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Chabataka

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Chabataka
Image illustrative de l’article Chabataka
Tête de Chabataka,Musée de la Nubie
Décèsv. 705 avant notre ère
PériodeTroisième Période intermédiaire
DynastieXXVe dynastie
Fonction principalePharaon d'Égypte et roi de Napata
PrédécesseurPiânkhy
Dates de fonctionv. 713 à 705 AEC[1]
SuccesseurChabaka
Famille
Grand-père paternelKachta
Grand-mère paternellePabatjma
PèrePiânkhy
ConjointArty
FratrieTaharqa
Chepenoupet Ire
Sépulture
TypePyramide nubienne
EmplacementKU 18, àEl-Kourrou
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Chabataka (ou Shebitku), est roi (qore) deNapata et pharaon de 713 à 705 AEC[1]. Il est le troisième souverain de laXXVe dynastie de l'Égypte antique, aprèsKachta etPiânkhy.

Position chronologique et corégence

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Pendant longtemps, Chabataka était considéré comme le successeur deChabaka. La position a évolué et le consensus scientifique considère qu'il est le prédécesseur deChabaka[2]. Bien que la possibilité d'une permutation entre les règnes de Chabaka et de Chabataka ait déjà été suggérée par Brunet[3] et que Baker ait exposé neuf raisons pour ce renversement[4], c'est Michael Bányai en 2013[5],[6] qui a publié pour la première fois dans une revue grand public de nombreux arguments en faveur d'une telle inversion. Après lui, Frédéric Payraudeau[7] et Gerard P. F. Broekman[8] ont indépendamment développé l'hypothèse. Le chercheur allemand Karl Jansen Winkeln a également approuvé une succession Chabataka-Chabaka[9].

Les inscriptions de Karnak

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Les preuves archéologiques découvertes en 2016/2017 par Claus Jurman confirment une succession Chabataka-Chabaka. L'article GM 251 (2017) de Gerard Broekman montre que Chabataka a régné avant Chabaka puisque le bord supérieur de l'inscription NLR#30 de l'an 2 du quai de Karnak de Chabaka a été gravé sur le côté gauche du bord inférieur de l'inscription NLR#33 de l'an 3 de Chabataka[10]. Le réexamen personnel par l'égyptologue Claus Jurman des inscriptions de quai de Karnak de Chabataka et de Chabaka en 2016 et 2017 a démontré de manière concluante que Chabataka a régné avant Chabaka et a confirmé les arguments de Broekman selon lesquels l'inscription dutexte du Nil de Chabataka a été gravée avant l'inscription de Chabaka ; par conséquent, Chabataka a régné avant Chabaka.

Succession des divines adoratrices d'Amon

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Ainsi, selon Baker[4] et Frédéric Payraudeau[7], ladivine adoratrice d'AmonChepenoupet Ire était encore en vie sous le règne de Chabataka car elle est représentée en train d'accomplir des rites et est décrite comme « vivante » dans les parties de la chapelle Osiris-Héqadjet construite sous son règne (mur et extérieur de la porte)[11],[7] Dans le reste de la pièce, c'estAmenardis Ire, la sœur dePiânkhy et Chabaka, qui est représentée avec le titre dedivine adoratrice d'Amon et pourvue d'un nom de couronnement. La successionChepenoupet Ire -Amenardis Ire en tant quedivine adoratrice d'Amon s'est donc déroulée sous le règne de Chabataka. Ce détail suffit à lui seul à montrer que le règne de Chabaka ne peut précéder celui de Chabataka[7].

