Au, Châtillon-sur-Seine est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à7 niveaux définie par l'Insee en 2022[15].Elle appartient à l'unité urbaine de Châtillon-sur-Seine, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[16],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châtillon-sur-Seine, dont elle est la commune-centre[Note 3],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 60 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[17],[18].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de données européenne d'occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :terres arables (70 %), forêts (10,5 %), zones urbanisées (8,5 %), prairies (4,3 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Châtillon-sur-Seine en 2018 en comparaison avec celle de la Côte-d'Or et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,6 %) inférieure à celle du département (5,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 50,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (49,8 % en 2013), contre 59,9 % pour la Côte-d'Or et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Depuis le déclassement du service voyageurs de lagare de Châtillon-sur-Seine, le réseauTransco, devenuMobigo le, assure les navettes vers Dijon, Montbard et Troyes. On peut ainsi se rendre à Paris en1 h 50 par lagare TGV de Montbard et le bus de ligne Châtillon-sur-Seine - Montbard. Le réseau ferré reste cependant utilisé par l'industrie du bois et celle des céréales.
La région compte de nombreux vestiges d'occupation aux époques préhistoriques[L 2], préceltique, celtique et gallo-romaine[L 3] : grottes[22], pierres levées[23] et surtout l'oppidum duMont Lassois, un important centre d’habitat à l’âge du bronze qui est l'objet actuel de recherches et de fouilles, situé à 6 km de la ville. La peuplade gauloise qui occupe la région lors de l'invasion romaine, lesLingons, adhère rapidement à la colonisation[L 4] et Châtillon, une des trois place-fortes (Castell) de leur territoire du Lassois semble alors déjà au croisement stratégique de nombreuses routes[L 5]. Des photographies aériennes prises le révèlent les traces d'un site archéologique composé de structures quadrangulaires et circulaires pouvant être d'origine funéraire d'époque gallo-romaine[24]. L’agglomération est ravagée par les Vandales auIIIe siècle[L 6].
Dès leXIe siècle, son développement industriel en fait une des 17 villes de loi[L 11] du royaume où marchands et industriels gouvernent eux-mêmes librement leur activité : pendant 600 ans, le commerce des laines et tapisseries du faubourg de Courcelles[L 12] concurrence celui de Troyes[T 4]. À partir de 1168, avec l'aval de l'évêque de Langres, la ville se dote de deux systèmes de fortifications : une au nord pour le quartier de Chaumont, l'autre au sud pour le quartier du Bourg[26]. Les deux enceintes appartenant l'une aux Bourguignons (Chaumont), où le chancelierNicolas Rolin est propriétaire d'une maison forte et l'autre (le Bourg) appartenant à l'évêque de Langres perdurent pendant tout leMoyen Âge. Châtillon est alors constituée de deux entités souvent rivales et au caractère bien marqué séparées par les méandres de la Seine : la première très active, assez fruste et volontiers guerrière, la seconde plus éminemment intellectuelle.
Vestiges du collège dans le quartier des Ursulines.
Dès les premières années duXVIe siècle Châtillon prend le parti des ligueurs de laSainte Union[L 14]. Pour appuyer laContre-Réforme l'église Saint-Jean est construite et inaugurée en 1551[T 8]. En 1576, la ville est pillée par les troupes huguenotes du duc d'Alençon[L 15] et la peste sévit en 1583, 1595[L 16]. Entre les deux bras de la Seine un nouveau quartier reliant Bourg à Chaumont, dit de la rue des Ponts, élève ses propres remparts à partir de 1586[26]. En 1594, les deux bourgs réunis élisent un maire commun[L 17] et trois ans plus tard la population décide le démantèlement du château[L 18]. Les trois remparts sont alors unifiés avec la construction de bastions dont il demeure encore quelques vestiges malgré les démantèlements qui ont suivi la Révolution[26].
Le, l'ordre des Hospitalières est installé à Châtillon-sur-seine parMlleJeanne Bonnot, descendante des seigneurs de Cormaillon. Les Hospitalières de Châtillon sont une colonie de l'hôpital Notre-Dame de la Charité de Dijon. Marie Donguy en est la première supérieure[T 13].
