L'école assure depuis sa création la formation d'ingénieurs, recrutés chaque année par un concours d'admission parmi les plus sélectifs et les plus difficiles de ceux préparés par les élèves declasses préparatoires. Une voie d'admission parallèle concerne les universitaires[4]. L'École décerne également le diplôme de docteur de l'université Paris-Saclay et forme des élèves de masters. L'École propose aussi deuxbachelors, avec l'ESSEC[5] et l'université McGill. En majorité, les ingénieurs de CentraleSupélec sont recrutés par des entreprises ou des administrations, en France comme à l'étranger. Certains diplômés s'engagent aussi dans la recherche scientifique.
L'École centrale des arts et manufactures est fondée en 1829 à l'initiative d'Alphonse Lavallée, homme d'affaires actionnaire du journal d'inspirationsaint-simonienneLe Globe. Il est le premier directeur de cette école, et s'entoura de trois scientifiques :Jean-Baptiste Dumas,Eugène Péclet etThéodore Olivier. Elle avait pour but de former des ingénieurs généralistes pour l’industrie naissante (« les médecins des usines et des fabriques »), à une époque où les institutions supérieures forment plutôt des cadres de l'État. L'école devient publique en 1857 quand Lavallée la lègue à l'État français pour en assurer la pérennité. Elle est ensuite temporairement renomméeÉcole impériale des arts et manufactures. Elle attribue à partir de 1862 le titre d’ingénieur des arts et manufactures, premier titre d'ingénieur diplômé créé en France et devenu maintenant le titre d'« ingénieur diplômé de l'École centrale des arts et manufactures ».
Premier bâtiment de l'École centrale (hôtel Salé) dans leMarais, second bâtiment de l'École rue Montgolfier à Paris (3e arrondissement), derrière leCNAM, et vue latérale du bâtiment Olivier (Enseignement) àChâtenay-Malabry (détruit).
Installée dans un premier temps àParis, à l’hôtel de Juigné (actuel hôtel Salé, hôte dumusée Picasso), puis dans des locaux construits à cet effetrue Montgolfier (qui appartiennent maintenant auConservatoire national des arts et métiers -CNAM- dont le bâtiment originel est adjacent), elle est transférée en1969 àChâtenay-Malabry sur un campus regroupant les bâtiments d’enseignement et de recherche, la résidence des élèves et plusieurs équipements collectifs (restaurant universitaire, stade, gymnase). L'architecte du campus estJean Fayeton. Le présidentPompidou, accompagné pour cette occasion parRobert Galley, alors ministre et centralien lui-même, inaugure ce campus.
L’École supérieure d'électricité a été fondée en1894 par la Société internationale des électriciens, actuellementSociété des électriciens et des électroniciens (SEE). Il s’agissait alors de former les ingénieurs pour l’industrie électrique en plein développement. Elle ne devient l’Association Supélec qu’en 1987. Les quatre membres fondateurs de cette association sont la Société des électriciens et des électroniciens (SEE), la Fédération des industries électriques, électroniques et de communication (FIEEC), le groupeÉlectricité de France (EDF) ainsi que la Société des ingénieurs Supélec (renommée Amicale des ingénieurs Supélec en 1995).
L'immeuble occupé par Supélec à Malakoff de 1927 à 1975 ; le bâtiment principal de Supélec, dans le quartier de Moulon àGif-sur-Yvette (Paris-Saclay).
Depuis, l’école a ouvert deux campus supplémentaires, àRennes en 1972, puis àMetz en 1985. Tous les bâtiments principaux des campus de Supélec partagent la même architecture typique : des bâtiments de grande envergure à rayures horizontales blanches et noires.
L'École centrale Paris etSupélec ont signé en 2006 un accord-cadre et mis en place, en novembre 2008, une « alliance stratégique » qui a pour objectif une meilleure compétitivité internationale des deux écoles.
