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Canal de Nantes à Brest

48° 18′ 14″ N, 4° 17′ 23″ O
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Canal de Nantes à Brest
Illustration.
Bateau de plaisance franchissant l'écluse de Saint-Jouan, sur la partie de l'Oust canalisé du canal de Nantes à Brest enMorbihan.
Géographie
PaysDrapeau de la FranceFrance
Coordonnées48° 18′ 14″ N, 4° 17′ 23″ O
DébutLoire,Nantes
FinRade de Brest,Brest
TraversePays de la Loire
Bretagne
Caractéristiques
Longueur364 km
Gabarit25,70 m sur 4,50 m
Mouillage1,60 m
Hauteur libre2,40 m
Infrastructures
Écluses238
Histoire
Année début travaux1803
Année d'ouverture1858
Administration
Site webhttps://canal-nantes-brest.fr/https://canaux.bretagne.bzh/
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Lecanal de Nantes à Brest est uncanal à petit gabarit qui traverse laBretagne, reliant les villes deNantes et deBrest. Il emprunte les vallées de l'Erdre, de l’Isac, de l’Oust, duBlavet (à partir deGouarec, puis àPontivy), duDoré, duKergoat, de l’Hyères et de l’Aulne ; ces rivières sont reliées par trois canaux de jonction franchissant deslignes de partage des eaux. Sa construction remonte à la première moitié duXIXe siècle et sa longueur totale est de 364 km. Le canal n'est plus navigable dans sa continuité depuis 1930 et la mise en eau dubarrage de Guerlédan, à la limite des départements du Morbihan et des Côtes d'Armor. Aujourd'hui le canal n'a plus d'activité de fret mais de tourisme sur de larges parties encore ouvertes à la navigation.

Unevoie verte a été aménagée tout le long du canal, empruntant les anciens chemins dehalage.

Sur les territoires relevant de leur compétence, leconseil régional de Bretagne et leconseil départemental de la Loire-Atlantique sont propriétaires du canal de Nantes à Brest.

Géographie

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Le canal à partir de La Loire au Sud
Écluseno 234, Toul ar rodo.

De l’Erdre à l’Aulne, le canal mesure 364 km, mais seulement 20 % de sa longueur (soit environ 73 km) est artificiel. Huitcours d'eau sont canalisés pour l’alimenter, ou aménagés pour les rendre navigables, devenant les ramifications d’un assez surprenant réseau navigable breton.

Le canal passe par les cinq départements deBretagne: laLoire-Atlantique, l'Ille-et-Vilaine, leMorbihan, lesCôtes-d'Armor et leFinistère.

Histoire

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Borne 354 du canal.

L'idée d'ouvrir une voie de navigation intérieure en Bretagne remonte auXVIe siècle lors de l'union duduché de Bretagne au royaume de France. La canalisation de laVilaine, décidée en 1538 par lesÉtats de Bretagne, rend ce fleuve navigable de Rennes àMessac, et permet dès1585 la première liaison fluviale de la capitale bretonne àRedon et au « golfe de Gascogne » par la Vilaine maritime.

L'intérêt économique d'un canal de Nantes à Brest est de désenclaver leCentre-Bretagne (avec peu de chemins à peine carrossables, il est appelé « la Sibérie de la Bretagne »), permettant à tous les points de ce territoire d'être à moins de 15 kilomètres d'une voie d'eau (mer et sesrias, rivières ou canal). En 1627, les États de Bretagne approuvent un projet destiné à relier Brest àCarhaix par un canal, mais ce projet avorte par manque de financement[1].

En 1730, l'ingénieur Abeille propose de canaliser la Vilaine, l'Ille et la Rance, afin de relier la Manche et l'océan Atlantique par un réseau fluvial[2]. Ce sont les différentsblocus maritimes, imposés depuis 1688 sous le règne deLouisXIV, qui conduisent les États de Bretagne à faire étudier la mise en place d’un réseau de canaux, en Bretagne, et aussi dans leMaine. En 1745, le comte François Joseph de Kersauson initie un vague projet de Nantes à Brest qui est abandonné, faute de financement. En janvier 1783, unecommission de navigation intérieure est nommée pour étudier tous les projets. Partant de cette idée, cette commission présente au roiLouisXVI, le, une carte générale des projets qu'elle lui commente[3]. Cette commission spéciale s'entoure des compétences de membres de l'Académie royale des sciences, dont l'abbé Rochon ouNicolas de Condorcet qui analysent notamment les mémoires des différents projets de navigation. Il faut cependant attendre le début duXIXe siècle et leblocus de Brest par lesBritanniques, pour convaincreNapoléon Ier de l’intérêt stratégique de débloquer Brest par l’arrière-pays, d'approvisionner en vivres et munitions les arsenaux de Brest et Lorient avec Nantes et Saint-Malo[3].

