposé dans le mode de visionnage en 3D.
  4. « Fiche communale de Chamant », surlesystème d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie(consulté le)
  5. Sandre, « l'Aunette »
  6. « SAGE Sensée », surhttps://www.gesteau.fr/(consulté le)
  7. a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,‎(DOI 10.4000/cybergeo.23155).
  8. Vincent Dubreuil, « Le changement climatique en France illustré par la classification de Köppen »,La Météorologie,no 116,‎(DOI 10.37053/lameteorologie-2022-0012).
  9. « Le climat en France hexagonale et Corse. », surmeteofrance.com(consulté le).
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », surpluiesextremes.meteo.fr(consulté le).
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  32. « Le préfet dissout la communauté de communes »,Le Parisien,‎(lire en ligne).
  33. « La nouvelle donne de l'intercommunalité »,Le Parisien, édition de l'Oise,‎(lire en ligne)« Sur les cendres encore fumantes de la communauté de communes du Pays de Senlis (CCPS), de nouvelles entités sont en train de naître, reflétant l'éclatement d'un Pays de Senlis désormais bien morcelé. Sur les dix-neuf communes qui composaient la CCPS, ce sont les treize villages rebelles ayant souhaité et obtenu la dissolution qui ont le plus avancé sur leur nouvelle organisation. (...) Ce nouveau regroupement intercommunal est désormais entré dans une phase plus concrète puisque le préfet de l'Oise vient d'en valider le périmètre et les statuts. Avec un peu moins de cinq mille habitants, les treize membres de Cœur Sud Oise ont désormais leur avenir intercommunal en main pour mettre sur pied la communauté de communes à échelle humaine dont ils rêvaient ».
  34. SectionIII de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, surLégifrance
  35. « Cœur Sud Oise fait de la résistance sur la coopération intercommunale »,Le Parisien, édition de l'Oise,‎(lire en ligne).
  36. « Nouveau Schéma départemental de Coopération Intercommunale »[PDF],Signature de l'arrêté approuvant le nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, Préfecture de l'Oise,(consulté le),p. 24-25.
  37. « Oise : voici le nouveau schéma départemental finalisé »,L'Observateur de Beauvais,‎(lire en ligne).
  38. « Des vœux en guise d'adieux pour Cœur Sud Oise »,Le Parisien, édition de l'Oise,‎(lire en ligne)« Senlis Sud Oise marquera la renaissance du Pays de Senlis — sans compter toutefois Orry-la-Ville qui a rejoint l'Aire cantilienne — mais dans un climat plus apaisé que celui qui avait conduit à la dissolution de ce dernier en 2009. De graves désaccords entre Senlis et les treize communes parties fonder Cœur Sud Oise avaient provoqué la séparation. « C'est surtout notre bilan humain qu'il faut mettre en avant, conclut Alain Battaglia. Cœur Sud Oise nous a permis de nouer des contacts très forts entre nous et, cet acquis-là, on ne nous l'enlèvera jamais ».
  39. a etbBertrand de Valon surdata.bnf.fr
  40. « Les maires élus ou réélus »,Le Parisien, édition de l'Oise,‎(lire en ligne)« À 57 ans, le maire Denis Massion aborde son second mandat sous l'écharpe tricolore du premier magistrat ».
  41. Réélu pour le mandat 2014-2020 :« Chamant », Cartes de France(consulté le).
  42. « Répertoire national des maires »[txt],Répertoire national des élus, surdata.gouv.fr,(consulté le).
  43. Hervé Sénamaud, « Le pôle santé de Chamant attend encore quelques praticiens : Le premier bâtiment accueille déjà des médecins et des professions paramédicales. Il reste quelques cabinets disponibles pour compléter la structure »,Le Parisien, édition de l'Oise,‎(lire en ligne, consulté le).
  44. L'organisation du recensement, surinsee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, surinsee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années2006,2007,2008,2009,2010,2011,2012,2013,2014,2015,2016,2017,2018,2019,2020,2021 et2022.
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Chamant (60138) »,(consulté le).
  48. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) »,(consulté le).
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  50. DominiqueVermand,Églises de l'Oise : Cantons de Chantilly et Senlis, Beauvais, Conseil général de l'Oise, avec le concours des communes des cantons de Chantilly et Senlis,, 54 p.,p. 10.
  51. Dominique Vermand, « Chamant, église Notre-Dame : Diocèse : Senlis », surÉglises de l'Oise - art roman et gothique,(consulté le).
  52. « Église Sainte-Foy », noticeno PA00114573, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  53. a etbDominique Vermand,Églises de l'Oise : Cantons de Chantilly et Senlis,op. cit.,p. 11
  54. Cf. Raymond Poussard,Chamant : village neuf fois centenaire,op. cit.,p. 9-10.
  55. Dominique Vermand, « Chamant / Balagny-sur-Aunette : Diocèse : Senlis », surÉglises de l'Oise - art roman et gothique,(consulté le).
  56. « Château d'eau », noticeno PA60000014, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  57. « Le château d'eau de Chamant : Ce château d'eau ne vous rappelle-t-il pas un célèbre monument de Paris ? »,Patrimoine, surchamant.fr(consulté le).
  58. EugèneMüller (chanoine), « Essai d'une monographie des rues, places et monuments de Senlis : XXXIV. Capucins (Les) »,Comité Archéologique de Senlis, Comptes-rendus et Mémoires, Senlis, Imprimerie de Ernest Payen,2e série,vol. IV,‎,p. 123-125(lire en ligne).
  59. Raymond Poussard,Chamant : village neuf fois centenaire,op. cit.,p. 18-19.
  60. « Chamant (60300) », Ldes monuments aux morts - France-Belgique-Autres pays,(consulté le).
  61. Inscriptions gravées sur le monument.
  62. Alain Pouteau, « Monument à la mémoire d'Eugène Odent - Chamant : Ce monument situé à Chamant rend hommage à Eugène Odent, maire de Senlis, fusillé ici, en compagnie d'autres otages, par les Allemands, le 2 septembre 1914 »,Monuments individuels, surpicardie1418.com, 13/5/2007 mis à jour le 27/11/2018(consulté le).
  63. Raymond Poussard,Chamant : village neuf fois centenaire,op. cit.,p. 29.
  64. Cf. Raymond Poussard,Chamant : village neuf fois centenaire,op. cit.,p. 9.
  65. Hugo Grotius,Le droit de la guerre et de la paix : nouvelle traduction, précédée d'un essai biographique et historique sur Grotius et soin temps, accompagnée d'un choix de notes... par M. P. Pradier-Fodéré, Paris, Guillaumin etCie,, 80 p.(lire en ligne), surGallica.
  66. Jean-PierreReynaldo,Le Trotteur français : histoire des courses au trot en France des origines à nos jours, Panazol, Éditions Lavauzelle,, 427 p.(ISBN 978-2-7025-1638-6),p. 317
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Oise
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