Les directeurs de Centrale et deSupélec ont annoncé en 2011 la création d'une marque et d'un logo communs. Ils ont également annoncé la création d'une association de préfiguration, chargée du rapprochement des deux écoles, sous un nouveau statut. En septembre 2013,Hervé Biausser est nommé directeur de l'École supérieure d'électricité en plus de son poste de directeur de l'École centrale des arts et manufactures. Romain Soubeyran lui succède à compter du.
Laloi relative à l'enseignement supérieur et à la recherche permettra aux personnels de Supélec de choisir entre la conservation de leur contrat de droit privé et la transformation en contrat de droit public. Le contrat de travail du personnel deCentrale Paris sera simplement transféré vers la nouvelle entité créée[10].
L'objectif de cette« synergie » est de cumuler les domaines de compétence des deux écoles. Selon Hervé Biausser,« Ensemble, nous couvrons la totalité du spectre de l'ingénierie. Il y a peu d'écoles d'ingénieurs aussi complètes en France, alors que c'est plutôt le modèle majoritaire à l'étranger. »[10]
Cependant, cette fusion donne lieu à plusieurs mouvements de grève, en juin 2016, puis en mars 2017, en particulier du personnel enseignants etbiatss de l'ancienne écoleSupélec. Les revendications portent d'une part sur les conditions de travail des salariés du campus de Châtenay-Malabry (ex École centrale), qui se dégraderaient à l'occasion du déménagement sur le plateau de Saclay, d'autre part du changement de statut de privé à public pour les anciens salariés de Supélec, ainsi que l'inquiétude de voir la mise en place d'un cursus ingénieur différent et de moindre niveau sur les campus de Rennes et Metz[11],[12].
Le positionnement du nouveau cursus et ses principes directeurs de mise en œuvre sont toutefois approuvés à l'unanimité lors du conseil d'administration du 30 mars 2016. Le nouveau cursus a été conçu ab initio à partir des besoins de l'aval et en reprenant les lignes de forces des cursus de Centrale et Supélec[13]. Il est centré sur la maîtrise des systèmes complexes[14] et renforce notamment les exigences en mathématiques, informatique et modélisation. Le 5 décembre 2017 laCommission des titres d'ingénieur accrédite le cursus pour la durée maximale possible (six ans)[15]. Le cursus est lancé le 3 septembre 2018 sur le campus de Paris-Saclay pour 800 élèves, et 27 apprentis sur le campus de Rennes. Les premiersingénieurs diplômés de CentraleSupélec sont arrivés sur le marché du travail en 2021[10].
L'École centrale Paris etSupélec ont beaucoup contribué à la définition du projet « Campus de Saclay » et à sa labellisation comme Initiative d’Excellence (IDEX), préfigurant l’université Paris-Saclay.
Fin avril 2017, CentraleSupélec, par la voix de son directeur, annonce que l'école ne fera pas partie de l'université Paris-Saclay dans son modèle intégré, où l'université aurait sous sa tutelle toutes les formations d'ingénieur du plateau de Saclay. À la suite de cette déclaration, les autres écoles du projet s'en sont aussi retirées, laissant l'université Paris-Sud seule au sein de l'université Paris-Saclay[16],[17],[18].
le bâtimentGustave Eiffel, de l’agence d’architectureOMA (sousloi MOP) : cette ruche urbaine mêle enseignement, recherche, vie étudiante et ouverture sur la ville. Un centre d’enseignement des langues, mutualisé avec l'université Paris-Saclay et l’École normale supérieure Paris-Saclay, y prend place. Il a une superficie de 47 000 m2[21]. Il accueille les laboratoires de recherche « lourds », tels qu'EM2C, SPMS, MSSMat, LGPM, LPQM (resp. énergétique, physique, mécanique et matériaux, photonique) ;
le bâtiment abritant le laboratoire GeePs (Laboratoire de Génie Électrique de Paris).
Le campus deParis-Saclay accueille environ 3 200 étudiants en formation initiale. Les options de troisième année recouvrent les domaines des Mathématiques Appliqués, du Génie Industriel, de l'Énergie, de l'Automatique, de l'Aéronautique, de la Mécanique, de l'Électronique, de l'Informatique, des Télécommunications, du Traitement du Signal, des Biotechnologies et de la Physique Fondamentale.