La nécropole d'El-Kourrou

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La construction de la tombe de Chabataka (Ku. 18) ressemble à celle dePiânkhy (Ku. 17), tandis que celle de Chabaka (Ku. 15) est similaire à celle deTaharqa (Nu. 1) et deTanoutamon (Ku. 16)[12],[13],[14],[7]. Les caractéristiques architecturales des pyramides royales koushites d'El-Kourrou constituent l'une des preuves les plus solides que Chabaka a régné après Chabataka. Seules les pyramides de Piânkhy (Ku 17) et de Chabataka (Ku 18) présentent des chambres funéraires en coupe ouverte avec un toit en encorbellement, alors que les pyramides de Chabaka (Ku 15), de Taharqa (Nu 1) et de Tanoutamon (Ku 16), ainsi que toutes les pyramides royales ultérieures d'El-Kourrou et deNouri, présentent des sous-structures de chambres funéraires entièrement creusées dans des tunnels[12]. La chambre funéraire de la pyramide de Chabaka, entièrement creusée de tunnels et autrefois décorée, constituait clairement une amélioration architecturale puisqu'elle fut suivie par Taharqa et tous ses successeurs[8].

Payraudeau note que lesouchebtis de Chabataka sont de petite taille (environ 10 cm) et présentent une inscription très brève avec seulement lenom de Sa-Rê du roi dans un cartouche précédé de « l'Osiris, roi de Haute et Basse-Égypte » et suivi demȝꜤ-ḫrw[12],[7]. Ils sont donc très proches de ceux dePiânkhy[12]. Cependant, lesouchebtis de Chabaka sont plus grands (environ 15–20 cm) avec des inscriptions plus développées, y compris la citation duLivre des Morts, qui est également présente sur ceux de Taharqa,Tanoutamon etSenkamenisken[7].

Le prince Horemakhet

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Sur la statue CG 42204 aujourd'hui auCaire duGrand prêtre d'AmonHoremakhet (fils de Chabaka), ce dernier se présente comme « fils de roi de Chabaka, justifié, qui l'aime, unique confident du roiTaharqa, justifié, directeur du palais du roi de Haute et Basse-ÉgypteTanoutamon, qu'il vive éternellement »[8]. Cependant, comme l'a noté Baker[4], aucune mention n'est faite du service d'Horemakhet sous Chabataka ; même si Horemakhet n'était qu'un jeune homme sous Chabataka, l'absence de ce roi est étrange puisque l'intention du texte de la statue était de présenter une séquence chronologique des rois qui ont régné pendant la vie d'Horemakhet, chacun de leurs noms étant accompagné d'une référence à la relation qui existait entre le roi mentionné et Horemakhet[8]. L'omission de Chabataka dans la statue d'Horemakhet peut s'expliquer par le fait que Chabataka était déjà mort lorsque Horemakhet naquit sous Chabaka.

Papyrus E 3328c du Louvre

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Enfin, comme l'a d'abord souligné Baker[4], puis Payraudeau[7], ils ont tous deux noté que le papyrus Louvre E 3328c de l'an 2 ou 6 deTaharqa mentionne la vente d'un esclave par son propriétaire qui l'avait acheté en l'an 7 de Chabaka, soit 27 ans plus tôt dans la chronologie traditionnelle Chabaka-Chabataka, mais si le règne de Chabaka est placé juste avant celui de Taharqa (sans le règne intermédiaire de Chabataka), il y a un écart d'environ dix ans, ce qui est beaucoup plus crédible[7].

Corégence

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L'inscription de Chabataka en l'an 3,1er mois deChémou, jour 5, dans le relevé du niveau du Nil numéro 33, a été considérée par certains chercheurs comme l'enregistrement d'une corégence entre Chabaka et Chabataka. Ce texte mentionne que Chabataka est apparu (ḫꜥj) àThèbes en tant que roi dans letemple d'Amon àKarnak où « Amon lui a donné la couronne avec deux uraei commeHorus sur le trône de Rê », légitimant ainsi sa royauté[15]. Jürgen von Beckerath a soutenu dans un article (1993) que l'inscription enregistrait à la fois le couronnement officiel de Chabataka et la toute première apparition du roi lui-même en Égypte, après avoir comparé cette inscription avec le texte n° 30 du niveau du Nil[16]. Si cela s'avère, cela prouverait que Chabataka a réellement servi de corégent à Chabaka pendant deux ans.