Les dates clés :

  • 1803 : l’ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Guy Bouessel est chargé de l’étude du projet ;
  • 1804 : Bouëssel se rend sur le terrain[4] ;
  • 1806 : timide début du chantier, sur la section Nantes-Redon[5] ;
  • 1811 : des décrets autorisent l'emploi de prisonniers de guerre et de condamnés, répartis en bataillons[5]. À la suite du décret impérial de construction des canaux de Bretagne signé le par Napoléon, début des travaux aux deux extrémités (dans la Loire-Inférieure et dans le Finistère). Le 7 septembre 1811, pose de la première pierre de la première écluse sur l’actuel « bief de Guilly Glaz », à la frontière des communes dePort-Launay etChâteaulin ;
  • 1812-1814 : construction du « bief des Bouts-de-Bois », par des Espagnols prisonniers de guerre ; ces forçats, logés dans le camp des Jarriais, près deSaffré, connaissent des conditions très dures ; ils sont libérés en 1814[6] ;
  • 1813 : le 6 mars, les travaux commencent à Nantes, sur l'Erdre, depuis le pont Morand vers la Loire, nécessitant la destruction de maisons[7]. Les ouvriers et les ingénieurs créent au total près de 600 kilomètres de voies et325 écluses dans les cinqdépartements traversés par le canal. Ces ouvriers, parfois des paysans (des recruteurs battant la campagne), rarement des mendiants (bien que le préfet desCôtes-du-Nord lecomte de Bagneux prenne un arrêt anti-mendicité à cet effet), souvent des bagnards ou des prisonniers de guerre (camp militaire deGlomel, prisonniers espagnols dans les landes des Jarriais enLoire-Inférieure, payés 30 centimes puis un franc par jour mais une bonne part du salaire est retenu pour la nourriture, l'habillement, le logement et les soins, ce qui provoque révoltes et désertions, poussant les attributaires des adjudications à les payer au volume déblayé)[3].
  • 1822 : création de laCompagnie des Canaux de Bretagne, dont les emprunts relancent le chantier freiné par la complexité des travaux, la période révolutionnaire puis la chute dupremier Empire, travaux sous la direction du comteJean-Marie de Silguy ;
  • mai 1826 : ouverture des quatre premiers kilomètres du canal dans leFinistère ;
  • 1829 : 28 écluses entre Port-Launay et Pont-Triffen sont ouvertes à la navigation[8] ;
  • 1836 : ouverture à la navigation de la section Nantes-Redon et Brest-Carhaix ;
  • 1838 : fin de la construction de larigole d'Hilvern, ouvrage d'acheminement de l'eau dans le bief d'Hilvern ;
  • 1er janvier 1842 : la voie d'eau entre Nantes et Brest de 360 km est ouverte à la navigation sur toute sa longueur[8] ;
  • 1855 : mise en eau du bassin de Redon[8] ;
  • 1858 : inauguration du canal parNapoléonIII et l’Impératrice Eugénie sur le site de l’écluse maritime de « Guilly Glaz ».

Les travaux les plus importants ont été ceux de la construction de la "Grande Tranchée" deGlomel, entre 1823 et 1832, assurée en grande partie par des bagnards. Les conditions de travail sont très dures de par la nature du sous sol, la profondeur et les conditions climatiques : on y atteint le point haut du canal, 184m d'altitude, et la région est surnommée la Sibérie de Bretagne. Plus à l'est, une double écluse (deux écluses consécutives avec une porte commune) a dû être construite à Coat Natous enMellionnec en raison de l'importance dudénivelé à cet endroit[9].

Article détaillé :Glomel#La construction de la tranchée de Glomel et les bagnards.

