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Cathédrale Saint-Gatien de Tours

47° 23′ 44″ nord, 0° 41′ 40″ est
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Cathédrale Saint-Gatien de Tours
Image illustrative de l’article Cathédrale Saint-Gatien de Tours
Présentation
CulteCatholique romain
DédicataireSaintGatien
TypeCathédrale
RattachementArchidiocèse de Tours(siège)
Début de la construction1170
Fin des travaux1547
Style dominantGothiqueFlamboyant
Gothique classique(Façade)
Roman(base et contreforts des tours)
Renaissance(sommets des tours)
GothiqueFlamboyant et Rayonnant(Ornementation)
ProtectionLogo monument historique Classée MH(1862)
Site webParoisse Saint-Maurice - Cathédrale de Tours
Géographie
PaysDrapeau de la FranceFrance
RégionCentre-Val de Loire
DépartementIndre-et-Loire
VilleTours
Coordonnées47° 23′ 44″ nord, 0° 41′ 40″ est

Carte

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Lacathédrale Saint-Gatien de Tours est unecathédralecatholique romaine, située àTours dans leVieux-Tours, enIndre-et-Loire. Dédiée àsaint Gatien, le premier évêque de Tours, elle est le siège de l'archidiocèse de Tours et la cathédrale métropolitaine de laprovince ecclésiastique de Tours.

Elle a été classéemonument historique parliste de 1862.

Généralités

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La cathédrale Saint-Gatien a été construite entre1170 et1547, après la première cathédraleSaint-Maurice qui a été édifié de337 à371.Lors de sa création, elle était située presque au débouché du pont franchissant laLoire contrôlé par lechâteau de Tours, sur la route reliantParis au sud-ouest de la France. Elle fait l’objet d’un classement au titre desmonuments historiques par laliste de 1862[1].

Évolution monumentale

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Historique

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La nef et le chœur.

La première cathédraleSaint-Maurice a été édifiée parLidoire,évêque de Tours de337 à371 et prédécesseur deMartin. Incendiée en561, elle est restaurée parGrégoire de Tours et dédicacée en590. Du fait de son emplacement, à l'angle sud-ouest ducastrum, et de son orientation à l'est, l'accès se faisait, sinon au travers de l'enceinte tardo-antique, du moins en baïonnette depuis la voie traversant la cité ; une telle configuration est rare[Note 1]. La cathédrale de Tours est reconstruite au cours du deuxième quart duXIIe siècle et est incendiée en1166 lors des luttes entreLouis VII de France etHenri II d'Angleterre, comte d'Anjou. On ne connaît pas le plan de cet ancien édifice.

La cathédrale actuelle remplace cet édifice roman. La première campagne a concerné le croisillon sud et les tours, dès1170. La reconstruction duchœur est traditionnellement placée entre1236 et1279. Plus récemment, la datation des parties basses a été envisagée vers 1220-30, la pose de la charpente des vitraux du triforium vers 1245-55. Ce chantier aurait alors joué un rôle important dans la définition d'un style ligérien propre au sein du courant gothique[2].

C'est la nef qui a demandé le plus de temps pour son édification. L'architecte Simon du Mans reconstruit le transept et entame la nef, dont six travées, bas-côtés et chapelles sont édifiés auXIVe siècle — les deux premières travées correspondent à celles de l'ancienne cathédrale romane et remontent auXIIe siècle.

La nef n'est achevée qu'auXVe siècle par les architectes Jean de Dammartin, Jean Papin et Jean Durand, grâce aux libéralités accordées parCharles VII et leduc de BretagneJean V. À l'occasion de l'édification du bâtiment actuel, la nef a donc été allongée vers l'ouest et les tours encadrant l'entrée sont élevées en dehors de l'ancienne cité, accentuant la particularité de l'édifice mentionnéesupra ; l'enceinte tardo-antique est visible en coupe à l'arrière des tours depuis le nord. En1356, la cathédrale reçoit le nouveau vocable deGatien.

