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Calendrier liturgique romain

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Missel romain de 2008.

LeCalendrier liturgique romain ouCalendrier romain général est lecalendrier liturgique durite romain de l'Église catholique indiquant lescélébrations liturgiques associées à chaque jour de l'année.

L'actuelle forme du Calendrier romain général lui a été donnée par lemotu proprioMysterii paschalis publié en 1969 par le papePaul VI et par les modifications faites par ses successeurs.

Calendrier actuel

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L'actuelle forme du Calendrier romain général lui a été donnée initialement par lemotu proprioMysterii Paschalis (en) publié le par le papePaul VI[1] et entré en vigueur le. Le nouveau calendrier privilégie les grandes fêtes chrétiennes et ne retient plus, pour l'Église universelle, que 180 saints associés à leur journée de fête (placée si possible le jour anniversaire de leur mort), les Églises locales étant libres d'inscrire dans leurs calendriers particuliers les célébrations de saints ou bienheureux qui sont inscrits dans leMartyrologe ou dans son appendice, et qui sont approuvées par les autorités ecclésiastiques locales compétente[2]. Cette nouvelle forme a été modifiée au fil des ans successifs.

Quatre nouvelles fêtes de dévotion sont entrées dans le calendrier : le Nom de Jésus (3 janvier), Notre-Dame de Fatima (13 mai), le Nom de Marie (12 septembre), Notre-Dame de Guadalupe (12 décembre). On pourrait ajouter le souvenir de Notre-Dame des Douleurs le vendredi précédant le dimanche des Rameaux avec unecollecte alternative[3].

La plus récente révision majeure incorporée dans le Missel romain remonte à 2002 (troisième édition), mais par la suite d'autres changements ont été apportés au rythme d'un changement tous les deux ans[4]. Parmi ces inclusions récentes, on peut citer les récents papesJean XXIII,Paul VI etJean-Paul II, qui ont eux-mêmes modifié le calendrier de leur vivant.

Structure

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Le Calendrier liturgique romain incorpore un cycle hebdomadaire centré sur ledimanche et un cycle annuel centré surPâques, auxquels on peut ajouter les fêtes dont les dates ne sont déterminées ni par la semaine ni par la date de Pâques mais par le Calendrier civil[5].

Leconcile Vatican II a décrété que le jour dominical est « le jour de fête primordial […] le fondement et le noyau de toute l’année liturgique[6]». Il a aussi déclaré : « Chaque semaine, au jour qu’elle a appelé "jour du Seigneur", elle [l'Église] fait mémoire de la résurrection du Seigneur, qu’elle célèbre encore une fois par an, en même temps que sa bienheureuse passion, par la grande solennité de Pâques[7]».

Ces principes sont réaffirmés dans les normes universelles de l'année liturgique édictées après par leSaint-Siège[8].

Cycle annuel

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Sous l'aspect annuel, le Calendrier liturgique romain est basé sur deux cycles[9] :

  • cycle temporal : cycle principal centré sur les grands événements de la vie deJésus ;
  • cycle sanctoral : cycle secondaire consacré aux fêtes dessaints.
Cycle temporal
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Dans le Calendrier liturgique romain, l'année liturgique commence lepremier dimanche de l'Avent et s’achève avant les premières vêpres dupremier dimanche de l'Avent de l'année civile suivante[10].

Le cycle temporal est organisé en différentes périodes appeléestemps liturgiques[11] :

Temps liturgiquesPériodeExpressions latinesCouleurs liturgiques
Temps de l'Aventdupremier dimanche de l'Avent à la veille de NoëlTempus AdventusViolet
Temps de Noëlde la solennité deNoël auBaptême du SeigneurTempus NativitatisBlanc
Temps ordinairedu lundi qui suit le dimanche tombant après le 6 janvier, et se poursuit jusqu’au mardi avant leCarêmeTempus per annumVert
Temps du CarêmeduMercredi des Cendres auSamedi SaintTempus QuadragesimaeViolet
Temps de Pâquesde Pâques au Dimanche de PentecôteTempus paschalisBlanc
Temps ordinairedu lundi suivant le dimanche de Pentecôte au premier dimanche de l'AventTempus per annumVert

Pendant chacun de ces temps, les lectures de la messe sont organisées en deux séries, celle des dimanches et des fêtes, qui comporte trois lectures, et celle de la semaine, qui en comprend deux[16].