Lecampus de Paris-Saclay est relié à Paris par différents moyens de transport. Un chemin piétonnier permet de se rendre à la gare du Guichet (distance de marche d'une longueur de 2,6 km) où passe leRER B. Quatre arrêts d'autobus permettent d'accéder à lastation Le Guichet.
D'ici 2026, dans le cadre du projet duGrand Paris Express, la desserte du plateau de Saclay par la futureligne 18 du métro parisien permettra de rejoindre CentraleSupélec via l'arrêtCampus Moulon[23].
En 2020, laligne B dumétro de Rennes devait relier le campus de CentraleSupélec au centre-ville de Rennes, avec la stationAtalante. Cependant, l'inauguration de cette ligne a finalement lieu en septembre 2022 après plusieurs retards.
En 2023, CentraleSupélec fait l'acquisition - via sa fondation - d'un immeuble de 5 700 m² situé près de laporte d'Italie dans le13e arrondissement de Paris pour 56 millions d'euros[25].Cet immeuble doit être livré en novembre 2025, comprendra six étages et contiendra notamment un amphithéâtre, un rooftop ainsi qu'un restaurant[26]. Le bâtiment a été baptisé "Sébastienne Guyot".
Jusqu’en 2021 (date de remise de diplôme des premiers élèves ayant intégré le nouveau cursus commun), CentraleSupélec attribuait les deux diplômes :
le diplôme d'« ingénieur diplômé de l'École centrale des arts et manufactures » (cursus ingénieurCentrale Paris) ;
le diplôme d’« Ingénieur diplômé de l'École supérieure d'électricité » (cursus ingénieurSupélec).
Depuis septembre 2018, un nouveau cursus généraliste commun a été mis en place.
Ceux qui suivent le cursus classique font leur première année d'élève ingénieur sur le campus de Paris-Saclay, à l'exception des étudiants venant deBCPST (depuis 2020) qui sont sur le campus de Metz en première année.
Ceux qui suivent le cursus par apprentissage sont rattachés au campus de Rennes ou de Metz en première année[27].
Les frais de scolarité étaient en 2017 de 3 500 €[28] depuis septembre 2017.
À partir de 2025, six nouveaux cursus de spécialité seront accessibles (électronique, systèmes numériques, cybersécurité et énergie sur le campus de Rennes; informatique et physique sur le campus de Metz[29]).
La voie d’accès principale est leconcours Centrale-Supélec (à l'issue des filières declasses préparatoires MP, PC, PSI, TSI) ouBanque PT (filière PT). Les taux d'admission en 2019 étaient de 8% pour les étudiants en filière MP, 6% pour la filière PC et 7% pour la filière PSI[30].
Depuis 2020 des places sont offertes pour les élèves sortants des filières BCPST pour favoriser une diversification du profil des étudiants.
Une partie des étudiants sont recrutés après deslicences via le concours universitaire CentraleSupélec ou dans le cadre du programmeTIME (notamment pour les étudiants étrangers).
Il est possible d'intégrer l'école après un DUT. Ces étudiants suivront obligatoirement le cursus en apprentissage.
À partir de 2025, le recrutement pour les 6 cursus de spécialité se fera par le même concours que la formation généraliste. 25 places sont prévues pour chaque cursus de spécialité[31].
Ci-dessous dans le tableau, quelques données sur les places pourvues pour la formation généraliste :
MP
MPI
PC
PSI
PT
TSI
BCPST
Nombre total de places post-prépa
Places pourvues pour les candidats français en 2024
257 dont 10 en apprentissage
33
174 dont 14 en apprentissage
170 dont 14 en apprentissage
51 dont 22 en apprentissage
22 dont 17 en apprentissage
10
717 dont 77 en apprentissage
Places pourvues pour les candidats français en 2023
258 dont 9 en apprentissage
33
176 dont 7 en apprentissage
178 dont 12 en apprentissage
54 dont 24 en apprentissage
23 dont 18 en apprentissage
20
732 dont 70 en apprentissage
Places pourvues pour les candidats français en 2022
300
192
199
52 dont 22 en apprentissage
23 dont 18 en apprentissage
10
776 dont 40 en apprentissage
Places pourvues pour les candidats français en 2021
293
185
197
47 dont 22 en apprentissage.
