m3-p1SASo : Sables et argiles de Sologne (Langhien supérieur àPliocène inférieur.)
m2MSO : Marnes et sables de l'Orléanais (Burdigalien)
m2MCO : Marnes et calcaires de l'Orléanais (Burdigalien)
( : Gouffre, aven $ : Carrière à ciel ouvert
La région d’Orléans se situe dans le sud duBassin parisien, vaste cuvette composée d’un empilement decouches sédimentaires d’origines essentiellementdétritiques (issus de l’érosion d’anciennes chaînes de montagnes) etcarbonatées (précipitation decarbonate de calcium). Ces dépôts s'étagent duTrias (- 250 millions d’années) auPliocène (- 23 millions d’années) et se font surtout en contexte marin, mais aussi en milieu lacustre. Les successions depériodes glaciaires etinterglaciaires auQuaternaire aboutissent à la configuration géomorphologique actuelle : altération plus ou moins profonde des roches en place,terrasses alluviales anciennes perchées sur les plateaux et incision de la vallée actuelle de laLoire[6],[7].
Les calcaires de Beauce, qui constituent le socle du territoire communal, se forment à l'Aquitanien (de - 23 à - 20,5 millions d’années). Leur partie supérieure, les marnes et calcaires de l’Orléanais (m2MCO), occupe la partie centrale de la commune[8]. Les marnes et sables de l’Orléanais (m2MSO), premiers dépôtsburdigaliens (de – 20,44 à – 15,97 millions d'années) recouvrant les calcaires de Beauce, occupent occupent la partie ouest de la commune. Ces sables sont essentiellement composés de grains de quartz émoussés, accompagnés defeldspathskaolinisés et friables, desilex à patine noire et de graviers calcaires particulièrement fréquents à la base de la formation[9],[8]. Cette formation est elle-même surmontée par les sables et argiles de Sologne (m3-p1SASO), datés duLanghien supérieur auPliocène inférieur, une formation composée de sables (quartzgneissique ougranitique) argileux très grossiers à fins et de lentilles d’argile verte, pure ou sableuse, occupant une partie est de la commune[10].
Fragmentés et fissurés, les calcaires peuvent être le siège de phénomèneskarstiques. Les circulations préférentielles d’eaux souterraines érodent ces calcaires en profondeur et entraînent la formation de dépressions, gouffre ou dolines. Les manifestations en surface de ces fragilités ne sont pas rares dans la région orléanaise. 73 cavités ont été inventoriées par le service régional Centre duBRGM sur la commune, en octobre 2003 : dix-neuf gouffres et desdolines (dépressions circulaires ou elliptiques liée à l'activitékarstique)[11]. Parmi ces cavités, le gouffre des Ventes-Derrière est, avec 33 mètres de longueur, une descavités naturelles les plus longues du département du Loiret[12].
Le territoire communal est relativement plat puisque ladénivelée maximale est de14 mètres. L'altitude du territoire varie en effet de119 mètres à133 mètres[13],[14].
Leréseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives «Habitats » et «Oiseaux ». Ce réseau est constitué deZones Spéciales de Conservation (ZSC) et deZones de Protection Spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État Membre. les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l’état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[21],[22].
Un site Natura 2000 est présent sur le territoire communal de Cercottes[23] :
L’inventaire deszones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Cercottes ne comprend pas de ZNIEFF[27].
Le nom de la localité est attesté sous les formesSercottes en Beauce en 1396[28] ;Sercottes en 1397[29] ;[Jehan de Bouchery, buscheron à] Sercottes, [en la forest d’Orlians] en 1454[30] ;[Guillaume Coupeau dict Sarrazin, buscheron, à] Sercotte en 1459[31] ;Sercottes en 1495[32] ;Cercottes en 1740[33] ;Cercottes auXVIIIe siècle (Carte de Cassini) ;Cerrecotte en 1801[34] ;Sercottes en 1808 (Cadastre)[35].
Le caractère tardif des formes anciennes ne permet pas de rattacher Cercottes aux nombreux Cercoux, Cerqueux et Cercueil (avec des graphies diverses), c'est-à-dire « cercueil », terme attesté dans lachanson de Roland en 1080 sous la formesarcou. Cependant, il est possible que l'ancien françaissarcou ait été complété à l'aide du suffixe diminutif-ot, féminisé en-otte, d'où le sens global de « petit cercueil », pris au sens de « tombeau », puis de « cimetière ». La forme latiniséeSercotis est un datif-ablatif-locatif masculin pluriel ; d’où le sens « aux petits tombeaux »[35].