La Révolution française n'est pas très virulente ; beaucoup de nobles conservent leurs biens et la vente des domaines monastiques profite aux familles déjà bien nanties[27]. En 1790, la ville devient le chef-lieu dudistrict de Châtillon-sur-Seine puis en 1800 celui de l'arrondissement de Châtillon-sur-Seine qui n'est supprimé qu'en 1926. À la fin duPremier Empire, la ville accueille du au les négociations entre les ambassadeurs des souverainsalliés et le représentant deNapoléon Ier,Caulaincourt aucongrès de Châtillon. Cette période de son histoire vaut à Châtillon en 2021 le label de "Ville impériale"[28].
En 1822 lemaréchal Marmont, châtelain de Châtillon, entreprend de moderniser la fonderie deSainte-Colombe ouvrant la voie au développement sidérurgique de la région via lacompagnie des forges de Châtillon-Commentry et Neuves-Maisons à partir de 1862 mais l'utilisation du coke et l'importation des marchandises étrangères pénalisent cette économie qui vaut au Châtillonnais un patrimoine industriel de premier ordre et un bâti de grande qualité en matière d'églises, de mairies, d'écoles et de résidences bourgeoises. Après 1880, seuls les sites de Sainte-Colombe et les forges de Chenecières survivent en dépit de la construction du chemin de fer qui ne suffit pas à enrayer la crise[27].
Lors de laSeconde Guerre mondiale, Châtillon subit des bombardements allemands les et qui provoquent la destruction d'une grande partie de la ville. Celle-ci est alors « adoptée » par la ville duPuy-en-Velay qui accueille à l'été 1943 plus de 80 enfants de Châtillon pour un séjour vellave réconfortant[29]. La reconnaissance de Châtillon-sur-Seine vis-à-vis de sa marraine est marquée par la « Place de la Ville du Puy »[30]. La ville estlibérée le. Trois jours plus tard, le1er régiment de fusiliers marinsdébarqué en Provence et le1er régiment de spahisdébarqué en Normandie sont les premières unités des deux armées à faire leur jonction à quelques kilomètres de la commune[31].
Lagare de Châtillon-sur-Seine est fermée au trafic voyageurs en 1994. Seuls des trains de marchandises pour les coopératives agricoles circulent sur les voies de la gare.
La baisse progressive de l'activité des carrières de pierre et, depuis 1979, la réduction drastique des effectifs de l'usine sidérurgique de Sainte-Colombe-sur-Seine ont considérablement affecté l'emploi régional[32] et réorienté le développement avec la reconnaissance du Châtillonnais en appellationCrémant de Bourgogne au début desannées 1980[33] et le développement de la filière bois.
Lors du premier tour desélections municipales de 2014 dans la Côte-d'Or, la liste DVD menée par le maire sortantHubert Brigand obtient la majorité absolue des suffrages exprimés avec 1 973 voix (79,65 %, 26 conseillers municipaux élus dont 21 communautaires), devançant très largement celle DVG menée par Paul Brossault, qui obtient 504 voix (20,34 %, 3 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires). Lors de ce scrutin, 32,34 % des électeurs se sont abstenus[35].
Un établissement privé assure également les classes de maternelle et élémentaires : l'école Saint-Bernard.
La scolarité secondaire du premier cycle est assurée par quatre collèges :
le collège Fontaine des ducs à Châtillon[54] pour les anciens cantons de Châtillon et Montigny ;
le collège Émile Lepitre à Laignes[55] pour l'ancien canton de Laignes ;
le collège Henri Morat à Recey-sur-Ource[56] pour les anciens cantons d'Aignay-le-Duc et Recey ;
le collège Alésia[57] du canton voisin deVenarey-les-Laumes accueille les élèves de l'ancien canton de Baigneux-les-Juifs.
Le second cycle est assuré à Châtillon-sur-Seine par le lycéeDésiré Nisard[58], le lycée agricole de la Barotte Haute Côte d'Or[59] et le lycée Saint-Vincent/Saint-Bernard, établissement privé polyvalent. Le ramassage scolaire dépend du département de la Côte-d’Or.
Les effectifs pour l'année scolaire 2023-2024 dans les établissements scolaires de Châtillon-sur-Seine sont les suivants :
Les centres hospitaliers de Châtillon-sur-Seine et de Montbard ont été regroupés administrativement au sein du centre hospitalier intercommunal Châtillon-Montbard (CHI) lié par convention aucentre hospitalier universitaire Dijon-Bourgogne. Depuis le, cet établissement a fusionné avec le Centre hospitalier Auxois Morvan (CHAM) pour former le centre hospitalier de la Haute Côte-d'Or (CH-HCO) dont le siège social est situé àVitteaux.
