Avec plus de 10 000 habitants, Buxerolles est la troisième ville du département aprèsPoitiers etChâtellerault. Ses habitantssont appelés lesBuxerollois[1].
La commune de Buxerolles est majoritairement située sur la hauteur du plateau calcaire où est implantée l’agglomération de Poitiers. Ce plateau est interrompu par une vallée sèche, la vallée des Buis au nord, et par la vallée duClain à l’ouest.
Buxerolles se situe dans l'agglomération dePoitiers, au nord du centre-ville dePoitiers, sur la rive droite duClain.
Le nord de la commune est au croisement de l'axe Nantes-Limoges (RN147) et de l'axe Paris-Bordeaux (A10 et N10) qui dessert entre autres leFuturoscope, à 9 km.
La commune est traversée par leClain sur une longueur de 2,2 km.
LeClain bénéficie d’un classement afin de protéger ou de restaurer sa continuité écologique : la construction de tout nouvel ouvrage faisant obstacle à la continuité écologique est interdit et des aménagements doivent être réalisés afin d’assurer ou de rétablir la libre circulation des poissons migrateurs et le transit des sédiments[3].
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie desclimats de la France qui compte alors huit grands types de climats enmétropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie parMétéo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour lesprécipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]
Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j
Avec lechangement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par laDirection générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Lastation météorologique deMétéo-France installée sur la commune et en service de 1948 à 2006 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[10]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.
Statistiques 1981-2010 et records BUXEROLLES (86) -alt : 110 m46° 36′ 42″ N, 0° 21′ 48″ E Statistiques établies sur la période 1981-2006 - Records établis sur la période du 01-01-1948 au 31-12-2006
La commune est desservie par les lignes[11] du réseau de transports en communVitalis.
Du lundi au samedi : 3, 10, 13, 16. Le dimanche : D. Ces lignes circulent toute l'année. Les lignes 3, 10, 13 et D desservent l'hôtel de ville.
Les lignes S2, S30 et S72 parcourent la commune en période scolaire.
Deux parcs-relais sont situés sur la commune : Espace des Vignes près de l'arrêtSalle des sports (ligne 13) etstade Michel-Amand (La Pépinière) près de l'arrêtVélodrome (lignes 3 et 16). Dans les faits, les abords de l'hôtel de ville sont aussi utilisés comme parc-relai.
Au, Buxerolles est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].Elle appartient à l'unité urbaine de Poitiers[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant huit communes, dont elle est une commune de labanlieue[Note 5],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[14]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de labase de donnéeseuropéenne d’occupationbiophysique des solsCorine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (56,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (45,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,7 %),terres arables (31,3 %), prairies (9,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (7,7 %), forêts (2,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : lacarte de Cassini (XVIIIe siècle), lacarte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
La commune fait partie duterritoire à risques importants d'inondation (TRI) de Châtellerault, regroupant17 communes concernées par un risque de débordement de laVienne et duClain. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs pour la Vienne sont les crues de février 1698 (1 670 m3/s à Châtellerault), de juillet 1792 (1 520 m3/s), de mars 1913 (1 500 m3/s), de décembre 1944 (1 510 m3/s) et de janvier 1962 (1 500 m3/s). Les crues historiques du Clain sont celles de 1873 (330 m3/s à Poitiers) et de décembre 1982 (330 m3/s). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue detemps de retour de10 ans à30 ans), moyen (temps de retour de100 ans à300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[20],[21]. La commune a été reconnue enétat de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations etcoulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1995, 1999, 2006, 2010, 2013 et 2015[22],[18]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais duplan de prévention des risques (PPR) inondation (PPRI) de la « vallée du Clain », approuvé le, puis par le nouveau PPRI « Vallée du Clain », prescrit le[23].
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Buxerolles.
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[24]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuellescavités souterraines sur la commune[25]. Leretrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer desdommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes desécheresse et de pluie[26]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le, en application de laloi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7],[27].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[18].
Le nom du village proviendrait du latinbuxus qui est le nom du buis. En 1296, son nom était Buxeroles, puis, en 1322: Buyxeroles. En 1334, il se dénomme Busolles ; en 1752 : Bucerole et en 1786 : Buxcerolle[28].
En2004, des fouilles archéologiques, réalisées lors de la création de la résidence « le Pas de Saint Jacques », ont révélé des vestiges de plusieurs époques. Les plus anciens datent dunéolithique moyen (vers 2400 avant J.C.) : une petitenécropole avec sixinhumations. Des fosses circulaires et des trous de poteaux attestent d’un bâtiment de type agricole et donc de présence humaine à l’âge du bronze ancien (1800 avant J.C.). L’âge du fer (vers 400 avant J.C.) est illustré par les traces de six bâtiments modestes au centre d’une zone d’activités dont des silos à grains, un four et un métier à tisser. À côté de cet important site archéologique, des sondages et des fouilles ont permis de mettre au jour dessépulturesgallo-romaines ou d’époquemérovingienne etcarolingienne au Planty et près de l’église du Bourg. Buxerolles était située sur l'une des plus importantes voies de communication de la Gaule romaine : lavia Turonensis.