Le décret de l'Assemblée Nationale du décrète« il y aura une municipalité dans chaque ville, bourg, paroisse ou communauté de campagne »[36]. En 1790, dans le cadre de lacréation des départements, le Loiret compte alors 367 municipalités, rattachées à 59 cantons et 7 districts[37]. La municipalité de Cercottes est rattachée aucanton de Gidy et audistrict d'Orléans[38]. Le terme « commune », au sens de l’administration territoriale actuelle, est imposé par le décret de laConvention nationale du10 brumaire an II () :« La Convention nationale, sur la proposition d’un membre, décrète que toutes les dénominations de ville, bourg ou village sont supprimées et que celle de commune leur est substituée »[39]. Ainsi la municipalité de Cercottes devient formellement « commune de Cercottes » en 1793[38].
Les cantons sont supprimés, en tant que découpage administratif, par une loi du, et ne conservent qu'un rôle électoral, permettant l’élection des électeurs du second degré chargés de désigner les députés[40],[41]. LaConstitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir devendémiaire an IV (1795) supprime lesdistricts, considérés comme des rouages administratifs liés à laTerreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance en retrouvant une fonction administrative[40]. Enfin, sous leConsulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre dejustices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 58 à 31[Note 1],[42]. Cercottes est alors rattachée au cantonNeuville et à l'Arrondissement d'Orléans par arrêté du 9 vendémiaire an X ()[43],[38],[44]. En 1806, la commune est rattachée aucanton d'Artenay, un canton nouveau formé d'une commune de l'ancien canton d'Ingré, supprimé, de sept communes issues du canton de Neuville et de trois issues du canton de Patay[45]. Cette organisation va rester inchangée jusqu'en 2015.
Le 8 janvier 1909, un train déraille sur la commune de Cercottes.
Durant laPremière Guerre mondiale, des camps d'Indiens s'installèrent à Cercottes, c'était une étape du Corps Indien[46]. Une fois arrivés àOrléans le 2 octobre 1914, ils parcoururent dix kilomètres à pied. Ils restèrent un an (1914-1915) .
Au, Cercottes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[47].Elle est située hors unité urbaine[48]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Orléans, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[48]. Cette aire, qui regroupe 136 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[49],[50].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,6 %),terres arables (30,1 %), zones urbanisées (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[51].
L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
La commune prescrit l'élaboration d'unplan d'occupation des sols en février 1972. Le document est approuvé en mars 1977 puis révisé en décembre 1994. Il fait ensuite l'objet de multiples modifications[52].
Laloi relative à la solidarité et au renouvellement urbains du 13 décembre 2000, dite loi SRU, complétée par laloi urbanisme et habitat du 2 juillet 2003, marque une évolution de la planification urbaine en créant notamment lesplans locaux d’urbanisme (PLU), vecteurs de projets de territoire, appelés à se substituer progressivement aux plans d’occupation des sols. Le PLU contient deux éléments nouveaux par rapport au POS : leplan d'aménagement et de développement durable (PADD), qui exprime le projet de la ville par des orientations générales en matière d'urbanisme, de développement, d'équipement et de préservation de l'environnement et lesorientations d'aménagement et de programmation (OAP) qui correspondent à des zooms qui peuvent porter sur des quartiers ou secteurs à mettre en valeur, réhabiliter, restructurer ou aménager, ou sur l'aménagement d'un espace public, etc. Dans ce cadre le conseil municipal prescrit la révision du Plan d’occupation des sols et sa transformation enplan local d'urbanisme le 16 novembre 2005. Tant que ce document n'est pas approuvé, c'est le POS qui tient lieu de document d'urbanisme de référence[52],[53].
La commune est membre duPays Loire Beauce, qui regroupe 38 communes. En 2012 les PaysForêt d'Orléans Val de Loire,Loire Beauce etSologne Val-sud sont les seuls territoires du département du Loiret ne disposant pas deschéma de cohérence territoriale (SCoT). Compte tenu de l'intérêt de cet outil pour l'avenir des territoires, les élus de ces pays décident d'engager une démarche commune d'élaboration de SCoT. Le comité syndical du Pays Loire Beauce se prononce majoritairement en janvier 2013 pour prendre la compétence« Elaboration, gestion et suivi du Schéma de Cohérence Territoriale » dans ses statuts[54]. Le périmètre de SCoT à l'échelle des 38 communes composant le Pays Loire Beauce est arrêté par le Comité Syndical le 26 juin 2013[55]. Les trois SCoT sont lancés officiellement et simultanément à La Ferté-Saint-Aubin le 21 juin 2014[56], l'assistance à maîtrise d'ouvrage étant confiée à un seul bureau d'études[57]. Après étude et concertation de 2014 à 2017, le document doit être approuvé en 2018[58].
