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Cet article est uneébauche concernant uneécrivainefrançaise.
| Naissance | |
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| Décès | |
| Nom de naissance | |
| Pseudonymes | |
| Nationalité | |
| Activité | écrivaine, traductrice |
| Père | Georges Saint-René Taillandier(d) |
| Mère | |
| Conjoint | Pierre Hepp(d) |
| Enfant |
| Genre artistique | |
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| Distinctions | |
| Archives conservées par | Archives départementales des Yvelines (166J, Ms 5467-5469, 9843-9882, 42s,-)[1],[2] |
Histoire de Gotton Connixloo,Récits de l'invasion(d) |
Marianne Saint-René Taillandier, diteCamille Mayran, née àMunich le et morte àStrasbourg le, est unefemme de lettresfrançaise, première lauréate féminine duGrand prix du roman de l'Académie française en1918.
Marianne Saint-René Taillandier est la petite-nièce d'Hippolyte Taine[3] et la petite-fille de l'historien et écrivainSaint-René Taillandier. Son père, Georges Saint-René Taillandier, est diplomate, et sa mère, néeMadeleine Chevrillon, à laquelle elle consacra un livre de souvenirs, est historienne. Son mari, Pierre Hepp, avec lequel elle publie un livre sur l'Alsace, est directeur deLa Revue de Paris. Sa fille est l'universitaireNoémi Hepp.
Camille Mayran a été une amie deCharles du Bos. Son romanHistoire de Gotton Connixloo, publié au lendemain de laPremière Guerre mondiale et dédié àPaul Bourget, est l'un des grands succès d'éditions de cette période et reçoit leGrand prix du roman de l'Académie française en 1918. Elle a fait également de nombreuses traductions des œuvres deJohn Galsworthy.
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