La série des dimanches est répartie sur un cycle des trois années, marquées A, B et C. Chaque dimanche dutemps ordinaire comporte trois séries de textes, suivant le principe de la lecture continue ou semi-continue (certains passages sont omis) desévangiles synoptiques : les années A l'évangile selon Matthieu, les années B l'évangile selon Marc et le chapitre 6 de l'évangile selon Jean, les années C l'évangile selon Luc. L'évangile selon Jean est lu pendant letemps pascal au cours des trois années. La première lecture, tirée de l'Ancien Testament, sauf autemps pascal, s'harmonise avec la lecture évangélique du jour. La deuxième lecture est tirée de l'une desépîtres duNouveau Testament ou de l'Apocalypse de Jean. Ces textes sont lus en semi-continu[16],[9],[10].

En semaine, pendant letemps ordinaire, les lectures évangéliques sont disposées selon un cycle unique, qu'on reprend chaque année alors que la première lecture est répartie sur un cycle de deux ans, suivant les années paires et impaires. Tirée soit de l'Ancien soit du Nouveau Testament, elle est généralement lue selon le principe de la lecture semi-continue : un livre est lu de son début à sa fin, en omettant certains passages ; puis un nouveau livre est commencé. Les cycles de l'Avent, du temps de Noël et du Temps pascal, tant pour la première lecture que pour la lecture évangélique, sont les mêmes tous les ans. Autemps pascal, la première lecture est tirée desActes des Apôtres et on lit l'évangile selon Jean[16].

Cycle sanctoral
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Le cycle sanctoral du Calendrier romain général indique les fêtes dessaints ainsi que les fêtes et solennités liées à laVierge Marie et sont, en général, des dates fixes[17]. Lamémoire obligatoire de la Vierge Marie,Mère de l'Église le lundi après la Pentecôte[18],[19].

L'édition actuelle (2002) duMissel romain prévoit l'annonce, après la proclamation de l'Évangile dans lamesse de l'Épiphanie, des dates desfêtes mobiles de l'année[20]. Une fête est dite mobile quand elle ne tombe pas à date fixe : c’est le cas de toutes celles dépendant du cycle pascal (Pâques, Ascension, Pentecôte, Fête-Dieu)[21]. Elles dépendent de ladate dePâques, fixée selon lecomput ecclésiastique au premierdimanche qui suit la premièrepleine lune après l'équinoxe deprintemps.

On les distingue desfêtes fixes du Calendrier liturgique romain, qui sont liées à des dates déterminées du Calendrier civil (actuellement leCalendrier grégorien du papeGrégoire XIII).

Conformément au décret du concile Vatican II, le calendrier liturgique du rite romain distingue les fêtes générales (qui doivent être célébrées dans le monde entier, et qui sont au nombre de 180 environ), des fêtes dites particulières[22],[17]. Le calendrier général est pour l’usage de tout le rite romain, le particulier pour l’usage d’une Église particulière ou d’une famille religieuse. Les calendriers particuliers, approuvés par le Saint-Siège, contiennent des célébrations spécialement propres, par exemple d'un continent ou région géographique, un pays, un diocèse, une Église locale, une congrégation ou une famille religieuse, s'harmonisant d’une façon opportune avec le cycle général[23],[24].

Rang des célébrations

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Le calendrier précise pour chaque célébration liturgique son rang selon le degré d'importance accordé par lerite romain à l'événement ou ausaint qui est célébré[24],[25] :

  • les 18solennités, dont la célébration commence la veille au soir avec les premièresvêpres et la formule de la messe comprend trois lectures, la récitation duGloire à Dieu et duCredo, et des lectures etoraisons propres ;
  • les 52 ou 53dimanches, dont chacun est considéré le premier jour de la semaine, le jour du Seigneur et la fête primordiale : chaque dimanche est une petite Pâques soulignant que lemystère pascal est le point central de toute l'année liturgique, et commence la veille au soir, et la messe est à trois lectures, avecGloire à Dieu etCredo sont priés, et avec des lectures et des oraisons propres ;
  • les 27fêtes, célébrées dans un jour naturel sans premières vêpres (à moins que certaines fêtes de notre Seigneur ne tombent le dimanche) et dont la messe a généralement deux lectures (trois dans une fête de notre Seigneur qui tombe le dimanche) communes ou propres et des oraisons propres et avecGloire à Dieu ;
  • lesmémoires, dont la célébration de certaines, qualifiées comme facultatives, n'est pas obligatoire, les lectures du jour peuvent être utilisées, à moins qu'il n'y ait des lectures spécifiques qui mentionnent le saint célébré[26].

Le rang de chaque célébration permet de déterminer laquelle doit être retenue pour la liturgie, par exemple dans le cas où unefête mobile et une fête fixe tombent le même jour[27].