Le site de Châtillon-sur-Seine compte 260 salariés avec une capacité d'accueil d'une cinquantaine de lits et comportant desservices d'urgences, demédecine polyvalente, desoins de suite et de réadaptation (SSR) polyvalent, de pharmacie, d'imagerie médicale dont un scanner, un centre périnatal de proximité et un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), La Douix. Le service du laboratoire a fermé le.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[61]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[62].
En 2022, la commune comptait 5 404 habitants[Note 6], en évolution de +0,48 % par rapport à 2016 (Côte-d'Or : +0,82 %,France horsMayotte : +2,11 %).
L'Estival de la « Compagnie des Gens ». Depuis 1989, pendant 5 semaines entre la dernière semaine de juin et la première d'août, la troupe de théâtre de la Compagnie des Gens propose une nouvelle création artistique mélangeant comédiens professionnels et bénévoles, dans le cadre verdoyant de la salle Kiki de Montparnasse ;
Premier week-end de juin : fête patronale de Saint-Vorles suivie des « Journées châtillonnaises » consacrées à l'artisanat et l'élevage local sur l'esplanade du cours Labbé[64] ;
Troisième week-end de juin : fête foraine ;
Dernière semaine d'août : semaine musicale de Saint-Vorles et du Châtillonnais ;
La plus ancienne association de Châtillon-sur-Seine encore en activité en 2018 est la "Société archéologique et historique du Châtillonnais"[66], fondée en 1880, dont Victor Deheurle, sous-préfet, est le premier président[67].
Une radio côte d'Orienne diffuse à Châtillon sur Seine : Diversité FM, la radio musicale et citoyenne, sur les fréquences 103.9 Mhz et aussi 106 FM. Sa rédaction couvre l'actualité de la commune[réf. nécessaire].
Culte catholique : Châtillon qui a été siège de plusieurs abbayes et couvents, possède une longue histoire religieuse largement illustrée dans les salles du musée du Châtillonnais.saint-Bernard, entre autres, y fit ses études à l'école canoniale de Saint-Vorles avant de rejoindresaint-Robert à l'abbaye de Molesme. La paroisse actuelle de Châtillon-sur-Seine[68] qui s'articule autour de l'église Saint-Nicolas fondée en 1136[T 14] dessert les deux églises de la ville en activité, Saint-Nicolas etSaint-Pierre, ainsi que celles des villages environnants ;
La région châtillonnaise est un territoire de tradition rurale où l’agriculture des céréales et des oléagineux occupe une très grande place comme en témoignent les imposants silos du groupe coopératif110 Bourgogne qui jouxtent la gare et la voie ferrée. Châtillon est aussi un très ancien centre industriel[T 15] de tradition métallurgique mais en 2014 c'est laforêt avec sa filière bois et l'exploitation des carrières de pierre qui tiennent une importance primordiale dans l’économie locale. La ville possède une antenne de laChambre de commerce et d'industrie de Dijon. Le siège du journal local,Le Châtillonnais et l’Auxois, est à Châtillon-sur-Seine. Les principaux établissements industriels sont, par ordre décroissant du nombre de salariés : Eviosys Packaging - Anciennement Crown Emballage- (emballages métalliques, 240 salariés), Brugère Fernand (déroulage de hêtre, fabrication de contreplaqué plat, 87 salariés).ArcelorMittal possèdait un établissement dans le village voisin deSainte-Colombe-sur-Seine (acier pour béton, 60 salariés). Cédée au fond allemandMutares en juin 2019[69], l'usine est finalement liquidée en mai 2023[70]. En, l'entreprise Bourgogne Fonderie est mise en liquidation, supprimant 50 emplois[71].
Les silos de Châtillon.
L'industrie du bois dans le Châtillonnais.
L'industrie de la pierre dans le Châtillonnais.
Située au centre d'une région rurale et faiblement peuplée, Châtillon est le centre commercial et administratif du nord du département de la Côte-d'Or. Sous-préfecture jusqu'en 1926, la ville est reléguée depuis au rang de chef-lieu de canton. Elle n'en reste pas moins un centre de services important à l'échelon local. Le tissu commercial a beaucoup évolué depuis la fin des années 1990. Après bien des péripéties, un hypermarché Auchan de 4 700 m 2 a ouvert dans la commune limitrophe deMontliot-et-Courcelles le. Il est concurrencé par un Intermarché de 3 520 m 2 situé à Châtillon même. D'autres grandes surfaces de vente spécialisées sont présentes dans l'agglomération, tel Gamm Vert (2 270 m 2), Bricomarché (1 980 m 2), Gifi (1 100 m 2), Noz (1 000 m 2), Action (900 m 2) ou Marché aux affaires (900 m 2). Les hard discounteurs sont représentés par Dia, Aldi, Lidl et Leader Price avec environ 700 m 2 de vente pour chacune des enseignes. Un restaurantMcDonald's ouvre ses portes dans la zone commerciale près d'Auchan fin février 2013[72].