« L’eau coulant dans le canal, portera dans tous les esprits,

Comme le sang dans les veines, le baume de la vie,
L’éguillon stimulant de l’industrie. Tout va changer par la navigation. »

— M. de Brie, Mémoire (1784)

L'industrieardoisière s'est beaucoup développée auXIXe siècle le long du canal, celui-ci facilitant le transport des ardoises: des ardoisières ouvrent ou trouvent un nouveau dynamisme (certaines étaient déjà en activité les siècles précédents) àSaint-Coulitz,Saint-Ségal,Lothey,Pleyben,Gouézec (Pont-Coblant),Châteauneuf-du-Faou,Saint-Goazec (l'ardoisière du Rick en Saint-Goazec fut la plus grande carrière à ciel ouvert de Bretagne),Landeleau,Cléden-Poher,Spézet,Motreff, etc. dans leFinistère, àMûr-de-Bretagne et dans la région deGuerlédan comme àCaurel, etc. dans lesCôtes-du-Nord.Port-Launay, débouché maritime du canal sur laRade de Brest, devint un port important pour l'exportation des ardoises à destination de Brest et des ports de laManche[10].

Abel Soreau :Chaland sous voile dans le Canal de Nantes à Brest (vers 1900).

Le fret est en outre composé de denrées alimentaires — céréales, vins, sucre, sel ; de matières premières — bois, sable de Loire, ardoise, tuffeau angevin, houille pour les forges de Loudéac ; engrais agricoles — chaux de Maine-et-Loire[11], sable calcaire ; produits divers — charbon, cire, chanvre, lin…[12])

Le chaland "Victor", dernier vestige de la batellerie sur le canal de Nantes à Brest, visitable au pont de Ti-Men (à la limite des communes deLennon,Gouézec etPleyben)

Le canal était d'un gabarit trop faible au vu de l'évolution de la batellerie. Le développement duchemin de fer à partir des années 1850 (notamment laligne Carhaix-Châteaulin-Camaret en 1911), la construction de routes et la construction dubarrage hydroélectrique de Guerlédan (qui isole les parties finistérienne et costarmoricaine du reste du réseau et donne naissance au plus grand lac artificiel breton, lelac de Guerlédan) à partir de 1923, mettent un terme au fret par voie d’eau douce entre Nantes et la rade de Brest. Le trafic, ayant progressé de 10 000 tonnes (1859) à 174 000 tonnes (1911), a dès lors décliné. Labatellerie bretonne a pourtant motorisé ses bateaux dans les années 1930. En septembre 1928, la dernière péniche débarque des marchandises à l'écluse du Moulin-Neuf contre laquelle est construit lebarrage de Guerlédan, et le tunnel qui permettait de le franchir est bouché. C'est en 1942 que le dernier chaland franchit l'écluse deChâteauneuf-du-Faou[13]. Le déclassement de la section Port-Launay - Guerlédan, soit la partie finistérienne et costarmoricaine du canal, a lieu en 1957 lorsque le décret du 27 juillet la raye de la nomenclature des voies navigables ou flottables[14]. La partie orientale du canal reste active, notamment de Nantes à Josselin ; les années 1970 voient la fin de la navigation commerciale et l'essor de la plaisance.

Aujourd’hui, les chevaux dehalage (dont la vitesse moyenne était de2 km/h en charge) ont laissé place aux pêcheurs, promeneurs et sportifs.Gabares etchalands disparus, le canal n’ouvre plus sesécluses qu’aux amateurs de canoës ou kayaks, aux plaisanciers sur voiliers, vedettes et autres bateaux motorisés, l'outil industriel et commercial s'étant mué en axe touristique.

Le barrage de Guerlédan et ses écluses jamais créées

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Vue du déversoirno 119 de Guerlédan - tête de la dérivation de Saint-Samson ; photo prise par J. Duclos entre 1890 et 1895.
Écluseno 127 de Trégnanton en 1883 (engloutie).
Éclusesno 135 de Granges etno 136 de Longeau dans la vallée du Malvran, en 1883 (englouties).

À l'origine de l'édification dubarrage de Guerlédan, une échelle de plusieurs écluses devait être construite en parallèle pour maintenir la navigation sur le canal. Ce projet n'a jamais abouti, divisant ainsi le canal en deux tronçons et limitant la navigation, à l'Ouest de Nantes à Pontivy - branche Est, dans la Loire-Atlantique et le Morbihan, et de Carhaix à la mer - branche Ouest, dans le Finistère. En conséquence, il accéléra l'abandon progressif du transport sur le canal, déjà mis à mal par l'arrivée duchemin de fer dans le centreBretagne.

Le lac du barrage a également englouti 17 écluses qui équipait le canal de Nantes à Brest[15].