Critères de formation du sanctoral

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Le commentaire qui accompagnait la publication de l'actuel Calendrier liturgique romain indique que lesanctoral du calendrier a été formé sur la base de cinq critères[3],[28] :

  • Examen critique des hagiographies traditionnelles de certains saints. On a donc exclu certains à propos desquels il y a de graves difficultés historiques, mais néanmoins on a conservé la mention de sainteCécile de Rome à cause de la dévotion populaire. Parmi lesmartyrs romains qui ont certainement existé mais dont on ne sait rien d'autre que le nom et le lieu et la date anniversaire de l'inhumation, il fallait choisir qui omettre et qui garder. On a aussi retiré du calendrier les noms de supposés saints qui semblent plutôt avoir été les propriétaires de bâtiments privés transformés en lieux de cultepaléochrétien (lestituli oudomus ecclesiae). Ici aussi une exception a été faite pour sainte Cécile.
  • Choix des saints d'importance majeure. Alors que personne ne doute que des saints tels que les quatre grandsdocteurs de l'Église doivent être inclus dans le sanctoral, le choix des autres a été influencé par des facteurs tels que l'établissement d'un équilibre chronologique et géographique, laissant la célébration des autres à des calendriers particuliers, plutôt qu'au Calendrier romain général. Le nombre de papes et de martyrs non romains commémorés a été diminué, gardant les martyrs antiques les plus célèbres et ceux dont le culte est le plus populaire à Rome et ailleurs et les martyrs médiévaux et modernes les plus connus. Parmi les saints non martyrs, 33 mentionnés dans l'édition du sanctoral immédiatement précédente ne se trouvent plus dans le Calendrier liturgique romain.
  • Révision des jours de célébration, pour faire correspondre, selon les possibilités, le jour de fête au jour de naissance au ciel. Si ceci n'était pas possible, le jour immédiatement avant ou après a été choisi ; ou le jour de latranslation du corps, de ladédicace d'une église élevée en son honneur, ou de sonordination ; ou la date à laquelle un saint oriental est célébré dans l'Église à laquelle il appartenait.
  • « Universalisation » du calendrier par l'inscription de saints des divers continents et régions, parmi lesquels les martyrs du Japon, d'Amérique du Nord, d'Ouganda, du Vietnam, de Chine.

Histoire

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Rite pré-tridentin

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Depuis les premiers siècles chrétiens, le Calendrier de l'Église romaine célébrait le dimanche et les principales fêtes telles que Pâques et aussi, chaque année ledies natalis de sesmartyrs. À la fin duIVe siècle, le Calendrier romain était presque complet. La documentation sur la dévotion aux martyrs à Rome, telle qu'elle apparaît dans les calendriers romains de la fin du Moyen Âge auXIIIe siècle, continue de témoigner qu'à Rome seules les fêtes romaines authentiques étaient admises et que normalement chaque Église célébrait les fêtes de ses propres martyrs. UnOrdo Romanus duXIIe siècle nous apprend que le pape se rendait régulièrement auxstationes dont la liste a été conservée encore dans les éditions tridentines duMissel romain[29].

Pie V

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Article détaillé :Calendrier romain tridentin.

Avant la publication par leSaint-Siège en 1570 du premier Missel romain officiel, de nombreuses éditions de ce que l'on signalait comme étant la forme de lamesse à la Curie romaine étaient imprimées sur initiative privée. La première édition connue portant le titreMissale romanum a été réalisée à Milan en 1474, c'est-à-dire à peine24 ans après l'invention de l'imprimerie et4 ans après le premier livre imprimé en France. La production de ce livre a inspiré plusieurs autres éditeurs à publier leurs propres éditions. De 1474 à la publication de 1570 près d'un siècle s'est écoulé. Durant cette période au moins 14 autres éditions paraissent : dix àVenise, trois àParis et une àLyon[30]. Faute d'un organe de contrôle sur leur qualité, ils ont subi plusieurs modifications de la part des éditeurs, dont certaines ne sont pas négligeables[31].

Dans sarévision en 1570 du rite romain de la messe, le papePie V a réduit fortement à 158 le nombre de saints vénérés dans le Calendrier liturgique. On note l'absence de beaucoup de saints d'époques antérieures, par exemple,Patrick d'Irlande,François de Paule,Bernardin de Sienne,Antoine de Padoue,Anne,Joachim,Élisabeth de Hongrie. Cette réduction a été rapidement annulée : au début duXXe siècle, le Calendrier général contenait 230 fêtes et certains calendriers diocésains ajoutaient plus de 100 fêtes propres[32],[33]. Dans le calendrier de Pie V, la fête du 8 décembre s'appelle « Conception de la bienheureuse Marie », sans l'adjectif « Immaculée »[33]. Elle a repris l'adjectif « Immaculée » en 1854[34]. Pie V n'a retenu que deux fêtes de dévotion :Fête-Dieu (1264) etFête de la Sainte Trinité (1334)[35].