Avec la façade s'achève le grand projet de reconstruction de la cathédrale, commencée deux siècles plus tôt. Sa construction s'étend du début duXVe siècle au milieu duXVIe siècle. Elle est l'un des rares grands chantiers religieux français de cette période. Son parti très élancé est assez inhabituel, étant structuré par les grandes lignes verticales des deux tours, mais peu recoupé horizontalement, comme dans les façades harmoniques du gothique classique. Elle est surtout remarquable par l'opulence de sa décoration sculptée. Plusieurs architectes se succèdent, mais ce sont les choix de Jean de Dampmartin entre 1430 et 1470, qui s'avèrent déterminants. Après un ralentissement, le soutien financier de certains chanoines et l'influence à Rome du cardinal de Bourdeilles, archevêque dans les années 1470, va permettre de trouver les fonds nécessaires à la poursuite du chantier[3].

Elle a perdu les grandes statues des piédroits, détruites en grande partie au cours des guerres de religion en 1562. Mais elle demeure une des plus extraordinaires créations du gothique flamboyant dans ce qu'il a de plus exubérant, véritable dentelle de pierre sans guère d'équivalent, chef-d'œuvre décoratif de premier plan. Les tours sont élevées dans la première moitié duXVIe siècle : la tour nord a été édifiée en1507 par Pierre de Valence, et la tour sud entre1534 et1547 par Pierre Gadier.

  • Façades de la cathédrale
  • Portail principal.
    Portail principal.
  • Statues de saints sur la partie sud de la voussure du portail central.
    Statues de saints sur la partie sud de la voussure du portail central.
  • Rosace de la façade principale.
    Rosace de la façade principale.
  • Les tours.
    Les tours.
  • Partie centrale du transept nord : rosace, fenêtres et partie haute du portail.
    Partie centrale du transept nord : rosace, fenêtres et partie haute du portail.
  • Détails du chevet.
    Détails du chevet.
  • La façade principale de nuit.
    La façade principale de nuit.
Plan de la cathédrale de Tours.

Caractéristiques

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Sa construction ayant été particulièrement lente[Note 2], elle présente un ensemble très complet d'architecture religieuse française duXIIe au XVIe siècle. Ainsi, la base et les contreforts des tours sont d'époqueromane, l'ornementation générale est du purgothique, rayonnant et flamboyant, et les sommets des deux tours sont dans le style Renaissance du début duXVIe siècle.

Vitraux

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Sur le plan architectural, Saint-Gatien, pourtant très bel édifice, n'est peut-être pas reconnue comme une des cathédrales gothiques majeures de la France. Mais elle possède un joyau exceptionnel : sa collection de vitraux. Les plus beaux, éblouissants, ornent les chapelles du déambulatoire et les fenêtres hautes du chœur. C'est un des plus parfaits ensembles duXIIIe siècle (vitraux à médaillons) existant en Europe, complet, intact, multicolore, très varié. Il faut ajouter les deux roses du transept, duXIVe siècle, ainsi que ceux de la nef et de la façade, duXVe. Un autre beau vitrail duXVe siècle orne une des chapelles du bas-côté sud. C'est aussi une sorte de conservatoire des vitraux tourangeaux, le chapitre ayant acquis à la fin duXVIIIe siècle et au début duXIXe siècle des vitraux provenant des églises détruites de la ville, comme Saint-Julien et Saint-Martin. Ils se trouvent aujourd'hui surtout dans les déambulatoires[4].

Entre 1841 et 1863, l'atelier Lobin est chargé de restaurer et remonter les vitraux anciens. Certains panneaux, jugés incompatibles avec le projet de restauration, passèrent dans le commerce d'art. Un ensemble sur la Création fut racheté en 1916 et placé dans une chapelle latérale sud. D'autres ont été identifiés dans certains musées américains[4].

À l'occasion de la restauration du bras nord du transept, lancée en 2009, il a été décidé de mettre en place des vitraux dans les quatre grandes fenêtres du bras du transept, qui en étaient dépourvues. À la suite d'un concours de 2011, le projet choisi a été celui deGérard Collin-Thiébaut, artiste vivant en Franche-Comté, et du maître verrier Pierre-Alain Parot installé en Bougogne. Ces verrières contemporaines développent et renouvellent la thématique liée à saint Martin.