ÉCLUSES ENGLOUTIES[16].
ÉcluseLieuAltitudeDistance de Nantes
no 120Moulin neuf[17]84,04 mètres227,3 kilomètres
no 121Castel-Finans[18]85,64 mètres228,3 kilomètres
no 122Caurel[19]88,74 mètres229,5 kilomètres
no 123Kergoff[20]90,64 mètres230,9 kilomètres
no 124Pouldu[21]92,68 mètres232,0 kilomètres
no 125Baraval[22]95,18 mètres232,8 kilomètres
no 126Kermadec[23]96,75 mètres233,5 kilomètres
no 127Trégnanton[24]99,75 mètres234,0 kilomètres
no 128Cosquer[25]102,25 mètres234,2 kilomètres
no 129Cuilleret[26]104,75 mètres234,4 kilomètres
no 130Zélo[27]106,75 mètres234,7 kilomètres
no 131Saint-Gelven[28]109,25 mètres235,0 kilomètres
no 132Malvran[29]111,58 mètres235,2 kilomètres
no 133Toul-er-Lann[30]113,62 mètres235,4 kilomètres
no 134Toulhouët[31]115,94 mètres235,7 kilomètres
no 135Granges[32]118,44 mètres236,2 kilomètres
no 136Longeau[33]120,94 mètres236,7 kilomètres

Le groupeSGE était tenu par la concession du de rétablir la navigation au moyen d'une échelle d'écluses, recevant pour cela une subvention importante de l'État[Note 1].

En, undécret enConseil d'État substitue l'Union Hydro-Électrique Armoricaine à la SGE. Neuf projets furent présentés, certains acceptés, d'autres refusés, mais le projet n'aboutit jamais[34].

En1946,Électricité de France, deviendra concessionnaire de l'usine, lors denationalisation de l'électricité. En1953, EDF remboursera la subvention accordée en1930. La concession a été renouvelée en2008, pour une nouvelle période de 40 ans, avec un nouveau cahier des charges.

Pour autant, le projet de rétablissement de la navigation est souvent remis sur la table par la population et les usagers du Canal de Nantes à Brest. Celle-ci serait possible grâce à l'installation d'unascenseur à bateaux[35] (comme leplan incliné de Saint-Louis-Arzviller en Moselle remplace 17 écluses pour une hauteur de 44 m ou l'ascenseur rotatif, laRoue de Falkirk, inauguré en2002, àFalkirk, enÉcosse, pour un coût de 24 millions d'euros[36]).

Tourisme et loisirs

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Écluse abandonnée du canal sur la portion désormais non navigablePontivy -barrage de Guerlédan.

Les promeneurs à pied ou à vélo peuvent longer le canal entièrement grâce aux chemins dehalage. Cet itinéraire a d'ailleurs été inclus dans le tracé de la vélorouteVélodyssée.

Finistère

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La partie du canal située dans le département du Finistère comporte 46 écluses sur environ 100 km traversant 22 communes riveraines avec de nombreux ports et points de séjour accessibles, aussi bien aux randonneurs et promeneurs : à pied, à vélo, à cheval, ainsi qu'aux kayaks et pénichettes, camping-caristes, campeurs, etc.., avec le canal navigable à partir de Port Launay.

Loire-Atlantique

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La portion située dans le département de Loire-Atlantique comporte 18 écluses sur environ 74 km. L’écluseno 1 de Saint-Félix délimite le début du canal entre la Loire et l'Erdre.

La retenue d'eau du Vioreau, àJoué-sur-Erdre, fut créée en 1835 par des prisonniers Espagnols pour alimenter en eau le canal. LeGrand réservoir de Vioreau couvre plus de220 ha et peut contenir8 millions de m3 d'eau ; il est relié au canal par unerigole longue de plus de 21 km. Entre septembre 2022 et le printemps 2024, de grands travaux de sécurisation, de rehaussement et de renforcement du barrage, ainsi que la construction d'undéversoir, vont entraîner la fermeture à la navigation du tronçon entre l'écluse de Quiheix et celle de Melneuf, soit sur une longueur d'environ 65 km, qui enregistre habituellement environ 1 200 passages de bateaux chaque année[37].

Caractéristiques techniques

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Le canal de Nantes à Brest est jalonné de 238 écluses dont 17 furent englouties par lebarrage de Guerlédan, la dernière écluse est la237 mais il existe une17 bis àRedon. Les principaux cours d’eau canalisés sont : l’Erdre, l’Isac, l’Oust, le Douric, leBlavet, leDoré, leKergoat, l’Hyères et l’Aulne. Sa longueur totale est de 360 km.