21 dont 16 en apprentissage.
11
754 dont 38 en apprentissage
Places pourvues en 2020 pour les candidats français
290
170
189
41 dont 21 en apprentissage.
20 dont 15 en apprentissage.
11
721 dont 36 en apprentissage
Places pourvues en 2019 pour les candidats français
259
160
176
43 dont 23 en apprentissage
20 dont 15 en apprentissage
658 dont 38 en apprentissage
Places pourvues en 2018 pour les candidats français.
Le bureau des élèves, ou BDE, est l'unique association élue par l'ensemble du campus après une semaine intense de campagne. Il représente les élèves et les différentes associations de CentraleSupélec. Le BDE organise de multiples événements, des incontournables soirées parisiennes, comme l’Eclipse, jusqu'aux voyages en Europe, et bien plus. Le BDE est aussi chargé de coordonner l’inter-associatif et la communication interne du campus.
ViaRézo[33] est l'association héritant de VIA Centrale Réseaux et de Supélec Rézo. Ses prédécesseurs sont connus pour avoir été des précurseurs dans le déploiement de réseauInternet sur les campus étudiants français mais aussi pour avoir hébergé des projets tels queVLC.
Junior CentraleSupélec (JCS) est laJunior-Entreprise de l'École et propose des services dans des domaines tels que le numérique, l'ingénierie ou l'environnement. Considérée parmi l'une des meilleures en France, elle a reçu de nombreux prix d'excellence:
Meilleure Junior-Entreprise de France: 2021 et 2022.
Meilleur Junior-Entreprise d'Europe: 2019, 2020, 2021 et 2024.
Le Bureau des Sports (BDS) est l'association qui organise la vie sportive du campus de CentraleSupélec. Son rôle est la promotion du sport à travers ses nombreuses associations sportives ou l'organisation d’événements organisés régulièrement sur le campus. Il organise également chaque année le plus grand tournoi étudiant omnisports de France, leTOSS, qui a lieu début mai et qui accueille plus de 4 500 étudiants venus de la France entière[35].
Au delà du BDS, d'autres associations organisent des évènements sportifs à destination des étudiants et/ou d'entreprises partenaires. On peut citer notamment le tournoi derugby à septCentrale Sevens ou le raid itinérantRaid CentraleSupélec(en).
De nombreuses associations culturelles font partie prenante de la vie de l'école, parmi lesquelles on peut citer : le Bureau des Arts (BdA), la Band'a Joe (fanfare étudiante)...
Les deux associations audiovisuelles sons et lumières de l'école, SBCS et ReNX (présente respectivement sur le campus de Saclay et de Rennes) sont particulièrement reconnues pour l'organisation de soirées, tels que le Quadrabang ou autre bang (grande soirée), ou encore le Fest-Noz de Supelec sur le campus de Rennes
CentraleSupélec avec ses références égalité femme/homme s'engage sur l'ensemble des domaines contribuant au bien-être de ses étudiants. Lors du conseil d'administration de mars 2021 et alors qu'aucun signalement n'était remonté, décide de lancer un questionnaire anonyme au sein de la communauté étudiante. Le 7 octobre 2021, le résultat de sondage parait dans le journalLe Monde dénonçant des cas de viols et d'agressions sexuelles parmi les étudiants. À la demande de la direction, une enquête préliminaire est ouverte par le parquet d'Évry[36], un dispositif unique est mis en place avec les forces de l'ordre pour recueillir la parole des victimes sur les campus. L'enquête est reconduite en 2022 et "CentraleSupélec relève une baisse significative, encourageante pour poursuivre les efforts entrepris". Le partenariat noué avecFrance victime lors de la première enquête a été élargi avec les autres grandes écoles du plateau afin de proposer des professionnels neutres et experts sur le plateau à toutes personnes en situation de VSS.