Mobilier

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Tombeau des enfants de Charles VIII et Anne de Bretagne.
Tableau de laMise au tombeau d'après celui duTitien qui se trouve aumusée du Louvre (don de messieursGoüin etPaul Mame en 1878).

On peut voir dans la cathédrale le tombeau de deux des enfants deCharles VIII et d'Anne de Bretagne, morts en bas âge. Ce tombeau, en marbre de Carrare, est de pur style Renaissance. Les deux gisants[Note 3] sont de l'école deMichel Colombe sur un soubassement[Note 4],[5] réalisé par l'Italien Girolamo Paciarotto, dit « Jérôme Pacherot », c'est-à-dire la même combinaison que pour le grand tombeau du duc François II de Bretagne à la cathédrale de Nantes, mais ici l’œuvre, toujours de grande qualité, est plus petite, plus modeste et l'intervention de Michel Colombe lui-même pas attestée. Ce monument se trouvait en1506 dans lacollégiale Saint-Martin avant d'être démantelé à la Révolution puis remonté en1814 à Saint-Gatien où il est restauré une première fois en1834[6].

La cathédrale possédait quatre tapisseries d'Aubusson duXVIIe siècle, classées aux Monuments historiques en 1892[7], volées dans la nuit du 27 au[8],[9] parAlexandre Jacob[10] :

Depuis 2011, la cathédrale abrite un grandtabernacle duXVIIe siècle en chêne plaqué d'ébène et d'ivoire, ayant appartenu à une chartreuse, puis au carmel de Créteil qui l'a donné à l'État dans les années 1950. Il ornait depuis 1963 la chapelle duchâteau de Chambord, mais le domaine désirait ne se remeubler qu'en objets liés à son histoire. Le tabernacle a été transféré et rénové à la cathédrale Saint-Gatien. Un soubassement et une grille de protection ont été ajoutés[11]. Il est désormais exposé dans une des chapelles du déambulatoire.

Polychromie des murs

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La redécouverte de peintures murales dans la chapelle de la Vierge en 1873[12] et des sondages archéologiques menés en 1993 permettent de reconstituer l'histoire des peintures murales qui recouvraient l'intérieur de la cathédrale.

Les traces de peintures les plus anciennes indiquent que les murs furent entièrement recouverts d'une couche de chaux blanche. Une couche d'ocre jaune à faux-joints blancs recouvrait l'ensemble. Quelques lignes de peinture noire venaient souligner certaines modénatures.

À la fin du Moyen Âge la partie basse des colonnes fut recouverte de peinture rouge et verte à motifs floraux. Ce décor comportait vraisemblablement des applications métalliques. Clefs de voûte et départs d'ogives étaient peints en rouge, vert ou bleu. À l'époque moderne, des décors végétaux de couleur brune furent appliqués sur certaines surfaces. En 1787, afin d'éclaircir l'édifice, l'Italien Borrany repeint l'ensemble des murs, sans faux-joints. En 1844 eut lieu un nouveau blanchissage des murs avec faux-joints rouges.

Lors de la restauration du chœur en 1994, il fut décidé de restaurer, et parfois de rétablir, la polychromie la plus ancienne, à fond ocre et faux-joints clairs.

Les orgues

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Les grandes orgues.

Lebuffet d'orgues aurait été offert par l'archevêqueMartin de Beaune auXVIe siècle mais cette tradition n'est pas documentée. Il est placé au fond du bras sud du transept sur une tribune en bois, comme celui de laCathédrale du Mans.

Endommagé pendant lesguerres de Religion, il a subi ensuite plusieurs restaurations et même auXVIIe siècle une véritable reconstruction, sans doute vers 1620. Le style du buffet actuel est d'ailleurs assez caractéristique de cette époque. Les nombres de jeux et de tuyaux sont inconnus.