Kenneth Kitchen observe cependant que le verbeḫꜥj (ouapparaître) s'applique à toute manifestation officielle du roi lors de ses apparitions publiques[17]. Kitchen souligne également que la période entourant le premier mois deChémou (jours 1 à 5) marque la date d'une fête d'Amon-Rê à Karnak qui est bien attestée pendant la période duNouvel Empire, laXXIIe dynastie et jusqu'à lapériode ptolémaïque[17]. Ainsi, au cours de la troisième année de Chabataka, cette fête d'Amon a manifestement coïncidé avec l'inondation du Nil et une visite personnelle de Chabataka au temple d'Amon mais en aucun cas un couronnement en Égypte après deux années de règne en Nubie en corégence avec Chabaka[17]. William Murnane a également approuvé cette interprétation en notant que le texte du Nil de Chabataka de l'an 3 n'a pas besoin de faire référence à une accession ou à un couronnement du tout. Il semble plutôt enregistrer uneapparition de Chabataka dans le temple d'Amon au cours de sa troisième année et reconnaître l'influence du dieu dans l'obtention de sa première apparition en tant que roi[18]. En d'autres termes, Chabataka était déjà roi d'Égypte et le but de sa visite à Karnak était de recevoir et d'enregistrer pour la postérité la légitimation officielle de son règne par le dieu Amon. Par conséquent, les preuves d'une éventuelle corégence entre Chabaka et Chabataka sont pour l'instant illusoires.

Dans un article important publié en 2006, Dan'el Kahn a également examiné attentivement mais rejeté les arguments contre une division du royaume de laXXVe dynastie sous le règne deChabaka, Chabaka régnant en Basse et Haute-Égypte et Chabataka, agissant en tant que corégent junior ou vice-roi de Chabaka, en Nubie[19]. Kahn note qu'il n'y a toujours eu qu'un seul roi nubien régnant sur l'ensemble du territoire de laXXVe dynastie, comprenant à la fois l'Égypte et la Nubie, et que les problèmes de communication et de contrôle n'ont pas empêché le roi koushite d'être le chef suprême de ce vaste territoire[19]. Kahn souligne que lastèle des victoires de Piânkhy indique qu'il ne fallait que trente-neuf jours pour voyager en bateau deNapata àThèbes, tandis que la stèle d'adoption deNitocris Ire montre que le temps nécessaire pour parcourir la distance entreMemphis (ou peut-êtreTanis) et Thèbes en bateau (environ 700 km ou plus pour Tanis) est de seulement seize jours[19].

On peut ajouter qu'une telle corégence de deux ans, avec un roi Chabaka sénior et un roi Chabataka junior, va à l'encontre de la succession aujourd'hui admise Chabataka puis Chabaka.

Règne

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Politique étrangère et conquête de l'Égypte

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Le début du règne de Chabataka concernant sa souveraineté sur l'Égypte n'a semble-t-il pas été simple. En effet, d'une part, le fils deTefnakht (l'ambitieux chef deSaïs quePiânkhy - le père de Chabataka - avait combattu),Bakenranef, s'est proclamé roi vers 716 AEC, c'est-à-dire à la fin du règne de Piânkhy, et d'autre part, il est également possible queMenkhéperrê Iny se soit proclamé roi à Thèbes également à la fin du règne de Piânkhy[20].

La reconquête de laBasse-Égypte et la fin de laXXIVe dynastie date de son règne, qui aurait eu lieu vers 712 AEC. En effet, les sources assyriennes parlent dePiru (« Pharaon ») avant cette date-là et parlent de roi deMelukhkha (« Nubie ») après cette date[21]. Après son passage à Thèbes, il prend le chemin de Memphis, où il affronteBakenranef qu'il vainc. Il soumet ensuite l'ensemble des chefs du Delta et installe un koushite à la tête de la région, possiblement leAmmeris des sourcesmanéthoniennes[21]. Le chef Patjenfy dePharbaethos est par exemple représenté avec Chabataka sur une stèle de donation au dieu Horus local[21].

Après la reconquête de l'Égypte, Chabataka fait face à l'Assyrie et fait preuve de prudence. Ainsi, après une révolte àAshdod, peut-être discrètement soutenue par le pouvoir koushite, et l'installation à la tête de la cité d'un certain Inamani, les Assyriens reconquièrent la cité et Inamani se réfugie en Égypte. Chabataka extrade ce dernier vers l'Assyrie, tout en envoyant sur place un corps expéditionnaire commandé par son frèreTaharqa[22].