Lapertinence de cette section est remise en cause. Considérez son contenu avec précaution.Améliorez-le oudiscutez-en, sachant quela pertinence encyclopédique d'une information se démontre essentiellement par des sources secondaires indépendantes et de qualité qui ont analysé la question.(juillet 2025) Motif avancé : Cette section présente des résultats pouvant être appuyés par des sources gérées par des entreprises dont l’activité principale consiste à proposer des prestations commerciales auprès des établissements d’enseignement .
Classements nationaux (classée en tant que CentraleSupélec au titre de son diplôme d'ingénieur)
Regroupant plus de 1 100 personnels de recherche (chercheurs, enseignants-chercheurs, post-doctorants, doctorants, ingénieurs, techniciens, personnels administratifs), le centre de recherche de CentraleSupélec est composé de 18 laboratoires et équipes de recherche, une fédération de mathématiques et un institut de recherche avec EDF. Au niveau international, l'école est tutelle de 4 Laboratoires Internationaux Associés (LIA), une Unité Mixte Internationale (UMI) et un Groupement de recherche international (GDRI). Les domaines d'activités des laboratoires couvrent un large spectre : physique, physico-chimie, énergie, électronique, automatique, télécommunications, optique, informatique, mathématiques, mécanique, économie, génie industriel et management. Les domaines d'application de ces recherches fondamentales ou appliquées concernent l'environnement, le secteur de l'énergie, la « science des systèmes », les transports, les technologies de l'information et de la communication et la santé. Au sein de la documentation, le Pôle information scientifique et technique – recherche valorise les publications des chercheurs en libre accès dansl'archive ouverte Hal ; un « halathon » a ainsi été organisé en 2020[49].
Fédération de Mathématiques de CentraleSupélec (FDM, FR 3487) (Paris-Saclay)
Centre pour la Vision Numérique (CVN) (Paris-Saclay)
Laboratoire d'Énergétique moléculaire et macroscopique, Combustion (EM2C, UPR 288 du CNRS) (Paris-Saclay)
Laboratoire de Génie industriel (LGI) (Paris-Saclay)
Laboratoire de génie électrique de Paris (LGEP, UMR CNRS 8507) (Paris-Saclay)
Laboratoire de Génie des procédés et matériaux (LGPM) (Paris-Saclay)
Laboratoire de Mathématiques et Informatique pour la Complexité et les Systèmes (MICS, anciennement Laboratoire de Mathématiques appliquées aux systèmes) (Paris-Saclay)
Laboratoire de Mécanique des sols, structures et matériaux (MSSMAT, UMR 8579 CNRS) (Paris-Saclay)
Laboratoire Matériaux Optiques, Photonique et Systèmes (LMOPS, EA 4423) (Metz)
Laboratoire des Signaux et Systèmes (L2S, UMR CNRS 8506) (Paris-Saclay)
Laboratoire SONDRA, laboratoire franco-singapourien de recherche en électromagnétisme et radars (E3S, EA 4454) (Paris-Saclay)
Laboratoire Structure, propriétés et modélisation des solides (SPMS, UMR 8580 CNRS) (Paris-Saclay)
Laboratoire des Télécommunications (E3S, EA 4454) (Paris-Saclay, Metz, Rennes)
Research Institute for Smarter Electric Grids (RISEGrid Institute, EDF)
Laboratoire LUMIERES, MATIERES ET INTERFACES (LUMIN)
Laboratoire STRUCTURES, PROPRIÉTÉS ET MODÉLISATION DES SOLIDES (SPMS)
Groupement de Recherche International CNRGiE qui vise la création d’un réseau Franco-Singapourien d’excellence scientifique dans les domaines d’intégration et gestion des énergies renouvelables (GDRi CNRGiE, CNRS-NTU/Singapour)
Le laboratoire international associé en Mécanique, Contrôle et Science de l'Information (GEC-Beihang/Chine)
le laboratoire International Associé Smart Grid (CNRS-SYTACOM). Ce projet se place à l’interface des réseaux de communication et d’électricité dans l’objectif d’exploiter une synergie importante entre le domaine des communications et celle des réseaux électriques.