Composition

Positif
56 notes
Montre 8'
Bourdon 8'
Flûte 8' (D)
Prestant 4'
Flûte 4'
Nazard 2' 2/3
Doublette 2'
Quarte 2'
Tierce 1' 3/5
Larigot 1' 1/3
Cornet V
Fourniture III
Cymbale III
Trompette 8'
Hautbois 8'
Cromorne 8'
Voix humaine 8'
Clairon 4'
Grand-Orgue
56 notes
Montre 16'
Bourdon 16'
Montre 8'
Bourdon 8'
Viole de gambe 8'
Prestant 4'
Flûte 4'
Grosse tierce 3' 1/5
Nazard 2' 2/3
Doublette 2'
Quarte 2'
Tierce 1' 3/5
Flageolet 1'
Grand cornet V
Grande fourniture II
Fourniture IV
Cymbale III
Bombarde 16'
Trompette 8'
Clairon 4'
Récit expressif
56 notes
Bourdon 8'
Flûte harmonique 8'
Gambe 8'
Voix céleste 8'
Flûte octaviante 4'
Octavin 2'
Cornet V
Trompette 8'
Basson-hautbois 8'
Voix humaine 8'
Clairon 4'
Pédale
30 notes
Soubasse 32'
Flûte 16'
Flûte 8'
Flûte 4'
Bombarde 16'
Trompette 8'
Clairon 4'

Les cloches

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La tour Sud (celle de droite) abrite une sonnerie de4 cloches de volée.

« Christus » provient de l’Abbaye Saint-Paul située à Cormery, située à 20 km au sud-est de Tours.

La population de Cormery est mobilisée : la loi du impose aux communes de ne conserver qu’une seule cloche pour sonner le tocsin en cas d’incendie. Or, Cormery en dispose encore de deux : la cloche sans nom de l’église paroissiale et la cloche « Christus ».

Le, le préfet envoie une équipe d’ouvriers descendre « Christus » de la tour de l’Abbaye. Le maire refuse toute aide et les ouvriers se retirent. « Christus » est la dernière des7 cloches de l’abbaye qui subsiste ; elle est la plus grosse du département, la fierté des Cormeriens.

L’indignation de la population et leur révolte empêche le démontage de la cloche décidé par le préfet. Elle sera précipitée sur le sol dans un fracas épouvantable lorsque les habitants coupent les cordes. Mais la cloche n’est pas brisée ; alors les femmes la couchent sur le côté et la roulent jusqu’au pied de l’église Notre-Dame de Fougeray (église paroissiale de Cormery, située à 400 mètres de l’abbaye).

Le le préfet menace de mesures administratives et même judiciaires la municipalité et les habitants, si la cloche n’est pas rendue. La population découragée cède et « Christus » est transféré dans la tour Sud de la cathédrale de Tours en 1807.

Autres lieux

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Les tours de la cathédrale et le fronton du palais des Archevêques, vus depuis le jardin du musée des Beaux-Arts.
Article détaillé :Cloître de la Psalette.

Au nord de la cathédrale se trouve uncloître, également d'époque Renaissance, classé au titre desmonuments historiques par laliste de 1889[13]. Ce cloître porte le nom de « cloître de la Psalette », en référence à sa fonction d'école despsaumes (chants religieux).

Encore plus au nord (environ 350 m), les vestiges dethermesGallo-Romains découverts lors des fouilles de 1974-78, sous les fondations originelles duChâteau de Tours dont la tour de Guise (XIIIe siècle), du nom dujeune duc qui s'en échappa en 1591[14], est notamment conservée.

Au sud de la cathédrale, l'ancien palais de l'archevêque, bâti au débutXVIIIe siècle, est depuis leMusée des Beaux-Arts de Tours.