lasource de la Douix, située au pied d'une falaise, est uneexsurgence karstique et un lieu de culte depuis l'époque celtique où était honorée notamment ladivinitéDivona ;
l'église Saint-Jean-Baptiste qui renferme dans son mobilier neuf pièces classées et de nombreuses autres inscrites ;
lecouvent des Cordeliers reconstruit en 1630 conserve un cloître plus ancien. C'est là que se tient le grand quartier général du général Joffre lors de la première bataille de la Marne ;
dans le quartier du Bourg, la Porte dijonnaise qui donnait accès à la route de Dijon est une propriété privée ainsi que la tour Saint-Christophe (ou tour Royale), un bastion avec son échauguette subsiste à l'angle du clos Lanson ainsi qu’une échauguette duXVIIe siècle à l'extrémité sud de la rue du Bourg-à-Mont ;
dans le quartier de Chaumont, la tour de Cérilly transformée vers 1790 en habitation est une propriété privée ainsi que lebastion du Petit-Haut avec son échauguette. Il subsiste un pan de mur de la porte Saint-Antoine avec la niche d'une statue détruite en 1884, des restes de bastions inclus dans des propriétés de la rue Marmont et une tour en fer-à-cheval dans le parc du château.
dans la boucle de la Seine, le château du Petit-Versailles qui accueille l'Institut mécico-éducatif[78].
dans le quartier des Ursulines plusieurs arcs, vestiges de l'ancien lycée de Châtillon victime d'un incendie dans la nuit du 11 au. Cet établissement dont l'origine remontait au Moyen Âge est associé à partir de 1670 à un hôpital créé par l'abbé Guiotte. Celui-ci est transféré dans les locaux de l'ancienneabbaye Notre-Dame dès 1806 alors que le lycée reste sur ce site jusqu'en 1970.
Châtillon dispose depuis le Moyen Âge sur les hauteurs de Chaumont d'un lycée. Celui-ci est associé à un hôpital de 1670 à 1806, date à laquelle l'hospice est relocalisé dans l'ancienne abbaye Notre-Dame. Véritable centre culturel régional, le lycée, reconstruit dans la partie basse de la ville en 1970, a formé, retenu ou attiré des générations de personnalités diverses.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑« “Érudit au grand cœur”, Michel Serex n’est plus »,Le Châtillonnais et l’Auxois,(lire en ligne, consulté le)« Maire de Châtillon-sur-Seine de 1989 à 1995 sous l’étiquette du Parti Socialiste, il succédait au sénateur-maire Michel Sordel et fut suivi dans ses fonctions électives par Hubert Brigand. ».
↑Étienne Tauveron, « Pourquoi Hubert Brigand, élu député de la quatrième circonscription de Côte-d’Or, est-il toujours maire ? : Avec la loi sur le non-cumul des mandats, Hubert Brigand, élu député de la quatrième circonscription de Côte-d’Or le 19 juin, aurait dû avoir 30 jours pour démissionner de son poste de maire. Mais un recours au niveau national auprès du conseil constitutionnel a suspendu ce délai. Explications »,Le Bien public,(lire en ligne, consulté le).
↑Bertrand Lhote, « Hubert Brigand (LR), élu député, annonce qu’il quitte le conseil départemental : Élu député de la quatrième circonscription le 19 juin, Hubert Brigand (LR) a annoncé ce lundi qu’il quittait son siège au conseil départemental de la Côte-d’Or »,Le Bien public,(lire en ligne, consulté le).
↑Astrid Gayet, « Quatrième circonscription : Hubert Brigand, plus de 30 ans de vie politique : Le maire de Châtillon-sur-Seine Hubert Brigand (LR) a remporté le second tour des élections législatives dans la quatrième circonscription de Côte-d'Or »,Le Bien public, 19/6/2022 mis à jour le 20/6/2022(lire en ligne, consulté le).
↑Jacques Streer,Société archéologique et historique du Châtillonnais : à l'origine d'inestimables découvertes, revue « Pays de Bourgogne » n° 235, janvier 2013, pp. 53-56.