Le laboratoire International Associé « Énergie et Environnement » (GEC/CNRS/Brésil)
UMI dont les trois principaux domaines de recherche sont :la dynamique et l'optique non-linéaire, les matériaux innovants et computer Science (UMI 2958, CNRS-Georgia Tech)
Des échanges de chercheurs sont réalisés avec d'autres institutions, notamment par l'accueil de professeurs invités.
CentraleSupélec cherche à intensifier ses liens avec ses partenaires du pôle d'enseignement et de rechercheuniversité Paris-Saclay, notamment l'ENS Paris-Saclay et l'université Paris-Sud. Les autres partenaires institutionnels (horsCNRS) sont leCEA et l'INRIA. CentraleSupélec développe aujourd'hui également une culture de chaires financées par des entreprises. Elle compte aujourd'hui 19 chaires, dont une sur le campus de Rennes (cybersécurité) et une sur le campus de Metz (photonique)[50].
CentraleSupélec est partenaire de plusieurs institutions françaises ou internationales, dans le cadre de ses activités d'enseignement ou de recherches.
l'ESCP un accord de partenariat sur trois axes : accord d’échange d’étudiants (dans les deux sens depuis 2011), de double-diplôme et de recherche.
l’ESSEC une « alliance stratégique » en 2009. Cela inclut notamment un accord cadre sur l'ensemble des missions universitaire (formation initiale, formation continue, recherche, international et entrepreneuriat) et la création d'un double diplôme réciproque.
Concours commun Centrale-Supélec : Des écoles d'ingénieurs sont partenaires pour le recrutement des élèves-ingénieurs à la sortie des classes préparatoires, et Centrale etSupélec depuis 1968 ;
Collège des Sciences de l’Ingénierie et des Systèmes (CSIS) : Fondé en 2009 avec l’ENS Paris-Saclay et l’université Paris-Sud, le CSIS a pour vocation de rapprocher les enseignants-chercheurs des différentes institutions. En 2012, ce groupe de travail s’est notamment élargi à 11 établissements, dont l'École polytechnique et ses écoles d’application.
Réseau TIME : Centrale Paris fut membre fondateur du réseau TIME (Top International Managers in Engineering), qui permet à des étudiants d'obtenir un diplôme de deux des meilleures universités techniques (double diplôme)[53]. Les autres membres sont, par exemple, l'École polytechnique de Milan, l'université technique de Berlin, l'université de São Paulo, l'université de l'État de Campinas, entre autres ;
Georgia Tech / États-Unis & France : un accord stratégique avecGeorgia Institute of Technology sur les thématiques de recherche, d’enseignement, d’innovation et d'entrepreneuriat et de mobilité académique.
↑Décret du 23 août 2018 portant nomination du directeur de CentraleSupélec - M. Soubeyran (Romain) JORF n°0195 du 25 août 2018 texte n° 105 NOR: ESRS1820812D
↑abc etdCentraleSupélec : Hervé Biausser fait le point sur la fusion après l'adoption des statuts de la nouvelle école,AEF, dépêcheno 486608 du 15 septembre 2014
↑« Rennes. La fusion passe mal :le personnel de Centrale-Supelec en grève »,Ouest-France.fr,(lire en ligne, consulté le)
↑« À CentraleSupélec, ambiance électrique autour du nouveau cursus ingénieur »,L'Etudiant,(lire en ligne, consulté le)
↑« Écoles d'ingénieurs : après la fusion, des cursus à réinventer »,EducPro,(lire en ligne, consulté le)
↑« Cahier des charges du nouveau cursus CentraleSupélec »,CentraleSupélec,(lire en ligne, consulté le)