L'occupation médiévale est attestée au Bourg, où l'ancien cimetière a longtemps gardé des sarcophages d'époque mérovingienne ou carolingienne, à Lessart dont les moulins sont mentionnés dès1077 et à Chandy.
Située sur lesChemins de Compostelle enPoitou, Buxerolles était le lieu de passage des pèlerins. Ils s'y arrêtaient pour se recueillir sur une étrange empreinte, dite le Pas de Saint-Jacques.
En 1492[29], la seigneurie de Buxerolles s'étend de Lessart et Clotet à La Loubantière. Elle comprend le Bourg où se trouvent l'église et la métairie seigneuriale, et des terres au nord-est, les coûtreries, propriétés d'ecclésiastiques poitevins.
Buxerolles accueille favorablement les avancées de laRévolution française. Elle plante ainsi sonarbre de la liberté, symbole de la Révolution. Il devient le lieu de ralliement de toutes les fêtes et des principaux événements révolutionnaires[30].
A laBelle Époque, Lessart, cœur économique et commerçant de la commune, devient également un lieu de divertissement avec plusieurs guinguettes au bord du Clain.
Au début duXXe siècle, l’exode rural est compensé par l’arrivée de rentiers et de retraités. Les moulins de Lessart et la vigne replantée sont encore des activités majeures au début duXXe siècle.
La Cité des Castors est sortie de terre dans les années 1950
Entre les deux guerres, les réseaux d’adduction d’eau (avec le premierchâteau d’eau en1935 à la Vallée), d’électricité et de bus sont prolongés à partir dePoitiers et améliorent les conditions de vie.
Pendant laSeconde Guerre mondiale, les troupes d´occupation installent des baraquements au Bourg, sur l´actuel terrain de sport. En1944, le Planty et la vallée de Lessart subissent les bombardements sur la gare de Poitiers.
Après laLibération, face au manque de logements, des sociétés « Castors » se créent : il s'agit d'un mouvementcoopératif où chacun construit lui-même sa maison. À Buxerolles, c'est en1949 que débute l'aventure des Castors. Outre la réalisation de 144 maisons individuelles, c'est un véritable quartier qui a émergé, comprenant un centre commercial, une salle des fêtes, une école et une église, édifiée en1962. La construction de la cité des Castors a marqué un tournant dans l'histoire de Buxerolles : désormais, la commune est entrée dans l'ère de l'urbanisation.
Dès lors, les municipalités qui se succèdent font le choix d'un développement urbain de la commune[31].
À partir de la fin desannées 1970, les dernières vignes sont arrachées. La construction de lotissements entre les villages et quartiers existant densifie la ville. Dans lesannées 1990, les premiers immeubles voient le jour dans le centre-ville.
Les terres agricoles et les espaces naturels se trouvent essentiellement au nord et à l'est de la commune. La ville semble avoir atteint son extension géographique maximale. L'urbanisation extensive a laissé place à des choix de densification urbaine basés sur le principe de "construire la ville sur la ville".
Au cours desannées 2000, la population de la commune atteint les 10.000 habitants. Ce chiffre se maintient dans les années qui suivent : en 2019, la commune compte environ 10.200 habitants.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers lesrecensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[32],[Note 8].
En 2022, la commune comptait 10 253 habitants[Note 9], en évolution de +2,45 % par rapport à 2016 (Vienne : +0,6 %,France horsMayotte : +2,11 %).
En 2008, ladensité de population de la commune était de 1 108 hab./km2, 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.
La ville est la troisième commune la plus peuplée du département de la Vienne[35]
Les dernières statistiques démographiques pour la commune ont été fixées en 2009 et publiées en 2012. Il ressort que la mairie administre une population totale de 10 298 personnes. À cela il faut soustraire les résidences secondaires (218 personnes) pour constater que la population permanente sur le territoire de la commune est de 10 080 habitants.
La commune appartient à lacommunauté d’agglomération de Poitiers qui connait un certain dynamisme démographique puisque sa population s’est accrue de 1,32 % par an en moyenne sur la période 1999- 2006 (Ce taux est de 0,7 % pour le département). Ceci illustre le constat démographique suivant : des zones rurales qui perdent de plus en plus d’habitants au profit d’une zone périurbaine autour dePoitiers et deChâtellerault. Cette vaste zone concentre 70 % de la population du département (soit environ 300 000 personnes) et 25 % des moins de 20 ans. En outre, en supposant le maintien des tendances démographiques depuis 1990, entre 2006 et 2020, la population de l’aire urbaine de Poitiers devrait s’accroître de +16,5 % et celle de Châtellerault de +5,0 %[36]. La population de la commune devrait donc continuer à croitre. Toutefois, en 2014, Buxerolles qui a gagné près de 4 000 habitants depuis 1990 stagne cette année (perte de 15 habitants) pour la première fois depuis longtemps alors que de 2007 à 2012 sa population augmentait, en moyenne annuelle, de 0,6 %.