Notes et références

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Notes

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  1. Elle se retrouve également àSoissons après que lacathédrale est rebâtie et agrandie auXIIIe siècle.
  2. Ce qui a entraîné la création d'un dicton local :« ... avant que la cathédrale ne soit finie » pour mentionner quelque chose de particulièrement long et difficile à achever (dicton de même valeur que« on n'est pas rendu àLoches »).
  3. Les deux gisants sur la table noire sont vêtus de robes semées de fleurs de lis et de dauphins, accompagnés de quatre angelots qui soutiennent les coussins et les armoiries des princes.
  4. Sarcophage constitué d'un socle et de deux registres, le registre inférieur sculpté de guirlandes, rubans,tondi et anges portant des blasons, le supérieur de rinceaux, scènes allégoriques et d'ornements qui annoncent la « Renaissance tourangelle ». Les quatre angles sont composés de formes zoomorphes (tel le coq symbole de la Résurrection) et phytomorphes. Les petits côtés sont ornés de deux médaillons en marbre noir, le premier portant les inscriptions en lettres gothiques suivantes :« Charles huitiesme, roi pieux et excellent
    Eut de Anne, reyne et duchesse en Bretagne
    Son premier fils nommé Charles Orland
    Lequel régna, sans mort que rien n'épargne
    Trois ans, trois moys, Dauphin de Viennoys
    Comte d'Yois et de Valentionois
    Mais l'an cinq cens moins cinq il rendit l'âme
    À Amboise, le seziesme du moys
    De décembre, puis fut mis soubz la lame. »
    La gravure du second est :
    « Par Atropos, qui les cueurs humains fend
    D'un dard mortel de cruelle souffrance
    En dessoubz gist Charles, second enfant
    Du roy Charles, et de Anne, reyne de France
    Lequel vesquit Dauphin de Viennoys
    Comte d'Yois et de Valentionois
    Vingt et cinq jours, puis lès Tours du Plessis
    En octobre mourut le deux du moys
    Mil quatre cens avec nonante et six. »

Références

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  1. Noticeno PA00098135, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  2. Claude Andrault-Schmitt,« La cathédrale de Tours. Le chevet duXIIIe siècle », dansCongrès archéologique de France.155e session. Touraine. 1997, Paris,Société française d'archéologie,, 404 p.(ISBN 978-2-36919-096-7,lire en ligne),p. 281-299.
  3. Thomas Rapin,« La cathédrale de Tours : La façade. La campagne duXVe siècle et le programme iconographique du portail central », dansCongrès archéologique de France.155e session. Touraine. 1997, Paris,Société française d'archéologie,, 404 p.(ISBN 978-2-36919-096-7,lire en ligne),p. 301-315.
  4. a etbFrançoise Perrot,« Note bibliographique sur les vitraux du chevet de la cathédrale de Tours : entre l'Ouest et l'Île-de-France », dansCongrès archéologique de France.155e session. Touraine. 1997, Paris,Société française d'archéologie,, 404 p.(ISBN 978-2-36919-096-7,lire en ligne),p. 325-328.
  5. Denis Jeanson,Sites et monuments du grand Tours, Astragale,,p. 142.
  6. Flaminia Bardati et Tommaso Mozzati, « Jérôme Pacherot et Antoine Juste : artistes italiens à la cour de France »,Studiolo,no 9,‎,p. 217.
  7. Arrêté de classement au 8 juin 1892. Archives nationales, cote F/19/7904.
  8. La Vérité française, 29 mars 1903.
  9. Archives nationales, restauration de la cathédrale de Tours, F/19/7904.
  10. André-François Ruaud,Arsène Lupin, une vie, 2012, page consultable surGoogle Books
  11. http://www.draccentre.culture.gouv.fr/userfiles/files/Tabernacle17022011.pdf
  12. Arnaud de Saint-Jouan, « Tours. Cathédrale Saint-Gatien : la restauration du décor intérieur du choeur. »,Congrès archéologique de France,vol. 1997,no 155,‎,p. 317-324(lire en ligne).
  13. Noticeno PA00098142, sur la plateforme ouverte du patrimoine,base Mérimée,ministère français de la Culture.
  14. La Tour de Guise du château de Tours sur unregardsurtours.blogspot.fr (consulté le 9 avril 2013)

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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