La commune est traversée par quatreroutes départementales : la RD2020, la RD 102, la RD 97 et la RD 702.
La RD 2020 traverse la commune du nord au sud et constitue l'artère principale du bourg. Il s'agit de l'ancienneRoute nationale 20, transférée au département du Loiret par arrêté préfectoral du 22 décembre 2005[59], consécutivement au décret du 5 décembre 2005[60] qui définit la nouvelle consistance du réseau routier national et qui prévoit de maintenir dans le réseau routier national que la partie la plus méridionale de la route, entre le débouché de l'A66 et l'Espagne. Cet axe supporte en 2014 un trafic de 13 033 véhicules/jour au nord de l'agglomération et de 10 383 au sud[61].
Complétant ces voies, la commune est sillonnée de plusieurs voies communales etchemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.
La commune de Cercottes est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel oucanicule), mouvements de terrains ousismique (sismicité très faible).Elle est également exposée à unrisque technologique : le risque de transport de matières dangereuses[67].Entre 1989 et 2019, cinq arrêtés ministériels ayant portéreconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : trois pour des inondations et coulées de boues et deux pour des mouvements de terrains[68].
Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[69].
Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[70]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa« fort » face à ce risque, selon l'échelle définie par leBureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[71].
Depuis le, la France dispose d’un nouveauzonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante[72]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[68].
Depuis lesélections municipales de 2014, leconseil municipal de Cercottes, commune de plus de 1 000 habitants, est élu auscrutin proportionnel de liste à deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[79], pour unmandat de six ans renouvelable[80]. Il est composé de 15 membres[81]. L'exécutif communal, est constitué par lemaire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.
Au 31 décembre 2016, la commune est membre du SIRTOM de la région d'Artenay (SIRTOMRA), créé en 1971. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 3] en porte à porte, des emballages ménagers recyclables en porte à porte ou en points d’apport volontaire, du verre en points d’apport volontaire et des papiers en points d’apport volontaire[86]. Un réseau de quatredéchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche de la commune est située sur la commune d'Artenay[86].
L'élimination et la valorisation énergétique des déchets est effectuée dans l'outil de traitement appelé BEGEVAL[87], installé àPithiviers et géré par le syndicat de traitement Beauce Gâtinais Valorisation (BGV) qui regroupe le territoire des trois syndicats de collecte : SMETOM, SITOMAP et SIRTOMRA. Cet outil est composé d’un centre de valorisation matière qui trie les emballages issus de la collecte sélective, les journaux-magazines et les cartons de déchetteries, et d’un centre de valorisation énergétique qui incinère les ordures ménagères résiduelles et le tout-venant incinérable des déchetteries ainsi que les refus du centre de tri[88].
La compétence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usées, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrôle des raccordements aux réseaux publics de collecte[96], est assurée par la commune elle-même[97].La commune est raccordée à unestation d'épuration située sur le territoire communal mise en service le et dont la capacité nominale de traitement est de 1 800 EH, soit 360 m3/jour. Cet équipement utilise un procédé d'épuration biologique dit « àboues activées ». Son exploitation est assurée par la commune[98],[99],[100].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[101]. En 2016, lacommunauté de communes de la Beauce loirétaine assure leservice public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[102],[103].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[104]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[105].
En 2022, la commune comptait 1 477 habitants[Note 4], en évolution de +2,57 % par rapport à 2016 (Loiret : +1,89 %,France horsMayotte : +2,11 %).
↑Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Répertoire géographique des communes (RGC) 2015. En 2016, le RGC a été remplacé par la base Admin Express qui ne comporte plus que l'altitude moyenne de la commune, les altitudes minimale et maximale pouvant être trouvées par un système d'information géographique.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOI10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)
↑« Cartographie des zones naturelles protégées sur Cercottes », surcartelie.application.developpement-durable.gouv.fr l'application cartographique du Ministère de l'écologie, du développement et de l'aménagement durables(consulté le).
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Louis MariePrudhomme,Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme,, 673 p.(lire en ligne).
Camille Bloch,Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 1, Orléans, Ministère de l'Instruction publique,(lire en ligne)
Camille Bloch,Cahiers de doléances du bailliage d'Orléans pour les États généraux de 1789 - tome 2, Orléans, Ministère de l'Instruction publique,(lire en ligne)
Christian Poitou,Paroisses et communes de France - Loiret, Paris,CNRS,, 533 p.(ISBN2-222-02930-9).
Collectif,Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton,, 319 p.(ISBN978-2-86253-234-9)
Abbé Patron,Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p.(ISBN978-2-909112-01-5 et2-909112-01-2)
Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse,Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,,, 408 p.(ISBN978-2-7332-1028-4,lire en ligne)