Réalisations architecturales

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En plus de sa tombe, Chabataka est surtout connu pour ses interventions à Thèbes et à Memphis[23]. En effet, à Thèbes, il est à l'origine d'un programme architectural dans la continuité des réalisations des rois de la branche thébaine de laXXIIe dynastie : une seconde (après celle d'Osorkon III) chapelle d'offrandes à Amon au sud du lac sacré de Karnak et l'agrandissement de la chapelle d'Osiris Héqadjet par l'ajout d'une salle aux deux autres construites parOsorkon III,Takélot III etChepenoupet Ire[23]. À Memphis, son nom a été retrouvé sur des blocs au sud dutemple de Ptah ainsi que sur une statue aujourd'hui acéphale. Son nom a également été retrouvé dans la chambre d'un taureauApis. Étant donné qu'un taureau a été enterré tout à la fin du règne deBakenranef, l'inscription daterait donc de l'enterrement du même taureau : la conquête de Memphis aurait donc eu lieu au même moment que l'enterrement de ce taureau[23]. Hormis sa tombe, Chabataka n'est connu en Nubie que par de petits objets (scarabées, amulettes) trouvés àKawa (en),Sanam (en) etMéroé[24].

Sépulture

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Chabataka est enterré, comme les précédents pharaons de cette dynastie, àEl-Kourrou, un site proche deNapata : sapyramide est référencée « KU 18 » sur le plan de lanécropole royale. Sa sépulture est très proche dans sa conception de celle dePiânkhy[12],[13],[7],[14]. Sa tombe était accompagnée d'une inhumation de chevaux, référencée « KU 209 », à l'image de la tombe dePiânkhy[24].

Généalogie

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Voir l’article annexe :Arbre généalogique de laXXVe dynastie égyptienne.

La famille de Chabataka est encore relativement obscure.Taharqa nomme Chabataka son « frère », ce qui ferait de Chabataka le fils dePiânkhy[25]. Le nom de sa mère est inconnue[25]. Sa seule épouse connue estArty, fille dePiânkhy, elle serait donc sa sœur en plus d'être son épouse[25].

Titulature

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Article détaillé :Titulature royale dans l'Égypte antique.
Chabataka
Première variante
 
G5
R11N28
D36
Codage
G5R11 N28:D36
Translittération (Unicode)
ḤrḎd-ḫꜤ
Translittération (ASCII)
HrDd-xa
Transcription
HorDjedkhâ
Traduction
HorusCelui dont l'apparition est stable
Deuxième variante
 
G5
R11N28
X1
Codage
G5R11 N28:X1
Translittération (Unicode)
ḤrḎd-ḫꜤ.t
Translittération (ASCII)
HrDd-xa.t
Transcription
HorDjedkhât
Traduction
HorusCelui dont l'apparition est stable
Troisième variante
 
G5
R11N28
G43
Codage
G5R11 N28:G43
Translittération (Unicode)
ḤrḎd-ḫꜤ.w
Translittération (ASCII)
HrDd-xa.w
Transcription
HorDjedkhâou
Traduction
HorusCelui dont les apparitions sont stables
Quatrième variante
 
G5
R11N28
G43
M8E10N17
D28
Codage
G5R11 N28:G43 M8A-E10-N17:D28
Translittération (Unicode)
ḤrḎd-ḫꜤ.w, Šbtk
Translittération (ASCII)
HrDd-xa.w, Sbtk
Transcription
HorDjedkhâou, Chabataka
Traduction
HorusCelui dont les apparitions sont stables, Chabataka
Première variante
 
G16
O29
D36
F8G17N17
N17
N17
V30
Codage
G16O29:D36 F8 G17 N17:N17:N17 V30
Translittération (Unicode)
Nb.tyˁȝ-šfy.t-m-tȝ.w-nb(.w)
Translittération (ASCII)
nb.tyaA-Sfi.t-m-tA.w-nb(.w)
Transcription
NebtyÂashéfytemtaouneb
Traduction
Les deux MaîtressesCelui dont la renommée est grande dans tous les pays
Deuxième variante
 