La répartition par sexe de la population est la suivante:
en 1999 : 47,4 % d'hommes et 52,6 % de femmes.
en 2004 : 47,1 % d'hommes et 52,9 % de femmes.
en 2010 : 46,2 % d'hommes pour 53,8 % de femmes.
en 2011 : 46,5 % d'hommes pour 53,5 % de femmes.
En 2004:
Le nombre de célibataires était de : 37,9 % dans la population,
Les couples mariés représentaient 48,9 % de la population,
Les divorcés sont 7,3 %,
Le nombre de veuves et veufs était de 6 %.
Les plus de 60 ans représentent, en 2011, 23,70 % de la population. La moyenne départemental en 2006 était de 23 %. La population de Buxerolles est moyennement jeune, résultat d'un certain dynamisme démographique mais un taux faible du solde naturel. La population augmente grâce à son solde migratoire largement positif sur 10 ans.
Solde naturel de Buxerolles de 1999 à 2009 fut de + 369 habitants (+ 4 %):
La Ville a reçu plusieurs reconnaissances avec les labels :
Terre Saine. Depuis 2009, la commune est signataire de la charte Terre Saine "Votre commune sans pesticides" initiée par l'ex-RégionPoitou-Charentes (voir Politique environnementale/Protection de l’environnement).
Agenda 21 local. En 2010, la Ville a reçu la distinction "Agenda 21 local" par le Ministère de l'Écologie et du Développement durable, confirmée depuis.
Cit’ergie. Depuis 2013, Buxerolles est engagée aux côtés de la Ville dePoitiers et de l'agglomération deGrand Poitiers, dans la démarche du label européen Cit’ergie, afin d’améliorer son action de lutte contre leRéchauffement climatique.
La commune relève du tribunal judiciaire de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, de la cour d’assises de la Vienne.
Les services municipaux se composent : des services administratifs, techniques et scolaires, d'un CCAS avec service de portage de repas à domicile, d'une crèche, d'un relai assistantes-maternelles, d'un centre de loisirs, d'une bibliothèque, d'une police et d'une cuisine centrale.
La commune dispose d'un centre socio-culturel, La Maison des projets, doté d'une salle de spectacle, La Rotative.
Le Conseil départemental assure des permanences dans ses locaux situés près de la zone du Pas-de-Saint-Jacques.
Buxerolles bénéficie de sa position dans l'agglomération dePoitiers et possède quatre zones d'activité contribuant au dynamisme économique de la ville :
Le Cœur de ville, regroupe une cinquantaine de commerces et professions libérales ainsi que plusieurs services publics (Mairie, Bibliothèque, crèche, relais assistantes-maternelles).
La zone d'activité économique du Pas de Saint-Jacques au nord, créée en 1991, regroupe une quinzaine de commerces et entreprises dont un complexe cinéma de 12 salles.
Le secteur de La Charletterie, situé à la fois sur Poitiers et Buxerolles, regroupe lui aussi une quinzaine de commerces et entreprises.
La zone artisanale et économique du Tilleul, créée en 1984, regroupe une vingtaine de commerces et entreprises principalement dans les secteurs du bâtiment, du textile, des transports et de la formation ;
Le pôle économique de l'Ormeau regroupe des entreprises et professions libérales de divers secteurs.
La commune possède une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF)[47] qui couvre 17 % de la surface communale : la Vallée des Buis.
Le sitePuy Mire est classé comme monument naturel[48].
Les vallées sèches de Buxerolles qui couvrent 4 % du territoire communal sont protégées au titre des Espaces Naturels Sensibles. Elles sont gérées par le Conservatoire d'espaces naturels de Poitou-Charentes.
Depuis 2018, la commune de Buxerolles accueille, au centre socio-culturel de la Maison des Projets, un petit festival de langues organisé en septembre par l'association Tous Azimuts, qui présentait 15 langues pour sa première édition et en programme 19 pour l'édition 2019. Événement accompagné de diverses manifestations culturelles (concerts et spectacles de danse,cérémonie du thé et arts martiaux chinois,reconstitution historique sur l'antiquité, etc.).
Le complexe sportif deGrand Poitiers dans le quartier de la Pépinière comprend lestade Michel-Amand, un dojo, une salle d'armes, une salle de gymnastique, un vélodrome et un centre aquatique.
Le complexeAndré-Messy (stade et salle de sports) au Planty comprend un terrain synthétique.
La salle de sport Eric Tabarly au Planty.
Le complexe sportif Colette Besson (salle de sports, dojo, club-house, courts de tennis extérieurs, terrains de sport bouliste) dans le quartier des Bizais.
Robert Charron, boxeur, champion de France amateur en 1939 (catégorie mi-moyens), militaire en 1939 (mi-moyens), professionnel (poids moyens) en 1944 et 1946.
Robert Buchet, dit Bubu, était l'une des figures les plus pittoresques du sport automobile ; il y repose en son cimetière.
Frédéric Augris, photographe et historien, a passé son enfance à Buxerolles.
↑Les normales servent à représenter leclimat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
↑L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
↑Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Poitiers comprend une ville-centre et sept communes de banlieue.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑a etbDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale »,Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography,no 501,(DOIhttps://doi.org/10.4000/cybergeo.23155,lire en ligne, consulté le)