XXe siècle

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Les principales modifications du Calendrier général romain qui ont eu lieu auXXe siècle sont les suivantes :

Notes et références

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  1. (la) « Le motu proprioMysterii paschalis », surVatican(consulté le)
  2. Pierre Pierrard,Dictionnaire des prénoms et des saints, Larousse,,p. 7-9
  3. a etbJosé Antonio Goñi Beásoain de Paulorena, Origine ed evoluzione del Calendario romano. dansRivista Liturgica, 102 (2015), pp. 417-451
  4. (en) « Liturgical Year and Calendar | USCCB », surwww.usccb.org(consulté le)
  5. Marcel Metzger, « Année, ou bien cycle liturgique »,Revue des sciences religieuses,t. 67 fascicule 1,‎,p. 85-96(DOI 10.3406/rscir.1993.3216,lire en ligne)
  6. Sacrosanctum Concilium. 106
  7. Sacrosanctum Concilium, 102
  8. Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 1–4, sur le sitecérémoniaire.net
  9. a etb« Le Calendrier liturgique », suroise.catholique.fr
  10. a etb« Missale Romanum 2002 - Normæ Universales de Anno Liturgico et de Calendario », surceremoniaire.net
  11. Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 17–44, sur le sitecérémoniaire.net
  12. a etbNormes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 44
  13. Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 28
  14. Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 19
  15. Normes universelles de l'Année liturgique et du Calendrier, 22
  16. ab etc« Questions about the Scriptures used during Mass », surwww.usccb.org(consulté le)
  17. a etb« Guide des fêtes chrétiennes », surhozana.org
  18. Le décretLaetitia plena en français.
  19. «Marie Mère de l'Église» célébrée le lundi après la Pentecôte sur VaticanNews.Va
  20. L'Annonce des Fêtes mobiles le jour de l'Épiphanie, sur le sitecérémoniaire.net
  21. Le temps en liturgie, sur le site de l'Insitute de recherche et d'histoire des textes
  22. Le Calendrier romain général sur le sitela fête du jour
  23. 52 Le calendrier et les célébrations qui doivent y être inscrites, sur le sitecérémoniaire.net
  24. a etb« Fêtes, solennités, mémoires … les degrés des célébrations liturgiques », surliturgie.catholique.fr
  25. « Solennités, fêtes, mémoires : les différentes célébrations liturgiques dans l'Église catholique », surhozana.org
  26. (en) Jennifer Gregory Miller, « Prioritizing the Liturgical Calendar: Part 1.5, Keeping Track of the Feasts », surCatholic Culture,(consulté le)
  27. « De la préséance des célébrations liturgiques », surliturgie.catholique.fr
  28. (la)Calendarium Romanum ex decreto sacrosancti oecumenici Concilii Vaticani II instauratum auctoritate Pauli PP. VI promulgatum, Typis Polyglottis Vaticanis,(lire en ligne)
  29. (en)Mario Lessi Ariosto, Devotion to the Martyrs in the Roman Liturgy, dans le site du Vatican
  30. (it) Manlio Sodi et Achille Maria Triacca,Missale Romanum : Editio Princeps (1570), Libreria Editrice Vaticana,,p. XV
  31. (it) Łukasz Celiński, « Per una rilettura della storia della formazione e dello sviluppo del Messale Romano. Il caso del Messale di Clemente V. »,Ecclesia Orans,no 33,‎,p. 383-40415(lire en ligne)
  32. (en) Adolf Adam,The Liturgical Year: Its History & Its Meaning After the Reform of the Liturgy, Liturgical Press,(lire en ligne),p. 209]
  33. a etb(en) Paul Cavendish, « The Tridentine Mass »(consulté le)
  34. (en) John Dowden,The Church Year and Kalendar, Cambridge University Press,(lire en ligne),p. 52]
  35. (la)Calendarium Romanum ex decreto sacrosancti oecumenici Concilii Vaticani II instauratum auctoritate Pauli PP. VI promulgatum, Typis Polyglottis Vaticanis,,p. 65–75
  36. a etb« La réforme liturgique de la Vigile pascale et de la Semaine sainte sous Pie XII », surliturgie.catholique.fr

Voir aussi

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Bibliographie complémentaire

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Articles connexes

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Liens externes

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