G16
S29N28
D36
Y1
U4D38
X1
U6M17M17N17
N17
Codage
G16S29 N28:D36:Y1 U4 D38:X1 U6*M17*M17 N17:N17
Translittération (Unicode)
Nb.tySḫˁ(w)-mȝˁ.t mry-tȝ.wy
Translittération (ASCII)
nb.tysxa(w)-mAa.t mri-tA.wi
Transcription
NebtySékhâmaât Mérytaouy
Traduction
Les deux MaîtressesCelui qui a fait apparaître Maât, L'aimé des Deux Terres
Troisième variante
 
G16
R11N28
D36
G43
Codage
G16R11 N28:D36 G43
Translittération (Unicode)
Nb.tyḎd-ḫꜤ.w
Translittération (ASCII)
nb.tyDd-xa.w
Transcription
NebtyDjedkhâou
Traduction
Les deux MaîtressesStable d'apparitions
Première variante
 
G8
O29
D36
F24V28A24T10
Z2
Z2Z2
Codage
G8O29:D36 F24 V28 A24 T10:Z2:Z2*Z2
Translittération (Unicode)
Bjk-Nbwou Ḥr (ny) nbwˁȝ-ḥpš ḥw(w)-pḏ.wt
Translittération (ASCII)
bik-nbwaA-xpS Hw(w)-pD.wt
Transcription
Bik-NébouÂakhépesh Hou-9-pedjout
Traduction
Le faucon d'orCelui dont la force est grande, Celui qui a frappé les neuf arcs
Seconde variante
 
G8
O4
D21
Y1
D2
Z1
N35
Aa1X1
D40
Codage
G8O4:D21:Y1 D2:Z1 N35:Aa1*X1:D40
Translittération (Unicode)
Bjk-Nbwou Ḥr (ny) nbwHrw-ḥr-nḫt.w
Translittération (ASCII)
bik-nbwhrw-Hr-nxt.w
Transcription
Bik-NébouHerou Her Nakhtou
Traduction
Le faucon d'orCelui qui se réjouit des victoires
Première variante
 
M23
X1
L2
X1
début du cartouche
N5R11D28
D28D28
Codage
M23:X1 L2:X1( N5 R11 D28 )
Translittération (Unicode)
Nsw(t)-bjt(j)Ḏd-kȝ-Rˁ
Translittération (ASCII)
nswt-bitiDd-kA-ra
Transcription
Nesout-bityDjedkaourâ
Traduction
Roi de Haute et Basse-ÉgypteLe ka de Rê est stable
Seconde variante
 
M23
X1
L2
X1
début du cartouche
N5R11D28
D28D28
Codage
M23:X1 L2:X1( N5 R11 D28:D28*D28 )
Translittération (Unicode)
Nsw(t)-bjt(j)Ḏd-kȝ.w-Rˁ
Translittération (ASCII)
nswt-bitiDd-kA.w-ra
Transcription
Nesout-bityDjedkaourâ
Traduction
Roi de Haute et Basse-ÉgypteLes kaou de Rê sont stables
Première variante
 
G39N5
Z1
début du cartouche
M8E10N18
D28
Codage
G39 N5:Z1( M8 E10 N18:D28 )
Translittération (Unicode)
Sȝ-RˁŠbtk
Translittération (ASCII)
sA-raSbtk
Transcription
Sa-RâChabataka
Traduction
Fils de RêChabataka
Deuxième variante
 
G39N5
Z1
début du cartouche
M17Y5
N35
U7
M8E10N18
D28
Codage
G39 N5:Z1( M17 Y5:N35:U7 M8 E10 N18:D28 )
Translittération (Unicode)
Sȝ-RˁŠbtk mry-Imn
Translittération (ASCII)
sA-raSbtk mri-imn
Transcription
Sa-RâChabataka Méryamon
Traduction
Fils de RêChabataka, aimé d'Amon
Troisième variante
 
