Les titres de presse communistes à la Libération sont nombreux, à l'époque où le PCF en France est à son apogée et confie àMaurice Kriegel-Valrimont un "Bureau de presse du PCF"[1] regroupant une agence centrale de publicité, une école centrale de journalistes[1], l’agence de presseUnion française d'information, dirigée jusqu'au 1er janvier 1950 parJean Colombel, mais aussi les nombreux hebdomadaires et douze journaux quotidiens régionaux[1], mais pas les deux nationaux,L'Humanité etCe Soir[1].
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