Le canal regroupe des sections très différentes :

  • Une rivière quasi naturelle, l'Erdre, seul le confluent avec la Loire est aménagé. Barrage déversant et écluse
  • Des rivières canalisées par des barrages, écluses, chemins de halage, rectifications de cours
  • Des sections artificielles, constituant un canal latéral à la rivière ou une dérivation de celle-ci, par exemple pour permettre au canal de passer au centre de la ville deRedon, ou éviter des zones trop inondables
  • De longues sections artificielles constituant un canal de jonction entre deux vallées, franchissant uneligne de partage des eaux, grâce à unbief de partage. Ces sections posent le plus de difficultés techniques, puisqu'il faut amener l'eau au sommet du canal, et franchir d'importantes dénivellations grâce à de nombreuses écluses. On dénombre trois canaux de jonction àbiefs de partage sur le canal de Nantes à Brest :

Les travaux ont coûté 160 millions de francs-or de 1860 soit 150 millions d’euros en 2000.

Les écluses sont de petit gabarit : 27 × 4,7 mètres. Seules les écluses qui ne sont pas d'origine, de Guily Glaz à Châteaulin et Saint-Félix à Nantes, aux deux extrémités du canal, sont plus grandes : 40 × 10 m pour l'écluseno 237 et 50 × 7 m pour lano 1.

Photos

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Notes et références

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Notes

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  1. « le concessionnaire sera tenu d’assurer à travers la chute de Guerlédan, à ses frais et sous sa responsabilité le passage des bateaux fréquentant le canal de Nantes à Brest et des marchandises qu’ils transportent ».

Références

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  1. Kader Benferhat,Le canal de Nantes à Brest, éd. Ouest-France, réed. 13 février 2007, 142 p.
  2. Abed et Sigot 1998,p. 7.
  3. ab etcJean Kergrist, émissionLa marche de l'histoire sur France Inter, 28 juin 2011.
  4. Abed et Sigot 1998,p. 15.
  5. a etbAbed et Sigot 1998,p. 19.
  6. Abed et Sigot 1998,p. 30.
  7. Abed et Sigot 1998,p. 24.
  8. ab etcAbed et Sigot 1998,p. 31.
  9. http://www.tourismekreizbreizh.com/index.php/content_page/19-sites-naturels/2405-ecluse-double-de-coat-natous-canal-de-nantes-a-brest
  10. Léna Gourmelen,Ardoise en Bretagne, Coop Breizh, 2008(ISBN 978-2-84346-383-9).
  11. La « route de la chaux » apporte ainsi ce matériau qui sert de liant de construction et d'amendement calcaire.
  12. [PDF]Pourquoi des canaux en Bretagne ?
  13. Balades en vallée de l'Aulne : le canal de Nantes à Brest.
  14. Robert Vivian,La Loire, Privat,,p. 74
  15. Le Télégramme, « Un livre sur les écluses englouties, par Gilles du Pontavice », surletelegramme.fr,(consulté le).
  16. Poudouvre, « Le barrage de Guerlédan », surpoudouvre.over-blog.com,(consulté le).
  17. Noticeno IA22132914, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  18. Noticeno IA22132917, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  19. Noticeno IA22132915, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  20. Noticeno IA22132916, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  21. Noticeno IA22132918, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  22. Noticeno IA22132919, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  23. Noticeno IA22132920, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  24. Noticeno IA22132921, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  25. Noticeno IA22132922, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  26. Noticeno IA22132923, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  27. Noticeno IA22132924, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  28. Noticeno IA22132925, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  29. Noticeno IA22132926, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  30. Noticeno IA22132927, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  31. Noticeno IA22132928, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  32. Noticeno IA22132930, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  33. Noticeno IA22132929, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de larégion Bretagne.
  34. Archives du Morbihan, « Le barrage de Guerlédan », surarchives.morbihan.fr(consulté le).
  35. Ouest-France, « Guerlédan. Mûr-de-Bretagne rêve d'un ascenseur à bateaux », surouest-france.fr,(consulté le).
  36. Alix Froissart - Le Télégramme, « Ascenseur à bateaux. La solution à Guerlédan ? », surletelegramme.fr,(consulté le).
  37. Didier Déniel, « Le canal de Nantes à Brest fermé à la navigation pendant de longs mois »,JournalLe Télégramme,‎(lire en ligne, consulté le).

Annexes

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Bibliographie

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Ouvrages historiques

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Guides

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Fictions

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Jean Kergrist,Bagnards en cavale, Spézet, Keltia Graphic,, 204 p.(ISBN 2-913953-80-8).

Articles connexes

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Liens externes

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