G39N5
Z1
début du cartouche
Q3
X1
V28N36
M8
E10N18
D28
Codage
G39 N5:Z1( Q3:X1 V28 N36:M8 E10 N18:D28 )
Translittération (Unicode)
Sȝ-RˁŠbtk mry-Ptḥ
Translittération (ASCII)
sA-raSbtk mri-ptH
Transcription
Sa-RâChabataka Méryptah
Traduction
Fils de RêChabataka, aimé de Ptah
 
Codage


Translittération (Unicode)


Translittération (ASCII)


Transcription
Σεβιχως (d'aprèsManéthon)
Traduction
Sebikhos

Notes et références

[modifier |modifier le code]
  1. a etbPayraudeau 2020,p. 557.
  2. Payraudeau 2020,p. 185.
  3. Brunet 2005,p. 29.
  4. abc etdJoe Baker (2005), on egyptologyforum.org
  5. Bányai 2013,p. 46-129.
  6. Bányai 2015,p. 81-147.
  7. abcdefghi etjF. Payraudeau,Retour sur la succession Shabaqo-Shabataqo, Nehet 1, 2014, p. 115-127lire en ligne
  8. abc etdBroekman 2015,p. 17-31.
  9. Jansen-Winkeln 2017,p. 40, n1.
  10. Broekman 2017,p. 13.
  11. Legrain 1900,p. 128.
  12. abcd eteDunham 1950.
  13. a etbDunham 1955.
  14. a etbLull 2002.
  15. Török 1987,p. 4.
  16. Beckerath 1993,p. 7-9.
  17. ab etcKitchen 1986,p. 170-171.
  18. Murnane 1977,p. 189.
  19. ab etcKahn, Dan'el., Divided Kingdom, Co-regency, or Sole Rule in the Kingdom(s) of Egypt-and-Kush?, Egypt and Levant 16 (2006), pp.275-291online PDF
  20. Payraudeau 2020,p. 162-163 et 186.
  21. ab etcPayraudeau 2020,p. 187.
  22. Payraudeau 2020,p. 189.
  23. ab etcPayraudeau 2020,p. 190.
  24. a etbPayraudeau 2020,p. 191.
  25. ab etcPayraudeau 2020,p. 186.

Bibliographie

[modifier |modifier le code]
v ·m
Période prédynastique
Dynastie zéro
Période thinite
Ire dynastie
IIe dynastie
Ancien Empire
IIIe dynastie
IVe dynastie
Ve dynastie
VIe dynastie
Première Période intermédiaire
VIIe etVIIIe dynasties
IXe etXe dynasties
XIe dynastiethébaine (1re partie)
Moyen Empire
XIe dynastiethébaine (2e partie)
XIIe dynastie
Deuxième Période intermédiaire
XIIIe dynastie
Rois non classés
XIVe dynastie
XVe dynastiehyksôs
XVIe dynastiethébaine
Dynastie d'Abydos (ouXVIe dynastie)
XVIIe dynastiethébaine
Nouvel Empire
XVIIIe dynastie
XIXe dynastieramesside
XXe dynastieramesside
Troisième Période intermédiaire
XXIe dynastie deTanis
Dynastie desgrands prêtres d'Amon àThèbes
(parallèle à laXXIe dynastie)
XXIIe dynastie deBubastis-Tanis
XXIIe dynastie
(branches parallèles)
Grands prêtres d'Amon àThèbes
(parallèle à laXXIIe dynastie)
XXIIIe dynastie deTanis
XXIVe dynastiesaïte
XXVe dynastiekoushite
XXVIe dynastiesaïte (1re partie)
Basse Époque
XXVIe dynastiesaïte (2de partie)
XXVIIe dynastieperse
XXVIIIe dynastie
XXIXe dynastie
XXXe dynastie
XXXIe dynastieperse
Période grecque
Dynastie macédonienne
(parfois appeléeXXXIIe dynastie)
Dynastie lagide
(parfois appeléeXXXIIIe dynastie)
Suivent les périodesromaine et byzantine de l'Égypte.
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